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06/11/2014

Vivons-nous dans un Univers ou un multivers ?

Comme nos Zélites/reptiliennes cherchent à nous ramener perpétuellement vers le plancher des vaches pour entraver notre expansion de conscience vers notre être supérieur, notre évolution neurologique et spirituelle, voyons ce qui passe dans les Univers dont celui de l'Homme qui est un Univers dans un grand Univers, comme pour tout ce qui nait et vit dans l'UNI-VERS où tout est lié, revenons à nos sources cosmiques avec Aurélien Barrau qui nous fait un brillant exposé sur les Multivers.

 

Aurélien BARRAU

Enseignant-chercheur
Professeur à l'UJF, membre de l'IUF

Laboratoire de Physique Subatomique et de Cosmologie (CNRS-IN2P3)

53, avenue des Martyrs
F-38026 Grenoble cedex

Vivons-nous dans un Univers ou un multivers ?


 

 

03/11/2014

L'énergie vitale, un début de preuve ?

Cette énergie vitale, faite de pure lumière/énergie est connue depuis plus de 4000 ans par la médecine énergétique chinoise, en acupuncture ainsi que dans le Tao, elle s'appelle aussi l'énergie du Chi ou Tchi.

L'énergie vitale, un début de preuve ?

Cette énergie est bien connue des praticiens qui pratiquent les soins énergétiques ou les magnétiseurs, et notamment des Naturopathes pour lesquels elle constitue l'énergie vitale ou force directrice dont l'une des sources est contenue dans le Système nerveux et les glandes endocrines (endo=dedans, des glandes qui libèrent des hormones dans le sang). 

Cette énergie est aussi connue comme constituant les corps énergétiques de l'homme et de tout être vivant. Pour ne parler que d'un corps énergétique le plus connu, l'aura, qui est constituée de particules lumineuses que l'on appelle les Tachyons (énergie libre) pour lesquels l'espace temps n'existe pas qui sont issus de l'espace supra-lumineux et qui se trouvent toujours près des corps au temps présent. L'aura a été mise en évidence par les travaux réalisés par le couple russe Kirlan qui a donné à sa découverte, le nom : d'effet Kirlan.

L'énergie vitale, un début de preuve ?


Cette vidéo de 50 minutes 16 fait partie d'une série de documentaires intitulée « le pouvoir de l'esprit ». À la morgue de Saint-Pétersbourg, le docteur Konstantin Korotkov a fait une découverte étonnante. Il existerait une énergie mystérieuse qui émanerait du corps humain et cela même après sa mort.

Il aurait réussi à prouver ce résultat en utilisant un procédé scientifique découvert en 1939 par un technicien russe nommé Semyon Kirlian. Ce procédé, la photographie de Kirlian, consiste à prendre une photographie sur une plaque électronique qui émet un champ électrique à haute fréquence.

Ici, le docteur Korotkov place les doigts d'une main d'un cadavre sur une plaque électronique, sur laquelle a été placée une feuille de papier photographique. Il fait ensuite passé du courant électrique et cette interaction parvient à créer une image sur le papier.

De la main de chaque cadavre il prend une photographie par heure pendant une semaine après la mort clinique du sujet. Ainsi, il a obtenu des centaines de clichés qu'il a ensuite stocké dans son ordinateur afin de pouvoir les analyser ultérieurement et s'en servir de preuves.

Grâce à l'analyse de ces clichés, le docteur Korotkov est capable de définir, sans autopsie préalable ni informations sur le patient, la manière dont celui-ci est mort.

Il reconnait une mort naturelle, par une perte de luminosité régulière et équilibrée pendant 36 heures. Il a remarqué qu'une mort violente retarde la désintégration d'énergie avec un changement rapide autour de 72 heures et qu'un suicide provoque une perte d'énergie prolongée qui ne se termine qu'une semaine après la mort.

En approfondissant ses recherches avec l'autopsie de certains sujets, il s'est également rendu compte que le retrait des organes internes par le médecin légiste avait une influence sur les images de Kirlian. Par exemple, il avait remarqué une excroissance lumineuse sur les photographies de Kirlian d'une personne morte d'un empoisonnement du foie. À son grand étonnement, lorsqu'il a ensuite retiré le foie de ce patient et prit une nouvelle photographie, il a pu apercevoir que l'excroissance avait laissé place à un trou dans l'énergie.

