Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

18/10/2012

La vie après la mort : "Faux Départ" de Sonia Barkallah

"Faux Départ" de Sonia Barkallah

Synopsis:

Trente années se sont écoulées depuis que le Dr Raymond Moody a recueilli les premiers témoignages de ceux qui ont frôlé la mort. Ils sont des millions à travers le monde à nous raconter la même histoire troublante, comme la sensation de se détacher de son corps, assister à sa propre réanimation, entendre les chirurgiens parler entre eux, puis traverser un tunnel au bout duquel se trouve une extraordinaire lumière. Cette expérience a bouleversé leur vie, au point qu’'ils ne craignent plus la mort.

Longtemps considéré comme obscur et assujetti aux railleries, le phénomène intéresse aujourd’hui de nombreux scientifiques, qui s'’interrogent : Comment ces personnes ont-elles pu percevoir et mémoriser des scènes de leur réanimation alors qu’'elles étaient inconscientes, dans le coma et parfois déclarées morte cliniquement ?

Ils sont Cardiologues, Neurologues, Anesthésistes-Réanimateurs, Médecins ou Psychologues, certains conduisent une étude, d’autres ont vécu eux-mêmes une expérience de mort imminente. Ils témoignent sans complexe pour lever un tabou qui se révèle être une mine de connaissance pour la science et pour l'’Homme. Le colloque sur les EMI organisé en juin 2006 à Martigues a permis de franchir un nouveau pas. Pour la première fois en France, deux centres hospitaliers ont débuté une recherche.

Une nouvelle page de l’'histoire des sciences s’'écrit depuis une dizaine d’'années suite à de nombreuses études menées à l’'étranger et qui abandonnent définitivement l'’hypothèse de l’'hallucination pour s’'orienter vers une possible délocalisation de notre conscience : l'’ombre d'’un nouveau paradigme se profile. Source

BANDE ANNONCE "Faux Départ" Sonia Barkallah
http://www.youtube.com/watch?v=_ZegH1jznEY

 


Film disponible en DVD. Source
Différentes dates de projection du film à venir ici ainsi que des dates de conférence de Sonia BARKALLAH .

"Au-delà : Quand nos croyances basculent" !

 

 
Afterlife, La Vie après la Vie,
Réalisé par Paul Perry
Jupiter Communications (Octobre 2012)
 
 
 
 
 
Au-delà :

Quand nos croyances basculent
 
Pourquoi certaines personnes ayant frôlé la mort parlent aussi assurément d'un « Au-delà » ? Qu’en pense le corps médical ? Deux spécialistes dans ce domaine apportent des réponses à ces questions dans le documentaire « After Life ».
 
© Jupiter-Films
Dans notre société, parler de la mort n’'est pas facile. Envisager qu(’il puisse y avoir une fin, se préparer à « perdre » un être cher et à vivre « sans » sont autant d'’éventualités effrayantes auxquelles la plupart d’'entre nous refusent de penser. Pourtant, une question, vieille comme le monde, nous a tous traversé l’'esprit un jour : que se passe t'’il une fois que l’'on meurt ? « Je crois que quand on meurt, c'’est comme une bougie qui s’'éteint, les gens décèdent et l'’esprit ne peut survivre hors du corps. » Interrogées au hasard dans la rue au sujet de la mort et de l’'au-delà, plusieurs personnes témoignent dans le documentaire « After Life » et font part de leurs croyances personnelles. Il y a celles pour qui ne rien pouvoir envisager après la vie est difficilement concevable : « Je pense que notre âme est une force puissante, chargée d’'émotions, et je ne peux pas croire que quand nous mourons, tout est terminé. » Pour d'’autres personnes, en revanche, l'’idée même d'’un au-delà semble inimaginable : « Je crois qu'’il n’'y a rien. Les gens meurent et après c'’est fini. Je ne pense pas qu'’il y ait d’ascension mystique... ». Comment savoir ce qui nous attend ?


L’'au-delà, la preuve par l’'expérience ?


Si les nombreuses références religieuses évoquant les notions de Paradis et de réincarnation font partie de notre culture et de notre système de croyances, d’'autres éléments beaucoup plus troublants persuadent définitivement certaines personnes de l'’existence d'un au-delà, comme les expériences de mort imminente (EMI). Ce phénomène peut survenir lorsqu’'une personne frôle la mort comme lors d'’un accident de voiture, d'’une opération, d'’une maladie grave, d’'un arrêt cardiaque, mais pas seulement. Un danger psychique ou physique, une chute ou une peur conséquente n’'entraînant pas de conséquence physique peuvent également déclencher une EMI.

