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20/09/2014

Exceptionnel – Luc Montagnier : ses dernières découvertes sur la Mémoire de l’Eau

Si vous avez manqué l'émission !

Nous avons ainsi les preuves que le génotype de notre ADN est aussi enregistré non seulement dans l'eau qui constitue 90 % de notre corps mais qu'il est aussi enregistré dans la mémoire de l'Univers.

Exceptionnel – Luc Montagnier : ses dernières découvertes sur la Mémoire de l’Eau

6 septembre 2014 par Delta de la lyre  


Le documentaire du 5 juillet 2014 diffusé sur la chaîne de Télévision France 5 prouvant les récentes découvertes du professeur Luc Montagnier concernant la mémoire de l'eau est désormais consultable depuis n'importe où sur la Terre ainsi que n'importe quand.

~

Source de la vidéo ci-dessus de 52'17'' intitulée "On a retrouvé la mémoire de l'eau - Jacques Benveniste" mise en ligne par Jean-Christophe Grelet : YouTube

Jusqu'à sa mort en 2004, Jacques Benveniste (chercheur à l'Inserm) disait avoir découvert une empreinte dans l'eau, ce que l'on a appelé la mémoire de l'eau, un sujet tabou et décrié dans le milieu de la recherche qui lui valut d'être rejeté par la communauté scientifique. Mais le professeur Montagnier, Prix Nobel et découvreur du virus du SIDA, a repris ces recherches dont les résultats risquent de surprendre.

Le documentaire sur les travaux de Luc Montagnier en relation avec la mémoire de l´eau sera diffusé sur France 5 le samedi 5 juillet à 19 h et rediffusé le lundi 7 juillet à 14 h 30. Avec Luc MONTAGNIER qui relate se dernières découvertes et Marc HENRY qui explique le pourquoi du comment.

Ce reportage de 45 mn va bouleverser les conceptions que l´on a de la biologie et de la médecine. Il y est démontré que l´on peut non seulement coder un ADN tout entier sur de l´eau liquide, mais aussi lire la trace électromagnétique mémorisée sur cette même eau liquide pour reproduire fidèlement l´ADN utilisé lors de la dilution... Selon Luc Montagnier, il serait même possible d´identifier des bactéries encore inconnues de la science et responsables de maladies graves par la simple trace électromagnétique qu´elles laissent dans le sang...

Jacques Benveniste,

chercheur français a beaucoup découvert sur la Mémoire de l’Eau. L’Etat français l’a donc mis au placard, car il y a des choses auquel il ne faut pas toucher, ou qu’il ne fallait pas toucher à cette époque.

Le japonais Masaru Emoto

aura eu plus de chance.. pour lui et pour le monde l’heure était venue !

ON A RETROUVE LA MEMOIRE DE L'EAU / JACQUES BENVENISTE

https://vimeo.com/222406655

On a retrouvé la Mémoire de L' eau , Luc Montagnier . from Michel Blanc on Vimeo.

Article connexe :

France & Eau : histoire d’amour cachée. Vinh Luu : 1er découvreur de la mémoire de l’eau

 

Champs morphogénétiques : La mémoire de l’univers

 par kali

mercredi 9 novembre 2011

Rupert Sheldrake et les champs morphogénétiques

Cette notion de champs morphogénétiques ou morphiques s'avère difficile à expliquer avec des mots simples quand on la fréquente depuis peu. Ci-après un des extraits les plus pédagogiques trouvé :

"Historique de la notion de champ morphogénétique

Hans Driesch (1867-1941), embryologiste et philosophe, fut l’un des premiers chercheurs à avoir tourné le dos à la vision strictement matérialiste et mécaniste qui prévalait au XIXème siècle. Ses expériences sur les blastomères d’oursin démontraient que l’ensemble de l’embryon est plus que la somme de ses parties.2 Driesch en prélevait des éléments et ceux-ci se régénéraient ; l’ensemble se reconstituait. Il en déduit qu’il était impossible d’analyser ou de comprendre l’embryon d’une manière purement matérialiste.

