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21/11/2020

Stratégies de manipulation : Les stratégies et les techniques des Maîtres du Monde pour la manipulation de l'opinion publique et de la société...

Stratégies de manipulation : Les stratégies et les techniques des Maîtres du Monde pour la manipulation de l'opinion publique et de la société...

 

L’image contient peut-être : texte qui dit ’10 Stratégies de manipulation 1 La stratégie de la diversion 2 Créer des problèmes, puis offrir des solutions 3 La stratégie du dégradé 4 La stratégie du différé 5 'adresser au public comme à des enfants en bas-age 6 Faire appel à l'émotionnel plutôt qu à la réflexion 7 Maintenir le public dans l'ignorance et la bêtise 8 Encourager le public à se complaire dans la médiocrité 9 Remplacer la révolte par la culpabilité 10 Connaître les individus mieux qu 'ils ne se connaissent eux-mêmes OSylvain Timsit’

 

1 - La stratégie de la diversion

Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l'attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d'informations insignifiantes.

 

La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s'intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l'économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique.

« Garder l'attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. » (extrait de "Armes silencieuses pour guerres tranquilles")

 

2 - Créer des problèmes, puis offrir des solutions

Cette méthode est aussi appelée "problème-réaction-solution". On crée d'abord un problème, une "situation" prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu'on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore: créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.

 

3 - La stratégie du dégradé

Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l'appliquer progressivement, en "dégradé", sur une durée de 10 ans. C'est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n'assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution si ils avaient été appliqués brutalement.

 

4 - La stratégie du différé

Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme "douloureuse mais nécessaire", en obtenant l'accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d'accepter un sacrifice futur qu'un sacrifice immédiat. D'abord parce que l'effort n'est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que "tout ira mieux demain" et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s'habituer à l'idée du changement et l'accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.

 

Exemple récent: le passage à l'Euro et la perte de la souveraineté monétaire et économique ont été acceptés par les pays Européens en 1994-95 pour une application en 2001. Autre exemple: les accords multilatéraux du FTAA que les USA ont imposé en 2001 aux pays du continent américain pourtant réticents, en concédant une application différée à 2005.

 

5 - S'adresser au public comme à des enfants en bas-âge

La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-age ou un handicapé mental. Exemple typique: la campagne TV française pour le passage à l'Euro ("les jours euro"). Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi?

"Si on s'adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d'une personne de 12 ans." (cf. "Armes silencieuses pour guerres tranquilles")

 

6 - Faire appel à l'émotionnel plutôt qu'à la réflexion

Faire appel à l'émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l'analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l'utilisation du registre émotionnel permet d'ouvrir la porte d'accès à l'inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements...

 

7 - Maintenir le public dans l'ignorance et la bêtise

Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage.

"La qualité de l'éducation donnée aux classes inférieures doit être de la plus pauvre sorte, de telle sorte que le fossé de l'ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures." (cf. "Armes silencieuses pour guerres tranquilles")

 

8 - Encourager le public à se complaire dans la médiocrité

Encourager le public à trouver "cool" le fait d'être bête, vulgaire, et inculte...

 

9 - Remplacer la révolte par la culpabilité

Faire croire à l'individu qu'il est seul responsable de son malheur, à cause de l'insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l'individu s'auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l'un des effets est l'inhibition de l'action. Et sans action, pas de révolution!...

 

10 - Connaître les individus mieux qu'ils ne se connaissent eux-mêmes

Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le "système" est parvenu à une connaissance avancée de l'être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l'individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.