Pendant quelques instants, ces personnes accèdent à un autre monde, une autre réalité. C'’est ce qui est arrivé à Martha. En 1974, au cours d’'une sortie en ski nautique, s'’étant accroché le bras à la corde, Martha a été traînée sous l'’eau et a bien failli se noyer « Je me suis retrouvée dans un tunnel obscur. Il y avait des fleurs magnifiques et des couleurs que l’'on ne voit pas sur Terre. J’'avais toujours un corps, mais ce n’'était pas mon corps physique. C’'était comme un corps de lumière. Je me suis retrouvée dans l’'Univers au milieu des étoiles et des galaxies et cela m’'a paru normal, comme si j’'étais chez moi. Et puis, je me suis retrouvée dans mon corps. Je n'’ai pas eu de discussion, ni d'’argument avec qui que ce soit. Je n’'ai pas eu le choix. Je ne savais pas du tout comment réagir à cette expérience. Cela s'’est passé un an avant que ne soient publiés les premiers ouvrages sur les EMI. Je ne savais pas ce que c'’était et quand je l’'ai dit à ma famille, ils ont refusé de croire que j'’avais vécu ça. Ça leur faisait peur et ils ne voulaient pas l’'entendre. » Cette expérience, profondément marquante, modifie souvent la façon de percevoir la mort et les croyances à son sujet. Comme l'’explique Martha : « Ce qui ressort de mon expérience d’'EMI, c'’est que, depuis, je me sens beaucoup plus en phase avec ce qu'’il y a de l’'autre côté, avec le ciel, avec cette énergie là. Je n'’ai absolument plus peur de la mort. » Plusieurs études indiquent qu’'en moyenne, 4% de la population vivrait ce genre d’'expériences. Pour la France, cela concernerait environ 2, 5 millions de personnes. Qui sont-elles ? Comment les croire et surtout quels éléments permettent de penser que ces expériences ne sont pas le fruit d’'hallucinations ?


Quand le corps médical se confronte à la question


Des médecins s'’intéressent au sujet depuis de nombreuses années, à l’'image du Dr Jeffrey Long, co-auteur du livre « preuve d’'une vie après la mort » et à l’'initiative de la création de la fondation sur les expériences de mort imminente. Il a recueilli des milliers de témoignages à travers le monde et dans toutes cultures afin de les analyser et de noter leurs similitudes. Les personnes qui vivent une expérience de mort imminente évoquent généralement les mêmes souvenirs : le tunnel, la lumière, le sentiment de calme et de paix, la rencontre avec des êtres chers décédés et/ou avec des guides spirituels, la sensation de baigner dans un amour absolu, la vision de paysages magnifiques, le passage en revue de la vie. Chaque expérience est différente et ne comporte pas forcément l’'ensemble de ces éléments. Pour le Dr Jeffrey Long « Depuis des milliers d'’années, les grandes religions, ou d'’autres cultes ou philosophies nous ont dit d'’avoir foi en la vie éternelle, de croire qu'’il y a autre chose que ce que l'’on voit et que ce que l’'on vit durant notre expérience terrestre, que l’'on est plus que cela, que l’'on est des êtres magnifiques, que l’'on continue à vivre après la mort. Le plus incroyable, c’'est que ce message de foi spirituelle, affirmé dans d’'innombrables cultures depuis des milliers d’années peut être prouvé.»