Ses découvertes confortent donc l'idée selon laquelle les photographies de Kirlian sont le reflet de quelque chose de bien réel et prouveraient l'existence d'une énergie qui semblerait ne pas mourir en même temps que le corps.

Par le passé et même encore de nos jours, de nombreuses personnes ont affirmés pouvoir manipuler une énergie qui semblerait similaire à celle décrite par le docteur Korotkov.

C'est le cas aujourd'hui encore, d'un groupe de guérisseurs anglais qui sont convaincus de pouvoir mener une sorte de combat électrique avec le corps humain en utilisant leurs mains comme des senseurs relevant des informations sur les champs d'énergie qui entourent leurs patients.

Il y a 5000, des érudits chinois décrivirent également une mystérieuse force vitale qui selon eux circulerait dans chaque être vivant. Ils la nommèrent le chi. Eux aussi prétendirent et leurs disciples prétendent encore, pouvoir « travailler » cette force en utilisant une forme de relaxation appelé qi gong.

Cette pratique consiste à inhaler et expirer lentement en se concentrant sur le point vital qui est situé au centre du corps et en effectuant une série de mouvements fluides très stylisés. Certains maîtres parviendraient même à projeter cette énergie bien au-delà des limites du corps.

C'est la pratique de cet art ancestral qui aurait donné naissance à l'acuponcture que nous connaissons aujourd'hui. Vous l'ignorez peut-être mais le travail de l'acuponcteur est de vérifier l'équilibre de l'énergie chi de son patient. Il y parvient en ayant préalablement pris connaissance de son dossier médical, puis en en palpant le pouls, en examinant l'abdomen, la langue et plusieurs autres parties du corps. C'est ainsi qu'il parvient à être informé sur le corps de son patient dans son intégralité et sur son flux d'énergie chi. Il ne traitera ce dernier que s'il trouve une erreur dans son flux d'énergie et c'est l'endroit où il trouvera cette erreur qui lui indiquera où placer les aiguilles. Traitant ainsi le corps dans sa globalité plutôt qu'un symptôme en particulier. L'un des points forts de l'acuponcture est qu'elle peut traiter une maladie générale sans avoir besoin d'un diagnostic spécifique.

C'est sur la base de cette approche de la maladie, que certains docteurs occidentaux ont commencé à travailler, tel le docteur Julian Jessel Kenyon qui en Angleterre, utilise l'image de Kirlian pour l'aider à poser son diagnostic. Il lui suffit de trois minutes pour relever une empreinte énergique, la visionner et la stocker pour suivre l'évolution du traitement de son patient. Pour lui chaque zone de la photographie de Kirlian correspond à un organe particulier. Ces photographies lui permettent donc de connaître l'organe responsable du problème et même de savoir si le traitement pris par le patient est le plus approprié. Grâce à cette méthode, il affirme avoir obtenu beaucoup plus de résultat clinique en faisant beaucoup moins de mal au patient et affirme qu'elle a beaucoup à apporter à la médecine conventionnelle.

Malgré toutes ces preuves, l'idée d'un système d'énergie invisible reste un concept que la plupart des scientifiques occidentaux ont du mal à accepter. Beaucoup de temps et d'autres preuves seront probablement nécessaires pour parvenir à faire évoluer les mentalités.

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Complément : chi

 

 

28/10/2014

La Voie lactée se situe dans un «continent céleste» bien plus vaste que prévu !

Ben voyons, Tarzan qui découvre pour la première fois, le phonographe !

Tout à coup, ils découvrent que La Voie lactée se situe dans un «continent céleste» bien plus vaste que prévu ! Comme si notre voie lactée était séparée du Grand Univers = Univers Global = UNI-TE qui contient des milliards de Galaxies qui le constitue et qui évoluent en spirales (comme l'ADN) vers le centre des Galaxies et du Grand Univers créateur de toute vie dans le Grand Univers.

