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15/01/2015

L’eau, passeuse de conscience

 

L’eau, passeuse de conscience

 

L’apparition de la conscience au cœur du vivant reste un mystère à élucider. Pour le Pr Marc Henry, l’eau, composante majeure de nos physiologies, pourrait détenir des clés surprenantes.

© DR

« L’eau participe forcément à l’apparition de notre conscience », révèle Marc Henry, professeur de chimie à l’université de Strasbourg et chercheur associé au CNRS. La vie est née dans l’eau et celle-ci est bien plus qu’un simple liquide corporel. Composante majoritaire et intime de notre être, elle fait non seulement 70 % de notre poids – soit les 3/4 de notre corps - mais « elle compte pour 99 % du nombre de molécules qui composent nos cellules », souligne ce spécialiste de l’eau. Plus petites en taille, écrasantes en nombre, les molécules d’eau sont notre matière première fondamentale.

Pourtant, nos modèles de compréhension du vivant sont souvent envisagés de manière anhydre. Nous représentons par exemple l’ ADN sans les millions de molécules d’eau qui la structurent - et sans lesquelles son fonctionnement est altéré. « Il faut non seulement remettre l’eau au cœur du vivant mais au centre du débat sur la conscience. Si nous sommes faits essentiellement d’eau, celle-ci joue forcément un rôle dans l’émergence de nos capacités psychiques », appuie Marc Henry.

H2O fait des vagues


Fuyant la solitude, H2O cherche constamment à tisser des liens. Zoomer sur une goutte d’eau est comme regarder une ruche au moment de son activité la plus intense. Ca grouille de connections qui se font, se défont, se refont toutes les 10-12 secondes. C’est d’une rapidité extrême. Et c’est là que l’énigme affleure. Au cœur de cette plasticité relationnelle incroyable, apparaissent des phénomènes de synchronisation déconcertants. Tels les poissons d’un banc agissant à l’unisson, les oiseaux d’une volée homogène, ou les supporters de foot performant une Olà sur les gradins, nos molécules d’eau vont parfois opérer de manière coordonnée. En un instant, elles se mettent toutes à s’orienter dans la même direction et à avoir le même comportement. « En physique quantique des champs, cela s’appelle une cohérence de phase : un nombre de molécules d’eau, impossible a compter car fluctuant, se comporte comme un groupe cohérent pendant un certain temps », détaille le Pr Henry. Nos molécules d’eau semblent surfer sur des vagues invisibles.

Bascule. Invitation à ne plus focaliser sur les corpuscules en eux-mêmes, mais sur le vide dont ils semblent recevoir des informations. Comment du « vide » peut-il être à l’origine de quelque chose ? « Nous constatons que le vide est capable de propager une onde électromagnétique. Ce qui veut dire que le vide a une impédance : une résistance électrique. La raison pour laquelle le vide peut avoir une impédance reste un grand mystère. Mais cela implique qu’il n’est pas vide. En mécanique quantique, nous apprenons que le vide est plein de particules et d'antiparticules. Nous sommes donc loin de ce qu’on appelle le néant », explique le chercheur. Avec sa capacité à extraire des photons du vide et à les faire circuler dans son réseau flexible de liaisons hydrogènes, l’eau serait un réceptacle de choix d’informations provenant de cet invisible. 99% de nos molécules sont-elles constamment branchées sur le vide quantique ? Allô le point zéro ?

Une information vivante


Pour le Pr Henry, la capacité de fluctuation des molécules d’eau serait fondamentale. Elle permettrait l’apparition d’un type d’information bien spécifique. « Stocker des données sur des solides, comme nous le faisons dans un livre, ou avec la technologie informatique actuelle, aboutit pour moi sur de l’information morte. Ca donne une quantité fixe et maîtrisée d’indications, transmises via des objets matériels déterminés. Alors que là où il y a fluctuation, c’est à dire cohérence quantique, émerge une information vivante. La vie, la nature, et probablement la conscience, procèdent de la sorte. Elles utilisent des composants dynamiques innombrables parce que toujours en train de varier, et codent l’information sur la phase. Ce ne sont donc pas les composants, les solides, qui sont importants, mais l’onde qui les traverse. C’est une nouvelle façon de concevoir l’information, qui reste vivante et connectée au vide », renseigne Marc Henry.