D'’après ce médecin, l’'un des éléments les plus flagrant prouvant qu'’il existe une vie après la mort, est la sortie hors du corps vécue par près de la moitié de ceux et celles qui vivent un expérience de mort imminente. Alors qu'’ils sont entre la vie et la mort, ils voient et entendent tout ce qu’'il se passe au-dessus de leur corps et sont capables, une fois revenus à la vie, de restituer chaque parole prononcée par les chirurgiens et infirmières. C'’est ce qui est arrivé à Lupita Kirckland. Après avoir traversé une baie vitrée qu’'elle n’avait pas vu, elle s'’est retrouvée avec de multiples coupures sur tout le corps et avec de nombreuses veines sectionnées : « J'’ai compris que j’allais mourir. J'’ai vu mon corps de loin, je flottais dans la pièce et j'’ai vu ma mère aller chercher le médecin. Elle hurlait, elle pleurait et elle m’'a fait de la peine. Je voulais la consoler, lui dire que j’'allais bien. Même si j’'ai eu peur au début quand je me suis détachée de mon corps, une sensation incroyable de paix m'’a envahi. Et j'’ai su que tout irait bien et que je retournais dans un endroit qui était chez moi. Je voulais partager tout cela avec mes parents, leur dire que tout allait bien, mais je ne pouvais plus leur parler et je voyais mon cadavre sur le lit. C'’est là que le médecin est arrivé, je me souviens qu'’il a dit Oh mon Dieu, elle va y passer. J’'ai vu le tunnel, il semblait être fait de nuages sombres. Au bout du tunnel, il y avait de la lumière et dans cette lumière, j'’ai vu l'’image de ce que j’'ai pensé être la Vierge Marie. J’'ai revu ma vie avec elle. On a parlé de ma mission dans cette vie. Ensuite, on a décidé qu'’il fallait que je revienne. J’'ai compris que je n'’avais pas rempli ma mission. J'’ai été aspirée comme ça. En tout cas, j’'ai senti que mon âme rentrait dans mon corps avec force. J'’ai compris que le médecin m'’opérait. J'’ai senti une douleur intense dans la poitrine. Toute cette douleur physique est revenue dans mon corps. J'’essayais d’'aspirer le plus d’'air possible dans mes poumons. Il me fallait de plus en plus d'’air. Puis le médecin a dit Elle est sauvée ! Elle est sauvée !

Le Dr Raymond Moody, médecin et docteur en philosophie est mondialement connu pour être le premier à avoir étudié en détail les témoignages de personnes ayant vécu une expérience de mort imminente. Dans le documentaire « After Life », il aborde une des autres similitudes fréquemment citées : « Bon nombre de personnes qui sont passées par ces expériences en reviennent profondément transformées, le changement le plus flagrant s'’observe chez ceux qui ont recherché toute leur vie la connaissance, la célébrité, le pouvoir ou l'’argent et tout ce genre de choses. Lorsqu'’ils reviennent, ils déclarent qu'’à leurs yeux, la chose la plus importante est d'’apprendre à aimer. » Lupita Kirckland, déclare par exemple : « Quand je suis revenue, je n’'étais plus la même. J’'étais quelqu'’un d’'autre, plus spirituelle, avec plus de compassion pour les autres. J'’étais plus à l’'écoute des autres et j’'avais plus d’'amour à donner. » Lorsqu'’elle était adolescente, Jenny Somers a fait une chute de quatre mètres. Son expérience de mort imminente a profondément modifié sa façon de voir la vie « Il s'’agit de se reconnecter avec la personne que l’'on est vraiment. Il faut se reconnecter à un esprit universel qui est là. Mais nous sommes souvent séparés de notre source. Alors on essaie de se connecter à d'’autres gens, aux objets. Cette personne là va me rendre heureuse, cette voiture là va me combler. Nous essayons de nous ressourcer auprès des autres dans cette dimension ci. Mais si, on se reconnecte à la source, là on est épanoui. Maintenant, je réalise que je n’'avais pas besoin de toutes ces choses extérieures, mais que je peux être cette lumière, cette mémoire, cette énergie qui nous rappelle de ne pas nous connecter entre nous, mais à la source elle-même. »

Enfin la plupart des personnes témoignant de leur expérience évoquent également le fait de ne plus avoir peur de la mort. Pour le Dr Raymond Moody : « Nous pouvons affirmer aux gens qu'’ils n’ont plus de raison d'’avoir peur de la mort. Nous pouvons travailler sur cette peur grâce aux informations solides dont nous disposons, qui sont porteuses d'’espoir pour les gens qui ont perdu des proches. Perdre un être aimé est l’'une des expériences les plus douloureuses de la vie terrestre, et c'’est un réconfort de savoir qu’'il y a un autre monde dans l'’au-delà, dans lequel nous retrouvons les êtres aimés et continuons la relation avec eux. »

S'’il est difficile de prouver scientifiquement qu’'il existe une vie après la mort, ces personnes ayant vécu une expérience de mort imminente nous interrogent sur nos modèles de croyance. Et si ces questions sur la mort et sur l'au-delà nous invitaient finalement à vivre différemment, ici et maintenant ?