On se marre et vous ?

L'UNIVERS  est un "grand élément ou un ADN primal créateur de toute vie dans l'UNI-VERS = DIEU CREATEUR" constitué de "multiples éléments" dont des galaxies, des systèmes solaires, des comètes, des planètes, des fluides circulants, des énergies lumineuses hiérarchisées en fonction des diverses dimensions lumineuses, des êtres vivants dont les hommes qui constituent des cellules vivantes de ce grand UNI-VERS, et qui sont reliées entre elles par l'eau, l'électricité, tous les nutriments quantiques et toutes les énergies quantiques qui les animent dans l'UNI-VERS connecté et Unifié. Voir la théorie en physique quantique de l'Univers Unifié de Nassim Haramein.




Des chercheurs ont identifié les frontières du superamas contenant notre galaxie. Baptisé «Laniakea», il est cent fois plus volumineux qu'on ne le pensait

L'Univers est un jeu de poupées russes cosmiques. Les planètes tournent autour d'étoiles, les étoiles sont rassemblées en galaxies, les galaxies en groupes ou en amas, les groupes et les amas en superamas. Seul petit problème: il n'existait jusqu'à aujourd'hui aucune définition précise de ces dernières structures, les plus grandes de l'Univers. Cela fait plus de cinquante ans que la communauté scientifique bute sur ce problème.

Dans une publication faisant ce jeudi la une de la revue Nature, une équipe franco-israélo-américaine pense avoir identifié la nature profonde de ces «continents célestes». À partir d'un catalogue recensant la vitesse de 8 000 galaxies proches, ils en donnent la première description physique et définissent ainsi les contours du superamas contenant notre galaxie, la Voie lactée. Ils l'ont baptisé «Laniakea», un terme hawaïen signifiant «incommensurable paradis».

La couverture de Nature du 4 septembre 2014. <i>(Crédits: Nature, Illustration: Mark A. Garlick; Source: Daniel Pomarède)</i>

La couverture de Nature du 4 septembre 2014.
(Crédits: Nature, Illustration: Mark A. Garlick; Source: Daniel Pomarède)

«En fait, les superamas sont l'équivalent astronomique des bassins-versants sur Terre, à cette différence que ce n'est pas de l'eau qui s'écoule, mais des galaxies», explique Hélène Courtois, professeur à l'université de Lyon et deuxième auteur de ces travaux d'une importance fondamentale. La frontière entre deux superamas est la ligne de démarcation qui sépare deux bassins gravitationnels. Suivant qu'une galaxie se situe d'un côté ou de l'autre, elle s'écoulera dans un sens ou dans l'autre.

Sur la représentation graphique du superamas(voir ci-dessus), les grandes lignes représentent les trajectoires de galaxies obtenues à partir de leur vitesse propre, c'est-à-dire la manière dont elles se déplaceraient si l'Univers n'était pas en expansion continue. «Nous n'avons pas affiché les 8 000 trajectoires que nous avons calculées pour ne pas encombrer la représentation», explique Daniel Pomarède, informaticien au CEA à Saclay, qui a développé le logiciel de visualisation 3D.

La pelote de cheveux jaunes correspond ainsi à notre superamas. Tous les fils convergent vers une même «vallée gravitationnelle» en forme d'ange. Laniakea est 100 fois plus volumineux que le précédent «Superamas local» (aussi appelé «Superamas de la Vierge»). Il contient 100 000 grosses galaxies (100 milliards d'étoiles chacune) et un million de galaxies naines (de 1 à 10 milliards d'étoiles chacune). Et comme le Soleil dans notre galaxie, le groupe de la Voie lactée n'est qu'un élément périphérique de ce superamas.

« Les superamas sont l'équivalent astronomique des bassins-versants sur Terre, à cette différence que ce n'est pas de l'eau qui s'écoule, mais des galaxies. »

Hélène Courtois, astrophysicienne.

