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05/02/2019

«Vous avez visité un site porno»: une nouvelle arnaque envahit le Net

Nous sommes les victimes depuis des mois de cette arnaque, mais nous n'y avons pas répondu. Les mails d'escroquerie et de menaces arrivent soit en langue française ou anglaise. Les menaces consistent à diffuser nos soi-disant photos pornos à tous nos contacts mails. En revanche il a fallu faire supprimer les Trojans et les virus de nos ordinateurs de nos disques externes et de changer nos mots de passe de messagerie, mais depuis lors nous continuons à recevoir leurs messages de menaces et nous recevons toujours une multitude de mails et des spams à visée pornographique et impossible de se désinscrire de leur campagne crapuleuse. 

 

«Vous avez visité un site porno»: une nouvelle arnaque envahit le Net

L'Office central de lutte contre la criminalité liée à la technologie de l'information et de la communication (OCLTIC) met en garde contre une nouvelle arnaque sur Internet, propagée par mail et visant à extorquer une somme non négligeable en bitcoins à ses victimes.

Plus de 10.000 personnes ont signalé depuis début janvier à la police française avoir reçu des mails menaçants, qui sont en fait une tentative d'arnaque massive, mais inoffensive si on n'y répond pas.

Le lien twitter de la Police Nationale : https://twitter.com/PoliceNationale/status/10924593865791...

Arnaque au porno.JPG

 

 

L'Office central de lutte contre la criminalité liée à la technologie de l'information et de la communication (OCLTIC) a décompté, depuis début janvier, plus de 10.000 signalements, ce qui représente près du tiers du nombre total de signalements enregistrés sur l'ensemble de l'année 2018.

 

«Sur ces 10.000 signalements, 80% ont trait à cette arnaque», a expliqué François-Xavier Masson, patron de l'OCLTIC, qui s'inquiète de l'ampleur du phénomène.

Le message est envoyé sur la boîte mail de l'utilisateur. «J'ai intercepté vos mots de passe», «vous avez visité un site porno», «500 euros est un juste prix pour nos petits secrets»: dans son message, le pseudo-hacker propose ensuite une adresse où payer en bitcoins «sous 48 heures» sinon il enverra les enregistrements «à tous vos contacts». 

«On travaille sur cette arnaque depuis l'été 2018 mais ces dernières semaines nous avons reçu des centaines d'appels, c'est une vraie campagne active, massive et qui touche tout le monde», s'inquiète M.Masson.

 

«On ne paye jamais», insiste-t-il. «On ne répond pas au mail, on fait un signalement sur Pharos (plateforme du ministère de l'Intérieur dédiée à la traque des contenus illicites circulant sur internet) avec les adresses mail et l'adresse bitcoin», conseille le patron de l'OCLTIC.

Il est également conseillé de vérifier ses mots de passe et d'en changer. 

 

 

 

22/11/2015

Armes en Syrie : le coup de poker de la France 14/03/2013

Petite piqûre de rappel sur les positions adoptées par Hollande et Fabius, en mars 2013, qui décidaient de faire lever l'embargo européen sur les armes à destination de la Syrie pour pouvoir armer la supposée "opposition Syrienne".

Ils vont nous dire qu'ils n'étaient pas déjà complices de leurs mercenaires en Syrie ?

Armes en Syrie : le coup de poker de la France

Paris annonce sa volonté de convaincre les Européens de lever l'embargo sur les armes à destination de l'opposition syrienne. Décryptage.

Par Armin Arefi

Publié le 14/03/2013 à 18:29 - Modifié le 26/03/2013 à 17:36 | Le Point.fr

François Hollande et Laurent Fabius, sur le perron de l'Élysée.

François Hollande et Laurent Fabius, sur le perron de l'Élysée. © AFP/ Kenzo Tribouillard

Il aura fallu deux ans et 70 000 morts pour que la France et la Grande-Bretagne veuillent réellement trouver une issue au drame qui a cours en Syrie. Le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, a surpris ce jeudi en annonçant que Paris et Londres allaient demander d'avancer la prochaine réunion de l'Union européenne sur l'embargo sur les armes en direction de la Syrie, prévue fin mai. Surtout, le ministre des Affaires étrangères a indiqué que, à défaut de l'unanimité requise dans l'Union européenne pour lever cette mesure, la France, "une nation souveraine", pourrait prendre la décision unilatérale de livrer des armes à l'opposition.

"On ne peut pas accepter qu'il y ait ce déséquilibre actuel avec, d'un côté, l'Iran et la Russie qui livrent des armes à Bachar [el-Assad] et, de l'autre, des résistants qui ne peuvent pas se défendre", a fait valoir jeudi Laurent Fabius sur France Info. Un souhait encore répété dans l'après-midi par François Hollande, à son arrivée au sommet européen à Bruxelles. "Nous souhaitons que les Européens lèvent l'embargo. Nous sommes prêts à soutenir la rébellion, donc nous sommes prêts à aller jusque-là. Nous devons prendre nos responsabilités", a insisté le président français.

