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17/10/2015

Une civilisation extraterrestre découverte par le télescope spatial Kepler?

Tiens, ils osent nous parler des extraterrestres à présent ?

On croyait qu'il fallait nous cacher qu'ils existaient à la demande expresse du Vatican et du Gouvernement Secret aux USA : Le MJ12 

OVNIS et ET - Les révélations du Dr Michaël WOLF - Pdf à télécharger : ICI 

USA : Le gouvernement secret dévoilé par Milton William Cooper - Le fichier complet en Pdf : OPÉRATION MJ12-Le gouvernement secret US dévoilé par Milton William Cooper.pdf

 

Une civilisation extraterrestre découverte par le télescope spatial Kepler?

Sciences

V.G., publié le 15/10/2015 à 18:21 mis à jour le 16/10/2015 à 01:25

 

Une portion de la nébuleuse Tarantule, dans le Grand Nuage de Magellan. Photo d'illustration.

Des astronomes ont découvert une superstructure non-identifiée gravitant autour d'une étoile lointaine. Gigantesque amas de poussière, nuée de comètes ou superstructure extraterrestre? Les scientifiques mènent l'enquête.

Perdue entre les constellations du Cygne et de la Lyre, une mystérieuse étoile intrigue la communauté scientifique. KIC 8462852, de son petit nom, est devenue ces dernières années -et surtout ces derniers mois- le centre d'une attention toute particulière, rapporte, mardi, The Atlantic. Et pour cause, la variation de sa luminosité est aussi étrange que rare. Les scientifiques hésitent entre l'explication naturelle et... extraterrestre.  

Invisible à l'oeil nu, KIC 8462852 -située à 1480 années-lumière de la Terre- a été observée par le télescope spatial Kepler, entre 2009 à 2013. Pour être exact, le télescope de la Nasa a regardé une partie de l'espace comprenant plus de 150 000 étoiles, à la recherche de toute variation de luminosité pouvant signaler le passage d'exoplanètes passant devant un astre. 

Une énorme masse de matières orbitant autour de la planète

Les données issues de KIC 8462852 ont tapé dans l'oeil d'un groupe de "citoyens astronomes" de Planet Hunter [chasseur de planète, NDLR], un programme créé par l'université de Yale invitant tous les "citoyens scientifiques" à traquer les exoplanètes et à aider la Nasa dans cette quête.  

Vue d'artiste illustrant Kepler-186f, la première exoplanète de la taille de la Terre trouvée dans la zone habitable d'une autre étoile.

Vue d'artiste illustrant Kepler-186f, la première exoplanète de la taille de la Terre trouvée dans la zone habitable d'une autre étoile.

NASA Ames/SETI Institute/JPL-Caltech

 

Car si les exoplanètes obstruent partiellement la lumière d'une étoile à des intervalles réguliers -correspondant à leur orbite- ce n'est pas le cas des variations de lumière de KIC 8462852: deux faibles baisses de luminosité en 2009, une autre en 2011 et une série d'autres variations en 2013. Un schéma qui suggère qu'une mégastructure orbite autour de la planète. 

Collision d'astéroïdes, nuée de comètes...

"Nous n'avions jamais vu une étoile comme ça", s'enthousiasme Tabetha Boyajian, une astronome de l'université de Yale. "C'était vraiment étrange. Au début, on a pensé que nos données étaient fausses, ou dues un mauvais mouvement de Kepler, mais nous avons tout vérifié". 

Tabetha Boyajian a donc publié un article qui expose toutes les pistes qui pourraient expliquer ce phénomène. Ces variations brutales et irrégulières de luminosité serraient-elles causées par des éclats dus à la collision de nombreux astéroïdes, voire d'un impact comparable à celui qui a créé notre Lune? Insuffisant pour créer de telles variations, estime-t-elle. Autre hypothèse: le passage d'une autre étoile à proximité -ce qui est effectivement le cas, rappelle Ciel et Espace- qui aurait pu traîner à sa suite une nuée de comètes, alors attirées par KIC 8462852. Mais ce serait une coïncidence extraordinaire (en terme de timing d'observation).  

... Ou mégastructure extraterrestre?

