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29/08/2015

VIDEO. Notre Voie lactée a une nouvelle adresse cosmique, Laniakea, et "Le Grand Attracteur"

C'est là que nous nous sentons très petits et que notre prétention à être seuls dans cette immense galaxie, devrait fléchir !

 

A retenir dans cet article, "Le Grand Attracteur" sur lequel nous reviendrons pour comprendre que l'ensemble de notre système solaire ascensionne vers le centre de la Galaxie tout en traversant la Bande photonique du Soleil Central Alcyone : ICI et ICI

 

D'autres liens ci-dessous :

 

 

À la découverte de Laniakea, notre superamas galactique

Laniakea, ce supercontinent galactique qui abrite notre Voie lactée

En savoir plus :
http://www.maxisciences.com/galaxie/laniakea-ce-supercontinent-galactique-qui-abrite-notre-voie-lactee_art33425.html

Copyright © Gentside Découverte

Laniakea, ce supercontinent galactique qui abrite notre Voie lactée

En savoir plus : http://www.maxisciences.com/galaxie/laniakea-ce-supercontinent-galactique-qui-abrite-notre-voie-lactee_art33425.html
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VIDEO. Notre Voie lactée a une nouvelle adresse cosmique

Joël Ignasse

  Publié le 14-09-2014 à 20h00

 

Une carte de l'univers local a permis de délimiter une immense structure contenant des centaines de milliers de galaxies. Dont la nôtre... On vous présente "l'horizon céleste immense".

Le superamas Laniakea abrite notre galaxie, représentée par le petit point à droite. SDvision interactive visualization software by DP at CEA/Saclay, France

 

C’est notre nouvelle adresse cosmique ! Une extraordinaire structure de plusieurs centaines de milliers de galaxies, à la périphérie de laquelle nous logeons, nous humains, sur notre planète Terre en orbite autour du Soleil, dans l’un des bras en spirale de notre propre galaxie et ses milliards d’autres étoiles... Vertigineux !

Imaginez-vous un instant, un gigantesque regroupement de galaxies d’un diamètre de 500 millions d'années-lumière de diamètre et d’une masse d’environ  100 millions de milliards de fois la masse du Soleil… Et nous, perdus au milieu de cette immensité à peine concevable. Cet amas de galaxies, c’est le notre.

Lire : 10.000 galaxies sur un cliché de la taille d'un grain de sable 

Les amas de galaxies, les superstructures de l'Univers

En effet, de nouvelles mesures de la vitesse des galaxies voisines ont permis d'identifier le superamas dans lequel est logée la Voie Lactée. Des mesures réalisées par une équipe internationale comprenant des chercheurs du CNRS et du CEA et qui font la une de la revue Nature en cette première semaine de septembre.

Dans l'Univers, les galaxies sont regroupées par paquets de dizaines, constituant ce qu’on appelle des "amas de galaxies". Ces amas sont eux-mêmes reliés par un réseau de filaments qui, lorsqu'ils se rencontrent, forment des superamas : les plus grandes structures de l'Univers. Ces ensembles vertigineux contiennent la quasi-totalité de la matière : celle qui forme les atomes constituant les planètes et les étoiles, mais également la très mystérieuse matière noire

 

Laniakea, "l'horizon céleste immense"

Notre superamas est si gigantesque que les chercheurs l'ont baptisé Laniakea, un terme hawaïen qui signifie "horizon céleste immense". Un hommage à cette petite île qui abrite quelques un des plus gros télescopes terrestres utilisés pour cette recherche. Les scientifiques qui l'ont délimité estiment qu'il contient environ 100.000 grosses galaxies et près d'un million plus petites.

 Deux vues du superamas Laniakea. (SDvision/interactive visualization software by DP at CEA/Saclay, France.)

