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03/11/2014

Ukraine/Lougansk : Plus de 80 % de l'économie de la région de Lougansk sont orientés vers la Russie (Plotnitski), Acaht de Charbon de Kiev au Donbass

C'est bien pour cela qu'il fallait s'accaparer l'Ukraine de l'Est, n'est-ce pas ?

Aujourd'hui, 18:50

Plus de 80 % de l'économie de la région de Lougansk sont orientés vers la Russie (Plotnitski)

Plus de 80 % de l'économie de la région de Lougansk sont orientés vers la Russie (Plotnitski)

Par La Voix de la Russie | Plus de 80 % de l'économie de la région ukrainienne de Lougansk sont orientés vers la Russie et les autorités de la République populaire autoproclamée de Lougansk sont disposées à développer le commerce avec la Russie, a déclaré le président élu de la république Igor Plotnitski.

« Nous avons beaucoup de produits qui trouveront un marché d'écoulement sur le territoire de la Russie », a-t-il dit.

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Aujourd'hui, 16:25
Les autorités ukrainiennes sont prêtes à acheter du charbon dans le Donbass

Par La Voix de la Russie | Kiev est prêt à acheter du charbon dans les régions contrôlées par des miliciens du Donbass (l’Est de l'Ukraine). Cela a été déclaré par le premier vice-ministre de l'Énergie et l'Industrie houillère de l'Ukraine, Iouri Zioukov.

Zioukov a souligné que les fonds versés devraient être utilisés pour payer les mineurs, ainsi que pour payer la facture d'électricité et pour résoudre des problèmes sociaux dans les villes et villages miniers.

Précédemment, il a été rapporté que Kiev et la République populaire auto-proclamée de Donetsk (RPD) avaient négocié la reprise de livraisons de charbon. À son tour, le Premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk juge que les réserves de charbon en Ukraine seront suffisantes pour la période de 5 à 7 jours.

 

 

 

Ukraine: l'Europe met en garde Moscou après le vote séparatiste dans l'Est

Plus les jours passent et plus nous avons la confirmation qu'avec les Banksters et l'US/ UE, nous avons affaire à des psychopathes et à des Nazis !

Ils critiquent les votes des peuples et les qualifient d'illégitimes, comme si le fait d'avoir organisé et provoqué un coup d'état à Kiev, et d'avoir placé leur pion Nazi/sioniste, était légitime.

Et comme l'Europe n'a pas assez perdu d'argent et qu'elle est riche, elle menace encore d'imposer de nouvelles sanctions à la Russie !  En attendant, pendant que les NAZIS "boivent", la Russie "trinque" parce qu'elle doit supporter l'assistance, l'asile et les frais des réfugiés Ukrainiens qui se trouvent sur son territoire !

* La Russie a débloqué 36 millions de dollars pour l'aide aux réfugiés ukrainiens

Ukraine: l'Europe met en garde Moscou après le vote séparatiste dans l'Est

Publié le 03.11.2014, 14h58

Dépouillement des bulletins de vote le 2 novembre 2014 à Donetsk

Dépouillement des bulletins de vote le 2 novembre 2014 à Donetsk | Dimitar Dilkoff

 

  
  

Les Européens ont mis en garde lundi la Russie contre les atteintes à l'unité de l'Ukraine, au lendemain d' séparatistes dans l'Est pro-russe que Moscou a dit "respecter", qui ont relancé les craintes d'une nouvelle offensive militaire.

Le allemand a appelé les autorités russes à respecter "l'unité de l'Ukraine", n'excluant pas de nouvelles sanctions européennes contre Moscou, après le scrutin séparatiste remporté sans surprise par les rebelles prorusses dans l'est du pays.

"Ces soi-disant élections (...) ne peuvent avoir aucune validité juridique" et "aggravent la " dans le pays, a déclaré le porte-parole du gouvernement allemand Steffen Seibert, faisant écho aux déclarations de l'Union européenne dénonçant un "nouvel obstacle" sur la voie d'une solution pacifique au conflit.