Mais, c’est en 1922 que l’idée de champs morphogénétiques (abrégés ultérieurement en “morphogéniques“ et même “morphiques “) a été introduite par Alexander Gurwitsch, en Russie, puis en 1925, de manière indépendante, par Paul Weiss, à Vienne. A. N. Whitehead (1861-1947) scientifique et philosophe, affirma qu’il existe une propriété définie de complétude qui permet aux organismes de se développer et qui ne peut être réduite à une analyse des parties. Von Bertallanfy (1901-1972) a procédé en 1933, dans son livre Modern Theories of Developement, à la synthèse de ces différentes approches avec son paradigme organismique3 qui décrit le développement des systèmes ouverts (biologiques) par différence avec les systèmes physiques soumis à la loi d’entropie.

Une génération plus tard, C.H. Waddington (1905-1975) a poussé l’idée des champs morphogéniques un pas plus loin avec son concept de chréode, ou “zone de développement canalisé“, ou “attracteur de développement dans le temps et dans l’espace“.

 

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C’est Rupert SHELDRAKE (né le 28.06.1942), biologiste spécialiste de biochimie et de chimie cellulaire, qui donnera toute son ampleur au concept de champ morphogénique en faisant le réservoir de la mémoire de l’univers et la source de ce qu’il appelle “la causalité formative“.

Comment s’est forgé le concept de champ morphogénétique ?

R. Sheldrake écrit que “la mémoire est inhérente à la nature“. Il considère que “les systèmes naturels, tels que des colonies de termites, des pigeons, des orchidées, des molécules d’insuline héritent d’une mémoire collective renfermant tous les phénomènes concernant leur espèce, aussi distants soient-ils dans l’espace et dans le temps“. Il donne de nombreux exemples de comportements animaux instinctifs (la façon de se gratter des mammifères et des oiseaux, la capacité des araignées de tisser, dès leur naissance, des toiles caractéristiques de leur espèce, la manière dont les guêpes de boue australiennes construisent leur nid, etc.) dont il dit qu’ils ne peuvent être inscrits dans les gènes. Ce sont les fameux caractères acquis lamarckiens. Il précise : “Le comportement héréditaire, comme la forme héréditaire, est influencé par les gènes, mais n’est ni “génétique“, ni “génétiquement programmé“.

Pour expliquer ce qui ne relève pas du “génétique“ dans l’explication de la transmission des comportements héréditaires les généticiens parlent d’”effet du milieu“. Mais la définition qu’ils donnent de ce “milieu“ est extrêmement vague puisqu’elle englobe “l’ensemble des informations qui ne sont pas contenues dans les gènes“.

Nous voici en pleine tautologie ! Il convient donc de parler à propos de l’ADN non de “programme génétique“ mais de “patrimoine génétique“. Et R. Sheldrake écrit que, puisque toutes nos cellules comprennent à peu près le même ADN et se développent malgré tout selon des schémas différents, c’est bien qu’il y a en dehors d’elles une source d’information qui oriente leur action. Cette source d’information c’est le champ morphogénique de l’espèce.

Qu’est-ce qu’un champ morphogénétique (ou morphique) ?

C’est, comme son étymologie l’indique, un champ générateur de forme (morphos en grec). peut-on le définir ? “Les champs morphiques, comme les champs connus de la physique, sont des régions d’influences non matérielles s’étendant dans l’espace et se prolongeant dans le temps. Quand un système particulier cesse d’exister - lorsqu’un atome est désintégré, qu’un flocon de neige fond, ou qu’un animal meurt - son champ organisateur disparaît du lieu spécifique où existait le système. Mais dans un autre sens, les champs morphiques ne disparaissent pas : ce sont des schèmes d’influence organisateurs potentiels, susceptibles de se manifester à nouveau, en d’autres temps, et d’autres lieux, partout où et à chaque fois que les conditions physiques sont appropriées. Quand c’est le cas, ils renferment une mémoire de leurs existences physiques antérieures“. Et, plus la population étudiée comporte d’individus plus le champ morphogénique s’enrichit du comportement de tous ses individus.

