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22/09/2018

Le gouvernement mondial et ses organisations planétaires, Comprendre l'Empire

Le gouvernement mondial et ses organisations planétaires 

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Le gouvernement mondial

Au pouvoir déclinant des gouvernements des états-nations s'est substitué un nouveau pouvoir, planétaire, global, et échappant au contrôle de la démocratie. Les citoyens continuent d'élire des institutions nationales alors que le pouvoir réel a été déplacé vers de nouveaux centres.

La planète est aujourd'hui dirigée par une constellation d'organisations au rôle exécutif ou politique.

Les organisations exécutives se répartissent en 3 sphères de pouvoir:

- la sphère du pouvoir économique et financier
- la sphère du pouvoir militaire et policier
- la sphère du pouvoir scientifique

Le pouvoir politique du système est exercé par une quatrième catégorie d'organisations: les "clubs de réflexion", réseaux d'influence, ou réunions de "global leaders" comme le Groupe de Bilderberg ou le World Economic Forum de Davos.

Toutes ces organisations ne sont pas concurrentes mais étroitement liées et complémentaires.

Elles forment un ensemble dont la cohésion est assurée par l'appartenance simultanée de certaines personnalités à plusieurs organisations.

Ces personnes-clé peuvent être considérées comme les Maitres du Monde. Quelques uns sont des leaders politiques de premier plan, comme George Bush (le père) ou Henry Kissinger. Mais la plupart d'entre eux sont inconnus du grand public.

En observant le diagramme de ces organisations, ceux qui connaissent la cybernétique verront à quel point ce système a été ingénieusement conçu. Structurées en réseau, plusieurs organisations se partagent la même fonction, et les centres ainsi que les "circuits de commande" ont été doublés ou triplés, afin d'assurer plus de sécurité et de stabilité à l'ensemble.

Ainsi, au cas où une organisation ou un lien devient inopérant, le contrôle global n'est pas menacé. Exactement comme Internet: un système sans centre unique, dont les flux d'information peuvent "contourner" un centre local hors service.

 

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Les Illuminati, les Maîtres du Monde et leurs organisations planétaires

ORGANISATIONS DES MAITRES DU MONDE

Les Illuminati, Sionistes, Reptiliens

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Les Illuminati sont une "élite dans l'élite". C'est la plus ancienne et la plus secrète des organisations des "Maîtres du Monde". Toutes ces organisations ont un siège social officiel et des membres dont on connaît l'identité. On connait aussi souvent les dates et les lieux de leurs réunions. Mais en ce qui concerne les Illuminati, on ne sait rien avec certitude, il n'existe aucun élément de preuve tangible. Tout ce que l'on peut écrire à propos des Illuminati n'est donc que déductions et croisement d'autres éléments comme des pistes historiques, ainsi qu'une étude du mode de pensée des élites, de leur façon caractéristique de voir le monde "de très haut", à très long terme, et à travers le prisme de leurs croyances.

Les membres des Illuminati ne sont pas connus de manière certaine, même si certains noms circulent avec insistance. Il s'agit de grandes familles capitalistes ou issues de la noblesse, comme par exemple les Rockefeller (notamment l'incontournable David Rockefeller, également co-fondateur du Groupe de Bilderberg et du CFR), les Bush, les Rothschild, les Harriman, les Russel, les Dupont, les Windsor et d'autres familles royales européennes.

Les Illuminati sont très peu nombreux, c'est l'extrême sommet de la pyramide. Ils ne sont pas des milliers à travers les Etats-Unis et le monde comme l'affirment certains "témoins" qui ont pour mission de brouiller les pistes. Les célébrités du showbiz n'en font pas non plus partie, même si elles en utilisent parfois les symboles pour mieux fasciner les foules. 

 

 

Les Illuminati existent sous leur forme actuelle depuis 1776, date de fondation de l'Ordre des Illuminati en Bavière par Adam Weishaupt, un juif, ancien Jésuite. Leur projet était de changer radicalement le monde, en anéantissant le pouvoir des régimes monarchiques qui, à cette époque, entravaient le progrès de la société et des idées. La Révolution Française et la fondation des Etats-Unis auraient été des résultats de leur stratégie. Pour les Illuminati, la démocratie politique était un moyen et non une fin en soi. Selon eux, le peuple est par nature ignorant, stupide, et potentiellement violent. Le monde doit donc être gouverné par une élite éclairée. Au fil du temps, les membres de ce groupe sont passés du statut de conspirateurs subversifs à celui de dominateurs implacables dont le but essentiel est de perpétuer leur pouvoir sur la population.

La création des Illuminati marquait le lancement d'un Plan conçu pour se dérouler sur plusieurs siècles, en utilisant le contrôle du système financier naissant pour parvenir une domination totale sur le monde. La réalisation du Plan s'est ensuite transmise comme un flambeau de génération en génération, au sein d'une élite héréditaire d'initiés qui ont su l'adapter aux évolutions technologiques, sociales, et économiques.

Contrairement aux autres organisations des Maîtres du Monde, les Illuminati ne sont pas un simple "club de réflexion" ou "réseau d'influence", ni une organisation de pouvoir comme le Groupe de Bilderberg. Il s'agit d'une organisation dont la véritable nature est ésotérique ou "occulte".

Les dirigeants politiques ou économiques se présentent au public comme des personnes éminemment rationnelles et matérialistes. Mais le public serait étonné d'apprendre que certaines de ces personnes participent à des cérémonies étranges, dans des sociétés secrètes où se perpétuent le culte des dieux égyptiens et babyloniens: Isis, Osiris, Baal, Moloch, ou Sémiramis.

Le terme "Illuminati" signifie littéralement "les Illuminés" (du latin "illuminare": illuminer, connaître, savoir).

Les Illuminati se considèrent en effet comme détenteurs d'une connaissance et d'une sagesse supérieure, héritées de la nuit des temps, et qui leur donne une légitimité pour diriger l'humanité. Les Illuminati sont la perpétuation d'une société secrète très ancienne, la "Fraternité du Serpent" (ou "Confrérie du Serpent"), dont l'origine remonte aux racines de la civilisation occidentale, à Sumer et Babylone il y a plus de 5000 ans.

 

 

La civilisation qui domine le monde aujourd'hui est en effet la prolongation de la civilisation Sumérienne, qui a inventé tout ce qui caractérise la civilisation occidentale: l'administration d'état, l'argent, le commerce, les taxes et les impôts, l'esclavage, les armées organisées, une expansion fondée sur des guerres perpétuelles et l'asservissement des autres peuples. Ce fut aussi la première civilisation à détruire son environnement. Pratiquant une agriculture intensive après avoir inventé l'irrigation, les civilisations Sumérienne et Babylonienne ont transformé des prairies verdoyantes en un désert qui est aujourd'hui l'Irak.

Depuis Sumer et Babylone, la Fraternité du Serpent s'est perpétuée en prenant des formes et des noms multiples à travers les époques, exerçant son influence sur les religions et les pouvoirs politiques successifs, dans une longue filiation qui inclut les "écoles de mystère" babyloniennes, égyptiennes puis grecques, l'église chrétienne de Rome (utilisée comme "véhicule" par la "Fraternité" pour s'implanter en Europe), les Mérovingiens (d'où le personnage "Mérovingien" dans le film "Matrix"), les Templiers (et leurs nombreuses ramifications - Franc-Maçons, Rose-Croix, Prieuré de Sion, Ordre Militaire et Hospitalier de St Jean de Jerusalem, Ordre de Malte...), et enfin les "Illuminati" et les organisations qui y sont rattachées.

Le symbole des Illuminati est présent sur les billets de 1 dollar: une pyramide dont le sommet (l'Elite) est éclairé par l'œil de la conscience et domine une base aveugle, faite de briques identiques (la population).

 

 

Les deux mentions en latin sont très significatives. "NOVUS ORDO SECLORUM" signifie "nouvel ordre pour les siècles". En d'autres termes: nouvel ordre mondial. Et "ANNUIT CŒPTIS" signifie: "notre projet sera couronné de succès".

Un projet aujourd'hui proche de sa réalisation finale.

 
© Syti.net, 2005

 

 

16/09/2018

Michio Kaku - Un physicien parle du "tabou" OVNI - Témoignages d'Astronautes

Michio Kaku, célèbre physicien, théoricien et futurologue américain parle du "tabou" OVNI au sein de la communauté scientifique internationale. (archives)


 

Un florilège de témoignages et d'observations d'astronautes durant de nombreuses missions de la N.A.S.A.

Témoignages d'astronautes sur le phénomène : O.V.N.I. - partie 1

 

 

Témoignages d'astronautes sur le phénomène : O.V.N.I. - partie 2


 

11:30 Publié dans Ovnis et Extraterrestres, Science, Sites OVNIS | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

30/04/2017

La CIA, les Ovnis et le Majestic 12, le Gouvernement secret US (2)

Il serait grand temps que Poutine nous fasse la révélation sur l'existence des OVNIS et des ET pour que l'humanité comprenne enfin par quelle sale race de ET, les Grands Gris reptiliens elle est attaquée depuis plus de 13 000 ans dans l'objectif de s'accaparer la Terre et toutes ses richesses en ayant détruit au préalable les 2/3 de la population mondiale avant d'instaurer leur Nouvel Ordre Mondial Satanique ! 

 

Une nouvelle qui vient de tomber : De nouveaux briefings sur les crashs d'OVNI antarctiques ... et la conférence SF ce week-end!


A rapprocher des articles précédents : 


L’Union européenne a toujours été un projet de la CIA, comme les partisans du Brexit l’ont découvert.

CIA, OVNIS et le Majestic 12 - Le Gouvernement secret des USA

 

La CIA & les Ovnis 

logo CIA  

La CIA a tenté de dissuader les autres agences gouvernementales de poursuivre, selon son expression, "de vaines recherches sur les Ovnis".

Erik Lacitis a découvert sur le site Web de la CIA un rapport de 17 pages datant de 1997 où l’Agence gouvernementale américaine estimait futile de poursuivre des enquêtes sur le phénomène Ovni.

En conclusion on peut lire : "Comme pour les théories du complot sur l’assassinat de JFK, la question des Ovnis n’est pas prête de disparaître, quoique l'Agence fasse ou dise."

"La croyance que nous ne sommes pas seuls dans l'univers comporte une telle charge émotionnelle, et la méfiance envers notre gouvernement est trop bien établie pour que le sujet se prête à des études scientifiques traditionnelles avec des preuves et des explications rationnelles."

Malgré tout, "le rôle de la CIA dans l'étude des ovnis entre 1947 et 1990", est une lecture fascinante.

Le rapport, déclassifié en 2007, avait été rédigé par Gerald K. Haines, historien du National Reconnaissance Office (NRO).

La NRO est l'agence qui "conçoit, construit et exploite les satellites de reconnaissance" des Etats-Unis. Elle emploie des personnels du ministère de la Défense et des services de la CIA. Elle se vante de bénéficier d'un point de vue "imprenable".

  logo NRO
CIA-role in UFOs study  

Dans les 17 pages du rapport, Haines a rassemblé des données pour retracer l'histoire objective et aussi complète que possible de la CIA et des ovnis.

La CIA pourra toujours tenter de s'exprimer sur le sujet - grâce aux recherches méticuleuses d'un historien – mais s'agissant de cette agence, les gens continueront à penser ce qu'ils veulent.

Comme Haines le dit dans son rapport, "un pourcentage extraordinairement élevé, soit 95% des Américains ont entendu parler des Ovnis, et 57% sont persuadés de leur existence. Les ex-présidents Jimmy Carter et Ronald Reagan ont eux aussi déclaré avoir vu un OVNI." - Source

 

 

Le rapport de la CIA : 1ère partie

Il est extraordinaire de constater que 95% des Américains ont entendu ou lu quelque chose au sujet des Ovnis et que 57% croient qu'ils sont une réalité. Les ex Présidents Jimmy Carter et Ronald Reagan affirment eux aussi avoir vu un Ovni. Des Ufologues (néologisme pour les fans d'Ovnis) et des organismes privés sur les Ovnis sont répartis sur l'ensemble des Etats-Unis. Enormément de gens sont convaincus que le gouvernement américain et en particulier la CIA, sont engagés dans une conspiration et une dissimulation massive sur ce sujet. L'idée que la CIA a secrètement caché ses recherches sur les Ovnis est un thème revenant sans cesse chez les ufologues depuis que le phénomène Ovni a émergé vers la fin des années 40.

Vers la fin de 1993, après avoir été pressé par les Ufologues pour fournir des informations complémentaires sur les Ovnis détenues par la CIA, R. James Woolsey (DCI - Director of Central Intelligence) a commandé un nouvel examen de tous les dossiers que l'Agence possédait sur les Ovnis. En utilisant les enregistrements de la CIA compilés pour cette révision, cette étude trace l'intérêt et la participation de la CIA à propos de la polémique sur les Ovnis depuis la fin des années 40 jusqu'en 1990. Elle examine chronologiquement les efforts de l'Agence pour résoudre le mystère des Ovnis, des programmes qui ont eu un impact sur les observations d'Ovnis et de ses tentatives pour y cacher la participation de la CIA dans les affaires d'Ovnis. Ce qui émerge de cet examen est que, alors que le souci de l'Agence au sujet des Ovnis était conséquent jusqu'au début des années 50, la CIA a, depuis lors, une préoccupation limitée et externe du phénomène.