Six mois après le début du conflit ayant fait plus de 4.000 morts dans l'Est, les républiques autoproclamées de Donetsk et Lougansk ont élu dimanche leurs "présidents" et "parlements" dans un vote présenté comme devant légitimer les autorités séparatistes.

La Russie a dit qu'elle "respectait" le choix du peuple et appelé lundi l'Ukraine à mettre fin à son opération militaire dans l'Est, estimant que les dirigeants rebelles élus avaient désormais la légitimité nécessaire pour dialoguer avec les autorités ukrainiennes.

"Ce travail ne peut être productif que s'il est basé sur un dialogue équilibré et le respect mutuel, et si Kiev renonce aux opérations militaires", a déclaré le vice-ministre des Affaires étrangères Grigori Karassine à l'agence TASS.

Le vote controversé dans les territoires contrôlés par les combattants prorusses - soit la moitié de la région de Donetsk et une petite partie de la région de Lougansk - a confirmé dans leurs fonctions les chefs rebelles désignés en août.

Le "Premier ministre" de la République autoproclamée de Donetsk (DNR), Alexandre Zakhartchenko, 38 ans, a été élu "président" avec 77,51% des voix.

A Lougansk, l'ex-militaire de 50 ans Igor Plotnitski, très attaché au passé soviétique, a obtenu plus de 63% des suffrages, selon les autorités autoproclamées.

Ces élections constituent un nouvel épisode de la confrontation sans précédent entre Moscou et l'Occident déclenchée cet hiver par la contestation du Maïdan à Kiev, réprimée dans le sang et ayant entraîné la chute du régime prorusse et la fuite en Russie du président Viktor Ianoukovitch.

- Offensive russe? -

Les relations entre le Kremlin et l'Occident ont depuis touché le fond, après l'annexion en mars par la Russie de la péninsule ukrainienne de Crimée et la rébellion pro-russe dans l'Est de l'Ukraine, dans laquelle Moscou est accusée par Kiev et les Occidentaux de soutenir militairement les séparatistes et d'envoyer des troupes régulières.

Un cessez-le-feu a été conclu en septembre, mais malgré la baisse de l'intensité des combats, plusieurs centaines de personnes ont été tuées depuis.

Alors que le président ukrainien Petro Porochenko a qualifié dimanche le vote séparatiste de "farce menée sous la menace des chars", beaucoup à Kiev craignent une nouvelle offensive majeure des rebelles et de l'armée russe, visant notamment à créer un couloir terrestre vers la Crimée.

L'accès maritime à la péninsule depuis la Russie risque d'être gravement perturbé, voire bloqué, par les tempêtes en hiver.

"Le plus grand risque est qu'ils lancent une offensive", a déclaré à l'AFP une source diplomatique ukrainienne haut placée, résumant les craintes de bon nombre d'observateurs et médias.

"Beaucoup dépend d'un accord entre Kiev et Moscou sur l'approvisionnement de la Crimée", a estimé un haut responsable ukrainien chargé de la sécurité, sous le couvert de l'anonymat. "S'il existe, il n'y aura pas d'offensive majeure d'ici le printemps. Mais s'il n'est pas trouvé, les Russes n'auront pas d'autres options" que d'attaquer, a-t-il expliqué.

Kiev a dénoncé à nouveau lundi le déploiement "intense" d'équipements et de troupes russes dans la zone contrôlée par les rebelles.

"La présence de troupes russes n'est même plus camouflée", a assuré un porte-parole militaire ukrainien, Andriï Lyssenko, alors que des journalistes ukrainiens et occidentaux ont diffusé ce weekend des images et vidéos sur lesquelles on voit plusieurs dizaines de camions militaires sans plaques d'immatriculation, présentés comme une "colonne russe dans les rues de Donetsk".