Mais, de même qu’on ne connaît les champs de gravitation, les champs électriques ou magnétiques que par leurs effets, les champs morphogéniques ne peuvent être décelés que par les actions qu’ils influencent.

Actions influencées par le champ morphique

On peut comparer le champ morphogénique d’une part à un gigantesque réservoir de la mémoire de l’espèce, c’est sa fonction passive, d’autre part à un inducteur d’organisation, c’est sa fonction active ou téléologique. Et cet inducteur d’organisation fonctionne de mieux en mieux grâce à l’apprentissage des membres de l’espèce.

Sheldrake donne l’exemple des mésanges bleues qui, en Angleterre, ont appris à percer les capsules qui ferment les bouteilles de lait déposées par le laitier le matin à domicile : “Une analyse minutieuse des données a montré que la propagation de l’habitude s’est accélérée avec le temps, et que le comportement a été découvert par des mésanges individuelles“. MC Dougall réalisa en Angleterre des expériences sur les rats pour leur apprendre à choisir entre deux sorties d’une cage, l’une éclairée mais assortie d’une forte décharge électrique et l’autre sombre mais sans choc électrique. La première génération de rats commit 165 erreurs, la trentième n’en commettait plus que 20. La même expérience réalisée à 20 000 km de là, en Australie, montra que les rats australiens avaient bénéficié de l’apprentissage de leurs confrères anglais... Et tout ceci est naturellement transposable à l’homme."

Extrait d'Effervesciences N°48,
provenant du site :
http://www.effervesciences.com/

Réflexions

 

Rupert Sheldrake est l'un des scientifiques les plus contestés de sa génération. Les scientifiques en général, n'aiment pas que l'un des leurs s'adonne à des recherches sur des sujets aussi farfelus que la télépathie et autres fariboles.

Si la physique quantique n'avait donné des résultats rapides en termes d'effets de ses théories, sans doute aurait-elle été contestée car elle flirte avec le surnaturel, quand on pense au chat à la fois mort et vivant et au principe de simultanéité. Encore aujourd'hui les physiciens "cosmologistes" ne sont gère aimés de leurs pairs.

Cependant si on considère que le cerveau humain (ou animal) n'est pas un organe de stockage de l'information mais de "lecture/écriture", comment tout cela fonctionne-t-il ?

Le cerveau serait-il comme un processeur d'ordinateur qui va se servir dans une espèce de disque dur virtuel collectif que serait ce champs morphique ? Cette opération permettrait donc au cerveau de résoudre des problèmes, avec des informations stockées par d'autres cerveaux ailleurs et à un autre moment, ce qui permettrait aux espèces d'évoluer en permanence en s'enrichissant des progrès des autres individus de la même espèce.

Les neurosciences n'ont pas encore localisé la mémoire dans le cerveau. Quand des expériences sont menées avec des stimulis mémoriels, il semble que plusieurs zones du cerveau soient sollicitées simultanément. Cela ne signifie pas que les informations y soient stockées.

Si le cerveau est un émetteur/récepteur qui va piocher dans un champs morphiques des informations, qui sont en résonance avec ce dont il a besoin, alors ces champs sont forcément quantiques car "non localisés". Par ailleurs, l'évolution de leur contenu reste imprévisible car il dépend des décisions prises à chaque instant.

Propos récents de Rupert shedrake

Du magazine Clés - Novembre 2011 – Propos recueillis par Patrice van Eersel

Q : Trois décennies après vos premiers écrits, votre théorie demeure controversée. Vous dites qu’elle s’appuie sur des faits vérifiables. Lesquels ?

