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22/10/2011

Notre Soleil et ce qui nous attend très bientôt !

Cet article est très intéressant à une exception près. Celle que nous ne devrons pas attendre des années ou trop longtemps pour que le soleil fasse parler de lui, car les cycles cosmiques progressent et ils ne s'arrêteront pas. Les explosions solaires ne tarderont plus à ressurgir dans quelques jours et à se multiplier au cours des prochaines années.

Une seule grosse tempête solaire suffira pour mettre tout à plat sur notre planète et elle peut aussi survenir aujourd'hui ou demain.

Ce n'est pas parce que vous avez le sentiment que rien ne se passe pour vous ou à côté de chez vous que rien ne se passe ou que tout va changer ou s'arrêter.

Les cycles cosmiques suivront leurs cours que vous le vouliez ou pas et c'est à vous de l'accepter, de vous y adapter et de vous préparer à ces échéances inéluctables.
 
Nous vous engageons pour vous et vos familles à vous préparer à ces échéances dès maintenant, au lieu de perdre votre temps à écouter les mensonges étatiques et médiatiques; la propagande sioniste et celle de l'OTAN, ou de penser à aller voter pour les pantins et les marionnettes des Illuminati-reptiliens-satanistes ou à focaliser sur la crise financière qui a été préparée depuis des décennies par les Illuminati en vue d'instaurer un monopole bancaire et d'instaurer leur Nouvel Ordre Mondial de Dictature.
 
Que ferez-vous quand vous n'aurez plus d'électricité, d'eau, de nourriture, d'argent pour survivre et plus aucun moyen de communication ni de transport ?
RIEN ?
 
Vous irez tuer et voler pour survivre ?

Pensez-y dès maintenant. Il est temps de faire des provisions et de cultiver votre jardin potager ou de mettre des jardinières sur vos balcons, de stocker de l'eau et de prévoir de quoi vous chauffer durant les périodes froides.
 
Soyez prévoyants !

 
Vendredi 21 octobre 2011













Dans "les quelques prochaines années", notre soleil va faire les gros titres. Les discussions autrefois réservées aux passionnés d'astronomie vont faire leurs entrées dans les halls sacrés de la diffusion audiovisuelle comme CNN (phonétiquement prononcé: "see an end"= voir et finir), et d'autres médias grand public. Parce-que ces observateurs ne se penchent sur notre expérience humaine que pour en commenter les "effets", et par conséquent restent ignorants du point causal de notre expérience collective, il est prévisible qu'ils parlent du comportement étrange et imprévisible de notre soleil en termes provoquant la peur collective. L'ignorance, et l'analyse infructueuse conséquente qui en découle, provoque toujours la peur. Croire que notre soleil pourrait essayer de nous "faire du mal" est croire que les dealers sont d'une certaine façon responsables de l'addiction à la drogue, ou que les politiciens ont la capacité de donner du pouvoir aux gens.

Pendant la période à venir le soleil va se comporter d'une manière à la fois imprévisible et sans précédent. Nous allons voir une augmentation des tâches solaires et des éruptions solaires. Ces éruptions auront un impact si intense sur notre planète qu'il sera impossible d'ignorer le phénomène. Il y aura un large éventail de conséquences, dont voici quelques unes:

A un niveau physique, notre sentiment de sécurité sera malmené. Nos réseaux électriques vont sauter, parfois pour plusieurs jours, nos satellites orbitant près de la Terre seront endommagés, et beaucoup de nos systèmes de communication comme les téléphones portables ou l'Internet connaîtront des interruptions. Cette activité a déjà commencé, ceux qui y prêtent attention auront remarqué de telles perturbations pendant la première semaine de Décembre 2006, particulièrement pour nos systèmes de communication terrestres. Le climat deviendra aussi de plus en plus farouchement imprévisible. Ceci est aussi maintenant une réalité.
 
A un niveau mental, cela causera de la confusion dans notre processus de pensée; cela deviendra difficile de "penser droit", de communiquer entre nous clairement, et même de comprendre des concepts qui nous apparaissaient autrefois simples. La pensée linéaire et la logique vous venir à nous manquer. Nous ferons également l'expérience de brouillages dans nos facultés de mémoire (mémoire à court et long terme).

A un niveau émotionnel, nous ferons l'expérience de vagues de peur, de colère et de chagrin inattendus. Les gens qui la plupart du temps paraissaient calmes, tranquilles, et maîtres d'eux-mêmes, deviendront imprévisibles. Des débordements émotionnels inattendus de la part de personnalités publiques deviendront la norme. (C'est déjà en train de se passer.) Nous nous sentirons envahis par des états émotionnels inexprimables. Les conflits émotionnels connaîtront une escalade exponentielle entre les individus, les groupes, les pays. Les médicaments qui stoppent les états émotionnels authentiques deviendront de plus en plus populaires.

A un niveau vibratoire, nous pourrons nous sentir "spirituellement déconnectés" ou alors de plus en plus éveillés, en fonction de ce à quoi notre attention sera ancrée.

Les médias, et tout ce qui dans notre famille humaine est focalisé sur les "effets", auront leur attention première concentrée sur les conséquences physiques de l'activité solaire. Parce-que leur réaction à cette situation ne sera pas unifiée, et donc par conséquent manquera d'information, cela causera de la peur. Les gens envisageront de construire des bunkers sous-terrains et des abris pour se protéger du soleil. Certains gouvernements sont déjà au courant de ce cycle solaire à venir et vous pouvez être sûrs que des actions sont menées pour construire des complexes sous-terrains dans l'espoir que certains groupes sélectionnés puissent survivre à ce nettoyage solaire imminent. Il n'y a aucun endroit où se cacher parce-que rien ne nous pourchasse à part nous-mêmes.

Pour la plupart, notre famille humaine aura du mal à établir une connexion entre l'augmentation des tâches solaires et les vagues d'inconfort conséquentes à un niveau physique, mental, émotionnel et vibratoire. Le but de cet article est donc de devancer ces situations de façon à nous y préparer en donnant un aperçu simple sur ce qu'il va se passer, sur comment cela nous impacte personnellement, et sur ce que nous pouvons initier pour consciemment répondre à ce nettoyage solaire. Intégrer cette information fera décroître notre peur, nous donnera la capacité de suivre consciemment en synchronicité cet évènement extraordinaire, et donc, à travers notre exemple individuel, nous permettra d'assister ceux qui se trouveront dans notre champ d'expérience.

La meilleure façon de réaliser le but de cet article est de présenter une revue détaillée de ce qui va se dérouler au fur et à mesure que le soleil procèdera au nettoyage par le biais de ses éruptions solaires. Nous commencerons par le soleil et nous considèrerons notre cheminement à partir de là.

Pour commencer, le soleil n'est la "cause" de rien; le soleil est un effet d'une activité qui vient d'un niveau d'existence vibratoire plus profond. Le soleil est énergie en mouvement (energy in motion = e-motion) et de ce fait il est le centre émotionnel de notre système solaire. Le soleil est une externalisation de notre Centre du Coeur collectif et individuel. C'est le Chakra du Coeur de la famille que constitue notre système solaire. Quand il devient actif, cela signifie qu'une communication arrive depuis le domaine vibratoire. Tout comme notre Centre du Cœur est le portail à travers lequel nous communiquons et recevons de l'information du domaine vibratoire, le soleil joue ce rôle pour l'entière entité vivante que nous appelons "notre système solaire". La perspective que "notre soleil nous fait cela à nous" est donc incorrecte.

Il fut un temps où nous croyions que le soleil tournait autour de la Terre, puis nous nous sommes éveillés à la réalité que c'était la Terre qui tournait autour du soleil. Pendant longtemps nous avons également cru que le soleil était le point causal de la vie sur Terre. Il est maintenant temps de réaliser que le soleil transmet simplement l'information, comme un portail, depuis le point causal vibratoire de toute vie. L'information qu'il transmet nous permet de nous mouvoir "en formation" avec le but vibratoire que la Vie a pour notre système solaire. Quand nous ne sommes pas conscients de l'activité solaire, quand nous sommes ignorants de ses cycles, nous ne pouvons pas comprendre l'intention de la pulsion de la Vie au sein de notre système solaire.

Beaucoup de cultures perçoivent le soleil comme le point causal de leurs expériences; nous entrons maintenant dans une phase de transformation de conscience dans laquelle nous allons être invités à embrasser une perspective plus large que cela: Le soleil est simplement "un portail" dans le point causal de toute vie. C'est donc une erreur de perception que de clamer que "le soleil essaie de nous faire du mal". Croire cela est la même chose que de croire que le soleil se déplace d'est en ouest dans notre ciel.

Le soleil, comme une radio ou une télévision, ne fait rien de son propre chef; c'est un système neutre de communication qui doit être activé depuis le domaine vibratoire pour toutes ses activités. Quand le soleil manifeste une éjection de masse coronale qui est dirigée vers la Terre, cela signifie que de l'information nous est délibérément délivrée depuis le domaine vibratoire. Quand nous entrons dans la peur, nous nous fermons à cette transmission et nous sommes donc incapables de digérer ce qui est communiqué. En l'espace de peu de temps, généralement environ deux jours après que l'éjection de masse coronale ait été vue sur la surface du soleil, la Terre connaît des tempêtes magnétiques. C'est à cette jonction que les conséquences physiques de l'évènement solaire nous impactent. Cela peut aller des dommages aux satellites et aux interruptions dans les systèmes de communication et d'électricité jusqu'à une activité climatique, volcanique et sismique sans précédent.













La Terre est inondée de radiation et cela est visible sous la forme d'"aurores", de jeux de lumière, qui douchent la Terre depuis l'hémisphère Nord. Ce phénomène est aussi connu en tant que "Lumières du Nord", et dans les prophéties scripturales, en tant que "lumières dans le ciel". Parce-que nos avancées technologiques basées sur l'externe l'emportent maintenant sur toute tentative de développer des systèmes de communication internes (visions et intuition), nous dépendons maintenant totalement du téléphone, plutôt que de la télépathie. Nous sommes également totalement dépendants de l'Internet qui recouvre l'infinie sagesse intérieure de la conscience universelle. Le téléphone est la télépathie externalisée, tout comme Internet est la conscience universelle externalisée. Il n'y a pas de problème à l'externalisation de ces capacités internes; cela le devient quand nous devenons dépendants de leurs formes externes au point d'effacer toute conscience des noyaux internes qui en sont à l'origine. Nous entrons alors dans des expériences manquant d'équilibre et qui sont auto-destructrices. Ces déséquilibres spécifiques, parmi beaucoup d'autres, seront réparés pendant le nettoyage solaire auquel nous faisons face.

Alors que les communications externes seront interrompues et coupées nous devrons plutôt nous éveiller, et commencer à utiliser et à faire confiance à leurs équivalents internes, ou nous serons complètement déconnectés. Les conséquences d'une déconnexion totale sont que nous faisons des choix qui sont auto-destructeurs. Nous nous sommes installés de façon massive dans certains endroits de la Terre, conduits par l'appât du gain et sa justification mentale, ignorant la nature de la Terre en tant qu'être vivant. C'est l'une des raisons pour laquelle nous ne pouvons pas entendre les communications qui nous arrivent depuis le vibratoire: nous avons connecté les sens de la Terre au concret, tout comme nous avons connecté les nôtres au bruit extérieur, à la distraction, et à la dépendance au physique. Ces circonstances sont sur le point d'être réalignées par de brusques changements terrestres, et par des vagues inattendues d'eau et de perturbations climatiques. Si nous "écoutons" nous serons informés que nous devons nous déplacer avant de tels évènements. Si nous vivons d'une façon déséquilibrée et alignée sur "l'externe", à travers les téléphones portables et les jeux électroniques, il est peu probable que nous percevions ces communications internes. Aucune des conséquences physiques des éruptions solaires n'a pour but de nous faire du mal; nous nous le faisons déjà à nous-mêmes. Les conséquences physiques des éruptions solaires sont la pilule amère que l'enfant de Dieu doit avaler parce-qu'il expérimente un état de maladie qu'il s'inflige lui- même. L'activité du soleil ne perturbera que "nos agendas personnels". Quand nous nous éveillerons au but empli de Grâce de l'intention vibratoire de cette activité solaire, nous serons reconnaissants que ce portail puisse être disponible pour être utilisé de telle façon que la lumière puisse être apportée à notre ignorance et les obstacles nécessaires, à notre arrogance.

