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02/01/2015

[Vidéo] TV Lobotomie - La vérité scientifique sur les effets de la télévision ou l'idiocratie à l'oeuvre !

Voici les résultats scientifiques des effets de l'un des organes de propagande ou de l'un des outils de manipulation mentale qu'est la télévision pour ceux notamment qui considèrent que parce que c'est dit à la télé ou à la radio "c'est forcément vrai" ! Et ce, sans chercher la vérité ailleurs, sans lire eni s'informer personnellement et sans connaître l'histoire du monde, la géopolitique ou l'histoire tout court, sans chercher à savoir qui mène le monde depuis des millénaires, sans procéder à des analyses des informations de manière objective par flemme, par peur de découvrir et de reconnaître leur ignorance ou par facilité. Ce qui fabrique quelques millions d'idiocrates que le système corrompu peut parfaitement manipuler et faire adhérer à ses théories mensongères et fumeuses  à mille lieux de la vérité !  

Mais je suis content, je regarde la télé et je gobe tout ce que les merdias aux ordres des lobbies me disent et qu'ils veulent que je sache sans ne jamais me poser  aucune question, ce qui est plus confortable en qualité d'idiot utile du système parce que je suis un parfait mouton prêt à aller à l'abattoir pour les Illuminati  ! !

 

[Vidéo] TV Lobotomie – La vérité scientifique sur les effets de la télévision

Pour les spécialistes, tel Michel Desmurget, il n’y a plus de doute : la télévision est un fléau. Elle exerce une influence profondément négative sur le développement intellectuel, les résultats scolaires, le langage, l’attention, l’imagination, la créativité, la violence, le sommeil, le tabagisme, l’alcoolisme, la sexualité, l’image du corps, le comportement alimentaire, l’obésité et l’espérance de vie.

TV Lobotomie - La vérité scientifique sur les effets de la télévision


Analyse du livre de Michel Desmurget : TV Lobotomie

Ce livre gagnerait sans doute le prix de la couverture la plus laide s’il existait, mais, malgré cette erreur de l’éditeur, il vaut tout de même la peine d’être lu. Michel Desmurget, chercheur à l’INSERM, dans TV Lobotomie. La vérité scientifique sur les effets de la télévision (Paris : Max Milo, 2011) nous propose rien de moins qu’une synthèse de tout ce que les scientifiques savent sur les liens entre la consommation télévisuelle et les attitudes, comportements, capacités, des êtres humains qui consomment de la télévision. Ce bilan scientifique, à partir de 4000 articles selon l’auteur, serait en fait effrayant. Plus on regarde la télévision,  plus on a regardé la télévision, plus on l’a fait jeune, plus on augmente toutes choses égales par ailleurs les probabilités d’événements défavorables pour soi-même  à tous les âges de la vie.  De fait, pour croire aux résultats cités de cette étude, il faut fondamentalement être accessible à la pensée statistique. Comme le montre, le “débat” organisé le 7 février 2011 autour de ce livre sur Europe 1 et la réaction d’une auditrice qui cite son propre cas de téléphagie ne l’ayant pas empêchée d’être, à l’en croire, un génie, c’est un point fondamental.

Ainsi, si l’on a accès au raisonnement en probabilité, typique en épidémiologie par exemple, Michel Desmurget établit à partir de la littérature disponible que :

a) “la télévision est un véritable désastre ontogénétique” (p.136) (conclusion du chapitre II La télé étouffe l’intelligence, p. 71-137), autrement dit des preuves solides existent que, toutes choses égales par ailleurs, le développement intellectuel des enfants se trouve profondément affecté par la consommation de télévision, avec un effet d’autant plus fort que la consommation s’effectue massivement très  jeune (dans les toutes premières années 0-3 ans). Des études montrent même qu’à cet âge précoce, le simple fait d’avoir la télévision allumée dans une pièce  sans la regarder aurait des effets sur le développement intellectuel. La raison profonde de cette déficience en matière de maturation de l’intelligence ne serait pas liée à la qualité déficiente (ou non) des programmes, mais à la nature non interactive de la télévision. Dans le fond, notre chercheur retrouverait dans la littérature savante contemporaine la vérité marxienne selon laquelle la vérité de l’homme (comme de tout animal) n’est autre que la praxis, et que la télévision constitue une forme extrêmement appauvrie d’(in)activité.  En tant que professeur d’université, je dois dire que la courbe historique des scores obtenues aux tests d’admission dans les universités américaines, corrélé avec un retard d’une vingtaine d’années avec la pénétration de la télévision dans les foyers  (p. 92),  m’a plutôt impressionné. L’auteur cite quelques exemples d’études ayant pu montrer que l’introduction de la télévision détraque les comportements enfantins, et qu’inversement, le sevrage télévisuel peut avoir des effets positifs assez rapides (si l’on valorise la réussite scolaire, le sommeil, le calme, etc.).