Essor des djihadistes

Décidé en mai 2011, peu après le début de la violente répression exercée par les forces de Bachar el-Assad à l'encontre des manifestants pacifiques, l'embargo interdit la vente, la fourniture, le transfert et l'exportation d'armes à la Syrie, quel qu'en soit le destinataire (régime ou opposition). La mesure n'autorise que la livraison à l'opposition de matériels non létaux, comme du matériel de protection ou de communication (gilets pare-balles, talkies-walkies, équipements de désamorçage de mines).

Des moyens somme toute ridicules comparés aux avions de chasse et autres chars syriens qui bombardent au quotidien les villes et quartiers tenus par l'opposition. Mais l'essor de groupes djihadistes profitant de l'inaction de la communauté internationale, notamment à l'est de la Syrie, pousse désormais l'Occident à la prudence, de peur que leurs armes ne se retrouvent entre les mains d'islamistes radicaux. "Le but n'est pas de combattre des djihadistes au Mali pour fournir des armes aux djihadistes en Syrie", avait lancé en février dernier le chef de la diplomatie belge, Didier Reynders, justifiant ainsi la décision de prolonger l'embargo européen sur les armes jusqu'au 1er juin prochain.

"Urgence humanitaire" (Paris)

"Des livraisons d'armes risquent toujours de nourrir une course à l'armement et de provoquer une glissade vers une guerre par procuration, qui pourrait embraser toute la région", a renchéri la semaine dernière le chef de la diplomatie allemande, Guido Westerwelle. "Il y a urgence humanitaire en Syrie, au regard tant du nombre de morts que de celui des réfugiés syriens. Et la situation empire de jour en jour", confie au Point.fr une source diplomatique française. "L'idée est qu'une réunion accélérée sur la question de l'embargo des armes à destination de la Syrie se tienne avant mai."

Celle-ci pourrait avoir lieu les 22 et 23 mars, date à laquelle les ministres européens des Affaires étrangères doivent se retrouver pour une réunion informelle à Dublin. La prise de position française a en tout cas eu le mérite de secouer ses partenaires européens, particulièrement amorphes sur la question. Berlin a déclaré jeudi être "prêt à discuter immédiatement au sein de l'Union européenne" de l'opportunité de lever l'embargo, "si des partenaires importants de l'UE estiment que la situation est maintenant différente". Bruxelles a assuré de son côté qu'il était "possible" de discuter "sans délai" de la nouvelle opportunité, si l'un des 27 membres le souhaitait.

Prudence des rebelles

Étrangement, aucun État membre n'a formellement réclamé de levée de l'embargo au cours de la dernière réunion des ministres européens des Affaires étrangères, lundi à Bruxelles. D'après un haut responsable français s'exprimant sous le couvert de l'anonymat, l'objectif de la France serait notamment de fournir à l'opposition syrienne des moyens de défense antiaériens (missiles sol-air) contre les avions et les hélicoptères du régime. Il faut aux opposants "des armes qui puissent contrer les attaques des avions", a confié ce responsable à l'Agence France-Presse.

"Ces armes, c'est ce que demande la Coalition nationale syrienne [principale coalition de l'opposition syrienne, basée à l'étranger, NDLR]", rappelle la source diplomatique française. "À ce stade, il ne s'agit pas de se lancer dans des supputations. Rien n'a encore été décidé", assure-t-elle. Du côté de l'Armée syrienne libre (ASL), les annonces française et britannique sont accueillies avec prudence. "Le vrai problème de l'Armée syrienne libre [ASL] aujourd'hui est la multiplication des sources d'armement et de financement, ce qui provoque un déficit de contrôle du commandement central sur toutes les forces sur le terrain", affirme au Point.fr Fahad al-Masri, porte-parole du commandement conjoint de l'Armée syrienne libre de l'intérieur.

Tactique française

Tandis que l'ASL bénéficie de livraisons d'armes limitées de la part de l'Arabie saoudite et du Qatar, certaines personnalités privées habitant le Golfe alimentent les groupes rebelles les plus radicaux. "La livraison effective d'armes par la France permettrait d'unifier les ressources de l'ASL et ainsi de réunir sous un même étendard tous les groupes armés qui luttent pour la chute du régime", assure Fahad el-Masri. "Nous possédons dans notre armée des centaines d'officiers, anciens hauts gradés de l'armée régulière, qui savent manier les armes lourdes et de qualité."

Mais le porte-parole garde également en mémoire les multiples promesses de l'Occident envers l'opposition syrienne, restées, selon lui, lettre morte. "Si la France et la Grande-Bretagne ne mettent pas en application leur parole, elles pourraient au contraire ouvrir la voie à un soutien ouvert de l'Iran et de la Russie au régime syrien, afin qu'il massacre encore davantage sa population." Pour l'heure, Paris répète sa volonté de trouver une issue politique au conflit. "Toujours persuadé de sa supériorité militaire, le régime syrien ne fait rien pour la mise en place d'une telle solution", fait valoir la source diplomatique française. "Pour que Damas se persuade de l'intérêt à participer au dialogue politique, il faut créer les conditions d'un changement dans l'équilibre des forces sur le terrain."

Consultez notre dossier : "La tragédie syrienne".