RS : L’un des meilleurs exemples demeure celui des cristaux. Quand des chimistes inventent une nouvelle molécule, ils ont généralement du mal à la faire cristalliser. Mais une fois que l’un d’eux a réussi, les autres y parviennent plus aisément partout. Comme si un nouveau champ de forme avait été créé à travers l’espace-temps et qu’il suffisait en quelque sorte de le capter. Une molécule nouvelle peut aussi cristalliser sous différentes formes, mais dès que l’une d’elles s’impose, son champ devient dominant et les autres formes disparaissent. Ce fut récemment le cas du Ritonavir, un médicament contre le sida, qui s’est hélas mis à cristalliser sous une forme qui en supprimait l’effet thérapeutique. On a dû dépenser des fortunes pour trouver une autre façon d’administrer cette molécule.

L’autre exemple type est psychologique : celui des rats de laboratoire. Une fois qu’un rat a réussi à deviner l’issue d’un labyrinthe, tous les autres rats de la planète trouvent plus facilement la solution. Vous avez aussi les tests de QI : depuis qu’ils ont été inventés, le niveau moyen de l’« intelligence » humaine n’a cessé de s’élever – de 30% depuis 1920, comme l’a montré le politologue James R. Flynn. Il ne semble pourtant pas que nos congénères soient de plus en plus intelligents, mais en 90 ans, des foules ont répondu aux mêmes tests, qui sont automatiquement devenus plus faciles à résoudre.

Bibliographie de Rupert Shekdrake

Une nouvelle science de la vie, Le Rocher, 1983.
L’Âme de la nature, Albin Michel, 2001.
Les pouvoirs inexpliqués des animaux, J’ai Lu, 2005.
Ces chiens qui attendent leur maître et autres pouvoirs inexpliqués des animaux, Le Rocher, 2001.
Sept Expériences qui peuvent changer le monde, Le Rocher, 2005

Autres articles

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17/09/2014

Nassim Haramein : Notre modèle du système solaire tel qu'on nous l'enseigne depuis le début est faux!

 

S'il était encore nécessaire de le rappeler, tout ce que l'on nous apprend à l'école ou dans notre société, est faux, notamment sur les religions, le système solaire, le fonctionnement électrique de l'homme et de ses cellules qui sont en lien étroit avec les énergies cosmiques ou quantiques, électriques et lumineuses.

Si tous les hommes savaient comment ils fonctionnent réellement en tant qu'êtres de lumière en constante évolution, ils diraient adieu aux religions pour être enfin lui-même : un être de lumière utilisant tout son potentiel créateur dynamique.

A quand la prochaine civilisation sans religions et vers la reconnaissance du véritable statut de l'Homme/Lumière ?

N'oublions pas que :

1- l'Uni-vers est un grand corps ou un grand tissu cellulaire électrique constitué de milliards de cellules et d'ADN cosmiques dont nos cellules et notre ADN sont eux-mêmes constitués.

2 - l'Uni-vers est fractal et qu'il reproduit toutes ses cellules cosmiques à l'infini en dupliquant les différents ADN cosmiques dont ceux des humains et de tout ce qui vit sur Terre et dans le cosmos. L'Univers fractal cela veut dire que tout ce qui est Haut est comme ce qui est Bas, soit que nos cellules sont constituées à l'identique de celles de l'Univers.

3 - l'Univers est électrique, tels que les planètes ainsi que les humains et tout ce qui vit sur Terre sous toutes les formes de vies.

4 - que les milliards de galaxies qui constituent l'Univers, ascensionnent toutes vers le centre de l'Univers, tout comme notre système solaire n'est pas figé mais qu'il ascensionne en permanence vers le centre de la Galaxie qui ascensionne elle-même en spirale ou forme hélicoïdale comme l'ADN, vers le centre de l'Univers. Ce qui représente les cycles de l'évolution tant des galaxies que de notre système solaire que des hommes et de tout ce qui vit et qui constitue l'Uni-vers. Nous sommes donc tous UNIS-VERS le centre de l'UNI-VERS.

5 - que l'énergie ou la lumière cosmique c'est la VIE en mouvement, et que le mouvement c'est la VIE faite de milliards de vortex d'énergies dont nos propres cellules.