Le DVD du documentaire After Life est disponible sur le site Jupiter-Films »
et sera également en vente dans les réseaux de distribution classiques dès le 5 février 2013.
 
 
Afterlife, La Vie après la Vie,
Réalisé par Paul Perry
Jupiter Communications (Octobre 2012)
 
 
 
 
 
 
 

http://www.inrees.com/articles/Au-dela-Quand-nos-croyances-basculent/

La vie après la mort : quand les scientifiques s'en mêlent ! Le Programme des 2ème rencontres internationl as sur les expériences de mort imminente à Marseille.

De quoi nous débarrasser de la peur de la mort et de mettre le haut-là aux élites qui instrumentalisent la peur contre nous depuis des millénaires.

 

Curieuses toutes ces révélations des scientifiques dans la période de l'expansion de conscience de l'Humanité ?

 
LE PROGRAMME DES 2EMES RENCONTRES INTERNATIONALES SUR LES EXPÉRIENCES DE MORT IMMINENTES A MARSEILLE
 

LE PROGRAMME DES 2EMES RENCONTRES INTERNATIONALES SUR LES EXP

 

La preuve du paradis ? Le récit du neurochirurgien qui ne croyait pas à la vie après la mort avant d'en fair e l'expérience

Encore un témoignage scientifique de l'existence de la vie après la mort et témoignage donné par un neurochirurgien.

Paradis

Publié le 11 octobre 2012
 
Le magazine Newsweek évoque le cas d'Eben Alexander, ce neurochirurgien qui ne croyait pas à la vie après la mort avant d'en faire l'expérience.

Le magazine Newsweek évoque le cas d'Eben Alexander, ce neurochirurgien qui ne croyait pas à la vie après la mort avant d'en faire l'expérience. Crédit DR

Il a vu la lumière, et bien plus… C'est l'histoire incroyable d'un grand neurochirurgien américain, Eben Alexander, pour qui tous les récits de vie après la mort racontés par des personnes sorties d'un coma plus ou moins long ne sont que des bêtises, des balivernes.  Mais son monde bascule un jour de novembre 2008 comme il l'explique dans son livre Proof of Heaven ("Preuve du paradis") mais également dans un article publié dans l'hebdomadaire américain Newsweek.

Alors qu'il se lève comme tous les matins à 4 heures 30 pour se préparer à aller au travail, Eben Alexander, qui a passé quinze ans à enseigner la neurologie à la prestigieuse université d'Harvard mais aussi à l'Université de Virginie, est pris soudainement d'une intense douleur au bas du dos. A peine une quinzaine de minutes plus tard, il est paralysé de douleur et a du mal à se mouvoir.  Sa femme accourt à son secours puis appelle les urgences alors que son mari est pris de convulsion. Et là, le trou noir.

Victime d'une forme très rare de méningite foudroyante, Eben Alexander se retrouve en effet dans le coma. Après une semaine passée dans cet état, le neurochirurgien âgé de 58 ans se réveille finalement à l'hôpital. Si sa femme et ses enfants n'ont pas changé, lui, en revanche n'est plus du tout le même.

Pendant que son cerveau ne montrait quasiment aucun signe d'activité, l'homme qui n'avait jamais cru à la vie après la mort, a en effet vécu une "odyssée lumineuse et parfaitement cohérente" comme il l'explique. Et le neurochirurgien de décrire un monde qui ressemble beaucoup aux clichés du paradis véhiculés par les livres et les films. "Au début de mon odyssée, je me suis retrouvé dans un endroit rempli de gros nuages roses et blancs […]. Bien au-dessus de ces nuages, des êtres chatoyants se déplaçaient en arc de cercle dans le ciel, laissant de longues trainées derrière eux. Des oiseaux ? Des anges ? […] Aucun de ces termes ne fait vraiment justice à ces êtres qui étaient différents de tous ce que j'avais pu voir sur terre. Ils étaient plus avancés. Des êtres supérieurs".