Tabetha Boyajian, contactée par The Atlantic, reconnaît que son article n'explore que les causes "naturelles". Mais "d'autres scénarios sont possibles", glisse-t-elle. Jason Wright, un astronome de l'université de Penn également contacté par The Atlantic, doit publier son propre article, qui se basera sur la théorie des chercheurs du programme SETI -dont le but est de détecter les signaux d'une vie extraterrestre- selon laquelle nous pourrions détecter une civilisation "alien" grâce à de superstructures orbitant autour des planètes. Selon lui, le schéma des variations de lumière pourrait correspondre à "une nuée de mégastructures", peut être des "collecteurs de lumières" chargés de capter l'énergie de l'étoile, les fameuses hypothétiques sphère de Dyson

"Quand Boyajian m'a montré les données, j'ai été fasciné. Les extraterrestres devraient toujours être la dernière hypothèse à envisager, mais ça, ça ressemble à ce qu'une civilisation pourrait construire", explique-t-il au journal américain. Tabetha Boyajian et Jason Wright travaillent maintenant avec Andrew Siemion le directeur du programme SETI à l'université de Berkeley. Ils aimeraient pointer un radiotélescope sur l'étoile, pour voir si des ondes radios sont émises depuis ce système sur des fréquences associées à l'activité technologique.  

En attendant, les spéculations vont bon train sur les forums de passionnés et les réseaux sociaux. Les scientifiques auraient-il découvert une sphère de Dyson, ou, soyons fous, l'étoile noire de Star Wars? Il faudra attendre au moins janvier prochain -date où de nouvelles données seront peut-être disponibles- pour avoir, espérons le, une réponse. 

 

11/09/2015

D'où vient l'excès d'antimatière dans le flux de rayons cosmiques qui bombardent en permanence la Terre ?

Encore des preuves que nous ascensionnons vers le Grand Attracteur tout en traversant au cours de notre voyage des zones cosmiques différentes dans lesquelles nous sommes bombardés par des particules d’antimatière ou positon ou positron qui transforment la matière en profondeur, et en énergie ou en lumière cosmique, et qui activent notre ADN, tout en nous faisant évoluer sur les plans neurologique et spirituel !

D'où vient l'excès d'antimatière dans le flux de rayons cosmiques qui bombardent en permanence la Terre ?

Les réponses se trouvent, sans doute ci-dessous :

 

* - Vidéo : Oubliez le Réchauffement climatique. Ascension et déménagement de la Galaxie vers le Grand Attracteur de Laniakea !

Vous êtes ici : super-continent de galaxies Laniakea et le Grand Attracteur

Vidéo : Entrée en Antimatière: l'annihilation des positrons galactiques

Déjà en 2013, le CNRS en parlait :

CNRS : L'expérience AMS mesure un excès d'antimatière dans l'espace

 

Paris, 3 avril 2013

Extrait : La collaboration internationale du spectromètre magnétique Alpha AMS, qui implique le CNRS pour la partie française, publie ses tout premiers résultats dans sa quête d'antimatière et de matière noire dans l'espace. Les premières observations, basées sur l'analyse de 25 milliards de particules détectées durant les 18 premiers mois de fonctionnement, révèlent l'existence d'un excès d'antimatière d'origine inconnue dans le flux des rayons cosmiques. Ces résultats pourraient être la manifestation de l'annihilation de particules de matière noire telle qu'elle est décrite par certaines théories de supersymétrie, même si des analyses complémentaires seront nécessaires pour vérifier une telle origine révolutionnaire.

 

D'où vient l'excès d'antimatière dans le flux de rayons cosmiques ?

 

Par Patricia Courand | mardi 23 septembre 2014

 

L'expérience AMS (Alpha Magnetic Spectrometer), actuellement à bord de la Station Spatiale Internationale (ci-dessus), vient de publier de nouveaux résultats, basés sur l'enregistrement de 41 milliards de particules cosmiques. Crédits : CERN

Les physiciens en ont acquis la certitude au cours de ces dernières années : les rayons cosmiques contiennent une proportion anormalement élevée de particules d'antimatière, dont l'origine est pour l'instant inconnue. Or, de nouveaux résultats issus d'une expérience menée sur la Station Spatiale Internationale pourraient aider à lever le voile sur ce mystère.

