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05/01/2013

Nikolas Tesla, l'Univers électrique, ses recherches et brevets ! Ce que l'on nous cache !

 Un rappel d'un article précédent sur Nickolas Tesla.

Ses recherches et brevets ! Ce que l'on nous cache !
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2010/11/09/nicolas-tesla-ses-recherches-et-brevets.html

Et le Livre à télécharger  en PDF  : Coucou C'est Tesla !

 http://fr.scribd.com/doc/119087676/Coucou-c-est-Nikolas-Tesla Coucou c'est Nikolas Tesla


Jean-Pierre PETIT - On a perdu la moitié de l'univers. Les Univers Jumeaux ou Gémellaires.

Un peu ancien qui date de 2001, soit depuis 12 ans mais toujours d'actualité sur deux articles ci-dessous :

L'Univers ne se résume pas qu'à notre Galaxie comme entendent nous le faire croire les scientifiques.

Non seulement ils nous font perdre la moitié de l'Univers qui a un double ou un Univers jumeau, mais ils nous font perdre 99,99 % de l'Univers.


En effet, et bien que notre galaxie la Voie lactée soit immense, elle n'est qu'une minuscule cellule de l'Univers et ne constitue pas l'UNIVERS dans sa globalité.

Nous ne partageons pas tous les points de vue contenus dans la description du livre par le rédacteur du second article de présentation du livre de Jean-Pierre Petit.

En effet, en plus d'être électrique, l'Univers est bien fractal et isotrope, c'est-à-dire qu'il ne sait que se dupliquer et se démultiplier à l'infini pour donner vie à de nombreuses cellules qui constituent ses divers tissus et dont nous sommes tous des cellules à part entière.

 

Pour ce qui concerne le fait de renier l'existence des ET. Il serait bien prétentieux de notre part de considérer, l'Univers étant une immensité, que nous serions les seuls à habiter une minuscle planète de notre galaxie qui est une poussière d'étoile au regard de l'Univers tout entier.

 

Nous relevons néanmoins que Jean-Pierre Petit soulève l'existence de deux Univers Jumeaux, selon sa théorie des Univers Jumeaux dont nous sommes aussi partie prenante à part entière.

 

L'homme est aussi deux Univers à lui seul et il est normal qu'il ait un double ou un jumeau qui est son âme Divine éternelle.


Nous existons sous deux formes :

 

1 - l'une physique que l'on voit mais qui n'est que l'hologramme projeté dans cette dimension par notre âme Divine,

2 - l'autre lumineuse que l'on ne voit pas et qui est notre âme Divine éternelle.

 

Les anciens ne disaient-ils pas, ce qui est encore pratiqué de nos jours, qu'il ne fallait pas enterrer un mort avant 3 jours, le temps que son âme se rassemble et sorte de son corps ?

 

Donc, nous avons bien un corps jumeau ou âme Divine ou Corps Christique.

 

Rappel des précédents articles sur Jean-Pierre Petit.


Les Univers Gémellaires par Jean-Pierre PETIT
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2009/11/04/les-univers-gemellaires-par-jean-pierre-petit.html

A télécharger en PDF : Les Univers Gémellaires de Jean-Pierre PETIT
http://www.lepouvoirmondial.com/media/01/00/618764564.pdf

 


1er article : On a perdu la moitié de l'Univers

Couverture

Hachette Littératures, 2001 - 183 pages
 
Nous trouvons-nous à la veille d'une révolution conceptuelle majeure, d'un changement profond de notre notion de cosmos ?
 
Jean-Pierre Petit fait le point sur nos connaissances actuelles, sur les problèmes encore en suspens et sur les hypothèses développées par les spécialistes. Les observations du télescope spatial Hubble ont brouillé les cartes.
 
En effet, les nouvelles mesures qu'elles ont permises impliquent que les galaxies seraient plus jeunes que les étoiles qu'elles contiennent ! Comment résoudre un tel dilemme ? Jean-Pierre Petit passe en revue les diverses solutions imaginées : si certains plaident pour un hypothétique " pouvoir répulsif du vide ", d'autres envisagent la cohabitation de deux univers, le nôtre et un " univers-ombre ".
 
Les galaxies seraient logées dans les trous d'un gruyère invisible, constitue de " matière-ombre " qui les empêcherait d'éclater sous l'effet de la force centrifuge. L'interaction entre ces deux univers expliquerait la structure en spirale des galaxies et l'origine des fameux quasars, ce qui prédirait une expansion cosmique turbulente.
 