Eben Alexander se rappelle également avoir entendu "un son, en plein essor comme un chant céleste qui venait d'au-dessus" qui lui a procuré beaucoup de joie, et avoir ensuite été accompagné dans son aventure par une femme. "Elle était jeune, je me souviens d'elle dans les moindres détails. Elle avait des pommettes hautes, et des yeux incroyablement bleus ainsi que des tresses châtains qui encadraient son beau visage" explique-t-il  avant d'ajouter qu'ils se déplaçaient tous les deux sur les ailes d'un papillon. "En fait, des millions de papillons nous entouraient […]. C'était comme une rivière de vie et de couleur se mouvant dans les airs".

Un coup de folie ? Trop de morphine ? Eben Alexander se rend bien compte que beaucoup ne le croiront pas. Mais il assure que tout était bien réel et qu'il ne s'agissait pas "d'une fantaisie, éphémère et inconsistante". Difficile pourtant de démêler le vrai du faux. Le pourra-t-on d'ailleurs un jour ? Le neurochirurgien y compte bien puisque il a annoncé vouloir "passer le reste de sa vie à enquêter sur la nature véritable de la conscience, et prouver à ses pairs scientifiques mais aussi au reste du monde que nous sommes bien plus que seulement nos cerveaux". Toujours est-il que l'histoire de ce neurochirurgien qui ne croyait pas à la vie avant la mort avant d'en devenir lui-même témoin a interpellé Newsweek qui en a fait sa une : "Le paradis est bien réel".

http://www.atlantico.fr/decryptage/preuve-paradis-recit-n...


La vie après la mort existe, selon un des meilleurs neurochirurgiens

Dr Eben Alexander, un neurochirurgien ayant étudié à Harvard, est tombé dans le coma pendant sept jours en 2008, suite à une méningite.

Pendant sa maladie, le Dr Alexander raconte que la partie de son cerveau qui contrôle la pensée humaine et les émotions s'est "éteinte" [ndt: "shut down"] et qu'il a expérimenté "quelque chose de profond qui m'a donné une raison scientifique de croire à la conscience après la mort.

Dans un dossier pour le magazine américain Newsweek, pour la promotion de son livre "La Preuve du Paradis" [ndt: "Proof of Heaven"], le Dr Alexander affirme qu'il a rencontré une belle femme aux yeux bleus dans un "lieu fait de gros nuages roses et blancs" et "d'êtres scintillants"

Il continue: "Des oiseaux? des anges? ces mots sont venus plus tard, quand j'écrivais mes souvenirs. Mais aucun de ces mots ne rend justice à ces êtres eux-mêmes. Ils étaient plus avancés; des formes supérieures" [ndt: "Higher forms"]. Le Docteur ajoute: "un glorieux chant tonitruant et immense est descendu d'en haut et je me suis demandé si ces êtres ailés le produisait. Le son était palpable, presque matériel, comme une pluie que vous sentez sur votre peau mais qui ne vous mouille pas".

Le Dr. Alexander raconte qu'il a entendu des histoires de patients qui parlaient d’expériences hors du corps, qu'il les discréditait en parlant "d'espoir secret"[ndt:"Wishful Thinking"] mais qu'aujourd'hui il reconsidère suite à son expérience.

Il ajoute: "Je sais très bien que cela a l'air extraordinaire, et complètement incroyable. Si quelqu'un, même un docteur, m'avait raconté une histoire de ce genre à l'époque, j'aurai été sûr qu'il était sous le coup d'une hallucination. Mais ce qui m'est arrivé, loin d'être hallucinatoire, était réel, plus réel que tous les évènements de ma vie. Y compris mon mariage et la naissance de mes enfants".

"J'ai passé des années en tant que neurochirurgien dans les institutions médicales les plus prestigieuses de notre pays [ndt:la Grande-Bretagne]" poursuit-il "Je sais que de nombreux confrères (dont je faisais partie, avant mon experience), soutiennent la théorie que le cerveau, le cortex en particulier, génère la conscience et que nous vivons dans un univers dépourvu de toute émotion, surtout pas l'amour inconditionnel que Dieu et l'univers nous porte, dont je sais désormais qu'il existe."

"Mais cette théorie, cette croyance, gît désormais à nos pieds. Ce qui m'est arrivé l'a détruite"
 
 

 

Livre : La mort est un nouveau soleil. Par le Dr Elisabeth Kubler-Ross

Vous remarquerez que de plus en plus scientifiques écrivent des livres sur la vraie nature énergétique et lumineuse de l'homme, s'appuyant sur leurs travaux et sur leurs recherches.