b) la consommation de télévision est un facteur déterminant d’augmentation des risques de santé suivants : obésité, tabagisme, alcoolisme, sexualité mal contrôlée chez les adolescents, et j’en oublie quelques autres dont la sénescence précoce (cf. chap. III, “La télé menace la santé”, p. 139-201). Sur le tabagisme par exemple, des études montrent que, pour des adolescents, le simple fait de voir des films plutôt anodins dans lesquels apparaissent massivement des cigarettes fumées par des acteurs sympathiques augmentent la probabilité de devenir soi-même fumeur. En conclusion, indirectement, la télévision tue purement et simplement, et, avant cela, coûte cher en dépenses de santé – mais rapporte beaucoup aux entreprises qui manipulent ainsi nos comportements.

c) Enfin, la consommation de télévision rend violent et /ou anxieux (chap. IV“La télévision cultive la peur et la violence”, p. 203-238). Pour l’auteur, sur le premier point, à savoir le fait de voir de la violence et de devenir en conséquence soi-même, toutes choses égales par ailleurs, plus violent et/ou indifférent à la violence, aurait atteint un tel point de consensus parmi les scientifiques que les recherches se sont ralenties sur ce point depuis quelques années. Inutile de continuer à prouver que la terre est ronde. Pour l’anxiété, due au visionnage massif de la télévision, elle s’exerce d’autant plus puissamment sur les plus jeunes esprits.

En résumé, à en croire l’auteur, la communauté scientifique se trouve sur les divers effets négatifs de la télévision dans un consensus semblable par son ampleur que celui que connaissait cette même communauté sur les effets cancérigènes du tabac  alors que l’industrie du tabac et ses affidés  et idiots utiles niaient encore farouchement tout lien – avec la même difficulté donc, à savoir que cette “vérité scientifique” n’arrive pas du tout à s’imposer  dans l’espace public. La plus grande partie des études citées se trouvent être nord-américaines, et l’on découvrira que, sur la foi de ces recherches, les sociétés savantes des Etats-Unis ont multiplié les avis sur les différents points évoqués, sans à ma connaissance aucun effet sur la civilisation télévisuelle de ce pays. Pisse dans ce violon, camarade savant, tu nous intéresses!

Cependant, bien que Michel Desmurget ne fasse pas la différence, il faut distinguer deux séries d’effets : le plus grave, celui du média télévision en soi, par la passivité qu’il implique et qui s’avère  en tout point imparable  dans ses effets à tous les âges de la vie (point a));  et les plus remédiables, ceux qui sont liés au contenu des programmes (incitation à la malbouffe, à la violence, etc.) (point b) et c)). On peut remarquer de fait qu’il existe déjà beaucoup de règlementations pour limiter ce qui est montrable à la télévision. Par exemple, aucun pays n’autorise à ma connaissance de la  vraie pornographie en clair sur des chaînes accessibles à tous; beaucoup de pays disposent d’un système de classification des œuvres selon  le degré de violence; des programmes pour enfants sont conçus et diffusées; on limite ou on interdit la publicité visant les enfants, etc. ; autrement dit, sur les points b) et c), on pourrait, à la limite, imaginer de règlementer en vue d’une télévision qui éviterait les principaux écueils repérés par la recherche. Cela serait sans doute un peu ennuyeux pour beaucoup de gens (plus de séries criminelles, plus de sexe suggéré, plus de fumeurs positifs, etc.) et ressemblerait aux recommandations en la matière de laVie (encore) catholique en 1968 – ou, au contenu de la télévision actuellement gérée par le Patriarcat de Roumanie. Comme le montre l’auteur avec soin (dans le premier chapitre I, p. 33-69), les enfants regardent en gros la même chose que les adultes; donc, à moins de supposer des parents devenus tous raisonnables et ne laissant voir à leurs enfants que ce qui est de leur âge, il faudrait revenir à un terrible degré de censure des programmes. (Dans le cas des Etats-Unis, le principe intangible de la liberté d’expression rend toute réflexion en ce sens largement caduque, mais en Europe, des avancées seraient possibles.)

