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19/12/2012

LHC : Boson de Higgs ou particule Divine. Quand les Dieux bluffent la communauté scientifique internationale !

Rions un peu !

Quand les Dieux bluffent et font une belle farce à la communauté scientifique internationale qui est déstabilisée parce qu'au lieu d'avoir trouvé "une unique particule Divine", elle en a trouvé "deux " après duplication de la première !


Que ça ? Deux ?

Et pourquoi ne rechercher qu'une unique particule Divine ou même deux ?

L'UNI-VERS ne serait-il composé que d'une unique particule Divine lorsque nous savons que nous avons aussi une Mère Divine ?


Le fait d'avoir trouvé "deux particules divines" remettrait en cause,  pauvres petits choux, leur intelligence, heu... non, deux théories scientifiques, qui ne sont que des théories ou de vagues approximations auxquelles il faut qu'ils s'accrochent bien évidemment, au risque de voir leurs dogmes scientifiques et leur science sans conscience, s'écrouler complètement. Ce qui ne devrait pas tarder du reste et nous verrons ce qu'ils feront de leurs titres ronflants et de leurs belles théories à ce moment-là.


Et bien sûr comme ils ont oublié  :

1 - que l'Univers est fractal. Comportement de l'Univers Fractal. En conséquence de quoi tout ce qui EST en HAUT (dans le macrocosme ou l'Univers) EST comme tout ce qui EST en BAS (dans le microcosme - la cellule). En vertu de quoi si nos propres cellules se dupliquent elles-mêmes, les cellules Divines se dupliquent aussi dans l'Univers.


2 - que l'Univers des Dieux est "UN" grand ensemble dont nous faisons tous partie en tant qu'enfants des Dieux.


C'est cette UNI-TE dont nous devons prendre conscience prochainement.

Chac-UN de nous est donc une particule Divine à part entière.


Aussi, les religieux aussi bien que les scientifiques nous font bien rire, lorsqu'ils ont la prétention de nous faire trouver Dieu dans les églises ou la particule Divine dans les accélérateurs de particules nucléaires, quand la Terre a été ensemencée par nos parents Divins par près de 8 milliards d'êtres humains qui sont tous des particules Divines. Sans compter tout ce qui y vit, dont l'air, l'eau, les minéraux, les oligo-éléments, les vitamines, les acides gras essentiels, les acides aminés, tous les végétaux et les animaux.


Ce qui porte à quelques milliards, le nombre de particules Divines disséminées sur Terre et dans l'Univers, avec les étoiles ou soleils, les planètes, les comètes, etc...  

Et ils ne voudraient trouver qu'une UNIQUE particule divine,  quand eux-mêmes sont déjà des particules divines ?


Alors oui, ils ont d' "ENORMES PROBLEMES A REGLER" qui ne sont pas ceux  de la physique temporelle, ni de dogmes scientifiques erronés, ni d'une ou de deux particules divines, mais avec ceux : 


1 - de leur reniement à reconnaître "ETRE" une particule Divine et d'appartenir à un TOUT et à UN-ENSEMBLE,


2 - de l'intime conviction et de la FOI indéfectible contenue dans notre ADN-Humain/Divin, que nous appartenons à une seule et grande famille universelle,
 et,

3 -  qu'il faut qu'ils aillent rechercher leurs parents Divins,
en eux-mêmes et non pas à l'extérieur d'eux-mêmes, comme les religieux et les scientifiques sans conscience, nous poussent depuis des millénaires à le faire au lieu de nous avoir appris que nous avons nos gènes Divins en Nous.


Nous n'avons donc pas besoin d'eux pour amuser la galerie ou pour nous détourner de notre patrimoine génétique Divin, avec leurs soi-disant recherches religieuses ou scientifiques, qui n'ont pas servi à faire grandir l'Humanité depuis des millénaires ni à la faire progresser vers l'essentiel : la connaissance de soi, la reconnaissance de l'existence de nos parents Divins en nous et notre appartenance à une grande famille UNI-VERS-ELLE.
 
Pour l'instant nos Parents Divins doivent bien s'amuser et nous aussi du reste, avec la perplexité de la communauté scientifique internationale qui se trouve bien empêtrée avec "deux particules Divines" alors qu'il en existe des milliards sur Terre et dans tout l'Univers !
 
Nous rigolons par avance lorsqu'ils se rendront compte, alors qu'ils recherchaient "une unique particule Divine" qu'ils sont eux aussi des particules Divines à part entière.

Pourquoi aller chercher si loin, ce qu'ils ont déjà sous le nez ?

Ils nous auront bien fait rire quand même !

