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24/05/2020

Alerte d'un médecin malgache sur le vaccin de Bill Gates contre le Corona virus

Alerte d'un médecin malgache, congolais d'origine, sur le vaccin de Bill Gates contre le Corona virus.

 

17:47 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Armes silencieuses, Espionnage, Arnaques, Mensonges, Propagande, Attention danger, Banques, Banksters, Paradis fiscaux, Dollar, Bours, Bildenberg Group, Grand Reset Mondial, Davos, Bill Gates, Bioterrorisme, Eugénisme, Boycott, Vaccination, Censure, Espionnage, Facebook, Google, Youtube, NS, Censure, Facebook, Google, LICRA, CRIF, Conseils de Sécurité, Conspiration mondiale, Conspiration, Complot, Corruption, Contrôle des populations, Crimes contre l'humanité, Eugénisme, Davos, Bildenberg, Word Economic Forum, Découvertes, Déclarations Scientifiques, Dépopulation, Des atteintes à la santé, Empoisonnement, Escroquerie, Franc-Maçonnerie & Jésuites Lucifériens, France/Israël/Elections, Génome, Intrigues - Assassinats, Attentats, L'OTAN, La dictature mondiale, La FED et le FMI, La fin programmée de la démocratie, La Loi Martiale, La marque de la bête, La Puce - RFID, Laboratoires pharmaceutiques, Le Gouvernement occulte US ou MJ12, Le Bildengerg Group, Le Chiffre de la bête - 666, Le Gouvernement Mondial, Le gouvernement satellite et occulte américain, Les Banques Mondiales, Les Cartels, Les Illuminati-Reptiliens, Les Lobbies et la Politique, Les Maîtres du Monde, Les Projets des Maîtres du Monde, Les protocoles des Sages de Sion, Les Reptiliens, Les Techniques de manipulation, Les Vaccins, Lobbying et Politique, Laboratoires Pharmaceutique, Manipulations génétiques, Médias et pouvoir, Medias, Manipulations des Masses, Mondialisation, Monsanto, Rockefeller, Rothschild et Bill Gates, Monsanto; OGM, Nouvel Ordre Mondial, OGM et MONSANTO, OMS, ONU, OTAN, Pollutions chimiques, Protocoles de Sion, Rockfeller, Rothschild, Mafia Kazhar, Science, Sionisme, Oligarchie, LDJ, Surpopulation, Survie, Réveillez-vous, Préparez-vous, Traçage des populations, Urgence. Survie, USA, Israël, Virus Coronavirus, Virus, épidémies | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

23/05/2020

Physique Quantique : Nouvelle découverte de Nassim HARAMEIN sur l'Univers connecté

Il est temps de Tous nous UNIFIER avec l'UNIVERS CRÉATEUR, Electrique, Lumineux, Fractal, Holographique, etc.. en tant que cellules Lumineuses de l'UNIVERS. 

Tous Connectés pour ne faire qu'UN !  

 

Physique Quantique : Nouvelle découverte de Nassim HARAMEIN sur l'Univers connecté. 

Invité surprise au "Café du Confinement" avec Patrick BURENSTEINAS, Nassim HARAMEIN nous informe en exclusivité d'une nouvelle découverte scientifique faite dans les heures précédant l'émission! Une rencontre marquante entre deux "perceurs de secrets de l'univers".

(Extrait de l'émission du 11 avril 2020).

 

 

PLUS D'INFOS : https://suneva.ca/2020/03/20/cafe-du-confinement-burenste...

https://www.resonancescience.org/about-nassim-haramein

https://www.facebook.com/patrick.burensteinas.public

Une émission présentée par Estelle GALPAROLI pour https://suneva.ca

 

02/11/2016

De mystérieux objets cosmiques émettent d'intenses sursauts de rayons X

 

Le spatio-télescope Chandra spécialisé dans la vision des rayons X.
 

S'agit-il de trous noirs "intermédiaires", d'étoiles à neutrons, de nouveaux objets cosmiques? Les astronomes restent pour l'instant dans l'expectative. Mais les rayons X émis sont jusqu'à dix millions de fois plus importants que ceux émis par le Soleil.