 

18/11/2009

GrippeA/H1N1 : Appel aux Victimes de la vaccination

VICTIMES DE LA VACCINATION

APPEL A VICTIMES ET A TEMOINS DE Sos Justice


Bonjour à toutes et à tous,

Nous apprenons à l'instant que des personnels prioritaires pour la vaccination (pompiers, force de l'ordre, etc..) sont les victimes de la vaccination dans divers départements Français.

Des décès ont déjà été enregistrés et d'autres sont malades des suites de la vaccination criminelle.
Nous attendons confirmation par les principaux intéressés ou leurs familles.

Nous vous tiendrons informés bien évidemment dès que possible.

Nous vous prions de bien vouloir nous faire connaître toutes les personnes de votre entourage qui pourraient avoir été touchées par la vaccination et de leur dire de nous contacter de toute urgence au mail suivant : contact@sos-justice.com


Merci pour votre aide.

NE VOUS FAITES PAS VACCINER, NI VOUS, NI VOS ENFANTS !

Bien cordialement.

Mirella Carbonatto


http://www.dossiers-sos-justice.com/archive/2009/11/18/gr...

 

 

29/10/2009

GrippeA/H1N1 : Vaccination obligatoire des enfants dans les écoles (2)

Alerte ! Des unités mobiles ont déjà commencé à vacciner nos enfants de force le vendredi avant les vacances de la Toussaint, à Grasse !

Nous sommes en train de vérifier cette information !

Parents mobilisez-vous pour protéger vos enfants !

Arrêtez de penser que l'on viendra vous prévenir avant toute vaccination de vos enfants et que nous sommes dans un pays libre et de droits !

Lorsque vous mettez vos enfants à l'école vous autorisez l'école à effectuer tout acte sur vos enfants !

Vous devez absolument écrire au Directeur de l'école, à l'Académie, au Maire, au Préfet pour faire arrêter ce massacre !

Les Académies : http://www.education.gouv.fr/pid167/les-academies-et-les-...

Un truc hallucinant : Une amie de ma femme a un fils qui est scolarisé au collège Canteperdrix de Grasse. Vendredi après-midi (veille des vacances scolaires), le fiston appelle sa mère, complètement paniqué, car une unité mobile de vaccination s’apprête à vacciner tous les élèves. La mère affolée appelle le directeur pour lui dire qu’il est absolument hors de question que son fils soit vacciné, et le dirlo lui répond laconiquement « J’applique les consignes de l’inspection académique ! ».

Ça ne fait ni une ni deux, la mère prend sa voiture et va récupérer son fils au collège ; depuis elle a envoyé une lettre recommandée AR à l’inspection académique et au chef d’établissement.

Celui là avait un portable pour alerter ses parents. Mais combien d’autres ont été vaccinés ? Ceux qui n’avaient pas de portable sur eux, par exemple ? Ou encore ceux qui, par peur de représailles, se sont soumis à la vaccination, par peur de l’autorité ?

Ce qui est encore plus grave, c’est que normalement la vaccination ne devait commencer que le 5 novembre prochain pour « le reste de la population », puisque la période du 20/10 au 4/11 était réservée aux personnels de santé.

 

GrippeA/H1N1 : Vaccination obligatoire des enfants dans les écoles

GrippeA : les pédiatres valident le vaccin, mais pas son mode d’administration
Discrimination à l'encontre des pédiatres et des médecins.Obligation vaccinale des enfants par les unités mobiles ou les centres de vaccination.

Paru le 2009-10-28 12:24:00

France - Si les pédiatres déclarent leur pleine confiance envers les vaccins contre la grippe A et sur la politique vaccinale proposée par les autorités sanitaires, ils émettent un avis plus réservé quant aux modalités de cette vaccination.

Les pédiatres ne comprennent pas pourquoi ils ne sont pas autorisés à vacciner les enfants eux-mêmes en cabinet ou dans les centres de protection maternelle et infantile. L’Académie nationale de médecine a émis cette même réserve à propos des médecins généralistes qui ne sont pas non plus autorisés à vacciner.

L’Académie pense que les médecins devraient pouvoir vacciner « plus particulièrement dans l'éventualité où certaines personnes ne pourraient se rendre dans les centres de vaccination à cause de leur état ou de conditions climatiques défavorables ».

Le ministère de la Santé a justifié ce choix par les contraintes techniques liées à la disponibilité des vaccins et à son souhait de voir les médecins se consacrer avant tout aux soins. Les spécialistes pensent que la bonne connaissance des patients rend les médecins de ville plus aptes à fournir une couverture vaccinale optimale de la population. Les conditions de sécurité seraient tout aussi bien respectées chez ces derniers.

Les pédiatres émettent aussi des réserves sur les recommandations faites concernant les enfants vaccinés pour la première fois. Leur application devrait être "rendue difficile par l'impossibilité de faire les deux vaccins grippaux (saisonnier et pandémique) le même jour".

La France est le seul pays à recommander un délai de trois semaines entre les deux vaccinations grippales, sachant que les deux doses de vaccin contre la grippe A doivent être injectées à trois semaines d’intervalle.

Source : http://www.maxisciences.com/grippe-a/grippe-a-les-pediatr...