La toile de fond

Dès 1947 le début de la guerre froide entre les Etats-Unis et l'Union soviétique coïncide également avec l'apparition de la première vague d'observations d'Ovnis. Le premier rapport d'une "soucoupe volante" au-dessus des Etats-Unis est enregistré le 24 juin 1947, quand Kenneth Arnold, pilote privé et homme d'affaire à la recherche d'un avion en panne, aperçu neuf objets en forme de disque près de Mount Rainer, dans l'état de Washington, voyageant à une vitesse estimée à plus de 1600 kms par heure. Le rapport d'Arnold a été suivi d'une multitude d'observations additionnelles, y compris des rapports de pilotes et d'aiguilleurs du ciel civils et militaires partout aux Etats-Unis. En 1948, le général Nathan Twining, de l'USAF, chef du Air Technical Service Command lance le projet SIGN (tout d'abord appelé Project SAUCER) devant assembler, évaluer et distribuer au gouvernement toute les informations concernant de telles observations sur les lieux ou les Ovnis pourraient être un problème de sécurité nationale.

La Division technique du renseignement de l'Air Material Command (AMC) de la base de Wright (plus tard nommée Wright-Patterson) à Dayton dans l'Ohio, se chargea de diriger le projet SIGN et commenca ce travail le 23 Janvier 1948. Bien que la première crainte soit que ces objets pourraient être des armes secrètes soviétiques, l'Armée de l'Air eut bientôt conclu que les Ovnis étaient réels mais facilement expliqués et non extraordinaire. Le rapport de l'Armée de l'Air constata que presque toutes les observations provenaient d'une ou plusieurs de trois causes suivantes : l'hystérie et l'hallucination de masse, le canular, ou l'interprétation erronée de phénomènes connus. Néanmoins, on recommanda de continuer à effectuer des recherches sur toutes les observations et n'a pas éliminé la possibilité que ce soit des phénomènes extraterrestres.

Malgré l'augmentation des observations d'Ovnis, l'USAF continuait à recueillir et à évaluer les données ufologiques jusqu'à la fin des années 40 sous un nouveau nom, le projet Grudge, qui essayait d'apaiser l'anxiété public au sujet des Ovnis par une campagne de relation public conçu pour le persuader que les Ovnis ne constituaient rien d'inhabituel ou d'extraordinaire. Les Ovnis aperçus étaient expliqués comme étant des ballons, des avions, des planètes, des météores, des illusions d'optiques, des reflets du soleil, ou mêmes de "gros grêlons". Les fonctionnaires du projet Grudge ne trouvaient aucune preuve que les observations d'Ovnis étaient des armes étrangères et ils concluaient que les Ovnis ne menaçaient pas la sécurité des USA. Ils recommandèrent que le projet soit réduit parce que le fait même que l'USAF montre de l'intérêt sur ce sujet encourageait les gens à croire aux Ovnis et contribuait à promouvoir une atmosphère "d'hystérie de temps de guerre." Le 27 décembre 1949, l'USAF annonçait la fin du projet.

A la suite de l'augmentation de la tension pendant la guerre froide entre les blocs soviétiques et américains avec, notamment, la guerre de Corée, les rapports d'observations d'Ovnis continuaient à être récoltés. Le Directeur des renseignements de l'USAF, le Maj. Gen. Charles P. Cabell commanda un nouveau projet en 1952 sur les Ovnis. Le projet Bluebook (Livre Bleu) devint le plus important effort de l'USAF pour étudier le phénomène Ovni dans les années 50 à 60. La tâche pour identifier et expliquer les Ovnis continuait reposa à nouveau sur les épaules de l'Air Material Command de Wright-Patterson. Avec peu de moyens, l'Air Technical Intelligence Center (ATIC) essayait de convaincre le public que les Ovnis n'avaient rien d'extraordinaire. Les projets Sign, Grudge, et Bluebook établir la ligne de conduite pour ce qui allait être la position officielle du gouvernement des États-Unis en matière d'Ovnis, pour les 30 prochaines années.

Les inquiétudes initiales de la CIA, 1947-52

La CIA surveillait étroitement les efforts de l'USAF, consciente et inquiète que le nombre croissant d'observations d'Ovnis pourraient poser une menace potentielle pour la sécurité de l'état. Étant donné la répartition des observations, les instances de la CIA se demandèrent, en 1952, s'ils n'avaient pas affaire à une " vague de délires caniculaires ". L'Agence acceptait les conclusions de l'USAF à propos des rapports d'Ovnis, par contre, "puisqu'il restait la possibilité qu'ils s'agissent d'appareils interplanétaires, il était nécessaire d'étudier chaque observation".

Une augmentation massive des observations aux États-Unis, surtout au mois de juillet 1952, a alarmé l'administration Truman. Les 19 et 20 juillet, les écrans radar à l'Aéroport de Washington et de la base d'Andrews traquèrent de mystérieux échos. Le 27 juillet, des échos furent à nouveau signalés. L'USAF dépêcha des avions intercepteurs, mais ils ne trouvèrent rien. Les incidents, cependant, eurent droit aux gros titres partout dans le pays. La Maison Blanche voulu savoir ce qu'il se passait et l'USAF exposa rapidement que l'explication de ces échos radar pourraient être le résultat "d'inversion de température". Ultérieurement, une enquête de l'Administration de l'Aviation Civile confirma que de tels échos radar étaient assez communs et étaient causés par des inversions de température.

Bien que les organisations ufologiques fussent surveillé pendant au moins trois ans, en réaction à la nouvelle explosion d'observations, la CIA forma un groupe spécial d'étude au sein de l'Office of Scientific Intelligence (OSI) et de l'Office of Current Intelligence (OCI) afin de réévalué la situation. Edward Tauss, agissant au titre de chef de l'OSI, Division de l'Équipement et de l'Armement, porte parole du groupe, rapporta que la majorité des observations d'Ovnis pouvaient être expliqués aisément. Néanmoins, il recommandait que l'Agence continue de surveiller le problème en coordination avec l'ATIC. Il exhorta aussi la CIA qu'elle dissimule son intérêt des Ovnis aux médias et au public,"de peur de possible tendances alarmistes" qu'un tel intérêt ne confirme l'existence des Ovnis au public.

Dès la réception du rapport, le directeur adjoint de l'Intelligence, Robert Amory Jr, attribua le dossier Ovni à l'OSI, Division Electronique et Physique dont A. Ray Gordon serait l'officier en charge. Chaque branche de la division devait contribuer à l'enquête et R. Gordon devait étroitement coordonner le tout avec l'ATIC. R. Amory, tout en demandant d'étudier les implications des Ovnis sur la sécurité nationale, relayait les inquiétudes de Walter Bedell Smith. Smith voulait savoir si l'enquête de l'USAF sur les soucoupes volantes était suffisamment objective ainsi que combien d'argent et d'effectif additionnel serait nécessaire pour déterminer la cause de ce petit pourcentage de cas inexpliqués. Smith croyait que : "il n'y avait qu'une chance sur 10.000 que le phénomène soit une menace à la sécurité du pays, mais même ce petit risque ne devait pas être négligé." Selon Smith, il était de la responsabilité de la CIA, en raison de son statut, de coordonner les efforts nécessaires pour résoudre le problème. Smith voulait aussi savoir comment on pouvait exploiter le phénomène Ovni dans les efforts américains sur la guerre psychologique.

Avec Gordon à leur tête, le Groupe d'Étude de la CIA a rencontré des officiers de l'USAF à Wright-Patterson pour comparé leurs données et leurs résultats. L'USAF concluait que 90% des observations rapportées étaient aisément expliquées. Les 10% résiduels étaient caractérisés comme "des rapports incroyables fait par des observateurs crédibles". L'USAF rejetait les théories que ces observations étaient le résultat du développement d'armes secrètes tant américaines que soviétiques, ou qu'elles impliquaient les "petits hommes verts"; il n'y avait aucune preuve qui soutenait ces concepts. Les officiers de l'USAF tentaient d'expliquer les Ovnis comme le résultat d'une mauvaise interprétation d'objets connus ou de phénomènes naturels mal compris. L'USAF et la CIA étaient d'accord que si l'intérêt de la CIA envers les Ovnis devait être connu du public, le problème semblerait d'autant plus sérieux. Cette dissimulation de l'intérêt de l'Agence pour les Ovnis contribuera plus tard à alimenter la croyance d'une conspiration et d'une dissimulation de la CIA sur ce sujet.

Le Groupe d'Étude de la CIA entreprit des recherches dans la presse Soviétique sur des rapports d'Ovnis mais n'en trouva aucun, ce qui leur fit conclure que l'absence de rapports devait être le résultat d'une politique du secret de la part du Gouvernement Soviétique. Le Groupe imagina aussi l'emploi possible, par l'URSS, des Ovnis comme d'un outil de guerre psychologique. De plus, ils s'inquiétaient du fait que si le système d'alerte américain devait être délibérément surchargé par les observations d'Ovnis, les Soviétiques pourraient avoir l'avantage de la surprise en cas d'attaque nucléaire.

A cause de l'atmosphère tendue de la Guerre Froide et de l'augmentation des capacités Soviétiques, le Groupe d'Étude était très inquiet des effets des Ovnis sur la sécurité nationale. Le Groupe croyait que les Soviétiques pourraient utiliser les rapports d'Ovnis pour créer une hystérie massive et une panique aux États-Unis. Le groupe croyait aussi que les Soviétiques pourraient utiliser les observations d'Ovnis pour surcharger le système d'avertissement de l'USAF de sorte qu'il ne pourrait pas distinguer les cibles réelles des Ovni-fantômes. H. Marshall Chadwell, Assistant Directeur de l'OSI, ajoutait qu'il considérait le problème tellement important "qu'il devrait être porté à l'attention du Conseil de Sécurité Nationale, pour qu'un effort de coordination national pour sa résolution soit engagé."

Chadwell informa W.B. Smith du problème Ovni en décembre 1952. Il exhortait à une action rapide parce qu'il était convaincu "qu'il y avait quelque chose là qui demandait une attention immédiate" et que "les observations d'objets inexpliquées volant à grandes altitudes et à hautes vitesses non loin d'installations américaines de défense majeure sont de telle nature qu'elles ne peuvent être attribué à des phénomènes naturels ou des véhicules aériens de types connus." Il rédigea un mémorandum du DCI au Conseil de Sécurité Nationale (NSC) et proposa une directive du NSC établissant que l'enquête sur les Ovnis était un projet prioritaire à travers toutes les Agences de Renseignement et de Recherche pour la Défense ainsi que pour le développement communautaire. Chadwell demanda à Smith qu'il établisse un projet de recherche externe à l'Agence composé de scientifiques de haut niveau pour étudier le problème des Ovnis. Après cet entretien, Smith ordonna à R. Amory de préparer une directive du NSC (NSCID) pour la présenter au NSC sur le besoin de continuer l'enquête sur les Ovnis en coordination avec l'USAF.

Le Panel Robertson, 1952-53 :

Le 4 Décembre 1952, l'Intelligence Advisory Committee (IAC) - le Comité Consultatif des Renseignements - prit en charge le problème des Ovnis. Avec R. Amory comme président par intérim, il a présenté la requête de W.B. Smith au comité pour qu'il discute de façon informelle sur le sujet des Ovnis. Chadwell passa alors en revue la situation et le programme actif de l'ATIC relatif aux Ovnis. Le comité fut d'accord pour que W.B. Smith "fasse appel aux services de scientifiques choisis pour examiner et évaluer les évidences éléments de preuve disponibles à la lumière des théories scientifiques pertinentes" et préparer une directive NSCID sur la matière. Le Maj. Gen. John A. Samford, Directeur des Renseignements de l'USAF, a offert son entière coopération.

En même temps, Chadwell vérifia ce que faisaient les Britanniques sur ce sujet. Il apprenait que les Britanniques étaient actifs, eux aussi, dans l'étude du phénomène Ovni. Un éminent scientifique Britannique, R. V. Jones, dirigeait depuis Juin 1951 un comité sur les soucoupes volantes. Les conclusions du Comité dirigé par Jones étaient similaires à celles des Agences officielles : les observations n'étaient pas des avions ennemis mais une mauvaise interprétation de phénomènes naturels. Les Britanniques notèrent cependant, que pendant un récent spectacle aérien, des pilotes de la RAF et des hauts gradés militaires avaient observé une "soucoupe volante parfaite." La presse s'empara de l'affaire et, selon l'officier, Jones eut beaucoup de difficultés pour corriger l'opinion publique en ce qui concerne les Ovnis. Le public était convaincu qu'ils étaient réels.

En Janvier 1953, Chadwell et H. P. Robertson, un physicien notoire de l'Institut de Technologie de la Californie, rassemblèrent un ensemble de scientifiques distingués, non militaire, pour étudier le problème Ovni. Il incluait Robertson comme président; Samuel A. Goudsmit, un physicien nucléaire du Brookhaven National Laboratories; Luis Alvarez, un physicien spécialisé dans les hautes énergies; Thornton Page, directeur adjoint de John Hopkins Operations Research Office et expert en radars et électronique; et Lloyd Berkner, un Directeur du Brookhaven National Laboratories et spécialiste en géophysique.

Le mandat du Comité était d'examiner les données disponibles sur les Ovnis et d'évaluer les dangers possibles du phénomène sur la sécurité nationale. Le Comité s'est réuni du 14 au 17 janvier 1953. Il passa en revue les données de l'USAF sur l'historique des Ovnis et, après avoir étudié le phénomène pendant 12 heures, conclu que des explications raisonnables pourraient être suggérées pour la majorité, si ce n'est toutes, des observations. Par exemple, après avoir revu le film tourné près de Tremonton dans l'Utah le 2 juillet 1952 et celui près de Great Falls, Montana, le 15 Août 1950, le Comité concluait que les images sur le film de Tremonton étaient causées par la lumière du soleil reflétant sur des mouettes et que les images de Great Falls étaient la lumière du soleil réfléchissant sur la surface de deux avions intercepteurs de l'USAF.