 

Ukraine: Moscou appelle Kiev à mettre fin à son offensive dans l’Est

La Russie qui a reconnu les élections est prête à trouver des solutions au conflit, ce qui ne semble pas être du goût des Nazis de l'UE et de leurs maîtres US !

Ukraine: Moscou appelle Kiev à mettre fin à son offensive dans l’Est

AFP 3 novembre 2014 à 12:46 (Mis à jour : 3 novembre 2014 à 13:14)

Dépouillement des bulletins de vote le 2 novembre 2014 à Donetsk

Dépouillement des bulletins de vote le 2 novembre 2014 à Donetsk (Photo Dimitar Dilkoff. AFP)

La Russie a appelé lundi Kiev à mettre fin à son offensive militaire dans l’Est, soulignant que les nouveaux dirigeants rebelles élus dimanche avaient désormais l’autorité suffisante pour dialoguer avec les autorités ukrainiennes.

Les dirigeants rebelles élus dimanche «ont l’autorité suffisante pour établir un dialogue élargi et durable avec les autorités ukrainiennes», a déclaré le vice-ministre russe des Affaires étrangères Grigori Karassine dans une déclaration à l’agence de presse TASS.

 
 
 

«Ce travail ne peut être productif que dans le cadre d’un dialogue équilibré basé sur le respect mutuel, et si Kiev renonce aux opérations militaires et à la dite +opération anti-terroriste+», a-t-il ajouté.

Les dirigeants en guerre avec Kiev ont remporté sans surprise une victoire écrasante aux élections séparatistes dans l’est de l’Ukraine, un scrutin qualifié de «nouvel obstacle» au fragile processus de paix par les Européens, mais déjà reconnu par la Russie.

Le vote dans les territoires contrôlées par les combattants prorusses - soit la moitié de la région de Donetsk et une petite partie de la région de Lougansk - a confirmé dans leurs fonctions les chefs rebelles arrivés pendant l’été à la tête des mouvements séparatistes de l’Est.

Moscou a affirmé dimanche «respecter» les résultats de ce scrutin, qualifié de «farce» par Kiev.

Evoquant le risque de nouvelles sanctions occidentales contre la Russie, le responsable russe a estimé que «le langage des sanctions est une méthode absolument contre-productive pour résoudre les conflits». «L’histoire l’a prouvé», a-t-il déclaré à l’agence Interfax.

Moscou est prêt à aider Kiev et les séparatistes à trouver une solution pour mettre un terme au conflit, a-t-il assuré. «Il est important de prendre dès maintenant des mesures afin qu’un dialogue durable entre Kiev et les représentants de Donbass puisse se développer et nous sommes prêts à faciliter cela au mieux de nos possibilités», a-t-il dit.

«Nous partons du fait que des représentants élus des régions de Donetsk et Lougansk ont reçu un mandat pour conduire des discussions avec les autorités centrales ukrainiennes et pour résoudre, dans le cadre d’un dialogue politique, tous les problèmes qui se sont accumulés au cours des derniers mois», a-t-il poursuivi.

«Il est évident que le peuple de Donbass a suffisamment souffert et veut une vie stable et calme», a-t-il encore dit.

AFP

Le leader prorusse Zakhartchenko a déclaré: l'Ukraine "ne veut pas la paix"

 

 

Russie : Goodbye dollar ! Changement de paradigme en cours !

 
Quand les Banksters et  l'US/UE Nazis creusent leurs tombes seuls  ! La fin des BANKSTERS et de leur hégémonie mondiale, sont proches !

 
 
Aujourd'hui, 16:30

Goodbye dollar !

Goodbye dollar !

Par La Voix de la Russie | La Russie est disposée à desserrer l'étau du dollar. Il s'agit aujourd'hui de renoncer au billet vert dans le commerce du pétrole et du gaz. La Russie doit substituer aux prix en dollars son propre système de formation des prix des matières premières énergétiques en roubles.