Quand les hommes auront compris que la mort n'existe pas et qu'elle n'est que la renaissance et le retour de l'âme Divine à son état de pure lumière inconditionnelle, et qu'ils n'ont jamais été séparés de leur source créatrice ni de leur âme Divine ou de leur double Christique. Dès que les hommes auront compris tout cela, alors ils n'auront plus peur ni de la mort, ni de qui que ce soit.


C'est sur cette peur de la mort et d'être jugés par notre Père Eternel, que les élites ont construit leur fonds de commerce et qu'ils nous tiennent depuis des millénaires avec les peurs, leurs mensonges et leurs manipulations mentales incessantes.

Les hommes ne pourront que rendre grâce à leur Père Eternel pour avoir tenu toute sa promesse de nous avoir laissé notre libre-arbitre et de nous avoir accordé la vie éternelle.

Il serait sans doute temps de nous réveiller pour demander d'être débarrassés de notre karma, ici et maintenant, afin que nous puissions entrer dans le nouveau monde de lumière, débarrassés d'un poids que notre Père Eternel ne nous demande pas de porter, mais de nous en libérer en demandant pardon pour toutes nos erreurs et notre grande ignorance pour l'avoir laissé calomnier, de l'avoir écarté de nos vies, et d'avoir douté de lui.

Remercions-le et rendons-lui grâce pour tous les merveilleux cadeaux qu'il n'a de cesse de nous faire à chaque seconde de notre vie.

Qui a encore peur d'ascensionner et qui craint encore de mourir ?

Est-il utile que qui que ce soit vienne nous sauver ? Et pour nous sauver de quoi par exemple ? Du monde de lumière ?


Thursday, September 06, 2012

La mort est un nouveau soleil. Par le Dr Elisabeth Kubler-Ross

 

la mort est un nouveau soleil.jpg


Le trépas, les trois étapes de la mort

 
 



Après avoir étudié plus de 20 000 cas de personnes déclarées cliniquement mortes et rappelées à la vie, le Docteur Elisabeth Kubler-Ross expose sa compréhension du processus de la fin de vie :
 
« Je voudrais vous expliquer très sommairement ce que chaque être va vivre au moment de la mort. Et cette expérience est générale, donc indépendante du fait que vous soyez aborigène d'Australie, hindou, musulman, chrétien ou incroyant ; elle est également indépendante de votre âge ou de votre statut socio-économique. Car il s'agit d'un événement purement humain, comme le processus normal d'une naissance est un événement purement humain.
 
L'expérience de la mort est presque identique à celle de la naissance. C'est une naissance dans une autre existence qui peut être prouvée d'une façon tout à fait simple. Pendant deux mille ans on vous a invités à « croire » aux choses de l'au-delà. Pour moi ce n'est plus une affaire de croyance mais une affaire de connaissance. [...]
 
Au moment de la mort il y a trois étapes. Avec le langage que j'utilise pour de très jeunes enfants mourants, je dis que la mort physique de l'homme est identique à l'observation que nous pouvons faire lorsque le papillon quitte le cocon. Le cocon et sa larve sont le corps humain passager. Ils ne sont toutefois pas identiques à vous, n'étant qu'une maison provisoire, si vous pouvez l'imaginer ainsi. Mourir est tout simplement déménager dans une plus belle maison, symboliquement s'entend.
 
Dès que le cocon est endommagé de façon irréversible, que ce soit par suicide, meurtre, infarctus ou maladie chronique peu importe comment — il va libérer le papillon, c'est-à-dire votre âme. Dans cette deuxième étape, lorsque votre papillon — toujours symboliquement — a quitté son corps, vous vivrez des événements importants que vous devez savoir pour ne plus jamais avoir peur de la mort.

Dans la deuxième étape vous serez approvisionné en énergie psychique, alors que dans la première étape vous l'êtes en énergie physique. Dans cette dernière vous avez besoin d'un cerveau qui fonctionne, c'est-à-dire d'une conscience éveillée, pour pouvoir communiquer avec les autres. Dès que ce cerveau — ou ce cocon — est trop endommagé, vous n'avez évidemment plus de conscience éveillée. Au moment où celle-ci vous manque, c'est-à-dire quand le cocon est endommagé au point que vous ne puissiez plus respirer et que vos pulsations cardiaques et vos ondes cérébrales ne puissent plus être mesurées, le papillon se trouve déjà à l'extérieur du cocon. Ce qui ne veut pas dire que vous êtes déjà mort, mais que le cocon ne fonctionne plus. En quittant ce cocon, vous arrivez dans la deuxième étape de l'énergie psychique. Les énergies psychique et physique sont les deux seules énergies que l'homme puisse manipuler. [...]
 