Le Comité concluait unanimement qu'il n'y avait aucune évidence de menace directe à la sécurité nationale. Le Comité ne trouva aucune évidence, non plus, que les objets aperçus pourraient être d'origine extraterrestre. Il pensait aussi que de continuer à mettre l'accent sur les Ovnis pourrait menacer "le bon fonctionnement" du gouvernement en surchargeant les voies de communication avec des rapports non pertinents tout en induisant un "comportement d'hystérie de masse" préjudiciable aux autorités. Le Comité s'inquiétait aussi qu'un ennemi potentiel, observant une attaque contre les États-Unis, pourrait exploiter le phénomène Ovni et l'utiliser pour perturber la défense aérienne américaine.

Pour répondre à ces problèmes, le Comité recommandait au Conseil de Sécurité de démystifier les rapports d'Ovni et de mettre en place une politique d'éducation du public pour les rassurer et sur l'absence de preuves du phénomène Ovni. Il suggérait d'utiliser les médias, les annonces, les clubs d'affaire, les écoles, et même Disney pour transmettre ce message. Alors en plein maccarthysme, le Comité a aussi recommandé que les groupes privés, tel le Civilian Flying Saucer Investigators de Los Angeles et le Aerial Phenomena Research Organization du Wisconsin, soient surveillé pour des activités subversives.

Les conclusions de Comité Robertson (Robertson Panel) étaient étonnamment semblables à celles, rendues plus tôt, par les projets Sign et Grudge, ainsi qu'au groupe d'étude OSI de la CIA. Tous ces groupes arrivèrent à la conclusion que les rapports d'Ovnis n'indiquaient aucune menace directe pour la sécurité nationale ni aucunes preuves de visites extraterrestres.

Suivant les conclusions du Comité Robertson, l'Agence abandonna ses recherches pour rédiger une directive NSCID sur les Ovnis. Le Comité Consultatif Scientifique sur les Ovnis (le Comité Robertson) soumit son rapport à l'IAC, au Secrétariat de la Défense, au Directeur de l'Administration Fédérale de Défense Civile et au Président du Bureau National des Ressources de Sécurité. Les responsables de la CIA estimèrent qu'un examen plus approfondit ne semblait pas justifié, bien qu'ils continueraient à s'intéresser aux observations dans l'intérêt de la sécurité nationale. Philip Strong et Fred Durant, de l'OSI, en informèrent du résultat le Bureau d'Estimations Nationales. Les fonctionnaires de la CIA voulaient que l'intérêt de l'Agence au sujet des soucoupes volantes soit gardé secret, notant que le rapport du Comité Robertson devait être classifié et que, surtout, personne ne devait savoir que la CIA avait commandité ce comité. Cette attitude causera, ultérieurement, de graves problèmes de crédibilité à l'Agence.

Les années 50: Diminution de l'intérêt de la CIA pour les Ovnis :

Après le rapport du Comité Robertson, les fonctionnaires de l'Agence mirent le problème des Ovnis en veilleuse. En mai 1953, Chadwell transféra la responsabilité principale de se tenir informé sur les Ovnis à la Division d'Électronique et de Physique de l'OSI, tandis que la Division des Sciences Appliquées devait continuer à fournir le soutien nécessaire. Todos M. Odarenko, chef de la Division d'Électronique et Physique, ne voulait pas prendre en charge ce problème, prétendant qu'il nécessiterait trop de temps d'analyse et d'écriture pour sa division. Étant donné les résultats du Comité Robertson, il recommanda de considérer le projet "inactif" et de ne consacrer qu'un seul analyste, à temps partiel, et un commis pour maintenir un dossier de référence sur les activités de l'USAF et des autres Agences à propos des Ovnis. Selon Odarenko, ni la Navy, ni l'Armée n'ont montré beaucoup d'intérêt pour les Ovnis.

Sceptique quant aux Ovnis, Odarenko a demandé que sa division soit déchargée de la responsabilité du suivi des rapports d'Ovnis. En 1955, par exemple, il recommandait que le projet entier soit clôturé parce qu'aucune nouvelle information, concernant les Ovnis, n'était apparue. D'autres parts, ajoutait-il, sa division faisait face à d'importante réduction de budget et ne pouvait gaspiller ses ressources. Chadwell, ainsi que d'autres fonctionnaires de l'Agence, continuait de s'inquiéter au sujet des Ovnis. Un souci grandissant provenait des observations d'Ovnis outre-mer et la rumeur que des ingénieurs Allemands, détenus par les Soviétiques, développaient une "soucoupe volante" comme une future arme de guerre.

Pour la majorité des décideurs politiques et militaires américains du milieu des années 50, l'Union Soviétique était devenue un adversaire dangereux. Le progrès soviétique dans l'armement nucléaire et les missiles guidés était particulièrement alarmant. A l'été 1949, L'URSS avait fait exploser une bombe atomique. En août 1953, seulement neuf mois après les essais américains d'une bombe à hydrogène, les soviétiques le faisaient à leur tour. Au printemps de 1953, une étude Top Secret de la Rand Corporation indiquait la vulnérabilité des bases de la SAC (Strategic Air Command) en cas d'attaque surprise de bombardiers Soviétiques à longue portée. Préoccupé par le danger d'une attaque soviétique contre les Etats-Unis qui ne faisait que croître, les observations d'Ovnis ajoutaient une inquiétude supplémentaire aux responsables américains.

L'augmentation des rapports d'Ovnis en Europe de l'est et en Afghanistan incitait à croire que les soviétiques faisaient de rapide progrès dans ce domaine. La CIA savait que les Britanniques et les Canadiens expérimentaient déjà des "soucoupes volantes". Le Projet Y était une opération conjointe Canada-Angleterre-États-Unis pour développer un engin non conventionnel en forme de soucoupe volante et les fonctionnaires de l'Agence craignaient que les soviétiques ne testent des dispositifs similaires.

Ajoutant aux soucis, une soucoupe volante fut aperçue par le Sénateur américain Richard Russell et son équipe alors qu'ils voyageaient dans un train en URSS en octobre 1955. Après de longs entretiens avec Russell et son groupe, la CIA a cependant conclut que l'observation de Russell ne soutenait pas la théorie que les Soviétiques auraient développé des avions ou en forme de soucoupe volante ou non conventionnels. Herbert Scoville, Jr., Directeur Adjoint de l'OSI, écrivit que les objets observés étaient probablement des avions normaux, des jets, en montée verticale.

Wilton E. Lexow, à la tête de la Division des Sciences Appliquées de la CIA, était aussi un sceptique. Il se demandait pourquoi les Soviétiques continueraient de développer des avions conventionnels s'ils avaient une soucoupe volante. Scoville demanda à Lexow de prendre la responsabilité d'évaluer les aptitudes et les limites des aéronefs non conventionnel et de conserver le dossier sur les Ovnis dans le fichier central de l'OSI.

 

 

Le rapport de la CIA : 2ème partie

Les U-2 de la CIA et OXCART comme Ovnis :

En novembre 1954, la CIA entrait dans le monde de la technologie de pointe avec le U-2, projet de reconnaissance aérien. Travaillant avec l'Advance Development de Lockheed à Burbank, Californie, connue sous le nom de Skunk Works, et Kelly Johnson, un éminent ingénieur aéronautique, l'Agence commençait, en août 1955, les essais en haute altitude d'un avion expérimental : le U-2. Il pouvait voler à 18.000 mètres alors que, au milieu des années 50, les avions de ligne volaient entre 3.000 et 6.000 mètres. En conséquence, une fois que le U-2 a commencé ses essais, les contrôleurs aériens et les pilotes commerciaux commençaient à rapporter un plus grand nombre d'Ovni.

Les premiers U-2 étaient de couleur argent (ils furent ultérieurement repeint en noir) et réfléchissaient les rayons du soleil, surtout à l'aube et au couché du soleil. Ils apparaissaient souvent comme des objets enflammés aux observateurs en dessous. Les enquêteurs du projet Bluebook de l'USAF étaient conscients du caractère confidentiel des vols de U-2 et essayaient d'expliquer les observations en les attribuant à des phénomènes naturels tels que les cristaux de glace et les inversions de température. En vérifiant avec le personnel de l'Agence chargé du projet U-2 à Washington, les enquêteurs du Bluebook purent attribuer beaucoup d'observations d'Ovnis aux vols de U-2. Ils prenaient garde, cependant, de ne pas révéler au public la vraie cause de l'observation.

Selon des estimations tardives du personnel de la CIA qui travaillaient sur le U-2 et le projet OXCART (SR-71, Blackbird), plus de la moitié de tous les rapports d'Ovnis de la fin des années 50 et des années 60 étaient dus à des vols de reconnaissance (notamment le U-2) au-dessus des États-Unis. Cela forçait l'USAF à tromper l'opinion publique et à faire des déclarations inexactes afin d'apaiser les craintes du public et à protéger un projet de sécurité nationale extraordinairement sensible. Bien qu'elle soit peut-être justifiée, cette tromperie amènera du carburant à la théorie conspirationiste et les accusations de complot des années 70. Le pourcentage de ce que l'USAF considérait comme des observations d'Ovnis inexpliqué tombèrent à 5.9% en 1955 et à 4% en 1956.

A cette époque, la pression montait pour que le rapport du Comité Robertson sur les Ovnis soit rendu public. En 1956, Edward Ruppelt, à la tête du projet Bluebook, révéla publiquement l'existence du Comité. Un best-seller, écrit par l'ufologue Donald Keyhoe, major retraité du Corps des Marines, préconisait la déclassification de toutes les informations détenues par le gouvernement au sujet des Ovnis. Des groupes de citoyens s'intéressant aux Ovnis, tel le National Investigations Committee on Aerial Phenomena (NICAP) et le Aerial Phenomena Research Organization (APRO) demandèrent aussitôt la publication du rapport du Comité Robertson. Sous la pression, l'USAF demanda à la CIA la permission de déclassifier et publier le rapport. Malgré cette pression, Philip Strong, Assistant Adjoint au Directeur de l'OSI refusa de déclassifier le rapport et ainsi révéler l'implication de la CIA vis-à-vis du Comité. Comme alternative, l'Agence prépara une version expurgée du rapport en effaçant toute référence à la CIA et en évitant toute mention de guerre psychologique en rapport avec la controverse Ovni.

Cependant, les demandes pour plus d'informations sur les Ovnis ne diminuaient pas. Le 8 mars 1958, Keyhoe, dans une interview avec Mike Wallace de CBS, déclara que la CIA était profondément impliquée dans les Ovnis et qu'elle avait financé le Comité Robertson. Cela initia une correspondance entre l'Agence et Keyhoe ainsi qu'avec le Dr Leon Davidson, un ingénieur chimiste et ufologue. Ils exigeaient la déclassification pleine et entière du rapport du Comité Robertson et la confirmation de l'implication de la CIA dans le problème Ovni. Davidson s'était lui-même convaincu que l'Agence, et non l'USAF, portait la plus grande responsabilité dans l'analyse des rapports d'Ovni et que "les activités du gouvernement américain étaient responsables des observations de soucoupes volantes lors de la dernière décennie." A cause du secret entourant les vols de l'U-2 et du projet OXCART, Davidson était plus près de la vérité qu'il ne le soupçonnait. La CIA, tenait néanmoins fermement à la politique de ne rien révéler de son rôle dans le dossier Ovni et refusait de déclassifier l'intégralité du rapport Robertson.

Lors d'une réunion avec des représentants de l'USAF pour discuter de la manière qui devrait être utilisée pour traiter les futures demandes telles celle de Keyhoe et Davidson, les responsables de l'Agence confirmaient leur opposition à la déclassification du rapport intégral et s'inquiétaient que Keyhoe soit en bon rapport avec le Vice amiral, Roscoe Hillenkoetter (DCI), qui faisait maintenant parti du comité de direction du NICAP. Il y eut un débat pour savoir si le Conseiller Général de la CIA, Lawrence R. Houston, devait montrer le rapport intégral à Hillenkoetter comme une voie possible pour désamorcer la situation. L'officier Frank Chapin, de la CIA, suggérait aussi que Davidson pourrait avoir d'autres motifs, "pas nécessairement dans le meilleur intérêt du pays", et suggéra de demander au FBI d'enquêter. Bien que les dossiers soient vagues sur l'enquête du FBI sur Davidson ou Keyhoe, ou si R. Houston a rencontré Hillenkoetter à propos du rapport Robertson, Hillenkoetter démissionnait du NICAP en 1962.

L'Agence fut également impliquée dans deux célèbres cas d'Ovnis avec Davidson et Keyhoe dans les années 50, qui aidèrent à faire accroître la méfiance du public envers la CIA sur le sujet des Ovnis. L'un fait état de l'enregistrement d'un signal radio provenant d'une soucoupe volante; l'autre sur des photos d'une soucoupe volante. L'incident du "signal radio" commença assez innocemment en 1955 quand deux soeurs agées, à Chicago, Mildred et Marie Maier, rapportèrent dans le Journal of Space Flight, leurs expériences avec les Ovnis incluant l'enregistrement d'une transmission radio dans lequel un code non identifié était entendu. Les soeurs enregistrèrent l'émission et d'autres opérateurs radio amateur disaient avoir entendu, eux aussi, le "message de l'espace". L'OSI s'y intéressa et contacta la Scientific Contact Branch afin d'obtenir une copie de l'enregistrement.

Les officiers supérieurs de la Division de Contact (CD), l'un d'eux étant Dewelt Walker, contactèrent les soeurs Maier, qui étaient "ravies que le gouvernement soit intéressé", et acceptèrent de les rencontrer. En voulant récupérer la bande, les officiers rapportèrent qu'ils étaient tombés dans une scène de 'Arsenic and Old Lace'. "La seule chose manquante était le vin de baie de Sureau", télégraphia Walker à l'État-major. Après avoir du regarder l'album des deux soeurs retraçant leurs vies, les officiers obtinrent une copie de l'enregistrement audio. L'OSI analysa la bande et découvrit qu'il ne s'agissait que d'un code morse émis par une station de radio américaine.

