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28/11/2012

Qui dirige vraiment l'Union Européenne ?

La dictature de l'Europe menée par des personnages non élus par les peuples, un outil supplémentaire pour les promoteurs du Nouvel Ordre Mondial.

C'est ce que nos dirigeants ont le culot d'appeler la démocratie !

Spread the truth nous offre ici un reportage de l'excellente chaîne belge RTBF, qui vous propose une plongée au cœur du lobbying européen. Comme pour nos députés français, le constat est affligeant... 

European Round Table - Brussels Business [Film complet] : Qui dirige vraiment l'Union Européenne ? (Source: Crashdebug)

Brussels Business [Film Complet]
Qui dirige vraiment l'Union Européenne?

http://www.youtube.com/watch?v=2_-SHcUdzZc&feature=player_embedded

 

29/08/2012

La télévision russe n'occulte pas l'existence de la planète des Annunakis - Nibiru

Les raisons de son occultation à l'humanité par les Illuminati-reptiliens se trouvent dans les deux images ci-dessous extraites de la vidéo :


Cliquez sur les images

 

Nouvelle image (3).JPG

Nouvelle image (2).JPG

Conclusion : ce sont eux qui décident de sauver les 144 000 élus, tous les autres peuvent crever.




EL CANAL RUSO NO OCULTA LA EXISTENCIA DEL PLANETA DE LOS ANUNNAKI (NIBIRU)

http://www.youtube.com/watch?v=VT8ZYrh6Nww&feature=endscreen&NR=1


 

 

25/09/2011

USA Astéroïdes : "Les informations militaires sur les astéroïdes ou météorites sont classifiées depuis juin 2009

Que nous cachent-ils depuis juin 2009 ?

Nibiru qui approche avec son cortège d'astéroïdes ?

Ne vous attendez donc pas à être avertis par la NASA ou les "merdias aux ordres"sur les chutes possibles d'astéroïdes ou de météorites, qui du reste sont déjà censurées dans le monde, comme celle qui serait tombée en Mauritanie et dont la presse ne parle pas !



Ils risquent de nous faire croire que ce sont des satellites qui tombent et dont curieusement, ils ne retrouvent pas la trace,  et ICI,  au lieu de nous dire que ce sont des météorites qui risquent de "frôler" ou de "percuter" la Terre.

Bizarre que la NASA réussisse à prédire où les navettes spatiales atterrissent pour aller récupérer les astronautes et qu'ils ne sachent pas nous dire où pourraient tomber les satellites, NON ? 

N'ignorez pas non plus, les chutes de satellites qui devraient se multiplier à cause des fortes explosions solaires, en cours et à venir, et qui devraient nous priver de tous les divers systèmes de télé-communications et d'électricité dans le monde, tel qu'annoncé depuis 2008. 

Nous avons donc 3 dangers supplémentaires qui pourraient nous toucher, sans que nous ne soyons prévenus :

1 - la chute de météorites,
2 - la chute des  22 000 débris spatiaux, et
3 - la chute des satellites.

Vous voici prévenus.

 

Dimanche 14 Juin 2009

juin 13th, 2009 Posted in Juin 2009
 
astreroïde

Un article de Leonard David publié le 10 juin 2009 sur Space.com s'étonne que l'armée américaine ait décidé de ne plus partager ses données sur les risques de rentrées atmosphériques d'objets célestes. Aucune explication n'est donnée sur les raisons de ce revirement : "Les informations militaires sur les astéroïdes sont désormais classifiées."

"La communauté scientifique bénéficiait depuis 15 ans des données recueillies par les satellites militaires américains, sur les objets naturels et météoritiques rentrant dans l'atmosphère terrestre, mais c'est maintenant terminé.

Une décision récente empêche désormais que ces informations soient divulguées. La principale mission de ces satellites consiste à détecter les tests nucléaires au sol, et à déterminer la nature des météorides ou bolides qui rentrent dans l'atmosphère. Il est toujours préférable de pouvoir faire la différence entre la rentrée d'un objet naturel et une déflagration atomique.

David Morrison, un scientifique du NEO (Near Earth Object) au AMES Research Center de la NASA, s'exprimant en son nom, regrette cette décision :

"C'est très regrettable, parce qu'il y avait là une véritable synergie... une excellente coopération. Ca nous permettait de contre-vérifier nos observations, et c'était un moyen irremplaçable de faire progresser nos connaissances. Nous pouvions également mieux préciser les coordonnées d'impacts éventuels."