La découverte de Laniakea permet d'éclaircir un des grands mystères de l'astrophysique: pourquoi notre Voie lactée se dirige-t-elle à 630 kilomètres par seconde dans une direction donnée? Les astrophysiciens ont longtemps travaillé, en vain, sur un hypothétique objet au titre ronflant: «le Grand Attracteur». Celui-ci n'existe pas. Il s'avère en fait que notre galaxie se déplace comme les autres sous la seule influence gravitationnelle de ses voisines et de la matière noire environnante. Il fallait simplement avoir une vue d'ensemble plus large pour le constater.

Les quelques mille-pattes blancs qui entourent Laniakea sur l'image ci-dessous sont probablement des superamas voisins. «Nous manquons toutefois de données pour connaître leurs frontières précises, note Hélène Courtois. Peut-être que certains appartiennent à un même bassin plus vaste que nous ne parvenons pas encore à discerner.» Il y aurait la place pour six millions de superamas de la taille de Laniakea dans l'Univers. De quoi donner le vertige.

Un télescope spatial en 2020

La chercheuse travaille justement en ce moment à étoffer la base de données Cosmicflows-2 sur les vitesses des galaxies afin d'explorer un volume plus grand d'Univers. Le premier objectif pour sa troisième édition serait de doubler le nombre de galaxies dans les deux années à venir.

Seule la vitesse des galaxies spirales peut être connue avec une relative précision (10 à 20 % près), car elles contiennent encore les nuages d'hydrogène dont se servent les astrophysiciens pour effectuer cette mesure. «Les radiotélescopes suffisamment puissants pour effectuer ces mesures ne sont apparus que dans les années 2000, rappelle l'astrophysicienne lyonnaise. Cela explique en partie pourquoi la découverte de Laniakea est si tardive. Pour franchir un nouvel ordre de grandeur et étudier un volume d'Univers deux fois plus gros, il faudra probablement attendre la nouvelle génération d'instruments qui arrive.»

Le télescope spatial européen Euclid, dont le lancement est prévu en 2020, pourrait constituer une autre révolution dans l'étude des superamas et de la distribution de matière noire dans l'Univers.

 

TECHNOLOGIE Les robots tueurs suscitent l'inquiétude en Norvège

Ils ne savent plus quoi inventer pour nous éliminer de manière expéditive, sans jugement ni procès !

 Vous êtes-vous parfois demandé, si avec tout l'intérêt que les Illuminati/Reptiliens portent à notre ADN, s'ils n'avaient pas créé des armées d'hybrides, sans coeur et sans sentiments pour aller faire le sale boulot et provoquer des génocides de partout dans le monde ? Après tout ils ont toute la technologie, la matière ADN pour le faire, l'argent et les énergies occultées !

 

TECHNOLOGIE Les robots tueurs suscitent l'inquiétude en Norvège

Le gouvernement norvégien finance le développement de robots qui pourront, sans intervention humaine, prendre la décision de tirer sur leur cible. La Ligue pour la paix estime que ce projet viole le droit international.

 

Image extraite du film &quot;I, Robot&quot; d'Alex Proyas sorti en 2004 - capture d'écran

Image extraite du film "I, Robot" d'Alex Proyas sorti en 2004 - capture d'écran

 

"Robots tueurs" pour les uns, "munitions partiellement autonomes" pour les autres : depuis plusieurs mois, le gouvernement norvégien finance le développement de nouveaux missiles pour équiper ses avions de combat. Leur particularité : "ils auront la capacité d'identifier une cible et de prendre la décision de tuer – ou non – sans intervention humaine", rapporte la version norvégienne du site d'actualité The Local.

"Cette technologie soulève plusieurs questions morales, notamment sur ce qui se passe si l'humain disparaît totalement du champ de bataille au profit des machines, ou encore sur qui sera tenu responsable en cas d'erreur ou d'attaque violant le droit international", pointe The Local.

"L'arme devient le combattant"

Alexander Harang, de la Ligue norvégienne pour la paix, réclame un débat au sein du Parlement norvégien. "Au printemps dernier, après que le gouvernement a décidé d'allouer un budget de 2,2 milliards de couronnes norvégiennes [260 millions d'euros] au groupe Kongsberg [qui développe le robot], Alexander Harang a contacté tous les partis du pays pour réclamer un débat sur les conséquences potentielles de cette technologie autonome en regard du droit international. Le débat n'a jamais eu lieu."