En revanche, sur le point a), la télévision en soi (quelque soit le contenu) s’avère un désastre ontogénétique pour les enfants (et, accessoirement, tend à aider les adultes à devenir sénile avant l’heure), les perspectives d’action publique me semblent  plus limitées; de fait, l’objectif de l’ouvrage semble être bien essentiellement d’obtenir que les parents, prévenus par l’auteur, arrêtent de laisser la télévision à disposition de leurs jeunes enfants (cf. la conclusion en ce sens p. 246 : “pendant les cinq ou six premières années de vie, toute exposition audiovisuelle devrait être strictement proscrite par les parents tant la télévision trouble le sommeil, promeut l’obésité à long terme et interfère avec le développement intellectuel, affectif, physique et social de l’enfant.” ), et, ensuite, contrôlent strictement la qualité et la quantité de ce qui est regardé par ces derniers. Or, comme il croit pouvoir le montrer, ce sont les adultes eux-mêmes  qui veulent que les (très) jeunes enfants s’intéressent à la télévision (ou à des DVD) afin d’obtenir du répit dans la lourde tâche de l’éducation qui leur incombe. Bien que n’ayant pas d’enfants, cela m’a rappelé que des amis, n’ayant d’ailleurs pas la télévision chez eux pour des raisons fort semblables à celles invoquées par l’auteur,  amis avec lesquels je passais des vacances il y a quelques années, utilisaient sciemment en dernier recours la télévision (cachée jusque là dans un coin du logement)   pour paralyser littéralement leur chère progéniture, plutôt remuante par ailleurs, en cas de nécessité absolue (faire les bagages et le ménage à la fin du séjour). Cela m’avait plutôt amusé à l’époque que de voir cet effet de fascination – un peu le rayon paralysant des séries télévisées de mon enfance -, mais je me rends compte à la lecture de Michel Desmurget que là se trouve largement la clé du problème. Tous les adultes n’ont pas l’énergie pour interagir tout le temps avec  leur progéniture. Se passer de fait de la télévision supposerait une réorganisation des vies familiales.

Plus généralement, si l’on admet que Michel Desmurget, chercheur à l’INSERM, a fait correctement son travail de compilation et engage ainsi sa responsabilité de savant, on peut en tirer trois conclusions.

Tout d’abord, le peu de sympathie exprimée par quelques grands penseurs du siècle dernier à l’égard de la télévision, Karl Popper, Pierre Bourdieu, et Giovanni Sartori, pour citer des grands noms, semble recevoir une confirmation empirique forte de toutes ces études  si l’on partage l’idéal d’une humanité forte et adulte.

Ensuite, on possèderait là un exemple supplémentaire d’écart abyssal entre ce qu’exigeraient les résultats scientifiques et les pratiques socioéconomiques en vigueur. Bien qu’il ne l’ait pas calculé, l’externalité négative de la télévision comme activité sociale parait au total énorme – surtout si l’on compte les effets de long terme qui semblent étonnamment forts. Même si Michel Desmurget se montre très prudent dans ses interventions médiatiques en visant surtout à protéger les enfants d’aujourd’hui et à se présenter comme quelqu’un qui n’est pas contre la télévision en soi, la conclusion logique de son travail serait en fait une suppression pure et simple de la télévision, ou, tout au moins,  dans une société de liberté d’entreprendre, la fin de tout soutien public à cette activité économique nocive. Par exemple, si la télévision en soi creuse la tombe de la performance scolaire et nous promet en plus des générations d’obèses, il n’est peut-être pas nécessaire de financer cela sur fonds publics. Ou, du moins, pourrait-on se limiter à une seule chaine exempte de tout effet nocif par le contenu et ne visant que les plus de six ans. Bien évidemment, on  n’en fera rien! C’est là un aspect fascinant de nos sociétés, cette capacité à payer des gens pour savoir qu’on se détruit en faisant telle ou telle chose, tout en s’en souciant peu au total. Je pourrais aussi citer la prison comme institution criminogène, ou les deux roues comme cause de mortalité massive sur les routes. Mais, dans le fond, après tout, nous pouvons (encore) nous payer ces luxes.