Ainsi, notre eau serait capable de recueillir de l’information électromagnétique provenant d’une vacuité énigmatique. Une fois reçue, celle-ci se transmettrait à notre ADN, nos protéines, et par répercussion à toute notre physiologie. L’être humain serait ainsi un système ouvert constamment traversé d’informations quantiques. « Etant plein d’excitations virtuelles et contenant tous les possibles, le vide quantique est un bel endroit pour mettre la conscience. De plus, à partir du moment où nous sommes en communication avec le vide, nous sommes en lien avec tout l’univers, puisqu’il relie tout », énonce Marc Henry. Tel le vent dans les feuilles d’un arbre, une onde dans la mer, une forme de conscience vivante pourrait nous être insufflée via nos molécules d’eau. S’appuyant sur les travaux du Pr Roger Penrose, grand physicien d’une science de la conscience, le Pr Henry avance que les microtubules de nos neurones - pleines d’eau – pourraient être un lieu de réception privilégié de ces informations quantiques. « C’est pour cela que pour moi, le rêve de transférer nos consciences sur un support matériel solide est une impasse. Pour reproduire la conscience, il faudrait bâtir des machines d’une flexibilité extrême. Elles devraient être constituées de composants capables de réceptionner une information vivante et de fluctuer aux rythmes du vide quantique. Nos cellules, grâce à l’eau, savent lire ce type d’information. Elles sont toujours en train de varier et nous ne sommes jamais les mêmes. La vie et la conscience possèdent cet art de mémoriser des informations sur de la fluctuation », conclut le Pr Henry.

 

 

21/12/2014

ALERTE ROUGE ! LES NOUVEAUX ÉMETTEURS TNT-GSM SONT UNE ARME DE DESTRUCTION MASSIVE

Les fréquences en or : arme de destruction massive

rédigé le 17 décembre 2014 à 15h08

Michel Dogna

 Ondes électromagnétiques

 

alternativesante.fr-frequences-en-or

alternativesante.fr-frequences-en-or

Le Gouvernement vient de prendre une décision gravissime en terme de santé publique et d'environnement. Le Premier ministre Manuel Valls a en effet annoncé officiellement mercredi 10 décembre dernier l’ouverture du marché de la télévision numérique terrestre (TNT), aux opérateurs des fréquences  micro-ondes de 700 MHz – nommées "fréquences en or", en raison de leur extrême pouvoir de pénétration - allant de 420 à plus de 500 mm - soit environ 0,50 m dans l’ensemble des matériaux de construction. Nous sommes très loin de toutes les études scientifiques - sur la pénétration de 124,5 mm du 2.450 MHz - qui mettent en garde les utilisateurs de téléphones mobiles sur les dangers que courre leur cerveau, car avec le 700 MHz, c'est carrément celui de tous les voisins (téléphonie passive) qui est menacé.

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06/12/2014

Le cerveau dans le ventre. Le système nerveux entérique. Vidéo

L’être humain avait déjà un cerveau magnifique, il en a maintenant un deuxième, bien caché au creux de l’intestin. Vous pouvez l’appeler système nerveux entérique. Ses quelques 200 millions de neurones pourraient laisser penser que, dans le ventre, chacun de nous accueille l'équivalent du cerveau d'un petit chien...

CC Elton.M / Flickr

 

A quoi servent ces millions de neurones ? D'abord à maîtriser le plus essentiel des processus vitaux : la digestion, une tâche essentielle et complexe qui font de ce deuxième cerveau le premier par ordre d'apparition dans l'évolution - avant d'être des êtres pensant, nous fûmes des organisme digérant. Ce "deuxième" cerveau n'est pas autonome du système nerveux central, voilà de quoi passionner les chercheurs, ces deux cerveaux dialoguent et partagent des informations. Ces neurotransmissions entre le haut et le bas bouleversent les visions de certaines maladies neuronales comme la maladie de Parkinson. Pour les neurogastroentérologues, le ventre est une fenêtre ouverte sur le cerveau. A l'IMAD, l'Institut des Maladies de l'Appareil Digestif, neurologie et gastroentérologie partagent les mêmes bureaux. Les recherches sur le systèmes nerveux entériques, ses neurones et ses cellules gliales (cellules environnant les neurones), permettent une compréhension tout à fait nouvelle sur notre organisme et l'une de ses merveilles de complexité, grande comme un terrain de tennis : le tube digestif. En studio, Michel Neunlist, directeur de l'unité de neurogastroentérologie à l'IMAD et Bernard Lardeux, chercheur dans son unité. Leurs recherches, à la pointe de la connaissance dans ce domaine, vous invitent à jeter un nouveau regard sur le ventre, fenêtre sur le cerveau, centre périphérique de nos émotions, lieu d'accueil pour des milliards de milliards de bactéries (davantage que de cellules dans tout l'organisme), nouveau monde fascinant et territoire encore mystérieux.

http://www.franceculture.fr/blog-france-culture-plus-2014-04-07-le-cerveau-dans-le-ventre

Le cerveau dans le ventre. Le système nerveux entérique.