Le rapporteur de l'ONU Christof Heyns s'inquiète également des implications d'une telle technologie. "Ces dix dernières années, on a vu s'accroître la distance entre le soldat et sa cible. Mais ce qui se passe là, c'est que l'arme devient le combattant. La Norvège est un gros exportateur d'armes. Nous devons donc être particulièrement attentifs aux questions éthiques que soulève ce projet", précise-t-il.

La ministre norvégienne de la Défense, Ine Eriksen Søreide, confirme que la question est complexe. mais elle refuse que le projet soit mis en suspens en attendant qu'un débat ait lieu.

 

 

Turquie : Une jeune fille de 16 ans invente le matériau qui peut changer le monde !

Extraordinaire d'imagination, d'inspiration et de créativité nos enfants !

Une fille invente le matériau qui peut changer le monde

 

De William - 28 octobre 2014 à 14:06 dans Insolite

 

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Âgée de seulement 16 ans, la lycéenne turque, Elif Bilgin, a réussi à trouver un matériau pouvant remplacer le plastique que l'on utilise aujourd'hui.

 

Passionnée par les sciences depuis son plus jeune âge, la lycéenne Elif Bilgin a travaillé durant deux années pour, au final, découvrir un nouveau moyen d'obtenir du plastique isolant à partir de la cellulose contenue dans la peau des bananes.

 


 

Originaire d'Istanbul, cette jeune femme a vécu dans une famille qui prône l'instruction des femmes. Et c'est tant mieux, puisque dès qu'elle avait du temps libre, elle pouvait se lancer dans des expériences. Comme elle l'explique, "Je n’ai pas échoué, j’ai trouvé dix mille façons qui ne fonctionnent pas. Je ne me décourage pas car chaque tentative échouée est un pas en avant vers la réussite" (merci à Thomas Edison pour cette superbe citation).

 

Pendant deux ans, Elif Bilgin a travaillé d'arrache-pied pour réussir à fabriquer un nouveau matériau qui pourra remplacer le plastique que nous utilisons en masse aujourd'hui. Selon la lycéenne, "son projet serait potentiellement une solution au problème croissant de la pollution causée par le plastique d’origine pétrochimique". En effet, aujourd'hui, le plastique que nous utilisons pour fabriquer les bouteilles et autres produits de la grande industrie est principalement constitué de pétrole.

 

Ce nouveau matériau considéré comme bio pourrait alors lutter contre la pollution en Turquie et plus tard dans les autres pays émergents et développés. Ce plastique bio pourra d'ailleurs être utilisé dans la fabrication des isolants pour les câbles ou encore les prothèses esthétiques.

 

banane

 

Finaliste du concours Google Science Fair en 2013, lauréate du Voter’s Choice Award et distinguée par la revue Scientific American après avoir reçu le prix Science in Action 2013 et une bourse de 50 000 dollars, Elif Bilgin va pouvoir se consacrer pleinement à son projet de fabrication du plastique bio à partir des peaux de bananes.

 

De plus, selon le site planetoscope, la banane serait l'un des fruits les plus consommés au monde avec une production de 110 millions de tonnes. Au lieu de jeter ces millions de tonnes à la poubelle, on pourra peut-être bientôt utiliser ces peaux de bananes pour fabriquer du plastique isolant et oublier définitivement le pétrole.

 

Mais quel est la différence avec un autre bioplastique ?

 

Le bioplastique existe depuis maintenant plusieurs dizaines d'années issue souvent de la canne à sucre, du blé, du bois ou bien du maïs. L'avantage de la peau de banane réside qu'il s'agit ici de la plus grande consommation de fruits au monde et que la peau de banane n'est pas consommée par l'humain. En théorie, nul besoin d'avoir une production de banane dédiée à la production de ce bioplastique au contraire de la canne à sucre qui demande une énorme consommation en énergie (machines agricoles, engrais etc...) dédiée uniquement à la fabrication du bioplastique.

 

http://hitek.fr/actualite/fille-invente-materiau-change-m...