2ème article : Petit Jean-Pierre - On a perdu la moitié de l'univers

 

Couverture

Auteur : Petit Jean-Pierre
Ouvrage : On a perdu la moitié de l'univers
Année : 2001

Lien de téléchargement : Petit_Jean-Pierre_-_On_a_perdu_la_moitie_de_l_univers.zip

Mot de passe de l'archive : www.histoireebook.com


PREFACE. Jean-Pierre Petit est connu à plus d'un titre. C'est lui l'admirable père du doux Anselme Lanturlu, qui se promène avec sa petite et savante amie Sophie, et avec ses animaux familiers et mutins, dans les mondes étranges de la topologie, de la quatrième dimension, de la relativité, des trous noirs, ou de la magnétohydrodynamique. Cette série d'excellentes bandes dessinées - et remarquablement dessinées ! - forme un bon exemple de vulgarisation intelligente et fut un succès de librairie, parmi le monde des chercheurs tout au moins...

On retrouvera d'ailleurs dans le présent livre les talents de dessinateur de Jean-Pierre Petit, mis au service de la visualisation des concepts cosmologiques. Jean-Pierre Petit s' est aussi illustré comme défenseur de la réalité des « visites d'un troisième type», et a publié des livres sur cette question. Il a eu, raconte-t-il, des contacts avec des « Ummos », êtres venus d'une autre partie de l'univers, ou bien d'où ? J'avoue que si j'adore Anselme Lanturlu et Sophie, j'ai moins de goût pour les Ummos, sortis, à mon avis, d'une période de fantasmes subjectifs de l'auteur. Autrement dit, qu'il s'agisse d'un canular volontaire de Jean-Pierre Petit, ou des inventions issues d'une crise de schizophrénie momentanée, je ne crois pas aux visiteurs venus d'ailleurs ... pas du tout ! Et je n'en dirai pas plus.

Et puis, assez différent de ces deux-là, il y a un autre Jean-Pierre Petit, celui qui nous offre ce livre fascinant, sur une nouvelle vision de l'univers. Et là, il ne s'agit pas de croire ou de ne pas croire. La cosmologie est une science difficile. Pendant ce siècle, nous avons à peu près réussi à comprendre l'évolution des étoiles; il nous faudra un certain temps, et même un temps certain, pour comprendre celle des galaxies. L'observation astronomique nous entraîne à des milliards d'années-lumière dans les profondeurs de l'univers, à des milliards d'années dans le passé.

C'est immense. Mais la cosmologie, c'est beaucoup plus. C'est l'extrapolation de ce voyage dans le temps ou dans l'espace à l'ensemble de l'univers, passé et présent (et même à venir). C'est, comme toute extrapolation, les mathématiciens le savent bien, une opération hasardeuse, peu fiable, et à coup sûr nullement unique. La cosmologie dite « standard » (aujourd'hui!) est celle du « new Big Bang ». Selon cette vision classique, il y a une quinzaine de milliards d'années, l'univers était (peut-être) extrêmement chaud, extrêmement dense. Une explosion brutale, suivie d'un refroidissement brutal et d'une régulière expansion, aurait entraîné successivement le découplage entre matière et radiation, la formation des éléments légers (hydrogène, deutérium, hélium, lithium) à partir des particules élémentaires, et enfin, récemment en quelque sorte, la formation des galaxies et des étoiles.

Ce modèle standard, tracé en une cinquantaine d'années, à partir de quelques faits admis comme ayant une signification cosmologique (mais en négligeant certains autres faits, bien qu'ils aient probablement aussi une telle signification), complétés par un traitement aussi rigoureux que possible (dans le cadre cependant de nécessaires et malheureusement grossières approximations, celles des «principes cosmologiques» d'homogénéité et d'isotropie de l'univers), ce modèle standard est aujourd'hui presque universellement accepté. Il est pourtant loin d'être parfait, ou cohérent. Des auteurs nombreux ont soulevé diverses objections et tenté d'y répondre.

On ne dispose encore d'aucune cosmologie alternative complètement satisfaisante. Mais il semble qu'on en ressente la nécessité. Comment se situe l'entreprise de Jean-Pierre Petit dans cet ensemble, dans ce débat, qui, nous pouvons le croire, restera vivant encore pendant des décennies ? Les critiques faites par Jean-Pierre Petit du modèle standard (première partie de l'ouvrage : « L'état des lieux ») sont en gros les mêmes que celles de beaucoup d'analystes: Comment et pourquoi les galaxies évoluent-elles ? Pourquoi une distribution très inhomogène et lacunaire des galaxies (voire hiérarchisée) existe-t-elle à grande échelle ? Pourquoi n'observe-t-on pas d'antimatière dans le milieu astronomique qui nous entoure ? Pourquoi l'univers ancien (celui d'où provient le rayonnement de fond de ciel à 3 °K) semble-t-il si isotrope?

Qu'est-ce qu'un quasar? Qu'est-ce même que le temps, au voisinage extrême des conditions initiales, où n'existe plus aucun moyen de le mesurer ? C'est un peu du problème de 1 'antimatière que part essentiellement Jean-Pierre Petit, comme d'ailleurs Hannes Alfvén le fit aussi en 1977, et Jean-Marie Souriau, dans les années 80, dans des théories assez différentes.