 

Courants cosmiques

 

Au sein de Laniakea, les galaxies s'écoulent comme des cours d'eau vers un point central : le Grand Attracteur ; sur lequel les astronomes s’interrogent depuis trente ans. Les chercheurs montrent que cette région qui semblait attirer toutes les galaxies voisines, sans paraître pourtant plus dense, apparaît aujourd’hui comme un très large vallon où se déverse la matière, un peu comme les ruisseaux de montagne s'écoulent au fond de la vallée.

 

La modélisation de ces amas dans la vidéo réalisée par les chercheurs :

 

Laniakea: Our home supercluster



Les "courants" de galaxies modélisés par les chercheurs.

 

C'est d'ailleurs une méthode similaire à celle employée pour la recherche de bassin versants alluviaux qui a été utilisée par les chercheurs pour analyser la vitesse de 8.000 galaxies. Il en ressort que dans notre univers local, tous les mouvements des galaxies sont dirigés vers l’intérieur et suivent des courants gravitationnels. Ce sont ces courants qui ont permis de déterminer l'architecture du superamas Laniakea, au sein duquel notre Voie Lactée n'est qu'une toute petite pièce.

 

 

28/08/2015

Guerre USA/OTAN : Changements climatiques versus dangers de la guerre nucléaire. « Trois minutes avant minuit »

Heureusement qu'OBAMA, le prix Noble du crime organisé dans le monde, devait faire du "réchauffement climatique" une priorité !

 

Quand les scientifiques se réunissent pour tirer la sonnette d'alarme sur les changements dits climatiques mais qui sont d'origine cosmique !

 

Il va falloir qu'ils disent la vérité à l'humanité et qu'ils arrêtent leurs âneries avec leur effet de serre, comme si la Terre avait un couvercle autour d'elle qui la séparait du reste du système solaire et du Cosmos, et avec le  CO2 qui est un gaz naturel que nous expirons par nos poumons, dans la fonction de respiration, et que l'on trouve dans tout l'Univers, et notamment dans les chevelures des queues des comètes.

 

 

Si le CO2 qui est un gaz toxique à haute dose, était responsable du réchauffement, comment se fait-il que nous soyons toujours en vie, alors que des animaux meurent en masse tout autour du monde et notamment les espèces marines ?

 

Changements climatiques versus dangers de la guerre nucléaire. « Trois minutes avant minuit »

Soixante‑cinq prix Nobel se sont réunis sur l’île de Mainau, au lac de Constance, dans le sud de l’Allemagne, à l’occasion de la rencontre annuelle des lauréats du prix Nobel parrainée par la fondation Lindau.

Parmi les donateurs de la réunion de la fondation Lindau figurent Lockheed Martin, la Deutsche Bank, UBS, Bayer, Merck, Novartis et Microsoft.

La question des changements climatiques était à l’ordre du jour. Il s’agissait essentiellement d’une rencontre scientifique qui n’a donné lieu à aucune déclaration ni à aucun débat scientifique sur des questions plus larges de guerre et de paix. (Pour voir le programme)

La « Déclaration de Mainau de 2015 sur les changements climatiques » compare la menace que posent les changements climatiques à celle que posait la guerre nucléaire à l’apogée de la guerre froide.

De l’avis des prix Nobel, la menace d’une guerre nucléaire appartient à une époque révolue. La guerre nucléaire n’est plus la menace principale. Aujourd’hui, ce sont les changements climatiques, « une menace d’une ampleur comparable ».

L’humanité demeure menacée, mais la menace a pris elle une nouvelle forme :

Il y a près de 60 ans, ici même sur l’île de Mainau, les participants à une réunion similaire de prix Nobel en sciences ont fait une déclaration sur les dangers inhérents à la technologie des armes nucléaires — une technologie de découverte récente dérivée des percées en science fondamentale. Jusqu’à ce jour, et malgré la menace persistante, nous sommes parvenus à éviter la guerre nucléaire. Nous croyons qu’une autre menace d’une ampleur comparable pèse aujourd’hui sur le monde1. (C’est nous qui soulignons)

Préoccupés par la question des changements climatiques, les lauréats de prix Nobel en sciences demeurent toutefois silencieux à propos des guerres USA‑OTAN en cours et des crimes de guerre commis par l’alliance militaire occidentale en Afrique, au Moyen‑Orient et en Asie centrale, sans parler des répercussions déstabilisatrices de la guerre économique.