Dernier point :  M. Desmurget nomme sans aménité aucune “pipeaulogue” les spécialistes des médias ou  les essayistes qui nient ou minimisent les effets qu’il décrit à la suite de cette littérature qu’il a dépouillé.  Son livre prend en effet parfois le ton d’un pamphlet, mais c’est sans doute un choix de sa part pour atteindre un plus vaste public qu’avec un rapport de synthèse et pour rendre le contenu moins austère.  Au delà des termes dépréciatifs utilisés à l’encontre de quelques-uns cités dans l’ouvrage, je suis confondu par la divergence entre les conclusions qu’il tire à partir de cette littérature, trouvée essentiellement dans les revues de médecine, d’épidémiologie, de psychologie, et ce que j’avais perçu comme le consensus présent des spécialistes des médias, qui insistent plutôt sur les filtres sociaux à la réception, sur le côté anodin de toute ces contenus.  Par exemple sur le cas de la violence et de la sexualité, l’écart me parait énorme. Il est vrai que le souhaitable que dessine en creux le consensus scientifique auquel se réfère Michel Desmurget ressemble fort à la bonne vieille morale éducative de la bourgeoisie  catholique du début du siècle dernier. L’auteur s’en défend et s’en amuse même parfois, mais il reste qu’il casse totalement le lien entre “progressisme” (entendu comme recherche de l’autonomie pleine et entière de l’individu) et “libéralisme culturel” (entendu ici comme extension du domaine du montrable). Finalement, cela voudrait dire que des films-culte comme Pulp Fiction ou simplement  Avatar sont porteurs de maux pour les jeunes qui en sont les plus friands consommateurs. Si la violence, le sexe et le tabagisme montrés aux masses adolescentes ne sont plus aussi anodins que cela, où va-t-on arriver ma brave petite dame? Chez Benoit XVI? Chez les talibans? Et puis, par ailleurs, si l’on n’a plus de faits divers bien gores pour le JT, de quoi peut-on parler alors? Où sera l’émotion?

Source : Bouillaud’s Weblog

Michel Desmurget

Michel Desmurget : l'impact de la télé sur notre santé

 
P.S. Dans un autre registre, comme signalé en commentaire, je vous conseille le film Idiocracy (Planet Stupid “en français”, de 2007). Au 1er degré, ça ne vole pas super haut, mais au second, c’est une critique assez radicale et bien vue…

Idiocracy trailer Bande-annonce

P.P.S. : et pour le coup, sans aucun rapport avec tout ça, je vous conseille vraiment d’aller voir au cinéma le film La famille Belier, c’est remarquable de sensibilité et une belle façon de commencer l’année… :)

La Famille Bélier – Bande annonce HD

 

 

 

 

 

 

06/12/2014

Le cerveau dans le ventre. Le système nerveux entérique. Vidéo

L’être humain avait déjà un cerveau magnifique, il en a maintenant un deuxième, bien caché au creux de l’intestin. Vous pouvez l’appeler système nerveux entérique. Ses quelques 200 millions de neurones pourraient laisser penser que, dans le ventre, chacun de nous accueille l'équivalent du cerveau d'un petit chien...

CC Elton.M / Flickr

 

A quoi servent ces millions de neurones ? D'abord à maîtriser le plus essentiel des processus vitaux : la digestion, une tâche essentielle et complexe qui font de ce deuxième cerveau le premier par ordre d'apparition dans l'évolution - avant d'être des êtres pensant, nous fûmes des organisme digérant. Ce "deuxième" cerveau n'est pas autonome du système nerveux central, voilà de quoi passionner les chercheurs, ces deux cerveaux dialoguent et partagent des informations. Ces neurotransmissions entre le haut et le bas bouleversent les visions de certaines maladies neuronales comme la maladie de Parkinson. Pour les neurogastroentérologues, le ventre est une fenêtre ouverte sur le cerveau. A l'IMAD, l'Institut des Maladies de l'Appareil Digestif, neurologie et gastroentérologie partagent les mêmes bureaux. Les recherches sur le systèmes nerveux entériques, ses neurones et ses cellules gliales (cellules environnant les neurones), permettent une compréhension tout à fait nouvelle sur notre organisme et l'une de ses merveilles de complexité, grande comme un terrain de tennis : le tube digestif. En studio, Michel Neunlist, directeur de l'unité de neurogastroentérologie à l'IMAD et Bernard Lardeux, chercheur dans son unité. Leurs recherches, à la pointe de la connaissance dans ce domaine, vous invitent à jeter un nouveau regard sur le ventre, fenêtre sur le cerveau, centre périphérique de nos émotions, lieu d'accueil pour des milliards de milliards de bactéries (davantage que de cellules dans tout l'organisme), nouveau monde fascinant et territoire encore mystérieux.

http://www.franceculture.fr/blog-france-culture-plus-2014-04-07-le-cerveau-dans-le-ventre

Le cerveau dans le ventre. Le système nerveux entérique.