Les solutions de ces deux chercheurs sont fort intéressantes. Celle de Jean-Pierre Petit, dont le point de départ est la théorie des groupes, en diffère radicalement. Pour lui (seconde partie de l'ouvrage: « Matière sombre contre matière-ombre»), deux univers jumeaux cohabitent, quasiment dans un même volume, l'un observable, l'autre inobservable (l'univers-ombre, en anglais shadow- universe, par opposition avec l'univers de matière, au sens usuel du terme que le modèle standard impose, constitué, lui, de matière observable).

 Matière et matière-ombre n'interagissent que par la gravitation, à travers un système de forces attractives ou répulsives. Mais ces idées semblent fécondes et rendent compte de nombreux faits observés: âge de l'univers, confinement des galaxies, structure à grande échelle du cosmos. Jean-Pierre Petit propose une théorie des quasars et une possible interprétation des décalages spectraux anormaux. Au passage, ce modèle n'élimine en rien le Big Bang initial, pas plus d'ailleurs que le modèle matière-antimatière de Souriau.

Il s'agit de théories fort difficiles, qui ne passent que grâce au talent de vulgarisateur de l'auteur.

Pour ma part, face aux complications de la théorie des groupes et aux topologies par trop complexes, je préfère rejeter (provisoirement) ces théories (très pythagoriciennes à mon avis) des origines, pour ne considérer que l'univers observable. Il ne me paraît pas insensé de penser que la durée de vie de l'univers ait pu être infinie, sans aucune situation du type Bang, et ce malgré les arguments thermodynamiques avancés par certains. En d'autres termes, le débat, heureusement, reste ouvert. Mais toutes les idées nouvelles ont leur place. L'idée de base de Petit, qui fait cohabiter, non pas à l'échelle stellaire ou galactique, mais à l'échelle du cosmos tout entier, matière et matière-ombre, est une idée simple, qui peut et doit être soumise au jugement d'observations cruciales. L'auteur en suggère certaines et il faudra en imaginer bien d'autres. Il est bien que ces idées se fassent jour. A travers des milliers de cosmologies alternatives qui naissent actuellement, il sera sans doute possible de construire, prenant une idée là, une autre ici, quelque cosmologie future irréprochable et cohérente. Au moins, deux choses sont-elles certaines : la cosmologie doit rendre compte de tous les faits observés, et si certains faits n'ont pas de « signification cosmologique » (heureusement!), il faut le démontrer. De plus la cosmologie doit s'appuyer sur la physique connue, dans les limites de sa validité, comme celle de la relativité générale. Quelle que soit l'issue du débat, on doit se féliciter que Jean-Pierre Petit ait rédigé cet ouvrage, sans doute sujet à controverse, et par là même suggestif, et qu'un éditeur audacieux ait accepté de publier des idées que refusent la plupart des journaux scientifiques, par trop imprégnés des dogmes scientifiques en vigueur. Jean-Claude Pecker. ...

http://www.histoireebook.com/index.php?post/2012/04/26/Petit-Jean-Pierre-On-a-perdu-la-moitie-de-l-univers

Un lycéen français de 15 ans remet en cause les théories d'Einstein et de Newton !

Excellent !

La révolution quantique est en marche !
 

Jusqu'ici, il ne fallait surtout pas remettre en cause les anciens standards de la science, de la physique d'Einstein et de Newton pour continuer à nous faire vivre dans un Univers limité et limiter par la même occasion notre expansion de conscience.

Pour nous entretenir dans le bocal fermé de la Terre et permettre aux religions de continuer à exercer leurs contrôles sur nous, c'est parfait !

Surtout ne sortez pas du "bocal" pour respirer l'air pur de l'UNI-VERS et celui de nos Parents Divins Sacrés !


La seule "religion" (religion qui vient du latin relegare ou relier) que nous ayons, c'est celle qui nous relie à l'UNI-VERS et à nos Parents Divins Sacrés et non pas celle qui nous relie aux religions.


On voit que le 21 décembre 2012 nous sommes entrés dans la 4D et que les esprits s'éveillent.

Toute la lumière se fait et se fera sur tous les anciens dogmes religieux et scientifiques. Il serait temps de remettre en cause les anciens standards qui bloquent notre expansion de conscience et la vraie connaissance.

Et en prime c'est un adolescent de 15 ans qui participe à faire la découverte.


Un enfant indigo inspiré ?


Quand la communauté scientifique internationale va-t-elle se décider à lâcher avec ses dogmes scientifiques erronés et le modèle standard d'Einstein et de Newton qu'ils s'obstinent à vouloir vérifier au lieu de faire leurs propres recherches, de laisser libre court à leur imagination et à leur créativité, et surtout à commencer à écouter leur petite voix intérieure qui a la connaissance intuitive de l'organisation de l'UNI-VERS en lien étroit avec nous tous ? Tous UNIS-VERS !