Dès que vous êtes un papillon libéré, c'est-à-dire dès que votre âme a quitté le corps, vous vous apercevez tout d'abord que vous voyez tout ce qui se passe sur le lieu de votre mort, dans la chambre de malade, sur le lieu de l'accident ou là où vous avez quitté ce corps. Vous ne percevez plus alors ces événements avec votre conscience mortelle, mais avec une perception nouvelle. Vous enregistrez tout, et ce au moment où vous n'avez plus de tension artérielle, où vous n'avez plus ni pouls ni respiration, parfois même en l'absence d'ondes cérébrales. Vous savez exactement ce que chacun dit et pense et comment il se comporte. Et vous pourrez par la suite dire avec précision qu'on a dégagé le corps de la voiture accidentée avec trois chalumeaux de découpage. Il y a même eu des personnes qui nous ont précisé l'immatriculation de la voiture qui les avait renversées mais qui avait poursuivi sa route. On ne peut expliquer scientifiquement que quelqu'un qui n'a plus d'ondes cérébrales puisse encore lire une immatriculation. Les savants doivent être humbles. Nous devons accepter avec humilité qu'il y ait des millions de choses que nous ne comprenons pas encore. Mais cela ne veut pas dire que ces choses, uniquement parce que nous ne les comprenons pas, n'existent pas ou ne sont pas réalités. » [...]
 
Le retour de compagnons de jeu
 
Selon les témoignages recueillis par la doctoresse, au moment du trépas, il y aurait le « retour » de présences, les compagnons de jeu de l'enfance.
 
« Dans cette deuxième étape, explique Elisabeth Kubler-Ross, vous vous apercevez également qu'aucun être humain ne peut mourir seul, non seulement parce que le mort est en mesure de rendre visite à n'importe qui, mais également parce que des gens qui sont morts avant vous, et que vous aimiez, vous attendent toujours. Et puisque le temps n'existe pas, quelqu'un qui à vingt ans a perdu un enfant, peut en mourant à quatre-vingt dix-neuf ans retrouver son enfant comme enfant, puisque pour ceux de l'autre côté une minute peut avoir la durée de cent ans de notre temps. Ce que l’'glise raconte aux petits enfants à propos de leur ange gardien est basé sur des faits, car il est prouvé que chaque être, de sa naissance à sa mort, est accompagné d'êtres spirituels. Chaque homme a de tels guides, que vous le croyiez ou non, et que vous soyez juif, catholique ou sans religion n'a aucune importance. Car cet amour est inconditionnel, et c'est pourquoi à chaque homme est fait le cadeau d'un guide. Ce sont eux que mes petits enfants appellent « compagnons de jeu ». De tout petits enfants parlent avec leurs « compagnons de jeu » et en sont parfaitement conscients. Mais dès qu'ils entrent à l'école, les parents leur disent : « Maintenant tu es grand. Tu vas à l'école. Il ne faut plus jouer à ces enfantillages ». Ainsi on oublie qu'on a des « compagnons de jeu », jusqu'à ce qu'on se trouve sur son lit de mort. Et soudain une vieille femme qui meurt me dit : « Le voilà à nouveau ». Et sachant de quoi elle parle, je demande à cette femme de partager avec moi ce qu'elle vient de vivre. Et elle m'explique : « Voyez-vous, lorsque j'étais petite, il était toujours avec moi. Mais j'avais complètement oublié qu'il existait. » Et le lendemain elle meurt, heureuse de savoir que quelqu'un qui l'a beaucoup aimée l'attend à nouveau.
 
En général vous êtes attendu par la personne que vous aimiez le plus. C'est elle que vous rencontrez toujours en premier. Chez les tout petits enfants de deux ou trois ans par exemple, dont les grands-parents et parents ainsi que les autres membres de la famille sont encore en vie, c'est en général leur ange gardien personnel qui les accueille, ou ils sont reçus par Jésus ou un autre personnage religieux. Je n'ai jamais fait l'expérience qu'un enfant protestant ait vu Marie au moment de sa mort, alors qu'elle est aperçue par de nombreux enfants catholiques. Il ne s'agit pas là d'une discrimination, mais ils sont tout simplement attendus de l'autre côté par ceux qui ont eu pour eux le plus d'importance.
 