Il n'y a rien que nous puissions ou ayons besoin de faire maintenant concernant les ajustements physiques qui sont sur le point d'arriver et qui se déroulent déjà à travers la planète Terre. Si nous tentons d'entrer dans cette expérience par le biais de la réaction, nous entrerons dans la peur. La planète n'a pas besoin d'être "sauvée par nous", nous n'avons pas non plus besoin de "sauver ou d'être sauvés par quelqu'un d'autre". Tout ce qui est requis est un ajustement de notre conscience au point causal de notre expérience. Faites cet ajustement et entrez dans "le flux."

Dans les jours suivants l'activité géomagnétique, nous connaîtrons de plus en plus de vagues de confusion mentale et de débordements émotionnels. Cette activité se poursuivra et s'intensifiera au delà de trois semaines après chaque éruption solaire qui impactera la Terre. C'est dans ce domaine de notre expérience que nous avons une possibilité de répondre et donc de travailler avec le nettoyage solaire. Ce que nous n'avons pas encore réalisé, c'est qu'il y a une relation directe entre les tempêtes géomagnétiques initiées par les éruptions solaires et le fonctionnement des blocs mémoires individuels et collectifs. C'est pourquoi nous connaîtrons d'abord la confusion mentale après ces tempêtes; une situation où ce qui paraissait clair - au niveau des souvenirs - entre dans un état de turbulence.

Mais cela va plus loin: Notre mémoire fonctionne comme un aimant, nous attirons les souvenirs que nous aimons, dont nous avons besoin, et qui nous sont utiles, et nous repoussons les souvenirs que nous n'aimons pas, que nous ne voulons pas expérimenter, et qui nous causent de la peur, de la colère et du chagrin. Nous sommes tous devenus des experts en mémoire sélective, supprimant certains souvenirs au point où nous ne sommes même plus conscients que nous les avons en nous. Et ce n'est pas tout: Parce-que nous sommes devenus des êtres essentiellement mentaux, beaucoup des souvenirs causaux qui sont responsables d'avoir imprimé sur notre corps émotionnel des schémas dysfonctionnels ne nous sont plus consciemment accessibles parce-qu'ils sont devenus de pures signatures énergétiques. Nous ne pouvons lire ou identifier ces mémoires causales parce-qu'il n'y a plus de concepts qui y soient rattachés, et donc nous les mettons en "dossier classé"; comme une information inutile qui nous paraît sans rapport avec notre expérience de vie du moment.
De plus, parce-que la conscience de notre corps émotionnel(la perception à travers le ressenti)est en grande partie éteinte, nous n'avons pas les moyens d'interagir consciemment avec ces mémoires causales, même si nous le voulons.(Cette situation difficile est ce que "Le Processus de la Présence" - "The Presence Process" - aborde et permet de surmonter.) Toutefois, ce n'est pas juste parce-que ces mémoires ne nous sont pas consciemment accessibles qu'elles n'impactent pas notre expérience de vie 24 heures sur 24; tous nos comportements qui sont caractérisés par le besoin et l'envie, par l'égoïsme, par les projections de peur, de colère et de chagrin, sont déclenchés directement par ces mémoires causales. Ce que nous expérimentons dans ce monde est en état de conflit parce-que nous, en tant qu'humanité collective, sommes conduits inconsciemment à un comportement de réaction les uns envers les autres et envers notre environnement par ces mémoires supprimées et inaccessibles. Les comportements déclenchés par ces mémoires, qui se transmettent de génération en génération par le biais du conditionnement émotionnel dans l'enfance, sont responsables de toutes les guerres, des conflits religieux, de la pollution, du crime, et de tous les aspects dysfonctionnels de l'Humain.

Notre défaut actuel est que, en grande partie à cause de notre manque de conscience émotionnelle, nous n'avons pas la capacité de percevoir cette situation difficile que ce soit à un niveau individuel ou collectif. En conséquence, nous nous comportons comme si nos expériences et nos situations actuelles reposaient sur les paramètres mentaux et physiques de notre expérience; nous pensons en fait que si nous pouvons changer notre façon de penser, ou arranger notre situation physique actuelle à travers la force et la technologie, nous pourrons rétablir l'équilibre. C'est à cette fausse idée spécifique, à ce virus perpétuel, que le nettoyage solaire vient s'adresser. Ce moment de Grâce imminente pour l'humanité, qu'est cette activité solaire à venir, a été prévu et prédit par nos Voyants depuis des siècles. Cependant, quand ils ont essayé de l'expliquer à leurs pairs, ils ont été incompris parce-que l'humanité n'appréhende les choses que par le biais des paramètres de son expérience personnelle du moment. C'est pourquoi "Le Processus de la Présence" est un outil tellement important; il élargit les paramètres de notre expérience personnelle pour que nous puissions comprendre par l'expérience la séquence d'évènements suivants:
Entrer dans un comportement inconscient est inévitable dans ce champ dense de matière et donc le domaine vibratoire met en place des opportunités cycliques pour tout ce qui est dans cette expérience afin de périodiquement procéder à un nettoyage de la perception, et à un réveil en conséquence de la conscience vibratoire que ce nettoyage déclenche.

















Cette procédure se déroule en fait à l'intérieur, mais tous ceux qui ont une conscience physique externalisée et qui sont donc dépendants de la croyance que l'aspect physique de l'expérience est le point causal de la vie, perçoivent ces évènements comme se produisant "là-bas". La réalité est que ce qui paraît prendre place "là-bas" sur le soleil est simultanément en train de se produire dans le chakra individuel et collectif du coeur humain. Le champ vibratoire déclenche ces séquences d'évènements de nettoyage de la perception en transmettant une intention de nettoyer au soleil. Dans notre système solaire, et dans notre expérience externalisée, nous vivons cette transmission comme un comportement soudainement explosif de notre soleil; quand les tâches solaires desquelles sortent des éruptions sont dirigées vers la Terre. Ces éruptions, entre autres choses, impactent le champ magnétique terrestre causant des tempêtes géomagnétiques. Parce-que le champ magnétique humain, collectif et individuel, est inséparable du champ magnétique terrestre, une tempête géomagnétique se répand sur la surface de la Terre et simultanément dans le chakra du coeur de la conscience humaine, collective et individuelle.

Cette activité court-circuite notre capacité individuelle et collective à être sélectifs concernant quelles mémoires nous choisissons de reconnaitre et quelles mémoires nous choisissons de supprimer.
 
 
Cela provoque le début de l'émergence des mémoires refoulées dans notre champ conscient; des mémoires plus anciennes que n'importe quelle archive actuel le.Parce-que notre conscience est externalisée de façon addictive, nous ne percevons pas ces mémoires émergentes comme des "images dans nos têtes", mais plutôt comme une activité "à l'extérieur de nous" qui provoque de l'inconfort; ces mémoires refont surface en tant que conflits extérieurs croissants et en tant que situations dans l'expérience de notre monde qui nous causent de la peur, de la colère et du chagrin.
Parce-que la conscience de notre corps émotionnel est éteinte nous percevons tout d'abord ces mémoires émergentes comme "une sensation de confusion mentale" et nous interagissons avec elles en conséquence.

Lorsque l'on tente de supprimer ces mémoires émergentes, de quelque manière que ce soit -ce que nous faisons en réagissant par habitude- notre corps est physiquement atteint. Cette résistance cause une friction interne qui provoque de la chaleur. Il fait aussi chaud qu'en Enfer. En conséquence, en l'espace de trois semaines d'activité solaire, les maladies cardiaques et les attaques cérébrales augmentent s'accompagnant de démonstrations de débordements émotionnels extrêmes chez les individus. C'est aussi pendant cette période que les personnes âgées se retrouvent en état de maladie chronique et meurent. C'est aussi pendant cette période que les personnes qui sont en pleine santé à tous points de vue manifestent soudain des symptômes inattendus de maladie. La plupart des gens ne perçoivent pas que leur rencontre soudaine avec des conflits extérieurs ou avec l'inconfort corporel est un reflet d'une sensibilité soudainement exacerbée aux authentiques conditions de leur propre corps émotionnel.

Bien qu'exprimées comme différents états de conflits externes, ou comme de la confusion mentale, ou comme des éruptions soudaines de maladies physiques, ceci ne constitue pas l'identité réelle des mémoires profondément refoulées qui émergent; il y a une signature émotionnelle qui sous-tend ces expériences.
 
 
En d'autres mots, les énergies à l'intérieur du corps émotionnel qui ont été bloquées, refoulées, ou qui ont été dysfonctionnelles, sont déclenchées directement par les éruptions solaires pour qu'elles puissent entrer dans notre champ conscient et être intégrées avec compassion. L'intégration consciente de ces dysfonctions émotionnelles jusqu'alors inaperçues neutralise le comportement destructeur qui est au point causal de tout conflit humain collectif et individuel. Ceux qui ne peuvent pas intégrer ces signatures émotionnelles émergentes vont soit expérimenter une panne de leur corps physique, au point où leur conscience ne pourra plus rester avec lui, ou vont réagir de façon auto-destructrice aux mémoires qui se reflèteront à l'extérieur et entreront en lutte avec les illusions que ces signatures émotionnelles émergentes reflèteront sur leur expérience externe. C'est ce qu'est le conflit.













De cette façon, soit par la désintégration du corps, ou par des conflits auto-destructeurs avec les autres, tous ceux qui vivent à partir d'une illusion(étant conduits inconsciemment par des mémoires non-intégrées) et qui ne peuvent se réveiller eux-mêmes de leur comportement aveugle, seront délibérément et systématiquement retirés de la scène de l'expérience humaine. Les voyants du passé et des cultures actuelles ont annoncé que de cette façon il était possible que nous connaissions la disparition de un à deux tiers de la population mondiale, causée par des projections réactives à ce nettoyage; à savoir, par la maladie et le conflit.

Ceux qui répondront consciemment au nettoyage solaire en prenant la responsabilité de leur expérience, en nettoyant leur corps émotionnel de façon à pouvoir rester dans la clarté mentale et la présence physique, seront transportés vers un état d'Etre sur Terre dans lequel nous reconnaîtrons à nouveau collectivement le domaine vibratoire en tant que point causal de toute vie. C'est de cette façon que L'Age d'Or démarre toujours; non à travers l'accomplissement de la technologie humaine, ni par le remplissage du cerveau humain avec des idées et des concepts, ni par la dissection du monde physique pour comprendre son fonctionnement.

L'Age d'Or est toujours initié par les éruptions solaires (dieu en couleur) nettoyant l'énergie des dysfonctions de génération qui sont à l'intérieur de nous et qui nourrissent l'erreur de perception.

Ce que cela signifie, c'est que peu importe que nous soyons riche ou pauvre, instruit ou non, ayant un statut social ou non, et que nous nous considérions "spirituel" ou non. Peu importe aussi que nous soyons Asiatique, Européen, ou Américain. Peu importe que nous soyons Juif, Chrétien, Musulman, Hindou, ou athée. Peu importe que nous soyons démocrate, républicain, communiste, ou écologiste. Peu importe que nous soyons un intellectuel, un couturier, un militaire, ou un marin. Aucune de nos façades et aucune de nos croyances sur nous-mêmes et sur les idées que nous nous faisons de Dieu ne peuvent nous sauver d'avoir à faire face aux véritables conditions de nos propres coeurs.