Et surtout quand vont-ils ressortir :

1 - les brevets de Nikolas Tesla dont l'un porte sur l'Univers électrique ?


2 - la théorie de l'Univers Fractal ou Isotrope, c'est-à-dire qu'il se fractionne et se duplique à l'infini pour créer dans le tissu de l'Univers de nouvelles cellules :  les galaxies et tous les composants de l'Univers et cellules de l'Univers dont nous sommes nous-mêmes des cellules à part entière ?

De l'infiniment Grand à l'infiniment petit, tout n'est qu'une question d'échelle de grandeur, mais notre cellule a été construite comme l'Univers.


Quand vous comprendrez comment fonctionnent vos cellules vous comprendrez comment fonctionnent les tissus cellulaires de l'Univers en lien étroit avec nous tous : la Grande Famille UNI-VERS-ELLE ou toutes les cellules de l'UNI-VERS.


3 - la théorie des Univers Gémellaires de Jean-Pierre Petit qui dit que l'Univers a un Univers jumeau dans l'espace invisible.


Tout comme nous avons un jumeau ou un double dans l'espace lumineux ou dit invisible.


Nous sommes donc "deux univers" à part entière mais reliés ensemble par l'électricité, l'énergie lumineuse électrique et les tissus cosmiques qui relient tout ensemble.


Nos deux Univers :

1 - notre corps physique qui est un hologramme ou une projection de notre âme Divine, et
2 - notre âme Divine immortelle ou double cosmique ou corps Christique ou corps Divin qui emprunte un corps de matière pour venir vivre son expérience pour évoluer et continuer à activer son ADN Divin lors de ses diverses réincarnations.


Tout fonctionne par "DEUX" dans l'Univers électrique en fonction des deux énergies Divines :
 
1 - l'énergie électrique du masculin sacré (Le Père Divin - Le Père Créateur - L'Esprit ), et
2 - l'énergie électrique du féminin sacré (La Mère Divine - La Mère Créatrice qui donne la Vie dans la Matière) tout comme dans les deux polarités électriques (+) - (-).


Les Univers Gémellaires par Jean-Pierre PETIT
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2009/11/04/les-un...

A télécharger en PDF : Les Univers Gémellaires de Jean-Pierre PETIT
http://www.lepouvoirmondial.com/media/01/00/618764564.pdf...


Ici, c'est un électrotechinicien qui nous explique qu'il ne peut pas exister de "vents solaires" mais "des courants électriques solaires".

D'une logique simple et implacable !

Soleil : Vents solaires ou courants électriques ?
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2013/01/04/soleil...


Un lycéen remet en cause la théorie d'Einstein

Créé le 04/01/2013 à 12h33

Neil Ibata, 15 ans, à l'origine de cette découverte qui bouleverse les fondements de l'astrophysique

Neil Ibata, 15 ans, à l'origine de cette découverte qui bouleverse les fondements de l'astrophysique / Yannick Olland / RTL

 

 


Un lycéen français remet en cause les théories d'Einstein

 

21/12/2012

TRES IMPORTANT : Futura-sciences : Fin du monde, trous noirs et Mayas : nos révélations pour le 21 décembre 2012

Mise à jour :  La magistrale pirouette de Futura-Sciences qui nous fait croire à présent qu'ils nous auraient fait un canular à quelques heures du 21 décembre 2012.

Nous ne pensons pas qu'un site sérieux se permettrait de profiter de la peur pour venir faire des déclarations de la sorte pour alimenter les craintes de manière gratuite ou anodine.

Sauf que sous couvert d'un canular quelques vérités ont été dites sur les recherches scientifiques que l'on nous cache et nous ne sommes pas des ignorants pour constater que la Nasa et que le CERN ne nous disent pas toute la vérité, notamment sur le fait que des scientifiques soient souvent en danger pour vouloir nous révéler des vérités, quand ils ne sont pas purement et simplement éliminés physiquement pour les museler définitivement.

Est-ce que la NASA nous parle par exemple des énergies libres et propres qu'ils planquent dans leurs archives et qui existent depuis plus de 60 ans ?

Voici la pirouette de Futura-Sciences.

Fin du monde, trous noirs et Mayas : pas de panique !

Nous venons de découvrir cet article de Futura-Sciences qui était destiné à être lu le 20 décembre avant minuit. Nous vous le transmettons pour votre information.

Nous restons sur nos réserves, quant à l'arrivée d'extraterrestres alliés de l'humanité, car les Illuminati-reptiliens attendent le retour de leurs Grands Dieux Annunakis sur leur planète Nibiru qui est effectivement accompagnée de son cortège d'astéroïdes.

Voir notre note en orange dans  le corps de l'article.

Nous savons désormais à quoi servait la mission sur Mars de la Nasa qui est aux mains des Illuminati-reptiliens tout comme le CERN : à aller chercher une stèle Maya qui donnait des indications sur le 21 décembre 2012 et sur notre futur.