 

 Conférence de Christian GANA sur le cerveau du ventre

 

 

 

03/12/2014

Le Dr. Konstantin Korotkov et la bioélectrophotographie. L'énergie et la conscience

Les corps énergétiques de l'Homme

Le Dr. Konstantin Korotkov et la bioélectrophotographie

(Source : Joe Martino, Collective Evolution)

L’énergie de la conscience, par le Dr. Konstantin Korotkov.

Un scientifique russe qui étudie le champ d’énergie du corps humain prétend que les gens peuvent changer le monde en utilisant simplement leur propre énergie. Bien que cette idée ne soit pas nouvelle, rares sont ceux qui ont pris le temps de la prouver scientifiquement. Cela dit, la physique quantique a considérablement éclairci ce sujet au fil des ans. Le Dr. Konstantin Korotkov, professeur de physique à l’Université Technique d’Etat de Saint-Pétersbourg, affirme que nos pensées ont une influence sur notre environnement.

« Nous développons l’idée que notre conscience fait partie du monde matériel et que notre conscience peut directement influencer le monde, » dit le Dr. Konstantin Korotkov.

Il est difficile de voir l’énergie à l’œil nu, il est donc difficile de comprendre le monde énergétique invisible sans les observations des mesures scientifiques. C’est peut-être pour cela que l’étude de l’influence de la conscience sur la réalité est aussi peu développée. La bioélectrophotographie permet de construire un pont entre le monde physique et invisible. Dans ces expériences, on part du principe que le corps humain et la conscience émettent constamment de l’énergie. La bioélectrophotographie cherche à identifier ces champs d’énergie en terme de lumière autour du corps. En métaphysique, on appelle « aura » cette émission d’énergie, mais en science, on parle de « champ d’énergie ».

Mind over Matter: Secrets of human aura revealed by Russian scientists

Recherches à Princeton

Le Dr. Korotkov n’est pas le seul à étudier les effets de l’esprit humain, de ses pensées et de son énergie sur notre environnement. Le laboratoire de Princeton Engineering Anomalies Research (PEAR) a également cherché à comprendre le sujet et a conclu que l’esprit peut effectivement influencer de manière subtile les résultats d’appareils connus sous le nom de Générateurs d’Evénements Aléatoires (REG).

Plus d’informations sur Psyleron.com et le New York Times.

Le projet a commencé lorsqu’une étudiante souhaitait déterminer les effets de l’esprit et de l’intention sur l’environnement. Cette idée s’est transformée en un laboratoire d’essais rigoureux où le Dr. Robert Jahn et Brenda Dunne, son assistante de laboratoire, ont passé de nombreuses heures à déterminer si oui ou non l’esprit avait une incidence sur le monde physique. Jahn et son assistante ont pu déterminer que les interactions entre l’esprit humain et la machine prouvaient que la relation n’était pas de nature physique. L’esprit pouvait influencer et changer les résultats de la machine d’une manière inexplicable. Autrement dit, la conscience pouvait influencer le monde physique.

Pour déterminer l’influence de l’intention sur le monde physique, ils ont construit plusieurs machines appelés générateurs de nombres aléatoires. Les opérations de la machine ressemblaient à des « pile ou face » et les résultats étaient enregistrés au fur et à mesure. La machine faisait 200 « pile ou face » par seconde et produisait une moyenne de 100. Les résultats obtenus sans surveillance étaient donc de 50/50. Mais quand il y avait une interaction entre l’esprit humain et la machine, les choses prirent une tournure intéressante. Les résultats de 50/50 se sont mis à changer selon les attentes de l’observateur. Bien que cette influence de l’esprit sur la machine n’était pas très importante, elle est incompréhensible pour la physique contemporaine. Peut-être que le monde quantique peut nous éclairer ?