Pendant ce temps, le Pentagone attise la guerre. Les menaces récentes de l’administration Obama de recourir à l’arme nucléaire pour effectuer une première frappe préventive non seulement contre la Russie, mais contre plusieurs États non nucléaires du Moyen‑Orient, sont tout simplement ignorées par ces mêmes prix Nobel en sciences.

Le programme militaire du Pentagone est un programme de conquête mondiale. Le déploiement militaire des forces US et de l’OTAN s’effectue simultanément dans plusieurs régions du monde.

Même si le scénario d’une 3e guerre mondiale impliquant l’usage préventif d’armes nucléaires est sur la planche à dessin du Pentagone depuis plus de dix ans, les stratèges militaires participent maintenant à la formulation de plans d’attaque concrets dirigés contre la Russie, plans qui incluent notamment le déploiement de systèmes de missile et de forces terrestres de l’OTAN sur le territoire de l’Ukraine.

L’horloge apocalyptique

Après avoir déjà formulé des mises en garde sur les dangers d’une guerre nucléaire,The Bulletin of Atomic Scientists (BAS) tient maintenant un discours différent. Selon le BAS, la guerre nucléaire constitue aujourd’hui une menace moindre par comparaison à l’époque de la guerre froide :

Aujourd’hui, la folle possibilité de l’annihilation nucléaire résultant d’une attaque délibérée des États‑Unis contre la Russie, ou de la Russie contre les États‑Unis, semble être une chose du passé,… (C’est nous qui soulignons)

Le fait est qu’il n’existe plus aucune mesure de protection issue de l’époque de la guerre froide. L’affirmation qui précède ne tient aucunement compte de la doctrine US de guerre nucléaire préventive impliquant des attaques nucléaires de première frappe comme instrument de paix et telle que formulée dans le rapport sur l’évaluation du dispositif nucléaire de 2001 (Nuclear Posture Review).

Les changements climatiques et la guerre nucléaire figurent maintenant côte à côte sur le cadran de l’horloge apocalyptique du BAS. La guerre nucléaire n’est plus la principale menace.

2015 : PLUS QUE 3 MINUTES AVANT MINUIT

« Les changements climatiques non maîtrisés, la modernisation des armes nucléaires à l’échelle mondiale et les arsenaux d’armes nucléaires surdimensionnées posent des menaces extraordinaires et indéniables à l’existence de l’humanité, et les dirigeants mondiaux ont failli à agir avec la rapidité ou avec l’ampleur nécessaires pour protéger leurs citoyens d’une catastrophe éventuelle. Ces échecs des dirigeants politiques mettent en danger la vie de chaque personne sur cette terre. » En dépit de résultats modestement positifs dans la lutte contre les changements climatiques, les efforts actuels sont tout à fait insuffisants pour prévenir le réchauffement catastrophique de la terre. Entre temps, les États‑Unis et la Russie ont entrepris de vastes programmes de modernisation de leur triade nucléaire respective — mettant ainsi en péril les traités en vigueur sur les armes nucléaires. « Il ne reste plus maintenant que trois minutes avant minuit, car les dirigeants internationaux négligent de s’acquitter de leur devoir le plus important — assurer et préserver la santé et la vitalité de la civilisation humaine. »

Des pommes et des oranges

Changements climatiques versus guerre nucléaire, « une menace d’ampleur comparable », selon les lauréats du prix Nobel en sciences.

L’évaluation scientifique des changements climatiques tient tout particulièrement compte « des répercussions de l’activité humaine » sur le climat et l’écologie de la terre. Nous sommes aux prises avec un phénomène à long terme complexe qui implique des évaluations et des mesures scientifiques.