 

 Conférence de Christian GANA sur le cerveau du ventre

 

 

 

03/12/2014

L'eau des océans serait venue de l'espace

Et L'UNIVERS-DIEU, créa la Terre, l'eau, les hommes et la biodiversité !

Cet article scientifique date de 2009, et en 2014 on voudrait encore nous faire croire qu'un Dieu Unique dénommé EL pour Abraham aurait créé la fable d'Adam et Eve ? 

 

L'eau des océans serait venue de l'espace

D'où vient l'eau des océans ? La réponse est incertaine et le débat dure depuis des décennies. Pendant longtemps, on a pensé qu’elle provenait du dégazage du manteau de la Terre primitive. Les indications s’accumulent pourtant en faveur d’une origine extraterrestre, comme Francis Albarède vient de le réaffirmer récemment dans Nature.

Les fumerolles s'élevant du cratère de Vulcano Fossa sont riches en eau. Crédit : Laurent sacco/Futura-Sciences

Les fumerolles s'élevant du cratère de Vulcano Fossa sont riches en eau. Crédit : Laurent sacco/Futura-Sciences Les gaz qu’émettent les volcans, comme par exemple les fumerolles que l’on peut admirer au sommet du cratère de Vulcano Fossa dans l’une des îles éoliennes, sont riches en eau. De là à penser que l’eau de la Terre tire son origine de l’activité volcanique il n’y a qu’un pas qui a été franchi depuis longtemps par les géochimistes et les géologues.

L’analyse des météorites et les informations fournies par le programme Apollo ont montré sans l’ombre d’un doute que les planètes telluriques se formaient par un processus d’accrétion à partir de planétésimaux. C’est en effet ce que l’on déduit de la ressemblance entre la composition chimique et minéralogique du manteau terrestre avec celle des chondrites et l’omniprésence de cratères d’impacts sur des planètes comme Mars ou Mercure. Ainsi, les chondrites sont-elles composées d'olivine, de pyroxène et de fer et l’on sait que l'olivine et le pyroxène sont les constituants principaux des péridotites, les roches du manteau.

Or, certaines chondrites sont riches en eau, contrairement au manteau terrestre. D’autres mesures concernant la chimie des roches du manteau montrent aussi un appauvrissement en éléments volatils par rapport aux chondrites. L’idée d’un dégazage du manteau pendant la période de l’Hadéen, conduisant à la formation de l’atmosphère et des océans de la Terre, apparaît comme un scénario très probable. Bien des livres de géologie et de volcanologie écrits pendant les années 1970 expliquaient alors de cette manière l’apparition de l’eau sur Terre en faisant des volcans tueurs le prix nécessaire à payer pour l’apparition de la vie elle-même.

Pourtant, les modèles de formation du système solaire s’affinant et la théorie faisant de la Lune la conséquence de la collision entre la Terre et une planète de la taille de Mars, baptisée Théia, prenant du poids, il devenait de plus en plus probable que l’eau ne puisse pas provenir d’un processus de dégazage. Ainsi, l’eau contenue dans le manteau serait partie dans l’espace bien avant qu’une croûte solide et une tectonique des plaques ne puissent s’enclencher. L’hypothèse d’une origine volcanique de l’eau des océans a donc graduellement mais sûrement perdu beaucoup de terrain.