 

Les rayons cosmiques sont des particules très communes dans l'Univers : principalement constituées de protons et d'électrons, ces particules bombardent en permanence la Terre. Mais aux côtés des protons et des électrons, il se trouve que les rayons cosmiques sont également constitués d'un autre type de particule : les positons (ou positrons). Les positons ? Ce sont des particules d'antimatière, cette forme "miroir" de la matière (en savoir plus sur l'antimatière sur le site du CERN : "A la recherche de l'antimatière"). Les positons ressemblent à s'y méprendre aux électrons (ils ont la même masse) à ceci près qu'ils sont de charge opposée (on dit que le positon est l'antiparticule de l'électron).

 

Or, au cours de ces dernières années, en utilisant les données fournies par le satellite Pamela en 2008, puis par le satellite Fermi, et enfin plus récemment la Station Spatiale Internationale (ISS), les physiciens ont observé un fait étrange : le flux de rayons cosmiques heurtant en permanence notre planète se caractérise par un excès inexpliqué de positons (donc par un excès d'antimatière).

 

Pour bien comprendre ce dont il s'agit ici, rappelons d'abord que les particules sont chacune dotées d'un niveau d'énergie, se mesurant en électron-volt (eV). Or, lorsque les physiciens ont commencé à analyser les caractéristiques des flux de rayons cosmiques enregistrés par Pamela, Fermi puis l'ISS, ils ont découvert que pour les électrons et les positons dont le niveau d'énergie était compris entre 10 GeV (Giga electron-Volts) et 250 GeV, la proportion de positons par rapport à la totalité des positons et des électrons augmentait avec le niveau d'énergie. En d'autres termes, plus le niveau d'énergie des électrons et des positons étudiés tend vers 250 GeV, et plus la proportion de positons par rapport à la totalité des électrons et des positons augmente. En revanche, lorsque le niveau d'énergie des particules considérées dépasse ce cap, cette augmentation cesse brutalement (on parle d'un phénomène de "coupure").

 

D'où vient cet excès de positons ? Jusqu'ici, deux hypothèses étaient envisagées : ces positons pourraient soit provenir de quasars situés à proximité de notre galaxie (les quasars (vidéo) sont des noyaux de galaxies lointaines, qui présentent la particularité d'être extrêmement brillants), soit être... des particules de matière noire.

 

La matière noire ? Il s'agit de cette mystérieuse forme de matière qui serait présente en grande quantité dans l'Univers : invisible (car n'émettant aucun rayonnement électromagnétique), elle ne dévoilerait sa présence que par les effets gravitationnels qu'elle induirait sur les corps alentours (pour plus d'informations sur la matière noire, lire cet article publié sur le site du Laboratoire CNRS d'Annecy-le-Vieux de Physique Théorique).

 

Or, de nouveaux travaux menés sur la base des données fournies par le détecteur de particules AMS, installé à bord de l'ISS, viennent d'apporter des éléments nouveaux. Ces résultats, reposant sur l'enregistrement de 41 milliards de particules dans des énergies de 0,5 GeV à 500 GeV et incluant 10 millions de positons et électrons, ont été publiés le 18 septembre 2014 dans la revue Physical Review Letters.

 

Que révèle cette nouvelle étude ? D'une part, elle affine le seuil de niveau d'énergie au-delà duquel la proportion de positons cesse d'augmenter (la "coupure"). Ce seuil serait à 275 GeV, plutôt que 250 GeV. Ce premier résultat est important car le fait de confirmer et de préciser l'existence de cette coupure plaide en faveur de l'hypothèse selon laquelle ces positons seraient des particules de matière noire. En effet, plusieurs théories prédisent l'observation d'un tel excès de positons qui résulterait de l'annihilation de particules de matière noire, avec à la clé une "coupure" aux énergies élevées (comme c'est donc le cas ici).

 

Autre résultat d'importance, fourni par cette nouvelle étude : il conforte le scénario d'un excès anormal d'antimatière dans les rayons cosmiques. Jusqu'ici en effet, il était toujours possible d'envisager que la proportion excessivement élevée dans les rayons cosmiques des positons par rapport à la totalité des positons et des électrons ne soit en réalité que la conséquence d'un déficit d'électrons, en lieu et place d'un excès de positons. Or, ces nouveaux travaux montrent que ce phénomène n'est pas le produit d'un déficit d'électrons : il y a effectivement un excès de positons par rapport aux électrons, pour des niveaux d'énergie compris entre 10 GeV et 275 GeV. En d'autres termes, des particules d'antimatière d'origine inconnue sont bel et bien présentes dans les rayons cosmiques.

 

Ces travaux ont été publiés le 18 septembre 2014 dans la revue Physical Review Letters, sous le titre "High Statistics Measurement of the Positron Fraction in Primary Cosmic Rays of 0.5–500 GeV with the Alpha Magnetic Spectrometer on the International Space Station" .


 Quasars: tueurs ou créateurs de galaxies ?

Les galaxies sont-elles nées d'un trou noir ? Le jet des quasars, ces trous noirs supermassifs au coeur des galaxies sont-ils à l'origine de la naissance des étoiles avant de les avaler ? Premier épisode d'une collection de Web docu sur l'astrophysique au XXIe siècle. Réalisateur: Pierre-François Didek (Karamoja Productions). Directeur de collection: Vincent Minier (Laboratoire AIM Paris-Saclay). 


 

Vidéo : Entrée en Antimatière: l'annihilation des positrons galactiques

Une vidéo pour comprendre ce qui se passe actuellement sur Terre avec l’apparition de particules d’antimatière qui déroute les scientifiques et qui est sans doute, le simple résultat de notre ascension vers le Grand Attracteur.

Encore une preuve que l'Univers est électrique composé de charges électriques positives ou négatives, comme dans le courant électrique.

Qu'est-ce que le positon ou le positron ?

En physique des particules, le positron ou positon1, encore appelé antiélectron, est l'antiparticule associée à l'électron. Il possède une charge électrique de +1 charge élémentaire (contre -1 pour l'électron), le même spin et la même masse que l'électron. C'est la première antiparticule découverte, ce qui explique qu'elle n'ait pas le nom composite d'« anti-électron ».

 

Est-ce que l'Annihilation des électrons par les positons représente la destruction de la matière ?

Sûrement pas ! La disparition de l'une ou l'autre des particules donne naissance à une libération d'énergie ou à un rayonnement de lumière de haute énergie ou rayons gamma.

La mort n’existant pas dans l’Univers, il ne peut s’agir que de transformations.

Annihilation (Positron - Electron) un rayonnement se produit quand un électron (de charge négative) entre en collision avec un positron (positivement changé et anti-particule de l'électron). Le résultat habituel est l'émission de deux photons de rayons gamma - chaque voyageur à une distance l'une de l'autre de511 KeV. L'exemple dans ce glossaire montre la décroissance de F-18 par émission de positons suivie par le rayonnement d'annihilation résultant. Ce processus a des applications dans la tomographie par émission de positons (TEP).

* - l'annihilation ou l'anéantissement entre une particule et son antiparticule consiste en la disparition de l'une et de l'autre, donnant lieu à libération d'énergie.

* - On peut avoir production de photons d'annihilation lors de la désintégration  β+.

* - la période d'annihilation électrons-positrons est un nom donné à un stade du Big Bang.



Entrée en Antimatière: l'annihilation des positrons galactiques ( 25 avril 2007)

Conférence donnée le 25 avril 2007 par Peter Von Ballmoos dans le cadre des Grands Séminaires de l'Observatoire Midi-Pyrénées.