En juxtaposant à la légère les changements climatiques et la guerre nucléaire, les scientifiques du BAS et les prix Nobel en sciences ne font essentiellement que « comparer des pommes et des oranges ». Il y a méprise fondamentale quant à la nature des liens de causalité, méprise qui sert à distraire l’opinion publique des dangers imminents de guerre mondiale.

Alors que la décision de lancer une attaque nucléaire contre un ennemi connu peut être prise et exécutée en quelques minutes seulement – c.‑à‑d. par décision du président et commandant en chef des USA – les causes, les tendances temporelles sous‑jacentes ainsi que les politiques afférentes aux changements climatiques sont de tout autre nature.

Dans l’après‑guerre froide, la guerre nucléaire est devenue une affaire de milliards et de milliards de dollars qui contribue à enrichir les entrepreneurs de la défense US. L’enjeu ici, c’est purement et simplement la « privatisation de la guerre nucléaire ». La guerre et la guerre nucléaire sont le résultat de décisions militaires et politiques concrètes prises en fonction de puissants intérêts économiques.

Quant au réchauffement climatique, lui n’est pas déclenché parce qu’un représentant de la sphère politique « appuie sur un bouton ». (Exception faite de la géoingénierie utilisée comme arme de guerre).

La campagne contre la guerre et contre la guerre nucléaire est pratiquement morte depuis l’invasion de l’Iraq en 2003.

L’enjeu pour le mouvement pacifiste consiste en définitive à mettre en cause le processus décisionnel aux plus hauts niveaux de l’appareil gouvernemental US, ce qui inclut le Département d’État, le Pentagone et les services de renseignement. Y a‑t‑il urgence? Oui, tout à fait.

Aujourd’hui, les USA et l’OTAN mènent des guerres d’agression simultanées dans plusieurs régions du monde, guerres qui vont de pair avec un processus de déstabilisation et de restructuration politiques. Sous le poids de puissantes institutions financières, des économies nationales sont mises à mal et détruites, de vastes pans de la population mondiale sont appauvris.

Pareilles mesures touchant à la sphère économique se fondent sur un processus délibéré de manipulation financière. Le Pentagone, l’OTAN, le Fonds monétaire international (FMI) et Wall Street travaillent tous de concert. Il s’agit d’un processus décisionnel coordonné aux échelons économique, géopolitique et militaire. Cela a pour nom la guerre et la « guerre financière ».

Afin de distraire l’opinion publique des dangers très réels associés à un scénario de 3e guerre mondiale, les grands médias gardent les yeux rivés sur les seuls dangers imminents associés aux changements climatiques.

Et même si les changements climatiques sont véritablement un enjeu important à l’échelle mondiale, il est essentiel à ce moment‑ci de l’histoire de comprendre la logique des guerres hégémoniques menées par les USA sous le couvert des opérations de contre‑terrorisme. Une guerre humanitaire, ça n’existe pas. Qui plus est, ces guerres sont des guerres économiques. Ce sont des guerres de conquête économique.

La campagne de propagande consiste à présenter le réchauffement climatique comme le seul danger pesant sur l’humanité, et ce, afin de limiter autant que possible la compréhension que peut avoir le public des dangers de guerre et de guerre nucléaire qui accompagnent inévitablement le processus mondial de restructuration économique néolibérale et d’appauvrissement.

Dans son discours de West Point du 28 mai 2014, le président Obama a dit : « Je crois de tout mon être au caractère exceptionnel des États‑Unis d’Amérique ». Ce qui importe le plus selon lui, c’est que « l’Amérique doit toujours être au premier rang sur la scène mondiale » et que « ce leadership aura toujours pour pilier les militaires ». L’exceptionnalisme des USA fondé sur la puissance, et non sur la diplomatie, sur le pouvoir de contrainte, et non sur le pouvoir de convaincre, voilà précisément les manifestations d’orgueil et d’arrogance qui pourraient conduire à la fin de la vie humaine. La détermination de Washington d’empêcher la montée en puissance de la Russie et de la Chine, comme l’énoncent les doctrines de Brzezinski et de Wolfowitz, est une recette de guerre nucléaire.