 

 

Cliquer pour agrandir. Tentative de reconstruction chronologique de l'accrétion de la Terre. Les éléments indiqués en brun (U symbolise l'uranium, Pb le plomb, Hf l'hafnium, W le tungstène, I l'iode et Xe le xenon) sont utilisés pour dater précisément les événements. Une première phase (T Tauri phase) correspond à un épisode de fortes radiations électromagnétiques qui a interrompu l'accrétion des matériaux planétaires. Puis, l'arrivée de matière planétaire a permis l'accrétion de protoplanètes. Collisions après collisions, les planètes se sont ainsi formées avec leurs masses actuelles ; la dernière collision a donné naissance à la Terre et à la Lune (30 millions d'années après la formation du Système Solaire). Le chronomètre Hf-W date la séparation métal-silicate, c'est-à-dire la séparation noyau-manteau. Un apport tardif et lointain (au-delà de 2,5 Unités astronomiques) d'astéroïdes chondritiques, entre 80 et 130 millions d'années après la formation du Système solaire, aurait notamment véhiculé des matériaux contenant de l'eau et des éléments volatils à partir desquels se seraient formés les océans. © CNRS-Insu-Albarède-Nature 2009

 


Tentative de reconstruction chronologique de l'accrétion de la Terre. Les éléments indiqués en brun (U symbolise l'uranium, Pb le plomb, Hf l'hafnium, W le tungstène, I l'iode et Xe le xenon) sont utilisés pour dater précisément les événements. Une première phase (T Tauri phase) correspond à un épisode de fortes radiations électromagnétiques qui a interrompu l'accrétion des matériaux planétaires. Puis, l'arrivée de matière planétaire a permis l'accrétion de protoplanètes. Collisions après collisions, les planètes se sont ainsi formées avec leurs masses actuelles ; la dernière collision a donné naissance à la Terre et à la Lune (30 millions d'années après la formation du Système Solaire). Le chronomètre Hf-W date la séparation métal-silicate, c'est-à-dire la séparation noyau-manteau. Un apport tardif et lointain (au-delà de 2,5 Unités astronomiques) d'astéroïdes chondritiques, entre 80 et 130 millions d'années après la formation du Système solaire, aurait notamment véhiculé des matériaux contenant de l'eau et des éléments volatils à partir desquels se seraient formés les océans. © CNRS-Insu-Albarède-Nature 2009

Si l’on en croit les travaux publiés par Francis Albarède du Laboratoire des sciences de la Terre (INSU-CNRS / ENS Lyon / Université Claude Bernard) les traceurs isotopiques et les modèles de formation des planètes conduisent même aujourd’hui à la conclusion que la Terre était à l'origine pauvre en eau. La température dans le disque protoplanétaire et le flux intense de radiation dans la phase dite T Tauri du jeune Soleil aurait conduit à la formation de planètes telluriques sèches.

L’eau des océans ne pourrait alors pas être d’origine terrestre. Elle aurait été amenée plusieurs dizaines de millions d’années après la formation de la Terre par le bombardement de comètes et d’astéroïdes formés au-delà de la ceinture d’astéroïdes actuelle. Dans ces régions éloignées du Soleil primitif, la température et le flux de radiation lumineuse autorisaient alors la formation de chondrites riches en eau.

On ne peut qu’être songeur devant les conclusions atteintes depuis quelques années par différents auteurs au sujet de la présence de plusieurs matières précieuses sur Terre. Ainsi, l’or, le platine et jusqu’aux diamants noirs sont probablement d’origine extraterrestre...

http://www.futura-sciences.com/magazines/terre/infos/actu/d/geologie-eau-oceans-serait-venue-espace-21167/

 

Une super-civilisation existait sur la Terre avant l'humanité (scientifiques)

A cause de la matrice reptilienne qui nous entretient dans l'arriération mentale, il semblerait que nous soyons la civilisation la plus ignorante de notre galaxie !

Il serait temps de vivre à l'ère de la physique quantique et non pas au règne du monothéisme, soit 4000 ans en arrière !


Alors qu'une super-civilisation vivait sur Terre avant l'humanité, il faut toujours nous faire croire à la théorie Darwinienne de l'évolution, et cela en arrange plus d'uns apparemment, de nous entretenir dans l'ignorance. Voilà ce qu'il faut croire et qu'il faut faire croire à nos enfants !

South Park - et la théorie de l'évolution (VF)


 

25 novembre, 16:49

Une super-civilisation existait sur la Terre avant l'humanité (scientifiques)

Par La Voix de la Russie | Des scientifiques russes ont fait une déclaration sensationnelle : une civilisation surdéveloppée existait sur la Terre avant l’humanité. Cette conclusion a été faite par des chercheurs des régions de Rostov et de Krasnodar après qu’un habitant de Labinsk ait fait une découverte unique.