L'affaire en resta là jusqu'à ce que l'ufologue Leon Davidson parle avec les soeurs Maier en 1957. Les soeurs se rappelaient qu'elles avaient parlé avec un M. Walker qui disait être de l'USAF. Davidson écrivit alors à un M. Walker, pensant qu'il était un Officier des Renseignements de l'USAF à Wright-Patterson, et demanda si la bande avait été analysée par l'ATIC. Dewelt Walker répondit à Davidson que la bande avait été envoyée aux autorités compétentes pour l'évaluation et qu'aucune information n'était disponible quant aux résultats. Nullement satisfait tout en soupçonnant Walker d'être un agent de la CIA, Davidson écrivit ensuite à Allen Dulles (DCI) lui demandant ce que le message codé révélait et qui était M. Walker. L'Agence, voulant garder secret le lien entre Walker et la CIA, répondit qu'une autre Agence du gouvernement avait analysé la bande en question et que Davidson recevrait des informations de la part de l'USAF. Le 5 août, l'USAF écrivit à Davidson que Walker "était et reste un Officier de l'USAF" et que la bande "avait été analysée par une autre organisation gouvernementale." La lettre de l'USAF confirmait que l'enregistrement radio ne contenait que du code morse identifiable qui provenait d'une station radio autorisée.

Davidson écrivit de nouveau à Dulles. Cette fois il voulait connaître l'identité de l'opérateur et de l'Agence qui avait fait l'analyse. La CIA et l'USAF étaient dans l'embarras. L'Agence avait nié qu'elle avait analysé la bande. L'USAF avait aussi nié avoir analysé la bande et déclarait que ce Walker était un officier de l'USAF. Des agents de la CIA, incognito, contactèrent Davidson à Chicago en lui promettant d'obtenir la traduction du code et l'identification de l'émetteur, si possible.

Dans une autre tentative pour apaiser Davidson, un agent de la CIA, toujours incognito et portant son uniforme de l'USAF, contacta Davidson à New York. L'agent de la CIA expliqua qu'il n'y avait aucune super-Agence impliquée et que la politique de l'USAF était de ne pas dévoiler qui fait quoi. Laissant croire qu'il comprenait cet argument, Davidson demanda néanmoins à connaître le contenu du message et sa source. L'agent accepta de voir ce qu'il pourrait faire. Après avoir vérifié avec l'État-major, l'agent de la CIA téléphona à Davidson pour rapporter que, après une recherche approfondie, étant donné que le signal était d'origine américaine et connue, la bande et les notes écrites avaient été détruites pour récupérer de l'espace occupé par ces dossiers.

Furieux, pensant s'être fait berner, Davidson dit à l'agent de la CIA que "lui et son Agence, peu importe laquelle, agissaient comme Jimmy Hoffa et les 'Teamster Union' en détruisant les dossiers qui pourrait les incriminer". Croyant que d'autre contact avec Davidson ne ferait qu'encourager plus de spéculation, la CD s'en lava les mains et rapporta au DCI et à l'ATIC qu'il ne répondrait plus ni ne tenterait d'autres contacts avec Davidson. C'est ainsi, que d'un incident mineur, et plutôt banal, géré maladroitement par la CIA et l'USAF, fut transformé en un volet majeur en rajoutant de "l'huile sur le feu" dans le mystère entourant les Ovnis et le rôle que tint la CIA dans leur étude.

Un autre incident mineur quelques mois plus tard, ajouta de nouvelles questions sur le vrai rôle de l'Agence vis-à-vis des soucoupes volantes. La préoccupation du secret par la CIA ne fit qu'empirer les choses. En 1958, le Major Keyhoe accusa l'Agence de demander délibérément aux témoins oculaires d'Ovnis de ne pas parler de leurs observations au public.

L'incident provient d'une demande faite en novembre 1957 de l'OSI au CD, pour obtenir de Ralph C. Mayher, un photographe de KYW-TV à Cleveland, Ohio, certaines photos qu'il avait pris en 1952, d'un objet volant non identifié. Harry Real un agent du CD, contacta Mayher et obtint des copies des photos pour analyse. Le 12 décembre 1957, John Hazen, un autre agent du CD, renvoya les cinq photos d'Ovnis à Mayher sans aucuns commentaires. Mayher demanda à Hazen ce qu'avait donné l'évaluation des photos, expliquant qu'il souhaitait organiser un documentaire télévisé sur les Ovnis. Il voulait mentionner, lors de l'émission, qu'une Agence de renseignement américaine avait vu les photographies et les avaient trouvées intéressantes. Bien qu'il ait déconseillé à Mayher d'utiliser cette approche, Hazen ajouta que Mayher était un citoyen américain et qu'il devrait prendre sa propre décision quand à ce qu'il devait faire.

Plus tard, Keyhoe contacta Mayher, qui lui conta l'histoire des photographies et de la CIA. Keyhoe demanda à l'Agence de confirmer que Hazen faisait bien parti de leurs effectifs toujours dans l'intention de dévoiler le rôle de la CIA dans l'étude des Ovnis. L'Agence refusa, malgré le fait que les représentants du CD portaient les pièces justificatives identifiant leur association à l'Agence. John S. Earman, l'aide de Dulles, envoya une simple lettre évasive à Keyhoe notant que, puisque les Ovnis étaient principalement du ressort de l'USAF, l'Agence avait transféré sa lettre à l'USAF pour une réponse appropriée. Comme pour Davidson, la réponse de l'Agence à Keyhoe ne fit qu'alimenter les spéculations voulant que l'Agence soit profondément impliquée dans les observations d'Ovni. La pression pour obtenir les informations détenue par la CIA sur les Ovnis continua ainsi à croître.

Bien que la CIA soit moins intéressé par les cas d'Ovnis, elle n'en continuait pas moins de surveiller ce qui s'y passait. Les agents de l'Agence sentaient le besoin de se tenir au courant sur les Ovnis pour en informer le DCI s'il y avait des rapports sensationnels.

Les années 60 : baisse de la participation de la CIA et montée de la controverse :

Au début des années 60, Keyhoe, Davidson, et d'autres ufologues continuèrent d'harceler l'Agence pour la déclassification des informations sur les Ovnis. Davidson clamait maintenant que la CIA "était l'unique responsable de la folie sur les Ovnis et qu'elle l'utilise comme d'un outil de guerre psychologique pendant la guerre froide depuis 1951." Malgré les demandes d'audiences du Congrès et la déclassification de tout ce qui concerne les Ovnis, peu de choses ont changé.

Cependant, en 1964, à la suite de discussions à la maison Blanche sur les actions à entreprendre si une intelligence extraterrestre était découverte dans l'espace et qu'une nouvelle vague d'observations d'Ovni déferlait, le DCI John McCone demanda une mise à jour de l'évaluation du dossier Ovni à la CIA. En réponse à la requête de McCone, l'OSI demanda au CD d'obtenir différents échantillons et rapports récents sur les observations d'Ovnis au NICAP. Keyhoe, l'un des fondateurs, n'étant plus actif dans l'organisation, les agents de la CIA rencontrèrent Richard H. Hall, le directeur par intérim. Hall donna aux agents des extraits de la base de données du NICAP sur les plus récentes observations.

Après que les agents de l'OSI aient étudiés le dossier, Donald F. Chamberlain, Directeur Assistant de l'OSI, assura à McCone que peu de choses avaient changé depuis le début des années 50. Il n'y avait toujours aucune évidence que ces Ovnis étaient une menace pour la sécurité des États-Unis ou qu'ils étaient "d'origine étrangère". Chamberlain expliqua à McCone que l'OSI surveillait encore les rapports d'Ovnis, incluant l'enquête de l'USAF, le Projet Bluebook.

En même temps que la CIA conduisait cette étude interne, la pression publique forçait l'USAF à établir un comité spécial ad hoc pour revoir le projet Bluebook. Présidé par le Dr Brian O'Brien, un membre du Conseil Consultatif Scientifique de l'USAF, le comité comptait la présence de Carl Sagan, le célèbre astronome de l'Université de Cornell. Son rapport n'offrait rien de nouveau. Il déclarait que ces Ovnis ne menaçaient pas la sécurité nationale et qu'ils ne trouvèrent "aucun cas d'Ovni qui représentait une technologie ou une science se situant en dehors du cadre terrestre". Le Comité recommandait que les Ovnis soient étudiés intensivement par une université importante qui agirait comme coordonnateur pour le projet, afin de régler le problème définitivement.

Le House Armed Services Committee a tenu aussi de brèves audiences sur les Ovnis en 1966 et a obtenu des résultats similaires. Le secrétaire de l'USAF, Harold Brown, a informé le comité que la plupart des observations étaient aisément expliquées et qu'il n'y avait aucune évidence que des "êtrangers d'outre espace" aient visité la Terre. Il ajouta cependant que l'USAF gardait l'esprit ouvert et continuait l'étude de tous les rapports d'Ovnis.

A la suite du rapport du Comité O'Brien, les audiences de la House Armed Services Committee sur les Ovnis et les révélations sur le réseau CBS que la CIA était impliqué dans le Comité Robertson, l'USAF contacta une fois de plus l'Agence, en juillet 1966, pour déclassifier le rapport Robertson de 1953 et l'intégral du rapport Durant sur les délibérations et les conclusions du Comité Robertson. L'Agence refusa toujours de bouger. Karl H. Weber, Directeur adjoint de l'OSI, écrivit à l'USAF : "Nous sommes très anxieux de ne voir aucune publicité envers une quelconque information selon laquelle le Comité était parrainé par la CIA." Weber notait qu'il y avait déjà une version expurgée disponible pour le public. La réponse irréfléchie de Weber manquait de vision à long terme. Il ne faisait qu'attirer encore plus l'attention sur le Comité Robertson (dissous depuis 13 ans) et sur le rôle de la CIA dans les investigations sur les Ovnis. Le rédacteur scientifique de The Saturday Review attira l'attention dans le pays entier, sur le rôle de la CIA dans l'étude des Ovnis quand il publia un article critiquant la "version expurgée" du rapport Robertson de 1953 et demanda la déclassification du document entier.

A l'insu des agents de la CIA, le Dr. James E. McDonald, un physicien atmosphérique renommé de l'Université de l'Arizona, avait déjà vu le rapport Durant sur les délibérations du Comité Robertson à Wright-Patterson, le 6 juin 1966. Quand McDonald revint à Wright-Patterson, le 30 juin, pour copier le rapport, l'USAF lui refusa l'accès, en précisant qu'il s'agissait d'un document classifié de la CIA. Émergeant comme une autorité en matière d'Ovni, McDonald affirma publiquement que la CIA était derrière la politique de secret de l'USAF et sa tentative pour étouffer l'affaire. Il exigeait la déclassification complète des rapports du Comité Robertson et de Durant.

Cédant devant les pressions publiques et la recommandation de son propre Comité O'Brien, l'USAF annonça, en août 1966, qu'ils étaient à la recherche d'une université importante qui accepterait un contrat pour entreprendre un programme intensif d'enquête sur les observations d'Ovnis. Ce nouveau programme avait été conçu pour atténuer les continuelles déclarations que le Gouvernement avait quelque chose à dissimuler sur les Ovnis. Le 7 octobre, l'Université du Colorado acceptait un contrat de $325,000 avec l'USAF pour une étude de 18 mois sur les soucoupes volantes. Le Dr. Edward U. Condon, un physicien de l'Université du Colorado et ancien Directeur du National Bureau of Standards, accepta de diriger le programme. Se décrivant lui-même comme un "agnostique" au sujet des d'Ovnis, Condon ajoutait qu'il avait un esprit ouvert sur la question et pensait que l'origine extraterrestre était "improbable mais pas impossible". Le Brig. Gen. Edward Giller, USAF, et le Dr. Thomas Ratchford du Bureau de Recherche et du Développement de l'USAF devinrent les coordinateurs de l'USAF pour le projet.

En février 1967, Giller contacta Arthur C. Lundahl, Directeur du National Photographic Interpretation Center (NPIC) de la CIA, et proposa une liaison informelle par laquelle le NPIC pourrait fournir au Comité Condon les services et conseils techniques dans l'examen des photos d'Ovnis. Lundahl et DDI R. Jack Smith approuva la disposition comme une "porte de sortie" vis-à-vis de ce nouvel effort. Cependant, ils voulaient que la CIA et le NPIC gardent un profil bas et ne prennent aucune part à la rédaction des conclusions du Comité. Aucun travail fait pour le comité par NPIC ne devrait être reconnu formellement.

Ensuite, Ratchford demanda que Condon et son comité puissent visiter le NPIC afin de discuter des aspects techniques du problème et voir l'équipement spécial que le NPIC avait pour l'analyse photographique. Le 20 février 1967, Condon et quatre membres de son comité vinrent visiter le NPIC. Lundahl réitéra la condition que tout travail du NPIC pour aider le comité ne devrait pas être identifié comme un travail de la CIA. De plus, le travail exécuté par le NPIC serait strictement de nature technique. Après avoir reçu ces principes, le groupe entendit une série de présentations sur les services et équipements non disponibles ailleurs qu'à la CIA qui avait été employé dans l'analyse de photographies d'Ovnis fournis par Ratchford. Condon et son comité furent impressionnés.

Condon et le même groupe se réunir à nouveau au NPIC, en mai 1967, afin d'entendre une analyse des photos d'Ovnis prises à Zanesville, Ohio. L'analyse démystifia cette observation. Le comité fut, encore une fois, impressionné par le travail technique exécuté et Condon remarqua que pour la première fois une analyse scientifique d'un Ovni tiendrait tête à l'enquête. Le groupe discuta aussi des plans du Comité de faire appel aux citoyens afin d'obtenir des photos supplémentaires et de publier des directives pour prendre des photos d'Ovnis utiles. En plus, les fonctionnaires de la CIA ont convenu que le Comité Condon puisse déclassifier le rapport Durant dans sa presque totalité, avec seulement quelques suppressions mineures.