La Russie a des alliées en puissance dans sa volonté d'introduire des paiements en monnaie nationale. L'allié le plus puissant est la Chine. En octobre 2013 le chef du pétrolier russe Rosneft Igor Setchine a déclaré au cours du Congrès énergétique international qu'il était nécessaire de créer un « mécanisme mondial du commerce du gaz naturel » et « une bourse internationale pour tous les pays qui le désirent afin de réaliser des transactions en monnaies régionales ». En novembre 2013 la Banque populaire de Chine a décidé « qu'accumuler les monnaies étrangères ne répondait plus aux intérêts » du pays et Pékin a déclaré qu'il fallait choisir une nouvelle monnaie de réserve internationale pour remplacer le dollar.

La guerre contre le dollar est menée simultanément sur plusieurs fronts : pétrolier, gazier et monétaire.

Front pétrolier. Le projet du commerce des matières premières énergétiques sans dollars a commencé à prendre corps à la Bourse des matières premières de Saint-Pétersbrourg en mai 2014. L'idée clée consiste à abandonner le dollar dans la zone la plus dynamique et prometteuse du marché mondial des ressources énergétiques, à savoir l'Asie-Pacifique, au profit du yuan et du rouble. Les sociétés d'Etat russes ont pour objectif de garder la totalité de la plus-value. Outre la Chine, les alliées en puissance de la Russie sont l'Inde et l'Iran. La Russie a proposé à l'Inde plusieurs projets de grande envergure dans le domaine pétrogazier dès le mois de mars dernier. L'Iran est en train d'organiser, depuis 2004, une bourse du pétrole indépendante par rapport au dollar.

Moscou se propose d'obtenir un avantage colossal susceptible de minimiser la dépendance vis-à-vis des marchés occidentaux et assurant des bénéfices maximum. Des démarches réuissies en ce sens ont été déjà faites. Le 13 octobre Rosneft et la Corporation pétrogazière nationale de Chine ont signé un accord sur l'approfondissement à long terme de la coopération stratégique dans le domaine du pétrole et du gaz.

Front gazier.Selon Washington Times, en mai Vladimir Poutine « a remporté une victoire stratégique ayant conclu un contrat gazier avec la Chine ». Selon la presse américaine, ce « marché du siècle » empêchera les tentatives des Etats-Unis pour isoler la Russie à l'aide de sanctions économiques et permettra d'enlever au dollar le statut de monnaie de réserve mondiale. En été Gazprom et la Chine ont concerté la construction du gazoduc Sila Sibiri et en juin l'Inde a déclaré son intention de le conduire jusqu'à sa frontière.

En septembre, le chef de Gazprom a annoncé un accord sur le deuxième grand contrat avec la Chine portant sur la construction du gazoduc Altaï et les livraisons de 100 milliards de mètres cubes de gaz par an dans la région d'Asie-Pacifique. Le contrat doit être signé dès le mois de novembre. Selon les experts occidentaux, les fournitures par le biais du gazoduc Altaï évinceront du marché chinois environ 21 millions de tonnes de gaz importé. Cela portera un coup aux exportateurs comme les Etats-Unis, le Canada, l'Australie et le Qatar dont les fournitures sont orientées essentiellement sur le marché asiatique.

Front monétaire. En octobre, lors du forum La Russie appelle, Vladimir Poutine a déclaré l'intention d'introduire activement la monnaie nationale dans les règlements avec la Chine et d'autres partenaires. La Russie réduit les investissements dans les obligations d'Etat américaines et retirera, à partir du printemps prochain, ses dépôts dans des banques américaines. Rien qu'en mars 2015, plus de 100 milliards de dollars seront retirés des comptes de la Fed.