Il ajoute : "La recherche scientifique s'en trouvera ralentie, et cette mesure restreindra nos possibilités de rassurer le public, qui parfois s'interroge sur des phénomènes spatiaux."

Depuis quelques décennies, les satellites militaires secrets avaient identifié des centaines de ces objets. Ces précieuses informations étaient rapidement diffusées, et les chercheurs s'intéressaient de près à toutes ces données.

L'avantage des satellites-espions était de couvrir les vastes étendues océaniques. Mais à présent les scientifiques ne peuvent plus compter sur cette ressource. Ils espèrent que la décision des militaires sera révisée." - Source

 

 

David Morrison

K. Wilson, membre de la liste UFO UpDates, estime que cette attitude de l'armée américaine n'est pas très rassurante : "Est-ce que ça ne vous parait pas excessif, ou du moins très douteux comme procédé ? Je me demande si les scientifiques militaires s'attendent à quelque chose et ont pris cette mesure pour préserver le secret avant que ça se passe.

Est-ce que ça pourrait être en rapport avec les ouragans solaires annoncés ? Ou bien l'arrivée d'un astéroïde géant ? A moins que ce soit pour cacher une flotte d'Ovnis..."

Compléments & Commentaires

Source : http://ovnis-usa.com/2009/06/14/dimanche-14-juin/

31/08/2011

Elenin attaquée par le Soleil ?

Le Soleil attaque Elenin ?

Pas si sûr nous verrons cela plus tard !
 
 
Il existe des articles qui indiqueraient qu'il y aurait une possibilité pour que la NASA soit en train d'attaquer cette soi-disant comète qui serait artificielle.
 
Qui est-elle ? Nibiru?
 
Mais, une figure géométrique de forme tétraédrique se trouverait à côté de la Comète Elenin.

Qu'est-ce que c'est ?
Le cube de Metratron, le Prince régent des Hiérarchies Angéliques ?

Elenin est prise entre deux feux : le Soleil et la forme géométrique tétraédrique.

Voir les deux images ci-dessous :
http://3.bp.blogspot.com/-su9CUipvhiM/TluCBdeIv1I/AAAAAAAAIdA/kLMxZEimiXg/s1600/Elenin-tetrahedron1-enhanced-annotated.jpg
 
http://1.bp.blogspot.com/-U3QE0q7CeHk/TluB7fAByNI/AAAAAAAAIc8/TrW_sTL40OU/s1600/Elenin-tetrahedron0%252B2-added-CL-enhanced.jpg
 

Mardi 30 août 2011

Elenin attaquée par le Soleil

Les dernières nouvelles disent qu' Elenin serait en phase d'être pulvérisée par les flux solaires. C'est à confirmer.

Mais ces images prouvent qu'elle est bien attaquée par les explosions solaires. Notez la déviation de la queue cométaire sous l'impact.

Interaction between comet Elenin and coronal mass ejection from the Sun.
SpaceObs.org
http://www.youtube.com/watch?v=6UHnAXgbcEo&feature=pl...

 

 

Source :  http://www.suivi-soleil.com/article-elenin-attaquee-par-l...

 

 

17/04/2010

Astronomie : Retournement des théories de la formation planétaire !

Cette semaine, dans le cadre du "RAS National Astronomy Meeting (NAM2010)" la découverte de neuf nouvelles planètes à transit vient d’être annoncée. En combinant ces nouveaux résultats avec de précédentes observations d’exoplanètes en transit, les astronomes ont été surpris de découvrir que six exoplanètes (parmi un échantillon plus large en comprenant 27) ont été détectées orbitant dans le sens opposé à celui de la rotation de leur étoile hôte – soit exactement l’inverse de ce que l’on peut observer dans notre Système solaire . Avec ces nouvelles découvertes, les astronomes sont confrontés à une remise en cause sérieuse et inattendue des modèles de formation planétaire actuellement en vigueur. Elles laissent également supposer que les systèmes comportant des exoplanètes de type Jupiter chaud ne contiennent probablement pas de planète semblable à la Terre .

exoplanetes-orbite-retrograde.jpg





















Galerie d'exoplanètes à orbite rétrograde (vue d'artiste).

“Nous lançons une véritable bombe dans le champ des exoplanètes” déclare Amaury Triaud, un étudiant en thèse à l’Observatoire de Genève qui a dirigé la plus grande partie de ces campagnes d’observation avec Andrew Cameron et Didier Queloz.

Les astronomes pensent que les planètes se forment dans les disques de poussière et de gaz qui entourent les jeunes étoiles. Ces disques protoplanétaires tournent dans le même sens que leur étoile et l’on supposait jusqu’à maintenant que toutes les planètes formées dans le disque étaient plus ou moins en orbite dans le même plan et qu’elles se déplaçaient sur leur orbite dans le même sens que celui de la rotation de leur étoile. C’est notamment le cas pour les planètes du Système solaire.

Suite à la première détection des neuf planètes [1] avec la caméra "Wide Angle Search for Planets (WASP, [2]), cette équipe d’astronomes a utilisé le spectrographe HARPS sur le télescope de 3,6 mètres de diamètre de l’ESO à l’Observatoire de La Silla au Chili, avec des données du télescope Suisse Euler, également installé à La Silla ainsi que des données provenant d’autres télescopes, afin de confirmer la découverte de ces exoplanètes [3] détectées à la fois dans la nouvelle et l’ancienne campagne d’observation et de les caractériser.

Étonnamment, quand les astronomes de cette équipe ont combiné les nouvelles données avec les anciennes observations ils ont trouvé que les orbites de plus de la moitié de tous les Jupiters chauds [4] étudiés n’étaient pas alignées avec l’axe de rotation de leurs planètes. Ils ont même découvert que six exoplanètes de cette longue étude (parmi lesquelles deux sont de nouvelles découvertes) avaient un mouvement rétrograde: elles tournent autour de leurs étoiles dans la "mauvaise" direction.

"Ces nouveaux résultats défient réellement la pensée conventionnelle qui veut que les planètes doivent toujours être en orbite dans la même direction que celle de la rotation de leur étoile," précise Andrew Cameron de l’Université de St Andrews, qui présente ces nouveaux résultats au "RAS National Astronomy Meeting (NAM2010)" à Glasgow cette semaine.

Depuis la découverte des premiers Jupiters chauds, il y a quinze ans, leur origine est restée une énigme. Ce sont des planètes ayant une masse équivalente ou supérieure à celle de Jupiter, mais dont l’orbite est beaucoup plus proche de leur soleil. Les astronomes pensent que les cœurs des planètes géantes se forment à partir d’un mélange de particules de glace et de roche que l’on trouve uniquement dans les confins des systèmes planétaires. Les Jupiters chauds se formeraient donc loin de leur étoile et migreraient par la suite vers l’intérieur afin de se mettre en orbite beaucoup plus près de leur étoile. De nombreux astronomes pensent que cela est dû aux interactions gravitationnelles avec le disque de poussière au sein duquel ces planètes se sont formées. Ce scénario ce déroule sur quelques millions d’années et aboutit à une orbite alignée avec l’axe de rotation de l’étoile "hôte". Il permet également la formation ultérieure de planètes rocheuses comme la Terre, mais ceci ne permet malheureusement pas de rendre compte des nouvelles observations.

Pour prendre en compte les nouvelles planètes rétrogrades, une théorie alternative de migration suggère que la proximité des Jupiters chauds de leur étoile n’est absolument pas due aux interactions avec le disque de poussière, mais à un lent processus d’évolution impliquant une lutte acharnée de forces gravitationnelles avec des planètes plus distantes ou des compagnons stellaires, s’étendant sur des centaines de millions d’années. Ces "perturbations" propulsent ainsi une planète géante sur une orbite allongée et inclinée. Cette planète va alors subir les effets de marées, perdant de l’énergie à chaque fois qu’elle s’approche de son étoile. Elle pourrait finalement se retrouver positionnée proche de son étoile, sur une orbite pratiquement circulaire, mais dont l’inclinaison est aléatoire. "Un effet secondaire spectaculaire de ce processus est qu’il pourrait anéantir une planète semblable à la Terre dans ce système planétaire," déclare Didier Queloz de l’Observatoire de Genève.

Des compagnons plus distants et plus massifs ont d’ores et déjà été détectés dans le cas de deux des nouvelles planètes rétrogrades découvertes, ce qui pourrait potentiellement être la cause de ce bouleversement. Ces nouveaux résultats pourraient déclencher une recherche intensive de nouveaux corps dans d’autres systèmes planétaires.

Cette recherche a été présentée lors du RAS National Astronomy Meeting (NAM2010) qui a lieu cette semaine à Glasgow, en Ecosse. Neuf articles soumis à des journaux internationaux seront présentés à cette occasion parmi lesquels quatre utilisent des données fournies par les équipements de l’ESO. Cette conférence a également été l’occasion de récompenser le consortium WARPS de prix 2010 du meilleur travail d’équipe de la Royal Astronomical Society.


Notes:

[1] Le nombre actuel d’exoplanètes connues est de 452.

[2] Les neuf nouvelles exoplanètes ont été découvertes par le "Wide Angle Search for Planets (WASP)". WASP comprend deux observatoires robotisés, chacun consistant en huit caméras grand angle qui scrutent le ciel en permanence et simultanément à la recherche de signes de transits planétaires. Un transit à lieu quand une planète passe devant son étoile, bloquant temporairement une partie de sa lumière . Les huit caméras grand angle permettent d’observer des millions d’étoiles simultanément afin de détecter ces signes peu fréquents de transit. Les caméras de WAPS sont exploitées par un consortium comprenant la Queen’s University Belfast, les Universités de Keele, Leicester et St Andrews, l’Open University, l’Isaac Newton Group à La Palma et l’Instituto Astrofisica Canarias.

[3] Pour confirmer et caractériser les nouvelles planètes à transit, il est nécessaire de faire un suivi avec la méthode des vitesses radiales afin de détecter l'oscillation de l’étoile autour de son centre de gravité qui est en fait le centre de gravité du système étoile-planète. Ce suivi est effectué par un réseau mondial de télescopes équipés avec des spectromètres très sensibles. Dans l’hémisphère nord , le télescope “ Nordic Optical Telescope” aux Iles Canaries et le spectrographe SOPHIE installé sur le télescope de 1.93-mètres à l’Observatoire de Haute-Provence en France ont mené cette recherche. Dans l’hémisphère sud , Le chasseur d’exoplanètes HARPS sur le télescope de 3,6 mètres de l’ESO et le spectrographe CORALIE sur le télescope suisse Euler, tous les deux à La Silla, ont été utilisés pour confirmer les nouvelles planètes et pour mesurer l’angle d’inclinaison de l’orbite de chaque planète par rapport à l’équateur de leurs étoiles. Les télescopes robotiques Faulkes de l’Observatoire de Las Cumbres, situés à Hawaï et en Australie, ont fourni les mesures de luminosité qui permettent de mesurer la taille des planètes. Les observations pour les suivis des candidats exoplanètes WARPS ont été obtenues au télescope suisse Euler à La Silla, au Chili (en collaboration avec des chercheurs de l’Observatoire de Genève), au télescope Nordic Optical Telescope à La Palma et au télescope de 1,93 mètre de l’Observatoire de Haute Provence en France (en collaboration avec des chercheurs à l’Institut d’Astrophysique de Paris et au Laboratoire d’Astrophysique de Marseille).

Les études de l’angle d’inclinaison de l’orbite des planètes WARPS ont été effectuées par l’instrument HARPS sur le télescope de 3,6 mètres de l’ESO et par l’instrument CORALIE sur le télescope Suisse Euler, dans l’hémisphère sud et à l’Observatoire de Tautenburg, à l’Observatoire Mc Donald et au Nordic Optical Telescope dans l’hémisphère Sud.

[4] Les Jupiters chaud sont des planètes en orbite autour d’autres étoiles. Elles ont des masses similaires ou plus importantes que Jupiter, mais leurs orbites sont beaucoup plus proches de leur étoile que n’importe quelle planète de notre Système solaire. Etant donné qu’elles sont à la fois grandes et proches de leur étoile, elles sont plus faciles à détecter par leur effet gravitationnel sur leur étoile et elles ont aussi plus de chance de transiter devant le disque de l’étoile. La plupart des premières exoplanètes découvertes sont de cette catégorie.