25/10/2016

Des scientifiques découvrent par accident un moyen de convertir le CO2 en éthanol

Des scientifiques découvrent par accident un moyen de convertir le CO2 en éthanol    

 


Des scientifiques découvrent par accident un moyen de convertir le CO2 en éthanol par Gentside Découverte    

 

Des chercheurs américains de l’Oak Ridge National Laboratory (ORNL) ont découvert un peu par hasard une réaction électrochimique très intéressante. Elle permet de convertir avec des résultats tout à fait satisfaisant le dioxyde de carbone (CO2) en un carburant, de l'éthanol. Transformer un gaz à effet de serre en carburant, c'est l'étonnante prouesse que viennent de réaliser des chercheurs américains dans leur laboratoire.

Plus précisément, ils ont réussi à mettre en évidence une réaction permettant de convertir du dioxyde de carbone (CO2) en éthanol. Et comme beaucoup de grandes découvertes, celle-ci a été réalisée de manière accidentelle. A la base, les chercheurs de l’Oak Ridge National Laboratory (ORNL) travaillaient à l’étude d’un catalyseur composé de carbone, de cuivre et d’azote. Leur idée était d’électrifier l'élément de manière à attirer à sa surface les particules de CO2.

 

Des résultats inattendus

C’est en appliquant un courant de 1,2 volt que l’équipe a remarqué non seulement une attraction efficace du dioxyde de carbone dissous mais aussi une conversion de la solution en eau et en éthanol avec un rendement estimé aux alentours de 63%.

"Nous étions seulement en train de tester la première étape d'une réaction lorsque nous avons réalisé que le catalyseur avait fait tout le travail lui-même", raconte Adam Rondinone, membre de l’équipe de recherche dans un communiqué. La nouvelle réaction électrochimique a été décrite en détail dans la revue ChemistrySelect. Selon les auteurs de l’étude, elle permettrait en quelque sorte d’inverser, à température ambiante, le processus de combustion du carburant, source majeure d’émissions de gaz à effet de serre.

"L'éthanol était une surprise - c'est extrêmement difficile de passer directement du CO2 à l'éthanol avec un simple catalyseur", ajoute Rondinone.

 

Minuscules paratonnerres

Le secret du catalyseur réside dans sa structure inédite. Elle consiste en des nanoparticules de cuivre incrustées dans des pics de carbone. Ceci crée une surface irrégulière pleine de piquants qui vont servir de sites réactifs pour faciliter la conversion du CO2 en éthanol. Ces structures "ressemblent à des paratonnerres de 50 nanomètres qui vont concentrer la réactivité électrochimique à l'extrémité des pics", détaille Rondinone. La réaction présenterait de nombreux avantages dont celle de se produire à température ambiante et d'utiliser des matériaux peu coûteux. Les scientifiques suggèrent ainsi que leur approche pourrait être utilisé à plus grande échelle pour des applications industrielles. Autant dire donc que les utilisations potentielles sont nombreuses. Il pourrait en effet s'agir d’un premier pas dans le développement de systèmes potentiels permettant de lutter contre les émissions de gaz à effet de serre.

 

De nombreuses applications

A terme, les scientifiques estiment que la réaction chimique pourrait bénéficier aux centrales thermiques à combustible fossile, et pourquoi pas aux nouvelles générations de véhicules. Il pourrait également permettre de stocker l’énergie produite en surplus sous la forme d’éthanol.

 

" Un processus comme celui là pourrait permettre de consommer l'électricité en excès quand il est possible d'en faire et de la stocker sous forme d'éthanol. Ceci pourrait aider à équilibrer le réseau alimenté par des sources d'énergie renouvelable intermittentes ", précise Adam Rondinone dans le communiqué. Désormais, le chercheur et ses collègues prévoient de travailler sur leur approche afin d'augmenter le rendement de la réaction et ensuite d'étudier les propriétés et le comportement du catalyseur.

 

Publié par Maxime Lambert, le 21 octobre 2016

 

Des chercheurs américains de l’Oak Ridge National Laboratory (ORNL) ont découvert un peu par hasard une réaction électrochimique très intéressante. Elle permet de convertir avec des résultats tout à fait satisfaisant le dioxyde de carbone (CO2) en un carburant, de l'éthanol.