En Avril 1969, Condon et son comité déposaient leur rapport sur les Ovnis. Le rapport concluait qui peu de choses était ressorti de l'étude des Ovnis au cours des 21 dernières années et qu'étudier davantage les observations d'Ovnis était injustifié. Il recommandait aussi que le projet Bluebook de l'USAF soit interrompu. Il ne mentionnait pas la participation de la CIA dans l'enquête du Comité Condon. Un comité spécial établi par la National Académy of Sciences examina le rapport Condon et arriva à la même conclusion : "Aucune des données datant de ces deux dernières décennies ne justifiait une enquête prioritaire sur les Ovnis." Le Comité conclu son examen en déclarant : "Sur la base des connaissances actuelles, l'explication la moins vraisemblable pour expliquer les Ovnis est l'hypothèse de visites par des êtres extraterrestres." Suite aux recommandations du Comité Condon et de l'Académie Nationale des Sciences, le Secrétaire de l'USAF, Robert C. Seamans Jr., a annoncé, le 17 décembre 1969, la fin du projet Bluebook.

Les années 70 et 80 : le problème Ovni refuse de mourir

Le rapport Condon n'a pas satisfaisait beaucoup d'ufologues, qui le considère comme une diversion pour mieux camoufler les activités de la CIA dans la recherche Ovni. Des observations complémentaires du début des années 70 vinrent alimenter les croyances que la CIA était, d'une manière ou d'une autre, impliqué dans un complot de grande envergure. Le 7 juin 1975, William Spaulding, chef d'un petit groupe sur les Ovnis, le Ground Saucer Watch (GSW), écrivit à la CIA pour obtenir une copie du rapport du Comité Robertson et de tous les dossiers relatifs aux Ovnis. Spaulding était convaincu que l'Agence soustrayait des dossiers majeurs sur les Ovnis. Les agents de l'Agence fournirent à Spaulding une copie du rapport Robertson et du rapport Durant.

Le 14 juillet 1975, Spaulding écrivit à nouveau à l'Agence en mettant en doute l'authenticité des rapports qu'il avait reçus tout en alléguant une nouvelle tentative pour étouffer l'affaire sur les activités Ovnis de la CIA. Gene Wilson, Coordonnateur de l'Information pour la CIA, répondit à Spaulding, en essayant de le satisfaire, "qu'à aucun moment antérieurement à la formation du Comité Robertson et postérieur à la publication du rapport du Groupe d'experts, la CIA ne s'est trouvé impliquée dans l'étude du phénomène Ovni." Le rapport du Comité Robertson était, selon Wilson, "la somme des intérêts et de l'Agence et de son implication dans les Ovnis." Wilson informa aussi qu'il n'y avait pas de document supplémentaire en possession de la CIA qui faisait référence aux Ovnis. Wilson était mal informé.

En septembre 1977, Spaulding et le GSW, pas convaincu par la réponse de Wilson, déposa une Freedom of Information Act (FOIA) devant les tribunaux, contre l'Agence en demandant spécifiquement tous les documents sur les Ovnis que possédait la CIA. Inondée par des requêtes d'information FOIA similaires sur les Ovnis, les agents de la CIA consentaient, après bien des manoeuvres juridiques, d'effectuer une recherche «raisonnable» dans les fichiers de la CIA pour ce qui concerne les Ovnis. En dépit d'une attitude antipathique de l'Agence envers les costumes trois-pièces, les agents, menés par Launie Ziebell du Bureau de l'Avocat Général, menèrent des recherches approfondies de documents relatifs aux Ovnis. Persistant, exigeant, et même menaçant à la fois, Ziebell et son groupe fouillèrent partout. Ils trouvèrent même un vieux dossier d'Ovni sous le bureau d'une secrétaire. La recherche produisit finalement 355 documents totalisant quelque 900 pages. Le 14 décembre 1978, l'Agence les déclassifiaient tous, sauf 57 représentant près de 100 pages destinés au GSW. Il retenait ces 57 documents pour des raisons de sécurité nationale et pour protéger les sources et les méthodes.

Bien que les documents libérés ne contiennent aucune information extraordinaire et qu'ils ne révélaient que le peu d'intérêt que portait l'Agence au phénomène Ovni après le rapport du Comité Robertson de 1953, la presse traita cette déclassification d'une manière sensationnelle. Le New York Times, par exemple, a fait valoir que les documents déclassifiés montrent les préoccupations du gouvernement pour le phénomène Ovni et que l'Agence était secrètement impliquée dans la surveillance des Ovnis. Le GSW poursuivit l'Agence devant les tribunaux pour obtenir la déclassification des documents encore détenus, soutenant que l'Agence était toujours en possession de documents clefs. C'est comme pour l'assassinat de John F. Kennedy. Peu importe le nombre de documents que l'Agence publiait, et peu importe qu'ils soient ennuyeux et inconséquents, les gens continuent de croire que l'Agence est mêlée dans des tentatives de dissimulation et de conspiration.

Le DCI Stansfield Turner était si bouleversé quand il lit l'article du New York Times qu'il demanda à ses officiers supérieurs, "Sommes-nous dans les Ovnis ?" Après avoir examiné les dossiers, Don Wortman, Directeur adjoint pour l'Administration, a signalé à Turner qu'il n'y avait "aucun effort organisé par l'Agence pour faire des recherches dans le cadre du phénomène Ovni ni, de même, il n'y eu aucun effort organisé pour recueillir des informations sur les Ovnis depuis les années 50." Wortman assura Turner que les dossiers de l'Agence ne contenaient que "quelques correspondances sporadiques traitant de ce sujet", y compris divers types de rapports d'observations d'Ovnis. Il n'y avait aucun programme actif de l'Agence pour recueillir des informations sur les Ovnis, et les documents déclassifiés pour le GSW seraient très peu censurés. Rassuré, Turner fit pression sur l'Avocat Général pour obtenir un jugement sommaire par rapport aux nouveaux procès du GSW. En mai 1980, les tribunaux ont rejeté l'action en justice, estimant que l'Agence avait fait une recherche approfondie et adéquate en toute bonne foi.

Au cours de la fin des années 70 et 80, l'Agence conserva un intérêt modéré envers les Ovnis et les observations d'Ovnis. Si la plupart des scientifiques réfutaient maintenant les rapports de soucoupe volante dans le cadre pittoresque des années 50 et 60, certains au sein de l'Agence et de la communauté du renseignement transférait leur intérêt sur l'étude de la parapsychologie et des phénomènes psychiques associés aux observations d'Ovnis. Les responsables de la CIA s'attaquaient aussi au problème de déterminer ce que les observations d'Ovnis pourraient dévoiler sur le progrès des soviétiques en matière de fusée et de missile et révisa ses aspects du contre-espionnage. Les analystes de l'Agence, Division des Sciences de la Vie de l'OSI et de l'OSWR consacraient une petite partie de leur temps aux questions relatives aux Ovnis. Ces préoccupations du contre-espionnage venaient de ce que les Soviétiques et le KGB utilisaient des citoyens Américains et des associations sur les Ovnis pour obtenir des informations sensibles sur les programmes de développement d'armes américains (tel que l'avion furtif), sur la vulnérabilité de la défense aérienne aux États-Unis dans l'utilisation de missiles calquant les caractéristiques des Ovnis, et les progrès évidents des soviétiques associés aux observations d'Ovnis.

La CIA s'occupait également de la coordination entre l'Intelligence Community et d'autres Agences pour ce qui concerne la parapsychologie, les phénomènes psychiques, et la vision à distance (remote viewing). En général, l'Agence garda une attitude scientifique conservatrice devant ces problèmes scientifiques originaux. Il n'y avait pas de projet formel ou officiel sur les Ovnis au sein de l'Agence pendant les années 80, et les fonctionnaires de l'Agence gardaient délibérément un minimum de dossiers sur les Ovnis pour ne pas créer de documents qui pourraient tromper le public s'ils étaient déclassifiés.

Les années 80 virent de nouvelles accusations sur le fait que l'Agence détenait des documents relatifs à l'incident de Roswell en 1947 dans lequel une soucoupe volante se serait prétendument écrasée au Nouveau Mexique, ainsi que sur l'apparition de documents révélant l'existence d'un projet américain top secret de développement et de recherche sur les Ovnis, responsable directement devant le Président, dans les années 40 et début des années 50. Les ufologues ont longtemps suggéré que, suite à l'accident de soucoupe volante au Nouveau Mexique, en 1947, le gouvernement avait, non seulement récupéré les décombres de la soucoupe écrasée, mais aussi quatre ou cinq corps d'extraterrestres. Selon certain ufologues, le gouvernement a renforcé la sécurité pour garder le secret sur ce projet et refusait de divulguer les résultats d'enquête et de recherche. En septembre 1994, l'USAF produisit un nouveau rapport sur l'incident de Roswell qui concluait que les débris trouvé au Nouveau Mexique en 1947 était probablement ceux d'un ballon du projet Mogul, autrefois top secret, conçu pour surveiller l'atmosphère dans le but de détecter des indices sur les essais nucléaires Soviétiques.

En 1984, Circa est une série de documents qui firent surface et qui, pour certains ufologues, prouvaient que le président Truman a créé un Comité Top Secret en 1947, baptisé Majestic-12, pour sécuriser la récupération d'une épave d'Ovni à Roswell et de tout autre futur accident d'Ovni en vue d'études scientifiques et pour examiner les corps d'extraterrestres récupérés sur de tels sites. La plupart sinon la totalité de ces documents se sont révélés être fabriqués. Pourtant, la controverse persiste.

Comme pour les théories du complot sur l'assassinat de JFK, la question des Ovnis n'est pas prête de disparaître, quoique l'Agence fasse ou dise. La croyance que nous ne sommes pas seuls dans l'univers comporte une telle charge émotionnelle, et la méfiance envers notre gouvernement est trop bien établie pour que le sujet se prête à des études scientifiques traditionnelles avec des preuves et des explications rationnelles." - Source

dificultnspa, pour Ovnis-USA

27/10/2015

Le Joker de Poutine en Syrie – Veterans Today

Allez on s’éveille un peu aux réalités et à tout ce qui se passe derrière notre dos.

En lien avec les précédents articles, ci-dessous :

1er indice : La Russie Ordonne à Obama de parler au monde à propos des extraterrestres, ou nous le ferons

2ème indice : NSA, un scandale mondial, Snowden obtient l'asile politique en Russie

USA : Le MJ12 ou le Gouvernement Secret par William Cooper

Pour ceux qui sont ignorants des guerres qui se passent dans l’espace, le site de Veterans Today tient à jour les informations que vous trouverez par ce lien : ICI


Le Joker de Poutine en Syrie – Veterans Today
oct 23, 2015

 

« Des sources bien implantées en Russie nous ont informés que la Fédération de Russie avait signé un traité avec un certain groupe aliène extraterrestre, et il se trouve que ce dernier est en conflit de longue date avec un certain groupe qui a apparemment « conseillé et dirigé » les décideurs politiques de la mafia khazar qui leur ont servi d’agents pour prendre le contrôle du monde entier. »

 

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Par Preston James, le 14 octobre 2015

Lorsque Poutine a décidé de venir en aide à la Syrie pour résister aux assauts incessants de l’EIIL, il a mis rapidement en échec la vendetta sanglante de 1300 ans opposant la mafia khazar (RKM*) au peuple non-khazar de la Russie. Il y a un arrière-plan beaucoup plus grand dans cette affaire de confiance affichée de la défense assumée par Poutine de son allié syrien de longue date qui a appelé la Fédération de Russie à l’aide pour se défendre contre les attaques incessantes de l’EIIL, façade de la mafia khazar.

Remarque : même si certains des directeurs de Veterans Today possèdent des autorisations leur permettant d’avoir accès à des informations sur la Guerre Spatiale Secrète, aucune des informations sur ce sujet de notre article ne provient d’eux ou par eux, mais de sources extérieures indépendantes. Si vous n’êtes pas au courant des derniers développements en matière de Guerre Spatiale Secrète, vous allez probablement perdre votre temps en lisant cet article. La meilleure source d’informations facilement accessible sur le fond concernant la Guerre Spatiale Secrète et la confidentialité qui les entoure est le chercheur respecté et auteur connu Richard Dolan. Si vous avez lu ses livres, en particulier le dernier, et si vous avez regardé ses présentations sur www.youtube.com , vous aurez une assez bonne connaissance de ces sujets classés top secret. C’est un long article et ceux qui veulent avoir un résumé peuvent lire les titres et auront un assez bon aperçu.

Dans un des revirements les plus inattendus de l’histoire moderne, à la demande de son allié la Syrie, Poutine et la Fédération de Russie ont transféré des avions militaires russes en Syrie, et lancé des missiles de croisière de dernière génération sur 1600 kilomètres pour décimer rapidement plus de 40% de l’EIIL.

 

 Cette défense audacieuse et inattendue de son allié syrien de longue date, mettant échec et mat l’EIIL, est en réalité une mise en échec toute la mafia khazar et a provoqué une onde de choc à travers le monde, ce qui a plongé le Pentagone dans le désarroi le plus complet. Cela a également provoqué un choc, la consternation et la colère chez le Likoud, Netanyahou et leurs alliés de la région, au point de provoquer la débandade. Les Israéliens deviennent de plus en paranoïaques, ne cessant d’acheter des armes, et s’attendant à une invasion de toutes parts à tout moment. Le retour de bâton ne saurait tarder et tout l’enfer sur Terre que ces Likoudistes ont créé pour les Palestiniens va maintenant s’étendre à Israël.