Les implications possibles de ces recherches sur l’humanité sont fascinantes car elles pourraient permettre de mieux comprendre la nature de l’intention. Si les intentions et les pensées influent de cette manière sur le monde, pourquoi ne pas explorer jusqu’au bout ce processus ? La science permettra peut-être de démontrer le vrai pouvoir de nos esprits et de nos intentions.

La vidéo ci-dessous est un brève présentation du laboratoire de recherche sur les anomalies de l’Université de Princeton, dont les recherches sur l’interaction matière-esprit ont été à l’origine de Psyleron Technology.http://vimeo.com/4359545

Psyleron - Princeton Mind-Matter Interaction Research from Psyleron on Vimeo.

 

Note :

Les livres du Dr. Konstantin Korotkov sont disponibles au format PDF dans la boutique de Korotkov.org.

Ci-dessous, la transcription d’une vidéo de Quantique Planète, dont l’intégralité est disponible sur le DVD 2012 :

« C’est un grand homme que vous avez là, qui vient de Russie, qui fait une étude systémique depuis… environ 40 ans… 40 ans d’étude systémique.

Konstantin G. Korotkov : Nous avons beaucoup de contacts et partageons beaucoup de nos travaux avec des médecins. Donc nous pouvons identifier plusieurs branches de médecine. La première branche nous aide à surpasser des troubles sévères. C’est pour cela que la chirurgie et la médecine pharmaceutique bénéficient d’un développement extrêmement importants de nos jours. En même temps, nous avons besoin de développer une approche intégrative. Une approche qui considère la personne comme un tout : avec un corps physique, un esprit, une conscience, une âme. Et bien sûr c’est un développement nouveau pour la médecine occidentale. De plus en plus de médecins s’intéressent à cette branche. En Russie, nous n’avons pas une telle division entre ce que j’appelle la médecine classique et la médecine intégrative. Ce ne sont que deux parties différentes d’un même processus. Un processus qui cherche à faire que les gens soient en bonne santé.

[Extrait de la conférence :] Maintenant, nous allons discuter de plusieurs thèmes importants. Tout d’abord, nous allons parler du champ d’énergie humain, de la mémoire de l’eau et des études sur l’eau. Nous allons aussi évoquer l’étude de la conscience, des lieux d’énergie, et des différentes modalités thérapeutiques.

Résumons rapidement ce qu’est l’énergie. Nous nous basons sur une approche strictement scientifique de l’idée d’énergie. L’énergie est la principale mesure quantitative de tout type de mouvement et d’activité. L’énergie est omniprésente autour de nous.

Et qu’est-ce que la matière ? La matière est de l’énergie condensée pour maintenir une structure. Einstein a montré, avec son équation E=MC² que cette relation est littéralement vraie. La matière et l’énergie sont interchangeables. La première implication est la bombe atomique. Mais cela signifie qu’il faut beaucoup d’énergie pour maintenir une structure. Nous avons donc beaucoup d’énergie dans notre corps.

Il y a toujours eu cette notion d’énergie en Orient. Il y a toujours eu des personnes qui pouvaient sentir cette énergie. Dans les anciennes images religieuses, on représentait de la lumière autour du corps. Nous avons désormais de nombreuses approches scientifiques pour étudier ces champs autour du corps. Nous utilisons dans ce but de nombreuses fréquences électromagnétiques. Nous pouvons parler de mesure de l’énergie vitale.

Nous appelons cela l’imagerie électrophotonique, qui est une branche de la bioélectrographie. Nous avons une longue tradition historique, qui remonte aux 17 et 18ème siècles. Puis il y eut des progrès significatifs aux 19 et 20ème siècles. Les Kirlian sont bien connus pour avoir découvert la photographie Kirlian. Mais ce n’est qu’à la fin du 20ème siècle que avons pu passer de la photographie Kirlian au traitement par ordinateur. Nous en avons désormais une bonne compréhension physique. Ce sont des procédés quantiques. Nous analysons la lumière venant des sujets, car nous sommes tous des êtres de lumière, et nous émettons de la lumière. »

Docteur Konstantin G. Korotkov. Photographie d’une âme quittant le corps

Quand un scientifique Russe nous démontre que la mort n'est que la renaissance ou la résurrection de l'âme vers le monde de Lumière dont nous sommes tous issus, et que les hommes sont tous des êtres de lumière qui captent et émettent de la lumière.

Nous sommes bien loin, du purgatoire et de l'enfer, n'est-ce pas ?

Voir aussi : * - Docteur Konstantin G. Korotkov - Le Photon en Image

 

Conscience de l'homme 

 

Photographie d’une âme quittant le corps

 

L’instant de la décorporation astrale, durant lequel l’esprit quitte le corps, a été photographié par le scientifique russe Konstantin Korotkov à l’aide d’une caméra bioélectrographique

 

PHOTOGRAPHIE D'AMES

L’image a été prise par visualisation de décharge gazeuse (« Gas Discharge Visualization ») une technique avancée de photographie Kirlian qui montre la force vitale de la personne quitter peu à peu son corps. 

 

Le Dr. Konstantin Korotkov et la bioélectrophotographie

L’énergie de la conscience

Un scientifique russe qui étudie le champ d’énergie du corps humain prétend que les gens peuvent changer le monde en utilisant simplement leur propre énergie. Bien que cette idée ne soit pas nouvelle, rares sont ceux qui ont pris le temps de la prouver scientifiquement. Cela dit, la physique quantique a considérablement éclairci ce sujet au fil des ans. Le Dr. Konstantin Korotkov, professeur de physique à l’Université Technique d’Etat de Saint-Pétersbourg, affirme que nos pensées ont une influence sur notre environnement.


L'aura humaine révélée par la science par le Docteur Konstantin G. Korotkov.

 

« Nous développons l’idée que notre conscience fait partie du monde matériel et que notre conscience peut directement influencer le monde, » dit le Dr. Konstantin Korotkov.

Il est difficile de voir l’énergie à l’œil nu, il est donc difficile de comprendre le monde énergétique invisible sans les observations des mesures scientifiques. C’est peut-être pour cela que l’étude de l’influence de la conscience sur la réalité est aussi peu développée. La bioélectrophotographie permet de construire un pont entre le monde physique et invisible. Dans ces expériences, on part du principe que le corps humain et la conscience émettent constamment de l’énergie. La bioélectrophotographie cherche à identifier ces champs d’énergie en terme de lumière autour du corps. En métaphysique, on appelle « aura » cette émission d’énergie, mais en science, on parle de « champ d’énergie ».

 

Recherches à Princeton

Le Dr. Korotkov n’est pas le seul à étudier les effets de l’esprit humain, de ses pensées et de son énergie sur notre environnement. Le laboratoire de Princeton Engineering Anomalies Research (PEAR) a également cherché à comprendre le sujet et a conclu que l’esprit peut effectivement influencer de manière subtile les résultats d’appareils connus sous le nom de Générateurs d’Evénements Aléatoires (REG).

Psyleron - Princeton Mind-Matter Interaction Research from Psyleron on Vimeo.

Plus d’informations sur Psyleron.com et le New York Times.

Le projet a commencé lorsqu’une étudiante souhaitait déterminer les effets de l’esprit et de l’intention sur l’environnement. Cette idée s’est transformée en un laboratoire d’essais rigoureux où le Dr. Robert Jahn et Brenda Dunne, son assistante de laboratoire, ont passé de nombreuses heures à déterminer si oui ou non l’esprit avait une incidence sur le monde physique. Jahn et son assistante ont pu déterminer que les interactions entre l’esprit humain et la machine prouvaient que la relation n’était pas de nature physique. L’esprit pouvait influencer et changer les résultats de la machine d’une manière inexplicable. Autrement dit, la conscience pouvait influencer le monde physique.

Pour déterminer l’influence de l’intention sur le monde physique, ils ont construit plusieurs machines appelés générateurs de nombres aléatoires. Les opérations de la machine ressemblaient à des « pile ou face » et les résultats étaient enregistrés au fur et à mesure. La machine faisait 200 « pile ou face » par seconde et produisait une moyenne de 100. Les résultats obtenus sans surveillance étaient donc de 50/50. Mais quand il y avait une interaction entre l’esprit humain et la machine, les choses prirent une tournure intéressante. Les résultats de 50/50 se sont mis à changer selon les attentes de l’observateur. Bien que cette influence de l’esprit sur la machine n’était pas très importante, elle est incompréhensible pour la physique contemporaine. Peut-être que le monde quantique peut nous éclairer ?

Les implications possibles de ces recherches sur l’humanité sont fascinantes car elles pourraient permettre de mieux comprendre la nature de l’intention. Si les intentions et les pensées influent de cette manière sur le monde, pourquoi ne pas explorer jusqu’au bout ce processus ? La science permettra peut-être de démontrer le vrai pouvoir de nos esprits et de nos intentions.

La vidéo ci-dessous est un brève présentation du laboratoire de recherche sur les anomalies de l’Université de Princeton, dont les recherches sur l’interaction matière-esprit ont été à l’origine de Psyleron Technology. 

« C’est un grand homme que vous avez là, qui vient de Russie, qui fait une étude systémique depuis… environ 40 ans… 40 ans d’étude systémique.

(Source : Joe Martino, Collective Evolution et (Source : adguk)



Le champ d’énergie humain

Konstantin G. Korotkov : Nous avons beaucoup de contacts et partageons beaucoup de nos travaux avec des médecins. Donc nous pouvons identifier plusieurs branches de médecine. La première branche nous aide à surpasser des troubles sévères. C’est pour cela que la chirurgie et la médecine pharmaceutique bénéficient d’un développement extrêmement importants de nos jours. En même temps, nous avons besoin de développer une approche intégrative. Une approche qui considère la personne comme un tout :

avec un corps physique, un esprit, une conscience, une âme.

Et bien sûr c’est un développement nouveau pour la médecine occidentale. De plus en plus de médecins s’intéressent à cette branche. En Russie, nous n’avons pas une telle division entre ce que j’appelle la médecine classique et la médecine intégrative. Ce ne sont que deux parties différentes d’un même processus. Un processus qui cherche à faire que les gens soient en bonne santé.

Maintenant, nous allons discuter de plusieurs thèmes importants. Tout d’abord, nous allons parler du champ d’énergie humain, de la mémoire de l’eau et des études sur l’eau. Nous allons aussi évoquer l’étude de la conscience, des lieux d’énergie, et des différentes modalités thérapeutiques.

Résumons rapidement ce qu’est l’énergie. Nous nous basons sur une approche strictement scientifique de l’idée d’énergie. L’énergie est la principale mesure quantitative de tout type de mouvement et d’activité.

L’énergie est omniprésente autour de nous.

Et qu’est-ce que la matière ?

La matière est de l’énergie condensée pour maintenir une structure. Einstein a montré, avec son équation E=MC² que cette relation est littéralement vraie. La matière et l’énergie sont interchangeables. La première implication est la bombe atomique. Mais cela signifie qu’il faut beaucoup d’énergie pour maintenir une structure. Nous avons donc beaucoup d’énergie dans notre corps.

Il y a toujours eu cette notion d’énergie en Orient. Il y a toujours eu des personnes qui pouvaient sentir cette énergie. Dans les anciennes images religieuses, on représentait de la lumière autour du corps. Nous avons désormais de nombreuses approches scientifiques pour étudier ces champs autour du corps. Nous utilisons dans ce but de nombreuses fréquences électromagnétiques. Nous pouvons parler de mesure de l’énergie vitale.

Nous appelons cela l’imagerie électrophotonique, qui est une branche de la bioélectrographie. Nous avons une longue tradition historique, qui remonte aux 17 et 18ème siècles. Puis il y eut des progrès significatifs aux 19 et 20ème siècles. Les Kirlian sont bien connus pour avoir découvert la photographie Kirlian. Mais ce n’est qu’à la fin du 20ème siècle que avons pu passer de la photographie Kirlian au traitement par ordinateur. Nous en avons désormais une bonne compréhension physique. Ce sont des procédés quantiques. Nous analysons la lumière venant des sujets, car nous sommes tous des êtres de lumière, et nous émettons de la lumière. »

Selon Korotkov, avant que l’esprit ne surfe sur la fantasmagorie de l’infini, le nombril et la tête sont les premières parties du corps à perdre leur force vitale (qui serait l’âme), et l’aine et le cœur sont les dernières parties.

Dans d’autres cas, Korotkov a remarqué que « l’âme » des personnes qui souffrent d’une mort violente et inattendue apparaissent généralement dans un état de confusion dans ses mesures avant de retourner à leur corps dans les jours qui suivent la mort. Ce pourrait être à cause d’un surplus d’énergie inutilisée.

 

 (source : newsoftomorrow.org)









Voir aussi :

L'expérience incroyable du Dr Eben Alexander 

 Dr J.J. Charbonier

NDE, expérience de mort imminente

Notre demeure 

NDE, expérience de mort imminente 

Photographie d'une âme quittant le corps

http://messagesdelanature.ek.la/photographie-d-une-ame-quittant-le-corps-p674939