En savoir plus : http://www.maxisciences.com/dioxyde-de-carbone/des-scient...
Copyright © Gentside Découverte
Des chercheurs américains de l’Oak Ridge National Laboratory (ORNL) ont découvert un peu par hasard une réaction électrochimique très intéressante. Elle permet de convertir avec des résultats tout à fait satisfaisant le dioxyde de carbone (CO2) en un carburant, de l'éthanol. Transformer un gaz à effet de serre en carburant, c'est l'étonnante prouesse que viennent de réaliser des chercheurs américains dans leur laboratoire. Plus précisément, ils ont réussi à mettre en évidence une réaction permettant de convertir du dioxyde de carbone (CO2) en éthanol. Et comme beaucoup de grandes découvertes, celle-ci a été réalisée de manière accidentelle. A la base, les chercheurs de l’Oak Ridge National Laboratory (ORNL) travaillaient à l’étude d’un catalyseur composé de carbone, de cuivre et d’azote. Leur idée était d’électrifier l'élément de manière à attirer à sa surface les particules de CO2. Des résultats inattendus C’est en appliquant un courant de 1,2 volt que l’équipe a remarqué non seulement une attraction efficace du dioxyde de carbone dissous mais aussi une conversion de la solution en eau et en éthanol avec un rendement estimé aux alentours de 63%. "Nous étions seulement en train de tester la première étape d'une réaction lorsque nous avons réalisé que le catalyseur avait fait tout le travail lui-même", raconte Adam Rondinone, membre de l’équipe de recherche dans un communiqué. La nouvelle réaction électrochimique a été décrite en détail dans la revue ChemistrySelect. Selon les auteurs de l’étude, elle permettrait en quelque sorte d’inverser, à température ambiante, le processus de combustion du carburant, source majeure d’émissions de gaz à effet de serre. "L'éthanol était une surprise - c'est extrêmement difficile de passer directement du CO2 à l'éthanol avec un simple catalyseur", ajoute Rondinone. Minuscules paratonnerres Le secret du catalyseur réside dans sa structure inédite. Elle consiste en des nanoparticules de cuivre incrustées dans des pics de carbone. Ceci crée une surface irrégulière pleine de piquants qui vont servir de sites réactifs pour faciliter la conversion du CO2 en éthanol. Ces structures "ressemblent à des paratonnerres de 50 nanomètres qui vont concentrer la réactivité électrochimique à l'extrémité des pics", détaille Rondinone. La réaction présenterait de nombreux avantages dont celle de se produire à température ambiante et d'utiliser des matériaux peu coûteux. Les scientifiques suggèrent ainsi que leur approche pourrait être utilisé à plus grande échelle pour des applications industrielles. Autant dire donc que les utilisations potentielles sont nombreuses. Il pourrait en effet s'agir d’un premier pas dans le développement de systèmes potentiels permettant de lutter contre les émissions de gaz à effet de serre. De nombreuses applications A terme, les scientifiques estiment que la réaction chimique pourrait bénéficier aux centrales thermiques à combustible fossile, et pourquoi pas aux nouvelles générations de véhicules. Il pourrait également permettre de stocker l’énergie produite en surplus sous la forme d’éthanol. "Un processus comme celui là pourrait permettre de consommer l'électricité en excès quand il est possible d'en faire et de la stocker sous forme d'éthanol. Ceci pourrait aider à équilibrer le réseau alimenté par des sources d'énergie renouvelable intermittentes", précise Adam Rondinone dans le communiqué. Désormais, le chercheur et ses collègues prévoient de travailler sur leur approche afin d'augmenter le rendement de la réaction et ensuite d'étudier les propriétés et le comportement du catalyseur. Publié par Maxime Lambert, le 21 octobre 2016