Le CERN n'aurait pas découvert un mais deux bosons de Higgs

Publié le 17 décembre 2012 par Maxime Lambert

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Alors que les scientifiques du CERN de Genève étaient en passe de mettre la main sur le fameux boson de Higgs, celui-ci se serait dédoublé de façon parfaitement inattendue. Les résultats de l’expérience Atlas font état non plus de "un" mais "de deux bosons de Higgs". (NDR : et la duplication cellulaire, ils ne la connaissent pas non plus ?)

C'est un virage totalement inattendu qu'a pris la quête du si mystérieux boson de Higgs. En effet, début juillet, les physiciens du CERN à Genève ont annoncé qu'ils avaient identifié une nouvelle particule et que celle-ci pourrait bien être le boson de Higgs, dont l'existence a été prédite il y a plus de 45 ans par le scientifique Peter Higgs. L'annonce de la découverte avait ainsi créé un véritable vent d'enthousiasme parmi les scientifiques.

Mais la semaine dernière, c'est un résultat bien plus étrange qu'ont dévoilé les résultats de l’expérience Atlas menée au CERN. Ce n'est plus un mais deux bosons de Higgs qui auraient été découverts grâce aux désintégrations engendrées par les collisions de particules à l’intérieur de l’accélérateur LHC. En vérité, ce dédoublement inquiétant daterait même de mai 2012 mais jusqu'ici les scientifiques n'en auraient pas fait clairement état. D'après les résultats, il n’y aurait donc non pas une seule particule de masse d’environ 125 gigaélectronvolts (GeV), mais deux avec des masses de 123,5 GeV et 126,6 GeV.

Or, cette différence de 3 GeV pose un sérieux problème aux physiciens. Elle est en effet trop petite pour qu’il s’agisse de deux particules très différentes, mais également trop grande pour être due à des erreurs de calcul, comme le souligne le blog de Slate.fr, Globule et télescope. Plus sérieux encore, tous les efforts des scientifiques menés pour gommer cette aberration n’auraient rien donné. Sauf que les chercheurs de l'autre expérience du CERN, CMS, n'ont eux détecté la trace que d'un seul boson de masse environ égale à 126 GeV.

L'apparition d'une seconde particule pose problème

Ce dédoublement pose donc de nombreuses questions. D'autant plus que l’apparition d’une seconde particule au lieu d’un seul boson de Higgs poserait un sérieux problème car elle est capable de remettre cause pas moins de deux théories en physique : d'une part, le modèle standard, pour lequel le boson de Higgs a été imaginé et qui serait conforté par la découverte de ce dernier. Et d'autres part, la supersymétrie qui, si elle "prévoit plusieurs Higgs, n’envisage pas qu’ils soient si proches en masse" comme l’explique un physicien du CEA interrogé par Globule et télescope.

Il faudra donc attendre encore plusieurs mois, jusqu’en mars 2013, pour en savoir un peu plus sur le boson. En effet, c'est à cette période là que les scientifiques du CERN feront une nouvelle mise à jour et présenteront les dernières données obtenues dans la quête de la mystérieuse particule. (NDR : Oui attendons qu'ils continuent à se couvrir de redicule !).

http://www.maxisciences.com/boson-de-higgs/le-cern-n-039-aurait-pas-decouvert-un-mais-deux-bosons-de-higgs_art27994.html

 

08/12/2012

CERN : Le LHC s'invite à la semaine du 17 et le 21 décembre 2012... la fin du calendrier Maya

Peut-être ne le savez-vous pas, mais il semblerait que le CERN ait programmé de faire des expériences  sur l'anti-matière avec le LHC durant la semaine s'étalant du lundi 17 au 21 décembre 2012.

Quels sont leurs intérêts de procéder à ces expériences juste à ces dates ?

Le LHC sera ensuite arrêté jusqu'en 2014. Nous n'avons pas pu trouver cette information dans la presse française ni européenne, seulement quelques liens en anglais.

Nous n'avons pas pu trouver cette information dans la presse française ni européenne, seulement quelques liens en anglais.

Curieux n'est-ce pas ? Informations censurées ?

C'est très bien qu'ils continuent comme cela, plus ils jouent à Dieu en touchant aux énergies quantiques et plus ils précipitent notre ascension.

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Le CERN, grand collisionneur de hadrons, procédera à de nouveaux tests sur l'anti-matière entre le 17 et le 21 décembre 2012...

* Des scientifiques ont sévèrement dénoncé les expérimentations du CERN parce qu'elles pourraient causer un accident quantique incommensurable. 