Les présidents US, russe et chinois ont terriblement besoin d’affirmer dans le cadre d’un forum public très en vue que l’existence des armes nucléaires entraîne la possibilité de leur utilisation et que leur utilisation en contexte de guerre aura sans doute pour conséquence l’extinction de l’humanité. Comme personne ne peut sortir gagnant d’une guerre nucléaire, ces armes devraient être interdites et détruites avant qu’elles ne nous détruisent tous. (Steven Starr, Global Research, juin 2014; c’est nous qui soulignons.)

À l’époque de la guerre froide, la doctrine de la « destruction mutuelle assurée » (MAD) primait. Les États‑Unis et l’Union soviétique comprenaient que l’utilisation d’armes nucléaires risquait d’entraîner l’émission de rayonnement nucléaire à l’échelle de la planète et de conduire à l’apocalypse nucléaire.

À l’issue de la guerre froide, cette compréhension des dangers de la guerre nucléaire (MAD) ne l’emporte plus. Qui plus est, le Pentagone a récemment rendu publique sa politique de première frappe nucléaire contre la Fédération de Russie en réaction de l’agression présumée de la Russie à l’endroit de l’Ukraine.

Devrions‑nous nous sentir préoccupés? La guerre nucléaire est-elle plus dangereuse que le réchauffement climatique?

Si ces frappes nucléaires US devaient survenir, l’humanité serait précipitée dans une Troisième Guerre mondiale qui pourrait être la « toute dernière guerre » à être livrée sur la planète terre.

Michel Chossudovsky

 

Article original en anglais :

Doomsday-clock-over-The-Earth

Climate Change versus the Dangers of Nuclear War. “Three Minutes to Midnight”, publié le 4 juillet 2015

Traduction par Jacques pour Mondialisation.ca

Note

1. La Déclaration de Mainau sur les dangers associés aux changements climatiques a été signée par 36 des 65 lauréats du prix Nobel présents.

 

24/08/2015

Nibiru - Mondes en collision - Velikovsky Immanuel : Année - 1950

  Livres sur NIBIRU de Velikovsky Immanuel

 

1er livre : Mondes en collision - 1950

2ème livre : Les grands bouleversements terrestres - 1955

3ème livre : Le désordre des siècles - 1952

 

1er LIVRE : ANNEE 1950

 

Velikovsky Immanuel - Mondes en collision

Lien permanent VVelikovsky Immanuel

Auteur : Velikovsky Immanuel
Ouvrage : Mondes en collision
Année : 1950

mondes_collision.jpg

 




Lien de téléchargement :

Velikovsky_Immanuel_-_Mondes_en_collision.zip

 

Présentation du livre par l'éditeur

 Est-il exact que la terre a été bouleversée par des cataclysmes sans précédent ? Pourquoi les livres bouddhiques parlent-ils d'une année à 360 jours ? Pourquoi les scientifiques enregistrent-ils des inversions de polarité dans les rochers ? Pourquoi les océans se sont-ils massivement déplacés et les jungles transformées en déserts ? Comment explique-t-on la présence de mammouths en Sibérie - instantanément gelés alors qu'ils étaient en train de mâcher tranquillement - sachant que leur examen prouve qu'ils vivaient dans un climat tempéré ? Et pourquoi ont-ils tous été décimés d'un seul coup ? D'où viennent les palmiers retrouvés au pôle Nord ? Depuis quand le 13 porte-t-il malheur ? Comment expliquer que le papyrus égyptien Ipuwer ainsi que les textes aztèques, chinois et mayas confirment le texte de la Bible des dix plaies d'Egypte ? Et pourquoi ce livre est-il le plus combattu et censuré de tous les temps ? Dans ce livre, le plus controversé de l'histoire de l'édition moderne, le Dr Velikovsky, répond de manière si révolutionnaire qu'on en ressort avec un choc intellectuel. Cette édition 2003 contient la biographie de Velikovsky reconnu maintenant comme l'un des plus grands génies du XXe siècle, l'histoire du livre, des documents, la liste de ses découvertes incroyables - confirmées depuis par les sondes spatiales - et bien sûr "Mondes en collision ". Si vous ne connaissez pas encore ce livre, alors attendez-vous à le lire d'une seule traite !!!