La seule réponse qui peut nous sauver à travers et au-delà de cette expérience c'est l'honnêteté: être honnête avec nous-mêmes concernant les conditions véritables de notre propre coeur. Peut-être croyons-nous que nous pouvons continuer à cacher au monde des parts de nous-mêmes, pourtant, comme Dieu, le soleil ne se soucie pas de ce que nous croyons. Ce nettoyage solaire favorise seulement ce qui est vrai; ce qui est authentique, l'intégrité, et celui qui est capable de devenir aussi nu et vulnérable qu'un enfant pour qu'une pure intimité avec toute la création puisse être rétablie. Il n'y a pas besoin non plus de chercher à s'abriter de ce nettoyage solaire, puisque si nous sommes dans un corps humain, nous sommes équipés d'un champ magnétique personnel, et ce champ magnétique est intimement connecté à celui de la Terre, et le champ magnétique de la Terre répond précisément aux transmissions émises à travers le soleil. Nous aurons beau creuser la terre profondément, nous serons toujours sur la surface de la Terre. Essayer de s'échapper de cette expérience c'est comme essayer de s'échapper du battement de notre propre coeur, ou de notre respiration, ou du sang qui coule dans nos veines; un tel comportement réactif est futile.

Il y a beaucoup de façons de réagir dans la peur à cette situation difficile, et nous devrions les voir toutes se produire de plus en plus sur cette planète. Pourtant, il n'y a qu'une seule réponse consciente: de façon symbolique, se tourner et faire face au soleil, écouter, et absorber. En d'autres mots, se tourner vers l'intérieur et faire face aux conditions véritables de notre coeur, l'écouter, et absorber la peur, la colère, et le chagrin que nous nous sommes cachés à l'intérieur de nous-mêmes. Comme le soleil, notre coeur nous parle à travers notre douleur. Il dit: " Résiste à cette douleur émergente à l'intérieur de toi et tu brûleras dans les flammes de la friction conséquente à un tel comportement réactif. Fais plutôt face à la douleur et demande: 'Que me dis-tu, apprends-moi à écouter.' "

Quand nous nous ouvrons à cette expérience, quand nous travaillons de façon responsable avec nos malaises émotionnels avec l'intention d'intégrer tout cet inconscient qui émerge, nous découvrons que, comme les impulsions qui viennent de l'intérieur de notre Centre du Coeur, ces transmissions solaires sont empreintes d'intuition et d'information profondes. Elles nous activent; les rayons émis de notre soleil en tant qu'éruptions solaires nous "éclairent" tout comme la libération des états émotionnels le fait.

Ce nettoyage solaire imminent est un magnifique reflet de ce qu'il se passe au coeur même de notre être, individuellement et collectivement.

Si notre coeur est bloqué, les mots de Dieu apparaissent sous la forme de la douleur. Quand nous nous accrochons au passé, ceux qui voudraient nous délivrer nous apparaissent comme des démons. Quand nous ouvrons notre coeur, les mêmes transmissions deviennent des hymnes chantés délibérément pour réveiller nos âmes d'un long hiver, froid et solitaire. Et l'hymne nous dit: "Little darling, tout va bien".

De plus, avant d'adhérer à n'importe quelle superstition héritée d'anciennes cultures, rappelons-nous que tout ce que nous avons pu observer sur toute civilisation avant nous a été "le récit de la décence dans l'ignorance". Nous ne savons rien des Egyptiens à leur point culminant, ni des Toltèques, ni des Mayas ou des Aztèques à leur point culminant. Nous pensons seulement le savoir. Nous ne pouvons percevoir la nature d'une civilisation à son point culminant que lorsque nous y sommes nous aussi, et ce n'est pas encore le cas.

Quand les civilisations entrent dans ce cycle récurrent de nettoyage solaire, que certains disent arriver tous les 13 000 ans, ceux qui répondent consciemment à un tel moment accèdent à des dimensions qui sont incompréhensibles aux êtres figés dans la matière. De tels êtres "s'élèvent" de façon métaphorique et laissent derrière eux ceux qui s'en sont sortis pendant le nettoyage solaire mais qui n'ont pas la capacité d'"être à la hauteur". Ces populations restantes continuent et vivent dans l'ombre de "ce qui a été mais qui n'est plus". Ces populations-vestiges sont les groupes de gens que l'on continue de découvrir. C'est la condition dans laquelle les Espagnols découvrirent les Mayas et dans laquelle les Anglais découvrirent les Natifs Américains. Ces groupes de survivants d'anciennes civilisations détiennent encore les vestiges de la connaissance du nettoyage solaire, mais à cause de la densité du monde physique, ils ont inévitablement recours à un comportement où "l'expérience physique est le point causal de la vie"; donc cette connaissance devient encore une fois externalisée et enveloppée de rituels et de cérémonies externes. Ils croient donc par erreur en un "Dieu Soleil", au lieu de croire en "L'Enfant de Dieu" que nous sommes tous. Par conséquent, les Mayas qui n'ont pas suivi leurs Ancêtres Ascensionnés ont fait des rituels de sacrifice pour honorer le Dieu Soleil pour que la vie continue. Ils se sont retrouvés perdus dans la métaphore qu'ils ont externalisée de façon ignorante en rituels physiques.

Le soleil ne nous demande pas de faire des rituels pour continuer à vivre; en tant que portail de communication vibratoire, il nous transmet le message que nous devons sans délai regarder profondément à l'intérieur de nous, et prendre la responsabilité de la condition de notre propre cœur pendant que nous sommes encore vivants dans ce corps, pour que nous puissions consciemment nettoyer les blocages énergétiques qui nous empêchent de comprendre que l'aspect vibratoire de notre expérience est le point causal de toute vie.

Une fois que nous avons réalisé cette Vérité par l'expérience, nous savons que ce que nous sommes ne peut jamais mourir; nous renaissons alors dans une conscience de vie éternelle. Le soleil n'essaie pas de nous faire du mal,; ne croyez pas les gardiens de "la conscience de destination" - ceux qui ne peuvent que "voir et finir". Ne réagissez pas à la peur qui découle de l'ignorance; répondez plutôt à la Grâce qui baigne l'humanité de façon grandissante depuis le coeur vibratoire de tout ce qui est la Vie. Ressentez ce qui est vrai et guérissez.

Retirez votre coeur de l'endroit où vous l'aviez caché pendant que vous êtes encore vivants et faites le travail intérieur dont vous serez bénis de la conscience de votre soi authentique. Faites ce sacrifice sur l'autel antique de votre propre expérience pour que votre conscience puisse transcender les limitations de la matière et entrer dans la danse illimitée de la conscience de l'immortalité.

Il est essentiel que nous développions une relation consciente avec le soleil avant que les médias n'entrent dans le jeu et ne commencent à nourrir notre relation inconsciente avec lui. C'est facile à faire.

Entrez dans vos "Favoris" les deux sites suivants:
 
Ce site est très utile parce-qu'il fait le rapport de l'intensité de l'activité solaire et géomagnétique. D'un coup d'oeil on peut voir ce qu'il se passe. Si quelque chose se produit et que nous ayons besoin de plus de détails dans un langage accessible, nous pouvons aller à:
 
On peut y trouver de courts articles sur la météorologie spatiale du moment écrits en langage facilement compréhensible, ainsi que de magnifiques images. Si une grosse éruption solaire est en cours, le site met à jour régulièrement l'information et couvre les conséquences physiques diverses de l'évènement.

En surveillant les tâches solaires, les éruptions solaires et les tempêtes géomagnétiques subséquentes, et donc notre propre correspondance physique, mentale et émotionnelle à cette activité, nous commençons à voir "un schéma de conséquences". Cela nous permet de comprendre que ce n'est pas quelque chose "qui nous arrive sur lequel nous n'avons pas de contrôle", ou "qui n'a rien à voir avec notre expérience de vie quotidienne". Nous sommes tous intimement connectés les uns aux autres, à cette Terre, et au point causal vibratoire depuis lequel tous les courants de vie arrivent. Se badigeonner de crème solaire n'y changera rien.

Nous sommes responsables de notre expérience à la hauteur où nous choisissons de l'être. Dans le même ordre d'idée, nous sommes libres à la mesure du niveau de responsabilité que nous choisissons.

© Mikael Brown
 
 

18/06/2010

La NASA prévoit une grande dévastation pour 2012/2013.

 

Nous y voilà avec la NASA qui avait pris la peine de démentir la véracité du film "2012", mais qui prend la peine désormais de prévoir une grande dévastation pour 2012/2013 à cause de tempêtes magnétiques solaires jamais vues auparavant. Ce que la NASA a oublié de dire, c'est que ces tempêtes magnétiques solaires sont déjà en cours, que la Terre a déjà commencé à inverser ses pôles magnétiques depuis 1970, que la résonance magnétique de la Terre se rapproche de 13 Htz (le point zéro de l'éveil) et que nous attendons en prime un alignement planétaire en Croix en cours de formation depuis fin 2008 et dont l'apogée se fera connaître le 7 août 2010. Que Nibiru ou Nemésis se rapproche de nous avec son cortège d'astéroïdes. Et chose encore plus importante, que le réchauffement climatique soi-disant dû à l'homme est non seulement cosmique, mais que l'ensemble de notre système solaire est actuellement en train d'ascensionner vers le centre de la galaxie. Nous nous trouvons actuellement dans les turbulences de la bande photonique ou anneau de lumière du Grand Soleil Central Alcyone que nous devons traverser lors du saut quantique prévu lors de l'alignement galactique du 21 décembre 2012.

Préparons-vous dès maintenant à ces grands changements en demandant l'aide des êtres de Lumière et que la lumière soit déversée sur nous et sur l'ensemble de notre système solaire.

Oublions nos différences et nos religions qui ont été créées par les hommes pour nous diviser et instrumentaliser les guerres de religions au profit des élites Illuminati-Reptiliens et leur Nouvel Ordre Mondial, car nous sommes tous enfants de Dieu. Il n'y a que l'AMOUR Universel qui pourra sauver l'humanité et lui permettre d'ascensionner vers une autre dimension cosmique.

Réveillons-nous !  Nous sommes les témoins de notre évolution neurologique et spirituelle, preuve de notre immortalité ! Notre civilisation doit disparaître pour devenir la race du 5ème règne et la civilisation du 5ème soleil. Ce que les élites  nous cachent et essaient d'empêcher en réduisant la population mondiale par tous moyens (vaccination criminelle, provocation artificielle de cataclysmes et empoisonnement (Haarp et chemtrails), OGM, marées noires, guerres génocidaires et atomiques,  empoisonnement de l'eau, des mers et des océans, la famine en ayant savamment orchestré la soi-disant crise financière mondiale et la crise économique qui s'en suit depuis lors, pollutions magnétiques, etc... Réveillons-nous et mettons dehors nos prédateurs, les Illuminati-reptiliens, les Maîtres du Monde !

Ci-dessous, un message d'Isabelle du site Conscience du Peuple.

-------------------------------------------

Bonsoir,

Nous avons entendu toutes sortes de prédictions sur l'année 2012. Cependant, les sources sont souvent douteuses ou manquent de supports scientifiques pour que l'on puisse considérer une telle possibilité.

La NASA a même construit une page web, suite à la sortie du film 2012, pour démentir le mythe de la "Fin du monde" en 2012 et pour tenter de rassurer la population:
http://clicks.aweber.com/y/ct/?l=Ia5hV&m=JDR9zHcBRcDV...