Cette année, le CERN a commencé une autre série d'expériences dans l'espoir de recréer les réactions atomiques capables de reproduire les conditions du Big Bang.  Du moins, c'est la version officielle!  Les scientifiques du CERN ont annoncé les dates des tests pour le reste de l'année et à compter du lundi 17 décembre 2012 jusqu'au vendredi 21 décembre, le CERN va lancer une série de collisions qui ont pour but de battre des records de collisions à haute tension. Grâce à ces expériences, les scientifiques espèrent obtenir de plus amples informations à propos de l'anti-matière et du Big Bang.

L'opération de la semaine du 17 au 21 décembre 2012 mènera ses derniers essais avant la fermeture du collisionneur pour des mises à niveau.

 Sa réouverture est prévue pour 2014.

Sources:

CERN’s Upcoming Test Schedule Coincides with Mayan Calendar
http://www.categorists.com/2012/04/01/cern-announces-upcoming-test-schedule-coincides-with-mayan-calendar/

http://www.popsci.com/science/article/2011-01/cern-decides-keep-lhc-running-through-2012-hoping-find-elusive-higgs-particle

Source : http://conscience-du-peuple.blogspot.fr/2012/12/le-cern-grand-collisionneur-de-hadrons.html

30/11/2012

Mercure, une découverte qui met un terme à un doute avec notre planète !

La Terre aurait-elle changé son axe de rotation pour que nos banquises fondent ?

C'est ce que nous pourrions en déduire à la lecture de l'article ci-
dessous relatif aux pôles de la planète Mercure.

Mercure, une découverte qui met un terme à un doute avec notre planète !

 

Voici ce qui était lisible ce matin dans la presse.

Sur Mercure, la  glace y est abondante, malgré qu’elle soit la planète la plus proche du soleil, ont confirmé jeudi les dernières observations et mesures de la sonde américaine Messenger.

« Ces nouvelles données indiquent que la glace d’eau se trouvant dans les régions polaires de Mercure atteindrait plus de trois kilomètres d’épaisseur si elle était étendue sur une superficie de la taille de Washington DC, à savoir 117 km2″, explique David Lawrence, un des scientifiques de la mission Messenger au laboratoire de physique appliquée de l’Université Johns Hopkins à Laurel (Maryland, est). Il est le principal auteur de l’une des trois études sur cette découverte publiées jeudi dans la revue américaine Science.

Etant donné sa proximité du soleil, Mercure, où la température moyenne est de 169 degrés, paraît être le dernier endroit où trouver de la glace. Mais l’inclinaison de seulement un degré de son axe de rotation fait que des zones de la planète aux pôles, où les températures sont très froides, ne voient jamais le soleil, expliquent ces scientifiques.

L’hypothèse de la présence d’eau gelée sur Mercure a été avancée il y a plusieurs décennies et avait été confortée en 1991 avec la détection par le radio télescope Arecibo à Porto Rico de plaques aux pôles de la planète. Un grand nombre de ces plaques correspondaient à l’emplacement de vastes cratères d’impact cartographiés par la sonde américaine Mariner 10 dans les années 1970.

Donc :

A lire le passage concernant l’inclinaison, il n’y a plus de doute quant à  la fonte de nos glaces polaires,  cela confirmerait donc implicitement que l’axe de rotation de la Terre, aurait bien changé.

http://lesmoutonsenrages.fr/2012/11/30/mercure-une-decouv...

09/11/2012

LE SAUT QUANTIQUE : La Magie du Cosmos - Episode 3

A voir pour notre prochain saut quantique !

Pour voir les précédents épisodes voir les liens ci-dessous :

L'ILLUSION DU TEMPS - La Magie du Cosmos - Episode 1

LA MAGIE DU COSMOS : Qu'est-ce que l'espace ? Episode 2

 

Le saut quantique, est un documentaire scientifique (0h52) de la série La Magie du Cosmos diffusée sur Arte, qui s'intéresse à la physique quantique, un des domaines complexes de la science, évoqué par le physicien Brian Greene. Épisode 3 sur 4.

LE SAUT QUANTIQUE : La Magie du Cosmos

 

La mécanique quantique est la branche de la physique qui a pour but d'étudier et de décrire les phénomènes fondamentaux à l'œuvre dans les systèmes physiques, plus particulièrement à l'échelle atomique et subatomique. C'est aussi la partie de la physique où apparaît la constante de Planck. Elle fut développée au début du XXe siècle par une dizaine de physiciens américains et européens, afin de résoudre différents problèmes que la physique classique échouait à expliquer, comme le rayonnement du corps noir, l'effet photo-électrique, ou l'existence des raies spectrales.