La Russie a brusquement intensifié l'achat de l'or sur le marché mondial ayant augmenté ses réserves d'or de plus de 18 % au cours de ces six derniers mois et ayant devancé au début de l'automne la Chine et la Suisse en termes de la part de l'or dans l'ensemble des réserves. La Banque de Russie réduit simultanément la part du dollar. La Banque nationale du Kazakhstan agit de la même manière. Certains experts occidentaux estiment que l'accumulation de l'or par Moscou et Astana fait partie d'une politique monétaire coordonnée.

La Chine dont les réserves en dollars sont les plus grandes au monde met en place, sur la base de la Bourse de l'or de Shanghaï, un centre de formation d'un marché de ce métal. Selon les économistes occidentaux, le but est de placer sous son contrôle l'ensemble du commerce de l'or et d'en priver la bourse américaine Comex pour procéder ensuite à un « redémarrage » monétaire complet grâce à un brusque changement du prix de l'or.

Washington fait feu de tout bois pour empêcher des actions et alliances faisant peser une menace mortelle sur le billet vert. Les Etats-Unis ne cachent plus de mener une guerre contre la Russie. Le 17 septembre le secrétaire de presse de la Maison Blanche Josh Earnest a dit dans son commentaire de la chute du rouble : « Notre objectif consistait initialement à isoler la Russie et à la faire payer un prix économique ». Les Etats-Unis et leurs alliés saoudites jouent à la baisse des prix du brut contre la Russie. Pour l'économie russe une baisse du prix de pétrole n'est pas dangereuse en tant que telle, mais plutôt comme prétexte à une attaque contre le rouble pour de gros spéculateurs.


Lire la suite: http://french.ruvr.ru/2014_11_03/Disons-Goodbye-au-dollar...

 

 

Chuuuut, on a voté dans l’Est de l’Ukraine. Photos, vidéos.

Les séparatistes pro-russes en voté en masse pour avoir leur liberté ! Faut-il le cacher ?

 

Chuuuut, on a voté dans l’Est de l’Ukraine

3 nov 2014

Le processus est simple :

  • on n’a pas envie de connaitre l’opinion d’un peuple

  • on décrète que le vote est illégal (sic.)

  • on n’envoie pas d’observateurs occidentaux

  • ils votent

  • et après on déclare fièrement que le vote n’a aucune valeur, vu qu’il n’y avait aucun observateur occidental

  • CQFD

On l’a vu lors du référendum du 11 mai (lire Le référendum éloquent… Et le mépris occidental…), où les journalistes ont reconnu la vérité le jour du vote, mais où ce fait a été évacué de l’histoire d’une façon totalement orwellienne…

En attendant, HORREUR, les gens votent (attention cependant, il y a de longues queues car il y a peu de bureaux ; mais cela montre bien qu’ils sont motivés…) :

(Purée, on se croirait presque aux élections européennes en France, non ?)

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Vidéos


 


 




La RTS, un peu plus honnête que la moyenne :

Pour les hommes en armes, c’est certes déplorable, mais un peu lié aux “pro-occidentaux” et à leur respect de la démocratie :

Alors peut on avoir une grande confiance dans le résultats du vote ?

Probablement pas, au vu des conditions, de l’état de guerre civile, des difficultés à faire campagne. Mais ce serait aussi prendre les Ukrainiens pour des imbéciles en imaginant qu’ils se sont assez largement mobilisés pour aller voter, dans un scrutin qui aurait été truqué, comme el vomit la “presse” occidentale :

Dans un autre registre, FranceTvInfo :

Dingue, je pensais que c’étaient les millions d’Ukrainiens de l’Est qui votaient moi !

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Ce qui compte, c’est de voir que BEAUCOUP d’Ukrainiens à l’Est ne veulent pas rejoindre tel quel le giron de Kiev.

Et la seule conclusion à laquelle on puisse honnêtement aboutir est que, dès lors, il faut tenir dans de bonnes conditions un référendum sous contrôle international, ce peuple ayant bien le droit de décider de son avenir…