Quatrième de couverture

Est-il exact que la Terre a été bouleversée par des cataclysmes sans précédent ? Comment explique-t-on la présence de mammouth en Sibérie alors que leur examen prouve qu'ils vivaient dans un climat tempéré ? Et pourquoi ont-ils tous été décimés d'un seul coup ? D'où viennent les palmiers retrouvés dans les pôles ? Pourquoi 2000 ans avant J-C, les astronomes ne dessinaient-ils jamais la planète Vénus? Comment expliquer le mythe grec de la « Naissance de Vénus » si merveilleusement illustré par Botticelli ? Pourquoi les romains disaient-ils qu'Athéna est née de Jupiter pour aller se battre avec Mars ? Pourquoi les océans se sont-ils massivement déplacés et les jungles transformées en désert ? Comment expliquer que le papyrus égyptien Ipuwer, en plus des textes aztèques, chinois et mayas, confirment ce que la Bible présente sous forme des dix plaies d'Egypte ? Pourquoi les scientifiques enregistrent-ils des inversions de polarité dans les rochers anciens ? Et pourquoi cet ouvrage est-il le plus combattu de tous les temps ? Cette édition 2003 contient la biographie de Velikovsky, l'histoire du livre, des documents, des listes, une liste de ses découvertes incroyables (confirmées depuis par les sondes spatiales), et bien-sûr le “Mondes en collision” lui-même, avec les sources sous forme de plus de 1000 notes bas de page.

Préface. Ce livre a pour sujet les guerres qui bouleversèrent la sphère céleste dans les temps historiques, et auxquelles notre planète participa. Il ne décrit que deux actes d'un grand drame : le premier se déroula il y a trente-quatre à trente-cinq siècles, au milieu du deuxième millénaire avant notre ère ; le second au cours du VIIIe et au début du VIIe siècle avant J. C., il y a quelque vingt-six siècles.

Cet ouvrage comporte donc deux parties, précédées d'un prologue. Le principe de l'harmonie et de la stabilité des sphères céleste et terrestre est le fondement même de notre conception présente de l'Univers, qui trouve ses expressions essentielles dans la Mécanique céleste de Newton et dans la théorie darwinienne de l'évolution. Si ces deux savants sont sacro-saints, ce livre est une hérésie. Et pourtant la physique moderne, avec sa théorie de l'atome et des quanta, constate des bouleversements dramatiques dans le microcosme - l'atome - prototype de notre système solaire ; une théorie qui envisage la possibilité de phénomènes semblables dans le macrocosme - le système solaire - ne fait qu'appliquer à la sphère céleste les concepts de la physique moderne.

Ce livre s'adresse au savant comme au profane; j'entends que nulle formule, nul hiéroglyphe ne barrera la route à qui en entreprendra la lecture. S'il arrive que des témoignages historiques ne cadrent pas avec certaines lois déjà formulées, il importera de se rappeler que la loi n'est que la consécration de l'expérience et de l'expérimentation, et qu'en conséquence les lois doivent se plier aux faits historiques, non les faits aux lois. Je n'exige pas du lecteur qu'il accepte une théorie les yeux fermés : je l'invite au contraire à se demander en toute sincérité s'il s'agit là d'un livre de fiction pure ou bien d'une oeuvre solide, fermement étayée par des faits historiques; je le prie de me faire crédit sur un seul point, au reste secondaire pour la théorie des cataclysmes cosmiques : j ai utilisé un tableau synchronique de l'histoire d'Égypte et d'Israël qui n'est pas orthodoxe.

Au printemps 1940 il m'est brusquement venu à l'idée que quelque gigantesque cataclysme avait eu lieu au temps de l'Exode : de nombreux textes des Écritures en apportaient l'éclatant témoignage. Dès lors, cet événement pouvait servir à déterminer la date de l'Exode d'Israël dans l'histoire de l'Égypte, ou à établir le tableau synchronique de l'histoire des deux peuples. C'est ainsi que j'entrepris « Ages in chaos », qui est la reconstruction de l'histoire du monde antique depuis le milieu du second millénaire avant notre ère jusqu'à Alexandre le Grand.

Dès l'automne 1940, j'eus l'impression d'avoir saisi la vraie nature de cette gigantesque catastrophe; pendant neuf ans je menai de front deux tâches, en écrivant de concert l'histoire politique et l'histoire naturelle de cette époque. « Ages in chaos » fut achevé le premier; il ne sera cependant publié qu'après « Mondes en collision ».

Dans ce dernier livre j'étudie les deux ultimes actes d'un grand drame cosmique; certains actes antérieurs, tel le Déluge, feront l'objet d'un autre volume. Le récit à la fois cosmologique et historique que contient le présent ouvrage s'appuie sur les témoignages des textes de l'histoire du monde entier, sur la littérature classique, les épopées nordiques, les livres sacrés des peuples d'Orient et d'Occident, les traditions et le folklore des tribus primitives, sur de vieilles inscriptions et d'antiques cartes astronomiques, sur les découvertes archéologiques, géologiques et paléontologiques. Mais si des bouleversements cosmiques se sont produits dans le passé historique, pourquoi la race humaine n'en a-t-elle pas conservé le souvenir? Pourquoi n'en retrouve -t-on la trace qu'au prix de recherches obstinées ? Le chapitre « l'amnésie collective » éclairera ce problème. Mon travail ressemblait assez à celui du psychanalyste qui, à partir de souvenirs et de rêves discontinus, reconstruit une expérience traumatique oubliée, qui imprima une trace profonde sur l'enfance d'un individu. En appliquant la même méthode à l'histoire de l'humanité, on se rend compte que les inscriptions ou les thèmes des légendes jouent un rôle comparable à celui des souvenirs et des rêves dans l'analyse d'une personnalité. Est-il possible, à partir de ces données polymorphes, d'établir des faits certains?

Nous comparerons, nous opposerons sans trêve un peuple à l'autre, les récits épiques aux cartes astronomiques, et la géologie aux légendes, jusqu'à obtenir enfin des faits authentiques. Dans quelques cas il est impossible d'affirmer avec certitude qu'un document ou une tradition se rapporte à telle ou telle de ces catastrophes qui se produisirent au cours des âges; il est même probable que certaines traditions ne sont qu'une synthèse d'éléments appartenant à des âges différents.

Dans l'analyse finale il n'est cependant pas capital de discriminer les éléments de chaque catastrophe individuelle. Il paraît autrement plus important, nous semble-t-il, d'établir :

1° que certains bouleversements physiques ont véritablement existé, qui affectèrent le globe entier aux époques historiques;

2° qu'ils furent provoqués par des agents extraterrestres;

3° que l'identification de ces agents est possible.

Ces conclusions entraînent de multiples conséquences. Qu'il me soit permis d'en réserver l'examen pour l'épilogue de ce livre. Quelques personnes ont lu le manuscrit de mon livre et m'ont présenté des suggestions et des remarques pleines d'intérêt. Ce sont, dans l'ordre chronologique de leur lecture :

Dr Horace M. Kallen, ancien doyen de la Graduate Faculty of the New School for Social Research, New- York ;

John J. O'Neill, rédacteur scientifique du New York Herald Tribune ;

James Putnam, co- éditeur de la Macmillan Company ;

Clifton Fadiman, critique et commentateur littéraire ;

Gordon A. Atwater, directeur du Hayden Planetarium à l'American Museum of Natural History, New-York.