Tout cela pour nous cacher la vérité sur notre futur. Tout comme ils l'ont fait en Irak quand ils sont allés sacager un site archéologique et s'emparer de pièces provenant la civilisation dans le musée de Bagdad pour nous cacher l'existence des reptiliens sur Terre. 

La question est celle de savoir qui est allé mettre la stèle Maya sur Mars pour la protéger ?

Hitler ?

Nous vous rappelons qu'Hitler avait fait le voyage dans la Terre Creuse (voir ICI
et ICIqu'il détenait les énergies du Vril et qu'il a été le premier à fabriquer des fusées et des Ovnis, et ICI, et qu'il avait déjà fait le voyage sur Mars en 1945.

Nous vous rappelons encore que le CERN, comme par hasard devait faire encore une série d'expériences au cours de la semaine s'étalant du lundi 17 au 21 décembre 2012 ?

Pour quoi faire et pour tenter de détourner qui de quoi, et quoi de qui ?

 


Fin du monde, trous noirs et Mayas : nos révélations pour le 21 décembre 2012

Le 20 décembre 2012 à 16h45
Par Laurent Sacco, Futura-Sciences

 

Pourquoi n'a-t-on finalement pas trouvé des neutrinos supraluminiques au Cern ? Pourquoi Curiosity n'a finalement pas fait de découverte destinée à entrer dans les livres d'histoire ? Officiellement, ces découvertes ont été démenties mais ne seraient-elles pas réelles ? Futura-Sciences vous donne des débuts de réponses. Elles auraient quelque chose à voir avec les Mayas et le 21 décembre 2012... Un article à lire impérativement avant ce soir, minuit. Après, il sera trop tard.

Le 21 décembre 2012, c’est demain. Un regard porté sur l’actualité scientifique au cours de cette année ne peut que laisser songeur.

 

Il y a d’abord eu la mystérieuse affaire des neutrinos supraluminiques d’Opera sur laquelle Futura-Sciences avait commencé à faire des révélations. Tout récemment, c’est le curieux revirement du géologue de la Nasa, John P. Grotzinger, qui a défrayé la chronique. À la tête de la mission Curiosity aux États-Unis, Grotzinger avait déclaré que les instruments du rover martien avaient fait une découverte qui allait entrer dans les livres d’histoire. Finalement, l'affaire fut étouffée par un démenti.

 

Une partie du panorama obtenu avec les instruments de Curiosity sur Mars.
Une partie du panorama obtenu avec les instruments de Curiosity sur Mars. © Nasa, JPL

Dans les deux cas, des chercheurs de premier plan travaillant dans le cadre d’institutions scientifiques du plus haut niveau laissaient entendre que des découvertes spectaculaires avaient été faites avant d’annoncer qu’il n’en était rien en donnant des justifications difficiles à croire. La vérité n’était-elle pas ailleurs ? Ne nous cachait-on pas quelque chose, comme on le soupçonne déjà fortement pour la fusion froide ?

Alan Turing et Ettore Majorana, des casseurs de codes mayas ?

Même si la situation n’est pas encore très claire, des langues continuent à se délier dans la communauté scientifique et il semblerait, selon certaines personnes qui souhaitent garder l’anonymat, que les deux affaires soient liées. Elles auraient même un rapport avec Alan Turing, dont on vient de fêter le centenaire de la naissance. Rappelons que Turing se serait donné la mort en 1954 dans des conditions qui semblent peu claires. Aurait-on cherché à le faire taire ?

À ce moment-là, beaucoup ignoraient qu’il avait joué un rôle important dans le décodage des codes secrets utilisés par l’Allemagne nazie pour communiquer avec ses sous-marins dans l’océan Atlantique. Rappelons qu'Ettore Majorana, lui, aurait joué un rôle essentiel dans le décryptage de certains documents mayas dans les années 1930, faisant état de la physique des neutrinos et en particulier de la propagation de certains d’entre eux plus vite que la lumière. Les succès de la physique des neutrinos à partir de ces années-là n’aurait fait que confirmer que les Mayas ne pouvaient pas détenir de telles connaissances autrement que par l’intermédiaire d’une civilisation extraterrestre. Elle leur aurait communiqué ces connaissances pour des raisons inconnues voilà des milliers d’années.

Le site maya de Palenque est célèbre en raison de la découverte d'une mystérieuse dalle fermant le tombeau d'un souverain de la cité. Certains y voient la description d'un pilote de vaisseau spatial. Les Mayas étaient-ils en communication avec des extraterrestres ?
Le site maya de Palenque est célèbre en raison de la découverte d'une mystérieuse dalle fermant le tombeau d'un souverain de la cité. Certains y voient la représentation d'un pilote de vaisseau spatial. Les Mayas étaient-ils en communication avec des extraterrestres ? © Wikipédia, Peter Andersen

Majorana n’avait pas pu percer tous les secrets des documents mayas en rapport avec des extraterrestres. Mais ce qu’il en avait compris, et qui concernait en partie le 21 décembre 2012 apparemment, l’aurait conduit à disparaître dans des conditions qui ne sont toujours pas élucidées. On aurait fait appel à Alan Turing après la seconde guerre mondiale pour qu’il continue le travail de Majorana, aidé des premiers ordinateurs construits à partir de ses travaux et de ceux de John Von Neumann.