Pendant la pêche, Viktor Morozov a découvert une pierre inconnue, à l'intérieur de laquelle se trouvait une «puce», a déclaré l’édition Mir Novosteï (Monde de nouvelles). Après une analyse de l’«artefact» trouvé, les experts ont conclu qu'elle appartenait à une civilisation plus avancée que l'humanité, celle qui a vécu sur la Terre avant nous. La découverte unique a été conservée depuis les temps anciens grâce à l’«immersion» dans la pierre, expliquent les chercheurs.

La veille, le laboratoire du Département de géologie de l’Institut polytechnique de Novotcherkassk dans la région de Rostov a établi l'âge de la découverte. Il s’est avéré que la pierre inhabituelle avait environ 250 millions d'années. Ce fait est la preuve de l'existence sur la Terre d’une civilisation sur-développée longtemps avant l'apparition de l'homme antique. Probablement, nous pourrons atteindre leur niveau de technologie seulement dans un avenir lointain.



Le Dr. Konstantin Korotkov et la bioélectrophotographie. L'énergie et la conscience

Les corps énergétiques de l'Homme

Le Dr. Konstantin Korotkov et la bioélectrophotographie

(Source : Joe Martino, Collective Evolution)

L’énergie de la conscience, par le Dr. Konstantin Korotkov.

Un scientifique russe qui étudie le champ d’énergie du corps humain prétend que les gens peuvent changer le monde en utilisant simplement leur propre énergie. Bien que cette idée ne soit pas nouvelle, rares sont ceux qui ont pris le temps de la prouver scientifiquement. Cela dit, la physique quantique a considérablement éclairci ce sujet au fil des ans. Le Dr. Konstantin Korotkov, professeur de physique à l’Université Technique d’Etat de Saint-Pétersbourg, affirme que nos pensées ont une influence sur notre environnement.

« Nous développons l’idée que notre conscience fait partie du monde matériel et que notre conscience peut directement influencer le monde, » dit le Dr. Konstantin Korotkov.

Il est difficile de voir l’énergie à l’œil nu, il est donc difficile de comprendre le monde énergétique invisible sans les observations des mesures scientifiques. C’est peut-être pour cela que l’étude de l’influence de la conscience sur la réalité est aussi peu développée. La bioélectrophotographie permet de construire un pont entre le monde physique et invisible. Dans ces expériences, on part du principe que le corps humain et la conscience émettent constamment de l’énergie. La bioélectrophotographie cherche à identifier ces champs d’énergie en terme de lumière autour du corps. En métaphysique, on appelle « aura » cette émission d’énergie, mais en science, on parle de « champ d’énergie ».

Mind over Matter: Secrets of human aura revealed by Russian scientists

Recherches à Princeton

Le Dr. Korotkov n’est pas le seul à étudier les effets de l’esprit humain, de ses pensées et de son énergie sur notre environnement. Le laboratoire de Princeton Engineering Anomalies Research (PEAR) a également cherché à comprendre le sujet et a conclu que l’esprit peut effectivement influencer de manière subtile les résultats d’appareils connus sous le nom de Générateurs d’Evénements Aléatoires (REG).

Plus d’informations sur Psyleron.com et le New York Times.

Le projet a commencé lorsqu’une étudiante souhaitait déterminer les effets de l’esprit et de l’intention sur l’environnement. Cette idée s’est transformée en un laboratoire d’essais rigoureux où le Dr. Robert Jahn et Brenda Dunne, son assistante de laboratoire, ont passé de nombreuses heures à déterminer si oui ou non l’esprit avait une incidence sur le monde physique. Jahn et son assistante ont pu déterminer que les interactions entre l’esprit humain et la machine prouvaient que la relation n’était pas de nature physique. L’esprit pouvait influencer et changer les résultats de la machine d’une manière inexplicable. Autrement dit, la conscience pouvait influencer le monde physique.

Pour déterminer l’influence de l’intention sur le monde physique, ils ont construit plusieurs machines appelés générateurs de nombres aléatoires. Les opérations de la machine ressemblaient à des « pile ou face » et les résultats étaient enregistrés au fur et à mesure. La machine faisait 200 « pile ou face » par seconde et produisait une moyenne de 100. Les résultats obtenus sans surveillance étaient donc de 50/50. Mais quand il y avait une interaction entre l’esprit humain et la machine, les choses prirent une tournure intéressante. Les résultats de 50/50 se sont mis à changer selon les attentes de l’observateur. Bien que cette influence de l’esprit sur la machine n’était pas très importante, elle est incompréhensible pour la physique contemporaine. Peut-être que le monde quantique peut nous éclairer ?