Ces deux dernières personnalités ont spontanément demandé à lire cet ouvrage, après que Mr. O'Neill en eut fait la critique dans le Herald Tribune du 11 août 1946. Je leur exprime ici ma reconnaissance, mais la responsabilité des idées et du texte incombe à moi seul.

Miss Marion Kuhn a bien voulu revoir le manuscrit et m'a aidé dans la correction des épreuves. Il est courant qu'un auteur dédie un de ses ouvrages à sa femme, ou mentionne son nom dans la préface. J'ai toujours considéré que cet usage comportait une certaine part d'ostentation; mais il m'apparaît, à l'heure où ce livre va voir le jour, qu'il serait d'une rare ingratitude de ne point signaler que ma femme Elishevay a consacré presque autant de temps que moi-même. Je lui dédie ce livre. Au cours des années où je composais mes deux livres, une catastrophe mondiale, celle-ci provoquée par l'homme faisait rage : les hommes s'entre-tuaient sur la terre, sur les mers et dans l'air. C'est pendant cette guerre que l'homme a découvert le moyen de dissocier quelques-uns des éléments constitutifs de l'univers - les atomes de l'uranium. Si un jour il parvenait à résoudre le problème de la fission et de la fusion des atomes dont la croûte terrestre, son eau et son atmosphère se composent, il se pourrait qu'il déclenchât fortuitement des réactions en chaîne telles, que notre planète perdrait toute chance de survie et se verrait définitivement éliminée des membres de la sphère céleste. Immanuel Velikovsky.

 

22/08/2015

Science & Vie N° 1175 Août 2015 : Le paranormal décrypté par la science !

 
Il était temps, n'est-ce pas de ne plus nous faire passer pour des sorciers ou des comploteurs lorsque nous pouvons apporter des réponses, sur la base de nos propres ressentis, sans avoir accès aux secrets d'état ni à ceux de la science !

 

La médiumnité est un don naturel que chacun a inscrit dans son ADN et dans son cerveau et qu'il suffit d'accepter et de travailler !

 

 

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La revue à feuilleter en ligne
 
 

Univers : L'aveu d'ignorance et de connaissance de l'Univers par la science !

L'aveu d'ignorance des scientifiques en ce qui concerne la connaissance de l'Univers par Science & Vie, N° 1171.

Quand on sait qu’ils n’ont toujours pas la moindre idée de ce à quoi pourrait ressembler 95 % de la matière qui compose l’Univers (la fameuse “matière noire”), on se dit que la moindre des choses serait d’aller voir si elle ne se cache pas derrière ces anomalies.

En l'occurence quand on est ignorant de ce qu'est l'Univers, on ne peut pas se permettre de parler d'anomalies de celui-ci. Ce n'est pas parce que l'on ne sait pas comment il fonctionne que l'on peut se permettre de dire que l'Univers a des anomalies !

Et quand ils savent ce qui se passe on nous le cache ! Ce n'est pas mieux pour nous conserver dans l'ignorance et nous imposer l'obscurantisme ! Heureusement que nous avons nos propres ressentis !

 

Univers

 

Ce n’est pas en levant les yeux au ciel que nous aurions pu le voir. Mais les scientifiques armés des meilleurs outils d’observation le savent : le ciel regorge de curiosités que personne ne parvient à expliquer. Comment se fait-il que les galaxies naines soient alignées ? Comment expliquer que les nuages de gaz soient si brillants ? Pourquoi les galaxies se déplacent-elles si vite ? Mystère, mystère et encore mystère. Le ciel est donc le théâtre de phénomènes étranges. Si étranges qu’ils laissent les scientifiques sans voix. Quand on sait qu’ils n’ont toujours pas la moindre idée de ce à quoi pourrait ressembler 95 % de la matière qui compose l’Univers (la fameuse “matière noire”), on se dit que la moindre des choses serait d’aller voir si elle ne se cache pas derrière ces anomalies.

 

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http://www.science-et-vie.com/2015/03/avant-propos-de-sci...