En savoir plus : http://www.maxisciences.com/dioxyde-de-carbone/des-scient...
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Des chercheurs américains de l’Oak Ridge National Laboratory (ORNL) ont découvert un peu par hasard une réaction électrochimique très intéressante. Elle permet de convertir avec des résultats tout à fait satisfaisant le dioxyde de carbone (CO2) en un carburant, de l'éthanol. Transformer un gaz à effet de serre en carburant, c'est l'étonnante prouesse que viennent de réaliser des chercheurs américains dans leur laboratoire. Plus précisément, ils ont réussi à mettre en évidence une réaction permettant de convertir du dioxyde de carbone (CO2) en éthanol. Et comme beaucoup de grandes découvertes, celle-ci a été réalisée de manière accidentelle. A la base, les chercheurs de l’Oak Ridge National Laboratory (ORNL) travaillaient à l’étude d’un catalyseur composé de carbone, de cuivre et d’azote. Leur idée était d’électrifier l'élément de manière à attirer à sa surface les particules de CO2. Des résultats inattendus C’est en appliquant un courant de 1,2 volt que l’équipe a remarqué non seulement une attraction efficace du dioxyde de carbone dissous mais aussi une conversion de la solution en eau et en éthanol avec un rendement estimé aux alentours de 63%. "Nous étions seulement en train de tester la première étape d'une réaction lorsque nous avons réalisé que le catalyseur avait fait tout le travail lui-même", raconte Adam Rondinone, membre de l’équipe de recherche dans un communiqué. La nouvelle réaction électrochimique a été décrite en détail dans la revue ChemistrySelect. Selon les auteurs de l’étude, elle permettrait en quelque sorte d’inverser, à température ambiante, le processus de combustion du carburant, source majeure d’émissions de gaz à effet de serre. "L'éthanol était une surprise - c'est extrêmement difficile de passer directement du CO2 à l'éthanol avec un simple catalyseur", ajoute Rondinone. Minuscules paratonnerres Le secret du catalyseur réside dans sa structure inédite. Elle consiste en des nanoparticules de cuivre incrustées dans des pics de carbone. Ceci crée une surface irrégulière pleine de piquants qui vont servir de sites réactifs pour faciliter la conversion du CO2 en éthanol. Ces structures "ressemblent à des paratonnerres de 50 nanomètres qui vont concentrer la réactivité électrochimique à l'extrémité des pics", détaille Rondinone. La réaction présenterait de nombreux avantages dont celle de se produire à température ambiante et d'utiliser des matériaux peu coûteux. Les scientifiques suggèrent ainsi que leur approche pourrait être utilisé à plus grande échelle pour des applications industrielles. Autant dire donc que les utilisations potentielles sont nombreuses. Il pourrait en effet s'agir d’un premier pas dans le développement de systèmes potentiels permettant de lutter contre les émissions de gaz à effet de serre. De nombreuses applications A terme, les scientifiques estiment que la réaction chimique pourrait bénéficier aux centrales thermiques à combustible fossile, et pourquoi pas aux nouvelles générations de véhicules. Il pourrait également permettre de stocker l’énergie produite en surplus sous la forme d’éthanol. "Un processus comme celui là pourrait permettre de consommer l'électricité en excès quand il est possible d'en faire et de la stocker sous forme d'éthanol. Ceci pourrait aider à équilibrer le réseau alimenté par des sources d'énergie renouvelable intermittentes", précise Adam Rondinone dans le communiqué. Désormais, le chercheur et ses collègues prévoient de travailler sur leur approche afin d'augmenter le rendement de la réaction et ensuite d'étudier les propriétés et le comportement du catalyseur. Publié par Maxime Lambert, le 21 octobre 2016