Les implications possibles de ces recherches sur l’humanité sont fascinantes car elles pourraient permettre de mieux comprendre la nature de l’intention. Si les intentions et les pensées influent de cette manière sur le monde, pourquoi ne pas explorer jusqu’au bout ce processus ? La science permettra peut-être de démontrer le vrai pouvoir de nos esprits et de nos intentions.

La vidéo ci-dessous est un brève présentation du laboratoire de recherche sur les anomalies de l’Université de Princeton, dont les recherches sur l’interaction matière-esprit ont été à l’origine de Psyleron Technology.http://vimeo.com/4359545

Psyleron - Princeton Mind-Matter Interaction Research from Psyleron on Vimeo.

 

Note :

Les livres du Dr. Konstantin Korotkov sont disponibles au format PDF dans la boutique de Korotkov.org.

Ci-dessous, la transcription d’une vidéo de Quantique Planète, dont l’intégralité est disponible sur le DVD 2012 :

« C’est un grand homme que vous avez là, qui vient de Russie, qui fait une étude systémique depuis… environ 40 ans… 40 ans d’étude systémique.

Konstantin G. Korotkov : Nous avons beaucoup de contacts et partageons beaucoup de nos travaux avec des médecins. Donc nous pouvons identifier plusieurs branches de médecine. La première branche nous aide à surpasser des troubles sévères. C’est pour cela que la chirurgie et la médecine pharmaceutique bénéficient d’un développement extrêmement importants de nos jours. En même temps, nous avons besoin de développer une approche intégrative. Une approche qui considère la personne comme un tout : avec un corps physique, un esprit, une conscience, une âme. Et bien sûr c’est un développement nouveau pour la médecine occidentale. De plus en plus de médecins s’intéressent à cette branche. En Russie, nous n’avons pas une telle division entre ce que j’appelle la médecine classique et la médecine intégrative. Ce ne sont que deux parties différentes d’un même processus. Un processus qui cherche à faire que les gens soient en bonne santé.

[Extrait de la conférence :] Maintenant, nous allons discuter de plusieurs thèmes importants. Tout d’abord, nous allons parler du champ d’énergie humain, de la mémoire de l’eau et des études sur l’eau. Nous allons aussi évoquer l’étude de la conscience, des lieux d’énergie, et des différentes modalités thérapeutiques.

Résumons rapidement ce qu’est l’énergie. Nous nous basons sur une approche strictement scientifique de l’idée d’énergie. L’énergie est la principale mesure quantitative de tout type de mouvement et d’activité. L’énergie est omniprésente autour de nous.

Et qu’est-ce que la matière ? La matière est de l’énergie condensée pour maintenir une structure. Einstein a montré, avec son équation E=MC² que cette relation est littéralement vraie. La matière et l’énergie sont interchangeables. La première implication est la bombe atomique. Mais cela signifie qu’il faut beaucoup d’énergie pour maintenir une structure. Nous avons donc beaucoup d’énergie dans notre corps.

Il y a toujours eu cette notion d’énergie en Orient. Il y a toujours eu des personnes qui pouvaient sentir cette énergie. Dans les anciennes images religieuses, on représentait de la lumière autour du corps. Nous avons désormais de nombreuses approches scientifiques pour étudier ces champs autour du corps. Nous utilisons dans ce but de nombreuses fréquences électromagnétiques. Nous pouvons parler de mesure de l’énergie vitale.

Nous appelons cela l’imagerie électrophotonique, qui est une branche de la bioélectrographie. Nous avons une longue tradition historique, qui remonte aux 17 et 18ème siècles. Puis il y eut des progrès significatifs aux 19 et 20ème siècles. Les Kirlian sont bien connus pour avoir découvert la photographie Kirlian. Mais ce n’est qu’à la fin du 20ème siècle que avons pu passer de la photographie Kirlian au traitement par ordinateur. Nous en avons désormais une bonne compréhension physique. Ce sont des procédés quantiques. Nous analysons la lumière venant des sujets, car nous sommes tous des êtres de lumière, et nous émettons de la lumière. »