Voilà qu'en ce mois de juin 2010, la possibilité d'une catastrophe entre l'année 2012 et  2013 est évoquée par la NASA:

Selon une agence de scientifiques de la NASA, la terre sera frappée, à partir de 2012, par un niveau d'énergie magnétique jamais vu auparavant.  Selon eux, le soleil se réveillera d'un profond sommeil et son activité intense (tempêtes solaires) risque de perturber gravement toutes les technologies électroniques, les systèmes de navigation, les banques, les équipements médicaux, les communications satellites, etc.

Les conséquences pourraient être catastrophiques selon eux si des précautions ne sont pas prises tout de suite.  Cent millions de dollars viennent d'être votés pour protéger toutes ces infrastructures.

Voici mes sources:

Article dans le journal "Telegraph" du 14 juin 2010:
http://clicks.aweber.com/y/ct/?l=Ia5hV&m=JDR9zHcBRcDV...

Article de "Fox News" le 10 juin 2010:

http://clicks.aweber.com/y/ct/?l=Ia5hV&m=JDR9zHcBRcDV...

Le web est actuellement un outil extraordinaire pour échanger de l'information et pour avoir un contact privilégié avec certaines personnes.  Cet outil de communication est toutefois un obstacle dans la mise en place d'une dictature mondiale puisque les groupes
de résistance peuvent communiquer et s'organiser via internet.

Une loi permet maintenant à Obama de "fermer la switch" de l'internet sous prétexte d'une urgence nationale.  Ce qui veut dire que du jour au lendemain, sous une fausse bannière, nos connections internet peuvent être interrompues pour un temps indéterminé.

Il s'agit de la loi "Protecting Cyberspace as a National Asset Act"
(PCNAA).

Nous aurons raison de nous inquiéter lorsque nos ordinateurs ne pourront plus se connecter... 

En ce qui concerne le déversement de pétrole, il semble que trois options restent possible: une explosion nucléaire ou une évacuation massive des populations ou bien, une explosion nucléaire suivie d'une évacuation massive des populations!

Selon certains "insiders", la fuite de pétrole montrerait des caractériques d'un volcan souterrain qui menace d'exploser dans les semaines à venir.  Selon eux, si une explosion volcanique se produisait, un tsunami géant (400-600 miles à l'heure) serait inévitable et capable de balayer l'État de la Floride en quelques instants...

Soyons sur nos gardes, profitons de la vie, aimons-nous encore plus et implorons Dieu de nous protéger dans toutes ces choses.

Isabelle

"Quand vous entendrez parler de guerres et de soulèvements, ne vous effrayez pas. Car tout cela doit arriver d'abord ; mais la fin du monde ne viendra pas aussitôt après. Puis il ajouta : -- On verra se dresser une nation contre une nation, un royaume contre un autre. Il y aura de grands tremblements de terre et, en divers lieux, des famines et des épidémies séviront ; des phénomènes terrifiants se produiront et, dans le ciel, des signes extraordinaires apparaîtront". (Luc 21.8-11).

"Il y aura des signes extraordinaires dans le soleil, la lune et les étoiles. Sur la terre, les peuples seront paralysés de frayeur devant le fracas d'une mer démontée. Plusieurs mourront de peur dans l'appréhension des malheurs qui frapperont le monde entier, car les puissances célestes seront ébranlées. Alors on verra le Fils de l'homme venir dans les nuées avec beaucoup de puissance et de gloire". (Luc 21.25-27).


Isabelle
webmaster@consciencedupeuple.com

Blog concernant le plan et les stratégies de l'élite mondiale pour instaurer un Nouvel Ordre Mondial:
http://consciencedupeuple2007.blog.mongenie.com/

Blog concernant les dangers scientifiquement prouvés des vaccins:
http://vaccinh1n1.blog.mongenie.com/

08/07/2009

Nibiru : Hercolubus ou planète rouge

Un message pour l'humanité du Maître Rabolú ?

Une vidéo extraite de ce site :

http://www.hercolubus.tv/francais.html

HERCOLUBUS : LA PLANÈTE DE LA FIN DU MONDE

http://www.youtube.com/watch?v=XukXN1xiT88

 

Le message de l'association Alcione

COLLABORER AVEC NOUS

L’Association Alcione est un organisme sans but lucratif. Toutes ses activités se déroulent de manière altruiste, sans en tirer aucun bénéfice économique.

L’unique but de l’Association Alcione est la distribution internationale du livre « Hercolubus ou Planète rouge » du Maître Rabolú.

Sa principale activité consiste en l’envoi gratuit de livres à n’importe quel endroit du monde, en espérant faire connaître ce message universel à toute personne intéressée, sans aucune distinction.

Si vous pouvez nous aider à faire connaitre le livre « Hercolubus ou Planète rouge » à vos proches et ami(e)s, nous vous en serons très reconnaissant.

Si vous souhaitez participer à la diffusion du message du Maître Rabolú, et maintenir une plus grande collaboration avec nous, vous pouvez nous écrire à l’une de ces adresses :

Par courriel :

infohercolubus@yahoo.es

Par la poste :

Association Alcione
Apartado de correos 4
09080-Burgos (Espagne)

 


18/06/2009

Changements climatiques et Droits de l'homme

Le Conseil des droits de l'homme tient une réunion-débat sur les changements climatiques et les droits de l'homme

Source: United Nations Human Rights Council

Date: 15 Jun 2009

Conseil des droits de l'homme
APRES-MIDI 15 juin 2009


Le Conseil des droits de l'homme a tenu, cet après-midi, une réunion-débat sur les changements climatiques et les droits de l'homme, conformément à une décision qu'il avait prise lors de sa session de mars dernier de manière à contribuer à la mise en œuvre des objectifs énoncés dans le Plan d'action de Bali, adopté en décembre 2007 par la Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques.

Le Conseil a entendu dans ce cadre les déclarations d'introduction prononcées par la Haut-Commissaire adjointe aux droits de l'homme, Mme Kyung-wha Kang, et par le Directeur des affaires juridiques du Secrétariat de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, M. Feng Gao. Quatre panélistes ont ensuite ouvert le débat: M. Atiq Rahman, Directeur exécutif du Centre d'études avancées du Bangladesh; M. Dalindyebo Shabalala, du Bureau de Genève du Centre pour le droit international environnemental; Mme Raquel Rolnik, Rapporteuse spéciale sur le droit à un logement convenable; et M. John Knox, de l'Université de Wake Forest.

Ces interventions ont mis l'accent sur les incidences des changements climatiques causés par l'homme sur la pleine jouissance des droits de l'homme, en particulier parmi les groupes de population vulnérables; sur la manière dont les principes et obligations relatifs aux droits de l'homme peuvent venir renforcer les politiques menées aux niveaux national et international dans le domaine des changements climatiques; sur le rôle des procédures spéciales du Conseil lorsqu'il s'agit de traiter de l'impact des changements climatiques sur les droits de l'homme; ainsi que sur les défis posés par les changements climatiques du point de vue de l'architecture internationale des droits de l'homme. M. Gao a notamment souligné que la communauté internationale se trouvait actuellement dans une phase cruciale qui a débuté avec l'adoption du plan d'action de Bali en décembre 2007 et qui se conclura à Copenhague en décembre cette année, avec la perspective de recueillir le soutien financier et technologique nécessaire pour permettre aux pays en développement de mettre en œuvre des mesures pour atténuer les effets des changements climatiques et de s'y adapter.

Ont pris part au débat les délégations des pays ci-après: Maldives (au nom de plusieurs États insulaires en développement puis en son nom propre), Azerbaïdjan, Israël, Philippines, Thaïlande, Inde, Maurice, Nouvelle-Zélande, Bangladesh, Fédération de Russie, Royaume-Uni, Finlande, Chine, Pakistan, Émirats arabes unis, République tchèque (au nom de l'Union européenne), Brésil, Costa Rica, Bhoutan, Indonésie, Uruguay, Suisse, Slovénie, Tchad, Cuba, Canada, Algérie, Monaco, Turquie, Allemagne, Australie, États-Unis, Mexique, Bolivie et Maroc.

La Commission européenne a également fait des déclarations, ainsi que les organisations non gouvernementales suivantes: Worldwide Organization for Women (au nom également de l'Association des femmes du pacifique et de l'Asie du Sud-Est; Conseil international des femmes; Cercle mondial du consensus; Fondation Friedrich Ebert; CIVICUS: Alliance mondiale pour la participation des citoyens et Nord-Sud XXI.

Nombre d'intervenants ont souligné que les pays en développement – et a fortiori les petits pays insulaires – sont ou seront les plus durement affectés par les effets des changements climatiques. L'accent a aussi été mis sur l'impact croissant que ces changements ne manqueront pas d'avoir sur les déplacements de populations à travers le monde, certains orateurs préconisant la négociation d'instruments juridiques pour anticiper les conséquences des changements climatiques sur les exodes de populations. Les changements climatiques sont sources de violations de nombreux droits de l'homme, au nombre desquels les droits à la vie, à l'eau, à l'alimentation, au logement et à la santé, a-t-il été souligné. Face à cette situation globale, la solution passe incontestablement par une réponse globale faisant appel à la coopération internationale, a-t-il été rappelé, notamment dans le contexte de la Conférence des parties à la Convention-cadre sur les changements climatiques en décembre prochain. Une intervenante a fait part de sa crainte que les négociations en vue de cette Conférence ne traitent pas de manière suffisante de la protection des droits de l'homme. Il a par ailleurs été suggéré que le Conseil envisage un nouveau mandat consacré aux droits de l'homme et les changements climatiques, a-t-il été souligné.

Cette réunion-débat a permis de mettre davantage en lumière la relation existant entre changements climatiques et droits de l'homme et de souligner combien les droits de l'homme apportent une perspective importante à l'action nationale et internationale visant à remédier aux causes et aux conséquences des changements climatiques.

Demain matin, à 9 heures, le Conseil doit entamer son débat général sur la situation des droits de l'homme en Palestine et dans les autres territoires arabes occupés, avant de tenir un dialogue interactif avec la Rapporteuse spéciale sur la situation des droits de l'homme au Soudan et avec le Rapporteur spécial sur les formes contemporaines de racisme.

Réunion-débat sur les droits de l'homme et les changements climatiques

Déclarations liminaires

MME KYUNG-WHA KANG, Haut-Commissaire adjointe aux droits de l'homme, a rappelé le rôle important qu'a joué le Conseil pour attirer l'attention sur les incidences des changements climatiques sur les droits de l'homme. Elle a rappelé qu'outre les résolutions adoptées sous cet angle, plusieurs procédures spéciales avaient commencé à travailler sur l'étendue des effets des changements climatiques dans le cadre de leur mandat. L'étude préparée par le Haut-Commissariat souligne «une injustice climatique» frappante en ce qui concerne les pays les moins avancés et les petits États insulaires en particulier, ceux qui ont le moins contribué aux émissions de gaz à effet de serre mais qui sont néanmoins les plus sévèrement touchés. La perspective des droits de l'homme souligne la nécessité d'une coopération internationale pour faire face à cette inégalité concernant le fardeau reposant sur ceux qui sont le moins à même de le supporter. Mme Kang a noté que ce besoin d'assurer une répartition juste et équitable du fardeau se trouvait au cœur des négociations sur les changements climatiques. La Haut-Commissaire adjointe a ajouté que ce n'était pas seulement les États et les économies qui étaient touchés mais aussi, et de manière plus fondamentale, les individus et les communautés. Et en leur sein, ce sont les groupes les plus faibles et les plus marginalisés, qui sont les plus exposés, ce qui signifie que les femmes se trouvent en première ligne.

La perspective des droits de l'homme, en mettant l'accent sur le droit de chacun à une vie digne, est particulièrement bien adaptée pour analyser de quelle manière les changements climatiques ont un impact différent selon les populations qui sont touchées, a poursuivi Mme Kang. La perspective des droits de l'homme souligne aussi l'importance de l'autonomisation, a-t-elle ajouté. En résumé, la dimension offerte par les droits de l'homme peut permettre d'informer et de renforcer le processus de définition des politiques à mettre en œuvre pour faire face aux changements climatiques en favorisant la cohérence politique, la légitimité et les démarches durables. Cela signifie que la réussite des négociations sur les changements climatiques est également importante pour les droits de l'homme. Le futur accord devra être juste, équilibré et suffisamment ambitieux pour être efficace, a souligné Mme Kang. En conclusion, la Haut-Commissaire adjointe a rappelé que la science nous dit que notre action dans la décennie à venir sera d'une importance cruciale pour empêcher un changement irréversible susceptible d'atteindre des dimensions catastrophiques et d'avoir de graves incidences pour la protection des droits de l'homme.

M. FENG GAO, Directeur des affaires juridiques du Secrétariat de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), a fait observer que la communauté internationale se trouve actuellement dans une phase cruciale qui a débuté avec l'adoption du plan d'action de Bali en décembre 2007 et qui se conclura à Copenhague en décembre cette année. Le document de la Conférence de Copenhague devrait recueillir le soutien financier et technologique nécessaire pour permettre aux pays en développement d'atténuer les changements climatiques et de s'adapter à leurs effets, a-t-il précisé. Il s'agira d'un progrès majeur non seulement pour la planète et les écosystèmes fragiles, mais également pour les personnes les plus vulnérables qui sont le moins préparées à l'impact des changements climatiques, a-t-il ajouté. Il a fait remarquer que c'est cette prise de conscience des effets des changements climatiques sur l'humanité et les souffrances qu'ils peuvent causer qui mobiliseront la communauté internationale.

Plusieurs principes clés ont été identifiés, a indiqué M. Feng, citant, tout d'abord, la nécessité de s'accorder sur une vision commune des mesures de coopération à déployer qui puissent lancer un message politique fort et guider les efforts sur le long terme. Il est également nécessaire de se mettre d'accord sur un programme ou un cadre d'adaptation qui réponde aux priorités urgentes de tous les États. Par ailleurs, il s'agit de s'accorder sur des objectifs de réduction des émissions pour les pays développés. Il faudra en outre de veiller à ce que les pays en développement s'approprient les mesures d'adaptation aux changements climatiques dans le cadre d'un soutien international approprié. Enfin, il faudra trouver un accord sur le renforcement des capacités, notamment technologiques et financières, qui permettra de mettre en œuvre ces mesures. Le représentant du Secrétariat de la Convention-cadre sur les changements climatiques a également fait remarquer que les efforts pour lutter contre les changements climatiques doivent renforcer les efforts de lutte contre la pauvreté, de sorte à mettre en œuvre un développement durable apte à faire face aux effets du climat et protégeant les plus vulnérables. Les mesures prises pour faire face aux changements climatiques doivent renforcer le développement durable, a-t-il résumé. En suivant les principes de la Convention-cadre, les efforts pour lutter contre les changements climatiques devront, à terme, mener à une plus grande prospérité humaine, a-t-il insisté. Il s'est également dit persuadé que les négociations actuelles et la Conférence de Copenhague auront des impacts positifs indéniables sur la réalisation des droits de l'homme. Il a souhaité que la réunion d'aujourd'hui lancera un message fort aux négociateurs, leur démontrant que leurs efforts sont soutenus par le Conseil.

Panélistes

M. ATIQ RAHMAN, Directeur exécutif du Centre d'études avancées du Bangladesh, a rappelé qu'il y a 23 ans, il a fait son premier discours sur les changements climatiques devant l'Université du Bangladesh. Vingt-trois ans plus tard, le lien entre changements climatiques et droits de l'homme est établi, comme en témoigne la présente réunion-débat. Les changements climatiques sont devenus la plus grande menace pesant sur l'humanité aujourd'hui, a-t-il fait observer. Leur impact est susceptible de porter atteinte à de nombreux droits de l'homme et de mettre en péril certains principes fondamentaux, au nombre desquels le droit à la vie, à l'alimentation, à l'eau potable, à la santé, au logement, à la terre, à la propriété, aux moyens de subsistance, à l'emploi et au développement. Les changements climatiques affectent la quasi-totalité des écosystèmes, des sociétés et des économies. Toutefois, ce sont les pays en développement pauvres qui ont le plus à craindre de leur impact, a souligné M. Rahman. Les changements climatiques, l'augmentation du niveau des eaux et les risques associés risquent de provoquer le déplacement de plus de 200 millions de personnes dans un avenir proche, a-t-il rappelé. Cela ne manquera pas d'accroître le nombre de réfugiés climatiques, en particulier dans les petits pays insulaires, les deltas et le monde en développement, ce qui favorisera une fois de plus les migrations du monde rural vers le monde urbain ainsi que les migrations internationales. Tous ces déplacements de populations à leur tour susciteront une nouvelle instabilité sociopolitique en maintes parties du monde.

Pour assurer que les droits des communautés vulnérables soient protégés, il convient de réduire de toute urgence et immédiatement les gaz à effet de serre, a souligné M. Rahman. Il convient de stopper les changements climatiques par le biais de mesures d'atténuation dès maintenant; d'explorer comment vivre et s'adapter dans un climat plus chaud; et de promouvoir un modèle de développement économique durable faiblement émetteur de carbone. Les populations déplacées, tant au niveau interne qu'au niveau externe, ont besoin de migrations planifiées, a-t-il ajouté.

M. DALINDYEBO SHABALALA, du Centre pour le droit international de l'environnement (CIEL), a souligné que le lien entre droits de l'homme et changements climatiques, s'il apparaissait désormais clairement, devait permettre de trouver des solutions permettant d'agir dans les deux domaines. En dehors des engagements en matière de réduction des gaz à effets de serre souscrits en vertu du Protocole de Kyoto, la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques a globalement échoué à trouver des moyens de lutter concrètement contre les changements climatiques, a-t-il observé. Les droits de l'homme peuvent contribuer de manière différente à s'adapter, en concentrant cette adaptation sur les populations les plus pauvres et les plus vulnérables. M. Shabalala a souligné que les changements climatiques avaient d'ores et déjà un impact négatif sur la réalisation des droits de l'homme, ce qui souligne le besoin urgent d'un soutien renouvelé en faveur d'un processus d'adaptation. Pour l'orateur, il y a un besoin urgent de définir une alternative au cadre de développement défini par la CCNUCC.

M. Shabalala a souligné qu'une approche globale en matière de droits de l'homme pourrait permettre de changer de méthode pour faire face aux changements climatiques. Il en a donné quatre exemples: premièrement, les droits de l'homme peuvent jouer un rôle dans l'identification des bénéficiaires des transferts de ressources pour les programmes visant à atténuer les effets des changements climatiques et à s'y adapter; deuxièmement, ils peuvent jouer un rôle dans l'identification et dans la priorité à donner dans les actions et les mesures d'atténuation et d'adaptation; troisièmement, les droits de l'homme peuvent jouer un rôle pour veiller au respect des obligations définies par la Convention-cadre; enfin, ils peuvent jouer un rôle dans l'évaluation de l'impact des aspects technologiques des stratégies d'adaptation et d'atténuation. Enfin, M. Shabalala a souligné l'impact particulièrement important des changements climatiques sur les peuples autochtones. La question de la réduction des émissions, de la déforestation et de la dégradation se situe, a-t-il observé, à la confluence entre droits autochtones, atténuation des changements climatiques et pression exercée par les intérêts commerciaux et étatiques pour contourner les droits des peuples autochtones.

MME RAQUEL ROLNIK, Rapporteuse spéciale sur le logement convenable en tant qu'élément du droit à un niveau de vie suffisant, a d'emblée fait remarquer que les effets des changements climatiques se font ressentir dès à présent et menacent de s'intensifier dans les années à venir. La question n'est pas la survie de la terre, qui a déjà survécu à d'importants changements, mais la survie de l'espèce humaine, a-t-elle souligné. Dans un parallèle avec l'arche de Noé, la Rapporteuse spéciale s'est demandée qui pourra construire cette arche et à qui elle sera accessible. Les conséquences des changements climatiques sur la réalisation des droits de l'homme seront profondes, en particulier pour les personnes à bas revenu, a-t-elle averti. Elle a, dans ce contexte, estimé essentiel que les efforts des États pour atténuer les effets des changements climatiques s'inspirent d'une perspective de droits de l'homme. L'intensité des ouragans, la fonte des glaciers, la progression des déserts causeront des déplacements importants de population et la prolifération de maladies infectieuses, a fait remarquer la Rapporteuse spéciale. La montée du niveau des mers menace d'engloutir les petits États insulaires où près d'un demi-million de personnes vivent, a-t-elle averti. Elle a également attiré l'attention sur les effets directs et indirects des changements climatiques sur les centaines de millions de personnes vivant dans des bidonvilles, soulignant que ces dernières ne disposent pas des infrastructures et services de base nécessaires pour se protéger des catastrophes naturelles. Les changements climatiques posent des défis à tout un éventail de droits de l'homme, a-t-elle ajouté, comme le droit à la vie, à la sécurité personnelle, à la santé, à l'alimentation, au logement, à l'eau et à la liberté d'expression.

Mme Rolnik a demandé si, face aux changements climatiques, c'est la solidarité qui prévaudra ou l'intérêt des pays riches et des personnes les plus favorisées? Outre une réduction des émissions de gaz à effet de serre et la création de fonds pour l'adaptation, il faut un investissement immédiat dans les infrastructures urbaines et rurales, a souligné la Rapporteuse spéciale. Elle a également rappelé que plusieurs procédures spéciales ont accordé leur attention aux effets des changements climatiques sur les droits de l'homme. Cet effort, a-t-elle noté, peut apporter sa contribution, parce que les procédures spéciales proposent des conseils précis aux États. La Rapporteuse spéciale a conclu son intervention en réitérant son appui aux efforts du Conseil dans l'examen des liens entre les droits de l'homme et les changements climatiques.

M. JOHN KNOX, Professeur de droit à l'Université de Wake Forest aux États-Unis, a rappelé qu'il est établi de longue date que la dégradation de l'environnement peut porter préjudice aux droits de l'homme déjà reconnus et que c'est en effet ce qui se produit. La Conférence mondiale sur les droits de l'homme qui s'est tenue à Vienne en 1993 a ainsi reconnu que le déversement illicite de produits dangereux et toxiques pouvait constituer une grave menace pour les droits à la vie et à la santé. Les changements climatiques constituent une menace plus grande encore pour les droits de l'homme, notamment pour les droits à la vie, à la santé, à l'alimentation, à l'eau et à l'autodétermination.

Par souci de gain de temps au regard de l'urgence de la question, M. Knox a proposé, afin de contourner la difficulté qu'il y a à établir que les effets des changements climatiques peuvent être qualifiés de violations des droits de l'homme au sens juridique strict, de suivre l'approche alternative suivie par le rapport du Haut Commissariat aux droits de l'homme selon lequel il ne s'agit pas de savoir si les effets des changements climatiques peuvent être considérés comme des violations des droits de l'homme, mais que les obligations en matière de droits de l'homme apportent une protection importante aux individus dont les droits subissent les conséquences des changements climatiques. En d'autres termes, les États ont des devoirs en vertu du droit international relatif aux droits de l'homme pour ce qui est des changements climatiques, indépendamment de la question de savoir si ces changements constituent une violation des droits de l'homme. En effet, le droit international relatif aux droits de l'homme requiert des États non seulement qu'ils assurent que leur conduite ne viole pas les droits de l'homme mais aussi qu'ils assurent une protection contre toute interférence sur les droits de l'homme provenant d'autres sources. Ce devoir de protection s'applique à la dégradation de l'environnement qui porte préjudice aux droits de l'homme. Chaque État a donc l'obligation de faire tout son possible pour protéger contre les effets des changements climatiques sur les droits de l'homme. Les changements climatiques sont un problème global dont la résolution requiert une action coordonnée à l'échelle mondiale, a par ailleurs souligné M. Knox. Des instances telles que le Conseil des droits de l'homme doivent attirer l'attention sur les domaines spécifiques qui ne sont pas traités dans le cadre des négociations sur le climat mais n'en ont pas moins de sérieuses conséquences pour les droits de l'homme, a-t-il ajouté. Par exemple, les changements climatiques ne devraient pas manquer de provoquer des millions de réfugiés. Or le droit actuel des réfugiés couvre ceux qui fuient la persécution politique mais pas ceux qui fuient un pays devenu inhabitable; aussi, serait-il souhaitable que les pays se mettent d'accord sur des règles qui s'appliqueraient à une telle crise climatique avant que celle-ci ne survienne.