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Des chercheurs américains de l’Oak Ridge National Laboratory (ORNL) ont découvert un peu par hasard une réaction électrochimique très intéressante. Elle permet de convertir avec des résultats tout à fait satisfaisant le dioxyde de carbone (CO2) en un carburant, de l'éthanol. Transformer un gaz à effet de serre en carburant, c'est l'étonnante prouesse que viennent de réaliser des chercheurs américains dans leur laboratoire. Plus précisément, ils ont réussi à mettre en évidence une réaction permettant de convertir du dioxyde de carbone (CO2) en éthanol. Et comme beaucoup de grandes découvertes, celle-ci a été réalisée de manière accidentelle. A la base, les chercheurs de l’Oak Ridge National Laboratory (ORNL) travaillaient à l’étude d’un catalyseur composé de carbone, de cuivre et d’azote. Leur idée était d’électrifier l'élément de manière à attirer à sa surface les particules de CO2. Des résultats inattendus C’est en appliquant un courant de 1,2 volt que l’équipe a remarqué non seulement une attraction efficace du dioxyde de carbone dissous mais aussi une conversion de la solution en eau et en éthanol avec un rendement estimé aux alentours de 63%. "Nous étions seulement en train de tester la première étape d'une réaction lorsque nous avons réalisé que le catalyseur avait fait tout le travail lui-même", raconte Adam Rondinone, membre de l’équipe de recherche dans un communiqué. La nouvelle réaction électrochimique a été décrite en détail dans la revue ChemistrySelect. Selon les auteurs de l’étude, elle permettrait en quelque sorte d’inverser, à température ambiante, le processus de combustion du carburant, source majeure d’émissions de gaz à effet de serre. "L'éthanol était une surprise - c'est extrêmement difficile de passer directement du CO2 à l'éthanol avec un simple catalyseur", ajoute Rondinone. Minuscules paratonnerres Le secret du catalyseur réside dans sa structure inédite. Elle consiste en des nanoparticules de cuivre incrustées dans des pics de carbone. Ceci crée une surface irrégulière pleine de piquants qui vont servir de sites réactifs pour faciliter la conversion du CO2 en éthanol. Ces structures "ressemblent à des paratonnerres de 50 nanomètres qui vont concentrer la réactivité électrochimique à l'extrémité des pics", détaille Rondinone. La réaction présenterait de nombreux avantages dont celle de se produire à température ambiante et d'utiliser des matériaux peu coûteux. Les scientifiques suggèrent ainsi que leur approche pourrait être utilisé à plus grande échelle pour des applications industrielles. Autant dire donc que les utilisations potentielles sont nombreuses. Il pourrait en effet s'agir d’un premier pas dans le développement de systèmes potentiels permettant de lutter contre les émissions de gaz à effet de serre. De nombreuses applications A terme, les scientifiques estiment que la réaction chimique pourrait bénéficier aux centrales thermiques à combustible fossile, et pourquoi pas aux nouvelles générations de véhicules. Il pourrait également permettre de stocker l’énergie produite en surplus sous la forme d’éthanol. "Un processus comme celui là pourrait permettre de consommer l'électricité en excès quand il est possible d'en faire et de la stocker sous forme d'éthanol. Ceci pourrait aider à équilibrer le réseau alimenté par des sources d'énergie renouvelable intermittentes", précise Adam Rondinone dans le communiqué. Désormais, le chercheur et ses collègues prévoient de travailler sur leur approche afin d'augmenter le rendement de la réaction et ensuite d'étudier les propriétés et le comportement du catalyseur. Publié par Maxime Lambert, le 21 octobre 2016

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17/10/2016

Très bientôt la Russie possédera des armes hypersoniques

 

Très bientôt la Russie possédera des armes hypersoniques

Défense

L'information a été livrée par Boris Obnosov, directeur général de la corporation « Missiles tactiques ».

http://pravda-team.ru/france/image/preview/article/6/7/6/1303676_five.jpeg

 

Il a déclaré que le travail sur ce type d'armements est mené d'arrache-pied et avec un zèle que l'on devine. Les projets hypersoniques sont, pour une large part, tributaires d'études soviétiques. Ces recherches reçurent jadis pour nom de code « Kholod » (Froid) et « Kholod-2 ». La récupération du patrimoine scientifique est parfaitement logique, car « il n'y a aucune raison pour faire repartir les recherches de la case zéro. Nos technologies sont maintenant au niveau requis pou réussir dans ce domaine », a confié le directeur.

Obnosov a également fait valoir que la Chine et les Etats-Unis sont au coude à coude avec la Russie dans ce domaine, mais qu'il n'y existe aucun autre concurrent.

« Il faut encore investir beaucoup de moyens dans les recherches et les expériences grandeur nature à mener dans les polygones. Mais les résultats escomptés en valent bien les chandelles », a conclu Boris Obnosov.

Il est fort bien connu que d'aucuns experts militaires américains croient la Russie déjà en possession de tels armements. En mai dernier, Mike Billington de l'Executive Intelligence Review, a déclaré que, stratégiquement, Vladimir Poutine devance Barak Obama d'un pas parce que les Russes seraient déjà en mesure de tromper tous les systèmes américains de défense aérienne.