Après avoir réalisé dans cette deuxième étape l'intégralité retrouvée du corps et rencontré ceux que l'on aime, on prend conscience que la mort n'est qu'un passage dans une autre forme de vie. On a abandonné les formes physiques terrestres car on n’en a plus besoin. Et avant de quitter son corps pour prendre la forme que l'on aura dans l'éternité, on passe par une phase de transition entièrement empreinte par des facteurs culturels terrestres. Il peut s'agir du passage d'un tunnel ou d'un portail ou de la traversée d’un pont. En tant qu'originaire de la Suisse j'ai pu traverser un col alpin avec des fleurs sauvages. Chacun a le ciel qu'il imagine. Et pour moi, le ciel c'est évidemment la Suisse, avec des montagnes et des fleurs sauvages. J’ai pu vivre cette transition comme un col alpin de toute beauté dont les herbages étaient si colorés de fleurs qu’'ils me faisaient l'effet d'un tapis persan.
 
Et ensuite, dès que vous avez accompli ce passage, une lumière rayonne au bout. Et cette lumière est plus que blanche, elle est d’une clarté absolue. Et au fur et à mesure que vous approchez cette lumière, vous êtes rempli du plus grand amour, indescriptible et inconditionnel, que vous puissiez imaginer. Il n'y a pas de mots pour le décrire.
 
Lorsque quelqu'un a une expérience du seuil de la mort, il ne peut regarder cette lumière que très brièvement. Et il faut qu'il retourne tout de suite sur terre. Mais lorsque vous mourez — je veux dire mourir définitivement —, ce contact entre le cocon et le papillon que l'on pourrait comparer à un cordon ombilical (« cordon d'argent ») est rompu. Après, il n'est plus possible de retourner dans le corps terrestre. Mais vous ne voulez de toute façon pas y retourner, car lorsqu'on a vu la lumière, personne ne veut plus revenir. Et dans cette lumière vous vous rendez compte pour la première fois de ce que l'homme aurait pu être. Vous y vivez la compréhension sans jugement, vous y vivez un amour inconditionnel, indescriptible. Et dans cette présence que beaucoup appellent Christ ou Dieu, Amour ou Lumière, vous réalisez que toute votre vie ici-bas n'est qu'une école par laquelle vous devez passer, que vous devez apprendre certaines choses et passer certains examens. Quand vous avez terminé le programme et réussi les examens, vous pouvez rentrer. » […]
 
Le savoir total de la troisième étape
 
« Dans cette Lumière, poursuit Elisabeth Kubler-Ross, en présence de Dieu, du Christ, ou quel que soit le nom que vous lui donniez, vous devez regarder toute votre vie terrestre, du premier jour jusqu'au jour de la mort. En revoyant votre propre vie, vous êtes dans la troisième étape. Dans cette étape vous ne disposez plus de la conscience de la première étape ou de cette possibilité de perception de la seconde étape. Maintenant vous possédez le savoir. Vous connaissez exactement chaque pensée que vous avez eue à tout moment de votre vie, vous connaissez chaque acte que vous avez accompli et chaque parole que vous avez prononcée. Mais cette possibilité de se souvenir n'est qu'une infime partie de votre savoir total. Car au moment où vous regardez encore une fois toute votre vie, vous réalisez toutes les conséquences qui ont résulté de chacune de vos pensées, de chacun de vos mots et de chacun de vos actes. »

Elisabeth Kubler-Ross, La mort est un nouveau soleil.

La mort est un nouveau soleil

Un voyage fabuleux au-delà du monde sensible. Les expériences scientifiques du docteur Kübler-Ross, reconnues dans le monde entier, permettent de confirmer l'existence d'une vie après la mort. Il s'agit bien du passage à un autre état de conscience dans lequel on continue à sentir, à voir et entendre, à s'épanouir. Les témoignages saisissants livrés ici en sont la preuve. La mort est renaissance et vie. La mort est un nouveau soleil.

E. Kübler-Ross a développé un dispositif d'écoute de malades incurables (...). Elle a notamment mis au jour cinq phases du mourir qui servent aujourd'hui de référence à la pratique des soins palliatifs.