 

Par une étrange coïncidence qui prend maintenant un nouveau sens, Enrico Fermi, le soi-disant découvreur de la première théorie des neutrinos, le mentor de Majorana et que l’on connaît bien pour sa fameuse déclaration sur les extraterrestres, est mort la même année que Turing. Il s’agissait dans son cas d’un cancer de l’estomac. Et si les véritables causes de son décès étaient autres ? Von Neumann allait lui aussi mourir d’un cancer, mais du cerveau, et seulement 3 ans après Turing et Fermi.

 

Selon nos informateurs, Turing (et probablement aussi Von Neumann) aurait, entre autres, travaillé sur des codes de transmission de l’information entre civilisations extraterrestres dans la galaxie à l’aide de faisceaux de neutrinos supraluminiques. Des tentatives de communication avec les visiteurs des Mayas auraient été faites au Cern, mais elles auraient partiellement échoué, car une partie de l’information nécessaire avait été perdue lors de la conquête espagnole.

 

La vérité sur Palenque. Découvrez les secrets des anciens Mayas. ©
Musée canadien des civilisations (MusCanCiv)
http://www.youtube.com/watch?v=DUnv9qa4X3s&feature=player_embedded

 

Il semble, comme on s’y attendait d’après les documents mayas conservés, que la partie des messages reçus au Cern et qui a pu être décodée à l’aide des travaux de Turing et Von Neumann concerne la physique des trous de ver, des trous noirs, du boson de Higgs et le voyage interstellaire.

 

Toujours selon nos informateurs, qui ont refusé d'en dire davantage, on savait depuis longtemps qu’une partie des informations manquantes devaient se trouver sur une stèle maya… sur Mars !

 

Elle y aurait été laissée un peu pour les mêmes raisons que celles expliquées par Arthur Clarke dans son roman 2001, l’Odyssée de l’espace, lorsque l’humanité découvre des monolithes noirs d’origine extraterrestre sur la Lune et autour de Jupiter. Si tout cela est vrai, les déclarations et le revirement de Grotzinger, craignant pour sa vie, prennent un nouveau sens…

 

Que va-t-il donc se passer le 21 décembre 2012 ?

 

À ce stade, on ne peut que se perdre en conjectures. En ce qui concerne les trous noirs, on sait qu’un nuage de gaz est en train de s’approcher dangereusement de notre trou noir galactique, lequel est entouré d’astéroïdes. Dans nos précédentes révélations sur Opera, nous avions signalé que Bruno Pontecorvo, un brillant collaborateur de Fermi, avait quitté le Royaume-Uni où il était devenu citoyen britannique, pour se réfugier en Union soviétique en 1950, donc quelques années avant les décès de Turing et Fermi.

 

Trous noirs supermassifs, trous de ver et Seti russe

 

L’ex-URSS, tout comme les États-Unis, a joué un rôle important dans le développement de la théorie des trous noirs et des trous de ver, par exemple avec John Wheeler et Igor Novikov. Ce dernier a d’ailleurs proposé avec son collègue Nicolay Kardashev, il y a quelques années, que certains trous noirs supermassifs puissent être des trous de ver, des portes spatiotemporelles constituant des raccourcis dans l'espace-temps.

 

Nicolay Kardashev est un pionnier de la recherche des extraterrestres et de la physique des trous de ver. Sait-il quelque chose sur la signification du calendrier maya qui s'arrêterait le 21 décembre 2012 ?

Nicolay Kardashev est un pionnier de la recherche des extraterrestres et de la physique des trous de ver. Sait-il quelque chose sur la signification du calendrier maya qui s'arrêterait le 21 décembre 2012 ? © Russian Academy of Sciences

Curieusement, on sait que Kardashev est un des pionniers de l’équivalent russe du programme Seti. En 1963, il a ainsi examiné le quasar CTA-102, la première tentative soviétique de recherche d'une intelligence extraterrestre. Or, on retrouve actuellement Kardashev fortement impliqué dans la mission RadioAstron, dont on nous dit qu’elle a le pouvoir d’observer de très près les trous noirs supermassifs galactiques dans le domaine radio, pour déterminer s’il ne s’agirait pas en fait de trous de ver.

 

Et si la vérité était de nouveau ailleurs ?

 

Se pourrait-il que RadioAstron soit en mesure de détecter la bouche d’un trou de ver quelque part dans notre propre Système solaire ? Une porte des étoiles intentionnellement laissée voilà des milliers d’années dans notre Système solaire par des extraterrestres préparant leur retour pour le 21 décembre 2012 et qui attendaient de voir les progrès accomplis par l’humanité ? (Note du Pouvoir Mondial : Pour voir les progrès de l'humanité ou pour voir si les Illuminati-reptiliens avaient réussi à instaurer leur Nouvel Ordre Mondial pour les Siècles, comme leur race hybride humano-reptilienne le leur avait promis ? ).

 

À moins qu’ils n’aient entrepris de nous prévenir d’une éventuelle pluie d’astéroïdes dévastateurs en provenance du cœur de la Voie lactée via des trous de ver naturels laissés un peu partout lors de la formation de la galaxie et de son trou noir (de ver ?) central. Apparaissant en quelque sorte brutalement de nulle part, de tels astéroïdes ne pourraient être détectés longtemps à l'avance.

 

La civilisation maya a prospéré d'environ 2600 avant J.-C. à 1520 après J.-C. Le calendrier maya était composé de cycles, le 21 décembre 2012 (solstice d'hiver) correspondant à la fin d’un de ces cycles. Certains l’ont interprété comme étant la fin du calendrier lui-même, et donc la prédiction de la fin du monde par cette civilisation. Bonampak, au Mexique, est un site maya dans lequel on a retrouvé de nombreuses peintures (datant de 790), dont fait partie la fresque ci-dessus. © Nick Leonard

 

La civilisation maya a prospéré d'environ 2600 avant J.-C. à 1520 après J.-C. Le calendrier maya était composé de cycles, le 21 décembre 2012 (solstice d'hiver) correspondant à la fin d’un de ces cycles. Certains l’ont interprété comme étant la fin du calendrier lui-même, et donc la prédiction de la fin du monde par cette civilisation. Bonampak, au Mexique, est un site maya dans lequel on a retrouvé de nombreuses peintures (datant de 790), dont fait partie la fresque ci-dessus. © Nick Leonard



19/12/2012

LHC : Boson de Higgs ou particule Divine. Quand les Dieux bluffent la communauté scientifique internationale !

Rions un peu !

Quand les Dieux bluffent et font une belle farce à la communauté scientifique internationale qui est déstabilisée parce qu'au lieu d'avoir trouvé "une unique particule Divine", elle en a trouvé "deux " après duplication de la première !


Que ça ? Deux ?

Et pourquoi ne rechercher qu'une unique particule Divine ou même deux ?

L'UNI-VERS ne serait-il composé que d'une unique particule Divine lorsque nous savons que nous avons aussi une Mère Divine ?


Le fait d'avoir trouvé "deux particules divines" remettrait en cause,  pauvres petits choux, leur intelligence, heu... non, deux théories scientifiques, qui ne sont que des théories ou de vagues approximations auxquelles il faut qu'ils s'accrochent bien évidemment, au risque de voir leurs dogmes scientifiques et leur science sans conscience, s'écrouler complètement. Ce qui ne devrait pas tarder du reste et nous verrons ce qu'ils feront de leurs titres ronflants et de leurs belles théories à ce moment-là.


Et bien sûr comme ils ont oublié  :

1 - que l'Univers est fractal. Comportement de l'Univers Fractal. En conséquence de quoi tout ce qui EST en HAUT (dans le macrocosme ou l'Univers) EST comme tout ce qui EST en BAS (dans le microcosme - la cellule). En vertu de quoi si nos propres cellules se dupliquent elles-mêmes, les cellules Divines se dupliquent aussi dans l'Univers.


2 - que l'Univers des Dieux est "UN" grand ensemble dont nous faisons tous partie en tant qu'enfants des Dieux.


C'est cette UNI-TE dont nous devons prendre conscience prochainement.

Chac-UN de nous est donc une particule Divine à part entière.


Aussi, les religieux aussi bien que les scientifiques nous font bien rire, lorsqu'ils ont la prétention de nous faire trouver Dieu dans les églises ou la particule Divine dans les accélérateurs de particules nucléaires, quand la Terre a été ensemencée par nos parents Divins par près de 8 milliards d'êtres humains qui sont tous des particules Divines. Sans compter tout ce qui y vit, dont l'air, l'eau, les minéraux, les oligo-éléments, les vitamines, les acides gras essentiels, les acides aminés, tous les végétaux et les animaux.


Ce qui porte à quelques milliards, le nombre de particules Divines disséminées sur Terre et dans l'Univers, avec les étoiles ou soleils, les planètes, les comètes, etc...  

Et ils ne voudraient trouver qu'une UNIQUE particule divine,  quand eux-mêmes sont déjà des particules divines ?


Alors oui, ils ont d' "ENORMES PROBLEMES A REGLER" qui ne sont pas ceux  de la physique temporelle, ni de dogmes scientifiques erronés, ni d'une ou de deux particules divines, mais avec ceux : 


1 - de leur reniement à reconnaître "ETRE" une particule Divine et d'appartenir à un TOUT et à UN-ENSEMBLE,


2 - de l'intime conviction et de la FOI indéfectible contenue dans notre ADN-Humain/Divin, que nous appartenons à une seule et grande famille universelle,
 et,

3 -  qu'il faut qu'ils aillent rechercher leurs parents Divins,
en eux-mêmes et non pas à l'extérieur d'eux-mêmes, comme les religieux et les scientifiques sans conscience, nous poussent depuis des millénaires à le faire au lieu de nous avoir appris que nous avons nos gènes Divins en Nous.


Nous n'avons donc pas besoin d'eux pour amuser la galerie ou pour nous détourner de notre patrimoine génétique Divin, avec leurs soi-disant recherches religieuses ou scientifiques, qui n'ont pas servi à faire grandir l'Humanité depuis des millénaires ni à la faire progresser vers l'essentiel : la connaissance de soi, la reconnaissance de l'existence de nos parents Divins en nous et notre appartenance à une grande famille UNI-VERS-ELLE.
 
Pour l'instant nos Parents Divins doivent bien s'amuser et nous aussi du reste, avec la perplexité de la communauté scientifique internationale qui se trouve bien empêtrée avec "deux particules Divines" alors qu'il en existe des milliards sur Terre et dans tout l'Univers !
 
Nous rigolons par avance lorsqu'ils se rendront compte, alors qu'ils recherchaient "une unique particule Divine" qu'ils sont eux aussi des particules Divines à part entière.

Pourquoi aller chercher si loin, ce qu'ils ont déjà sous le nez ?

Ils nous auront bien fait rire quand même !

Le CERN n'aurait pas découvert un mais deux bosons de Higgs

Publié le 17 décembre 2012 par Maxime Lambert

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Alors que les scientifiques du CERN de Genève étaient en passe de mettre la main sur le fameux boson de Higgs, celui-ci se serait dédoublé de façon parfaitement inattendue. Les résultats de l’expérience Atlas font état non plus de "un" mais "de deux bosons de Higgs". (NDR : et la duplication cellulaire, ils ne la connaissent pas non plus ?)

C'est un virage totalement inattendu qu'a pris la quête du si mystérieux boson de Higgs. En effet, début juillet, les physiciens du CERN à Genève ont annoncé qu'ils avaient identifié une nouvelle particule et que celle-ci pourrait bien être le boson de Higgs, dont l'existence a été prédite il y a plus de 45 ans par le scientifique Peter Higgs. L'annonce de la découverte avait ainsi créé un véritable vent d'enthousiasme parmi les scientifiques.

Mais la semaine dernière, c'est un résultat bien plus étrange qu'ont dévoilé les résultats de l’expérience Atlas menée au CERN. Ce n'est plus un mais deux bosons de Higgs qui auraient été découverts grâce aux désintégrations engendrées par les collisions de particules à l’intérieur de l’accélérateur LHC. En vérité, ce dédoublement inquiétant daterait même de mai 2012 mais jusqu'ici les scientifiques n'en auraient pas fait clairement état. D'après les résultats, il n’y aurait donc non pas une seule particule de masse d’environ 125 gigaélectronvolts (GeV), mais deux avec des masses de 123,5 GeV et 126,6 GeV.

Or, cette différence de 3 GeV pose un sérieux problème aux physiciens. Elle est en effet trop petite pour qu’il s’agisse de deux particules très différentes, mais également trop grande pour être due à des erreurs de calcul, comme le souligne le blog de Slate.fr, Globule et télescope. Plus sérieux encore, tous les efforts des scientifiques menés pour gommer cette aberration n’auraient rien donné. Sauf que les chercheurs de l'autre expérience du CERN, CMS, n'ont eux détecté la trace que d'un seul boson de masse environ égale à 126 GeV.

L'apparition d'une seconde particule pose problème

Ce dédoublement pose donc de nombreuses questions. D'autant plus que l’apparition d’une seconde particule au lieu d’un seul boson de Higgs poserait un sérieux problème car elle est capable de remettre cause pas moins de deux théories en physique : d'une part, le modèle standard, pour lequel le boson de Higgs a été imaginé et qui serait conforté par la découverte de ce dernier. Et d'autres part, la supersymétrie qui, si elle "prévoit plusieurs Higgs, n’envisage pas qu’ils soient si proches en masse" comme l’explique un physicien du CEA interrogé par Globule et télescope.

Il faudra donc attendre encore plusieurs mois, jusqu’en mars 2013, pour en savoir un peu plus sur le boson. En effet, c'est à cette période là que les scientifiques du CERN feront une nouvelle mise à jour et présenteront les dernières données obtenues dans la quête de la mystérieuse particule. (NDR : Oui attendons qu'ils continuent à se couvrir de redicule !).

http://www.maxisciences.com/boson-de-higgs/le-cern-n-039-aurait-pas-decouvert-un-mais-deux-bosons-de-higgs_art27994.html