Débat

MME SHAZRA ABDUL SATTAR (Maldives au nom de plusieurs États insulaires en développement) a rappelé les incidences des changements climatiques sur des communautés entières, notant qu'il ne s'agissait pas uniquement d'un débat académique ou politique. Il y a une réalité quotidienne résultant des changements climatiques en cours, a-t-elle rappelé. Nos pays, a-t-elle ajouté, sont pleinement engagés à faire face à la menace à la fois au travers d'actions opérationnelles concrètes «sur le terrain», et au niveau politique. Il sera néanmoins de plus en plus difficile pour ces États de faire face seuls à la situation et de protéger les droits de l'homme. Les petits États insulaires sont favorables à l'application du principe «pollueur payeur» dans ce domaine en fonction des responsabilités historiques des États qui ont principalement provoqué la situation actuelle.

M. EMIL AGHAAHMADOV (Azerbaïdjan) a fait observer que si la vulnérabilité aux changements climatiques en fonction des caractéristiques géographiques est le lot de nombreux pays, les petits États insulaires sont les plus touchés. Il a à cet égard attiré l'attention sur un document de l'Organisation internationale pour les migrations publié en mai 2009 et qui souligne que l'île Carteret de la Papouasie Nouvelle-Guinée devrait être submergée avant 2015. Il a également observé que des données récentes du Conseil norvégien des réfugiés montrent que pour la seule année 2008, plus de 20 millions de personnes ont été déplacées à cause des changements climatiques. Tout en reconnaissant qu'il est impossible d'empêcher un ouragan ou l'éruption d'un volcan, le représentant de l'Azerbaïdjan a fait remarquer qu'il est de la responsabilité des États de veiller à une bonne préparation et d'atténuer les conséquences des catastrophes naturelles. La coopération internationale est cruciale à cet égard, a-t-il souligné. S'adressant directement aux panélistes, il a souhaité connaître leur avis sur les obligations des États dans la lutte contre les changements climatiques.

MME NADIA ROZENTAL (Israël) a souhaité que la présente discussion mette l'accent sur les groupes les plus vulnérables face aux changements climatiques et aborde la problématique par le biais de la coopération internationale, en ayant recours notamment à des systèmes d'alerte rapide.

M. JESUS ENRIQUE GARCIA (Philippines) a souligné l'intérêt de la perspective droits de l'homme dans ce domaine car elle met l'accent dans le débat sur les effets des changements climatiques sur la vie réelle des populations, particulièrement des groupes vulnérables. Les Philippines regrettent que l'étude analytique du Haut-Commissariat ne prenne pas suffisamment en compte les concepts de la responsabilité internationale, de la responsabilité historique, des obligations internationales, ainsi que des responsabilités communes mais différenciées en vertu de la CCNUCC.

M. PITCHAYAPHANT CHARNBHUMIDOL (Thaïlande) a souligné que les efforts à mener dans la lutte contre les changements climatiques doivent prendre en compte l'aspect «humain», de sorte à atténuer leurs effets sur la population. Il a également relevé l'importance de veiller à ce que les interventions pour faire face aux changements climatiques n'aggravent pas davantage la situation des droits de l'homme des personnes vulnérables. L'impact des changements climatiques est réparti de manière inégale, puisque ces derniers touchent certains pays de manière disproportionnée, a poursuivi le représentant thaïlandais. Il a attiré l'attention sur l'importance de l'assistance internationale dans ce contexte, faisant remarquer qu'il s'agit non seulement de procéder à un transfert de technologies, mais également d'offrir l'assistance appropriée pour permettre aux pays touchés de remplir leurs obligations en matière de droits de l'homme. Cette coopération et cette assistance sont nécessaires, a-t-il insisté.

M. RAJIV KUMAR CHANDER (Inde) a souligné que ce sont les pays en développement comme l'Inde qui subiront le plus l'impact négatif des changements climatiques. De ce point de vue, la crise dont le Conseil discute cet après-midi est le résultat des activités de ces deux derniers siècles où la contribution des pays en développement a été minime, a-t-il fait observer. Le meilleur moyen de traiter des menaces découlant des changements climatiques reste d'adopter une approche intégrée du développement durable, a souligné le représentant indien. Il a jugé préoccupant qu'en dépit des objectifs fixés en matière d'émissions de gaz à effet de serre en vertu du Protocole de Kyoto, peu de signes laissent espérer que ces objectifs seront atteints. Il convient donc de se pencher sur la question de la responsabilité s'agissant de la non-application des dispositions juridiquement contraignantes concertées au niveau international. Il ne reste que quelques mois pour se mettre d'accord sur des décisions concrètes et significatives à prendre lors de la quinzième Conférence des États parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques. Il faut parvenir à une convergence mondiale des émissions de gaz à effet de serre par habitant, a conclu le représentant indien; c'est la seule base équitable sur laquelle peut s'opérer le partage équitable de l'espace atmosphérique existant.

M. SUBHAS GUJADHUR (Maurice) a souligné que la perspective des droits de l'homme permettait de mieux cibler le problème des changements climatiques sur les individus. La dégradation environnementale concerne la question de l'inégalité, et donc du droit au sens large, a-t-il observé. Il a souligné que son pays avait tout fait pour restaurer les écosystèmes maritimes et terrestres mais la durabilité de ces efforts dépend de la durabilité des ressources qui y sont consacrées, a-t-il noté. Maurice a demandé aux experts de quelle manière les mécanismes actuels des droits de l'homme pouvaient permettre de mieux renforcer les obligations des États de ne pas s'immiscer dans la jouissance des droits de l'homme dans d'autres pays et de coopérer sur le plan international pour répondre aux préoccupations en matière de droits de l'homme.

MME AMY LAURENSON (Nouvelle-Zélande) a attiré l'attention sur les défis rencontrés par certaines îles du Pacifique parmi les plus vulnérables aux changements climatiques et qui affrontent des problèmes tels que les inondations, l'accès limité à l'eau douce et les déplacements de population. La Nouvelle-Zélande prend la menace des changements climatiques très au sérieux, a-t-elle affirmé. Elle a dit vouloir que la communauté internationale s'engage à réduire les émissions de gaz à effet de serre, préconisant que des initiatives mondiales soient prises. Elle a en outre relevé l'importance d'accorder une attention particulière aux droits de l'homme et au bien-être social, économique et environnemental des habitants des îles du Pacifique. La représentante néo-zélandaise a conclu son intervention en demandant aux panélistes davantage d'informations sur le principe de non-ingérence dans la réalisation des droits des autres, notamment en référence aux obligations des États en vertu des traités de droits de l'homme.

M. MUSTAFIZUR RAHMAN (Bangladesh) a relevé que les retombées des changements climatiques sont directes ou indirectes sur la plupart des droits de l'homme. Le régime des droits de l'homme doit donc apporter une réponse à ce constat. Aussi, le représentant a-t-il préconisé la mise en place d'un «nouveau présidium sur les changements climatiques». Les pays les moins avancés et les petits pays insulaires seront les plus durement touchés par les changements climatiques alors qu'il s'agit des pays qui auront le moins contribué à ces changements, a-t-il fait observer, insistant sur la profonde injustice de cette situation. Les responsabilités des uns et des autres sont différentes, a-t-il insisté. Il convient de se pencher sur la bonne manière de partager les responsabilités entre autorités nationales et communauté internationale pour ce qui est des réponses à apporter aux changements climatiques.

M. ALEXEY AKZHIGITOV (Fédération de Russie) a souligné le caractère exceptionnellement grave du problème posé, qui implique une approche commune de tous les États et la définition d'un nouveau régime international de gestion commune de la problématique climatique. Il a émis l'espoir que la Conférence de Copenhague cette année permettrait de définir une telle approche. L'orateur a ensuite évoqué les actions menées par son pays en matière d'adaptation face au réchauffement. Un projet de doctrine climatique de la Fédération de Russie est en cours d'élaboration, a-t-il indiqué.

M. PETER GOODERHAM (Royaume-Uni) a reconnu que les changements climatiques constituent déjà une menace pour le développement durable, la prospérité et la sécurité dans le monde. Il a également reconnu que les effets des changements climatiques seront davantage ressentis par ceux qui se trouvent déjà dans une situation vulnérable comme les pays les moins avancés et les petits États insulaires en développement. Pour cette raison, le Royaume-Uni continuera d'apporter son assistance pour aider ces pays à réduire les entraves au développement causées par les changements climatiques. Les changements climatiques constituent un problème mondial qui requiert une solution mondiale, a-t-il fait remarquer. S'adressant directement aux panélistes, il leur a demandé de donner des précisions sur les bonnes pratiques suivies dans le cadre d'approches de développement fondées sur les droits de l'homme.

M. HANNU HIMANEN (Finlande) a plaidé en faveur d'une meilleure prise en compte des voix des femmes et des populations autochtones dans la recherche des réponses à apporter aux défis posés par les changements climatiques.

M. WANG GANG (Chine) a rappelé que les changements climatiques touchaient tout le monde et qu'il avait certainement des retombées sur les droits de l'homme. La Convention-cadre demeure, dans ce domaine, le texte de base pour la communauté internationale, a-t-il ajouté, en particulier sous l'aspect de la responsabilité partagée. Le fossé technologique doit être réduit pour permettre à tous les pays d'avoir accès à une technologie sûre, a-t-il aussi souligné. La Chine, a dit son représentant, est un des pays souffrant le plus des changements climatiques. Il a souhaité un renforcement de la coopération internationale dans ce domaine.

M. MUHAMMAD SAEED SARWAR (Pakistan) a fait remarquer qu'une question clé de la problématique des conséquences des changements climatiques sur les droits de l'homme réside dans le fait que certains pays ont induit les changements climatiques et, par conséquent, créé les conditions pour des violations des droits de l'homme dans les pays en développement, en continuant de ne pas respecter les obligations contractées notamment en vertu de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques et du Protocole de Kyoto. Aucun des pays qui ont pris des engagements en vertu de ces instruments n'ont respecté leurs obligations, a-t-il souligné. Il a, par conséquent, estimé qu'établir une relation entre les droits de l'homme et les changements climatiques implique celle du respect par toutes les parties de leurs obligations. Il a également rappelé que si les traités en matière de droits de l'homme stipulent la responsabilité de protéger et promouvoir les droits de l'homme, dans le cas des instruments relatifs aux changements climatiques, cette responsabilité est différentiée. Les mesures prises par les pays en développement pour combattre les changements climatiques dépendent du respect, par les pays développés, de leur obligation à offrir à ces pays des ressources financières et à leurs transmettre les technologies.

M. OBAID SALEM SAEED AL ZAABI (Émirats arabes unis) a insisté sur la nécessité de répondre aux besoins en matière de droits de l'homme pour les générations actuelles et futures. Aussi, a-t-il souligné que son pays s'efforce de garantir une bonne gestion des écosystèmes, en respectant les ressources durables, notamment la pêche et le bétail. Le représentant a attiré l'attention du Conseil sur le projet des Émirats arabes unis pour la construction d'une ville pilote qui sera la première ville du monde sans carbone ni déchets.