Au cours de ce développement, la mécanique quantique se révéla être très féconde en résultats et en applications diverses. Elle permit notamment d'élucider le mystère de la structure de l'atome, et plus globalement elle s'avéra être le cadre général de description du comportement des particules élémentaires, jusqu'à constituer le socle de la physique moderne.


La mécanique quantique comporte de profondes difficultés conceptuelles, et son interprétation physique ne fait pas encore l'unanimité dans la communauté scientifique. Parmi ces concepts, on peut citer la dualité onde corpuscule, la superposition quantique, l'intrication quantique ou encore la non-localité.
Globalement, la mécanique quantique se démarque de la physique classique par deux aspects : Des règles différentes quant à l'additivité des probabilités, et l'existence de grandeurs physiques ne pouvant se manifester que par multiples de quantités fixes, appelés quantas, qui donnent leur nom à la théorie.


La physique quantique est l'appellation générale d'un ensemble de théories physiques qui, comme la théorie de la relativité, marquent une rupture avec ce que l'on appelle maintenant la physique classique, l'ensemble des théories et principes physiques admis au XIXe siècle.
Les théories dites "quantiques" décrivent le comportement des atomes et des particules, ce que, notamment, la mécanique Newtonienne et la théorie électromagnétique de Maxwell, n'avaient pu faire, et permettent d'élucider certaines propriétés du rayonnement électromagnétique.
La physique quantique heurte le sens commun à plusieurs égards. Sa description du monde microscopique, radicalement nouvelle, s'appuie sur de nouveaux postulats.


Cette science a apporté une révolution conceptuelle ayant des répercussions jusqu'en philosophie, comme la remise en cause du déterminisme, et en littérature. Elle a permis nombre d'applications technologiques : Énergie nucléaire, imagerie médicale par résonance magnétique nucléaire, diode, transistor, microscope électronique et laser.
Un siècle après sa conception, elle est abondamment utilisée dans la recherche en chimie théorique-quantique, ainsi qu'en physique, c'est-à-dire mécanique quantique, théorie quantique des champs, physique de la matière condensée, physique nucléaire, physique des particules, physique statistique quantique, astrophysique, gravité quantique, aussi en mathématiques avec la formalisation de la théorie des champs, et récemment, en informatique, avec l'ordinateur quantique et la cryptographie quantique.


Elle est considérée avec la relativité générale d'Einstein comme l'une des deux théories majeures du XXe siècle. Cependant, la physique quantique est connue pour nécessiter un formalisme mathématique ardu. Feynman, l'un des plus grands théoriciens spécialistes de la physique quantique de la seconde moitié du XXe siècle, a ainsi écrit : "Personne ne comprend vraiment la physique quantique."
La raison principale de ces difficultés est que le monde de l'infiniment petit se comporte très différemment de l'environnement macroscopique auquel nous sommes habitués.


Dans ce troisième épisode, Brian Greene nous emmène à la découverte de la physique quantique, qui régit l'univers à l'échelle de l'infiniment petit. Il y a un siècle, quand cette théorie fut élaborée, les plus grands esprits, comme Albert Einstein, Niels Bohr et d'autres, s'affrontaient pour l'âme de la physique. Pourquoi les règles du monde quantique, qui semblent si bien décrire le comportement des atomes et leurs composants, sont-elles si différentes de celles qui s'appliquent aux individus, aux planètes et aux galaxies ?

Aujourd'hui encore, le débat autour de l'impact de la mécanique quantique sur la véritable nature de la réalité, fait rage.



- La série La Magie du Cosmos :

L'ILLUSION DU TEMPS

QU'EST-CE QUE L'ESPACE ?



- Voir aussi :

THEORIE DES CORDES

EQUATION DE DIRAC

LA PHYSIQUE QUANTIQUE : Jean-Jacques Crèvecoeur

LE VIDE QUANTIQUE, SOURCE D’ÉNERGIE

 

SOURCE

LA MAGIE DU COSMOS : Qu'est-ce que l'espace ? Episode 2

 

Passionnant !

Pour voir le 1er épisode voir le lien ci-dessous

L'ILLUSION DU TEMPS - La Magie du Cosmos - Episode 1

LA MAGIE DU COSMOS : Qu'est-ce que l'espace ? - Episode 2

Qu'est-ce que l'espace ?, est un documentaire scientifique (0h52) de la série La Magie du Cosmos, qui s'intéresse à l'espace, cette étendue séparant et entourant tout, de l'infiniment petit comme à l'échelle quantique jusqu'à l'infiniment grand tel que l'Univers, expliqué par le physicien et auteur Brian Greene. Épisode N° 2 sur 4.