6 - que la mort n'existe pas dans l'Univers ne s'agissant que de perpétuelles transformations qui signent l'immortalité des énergies et des âmes faites de pure lumière et d'énergie.

 Rien ne se perd dans l'UNI-VERS mais tout se transforme en nouvelles énergies cosmiques ou quantiques ou énergies lumineuses..

Voir notre précédent article ci-dessous :

 

 
Nassim Haramein : Notre modèle du système solaire tel qu'on nous l'enseigne depuis le début  est faux!

Quand vous entrez dans une salle de cours aujourd’hui, et probablement depuis que vous êtes enfant, on vous enseigne un certain modèle concernant la structure de notre système solaire.

C’est le modèle qui ressemble à ceci:

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C’est le modèle traditionnel en orbite du système solaire, ou le modèle héliocentrique, où nos planètes tournent autour du soleil.

Même si ce n’est pas totalement faux, on omet un fait très important. Le soleil n’est pas stationnaire. En réalité le soleil se déplace à une vitesse extrêmement rapide, jusqu’à 828000 km/h.

Notre système solaire entier est en orbite autour de la Voie Lactée. En fait, il faut 220 millions d’années au Soleil pour tourner autour de notre Galaxie.

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En sachant que cela est vrai, notre modèle visuel du système solaire doit changer, il a été imprécis pendant tout ce temps.

En fait, nos planètes traversent l’espace à une vitesse extrêmement rapide avec le soleil, et créent littéralement une hélice géante d’ADN d’origine cosmique, et un vortex semblable à notre galaxie, la Voie Lactée.

Comme ceci mais dans l’espace, en créant une onde sinusoïdale sans fin.

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Cela suppose que notre Soleil et les planètes de notre système solaire ne sont jamais à la même place.

Lorsque nous faisons une rotation autour du soleil, nous avons déjà parcouru des millions de kilomètres à travers l’espace, ce qui signifie que ces cycles cosmiques sont bien plus grands que ce que nous aurions pu imaginer auparavant.

Voici deux exemples de vidéos du modèle hélicoïdal de notre système solaire.

Le physicien Nassim Haramein précise la différence dans cette vidéo :

Voici une belle représentation numérique de la façon dont notre système solaire est en réalité un vortex.

 The solar system's motion thru space
by The Resonance Project / Nassim Haramein

 The helical model - our solar system is a vortex

Merci & passez le mot ! Faisons changer cela dans les classes à travers le monde !

http://www.espritsciencemetaphysiques.com/

http://www.espritsciencemetaphysiques.com/

http://www.arcturius.org/chroniques/notre-modele-du-systeme-solaire-faux-depuis-debut/

http://lesbrindherbes.org/2014/09/16/etonnant-representation-notre-systeme-solaire-faux/

07/09/2014

Pourquoi le sang devient-il vert sous l'océan ?

À quelques mètres de profondeur sous l'eau, le sang a la particularité de prendre une teinte verte. Cet étrange phénomène est liée à la manière dont l'eau absorbe les différentes longueurs d'ondes de la lumière blanche.


Du sang vertSi vous avez la malchance de vous couper sous l'eau à une profondeur de 10 mètres, vous aurez l'étrange surprise de voir votre sang apparaître d'une couleur que vous ne lui connaissez pas : du vert. Et si vous remontez à la surface, vous verrez que celui-ci deviendra marron, puis rose avant de reprendre la couleur traditionnelle, le rouge, une fois à la surface. Mais pourquoi la couleur du sang change-t-elle dans l'eau ?

Du sang vert sous l'eau
https://www.dailymotion.com/video/x25bfjt_du-sang-vert-sous-l-eau_news


Du sang vert sous l'eau par Gentside

En réalité, le sang ne change aucunement de couleur. Il s'agit d'un phénomène de perception visuelle provoqué par la lumière dans l'eau. En effet, la lumière blanche, comme celle émise par le Soleil, contient toutes les couleurs du spectre : du rouge au violet. Néanmoins, toutes ces couleurs, lumières ou longueurs d'onde ne vont pas se comporter de la même façon, en frappant des objets par exemple.