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le Likoud

A moins de faire place nette de la mafia khazar corrompue, des infiltrés au Pentagone et de démanteler la CIA, la Sécurité intérieure (DHS) et le Système de la Banque Centrale de la Réserve Fédérale, il est probable que les Américains subiront le traitement des Palestiniens de la part de la machine terroriste israélo-américaine qui se prépare à mener une guerre interne cruciale contre le Peuple américain. Leurs plans ? Intensifier les dissensions et poursuivre sans faiblir leur quête incontestée pour transformer l’Amérique en GAZA II, le plus récent et le plus important camp de prisonniers à ciel ouvert et faire de nous leurs nouveaux Palestiniens, après bien sûr nous avoir dépouillés de tous nos biens et nous avoir transformés en serfs et en esclaves sans le sou.

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Les Israéliens ont été induits à croire que la Russie leur en veut, mais rien n’est plus faux, c’est la mafia khazar et ses dirigeants qui s’en sont pris aux Russes non-khazar depuis de nombreuses années. Les croyances paranoïaques de cela sont des « projections psychologiques », un effet sous jacent invisible permettant d’accuser les autres de ce que vous avez fait en secret mais que vous refusez d’admettre vous-même et à l’égard des autres, un mécanisme psychologique que la mafia khazar et beaucoup d’Israéliens connaissent bien  et qui les protège de la vérité à tout prix, même des conséquences qui les attendent à l’avenir.

Rien de tout cela n’est nécessaire parce que tout ce qu’ils ont à faire est d’évincer Netanyahou et les terroristes du Likoud et de poursuivre le processus de paix qui aurait dû être conclu il y a de nombreuses années déjà en restituant aux Palestiniens les territoires selon les frontières de 1947. Malheureusement les partisans de la paix en Israël ont été ignorés et marginalisés pendant des années par les faucons instrumentalisés par la mafia khazar qui sont paranoïaques à un niveau extrême et sont toujours partisans d’une stratégie de frappe préventive. Cette fois ils n’ont pas vu arriver la défense de la Syrie par Poutine et ont été complètement pris par surprise.

Ils pensaient que leurs marionnettes au Pentagone ne permettraient jamais une initiative comme celle de Poutine. Ils n’auraient pas pu se tromper encore plus, parce que le Pentagone a été dépassé lui-même par les dernières armes high-tech mises en œuvre par les Russes, et qui fonctionnent comme cela a été décrit, désarmant complètement le Pentagone.

Maintenant le Pentagone s’en prend à la CIA en les accusant d’être des incapables et la CIA s’en prend au Pentagone. Tous deux ont agi sous la coupe et la mainmise de la mafia khazar et d’Israël, aidés et encouragés par les traîtres que sont les citoyens à la double nationalité israélo-américaine partisans « d’Israël d’abord ». Et pour la première fois, grâce à l’identification des véritables auteurs du 11 septembre, on peut appeler ces gens là par leur nom (les membres du PNAC*, les dirigeants néoconservateurs et leurs complices achetés et vendus par la mafia khazar et ses sociétés-écrans en Amérique comme l’AIPAC).

*Project for a New American Century

 Il est probable que cet échec cuisant de la mafia khazar mènera à la perte de son pouvoir, à l’échec de son « Plan du Grand Israël » d’occupation de tout le Moyen-Orient et ensuite du monde entier, y compris par l’utilisation de l’OTAN pour encercler la Russie et la marginaliser.

Le résultat final de cette série de révélations et d’échecs de la mafia khazar en Syrie qui a été provoquée par cet affront inattendu de la Fédération de Russie contre la mafia khazar est susceptible d’entraîner l’effondrement total de l’Empire du Mal de la Mafia Khazar dans le monde entier.

Le dernier groupe de porte-avions américains au Moyen-Orient a été rappelé aux Etats-Unis, et cela a suffi pour en bouleverser beaucoup qui croyaient que les porte-avions américains et leur missiles de défense Aegis de dernière génération étaient invincibles et devraient rester en poste pour arrêter l’EIIL.

Mais nous savons à présent que l’EIIL est une machine terroriste de création israélo-américaine et que les porte-avions américains sont extrêmement vulnérables. Certains des meilleurs experts en armement considèrent que ces porte-avions sont des cibles faciles pour la nouvelle technologie de pointe russe* récemment utilisée, qui est capable de désactiver temporairement les circuits électriques et électroniques, y compris les systèmes radars, les sonars ainsi que les systèmes de lancement de missiles Aegis.

*fournie par l’inventeur et ingénieur nucléaire M.T. Keshe (NdT.)

La défense agressive de la Fédération de Russie de la Syrie contre l’EIIL a immédiatement mis échec et mat la machine terroriste israélo-américaine pour la première fois de l’histoire. Mais elle a également mis en lumière d’abord ceux qui ont créé, équipé et financé l’EIIS, l’EIIL, Daesh, Al Qaida et Al Nusra et assimilés.

Il est maintenant évident pour tout le monde que l’EIIL, l’EIIS, Daesh, Al Qaida et Al Nusra et assimilés ne sont rien d’autre que des mercenaires rémunérés par la machine terroriste israélo-américaine, créés de toutes pièces, conçus et mis en œuvre par un terrorisme de type Gladio*, dans le seul objectif de favoriser le projet du Nouvel Ordre Mondial de la mafia khazar des Rothschild.

*Gladio était un projet de l’OTAN de constituer des réseaux destinés à commettre des actes de terrorisme et de sabotage en cas d’invasion de l’Europe occidentale par le bloc soviétique (NdT.)

En fait, nous savons maintenant avec certitude que cette machine terroriste israélo-américaine est profondément intégrée à l’OTAN et n’est qu’une extension de l’ancienne « armée nazie restante » (« left-behind ») appelée Gladio, laquelle était destinée à constituer un rempart contre le communisme rampant, mais qui s’est transformée en agent du terrorisme international* agissant pour le compte du projet global du Nouvel Ordre mondial de la City de Londres-mafia khazar des Rothschild.

*notamment par le biais du « service action » du très secret DVD (Deutscher Verteidigunsdienst) basé à Munich, spécialisé dans les recrutements de « politiciens prometteurs » et les sabotages d’avions. (NdT.)

 La mafia khazar agit par l’intermédiaire d’agents du terrain et d’intermédiaires bien payés, sous contrôle mental, totalement compromis par du chantage. Les décideurs politiques de la mafia khazar préfèrent rester dans l’ombre mais leurs empreintes apparaissent partout où cette machine terroriste israélo-américaine de style Gladio montre son horrible tête.

 Cette machine terroriste israélo-américaine est utilisée pour déstabiliser des nations souveraines, ou pour détruire leur système bancaire indépendant de celui de la mafia khazar, indépendant de leur système monétaire privé, ou pour fournir des occasions de mettre la main sur leurs ressources naturelles. Mais elle sert également à détruire toute menace que ces nations souveraines pourraient poser à l’expansion de leur empire, un empire secret qui agit par l’entremise de « monnaie contrefaite » qui n’est garantie par rien, et de politiciens élus corrompus et sous le contrôle d’intermédiaires rémunérés.

Lorsque l’Empire colonial Britannique a commencé à s’effondrer, les décideurs politiques de la mafia khazar ont décidé de dissimuler l’Empire de la mafia khazar dans un Empire bancaire secret. Par conséquent la mafia khazar a décidé d’accompagner et de contrôler les velléités d’indépendance de beaucoup de colonies qui souhaitaient acquérir leur indépendance.

Mais au cours de tout le processus, dans chaque nation indépendante ils ont recruté de nombreux agents à leur solde, chargés de conserver leur emprise financière sur chaque nation nouvellement indépendante. Donc techniquement, nous avons assisté à la fin de l’Empire de la mafia khazar sous la forme de l’Empire de la Couronne Britannique, mais en fait il est plus puissant que jamais.

Les décideurs politiques au sommet de l’Empire mafieux khazar ont été furieux lorsque les Russes sont intervenus dans leur Guerre Révolutionnaire et ils ont décidé qu’ils devraient récupérer ultérieurement l’Amérique par divers moyens. La Guerre de Sécession a été une autre tentative pour reprendre le contrôle de l’Amérique au profit de la mafia khazar, mais une fois de plus, en raison de l’intervention de la Russie, la mafia khazar échoua lamentablement. Soit dit en passant, la mafia khazar influait sur les deux camps pour essayer de créer une discorde aussi importante que possible entre le Nord et le Sud dans le cadre de leur stratégie habituelle de diviser pour régner.

La boucle routinière consistant à essayer de recoloniser secrètement l’Amérique a toujours constitué leur stratégie par défaut pour faire de l’Amérique une partie de leur Empire Bancaire secret. Mais cela aussi avait échoué lamentablement, et le Président Andrew Jackson avait pleinement révélé cette tentative et expulsé les banksters de la mafia khazar qui avaient essayé de mettre la main sur le système d’émission et de mise en circulation monétaire américain.

La mafia khazar a ordonné l’assassinat du Président Lincoln pour la même raison qu’il a ordonné à ses sbires de l’état-major interarmées et de la CIA d’assassiner John F. Kennedy, parce que tous les deux avaient décidé d’imprimer et de distribuer leur propre monnaie des Etats-Unis, sans prélever d’intérêts pour cet usage. Lorsque Lincoln avait négocié avec les banksters de la mafia khazar pour financer sa première tranche de la Guerre de Sécession, on lui a annoncé un intérêt de 39%. Il a immédiatement rejeté l’offre et a commencé à imprimer et à distribuer des dollars américains appelésgreenbacks sans prélever d’intérêts pour leur utilisation. Cela a aussitôt provoqué la colère des banksters de la mafia khazar qui ont immédiatement commencé à comploter son assassinat. Les auteurs qui ont été pendus n’étaient que des exécutants.

Booth a été autorisé à s’échapper parce que le Secrétaire d’Etat à la Guerre était probablement impliqué dans un complot secret de la Franc-maçonnerie britannique, qui dirigeait tout au sommet de l’état et mettait en cause la sécurité présidentielle totalement corrompue, tout comme les membres du Secret Service qui ont abandonné la protection JFK et ont participé à son assassinat en tant que figurants, en particulier le chauffeur Greer, lesquels ont également contribué à tout étouffer parce qu’ils avaient peur de se faire coincer. D’énormes fonds de la mafia khazar ont également servi pour infiltrer et corrompre des agents au sein du gouvernement américain et du Pentagone. Un gars a été tué dans la bicoque qui a été incendiée et Booth en est sorti vivant.

Cette colère sous-jacente ancestrale des mafieux khazar s’est finalement abattue sur la Russie et le Tsar en 1917 lorsque les banksters de la mafia khazar (y compris quelques grosses banques de Wall Street) ont financé et créé le Bolchevisme et se sont servis de leurs frères et sœurs, les « faux hébreux » khazars pour déclencher une révolution et s’emparer de la Russie dans le but de torturer et de massacrer plus de 20 millions de Russes dans un premier temps, puis jusqu’à 100 millions au total.

Avant que l’opération de la mafia khazar puisse être mise en œuvre, il y a eu d’importantes opérations de guerre psychologique pour préparer le terrain utilisant des groupes d’opinions politiques dûment rémunérés, des pots-de-vin, et des versements d’argent à des membres de l’Armée russe sous contrôle mental.

Mais le système bolchevique a échoué en Russie parce que tout ce qu’entreprend la mafia khazar finit toujours dans la ruine en raison de leur petit esprit cupide, de leur haine viscérale de l’humanité, ainsi que leur obsession permanente pour créer des guerres perpétuelles, des morts et des destructions massives pour obtenir encore plus de richesse et de pouvoir.

Nous avons maintenant acquis une bonne compréhension de la manière dont l’Empire du mal est né et s’est développé et comment leurs tactiques se matérialisent grâce à des intermédiaires qu’ils achètent et contrôlent. La mafia khazar est un groupe de familles khazars qui n’ont absolument aucun sang hébreu, mais qu’ils prétendent avoir afin de jouer la carte de l’holocauste juif (qu’ils ont eux-mêmes perpétré) et ainsi prétendre être une minorité raciale persécutée (alors que ce n’est pas le cas), le tout afin d’écarter toute critique et correction de leurs plans.

Nous comprenons à présent que la mafia khazar est un puissant groupe séculaire de « lignées familiales » qui utilise souvent le contrôle mental occulte fondé sur le traumatisme psychique, l’extrême violence et les violences sexuelles pour dissocier le mental de leurs enfants et créer de multiples sous-personnalités subconscientes sous leur contrôle qui peuvent être activées sur commande par les contrôleurs de ces enfants.

Ces « lignées familiales » sont connues et se servent des hauts-degrés de la Franc-maçonnerie comme couverture et aussi pour participer à un culte satanique mondial appelé le processus, fondé sur les enseignements de John Dee et d’Aleister Crowley et d’autres comme Alice Bailey, Jack Parsons et le colonel Michael Aquino.

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Le Draconien (un dragon) est le gardien officiel du quartier financier de la City de Londres, un état-nation distinct qui a ses propres diplomates. Cette statue représenterait-elle plus qu’un animal fabuleux, le Draconien aliène et les Reptiliens extraterrestres ?

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Aleister Crowley a visité l’Egypte, et alors qu’il était à l’intérieur d’une pyramide, un Grand-Gris aliène est passé par le mur et lui est apparu. Le nom de l’entité était Seth, et plus tard le Temple de Seth a été créé en association avec ces Grands-Gris aliènes. C’est par Aleister Crowley que nous pouvons documenter une association évidente entre l’occulte et les Grands-Gris aliènes, dont nous savons maintenant qu’ils travaillent au service des Draconiens.

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Crowley

Plus tard, surgirent des rumeurs selon lesquelles le haut-commandement nazi s’était adonné à des rituels occultes obscurs du Reich au château de Wewelsburg et avait développé une association avec des extraterrestres qui leur ont fourni de nouvelles technologies. Etant donné qu’Hitler passait souvent outre les recommandations de son haut-commandement militaire, notamment en permettant aux troupes britanniques et françaises de fuir à Dunkerque*, son haut-commandement a comploté pour transmettre tous ses secrets obtenus des Aliènes aux services de renseignements américains en échange de l’immunité complète et de postes de conseillers dans l’objectif d’utiliser le renseignement américain contre les Bolcheviques de Staline.

*Hitler pensait ainsi obtenir une paix séparée avec la Grande-Bretagne (mission de Rudolf Hess) NdT.

C’est ainsi que le renseignement américain (à l’époque l’OSS, ancêtre de la CIA, NdT.) s’est retrouvé en possession de la soucoupe volante (appelée Nazi Bell – cloche nazie en raison de la forme du vaisseau) et d’autres systèmes d’armements avancés, y compris des concepts d’avions à réaction et les plans de missiles intercontinentaux, ainsi que d’une quantité significative de plutonium raffiné qui a été utilisée dans une des bombes atomiques lancées sur le Japon.

Nous comprenons à présent aussi que ces familles de la mafia khazar entretiennent une rancune tenace envers tous les groupes qui ont bloqué sa progression et qu’ils sont absolument déterminées à provoquer leur destruction totale après les avoir dépouillés de tous leurs biens et leurs richesses accumulés, tout comme ils l’ont fait en Russie en 1917 avec l’aide de Bolcheviques khazars en sous-main.

La mafia khazar en veut toujours à la Russie et à la Perse (maintenant l’Iran) d’avoir détruit le royaume de Khazarie vers l’an 1000 après qu’il ait refusé de mettre fin à ses méthodes de brigands nomades fondées sur le mensonge et la tromperie. Les Khazars ont bâti leur réputation sur le pillage et le meurtre de voyageurs dont ils usurpaient ensuite l’identité.

En gros, les nations limitrophes, la Russie et la Perse, les ont avertis en l’an 700 et exigé que la nation de Khazarie se convertisse à une forme de religion abrahamique afin de devenir un peuple doté d’une morale et de caractère.

Le Roi de Khazarie s’est tourné vers le Judaïsme, mais en choisissant le judaïsme de type talmudique babylonien, celui qui est basé sur les sortilèges et la magie noire occulte luciférienne (Baal), les assassinats secrets par le poison, et le maléfice à deux visages (Janus), ainsi que sur un art ancien secret babylonien permettant de « créer de l’argent à partir de rien » en utilisant un procédé de magie noire occulte de prêts usuraires et de fausse monnaie non garantie.

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Lorsque le comportement de nomades guerriers des Khazars s’est poursuivi comme avant, les Russes et les Perses ne l’ont plus toléré, et ont attaqué et détruit la Khazarie. Les dirigeants khazars ont pris la fuite en emportant avec eux d’énormes fortunes pour fonder la mafia khazar avant d’être pris, pour devenir les changeurs de monnaie européens avant de s’établir comme « banksters » dans le quartier financier extraterritorial de la City de Londres.

Afficher l'image d'origineLa City de Londres

Jusqu’à ce jour, la mafia khazar poursuit sa croisade sanglante pour détruire le peuple Russe et la nouvelle Fédération de Russie, qui prend rapidement ses distances par rapport au système de banques centrales privées de la mafia khazar, entraînant avec elle la plus grande partie du monde. Poutine est parfaitement au courant de tout cela et a été autorisé à s’opposer à l’expansionnisme de la mafia khazar qui utilise des mercenaires terroristes recrutés, et rémunérés par leur intermédiaire : la machine terroriste israélo-américaine.

Le Président Poutine est un patriote russe populaire et nationaliste, une ceinture noire dans de nombreux arts martiaux et un joueur d’échec expérimenté, qui comprend parfaitement que la mafia khazar est l’ennemi éternel du peuple russe et d’une Russie libre. Il sait également que la mafia khazar attaque à nouveau la Russie, depuis qu’elle est devenue une Fédération indépendante libérée du bolchevisme lequel était à 100% sous le contrôle de la mafia khazar. La Russie travaille sans relâche pour établir un véritable système d’émission et de mise en circulation monétaire dans lequel les utilisateurs n’auront pas à payer d’intérêts pour utiliser leur propre monnaie.

Poutine est également bien conscient que la mafia khazar utilise des taux usuraires pour prêter leur propre argent sans garantie à des utilisateurs qu’ils dépouillent de 38-40% des prix de détail dans lesquels leur argent est « investi ».

Ici en Amérique ces soi-disant Accords de libre-échange inconstitutionnels qui ont été signés grâce à la corruption de la mafia khazar se sont traduits par l’incapacité de 100 millions de travailleurs américains valides à trouver un travail, en leur brisant le cœur et le moral. C’est une situation absolument écœurante qui doit être immédiatement corrigée si les Etats-Unis veulent survivre en tant que nation.

Et la mafia khazar a pris en otage le Pentagone et la CIA et a utilisé son principal agent exécutif Israël pour constituer sa machine terroriste israélo-américaine laquelle a provoqué des millions de morts inutiles dans des guerres illégales et inconstitutionnelles en utilisant l’Armée américaine comme son cheval de bataille de guerres d’agression.

Heureusement Poutine et la Fédération de Russie ont maintenant mis échec et mat la mafia khazar en Syrie, et nous avons un nombre substantiel de héros américains des Cowboys du renseignement qui sont en train de démanteler la mafia khazar et sa représentation étatique en divulguant au grand jour les méfaits de la mafia khazar, et par d’autres opérations secrètes non-violentes.

Le tournant inattendu des événements a placé Poutine aux commandes en Syrie et au Moyen-Orient.

Des sources bien implantées en Russie nous ont informé que la Fédération de Russie avait signé un traité avec un certain groupe aliène extraterrestre, et il se trouve que ce dernier est en conflit de longue date avec un certain groupe qui a apparemment « conseillé et dirigé » les décideurs politiques de la mafia khazar qui leur ont servi d’agents pour prendre le contrôle du monde entier.

Une partie de la mission qui leur est assignée est de faire avancer ce projet particulier des extraterrestres qui comprend le plan global du Nouvel Ordre Mondial d’utiliser les guerres perpétuelles et l’extermination massive pour détruire et dépeupler radicalement le monde, afin de le terraformer et de le préparer pour une nouvelle race artificielle hybride ET/humaine destinée à coloniser la Terre sans les humains.

D’autres articles ont été écrits sur cette Guerre Spatiale Secrète, mais le sujet est devenu à ce point occulte, en raison de son niveau top secret qui y est associé, que faire un article sur cette question revient à se discréditer soi-même. La meilleure information disponible suggère que la mafia khazar est en principe dirigée et animée par les Draconiens, une race absolument malfaisante de prédateurs cosmiques, qui sont de grands et puissants parasites cosmiques inter-dimensionnels humanoïdes qui ont une prédilection pour le contrôle, le meurtre, la torture et la consommation de chair humaine. Le groupe aliène avec lequel les Russes ont apparemment conclu un traité sont les Grands-Blancs qui sont les ennemis héréditaires des Draconiens et semblent avoir la motivation et la capacité de les vaincre.

Pour l’heure nous ne savons rien de leur projet à long terme, mais jusqu’ici ils semblent avoir équipé la Fédération de Russie de certains armements stupéfiants, particulièrement d’électronique de haute technologie qui est capable de mettre hors d’usage les systèmes électriques et électroniques de navires ou de porte-avions entiers ainsi que d’avions, et de systèmes de radars aériens et satellites*. Poutine a apparemment eu le feu vert pour aller de l’avant et mettre en échec et mat la mafia khazar et ses intermédiaires terroristes en Syrie et en Iran sans se faire de souci, parce que ce groupe aliène couvre maintenant ses arrières.

Au cours de la présidence de Ronald Reagan, un traité secret a été conclu entre les Etats-Unis, la Russie et les membres de l’OTAN selon lequel toutes les armes spatiales secrètes qui seraient développées ne seraient mises en œuvre que pour se défendre contre des extraterrestres hostiles et ne seraient pas utilisées comme armes de guerre. Tout comme pour le traité de non-prolifération nucléaire, la mafia khazar et Israël ne l’ont jamais signé.

Nous savons maintenant que la mafia khazar a utilisé certaines armes avancées Draconiennes au cours de la première guerre d’Irak lorsqu’ils ont fait usage d’armes psychotroniques qui ont fait retentir  la « Voix de Dieu » dans les cerveaux des soldats irakiens, qui ont cru respecter ce qu’Allah leur demandait de faire en se rendant, ce qui a permis de les enterrer vivants avec des bulldozers dans un charnier, et un génocide.

Lors de la seconde guerre l’Irak, la machine terroriste israélo-américaine a utilisé des armes psychotroniques moins invasives appelées « poppers », des globes installés au sommet des bâtiments. Ceux-ci ont non seulement raté leur objectif de pacifier et de contrôler mentalement la population, mais ont donné des migraines aux soldats américains. Certains initiés sont d’avis que la machine terroriste israélo-américaine utilise maintenant des versions plus subtiles de l’arme psychotronique de la « Voix de Dieu » pour insuffler des pensées dans la population américaine, avec plus d’un million de cibles spécifiques, certaines étant des dissidents et d’autres les gens sur lesquels le contrôle n’a pas produit d’effets.

Le Président Poutine est parfaitement au courant de tout cela parce qu’il dispose de bons services de renseignement et de conseillers de haut niveau qui lui font traduire et lire tous les documents intéressants émanant des grands médias et des médias alternatifs, et qui lui établissent des synthèses détaillées sur une base quotidienne. Il sait que la mafia khazar utilise la machine terroriste israélo-américaine par l’intermédiaire de ses agents de l’OTAN/DVD pour encercler la Russie dans une nouvelle tentative de la détruire. Ce que peu de gens comprennent, c’est que le Président Poutine et la Fédération de Russie ont maintenant été « autorisés » à mettre en échec la mafia khazar en Syrie et en Iran et de la détruire si elle ne se rend pas.

Le Président Poutine est également parfaitement au courant que la mafia khazar a infiltré et pris en otage la plupart du personnel du Pentagone et l’Administration américaine, ainsi que l’OTAN. La plupart du Pentagone a fonctionné comme un jouet de la mafia khazar, en lançant des guerres d’agression illégales, inconstitutionnelles, non provoquées, non déclarées, perpétuelles et ingagnables, pour le compte de l’Empire du Mal de la mafia khazar. Soit dit en passant, il y a un certain groupe de dirigeants des services secrets du monde entier qui fait partie d’un Conseil aliène ET/OVNI, et nombre d’entre eux veulent voir la mafia khazar mise en échec et dépouillée de tout pouvoir, et participent à des opérations secrètes extrêmement sophistiquées se déroulant sans violence. Certaines des technologies les plus avancées et les plus performantes des Russes ne sont destinées qu’à défendre la Russie sans violence et sans attaquer d’autres nations. Certains pensent que cette technologie a déjà été transmise à des scientifiques en Syrie et en Irak et ne doit être utilisée que pour la défense et non de manière offensive.

Neutraliser le contrôle mental omniprésent de la mafia khazar en mettant le public au courant de ses opérations constitue une part importante de ces interceptions. Sans le secret abject et le contrôle complet des grands groupes de multimédia et de l’Internet, la mafia khazar ne pourra maintenir son emprise maléfique sur le monde, et les jours de l’Empire du Mal de la mafia khazar sont maintenant comptés parce qu’elle ne pourra pas réaliser son objectif.

A présent ils vont échouer avec leur PTP (Partenariat Trans-Pacifique déjà signé, NdT.) qui est une manière détournée de censurer et de restreindre l’Internet, en usant essentiellement d’interprétations déformées de la loi internationale sur les droits de reproduction (copyright) pour exclure tout site web alternatif d’information. Cela aussi est condamné à l’échec. Vous pouvez en douter, mais attendez et regardez ce qui va se produire, et comment cette tentative sera bloquée, en dépit du fait que son application paraisse désormais absolument imminente.

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 On dit que certains dirigeants haut placés du gouvernement secret américain, qui dirigent des programmes ultrasecrets non reconnus*, ont conclu un accord de coopération avec les ET Grands-Blancs et refuseront de laisser les complices au Pentagone de la machine terroriste israélo-américaine faire usage d’armes appartenant au programme spatial secret des Etats-Unis dans le conflit au Moyen-Orient. Et parce que les agents de la mafia khazar en Amérique ont utilisé des armes psychotroniques pour propager un climat destiné à faire taire toute dissidence, un nouveau groupe émergent d’anciens et actuels dirigeants des services secrets travaillent maintenant main dans la main pour desserrer l’emprise de la mafia khazar sur l’Amérique et ses politiciens.

*les Etats-Unis distinguent les programmes secrets dont l’existence, mais non le contenu, est reconnue, et les programmes dont l’existence est « non-reconnue » et dont la révélation est passible des peines les plus lourdes, voire « d’exécution extrajudiciaire ». (NdT.)

Poutine comprend également que si la population américaine apprend un jour que l’essentiel du Pentagone et de la CIA ont été infiltrés et pris en otage, en enfreignant les lois et la Constitution américaine, en toute illégalité, elle pourrait bien se mettre en colère et vouloir chasser et punir ces infiltrés.

Certaines des armes de guerre spatiale secrète de Poutine sont stupéfiantes par leurs capacités. L’une d’entre elles a été testée sur un navire de guerre américain, l’USS Donald Cook en avril 2014. Lors de son survol par deux chasseurs russes, l’alimentation électrique du navire a été coupée, mettant hors service tous les radars et les systèmes de défense Aegis. On a rapporté que les officiers commandant à bord ont été si bouleversés que certains ont résilié leur contrat et ont quitté la marine, avec le sentiment qu’ils ne pourraient plus défendre leurs propres navires et  leurs équipages contre des armes aussi évoluées.

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De quoi disposent donc exactement les Russes en termes d’armement ultrasophistiqué ? La liste est longue, mais cela comprend des torpilles supersoniques, qui tracent elles-mêmes leur chemin à travers la matière qui entoure leur sillage en utilisant un camouflage inter-dimensionnel. La Russie dispose de missiles qui, après leur lancement, se comportent comme s’ils étaient « en essaim » et utilisent des communications inter-dimensionnelles brouillées pour échapper à l’interception, avant de se regrouper et se rediriger sur la cible, en se déplaçant selon des configurations de vol étranges allant du vol en ligne droite à des spirales en passant par des demi-cercles, etc.

Certains initiés pensent que les Russes disposent à présent de la capacité de générer des camouflages inter-dimensionnels pour certains de leurs avions et missiles furtifs, les rendant en grande partie indétectables en vol, et même de satellites-espion camouflés. Tous ceux qui veulent passer du temps à des recherches approfondies sur les nouvelles armes russes peuvent avoir une assez bonne idée de l’état d’avancement de leur technologie via internet.

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Etant donné que la Russie n’a jamais signé d’accord avec la mafia khazar de ne pas utiliser les armes de leur Guerre Spatiale secrète, Poutine est libre de les utiliser si la mafia khazar poursuit sa guerre contre la Syrie, ce qui signifie attaquer des avions, des soldats et techniciens de la Fédération de Russie, qui sont maintenant en Syrie à sa demande officielle. Et les initiés sont d’avis que les armes de la mafia khazar sont de loin inférieures à tout ce que Poutine et la Fédération de Russie peuvent aligner et utiliser pour vaincre la mafia khazar au besoin, si elle persiste à encercler la Russie et à éliminer ses alliés au Moyen-Orient.

 Il est légal selon le droit international pour une nation de faire appel à l’un de ses alliés pour l’aider à se défendre contre un agresseur, qui est en l’occurrence la mafia khazar par l’intermédiaire de la machine terroriste israélo-américaine.

Et nous savons maintenant que les systèmes d’armement américains intègrent des problèmes et l’obsolescence programmée permettant de maintenir ad vitam aeternam les contrats des fournisseurs du gouvernement américain, pour soutenir les profits des investisseurs de la défense associés à la mafia khazar. Prenez le cas du F-22, la meilleure plateforme dont nous disposions. Il a connu des problèmes avec le système d’oxygène, fabriqué à l’étranger et sa production a été arrêtée par les efforts de ce traître de Sénateur John McCain, Président de la Commission sénatoriale des forces armées. McCain est l’homme qui a empêché la récupération des prisonniers de guerre et des militaires perdus en opération après la fin de la guerre du Vietnam, et qui a favorisé le nouveau F-35 qui a tant de problèmes opérationnels qui ne seront pas résolus avant 20 ans. Il est supposé tout faire pour tous les services, mais n’est bon en rien. Autrefois les chasseurs et intercepteurs américains étaient les meilleurs, mais ce n’est plus le cas maintenant.

« Le fonctionnement américain des fournisseurs de la Défense est en réalité un système de rente pour que les multinationales qui le composent fassent constamment des profits. Les systèmes d’armement américains sont affligés de problèmes qui nécessitent des améliorations et des réparations constantes. Après la fin de la Guerre Froide, les Russes n’avaient plus d’argent, et leurs fournisseurs de la Défense ont dû fabriquer des armes qui fonctionnaient de façon fiable au moindre coût. Cela a mené à un système russe de fournisseurs de la Défense qui fabriquent des systèmes d’armements qui fonctionnent bien. »           Citation du rédacteur financier de Veterans Today, Mike Harris

Conclusion

Si la mafia khazar persiste et continue d’utiliser l’EIIL et d’autres mercenaires entraînés, équipés et payés par la machine terroriste israélo-américaine pour attaquer et balkaniser la Syrie et bientôt la Russie ou l’Iran, il est probable qu’elle sera annihilée. Si les agents de la mafia khazar au Pentagone essaient de provoquer une frappe nucléaire préventive, il est douteux qu’ils réussissent et seront annihilés eux-aussi.

Et si le Pentagone ou Israël sont assez stupides pour intervenir et s’en prendre à la Russie en Syrie, ils le paieront au prix fort, parce que Poutine n’est lié par aucun accord l’empêchant d’utiliser toutes ses armes spatiales secrètes contre le parasite monstrueux qu’est la mafia khazar, qui tente de dépeupler et de détruire le monde entier et qui essaie de convaincre ses agents d’encercler la Russie pour finalement la détruire. Il est peu probable que le Système de guerre spatiale américain sera utilisé pour protéger la mafia khazar et ses agents au Pentagone, parce qu’ils considèrent que leur traité avec la Fédération de Russie de ne pas intervenir est contraignant et valide.

Maintenant pour la première fois, la mafia khazar est échec et mat. Que vont-ils faire ? Sont-ils assez désespérés et désemparés pour essayer de manipuler le Pentagone ou Israël pour démarrer une Troisième Guerre Mondiale avec un échange nucléaire total ? Netanyahou est-il assez furieux d’avoir perdu son emprise sur le monde en tant que principal agent de la mafia khazar qu’il donnera l’ordre d’utiliser l’Option Samson dans sa totalité ? Seul l’avenir nous le dira, mais j’estime que, bien que nous puissions connaître quelques revers et des temps très difficiles en Amérique et en Europe avec l’effondrement et l’incinération du Pétrodollar américain, la machine terroriste israélo-américaine est finalement mise en échec pour de bon, et finira par être jetée dans les oubliettes de l’histoire.

Toutes ces palabres sur le changement climatique et la mise en place et le respect d’un contrôle climatique contraignant tel que la réglementation et la vente de crédits-carbone n’est que de la propagande du Nouvel Ordre Mondial au profit des banksters de la mafia khazar, le secret Empire du Mal. Mais c’est en fait plus que cela, étant donné qu’il s’agit d’un chantage des Draconiens à l’encontre des dirigeants mondiaux. Ce n’est pas le chantage nucléaire que les agents et serviteurs de la mafia khazar ont utilisé, mais c’est la menace de détruire toute la Terre si les dirigeants ne jouent pas le jeu. En réalité, il s’agit d’une menace vide de sens, parce que les Draconiens et tout autre groupe aliène visitant la planète Terre savent parfaitement qu’il y a des Règles Cosmiques qui ont été mises en place par le Dieu Tout-Puissant, ou le Créateur ou la première cause de l’Univers et de toute la vie matérielle et humaine.

Ils savent qu’ils ne peuvent pas prendre le contrôle de la planète Terre, à moins qu’ils le fassent une personne après l’autre, et capturent l’âme de la personne en utilisant ses bas instincts tels que l’argent, la cupidité, le sexe, etc. pour amener l’individu à perdre son âme et cesser de fonctionner en tant qu’être doté d’une moralité élevée. Le projet Draconien consiste à dépeupler la Terre, en ne conservant que 10% de ses habitants pour les servir temporairement jusqu’à ce qu’ils aient terminé le développement d’une nouvelle race hybride Draco/humaine dotée d’une âme. Ils ont amené les dirigeants de la mafia khazar à croire qu’ils seront trans-humanisés avec succès, associant l’acier et l’argile pour en faire des hybrides entre une intelligence artificielle et un humain. Il s’agit d’un gros mensonge pour maintenir les mafieux dans l’ignorance jusqu’à ce qu’ils ne soient plus nécessaires et soient éliminés par les Draconiens.

Et les décideurs politiques de la mafia khazar et leurs agents en Amérique qui sont profondément impliqués dans le gouvernement secret ont subi un contrôle mental afin de devenir obsédés par l’idée de construire des systèmes de tunnels souterrains reliés par des trains à grande vitesse. Il y a maintenant deux systèmes distincts de bases souterraines, un appartenant au gouvernement américain secret (SSG) et l’autre construit et utilisé uniquement par les Draconiens.

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Ces bases souterraines de grande profondeur pour les humains avaient été utilisées par les Draconiens pour tromper et détourner l’attention des agents de la mafia khazar et de la super-élite (dont beaucoup sont de haut-dirigeants élus). Lorsqu’ils y chercheront refuge pendant que les Draconiens s’occuperont de dépeupler la Terre, les Draconiens ont l’intention de se dispenser rapidement de ces agents khazar, parce qu’ils n’en auront plus besoin. Vous pouvez parier que les bases souterraines réservées aux humains sont piégées par les Draconiens à l’aide de procédés biologiques et radiologiques divers.

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Certains des initiés qui connaissent les conflits actuels entre les aliènes sont d’avis que les technologies Draconiennes ne sont pas une menace pour l’armement des Grands-Blancs, qui est davantage orienté vers la « défensive totale », et le jugement dernier arrive pour les Draconien en raison de leurs méfaits abjects au cours des siècles.

Ces Draconiens et leurs serviteurs les Grands-Gris travaillent avec un sous-traitant ultrasecret de l’US Air Force  dans l’infâme base souterraine de Dulce pour mener des expériences sur des humains enlevés de force, et pire, pour les sacrifier dans des rituels destinés à accroître leurs pouvoirs et parfois même pour les manger.

 Jusqu’ici, leurs tentatives de développer une âme humaine synthétique ont échoué, et leurs hybrides ont des durées de vie très réduites. Cet orgueil, cette obstination et cette addiction  au mal luciférien les empêchent de comprendre qu’eux aussi vont être détruits et cesseront d’exister lorsque le jugement dernier à leur sujet sera rendu en tant qu’espèce malfaisante, ce qui soit dit en passant ne saurait tarder, car l’histoire de la planète Terre telle que nous la connaissons touche à sa fin.

En fait, très peu d’entre nous aimeraient croire que quoi que ce soit du contenu de cet article à propos de la Guerre Spatiale secrète et des aliènes extraterrestres soit vrai, moi y compris. Le problème est qu’il y a énormément de preuves irréfutables du contraire, y compris le Projet de Divulgation basé sur le témoignage de plus de 100 témoins qui ont une expérience avérée, documentée et validée des domaines touchant au plus secret de la Défense américaine et de la Guerre spatiale. Mais nous avons mieux encore : nous disposons d’une vidéo déclassifiée du KGB de Petits-Gris aliènes et la confession faite personnellement à Richard Dolan sur son « lit de mort » d’un ancien responsable de la CIA qui a travaillé dans ces domaines.

Donc avant de conclure que toutes ces discussions sur les extraterrestres aliènes, les Grands-Gris et les Grands-Blancs ne sont que pure stupidité, regardez les vidéos, regardez les vidéos de Richard Dolan, et consacrez un peu de temps à regarder les vidéos du Projet sur la Divulgation qui sont disponibles sur www.youtube.com.


*RKM est une abréviation pour la Mafia Khazar Rothschild, un terme forgé par le rédacteur financier de Veterans Today Mike Harris, dont l’émission de radio de VT passe le mardi et jeudi de 19H00 à 21H00 CST. Mike Harris a commencé à utiliser ce terme descriptif de la Mafia Khazar Rothschild après avoir fait des recherches approfondies sur la véritable histoire cachée de la nation khazar et de ses liens avec le Sionisme mondial des Rothschild dont le centre opérationnel est la City de Londres. Il a également découvert la haine ancestrale que nourrit la RKM envers les Russes non-khazars qui est toujours un mobile important à l’heure actuelle dans leur tentative d’encercler et de détruire une fois de plus la Russie, de voler une fois encore ses actifs comme en 1917, et de réduire en esclavage les Russes survivants tout comme lorsque les Khazars (les Bolcheviques) ont pris le pouvoir en 1917.

La RKM fonctionne depuis la City de Londres, une nation distincte à l’intérieur du Royaume-Uni qui dispose de sa propre police et de sa propre diplomatie et qui ne paie pas d’impôts au gouvernement britannique, tout comme le Vatican, mais possède une puissance mondiale par le biais de son système de banques centrales qui utilise de la monnaie non garantie émise et mise en circulation (prêtée pour utilisation moyennant des taux d’intérêt usuraires).

La RKM a profondément infiltré l’Amérique et pris en otage l’émission et la mise en circulation de monnaie et la plupart des institutions gouvernementales, et utilise l’Armée américaine pour mener des guerres pour le compte d’Israël et pour faire de gros profits. La RKM utilise des factions du renseignement britannique, israélien et américain et particulièrement le Pentagone pour le trafic illégal de drogue afin de générer des revenus « non comptabilisés » servant aux opérations secrètes et à corrompre les politiciens et les dirigeants gouvernementaux qu’ils « ont dans la poche ».

Et il a été récemment révélé par l’ancienne membre de la Chambre des Représentants Cynthia McKinney (une véritable héroïne américaine) que tout membre nouvellement élu au Congrès a droit à une visite de l’AIPAC (lobby pro-israélien) et doit signer un Serment d’allégeance loyal pour placer la sécurité d’Israël au-dessus de celle des Etats-Unis ou il n’aura plus accès à des financements de campagnes politiques et en cas contraire l’AIPAC fera ce qu’il faut pour qu’il ne soit plus réélu. Il est évident que tant que les membres du Congrès n’arrêteront pas de prêter serment, et d’obéir à ce serment illégal, inconstitutionnel, de trahison et de sédition, à Israël, les Etats-Unis ne seront rien de plus qu’une province et un serviteur de la RKM/Israël.

 

Le site de Richard Dolan qui est cité au sein de l’article
http://www.richarddolanpress.com/

Une vidéo de RICHARD DOLAN (Éveillé et conscient) 2009 VOSTFR


Traduction: Française Patrick T revu Isabelle sur http://gffreepages.blogspot.fr/2015/10/francais-preston-j...

Source: http://www.veteranstoday.com/2015/10/14/putins-wild-card-...