LA MAGIE DU COSMOS : Qu'est-ce que l'espace ? Episode 2


L'espace est avant tout une notion de géométrie et de physique qui désigne une étendue, abstraite ou non, ou encore la perception de cette étendue. Conceptuellement, il est synonyme de contenant aux bords indéterminés, mais l'espace prend de nombreux sens précis et propres à de multiples disciplines scientifiques dérivées de la géométrie.

Nous sommes à une étape importante dans la compréhension de notre Univers et des lois physiques qui le gouvernent. Il semble désormais que les questions auxquelles sont confrontées les scientifiques à propos de notre Univers et de ses deux extrêmes, l'infiniment petit et l'infiniment grand, soient intimement liées.


L'espace sépare aussi bien deux galaxies que deux atomes. Auteur du livre La Magie du Cosmos, le physicien Brian Greene révèle qu'il s'agit d'un tissu dynamique qui peut s'étirer, se tordre, se déformer, onduler sous les effets de la pesanteur. Plus étrange encore, la découverte récente d'un mystérieux ingrédient qui constituerait 70% de l'Univers et que les physiciens appellent "énergie sombre". Même s'ils admettent son existence, ils ignorent encore ce que c'est. L'examen de l'espace à des échelles infiniment petites ne fait que rendre le mystère encore plus profond.
Dans l'Univers, l’espace contient si peu de matière qu'il pourrait être considéré comme vide. C’est une notion difficile à concevoir, car sur Terre la matière est partout, sous ses 3 états, liquide, solide, et gazeux. "La nature a horreur du vide", disait Aristote.


En physique, la notion d’espace, et la façon dont celui-ci est modélisé mathématiquement, varie en fonction des conditions expérimentales. En mécanique classique, dont les lois expliquent la quasi-totalité des phénomènes survenant à échelle humaine, l’espace est modélisé comme un espace euclidien de dimension 3. La relativité restreinte, dont les lois prennent en compte le fait que la vitesse de la lumière est une constante quel que soit l’observateur, introduit un lien entre l’espace et le temps. L’espace-temps y est modélisé comme un Espace de Minkowski. Ces lois ne s’appliquent que dans un cadre restreint, pas d’accélération du référentiel, pas de gravité. En relativité générale, qui étend la mécanique classique en intégrant le fait que la vitesse de la lumière, en excluant le caractère absolu du temps, est une constante, l’espace, la matière et le temps sont liés. L’espace-temps est modélisé mathématiquement comme une variété de dimension 4, dont la courbure dépend du potentiel de gravitation. Les prédictions de la relativité générale ne s’écartent sensiblement des prédictions de la mécanique classique qu'à des champs de gravité extrêmement forts, ou à des vitesses extrêmement élevées.


En mécanique quantique, qui étudie les phénomènes à des tailles tellement petites que les changements d’états ne sont plus continus, mais se font par saut nommés quanta, l’espace est modélisé comme un espace euclidien de dimension 3, mais la notion de position n’existe plus, et est remplacée par la notion de fonction d'onde, ou nuage de probabilité. Position et mouvement y sont liés par le principe d'incertitude d'Heisenberg qui postule qu’ils ne peuvent être connus simultanément avec précision, ce qui rend impossible toute notion de trajectoire d’une particule. Bien qu’efficace pour prédire les phénomènes, cette modélisation pose des problèmes d’interprétation.

Pour les calculs, la mécanique quantique ne considère pas la position du système étudié, mais son état. Les états des systèmes sont modélisés mathématiquement dans un espace de Hilbert. Dans cet espace aussi, les mouvements ou changements d'état, sont discontinus.


Dans La magie du Cosmos, Brian Greene livre un cours de physique moderne passionnant, en même temps qu’un état des lieux de la recherche scientifique. Avec l'aide de métaphores, animations, grandes et petites histoires, expériences, mises en perspectives, etc., le physicien s’emploie par tous les moyens, en conviant Einstein à ses tribulations, pour à la physique à portée de tous, et à expliquer les découvertes et les secrets infinis du Cosmos, au-delà des apparences.


- La série La Magie du Cosmos :

L'ILLUSION DU TEMPS

- Voir aussi :

THEORIE DES CORDES

L'UNIVERS INVISIBLE : Énergie noire

MATIÈRE NOIRE ET ÉNERGIE SOMBRE, THÉORIES DE L'UNIVERS

QU'EST-CE QUE L'UNIVERS ? - La Fabuleuse Histoire de la Science