 

-©Sylvain Timsit

http://www.syti.net/Manipulations.html

 

 

 



 

06:53 Publié dans Actions collectives, Plaintes, Manifestations, Actualité, politique ou géopolitique, Economie, AIPAC, British Israel World Federation Movement, Armées Françaises, Armes secrètes, Armes silencieuses, Espionnage, Arnaques, Mensonges, Propagande, Banques, Banksters, Paradis fiscaux, Dollar, Bours, Bioterrorisme, Eugénisme, Boycott, Vaccination, Censure, Facebook, Google, LICRA, CRIF, Conseils de Sécurité, Conspiration mondiale, Conspiration, Complot, Corruption, Constitution des Droits de l'Homme, CORONA, 5G, Nanoparticules, Bill Gates, Crimes contre l'humanité, Eugénisme, Crise Financière & Mondiale, Davos, Bildenberg, Word Economic Forum, Déclarations des politiques, et artistes, Dépopulation, Des atteintes à la santé, Empoisonnement, Epidémie, Pandémie, Escroquerie, Europe, Euro, CEDH, Génocide préparé, La fin programmée de la démocratie, La Loi Martiale, La marque de la bête, La Puce - RFID, Laboratoires pharmaceutiques, Le Bildengerg Group, Le Gouvernement Mondial, Les Banques Mondiales, Les Cartels, Les Illuminati-Reptiliens, Les Lobbies et la Politique, Les Maîtres du Monde, Les Projets des Maîtres du Monde, Les protocoles des Sages de Sion, Les Reptiliens, Les Skull and Bones, Les Sociétés Secrètes, Les Techniques de manipulation, Lobbying et Politique, Laboratoires Pharmaceutique, Médias et pouvoir, Medias, Manipulations des Masses, Mondialisation, Monsanto, Rockefeller, Rothschild et Bill Gates, Nouvel Ordre Mondial, Pr Didier RAOULT - COVID/19, hydroxychloroquine, Rockfeller, Rothschild, Mafia Kazhar, Sectes & Sociétés Secrètes, Sionisme, Oligarchie, LDJ, Traçage des populations, Urgence. Survie, USA, Israël, Vaccins, Virus Coronavirus, Virus, épidémies | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

20/11/2020

Corona virus : Un médecin allemand arrêté en direct par la police pendant qu’il parlait du covid / Corona virus

Corona virus : Un médecin allemand arrêté en direct par la police pendant qu’il parlait du covid

Corona virus : Un médecin allemand arrêté en direct par la police pendant qu’il parlait du covid.

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Durant la seconde guerre mondiale en 39 – 45, le régime Nazi ne faisait pas mieux !

Le Dr. Andreas Noack a été arrêté en vue d’une nouvelle loi sur la protection contre l’infection qui donne des pouvoirs illimité a l’exécutif sans passer par le parlement.

 

 

Un vaccin pour sortir de la crise du Covid-19? Une fausse bonne idée selon Laurent Toubiana

Un vaccin pour sortir de la crise du Covid-19? Une fausse bonne idée selon Laurent Toubiana 

Adrien Peltier

17:46 18.11.2020

 

 

Le gouvernement fait état d’une mise à disposition du vaccin contre le Covid-19 pour janvier sur tout le territoire. Une perspective de sortie de crise imminente… Ou pas, selon le docteur Laurent Toubiana. Au micro de Sputnik, cet épidémiologiste tire la sonnette d’alarme: une campagne de vaccination de masse ne serait pas sans risques.

 

Le gouvernement fait état d’une mise à disposition du vaccin contre le Covid-19 pour janvier sur tout le territoire. Une perspective de sortie de crise imminente… Ou pas, selon le docteur Laurent Toubiana. Au micro de Sputnik, cet épidémiologiste tire la sonnette d’alarme: une campagne de vaccination de masse ne serait pas sans risques.

 

Prudence face à la perspective d’une prochaine campagne de vaccination contre le Covid-19!

Une réaction aux dernières annonces du gouvernement qui n’émane pas d’une quelconque officine complotiste «antivax», mais d’un scientifique réputé.

Laurent Toubiana, chercheur à l’INESRM et fondateur de l’Institut de recherche pour la valorisation des données de santé (IRSAN), partage ses réserves avec Sputnik. Pour cet épidémiologiste, spécialiste des systèmes d’information en santé, le vaccin est la pire des solutions et l’immunité collective la seule méthode valable.