C'est pourquoi certains objets nous apparaissent d'une couleur précise : si un objet apparait rouge, c'est que celui-ci absorbe toutes les couleurs sauf la lumière rouge qui rebondit à sa surface. Dans l'eau, le phénomène est toutefois légèrement différent.

Vitesse de la lumière

En effet, la vitesse de la lumière dans l'eau n'est pas la même que dans l'air. De plus, toutes les couleurs de la lumière ne voyagent pas à la même vitesse. Autrement dit, même dans l'eau certaines vont être plus lentes que d'autres. S'ajoute à cela un phénomène d'absorption dû aux molécules contenues dans l'océan. 

En traversant l'eau, la longueur d'onde rouge va être la plus ralentie et va être fortement absorbée. Donc plus on descend profondément, plus elle disparait et ne peut plus être observée par l'oeil. A l'inverse, les longueurs d'onde vertes (...)
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Si vous avez la malchance de vous couper sous l'eau à une profondeur de 10 mètres, vous aurez l'étrange surprise de voir votre sang apparaître d'une couleur que vous ne lui connaissez pas : du vert. Et si vous remontez à la surface, vous verrez que celui-ci deviendra marron, puis rose avant de reprendre la couleur traditionnelle, le rouge, une fois à la surface. Mais pourquoi la couleur du sang change-t-elle dans l'eau ? En réalité, le sang ne change aucunement de couleur. Il s'agit d'un phénomène de perception visuelle provoqué par la lumière dans l'eau. En effet, la lumière blanche, comme celle émise par le Soleil, contient toutes les couleurs du spectre : du rouge au violet. Néanmoins, toutes ces couleurs, lumières ou longueurs d'onde ne vont pas se comporter de la même façon, en frappant des objets par exemple. C'est pourquoi certains objets nous apparaissent d'une couleur précise : si un objet apparait rouge, c'est que celui-ci absorbe toutes les couleurs sauf la lumière rouge qui rebondit à sa surface. Dans l'eau, le phénomène est toutefois légèrement différent. Vitesse de la lumière En effet, la vitesse de la lumière dans l'eau n'est pas la même que dans l'air. De plus, toutes les couleurs de la lumière ne voyagent pas à la même vitesse. Autrement dit, même dans l'eau certaines vont être plus lentes que d'autres. S'ajoute à cela un phénomène d'absorption dû aux molécules contenues dans l'océan. En traversant l'eau, la longueur d'onde rouge va être la plus ralentie et va être fortement absorbée. Donc plus on descend profondément, plus elle disparait et ne peut plus être observée par l'oeil. A l'inverse, les longueurs d'onde vertes résistent beaucoup mieux et sont réfléchies par des pigments contenus dans le sang. Voilà pourquoi quand vous descendez à quelques mètres sous la surface, votre sang devient vert et non plus rouge. Si vous descendez encore davantage, toutes les longueurs d'onde finiront par être absorbées quelle que soit leur couleur, votre sang apparaitra alors non plus vert mais noir. Évidemment, il n'y a pas que le sang pour vérifier le phénomène. Des poissons rouges Si vous voulez vous amusez à différencier le vrai du faux des profondeurs sous-marines, munissez-vous d'une lampe étanche. Les couleurs des fonds marins pourraient alors bien vous surprendre sous le faisceau de votre source lumineuse. Le phénomène permet aussi d'expliquer pourquoi les fonds marins regorgent de végétaux, coraux et animaux de couleur rouge. Cette dernière est facile à produire par le corps, mais sous la lumière blanche, elle se distingue et est facilement repérable par les prédateurs. En revanche, 20 mètres plus bas sous la mer, lorsque la lumière rouge a totalement disparu, le poisson rouge devient noir et passe donc beaucoup plus inaperçu.

En savoir plus: http://www.maxisciences.com/sang/pourquoi-le-sang-devient...
Copyright © Gentside Découverte
À quelques mètres de profondeur sous l'eau, le sang a la particularité de prendre une teinte verte. Cet étrange phénomène est liée à la manière dont l'eau absorbe les différentes longueurs d'ondes de la lumière blanche.

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Pourquoi le sang devient-il vert sous l'océan ?

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08/07/2014

Modifications spectaculaires du champ magnétique terrestre

Et pendant ce temps au milieu du chaos mondial organisé par les élites Illuminati dans l'objectif de nous instaurer leur Nouvel Ordre Mondial, la Terre, elle imperturbable, continue son cycle d'inversion des pôles magnétiques terrestres !


Nous remarquons que là où le champ magnétique est le plus faible c'est sur le territoire des USA.

Les radiations solaires seraient-elles en train de leur taper sur la tête ?

 
Modifications spectaculaires du champ magnétique terrestre
Posté par Publication le Vendredi 20/06/2014 à 12:55
 

Les premiers résultats à haute résolution recueillis à partir des trois satellites de la constellation Swarm de l'ESA, révèlent les changements les plus récents dans le champ magnétique qui protège notre planète.

Lancé en Novembre 2013, Essaim fournit un aperçu sans précédent dans les rouages complexes du champ magnétique de la Terre, qui nous protège du rayonnement cosmique et bombardant des particules chargées.



SWARM-Globe.JPG


Juin 2014 champ magnétique. Illustration ESA


Les mesures effectuées au cours des six derniers mois confirment la tendance générale de l'affaiblissement du champ, avec les baisses les plus spectaculaires dans l'hémisphère occidental. Mais dans d'autres domaines, tels que l'océan Indien, le champ magnétique s'est renforcé depuis Janvier.

Les dernières mesures confirment également le déplacement du Nord magnétique vers la Sibérie. Ces changements sont basés sur les signaux magnétiques provenant du noyau de la Terre. Au cours des prochains mois, les scientifiques vont analyser les données et comparer avec les études provenant d'autres sources, à savoir le manteau, croûte, océans, ionosphère et magnétosphère.

Cela fournira un nouvel éclairage sur de nombreux processus naturels, de ceux qui se produisent au fond de notre planète à la météorologie spatiale déclenchée par l'activité solaire. À son tour, cette information donnera une meilleure compréhension des raisons pour lesquelles le champ magnétique s'affaiblit.

Swarm-Champ-soleil.JPG


Le champ magnétique de la Terre. Illustration ESA


"Ces premiers résultats démontrent l'excellente performance de Swarm", a déclaré Rune Floberghagen, directeur Swarm, mission de l'ESA. "Avec une résolution sans précédent, les données montrent également la capacité de Swann à cartographier les caractéristiques à petite échelle du champ magnétique."

Les premiers résultats ont été présentés à la réunion scientifique Swarm à Copenhague, au Danemark.

Sofie Carsten Nielsen, ministre danois de l'Enseignement supérieur et de la Science, a souligné la contribution danoise à la mission. Essaim qui poursuit la tradition du satellite danois Ørsted, qui est toujours opérationnel, ainsi que la mission  Champ  allemande. L'instrument de base de Swarm, le magnétomètre, a été fourni par l'Université technique du Danemark.



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Essaim. Illustration ESA


L'Institut National Space du Danemark, DTU espace, a un rôle de premier plan avec 10 instituts de recherche européens et canadiens dans la facilité Swarm application Constellation satellite et de la recherche, qui produit des modèles de pointe basés sur des données Swarm décrivant chacune des différentes sources du champ mesuré.


"Je suis extrêmement heureux de voir que Swarm s'est concrétisé", a déclaré Kristian Pedersen, directeur du DTU espace".

Pour plus d'information voir: http://congrexprojects.com/2014-events/Swarm/home

 

http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=12899

 

 

06:52 Publié dans Astrologie - Astronomie, Magnétisme terrestre, Science | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |