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21/01/2011

L'origine du cosmos remise en cause, à lire dans Ciel et Espace de février

Et bien, il était temps qu'ils se réveillent les scientifiques sur ce point particulier de la soi-disant théorie du Big Bang.


1 - l'Univers est éternel,
2 - il est fait de pure énergie de lumière,
3 - l'énergie lumineuse est toujours en perpétuel mouvement et mutation, et
4 - ils se forment des Univers à chaque instant dans l'Univers.

Nous ne voyons pas en quoi la création de l'Univers ou de notre système solaire relèverait de l'école du mystère. Ce serait renier toutes les lois de la physique atomique.

Quand on a compris comment fonctionne une cellule et les phrases de son renouvellement, nous avons compris comment fonctionne le Cosmos.

l'univers avant le big bang

L’Univers est-il né ?

 

C'est un pavé qui fait des ronds dans la mare de la première “image” de l’Univers ! Il a été lancé par deux chercheurs, sous la forme d’un article non soumis à leurs pairs, où ils expliquent avoir découvert, dans la carte thermique des premiers temps du cosmos, de bien curieux cercles révélateurs d’événements ayant eu lieu “avant” le big bang… Cette carte, réalisée par le satellite américain WMAP, est une représentation de l’ensemble de la sphère céleste. Elle est comme l’échographie du “bébé Univers”. On y voit des couleurs, des irrégularités, la trame thermique de l’espace-temps telle qu’elle se dessinait 380 000 ans après LE mur sur lequel butent les scientifiques. Celui dit “de l’origine”.

 

Cette image est fort ésotérique pour le commun des mortels, mais l’on comprend qu’en montrant des grumeaux, lesquels correspondent à d’infimes variations de température, ces premières fluctuations du fond diffus cosmologique portent en germe l’architecture du monde actuel : de grandes structures filamenteuses d’amas de galaxies qui dessinent, sous l’influence des forces gravitationnelles, l’ossature d’une éponge. Nos deux astrophysiciens affirment que ces cercles sont les cicatrices de la fusion de trous noirs hypermassifs qui ont fait vibrer l’espace-temps comme la peau d’un tambour “avant” que celui-ci ne se contracte, puis explose lors du fameux big bang. Ils seraient les échos, dans la lumière fossile, d’événements antérieurs à la supposée “naissance” du monde. Disposerait-on, pour la toute première fois, de preuves observationnelles confirmant l’existence d’un Univers pré-big bang ? Doit-on abandonner l’idée d’un point initial, à partir duquel tout se serait développé, au profit d’une vision cyclique dans laquelle les univers se succèdent les uns aux autres après chaque big bang ?

 

Tel est le thème du passionnant dossier que vous lirez dans ce numéro. Il est fascinant et nous apprend à nous méfier des mots et de la façon dont nous les interprétons. Ainsi, le physicien Étienne Klein nous met en garde contre l’expression “big bang”. En rappelant qu’elle a été inventée pour se moquer de ce qui fait surgir du néant tout ce qui nous entoure, mais surtout “parce que l’instant zéro qui apparaît dans les équations est un instant fictif par lequel l’Univers n’est pas passé. Il n’y a pas eu de bang !”

 

Si les cosmologistes n’ont jamais cessé de préciser que le big bang n’était qu’un modèle, le meilleur dont ils disposent actuellement, ils ont aussi, petit à petit, laissé s’installer l’idée que son point de départ relevait plus sûrement du mystère que de la science. Qu’une barrière marquait la “singularité initiale” de ce modèle comme un horizon à jamais infranchissable. Un boulevard sur lequel le pape Benoît XVI s’est récemment engagé en affirmant que “l’Univers n’est pas le résultat de la chance, comme certains voudraient nous le faire croire”, mais que l’esprit de Dieu est bien derrière les théories scientifiques complexes comme… le big bang.

Il est plus que jamais utile de questionner les faits, la solidité des modèles, et rappeler les présupposés culturels qui orientent notre vision du monde. Bref, de revenir… aux origines.

Alain Cirou

Directeur de la rédaction

Ecouter le podcast Ombres et lumières sur l'origine de l'univers.

http://www.cieletespace.fr/editofevrier2011

 

14/01/2011

NASA Fermi Gamma-ray Space Telescope : découvre de l'antimatière dans les orages !

Des scientifiques utilisant le télescope Fermi de la Nasa ont détecté des faisceaux d'anti-matière produit au-dessus des orages sur la terre, un phénomène jamais vu avant.


Bizarre encore cette découverte...cela pourrait expliquer les étranges ORBS qui sont aperçus aux  sommets des orages et filmés par la Navette... l'Anti-Matière étant des plus énergétiques (100% de transformation en énergie pure.)

Les orages terrestres projettent de l'antimatière dans l'espace

Info rédaction, publiée le 12 janvier 2011
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Les orages terrestres projettent de l'antimatière dans l'espace

Une sonde de la Nasa a observé des projections d'antimatière dans l'espace lors d'orages se produisant sur Terre.

Nul besoin de regarder des films de science-fiction ou de chercher des phénomènes éloignés de plusieurs milliers d'années-lumière de notre système solaire pour trouver de l'antimatière. La Terre en produit également toute seule. En effet, une sonde de la Nasa, le Fermi Gamma-ray Space Telescope, a pu observer la formation d'un phénomène, appelé rayon gamma, au dessus des orages terrestres. Ce rayon gamma est la résultante d'une grande quantité d'électrons qui se déplacent au-dessus du nuage orageux et qui rencontrent des molécules dans l'air qui les transforment donc en rayon gamma.  

Lorsque ce rayon gamma est projeté vers le vide intersidéral, s'il rencontre un noyau atomique dans la haute atmosphère, il se forme alors un électron et son antimatière, un positron. Cette nuée d'électrons et de positrons va ensuite se perdre dans l'espace en suivant le champ magnétique terrestre. Micheal Briggs, membre de l’équipe du Fermi Gamma-ray Burst Monitor à l’Université de l’Alabama, a ainsi présenté cette étude lors de la réunion du 10 janvier de l’American Astronomical Society à Seattle. Selon lui, "ces signaux sont la première preuve directe que les orages créent des faisceaux de particules d’antimatière" et pourraient surtout éclairer la vieille théorie selon laquelle il existe un univers d'antimatière tout à côté du notre...

http://www.maxisciences.com/orage/les-orages-terrestres-p...

De l’antimatière dans les orages

Grace au satellite Fermi, les chercheurs de la Nasa ont détecté de faisceaux d'antimatière produits au-dessus des orages sur la Terre, un phénomène jamais vu auparavant.

Position de Fermi par rapport aux flashs observés Nasa
Position de Fermi par rapport aux flashs observés Nasa

« En orbite, en moins de trois ans, la mission Fermi s'est révélée être un formidable outil pour sonder l'univers. Nous apprenons maintenant qu'elle peut découvrir des mystères beaucoup, beaucoup plus proche de chez nous » s’enthousiasme Ilana Harrus, scientifique chargée du programme Fermi, au siège de la NASA à Washington.

Le satellite a été conçu pour observer les rayons gamma, la forme la plus énergétique de la lumière. Ils peuvent être produits lors de phénomènes astronomiques violents comme les supernovæ ou lors de l’annihilation d’une paire de particule/antiparticule, lorsqu’un électron rencontre un positron par exemple. Dans ce dernier cas, le rayonnement gamma a une énergie déterminée de 511 000 électronvolts, 511 Kev.

C’est exactement de tels rayonnements que le télescope Fermi a capté en provenance de la Terre. En tout depuis son lancement 130 flashes, d’une durée d’environ une milliseconde, de rayonnement gamma terrestre (TGF) ont été identifié. Les scientifiques pensent cependant qu’il  s’en produirait environ 500 par jour. La plupart du temps au-dessus des orages, en effet ce phénomène semble lié à la foudre.

Dans quatre cas pourtant les rayons gamma ont été détectés alors que le télescope ne se trouvait pas à proximité d’un orage. Au cours d'un TGF, qui a eu lieu le 14 décembre 2009, Fermi était ainsi situé au-dessus de l'Egypte tandis que la tempête était active en Zambie, à plusieurs milliers de kilomètres de là. L'orage lointain était sous l'horizon de Fermi, de sorte que les rayons gamma éventuellement produits n’auraient pas pu être détectés.

Pour les chercheurs, dont les résultats sont publiés dans la revue Geophysical research Letters, le rayonnement gamma enregistré a été produit au niveau du télescope lui-même quand un  jet d’antimatière guidé par une ligne du champ magnétique terrestre a heurté la matière de l’objet, provoquant la réaction classique d’annihilation des couples électrons/positrons et l’émission de rayons gamma. C’est la première fois que l’on prouve que des rayons d’antimatière sont émis depuis la Terre.

L’antimatière demeure un des grands mystères de la science. Lors du Big-Bang, matière et antimatière ont théoriquement été produites en quantité égale, or l’univers se compose uniquement de matière et l’antimatière semble avoir disparu. Pour découvrir ce qu’il est advenu de l’antimatière, les scientifiques mènent diverses expériences qui ont pour but de déterminer si une infime différence entre les propriétés de la matière et celles de l’antimatière pourrait apporter un début d’explication.

Tout récemment au Cern, des chercheurs sont ainsi parvenus à capturer 38 atomes d’antihydrogène, Sciences et Avenir publie d’ailleurs, dans son numéro de janvier, un reportage sur cet exploit scientifique.

Flash de rayon gamma terrestre

http://www.dailymotion.com/video/xgix8d_flash-de-rayon-gamma-terrestre_tech

 

J.I. 
Sciences et Avenir.fr

12/01/2011



Traduction Google de l'article orginal sur la NASA
De l'antimatière dans les orages

11 janvier 2011:  Les scientifiques de la NASA de Fermi Gamma-ray Space Telescope ont détecté de faisceaux d'antimatière produite au-dessus des orages sur la Terre, un phénomène jamais vu auparavant.

Les scientifiques pensent que les particules d'antimatière ont été formées à l'intérieur des orages dans un flash terrestres de rayons gamma (TGF) associés à la foudre. Il est estimé qu'environ 500 TGF se produisent quotidiennement dans le monde entier, mais la plupart passent inaperçus.

"Ces signaux sont la première preuve directe que les orages de l'antimatière faisceaux de particules", a déclaré Michael Briggs, un membre de Fermi Gamma-ray Burst Monitor (GBM) équipe de l'Université d'Alabama à Huntsville (UAH). Il a présenté les conclusions lundi, au cours d'un point de nouvelles lors de la réunion de l'American Astronomical Society à Seattle.

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Un artiste concept d'antimatière pulvérisation-dessus d'un thunderhead

 
Fermi Sees Antimatter-Hurling Thunderstorms
  
NASA Fermi Gamma-ray Space Telescope a détecté de faisceaux d'antimatière lancé par des orages. Agissant comme des accélérateurs de particules énormes, les tempêtes peuvent émettre des bouffées de rayons gamma, appelé TGF, et d'électrons de haute énergie et des positrons. Les scientifiques pensent maintenant que la plupart des TGF produire des faisceaux de particules et de l'antimatière.

Fermi est conçu pour surveiller les rayons gamma, la forme la plus haute énergie de la lumière. Lorsque l'antimatière entre en collision suppression de Fermi avec une particule de matière normale, les deux particules sont annihilées immédiatement et se transforme en rayons gamma. Le GBM a détecté des rayons gamma d'énergies de 511.000 électron-volts, un signal indiquant un électron a rencontré son homologue de l'antimatière, un positron.

Bien que GBM Fermi est conçu pour observer les événements de haute énergie dans l'univers, c'est aussi fournir des informations précieuses sur cet étrange phénomène. Le GBM surveille en permanence l'ensemble du ciel céleste au-dessus et de la Terre ci-dessous. L'équipe GBM a identifié 130 TGF depuis le lancement de Fermi en 2008.

"En orbite à moins de trois ans, la mission Fermi s'est révélé être un formidable outil pour sonder l'univers. Nous apprenons maintenant qu'il peut découvrir des mystères beaucoup, beaucoup plus proche de la maison, dit Ilana Harrus, scientifique de programme au siège de la NASA Fermi à Washington.

 

Le vaisseau était situé immédiatement au-dessus d'un orage pour la plupart des TGF observés, mais dans quatre cas, les tempêtes ont été loin de Fermi. En outre, les signaux radio ultra-généré détecté par un réseau mondial de surveillance a indiqué que la foudre était à l'époque des centaines ou plusieurs miles. Au cours d'une TGF, qui a eu lieu le 14 décembre 2009, Fermi a été situé sur l'Egypte. Mais la tempête a été active en Zambie, quelques miles au sud 2800.L'orage lointain était sous l'horizon de Fermi, de sorte que toute les rayons gamma a produit n'aurait pas pu être détecté.

«Même si Fermi ne pouvait pas voir la tempête, le vaisseau spatial était néanmoins magnétique relié à elle», a déclaré Joseph Dwyer au Florida Institute of Technology à Melbourne, en Floride "Le TGF produit des électrons à haute vitesse et des positons, qui a ensuite roulé jusqu'à le champ magnétique terrestre à la grève le vaisseau spatial. "

Le faisceau poursuivre au-delà de Fermi, est parvenu à un endroit, connu comme point de miroir, où son mouvement a été inversé, puis cliquez sur le satellite une seconde fois à peine 23 millisecondes plus tard. Chaque fois que, dans le faisceau de positrons est entré en collision avec des électrons dans le vaisseau spatial. Les particules s'annihilent, émettant des rayons gamma détectés par GBM de Fermi.

Les scientifiques ont longtemps soupçonné TGFs découler de l'puissants champs électriques près de la cime des orages. Dans de bonnes conditions, disent-ils, le champ devient assez fort qu'il entraîne une avalanche d'électrons vers le haut. Atteindre des vitesses presque aussi rapide que la lumière, les électrons de haute énergie des rayons gamma quand ils sont déviés par les molécules d'air.Normalement, ces rayons gamma sont détectés en tant que TGF.

 

Thunderstorms Make Antimatter (Egypt, 200px)Fermi au dessus de l'Egypte le 14 décembre 2009, quand une rafale de positrons est née d'un orage en Afrique

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Voir les trois étapes orages doivent prendre afin de produire des éclats de l'anti-matière
 
Mais les électrons produisent des rayons gamma en cascade tant que les électrons et les positrons de souffle, ils clairement hors de l'atmosphère. Cela se produit lorsque l'énergie des rayons gamma se transforme en une paire de particules: un électron et un positron. Ce sont ces particules qui atteignent l'orbite de Fermi.

La détection de positrons montre de nombreuses particules de haute énergie sont éjectés dans l'atmosphère. En fait, les scientifiques pensent maintenant que tous les électrons émettent TGF / positron poutres. Un document sur les résultats a été accepté pour publication dans Geophysical Research Letters.

"Les résultats de Fermi nous mettre un peu plus près pour comprendre comment TGFs travail», a déclaré Steven Cummer à l'Université Duke. «Nous avons encore à comprendre ce qui est spécial à propos de ces orages et la foudre rôle précis joue dans le processus."


 Rédacteur en chef: Dr Tony Phillips | Crédit: Science @ NASA

Découverte scientifique : Des dispositifs électroniques "fabuleux" ?

PARIS (AFP) - Une découverte fortuite fait rêver à des dispositifs électroniques "fabuleux"

Circuits transparents sur la surface de cellules solaires et autres dispositifs électroniques "fabuleux" pourraient résulter d'une découverte inattendue permettant de rendre conducteur d'électricité un matériau transparent et isolant.

Le procédé permet d'obtenir un matériau aussi transparent qu'une vitre, ayant des propriétés optiques proches de celle du diamant, sur lequel on peut faire passer un courant électrique. "Ca pourrait faire des dispositifs fabuleux en électronique", laisse entrevoir Andrès Santander, principal auteur de l'étude publiée jeudi dans la revue scientifique Nature.

A l'instar de celle du graphène récompensée l'an dernier par le prix Nobel de physique, cette découverte est le fruit du hasard.

Des chercheurs français du CNRS et de l'université de Paris-Sud ont trouvé comment créer une couche conductrice à la surface d'un matériau isolant et transparent, en étudiant les propriétés du titanate de strontium, jugé important pour la micro-électronique du futur.

Ce matériau constitué de titane, de strontium et d'oxygène (SrTiO3) "joue aujourd'hui le rôle que le silicium a joué pour le développement de l'électronique conventionnelle", souligne M. Santander.

Lorsque les chercheurs ont cassé sous vide un cristal de titanate strontium, ils ont eu une surprise: un phénomène inattendu est apparu à la surface interne, n'ayant jamais été en contact avec l'air, des deux morceaux obtenus.

"Au début, on ne comprenait pas ce qui se passait", raconte M. Santander. Des atomes d'oxygène sont partis de la surface fracturée, laissant une couche ultrafine (deux nanomètres ou milliardièmes de mètre) d'électrons à la surface du matériau étudié.

Cette fine couche électronique s'avère un très bon conducteur d'électricité, précise M. Santander. De plus, à cette échelle de quelques nanomètres, "on rentre dans le monde quantique", ouvrant tout un éventail de possibilités nouvelles, tient-il à ajouter.

"Cette découverte montre bien l'importance de la recherche fondamentale", en laissant les scientifiques "réfléchir librement", y compris pour trouver ce à quoi on ne s'attend pas, met en avant M. Santander.

Dans un commentaire publié dans la revue Nature, Elio Dagotto (Université du Tenessee, Etat-Unis) fait un parallèle avec la découverte du graphène. Les chercheurs d'origine russe Andre Geim et Konstantin Novoselov avaient découvert par hasard ce nouveau matériau révolutionnaire en utilisant seulement ruban adhésif et mine de crayon.

http://www.la-croix.com/afp.static/pages/110113180403.hfr...

 

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Montagnier et la téléportation quantique de l’ADN

http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2010/09/11/l-homme-superlumineux-par-le-pr-regis-dutheil.html

Le Dr Luc Montagnier et cinq autres chercheurs ont publié le 23 décembre 2010 un papier intitulé “DNA waves and water” (http://arxiv.org/PS_cache/arxiv/pdf/1012/1012.5166v1.pdf) dont je vous propose la traduction suivante de l’abstract: Certaines séquences bactérienne et d’ADN virale induisent des ondes électromagnétiques de basse fréquence dans des hautes dilution aqueuses. Ce phénomène semble être démarré par le bruit de fond électromagnétique ambiant à très basse fréquence. Nous interprétons ce phénomène dans le cadre de la théorie quantique des champs. Le phénomène concerné pourrait permettre de développer des systèmes de détection extrêmement sensibles pour les infections chroniques bactérienne et virales (1).

Du point de vue de l’establishment médico-scientifique, le Dr Montagnier c’est Dr Jekill et Mr Hyde. Il est d’une part une sommité titulaire du prix Nobel de médecine de 2008 pour ses travaux sur le vih (dossier qui ne nous concerne pas ici mais que je traite régulièrement dans ce blog), et d’autre part il dit découvrir des phénomènes qui au mieux en font un disciple de Jacques Benveniste (chercheur génial mais trop dangereux pour l’establishment et Big Pharma qui réussirent à le discréditer), au pire un électron libre. Liberté que l’on retrouve notamment dans cette fameuse entrevue de Luc Montagnier à propos de nos capacités de résistance au vih, mais revenons-en à notre sujet. 

En clair, le Dr Montagnier dit que des ondes de très basse fréquence (7 Hz) semblent imprimer à l’eau du récipient B (100% pure) une image de fragments d’ADN contenu dans le récipient A, et que l’amplification par PCR de cette image recrée en vrai ces mêmes fragments d’ADN. Succinctement, la technique PCR (Polymerase Chain reaction) utilise des enzymes qui recopient des millions de fois les traces ADN de départ, d’ou un effet grossissant permettant de voir la structure originelle – une loupe biologique en quelque sorte. Dans l’expérience qui nous concerne ici, il semble que les enzymes perçoivent l’image de l’ADN comme étant une réelle ADN, et en font des – réelles – copies.

Ce dessin issu de l’article du NewScientist sur cette affaire illustre bien le processus:

What Montagnier claims

Les réactions à cette communication (qui n’est pas encore parue dans une revue à comité de lecture) sont évidemment variées, souvent critiques car le résultat est hors norme et rappelle bien trop, sans doute, l’affaire Benveniste. Néanmoins, pour le chimiste Jeff Reimers de l’Université de Sydney par exemple, “si ces résultats sont corrects, cette expérience serait la plus significative depuis 90 ans, imposant une réévaluation complète du cadre conceptuel de la chimie moderne”. Un autre poids lourd de la “biologie quantique”, Greg Scholes de l’Université de Toronto au Canada et crédité de la démonstration d’effets quantiques au sein des plantes, dit que “ces expériences biologiques sont intrigantes, et je ne les balaierais pas si vite”.  Le consensus actuel semble être qu’il faut investiguer plus avant cette recherche, et l’un des membres de l’équipe de Montagnier, le physicien Guiseppe Vitello de l’Université de Salerme en Italie, y croit et encourage d’autres équipes à essayer de reproduire ces résultats. D’autant que Luc Montagnier n’en est pas à son coup d’essai dans ce domaine, ayant publié l’an dernier un papier dans lequel il décrit la capacité de fragments d’ADN et de bactéries à émettre de faibles champs électromagnétiques et à se “régénérer” au sein de cellules non infectées.

L’équipe propose une explication du phénomène observé en termes quantiques, en utilisant la théorie quantique des champs sur laquelle je ne m’attarderai pas mais qui semble être en mesure d’expliquer qualitativement ce mécanisme de téléportation.

En termes d’application, les chercheurs font remarquer qu’il est possible de détecter les mêmes ondes électromagnétiques en provenance de plasma de personnes souffrant d’infections variées et de maladies chroniques même non infectieuses telles Alzheimer, Parkinson, MS – ce qui laisse penser que ces maladies ont également une origine virale ou bactérienne.

La fin de l’article est particulièrement intéressante car elle fait référence au vih – comme quoi mon aparté ci-dessus n’étais pas innocent. Le paragraphe débute par “Le vih est un cas spécial: des signaux émanant de séquences ADN du vih sont régulièrement détectés chez des patients sous antiviraux et exempts de traces virales dans le sang. Ceci indique que cette ADN provient d’un réservoir inaccessible au traitement antiviral classique. De plus, non seulement le plasma mais également les globules rouges des patients émettent ces signaux (d’ADN du vih) alors même que ces globules ne contiennent aucune séquence ADN correspondante, et que le virus ne s’attache pas aux membranes erythrocytes… on a proposé l’hypothèse que c’est le traitement antiviral lui-même qui engendre une nouvelle méthode de réplication de l’ADN du virus… Concernant l’ADN M. piram , il est suggéré que les fragments d’ADN du vih ainsi que leur nanostructures présentes dans le sang n’ont pas pour origine la division cellulaire (cell lysis) mais, au contraire, représentent des élements de taille finie capable de recombinaison au sein des lymphocytes pour former des séquences ADN complètes et finalement régénérer le virus infectieux.”

Vision cauchemardesque s’il en est: un virus infectieux capable d’apparaître ex nihilo à partir de fragments d’ADN dispersés, en utilisant comme schéma de montage un fond d’ondes électromagnétiques dont la source reste inconnue mais qui pourrait être le traitement lui-même. Soit.

Evidemment il existe une explication beaucoup plus simple, à savoir que ce virus n’existe tout simplement pas et que tout ce que l’on mesure sont des artéfacts biologiques sans conséquences, la maladie elle-même (le Sida) étant le fruit d’autres facteurs liés au style de vie ou à l’environnement (notamment en Afrique: manque d’eau propre, manque de nourriture, manque de soins) ou encore aux traitements antiviraux eux-mêmes. Malheureusement cette hypothèse n’est pas recevable par l’establishment, alors même qu’elle est défendue par des gens compétents depuis 15 ans. Comme le disait  Luc Montagnier lui-même en parlant d’une approche sanitaire plutôt que médicamenteuse dans le combat contre le Sida: “there is no profit”.

(1) Texte d’origine: Some bacterial and viral DNA sequences have been found to induce low frequencyelectromagnetic waves in high aqueous dilutions. This phenomenon appears to be triggered bythe ambient electromagnetic background of very low frequency. We discuss this phenomenonin the framework of quantum field theory. A scheme able to account for the observations isproposed. The reported phenomenon could allow to develop highly sensitive detection systemsfor chronic bacterial and viral infections.

http://rhubarbe.net/blog/2011/01/12/montagnier-et-la-tele...


13/11/2010

NASA : une annonce de conférence de presse pour le 15 novembre

Pour la découverte d'un objet exceptionnel dans notre voisinage cosmique avec l'observatoire Chandra aux Rayons X ! On voit que 2012 approche !

Il y a quelques jours c'était des découvertes avec le télescope spatial Fermi, maintenant c'est avec Chandra !

Et toujours ce phénomène double !
Les Univers gémellaires seraient-ils en train de fusionner et d'ascensionner ?


Apparemment la NASA ne comprend pas ce nouveau phénomène magnétique !

Dieu leur fait une farce, il change les données quand il veut !


What Lies Beneath ? Magnetar Enigma Deepens
http://chandra.harvard.edu/photo/2010/sgr0418/
  
  
NASA Announces Televised Chandra News Conference
  
  
AVIS AUX MÉDIAS : M10-157
 
  
La NASA annonce une conférence de presse télévisée sur le Chandra-Ray
 
  
WASHINGTON--La NASA tiendra une conférence de presse à 12 h 30 HNE le lundi 15 novembre, afin de discuter de découverte par l'Observatoire des rayons X Chandra d'un objet exceptionnel dans notre voisinage cosmique.

La Conférence de presse sera produite à partir du studio de télévision de la NASA siège, 300 E St SW à Washington et transmise en direct à la télévision de la NASA.

Les représentants des médias peuvent assister à la Conférence, nous joindre par téléphone ou poser des questions d'endroits participants de la NASA. Pour confirmer ou obtenir des informations de connexion, les journalistes doivent envoyer leur nom, affiliation et numéro de téléphone à Trent Perrotto à: trent.j.perrotto@nasa.gov par 10 h EST le 15 novembre. Les journalistes qui souhaitent assister à la Conférence en personne doivent avoir une information d'identification valide de presse pour l'accès. Aussi les médias non-américains doivent apporter des passeports.

Les scientifiques participant à la recherche seront disponibles pour répondre aux questions. Le panel des scientifiques offrant une analyse de la recherche sont les suivants :
-Jon Morse, directeur, Division de l'astrophysique, siège de la NASA à Washington
-Kimberly Weaver, astrophysicien, Goddard Space Flight Center de la NASA, Greenbelt, MD.
-Alex Filippenko, astrophysicien, Université de Californie, Berkeley

Pour la NASA TV en flux continu de la vidéo, de liaison et de plus amples renseignements, visitez :

http://www.NASA.gov/NTV


Pour plus d'informations sur l'Observatoire de diffraction des rayons x de la NASA Chandra, visitez :

http://www.NASA.gov/Chandra


http://Chandra.Harvard.edu