Sputnik: Mardi 17 novembre, Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement, a annoncé qu’un premier vaccin pourrait être «distribué à partir du mois de janvier». Ces délais vous paraissent-ils crédibles?

 

Laurent Toubiana: «Je ne m’étonne plus de rien avec le gouvernement actuel. Des choses qui nous paraissaient totalement ahurissantes il y a moins d’un an nous paraissent presque normales aujourd’hui. On assiste à une sorte de “teasing”: le vaccin est placé sur le même plan qu’un produit de consommation! Il y a une forme de marketing à la “Apple” en nous faisant croire que, comme il n’y aura pas de vaccin pour tout le monde, il faudra se dépêcher. C’est une démarche marketing qui rappelle les mises en vente d’iPhone. Il y a véritablement une campagne publicitaire autour de ce vaccin.

«Il y a une forme de marketing à la Apple»

Mais, plus largement, il faut rappeler qu’un vaccin n’est jamais “neutre”, comme tout médicament d’ailleurs. Théoriquement, il est dans un premier temps appliqué à une très petite partie de la population. Ce qui me fait très peur ici, c’est que les gouvernants aimeraient vacciner d’un coup jusqu’à 70% de la population. C’est du jamais-vu.»

 

Sputnik: Un vaccin nous permettrait-il de sortir immédiatement de la crise sanitaire?

 

Laurent Toubiana: «Pas du tout. Ce serait même la pire des solutions. Il faut combattre cette idée selon laquelle le vaccin pourrait nous sortir de la crise sanitaire que nous traversons. Il faut d’abord comprendre ce qu’est un vaccin, et encore un vaccin comme “Moderna”, soi-disant “fiable à 95,4%”. C’est tout de même étonnant que tous les laboratoires arrivent en même temps dans cette course folle au vaccin. Cette synchronisation me laisse perplexe, même si cela peut arriver dans la recherche scientifique. Mais tout de même: en un peu moins d’un an, les scientifiques ont réussi à obtenir les souches suffisantes pour réaliser un vaccin? Enfin, dernier point, les panels choisis par les laboratoires me semblent bien faibles: on parle de cent à deux cents personnes, tout au plus.»

 

Sputnik: Vous évoquez les «souches suffisantes». De quoi un vaccin est-il composé?

 

Laurent Toubiana: «Il y a plusieurs technologies, mais dans tous les cas, un vaccin sert toujours à stimuler le système immunitaire. C’est le principe élémentaire. Or, pour ce faire, on va injecter l’équivalent d’un virus dans le corps humain, un virus “affaibli” censé le “mimer”. Il y a donc dans le vaccin une substance active appelée à faire réagir le corps humain. Je précise que je n’ai rien personnellement contre les vaccins, mais j’ai globalement un problème à m’injecter des substances actives dans le corps.

«La moindre petite erreur peut aboutir à des catastrophes majeures»

Les effets secondaires de certaines substances prises isolément peuvent déjà être graves, mais lorsqu’elles sont en interaction avec d’autres substances, cela peut devenir catastrophique. Je me méfie beaucoup des substances concentrées ou des substances qui peuvent agir sur des mécanismes complexes comme le système immunitaire du corps humain, encore très mal compris par les immunologistes eux-mêmes! La démarche scientifique exige tout de même une certaine forme de rigueur: quand on touche à la santé de millions de personnes, la moindre petite erreur peut aboutir à des catastrophes majeures. Les nombreux revirements du ministre de la Santé actuel ne m’inspirent guère confiance à ce sujet.»

Sputnik: Si le vaccin n’est pas la solution à la sortie de la crise sanitaire, y aurait-il une alternative?