MME JOELLE HIVONNER (République tchèque au nom de l'Union européenne) a souligné que les changements climatiques étaient une réalité, ses effets étant ressentis par les populations partout dans le monde. Il est important que les mesures pour y faire face prennent aussi en compte les droits de l'homme, les femmes et les enfants étant particulièrement vulnérables, a-t-elle ajouté. Un cadre spécifique aux droits de l'homme peut ainsi permettre d'attirer l'attention sur l'importance des interactions entre politiques climatiques et politiques menées dans le domaine des droits de l'homme. L'oratrice a émis l'espoir que cette réunion enverra un signal fort à la Conférence de Copenhague des parties à la Convention-cadre afin qu'elles intègrent les droits de l'homme dans les cadres de coopération, les stratégies et programmes qui seront définis par la communauté internationale.

M. JOÃO ERNESTO CHRISTÓFOLO (Brésil) a estimé que le Conseil doit aujourd'hui envoyer un message de soutien clair à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques et au Protocole de Kyoto. Il s'est dit persuadé que résoudre la question des conséquences des changements climatiques sur la réalisation des droits de l'homme passera par l'atténuation et l'adaptation. Le développement durable et la résilience sont la meilleure adaptation possible, a-t-il estimé. Le respect des obligations en vertu de la Convention-cadre aura un impact positif sur la réalisation des droits de l'homme, a ajouté le représentant brésilien. Il a conclu son intervention en déplorant le manque de progrès du Groupe ad hoc en vue de nouveaux engagements de la part des États.

MME ALEXANDRA SEGURA (Costa Rica) a rappelé que le respect des droits de l'homme est essentiel pour la réalisation du développement durable. Dans ce contexte, le Costa Rica accorde une importance capitale à l'élaboration de politiques environnementales qui tiennent compte de la manière dont la dégradation de l'environnement peut affecter tous les membres de la société et, en particulier, les plus vulnérables d'entre eux. La représentante costaricienne s'est dite favorable à une contribution des procédures spéciales du Conseil afin de mieux cerner le lien existant entre la jouissance des droits de l'homme et les phénomènes liés aux changements climatiques, que ce soit par le biais de l'incorporation de cette thématique dans leur mandat, de l'élaboration d'un document conjoint ou de l'élaboration de principes directeurs dans ce domaine.

MME DOMA TSHERING (Bhoutan) a souligné que son pays considérait essentiel que soit pris en compte l'aspect humain du problème des changements climatiques. Elle a rappelé que son pays était concerné, ses glaciers risquant de disparaître d'ici 2030. Des inondations et autres événements catastrophiques risquent de se produire. L'agriculture, qui emploie 69% de la population, risque d'être durement affectée. D'ores et déjà, les maladies tropicales augmentent, a-t-elle constaté. La vulnérabilité du pays est aggravée par le manque de ressources et seule une démarche collective peut permettre à tous de surmonter le défi actuel, a-t-elle encore souligné.

MME JESSICA LASARO (Worldwide Organization for Women, au nom également de l'Association des femmes du pacifique et de l'Asie du Sud-Est; Conseil international des femmes; et Cercle mondial du consensus) a attiré l'attention sur la situation des femmes face aux changements climatiques. Selon des études, a-t-elle expliqué, les femmes et les enfants ont 14 fois plus de risques de mourir lors d'une catastrophe naturelle. Les inégalités entre les sexes sont amplifiées dans les situations de catastrophes, a-t-elle souligné. Dans ce contexte, les interventions pour lutter contre les changements climatiques qui n'abordent pas la question des femmes échoueront à soutenir les plus vulnérables. La représentante a conclu son intervention en estimant qu'il était temps d'intégrer une perspective tenant compte des femmes.

MME TURKAN KARAKURT (Fondation Friedrich Ebert) a fait part de sa préoccupation face à l'impact des changements climatiques, en particulier pour les pays en développement et pour les groupes les plus vulnérables. Elle a aussi dit craindre que les négociations qui aboutiront à un nouveau traité international à Copenhague en décembre prochain ne traitent pas de manière suffisante la question de la protection des droits de l'homme.

Réponses des panélistes

M. RAHMAN a souligné que l'on n'avait pas à choisir entre atténuation et adaptation, les deux étant indispensables. L'atténuation des effets des changements climatiques est aussi essentielle que l'adaptation à ce changement. Il est donc urgent que tous les pays, à commencer par les pays industrialisés, avancent dans le sens de l'adoption de mesures d'atténuation, a-t-il dit. La Conférence de Copenhague aura un rôle essentiel à cet égard, a-t-il ajouté.

MME ROLNIK a fourni quelques précisions sur la manière dont les titulaires de procédures spéciales abordent cette question. Elle a fait part de la tenue, en juin prochain, d'une réunion commune entre tous les titulaires de mandats qui permettra une interaction entre leurs différentes perspectives dans ce domaine. Il y a une intention claire d'approfondir l'analyse, a-t-elle souligné. La Rapporteuse spéciale sur le logement convenable a par ailleurs relevé l'intérêt de prendre en considération l'arrivée bientôt de trois milliards de nouveaux consommateurs. À ce rythme et à cette échelle, il nous faudrait trois terres, a-t-elle fait remarquer. Elle a encouragé la communauté internationale à réfléchir aux modes de consommation actuels, notamment lors des négociations sur les responsabilités et les mesures à prendre pour lutter contre les changements climatiques.

M. KNOX a jugé important que le Conseil examine la manière dont le droit dans le domaine des droits de l'homme s'est appliqué à certains types de dégradations de l'environnement, en particulier à travers des mécanismes régionaux. M. Knox a en outre attiré l'attention sur la contribution que peuvent apporter les titulaires de mandat dans le contexte de la réflexion sur les droits de l'homme et les changements climatiques. Les communautés les plus touchées par l'impact des changements climatiques doivent être entendues dans le cadre des négociations internationales relatives à cette problématique, a-t-il ajouté. Il serait judicieux que le Conseil envisage un nouveau mandat sur les droits de l'homme et les changements climatiques, a conclu M. Knox.

Suite du débat

MME INDAH NURIA SAVITRI (Indonésie) a souligné que l'impératif des droits de l'homme devait être au centre de la problématique sur les changements climatiques, si on voulait en atténuer les effets. L'Indonésie est heureuse d'apporter sa pierre à l'édifice, sa représentante rappelant que son pays avait accueilli la Conférence mondiale sur les océans le mois dernier à Manado. Les droits à la vie, à l'alimentation, à la sécurité et à la santé, ainsi que d'autres droits, doivent être préservés, ce qui suppose de rester concentrés sur les objectifs définis par la feuille de route de la Conférence de Bali de 2007, tout en agissant dans plusieurs directions.

MME PAULINE DAVIES (Uruguay) s'est félicitée de la tenue de cette réunion spéciale, faisant valoir que le Conseil ne peut pas rester silencieux face aux graves conséquences des changements climatiques sur la réalisation des droits de l'homme. Elle a indiqué que la population de son pays est déjà fortement touchée par les changements climatiques, à l'instar de la majorité des pays en développement. Le développement durable, a-t-elle poursuivi, dépend en Uruguay des ressources naturelles et de la production agricole, domaines touchés par la sécheresse ou les inondations. Elle a également fait remarquer que l'impact des changements climatiques se fait déjà sentir dans le domaine de la santé, faisant notamment référence à l'augmentation des pathologies respiratoires et cardiovasculaires. Elle a demandé aux panélistes comment les procédures spéciales du Conseil pouvaient contribuer à l'introduction d'une perspective de droits de l'homme dans les moyens d'adaptation aux changements climatiques qui permette de mieux protéger les droits des plus vulnérables.

M. JÜRG LAUBER (Suisse) a rappelé que la question des changements climatiques a été retenu comme un des thèmes prioritaires de l'Agenda pour les droits humains – initiative lancée par la Suisse en décembre 2008 à l'occasion du soixantième anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l'homme. Il a en outre souligné que les changements climatiques ne constituent qu'un facteur parmi d'autres conduisant à des dégradations environnementales qui affectent la jouissance des droits humains; il en existe d'autres, telle l'utilisation excessive des ressources naturelles ou la déforestation. «Nous désirons rappeler ici les responsabilités respectives de chaque État en la matière sur leur territoire», a-t-il ajouté. Toutes les dégradations de l'environnement affectant les droits humains doivent être traitées de manière urgente, a-t-il conclu.

MME ANJA MARIJA CIRAJ (Slovénie) a souligné que son pays ressentait lui aussi les effets du changement climatique. En 30 ans, la Slovénie a perdu pratiquement la totalité de ses quelques glaciers. La température de la mer et des lacs augmente et les sécheresses sont plus fréquentes en été. En conséquence de quoi, certains des droits des citoyens slovènes sont affectés, tels que le droit à l'eau, ou celui à la santé. Les autorités sont en train de mettre sur pied un Bureau gouvernemental chargé du changement climatique, a-t-elle annoncé.

M. ANGUI AWADA (Tchad) a rappelé que les dirigeants du monde ont mis au point, en 1992 à Kyoto, un Protocole sur les changements climatiques. Si certains l'ont signé, d'autres ont refusé de le faire et ont continué allègrement à continuer de polluer la planète, a-t-il déploré, attirant l'attention sur les conséquences désastreuses de cette attitude pour les autres pays. Pour les États insulaires, le niveau d'eau a augmenté; les cyclones et les typhons se sont multipliés et sont devenus de plus en plus violents; ailleurs, les pays sont devenus de véritables zones caniculaires. Dans tous ces cas, l'existence de la population est sérieusement menacée, a souligné le représentant tchadien. S'intéressant plus particulièrement à son pays, il a fait part du lancement, en août dernier, du projet de «ceinture verte» de la capitale, dans le cadre duquel plus de 26 000 plants, toutes espèces confondues, sont mis en terre sur une superficie de 48 hectares.

MME YADIRA LEDESMA (Cuba) a dénoncé les tentatives de détourner l'attention de la cause principale du problème des changements climatiques, qui reste le modèle non durable de production et de consommation des pays développés. Pour prévenir les effets indéniables des changements climatiques sur la jouissance des droits de l'homme, il faut que se manifeste une plus grande volonté politique de la part de ceux-là mêmes qui ont causé la dégradation de l'environnement. Il ne pourra être répondu aux défis lancés par les changements climatiques qu'en s'engageant fermement en faveur de la défense de tous les droits de l'homme et en faisant appel à la solidarité et à la coopération internationale, a conclu la représentante cubaine.

MME VICTORIA BERRY (Canada) a souligné son pays estimait que la Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques était l'enceinte la plus appropriée pour traiter des changements climatiques. Il appartient néanmoins aux États de prévenir et de réagir face aux changements climatiques sous l'angle des droits de l'homme. Les efforts des États sont en effet essentiels à cet égard, a-t-elle conclu.

MME SHAZRA ABDUL SATTAR (Maldives) a fait remarquer qu'il ne fait aucun doute que les changements climatiques ont des effets profondément négatifs pour la réalisation des droits de l'homme, en particulier pour les groupes les plus vulnérables. Le défi pour ce Conseil et la communauté internationale est de répondre à cette tragédie, a-t-elle souligné. Elle s'est dite d'avis que le Conseil doit réagir de trois manières. Il doit tout d'abord lancer un message politique clair aux négociateurs des discussions de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, marquant l'impact des changements climatiques sur les populations. Les organes conventionnels et les procédures spéciales, ensuite, devraient, dans leurs interactions avec les États émetteurs de gaz à effet de serre, leur demander de respectes leurs obligations. Enfin, sur le long terme, le Conseil devrait se demander si les changements climatiques mettent en évidence les limites du système actuel de droits de l'homme. La représentante des Maldives a conclu son intervention en demandant aux panélistes comment les mécanismes de droits de l'homme existants peuvent assurer le respect de l'obligation de ne pas entraver la réalisation des droits de l'homme dans d'autres pays et de coopérer pour s'atteler aux questions de droits de l'homme. Le Conseil devrait-il considérer un nouveau mécanisme afin de renforcer la responsabilité des États, a-t-elle demandé?

M. AHMED SAADI (Algérie) a souligné que les conséquences des changements climatiques concernent le monde entier, en particulier le continent africain. Il a rappelé que le 6 juin dernier, lors de la Journée mondiale de l'environnement, le Président Bouteflika a réitéré que l'Afrique n'endosse pas la responsabilité des changements climatiques; elle en est la victime, ce qui ne l'empêchera pas de participer au dialogue international sur cette question.

M. ROBERT FILLON (Monaco) a souligné que le territoire de la principauté, «exclusivement urbanisé» faisait face à un défi pour mettre en œuvre ses engagements en vertu du Protocole de Kyoto, «celui de parvenir à la neutralité carbone car nous pensons que personne ne doit se tenir à l'écart de cet objectif, ambitieux, exigeant mais pas irréaliste». Il a noté par ailleurs que de la nouvelle notion de «réfugié climatique» découlaient «de nouvelles problématiques juridiques, complexes et encore difficiles à cerner». Face aux urgences actuelles, «les politiques de coopération doivent d'ores et déjà être repensées» selon des critères nouveaux, ce qui suppose une large concertation internationale, a-t-il conclu.

MME TUÐBA SARAYÖNLÜ ETENSEL (Turquie) a fait remarquer que les changements climatiques lancent un défi complexe à l'humanité, dont les retombées négatives sur la vie humaine sont déjà visibles dans de nombreuses parties du monde. Elle a estimé qu'une forte solidarité internationale, une coopération et une assistance accrues sont essentielles pour s'atteler à ce problème. La priorité devrait être la mise en œuvre effective et durable de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, a-t-elle souligné. Le défi-clé est d'aider les populations à s'adapter aux conséquences désastreuses des changements climatiques, a-t-elle ajouté, appelant par conséquent la communauté internationale à continuer d'accroître sa connaissance des impacts des changements climatiques sur les droits de l'homme.

MME ANKE KONRAD (Allemagne) a souligné que les changements climatiques sont un phénomène planétaire qui exige donc, pour être résolu, un engagement de l'ensemble de la communauté internationale. Néanmoins, chaque solution globale consiste à accumuler des engagements individuels, a-t-elle rappelé. Elle a par ailleurs insisté, à quelques mois de la tenue de la Conférence de Copenhague, sur la nécessité de veiller à ce que les stratégies et programmes mis au point par la communauté internationale prennent en compte le lien entre les politiques destinées à faire face aux changements climatiques et les politiques de droits de l'homme.

MME JOELLE HIVONNER (Commission européenne) a souligné que Copenhague constituerait une occasion historique pour faire face aux changements climatiques. Elle a rappelé que les changements climatiques constituaient en effet une menace directe pour la réalisation des objectifs du Millénaire pour le développement. Il est d'une importance cruciale, par conséquent, que les changements climatiques soient intégrés dans les politiques extérieures et en particulier dans les politiques de coopération et de développement. La représentante de la Commission européenne a demandé aux panélistes jusqu'à quel point l'intégration des droits de l'homme et des considérations sur les changements climatiques pourrait contribuer aux politiques de développement et de coopération, par exemple en ce qui concerne la définition des priorités et la reconnaissance des situations de vulnérabilité, ainsi que l'identification de groupes vulnérables au sein d'une population. Elle a par ailleurs demandé de quelle manière on pourrait accroître la participation du public dans le processus de décision sur les questions de développement durable.

M. PHILIP KIMPTON (Australie) a reconnu que les changements climatiques posent des problèmes de droits de l'homme. Il a fait remarquer qu'ils posent aussi un problème de santé. Pour cette raison, un plan national d'adaptation relatif aux changements climatiques et à la santé humaine a récemment été lancé en Australie, touchant certains domaines-clés comme les vagues de chaleur extrême, la qualité de l'air et la qualité de l'alimentation. Le représentant australien a souhaité connaître l'avis des panélistes s'agissant des effets des changements climatiques sur la santé. Il a par ailleurs souligné que ces effets sont davantage ressentis par les populations déjà vulnérables et dont la capacité d'adaptation est limitée par des contraintes financières. Il a demandé aux panélistes de donner leur avis sur la situation des communautés des petits États insulaires.

MME ANNA CHAMBERS (États-Unis) a déclaré que promouvoir les droits de l'homme et apporter des réponses efficaces aux changements climatiques sont des priorités politiques pour son pays. Néanmoins, les États-Unis ne pensent pas que le droit relatif aux droits de l'homme fournisse un cadre optimal pour traiter des changements climatiques au niveau international. Le pays estime que les changements climatiques peuvent être plus effectivement traités par le biais de systèmes traditionnels de coopération internationale, notamment par le biais de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques. La représentante américaine a par ailleurs rappelé que le Président des États-Unis est engagé à répondre à la menace des changements climatiques par le biais d'une action déterminée visant à réduire les émissions des États-Unis et à rechercher un large engagement de la part des pays de toutes les régions.

MME MARIA VICTORIA ROMERO CABALLERO (Mexique) a estimé que nous faisions face au problème le plus grave du XXIe siècle. Les droits humains sont non seulement pertinents dans le contexte des changements climatiques mais ils exigent une mobilisation de ressources considérable, a-t-elle ajouté, afin d'apporter une assistance aux populations les moins favorisées. Les pays doivent mettre en œuvre des programmes inclusifs, en mettant l'accent sur l'équité, a-t-elle poursuivi. Aucun pays ne pouvant faire face à la situation seul, le Mexique a proposé la mise en place d'un fond mondial contre les changements climatiques. Nous faisons certes face une grande menace mais aussi à une situation idéale pour encourager les citoyens à participer aux choix à effectuer en matière de développement durable, a-t-elle conclu.

MME ANGÉLICA NAVARRO LLANOS (Bolivie) a fait remarquer que la responsabilité des émissions de gaz à effet de serre est à imputer aux pays développés qui, a-t-elle précisé, représentent moins de 20% de la population mondiale mais sont responsables de trois quarts des émissions dans l'histoire. Considérant la surconsommation actuelle et la capacité d'absorption limitée de la planète terre, la représentante bolivienne a estimé que les pays développés ont une «dette climatique», définie comme la somme des dettes d'émission et des dettes d'adaptation, ces dernières prenant en compte les coûts futurs d'adaptation. Elle a ainsi souligné que les pays responsables devraient verser des subventions aux pays qui subissent les conséquences de leur comportement. Les panélistes considèrent-ils aussi que les violations des droits de l'homme résultant des changements climatiques sont partie intégrante d'une dette climatique plus large, a-t-elle demandé ?

M. OMAR RABI (Maroc) a relevé que les émissions de gaz à effet de serre continuent d'augmenter et que les changements climatiques à venir - et donc leurs conséquences - risquent fort d'être plus importants encore que ceux que l'on a connus jusqu'à présent. Aussi, les changements climatiques constituent-ils une menace directe pour un large éventail des droits de l'homme fondamentaux tels qu'internationalement reconnus. Le droit au développement est également affecté par les changements climatiques, a souligné le représentant marocain.

MME RENATA BLOEM (CIVICUS: Alliance mondiale pour la participation des citoyens) a souligné que les droits de l'homme et les changements climatiques étaient «les deux faces d'une même médaille». Elle a ajouté que les membres les plus vulnérables de la famille humaine étaient menacés. Alors que cinquante millions de personnes seront menacées d'ici 2020, nos responsables, censés être «raisonnables et responsables», ont décidé de laisser encore passer un demi-siècle au-delà de cette date, suggérant d'attendre 2050 pour constater les premiers résultats de leurs objectifs insuffisants d'atténuation du changement climatique qui auront été adoptés 42 ans plus tôt. Avec les changements actuels, les droits de l'homme ont atteint désormais une nouvelle dimension planétaire en raison de l'étendue des dommages en matière de vies humaines, d'atteintes à la santé et de niveau de vie parmi des millions d'innocents, a-t-elle remarqué.

MME LILY AUROVILLIAN (Nord-Sud XXI) a fait remarquer qu'en cette époque de changements climatiques rapides, d'irréversibilité du phénomène et de besoins rapides d'adaptation, le tout couplé à la crise financière actuelle, il est crucial que les gouvernements redoublent d'efforts pour honorer leurs obligations en vertu du droit international. La représentante a estimé nécessaire d'examiner les causes premières des changements climatiques, ainsi que les activités qui ont mené à cette grave situation. Elle a par ailleurs appelé les pays développés à assumer le rôle de chef de file et à aider les pays en développement à faire face. Elle a conclu son intervention en sollicitant l'opinion des panélistes s'agissant de la valeur ajoutée d'une approche de droits de l'homme en matière de changements climatiques.

Conclusions

M. FENG GAO, du Secrétariat de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, a déclaré que le débat qui s'est tenu cet après-midi au Conseil des droits de l'homme est édifiant. Il a indiqué qu'il partagerait avec ses collègues du Secrétariat de la Convention-cadre, à Bonn, les commentaires qui ont été faits ici, devant le Conseil. Il a assuré le Conseil que les parties aux négociations en vue de la Conférence de Copenhague se pencheront de très près sur le débat qui s'est déroulé ici.

M. ATIQ RAHMAN, du Centre d'études avancées du Bangladesh, a salué le débat très enrichissant qui venait d'avoir lieu. Un thème commun émerge de pratiquement chaque intervention, le lien entre droits de l'homme et changements climatiques, a-t-il constaté. Le rôle et la vie des plus vulnérables ont également été mis en évidence par chaque orateur: il est reconnu désormais que les changements climatiques toucheront le plus durement les plus faibles. Le monde est injuste, les changements climatiques le rendront plus injuste encore, a souligné M. Rahman, appelant à agir pour rendre faire mentir cette prédiction. L'injustice doit être réduite à la fois au niveau des changements climatiques et des droits de l'homme en accordant la priorité aux plus vulnérables de la manière la plus efficace possible, a-t-il dit.

M. DALINDYEBO SHABALALA, du Centre pour le droit international de l'environnement (CIEL), a souligné, s'agissant des nombreuses questions sur la coopération internationale, que l'obligation d'atténuer les effets des changements climatiques par le biais d'une assistance à l'adaptation est stipulée par l'article 4 de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques. Quant à savoir s'il est pertinent d'aborder cette question dans le cadre du Conseil, il a estimé qu'il s'agit d'un forum crucial qui offre un cadre permettant de réfléchir aux garanties de respect des droits de l'homme et aux mesures d'adaptation.

MME RAQUEL ROLNIK, Rapporteuse spéciale sur le droit à un logement convenable, a fait part de son intention d'inclure les remarques qui ont été faites ici dans son prochain rapport à l'Assemblée générale. Plusieurs titulaires de mandat travaillent et continueront de travailler en commun sur les questions qui ont été débattues cet après-midi, a-t-elle assuré.

M. JOHN KNOX, de l'Université de Wake Forest, a souligné que les organes conventionnels dans le domaine des droits de l'homme devraient être concernés par la question des changements climatiques. Il a réitéré la nécessité de négocier un traité concernant les réfugiés et déplacés climatiques. Par ailleurs, la définition des mesures à prendre ne signifie pas que tous doivent prendre les mêmes mesures. Et il est clair pour M. Knox que les pays développés se doivent de faire davantage.

Ce document est destiné à l'information; il ne constitue pas un document officiel
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Source : ReliefWeb

 

24/05/2009

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