Qu'est-ce que l'antimatière ? A quoi ressemble-t-elle? Où peut-on l'observer ? Peut-on la fabriquer sur Terre ? A quoi sert-elle ? Ce sujet donne matière à toutes ces questions et nous amènera à discuter de l'annihilation de vastes quantités d'antimatière au centre d¬e notre Voie Lactée. Comme nous le verrons, l'antimatière n'est pas que du domaine de la Science-Fiction : notre propre monde de matière produit parfois des particules d'antimatière. Par exemple : lors de la décroissance de certains éléments radioactifs des positrons - les électrons d'antimatière - sont émis de façon naturelle, et lorsqu'un positron rencontre un électron il s'annihile dans un flash de lumière. La masse de ces deux particules se transforme alors en rayonnement, selon la célèbre relation E=mc2 d'Einstein. Le satellite INTEGRAL observe actuellement ce rayonnement et fait apparaître notre ciel sous une lumière singulière : une émission d'annihilation électrons-positrons qui semble provenir d'une seule région étendue - la partie centrale de notre Voie Lactée - et qui correspond à l'annihilation de 15 milliards de tonnes de positrons par seconde !

 

Pour en savoir plus sur le site du CERN

Où est passée l'antimatière ? ICI 

 

 

Vous êtes ici : super-continent de galaxies Laniakea et le Grand Attracteur

Apprenez à découvrir notre nouvelle adresse cosmique : Laniakea et ce qui s'y passe en son sein avec le Grand Attracteur qui attire actuellement à lui, tout ce qui est contenu dans l'espace de Laniakea, soit des milliards de galaxies dont la nôtre et phénomène cosmique qui doit transformer la matière en profondeur et y compris à activer notre ADN sous l'influence des puissantes énergies que nous traversons au cours de notre ascension.

Des scientifiques ont découvert que la Terre recevait des quantités énormes d'énergies et des particules d'antimatière, dont les positons ou positrons, ce dont ils s'étonnent, n'en comprenant pas l'origine et les qualifiant d'anomalies !

Il ne s'agit pas d'anomalies mais d'une réaction électrique qui engendre la libération d'énergie ou de Lumière Cosmique !

 

Article précédent :

* - Vidéo : Oubliez le Réchauffement climatique. Ascension et déménagement de la Galaxie vers le Grand Attracteur de Laniakea !

 

Notre nouvelle adresse cosmique

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Vous êtes ici : super-continent de galaxies Laniakea

  Une tranche du Superamas Laniakea dans le plan équatorial supergalactique © Cosmic Flows

Avec une équipe internationale, l’astrophysicienne-cosmographe Hélène Courtois a découvert le super continent de galaxies dans lequel nous vivons: Laniakea.

Parmi les nombreux obstacles qu’ont rencontrés Christophe Colomb et les explorateurs de l’Amérique, dessiner des cartes précises ne fut pas le plus facile à contourner. A l’époque des grands navigateurs (XVe et XVIe siècles), la cartographie s’appuyait sur l’exploration : longer les côtes pour dessiner les contours du continent, suivre les cours d’eau pour représenter les terres.

Quelques centaines d’années plus tard, c’est avec une méthode finalement assez proche que la cosmographe Hélène Courtois, de l’Institut national de physique nucléaire et de physique des particules (Université Claude Bernard Lyon 1 / CNRS), et trois confrères d’universités internationales* ont cartographié une vaste zone de notre univers observable. Mais leurs cartes à eux sont en quatre dimensions, et cette quatrième dimension vient bouleverser notre représentation de l’Univers.

Une nouvelle image de l’Univers

Dans l’Univers tel que le font apparaître les travaux d’Hélène Courtois et ses confrères, des bateaux (les galaxies) suivent les courants d’une rivière (la matière). Les galaxies sont regroupées en amas ou en superamas et se déplacent en évitant de grandes régions appelées “vides”. Leurs déplacements, provoqués par les concentrations de matière visible ou invisible, les amènent à se séparer ou se rassembler comme en suivant l’eau de la rivière de part et d’autre d’une ligne de partage.

L’équipe internationale assemblée par Hélène Courtois (une vingtaine de chercheurs en plus des quatre co-auteurs de l’article) ont créé des cartes de l’Univers dont le “champ de vitesse” des galaxies constitue la quatrième dimension. Plutôt que produire un instantané de leur position à un instant donné, les cartes montrent la dynamique de leurs déplacements :

Leur mouvement nous fournit de précieuses indications de cosmologie, par exemple sur la localisation de la matière noire : les mouvements dépendent de sa masse, or nous savons que la matière noire est la masse la plus importante dans l’Univers. Ils nous permettent aussi de mieux comprendre les lois fondamentales de l’univers comme la gravitation.

Nos horizons célestes

Les scientifiques ont connecté patiemment la surface joignant toutes les lignes de partage des flux de galaxies qui nous entourent. Notre continent de galaxies, le superamas dans lequel nous vivons, apparaît en creux : c’est le volume englobé, qui se sépare nettement des autres continents voisins. Notre « continent » mesure 500 millions d’années-lumière de diamètre et contient une masse d’environ 100 millions de milliards de fois celle du Soleil. Les chercheurs lui ont donné le nom hawaiien Laniakea, qui signifie “horizons célestes immenses”. Accepté par l’Union Astronomique Internationale, c’est un hommage à ce pays de navigateurs aux étoiles qui abrite désormais quelques-uns des plus grands télescopes du monde, utilisés pour cette découverte et celles qui suivront.

Une tranche du Superamas Laniakea dans le plan équatorial supergalactique. Les nuances de couleur représentent des valeurs de densité de matière avec en rouge la haute densité et en bleu les vides. Les galaxies individuelles sont montrées comme des points blancs. On observe en blanc des courants de galaxies se déversant dans le bassin d’attraction du Laniakea, tandis que des courants en bleu foncé s’éloignent de ce bassin local et permettent de séparer notre continent de ceux voisins. Le contour orange inclut les limites extérieures de ces courants. Ce domaine a une mesure de 500 Millions d’années lumière de diamètre et inclut ~1017 M⊙ (100 millions de millards de masses solaires). © Cosmic Flows

Regarder à travers plusieurs lunettes

Pour arriver à ces résultats, Hélène Courtois et ses partenaires ont mis au point une nouvelle méthode pour définir les structures à grande échelle à l’aide des courants de galaxies. Ces calculs sont basés sur les observations conduites par Hélène Courtois et les méthodes de visualisation de Daniel Pomarède, chercheur à l’Institut de Recherche sur les Lois Fondamentales de l’Univers, CEA/Saclay.

Ils ont concentré leurs observations sur un cube de 1,5 milliards d’années-lumière de côté, soit environ 2% de l’Univers observable. Ils ont réussi le tour de force de cartographier intégralement 8 000 des galaxies présentes dans cette zone avec une précision de 10-15% : On mesure des vitesses de l’ordre de 1000 à 15000 kilomètres par seconde. Puis nous enlevons de cette mesure la part due à l’expansion de l’Univers : on parle de coordonnées co-mobiles. Il ne reste plus que la vitesse due uniquement à la masse de la galaxie et la gravité environnante, elle de l’ordre de 400 à 600 kilomètres par seconde ”, précise Hélène Courtois. Pour arriver à une précision aussi fine, il est indispensable de croiser les résultats obtenus par plusieurs techniques d’observation : analyse des supernovae et des “raies d’hydrogène neutre”, par exemple (voir encadré).

Hydrogène neutre : Cette méthode a été co-inventée en 1977 par R. Brent Tully, qui signe l’article avec Hélène Courtois. Elle consiste à observer les traînées d’hydrogène neutre (H pur) des galaxies à l’aide de radiotélescopes : les photons qu’elles émettent sont toujours à 21 cm de longueur d’onde. En vertu de l’effet Doppler, les raies s’élargissent en fonction de la vitesse de rotation de la galaxie. Et la vitesse de rotation est proportionnelle à la masse. Lumineux !

Et le Grand Attracteur ?

Plus important encore, les scientifiques posent les premiers jalons vers la résolution d’un des grands mystères de l’astrophysique moderne. On sait depuis 1986 que notre galaxie et ses voisines se déplacent dans la même direction à la vitesse de 630 kilomètres par seconde, 630 Km/s X 3600s/h = 22 680km/h. Mais on ignorait jusqu’à présent quelle est la nature de ce “Grand Attracteur” dont on observait les effets sans voir suffisamment de masse dans sa région. Hélène Courtois a d’ailleurs fait sa thèse de doctorat sur le sujet en 1995. Les chercheurs montrent que cette région est en réalité un large vallon où se déverse la matière, un peu comme le point le plus bas d’une baignoire plate, et qui englobe une région 100 fois plus grande qu’on ne le pensait depuis cinquante ans. Qui sait quelles surprises nous réservent à présent les prochains horizons célestes ?

* R. Brent Tully (University of Hawaii), Yehuda Hoffman (Hebrew University Jerusalem), Daniel Pomarède (CEA/Saclay)

 


Cette découverte fait la Une de la prestigieuse revue internationale Nature datée du 4 septembre 2014.

 

The Laniakea Supercluster of Galaxies, Nature, volume 513, number 7516, p.71 (4 September 2014) par R.Brent Tully, Hélène Courtois, Yehuda Hoffman and Daniel Pomarede.

 L’Institut de Physique Nucléaire de Lyon (IPNL) est une Unité Mixte de Recherche (UMR 5822) agissant sous la double tutelle de l’Université Claude Bernard Lyon 1 et de l’Institut National de Physique Nucléaire et de Physique des Particules (IN2P3) du CNRS. Les activités de l’IPNL visent à étudier les propriétés des composants subatomiques de la matière ainsi que leurs interactions. Laboratoire essentiellement de physique expérimentale, ses thématiques de recherche sont variées puisqu’elles concernent la physique des particules et des astroparticules, la matière nucléaire et les interactions ions/agrégats-matière.

http://sciencespourtous.univ-lyon1.fr/vous-etes-ici-super...

 

 

 

 

 

 

 

Vidéo : Oubliez le Réchauffement climatique. Ascension et déménagement de la Galaxie vers le Grand Attracteur de Laniakea !

Fig21.jpgSi vous aviez encore des doutes sur le fait que nous soyons en voie d’ascensionner et pas seulement la Terre ni notre système solaire, mais l’ensemble de la Galaxie et toutes les galaxies contenues dans Laniakea vers le Grand Attracteur découvert au sein de Laniakea, notre nouvelle adresse cosmique qui marque les frontières du continent de galaxies dans lequel nous vivons. Vous avez la preuve scientifique que nous sommes tous condamnés à ascensionner et à évoluer grâce aux nouvelles énergies cosmiques que nous traversons tout au long de notre parcours d’évolution et qui nous entraînent irrévocablement vers le Grand Attracteur, et ce, à une vitesse de 22 680 km/h.

 

Si nous rajoutons la vitesse à laquelle extrêmement rapide de 828 000 km/h à laquelle se déplace le soleil qui n’est pas stationnaire. L'ensemble de notre système solaire ascensionnant en spirale vers le centre de la galaxie, il se pourrait bien que nous soyons en train d’ascensionner à la vitesse de : 22 680 km/h +  828 000 km/h = 850 680 k/h.

 

Au cours de notre ascension il est donc normal que les puissants rayonnements cosmiques changent en fonction du nouvel environnement cosmique que nous traversons et plus nous nous rapprochons du Grand Attracteur, et plus les rayonnements cosmiques sont puissants et lumineux, et transforment donc la matière en profondeur, activant ainsi tout naturellement notre ADN.

 

Nous sommes donc tous en cours de Grand déménagement vers le Grand Attracteur qui se trouve au sein de Laniakae !


Quel plus beau cadeau l’Univers créateur pouvait-il nous faire ?

 

Petits rappels d’articles précédents :

* La Terre ne tourne pas autour du Soleil, elle ascensionne en spirale avec l'ensemble de notre système solaire.

* Nassim Haramein : Notre modèle du système solaire tel qu'on nous l'enseigne depuis le début est faux!

* la nature cyclique de l'univers

Ballade dans l’univers : à la découverte de Laniakea | Hélène Courtois | TEDxLyon

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Une ballade et une aventure exceptionnelles dans l'infiniment grand et ses secrets.

Astrophysicienne-cosmologue lyonnaise, Hélène Courtois a découvert les frontières du continent de galaxies dans lequel nous vivons : "Laniakea".

Ce travail de longue haleine a fait la Une de Nature. La vidéo publiée sur ce thème par la prestigieuse revue a comptabilisé plus de 2,5 millions de vues lors du premier mois de sa diffusion (novembre 2014). http://ted.com/tedx

 

 

Nouvelle adresse cosmique

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