 

Laurent Toubiana: «Il faut d’abord essayer de comprendre ce qu’est cette maladie. On ne peut pas faire croire aux gens que cette maladie est “grave” alors qu’elle ne touche en réalité qu’une infime minorité de personnes. Le vaccin est censé permettre d’éviter une “hécatombe”. Or, jusqu’à présent, il n’y a eu aucune hécatombe liée à cette maladie.

« Les formes un peu plus sévères ne représentent que 0,3% de la population.»

En termes d’épidémiologie, c’est ce qu’il faut essayer de comprendre. Je rappelle que 80% des gens ne sont pas ou très peu sensibles à cette maladie. Parmi les gens de moins de 65 ans, une très faible part d’entre eux est touchée par le virus. Il faudrait donc laisser la population s’auto-immuniser, ce qui est déjà presque le cas: une grande partie de la population a déjà été exposée au Covid-19 sans être malade ou en contractant des formes tellement faibles qu’elles n’ont même pas eu besoin de voir un médecin. Chez beaucoup de patients, cela a même été moins fort qu’une grippe. La minorité de personnes qui ont contracté des formes un peu plus sévères ne représente que 0,3% de la population.»

Sputnik: Comment expliquer dans ce cas l’engorgement des hôpitaux et des services de réanimation?

 

Laurent Toubiana: «Ce phénomène est une conséquence directe de la gestion des hôpitaux en France. Cela est dû au faible nombre de places pour les malades du Covid-19. Je rappelle qu’en France, il y a 20 millions de cas d’hospitalisations par an. Sur la période de l’épidémie actuelle, il y a eu environ 200.000 hospitalisations pour le virus en tout et pour tout. Il faut donc faire la part des choses: c’est normal que les hôpitaux soient à flux tendus et saturés. Un afflux anormal rend l’explosion logique.»

 

Sputnik: Que préconisez-vous pour stopper l’épidémie?

 

Laurent Toubiana: «Il n’y a que l’immunité collective qui peut fonctionner. Pour arrêter une épidémie virale, c’est simple: on attend que ça passe. Une fois que l’épidémie a démarré, rien ne l’arrête. D’une certaine manière, nous avons eu de la chance, car le virus nous a montré qu’il n’était dangereux que pour une toute petite partie de la population. La partie ultra majoritaire des gens qui ne sont pas “à risque” doit donc continuer à vivre normalement.»

 

Source : ICI

 

Covid-19 : Pour Fabrice Di Vizio, «nous avons un gouvernement anxiogène»

 

Covid-19 : Pour Fabrice Di Vizio, «nous avons un gouvernement anxiogène»

 

Entretien du 19/11/2020 avec Fabrice Di Vizio, avocat du collectif C19. Il fait le point sur l’épidémie de coronavirus en France alors que ce 19 novembre, Olivier Véran a alerté sur la dégradation de la santé mentale des Français.

 

https://www.youtube.com/watch?v=8a689R57VaU&feature=emb_title

 

 
 
 

23/05/2020

Coronavirus : Tout était prévu dans la Constitution européenne et le Traité Liberticide de Lisbonne : Des annexes inquiétantes...

Coronavirus : Tout était prévu dans la Constitution européenne et le Traité Liberticide de Lisbonne : Des annexes inquiétantes...

Peine de mort en cas d'émeute, d'insurrection, ou de "menace de guerre", Réquisition de citoyens pour des travaux forcés, Emprisonnement arbitraire, Surveillance électronique de la vie privée, Liberté d'expression et d'information, Clonage humain.

 

Constitution européenne: Des annexes inquiétantes... La Constitution européenne offre des libertés en trompe-l’œil et prépare le terrain à une dérive totalitaire et policière de l'Europe par le biais "d'annexes" ignorées du public et dont les médias ne parlent jamais. Ces annexes vident de son contenu la "Charte des droits fondamentaux" incluse dans la constitution et censée garantir les droits de l'homme en Europe. Le droit européen étant au-dessus des lois nationales, ces limitations s'appliqueront à tous les pays européens...

La Constitution et sa version "simplifiée" (le traité de Lisbonne) contiennent de nombreuses annexes dont le rôle est d'indiquer de quelle façon les différents articles doivent être interprétés et appliqués.

Ces annexes font juridiquement partie de la Constitution:

article IV-442:
"Les protocoles et annexes du présent traité en font partie intégrante."

De plus, les annexes sont désignées comme référence pour l'interprétation devant éventuellement être faite par un tribunal:

article II-112, 7:
"Les explications élaborées en vue de guider l'interprétation de la Charte des droits fondamentaux sont dûment prises en considération par les juridictions de l'Union et des États membres."

Or, dissimulées parmi ces annexes, on trouve des "explications" qui permettent tout simplement de ne pas appliquer la Charte des Droits fondamentaux (la partie II de la Constitution) dans des cas dont la définition est délibérément floue et extensible.

Ces annexes à la Charte des Droits fondamentaux figurent à l'article 12 de la section A de "l'acte final" de la partie IV, à la fin du texte constitutionnel, à l'abri du regard des nombreux électeurs qui auront abandonné la lecture avant la fin.

Peine de mort en cas d'émeute, d'insurrection, ou de "menace de guerre"

En apparence, la Constitution reconnait le droit à la vie, et interdit la peine de mort:

article II-61
1. Toute personne a droit à la vie.
2. Nul ne peut être condamné à la peine de mort, ni exécuté.

Mais dans le paragraphe 3-a de l'article 2 de l'annexe 12 (intitulée "Déclaration concernant les explications relatives à la Charte des droits fondamentaux", section A de l'acte final de la partie IV), on peut lire une "explication" qui limite sérieusement la portée de l'article II-61:

"Les définitions «négatives» qui figurent dans la CEDH doivent être considérées comme figurant également dans la Charte:
a) l'article 2, paragraphe 2 de la CEDH:
«La mort n'est pas considérée comme infligée en violation de cet article dans les cas où elle résulterait d'un recours à la force rendu absolument nécessaire:
a) pour assurer la défense de toute personne contre la violence illégale;
b) pour effectuer une arrestation régulière ou pour empêcher l'évasion d'une personne régulièrement détenue;
c) pour réprimer, conformément à la loi, une émeute ou une insurrection.»
b) l'article 2 du protocole n° 6 annexé à la CEDH:
«Un État peut prévoir dans sa législation la peine de mort pour des actes commis en temps de guerre ou de danger imminent de guerre; une telle peine ne sera appliquée que dans les cas prévus par cette législation et conformément à ses dispositions»."

Ces limitations contestables instaurées par la CEDH (Convention Européenne des Droits de l'Homme) se trouvent ainsi constitutionnalisées.

En clair, les droits fondamentaux établis par la Charte ne s'appliquent pas en cas d'insurrection ou d'émeute. Mai 1968, une grève générale, une occupation d'usine ou une manifestation peuvent être assimilés à une insurrection ou une émeute, et peuvent donc servir de prétexte à l'annulation des droits civiques.

La Charte ne s'applique pas non plus en temps de guerre ou en cas de "danger imminent de guerre", ce qui est une définition très subjective et qui ouvre la porte à tous les abus. Demain, un Bush européen (Sarkozy ?) pourrait utiliser comme prétexte une "guerre contre le terrorisme", ou un "danger de guerre" pour ne pas appliquer la Charte.

Réquisition de citoyens pour des travaux forcés

On ne peut qu'approuver la Constitution quand on lit:

article II-65
1. Nul ne peut être tenu en esclavage ni en servitude.
2. Nul ne peut être astreint à accomplir un travail forcé ou obligatoire.

Trop beau pour être vrai... Et effectivement, les "explications" en annexe précisent que le travail forcé n'est pas interdit si il s'applique à des prisonniers. Les travaux forcés, tels qu'ils se pratiquaient il y a un siècle et tels qu'ils se pratiquent à nouveau aux Etats-Unis, sont donc possibles en Europe avec cette Constitution. N'importe quel citoyen est concerné depuis que les récentes lois répressives permettent d'emprisonner une personne sans jugement et pour une durée indéterminée si elle est soupçonnée de "terrorisme". Il est donc devenu très facile de passer du statut de "citoyen libre" à celui de prisonnier.

Les annexes de la Constitution vont même jusqu'à autoriser la réquisition de citoyens pour un travail forcé dans le cas "de crises ou de calamités qui menacent la vie ou le bien-être de la communauté". Encore une fois, ces conditions sont suffisamment vagues pour être interprétées de façon très extensives par des dirigeants du type Sarkozy ou Bush.

article 5 de l'annexe 12
"Au paragraphe 2, les notions de «travail forcé ou obligatoire» doivent être comprises en tenant compte des définitions «négatives» contenues à l'article 4, paragraphe 3, de la CEDH:
N'est pas considéré comme "travail forcé ou obligatoire" au sens du présent article:
a) tout travail requis normalement d'une personne soumise à la détention dans les conditions prévues par l'article 5 de la présente Convention, ou durant sa mise en liberté conditionnelle;
b) tout service de caractère militaire ou, dans le cas d'objecteurs de conscience dans les pays où l'objection de conscience est reconnue comme légitime, à un autre service à la place du service militaire obligatoire
c) tout service requis dans le cas de crises ou de calamités qui menacent la vie ou le bien-être de la communauté;
d) tout travail ou service formant partie des obligations civiques normales"

Emprisonnement arbitraire

Les "explications" relatives à l'article II-66 (qui affirme que "toute personne a droit à la liberté et à la sûreté") justifient d'ailleurs implicitement la détention sur simple soupçon, ou encore pour des personnes "contagieuses", des "aliénés", des "toxicomanes" ou des "vagabonds":

paragraphe 1 de l'article 6 de l'annexe 12
"Toute personne a droit à la liberté et à la sûreté. Nul ne peut être privé de sa liberté, sauf dans les cas suivants et selon les voies légales:
(...)
c) s'il a été arrêté et détenu en vue d'être conduit devant l'autorité judiciaire compétente, lorsqu'il y a des raisons plausibles de soupçonner qu'il a commis une infraction ou qu'il y a des motifs raisonnables de croire à la nécessité de l'empêcher de commettre une infraction.
(...)
e) s'il s'agit de la détention régulière d'une personne susceptible de propager une maladie contagieuse, d'un aliéné, d'un alcoolique, d'un toxicomane ou d'un vagabond;"

Le paragraphe 3 des mêmes "explications" semble néanmoins fixer des limites à la détention arbitraire, mais encore une fois, ces limites sont formulés dans des termes suffisamment imprécis pour laisser toute liberté d'interprétation à un futur régime autoritaire ou policier:

paragraphe 3 de l'article 5 de l'annexe 12
"Toute personne arrêtée ou détenue, dans les conditions prévues au paragraphe 1.c du présent article, doit être aussitôt traduite devant un juge ou un autre magistrat habilité par la loi à exercer des fonctions judiciaires [c'est à dire par un policier, ou un "juge de proximité" sans aucune formation judiciaire] et a le droit d'être jugée dans un délai raisonnable" [quel délai précisément?...]

paragraphe 4 de l'article 5 de l'annexe 12
"Toute personne privée de sa liberté par arrestation ou détention a le droit d'introduire un recours devant un tribunal, afin qu'il statue à bref délai [quel délai précisément?] sur la légalité de sa détention et ordonne sa libération si la détention est illégale." [mais compte-tenu des dispositions précédentes, peu de détentions pourront être déclarées illégales, puisque justifiées par la Constitution]

Surveillance électronique de la vie privée

On continue dans le même esprit avec la protection de la vie privée.
Ainsi, la Constitution semble protéger les citoyens de l'espionnage de leur ligne téléphonique et de leurs courriers électroniques, ou la pose de micros et de caméras au domicile (comme le prévoit la loi Perben en France). Au passage, on s'en étonne un peu car depuis le 11 septembre 2001, la plupart des états européens ont adopté des lois qui officialisent la "big-brotherisation" générale. Si l'on en croit la Constitution, la surveillance électronique des citoyens est interdite, bien qu'il n'y ait aucun recours prévu pour des personnes qui seraient victimes de ces pratiques:

article II-67, 1:
"Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de ses communications."

Mais les explications en annexe annulent totalement ce droit dans la pratique. Il suffit pour cela que l'intrusion dans la vie privée soient encadrées par la loi, et qu'elles soit nécessaires "à la sécurité nationale" (Bush a montré que ce concept peut être utilisé pour justifier n'importe quoi), "à la sûreté publique", "à la défense de l'ordre" (deux notions très subjectives), "à la prévention des infractions pénales" (de mieux en mieux! cette disposition rend possible des arrestations préventives, comme dans "Minority Report", selon le même principe que les "guerres préventives" de Bush), ou tout simplement lorsque l'espionnage de la vie privée est nécessaire "au bien-être économique du pays" ou encore "à la protection de la morale":

paragraphe 2 de l'article 7 de l'annexe 12
"Il ne peut y avoir ingérence d'une autorité publique dans l'exercice de ce droit que pour autant que cette ingérence est prévue par la loi et qu'elle constitue une mesure qui, dans une société démocratique, est nécessaire à la sécurité nationale, à la sûreté publique, au bien être économique du pays, à la défense de l'ordre et à la prévention des infractions pénales, à la protection de la santé ou de la morale, ou à la protection des droits et libertés d'autrui."


L'article suivant est assorti d'explications absolument incompréhensibles du fait de la multitude de renvois et références à d'autres documents ou traités.

article II-68:
1. Toute personne a droit à la protection des données à caractère personnel la concernant.
2. Ces données doivent être traitées loyalement, à des fins déterminées et sur la base du consentement de la personne concernée ou en vertu d'un autre fondement légitime prévu par la loi.
Toute personne a le droit d'accéder aux données collectées la concernant et d'en obtenir la rectification.

explication à propos de l'article II-68, article 7 de l'annexe 12
"Cet article a été fondé sur l'article 286 du traité instituant la Communauté européenne et sur la directive 95/46/CE du Parlement européen et du Conseil du 24 octobre 1995 relative à la protection des personnes physiques à l'égard du traitement des données à caractère personnel et à la libre circulation de ces données (JO L 281 du 23.11.1995), ainsi que sur l'article 8 de la CEDH et sur la Convention du Conseil de l'Europe pour la protection des personnes à l'égard du traitement automatisé des données à caractère personnel du 28 janvier 1981, ratifiée par tous les États membres. L'article 286 du traité CE est désormais remplacé par l'article I-51 de la Constitution. Il convient de noter également le règlement (CE) n° 45/2001 du Parlement européen et du Conseil du 18 décembre 2000 relatif à la protection des personnes physiques à l'égard du traitement des données à caractère personnel par les institutions et organes communautaires et à la libre circulation de ces données (JO L 8 du 12.1.2001). La directive et le règlement précités contiennent des conditions et limitations applicables à l'exercice du droit à la protection des données à caractère personnel." [comprenne qui pourra...!]

Liberté d'expression et d'information

L'article II-71 garantit la liberté d'expression et d'information, mais ce droit est limité de la même façon que les précédents articles par les "explications" en annexe. Les restrictions à la liberté d'expression sont autorisées lorsqu'elles sont "prévues par la loi" et qu'elles constituent des mesures nécessaires "à la sécurité nationale, la sûreté publique, la défense de l'ordre et la prévention du crime", à la "protection de la santé ou de la morale".

article II-71:
1. Toute personne a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu'il puisse y avoir ingérence d'autorités publiques et sans considération de frontières.

explication à propos de l'article II-71, article 11 de l'annexe 12
"L'exercice de ces libertés comportant des devoirs et des responsabilités peut être soumis à certaines formalités, conditions, restrictions ou sanctions prévues par la loi, qui constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique, à la sécurité nationale, à l'intégrité territoriale ou à la sûreté publique, à la défense de l'ordre et à la prévention du crime, à la protection de la santé ou de la morale, à la protection de la réputation ou des droits d'autrui, pour empêcher la divulgation d'informations confidentielles ou pour garantir l'autorité et l'impartialité du pouvoir judiciaire."

Clonage humain

On retrouve le même procédé avec le clônage humain qui semble être interdit par l'article II-63:

article II-3
1. Toute personne a droit à son intégrité physique et mentale.
2. Dans le cadre de la médecine et de la biologie, doivent notamment être respectés (...) l'interdiction du clonage reproductif des êtres humains.

paragraphe 2 de l'article 3 de l'annexe 12
"Les principes contenus dans l'article 3 de la Charte figurent déjà dans la convention sur les droits de l'homme et la biomédecine, adoptée dans le cadre du Conseil de l'Europe (STE 164 et protocole additionnel STE 168) [encore des renvois à des documents extérieurs pour brouiller les pistes!] . La présente Charte ne vise pas à déroger à ces dispositions et ne prohibe en conséquence que le seul clonage reproductif. Elle n'autorise ni ne prohibe les autres formes de clonage [toutes les autres utilisations possibles du clonage humain sont donc possibles]. Elle n'empêche donc aucunement le législateur d'interdire les autres formes de clonage." [elle n'empêche donc pas non plus le législateur de les autoriser ! ].

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12:55 Publié dans 3ème guerre mondiale en préparation, Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Armes silencieuses, Espionnage, Arnaques, Mensonges, Propagande, Banques, Banksters, Paradis fiscaux, Dollar, Bours, Banquise/Arctique/Antarctique, Bioterrorisme, Eugénisme, Boycott, Vaccination, Conspiration mondiale, Conspiration, Complot, Corruption, Constitution des Droits de l'Homme, Contrôle des populations, Crimes contre l'humanité, Eugénisme, Des atteintes à la santé, Dictature Française, Mondiale et religieuse, Escroquerie, Histoire secrète du monde, La dictature mondiale, La fin programmée de la démocratie, La Loi Martiale, La marque de la bête, La matrice, Laboratoires pharmaceutiques, Le Gouvernement occulte US ou MJ12, Le Bildengerg Group, Le Bohémian Club, Le Chiffre de la bête - 666, Le Club de Rome, Le Gouvernement Mondial, Le gouvernement satellite et occulte américain, Les ANNUNAKIS, Les Banques Mondiales, Les Illuminati-Reptiliens, Les Lobbies et la Politique, Les Maîtres du Monde, Les protocoles des Sages de Sion, Les Reptiliens, Les socialistes et l'euthasie, Les Sociétés Secrètes, Les Techniques de manipulation, Les Vaccins, Lobbying et Politique, Laboratoires Pharmaceutique, Manifestations, Le réveil des populations, Manipulations génétiques, Medias, Manipulations des Masses, Mondialisation, Monsanto, Rockefeller, Rothschild et Bill Gates, Nouvel Ordre Mondial, OGM et MONSANTO, OMS, ONU, OTAN, Religions, Inventions, Mensonges, Révolution, Rockfeller, Rothschild, Mafia Kazhar, Sionisme, Oligarchie, LDJ, Survie, Réveillez-vous, Préparez-vous, Urgence. Survie, USA, Israël, Victimes,Victimes de la vaccination, Virus Coronavirus, Virus, épidémies | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |