22/08/2011
Carnage de l’OTAN à Tripoli par Thierry Meyssan
Des nouvelles en direct de Libye par Thierry Meyssan.
http://rutube.ru/tracks/4741787.html?v=ffec3b7bf55c46685c...
De Tripoli, Thierry Meyssan relate le carnage dont il est le témoin. Article posté lundi à 0h35.

Samedi 20 août 2011, à 20h, c’est-à-dire lors de l’Iftar, la rupture du jeûne de Ramadan, l’Alliance atlantique a lancé « l’Opération Sirène ».
Les Sirènes sont des hauts-parleurs de mosquées qui ont été utilisées pour lancer un appel d’Al Qaeda à la révolte. Immédiatement des cellules dormantes de rebelles sont entrées en action. Il s’agissait de petits groupes très mobiles, qui ont multiplié les attaques. Les combats de la nuit ont fait 350 morts et 3000 blessés.
La situation s’est stabilisée dans la journée de dimanche.
Un bateau de l’OTAN a accosté à côté de Tripoli, livrant des armes lourdes et débarquant des jihadistes d’Al Qaeda, encadrés par des officiers de l’Alliance.
Les combats ont repris dans la nuit. Ils ont atteint une rare violence. Les drones et les avions de l’OTAN bombardent tous azimuts. Les hélicoptères mitraillent les gens dans les rues pour ouvrir la voie aux jihadistes.
Dans la soirée, un convoi de voitures officielles transportant des personnalités de premier plan a été attaqué. Il s’est réfugié à l’hôtel Rixos où séjourne la presse étrangère. L’OTAN n’a pas osé bombarder pour ne pas tuer ses journalistes. L’hôtel, dans lequel je me trouve, est assailli sous un tir nourri.
A 23h30, le ministère de la Santé ne pouvait que constater que les hôpitaux sont saturés. On comptait pour ce début de soirée 1300 morts supplémentaires et 5000 blessés.
L’OTAN avait reçu mission du Conseil de sécurité de protéger les civils. En réalité, la France et le Royaume-Uni viennent de renouer avec les massacres coloniaux
1h00 Khamis Kadhafi vient personnellement d’apporter des armes pour défendre l’hôtel. Il est reparti. Les combats sont très durs alentour.
http://www.voltairenet.org/spip.php?page=liste-article&am...
03:07 Publié dans 3ème guerre mondiale en préparation, Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Alertes, Disparitions, France/Israël/Elections, OTAN, Urgence. Survie | Lien permanent | |
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29/07/2011
Israël : TEL-AVIV : Les Israéliens se révoltent dans le plus grand silence médiatique !
Un mouvement de protestation historique éclate en Israël sous le silence médiatique !
26 juillet. A TEL AVIV Le mouvement de masse continue depuis 5 jours, sans relais médiatiques (dans le pays) :
Environ 30.000 manifestants ont défilé à Tel-Aviv, hier soir, avec des militants pour la justice sociale bloquant les rues du centre et des chants de « Moubarak. Assad. Netanyahu dehors » remplissant l’air.
Tel-Aviv la police a arrêté 42 « activistes », qui est un nombre extrêmement rare », sinon sans précédent, ». Les manifestations font partie d’un vaste mouvement qui a commencé comme une opposition à la hausse des prix des logements, et est toujours centrée autour de cette question, mais s’est propagé à la justice sociale et d’autres causes progressistes.
Ces protestations sont décrites comme « le plus grand défi Netanyahu sur le front intérieur », et montrent que la gauche progressiste en Israël s’est réveillée.
"Nous voulons la justice sociale !" - 972 Magazine.
Changement en Israël peut-être à venir. Ces protestations, qui ont commencé par la colère contre à la hausse des prix de location dans les villes à travers le pays, et a été alimentée par la réponse du gouvernement Netanyahou, qui, initialement, avec une rhétorique hostile, l'a rejetée comme étant partie d’un grand mouvement de gauche étant financé et tenu par le New Israël Fund. La rhétorique initiale, qui a affirmé que les manifestations n’étaient pas d’autre chose que la « gauche sioniste" de l’agenda politique, a seulement servi à augmenter la colère des manifestants.
Ces réactions de Netanyahu et d’autres responsables gouvernementaux ont servi à élargir les protestations, qui ont maintenant dépassé la question des prix des loyers pour des questions de justice sociale : droits des femmes, droits syndicaux et la réforme de l’éducation, entre autres choses…
http://www.alternet.org/newsandviews/article/639318/israe...
Tsypora Betito - Jeudi 28 juillet 2011 à 15:32

22:50 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, International, Israël, Palestine, Colonisation, Révolution | Lien permanent | |
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Israël : Les Israéliens se révoltent !
Une première à ne pas manquer, et qui se fait sous le silence médiatique en Israël ! Une vidéo et quelques articles à diffuser largement autour de vous.
La colère de la rue ne retombe pas
http://www.youtube.com/watch?v=O43FgsNtrPI&feature=player_embedded
Infolive.tv - Actualité Israël - Au lendemain du plan présenté par Benyamin Netanyahou pour résoudre la crise du logement en Israël, la colère de la rue ne retombe pas. Lundi soir, plusieurs rassemblements ont encore eu lieu dans les villes de Tel Aviv et Haifa, ou une dizaine de personnes ont été arrêtées après avoir tenté de bloquer le trafic. Dans leur ensemble, les protestataires rejettent les mesures proposées par le premier ministre israélien, estimant qu'elles sont largement insuffisantes. Le plan « accès au logement » prévoit notamment la création de 10.000 chambres étudiantes et la réduction du prix des transports en commun pour les jeunes.
La révolte des tentes à Tel-Aviv
Le Figaro - il y a 4 jours
Israël semble s'être converti au camping estival. ... «Ce n'est pas seulement un mouvement de jeunes, c'est la révolte des classes moyennes», ...
« Révolte des tentes » en Israël contre l'envolée des prix du logement L'Orient-Le Jour
ISRAËL - Ici aussi, les jeunes s'indignent et veulent que ça change Courrier International
Des dizaines de milliers de manifestants à Tel-Aviv contre les ... AFP
Israël: la grogne des "indignés" monte
La colère de la rue ne retombe pas.
Peut être la fin de la crise du logement
Israël : manifs contre la hausse du prix de l'immobilier
Netanyahu lance une réforme du logement pour calmer la rue
Les israéliens , en révolte contre le "capitalisme sauvage ...
Netanya : les francophones rejoignent la protestation
Israël : Des milliers de manifestants réclament le départ de Netanyahu
Le PM israélien annonce des réformes radicales pour résoudre la ...
En Israël, les mouvements de protestation s'amplifient
Des dizaines de milliers de manifestants à Tel-Aviv contre les ...
Manifestation à Tel Aviv pour le prix du logement
Au moins 10.000 tel-avivis manifestent contre les prix des logements
« Révolte des tentes » en Israël contre l'envolée des prix du logement
ISRAELVALLEY - LA CRISE DU LOGEMENT VA PRENDRE CE WEEK-END UNE ...
22:37 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, International, Israël, Palestine, Colonisation | Lien permanent | |
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09/05/2011
La Knesset prive les Arabes israéliens de Nakba
Ils n'ont plus le droit de fêter la Nakba. Ils en sont au 63e anniversaire de la colonisation de la Palestine par les sionistes.
La Knesset prive les Arabes israéliens de Nakba
La possibilité d'une telle loi avait été régulièrement évoquée ces dernières années, mais les propositions avaient toujours fini par retomber dans un silence embarrassé. Le vote de la semaine dernière, comme les débats et les atermoiements qui l'ont précédé, illustrent les difficultés entourant l'élaboration d'une citoyenneté israélienne partagée surmontant les clivages profonds de la société.
Le projet de loi faisait partie d'un train de réformes voulues par le parti nationaliste d'Avigdor Lieberman, Israel Beytenou. La proposition a été pour le moins froidement accueillie par la presse et les états-majors des partis, à telle enseigne que ses partisans l'ont mise au vote en pleine nuit, à 2h45, alors que la Knesset s'était déjà largement vidée de ses membres.
Sa formulation s'est d'ailleurs vue passablement édulcorée. Le projet initial, qui prévoyait une peine de trois ans d'emprisonnement pour quiconque se prêterait publiquement à des cérémonies commémorant la Nakba, a été retoqué.
La cible : la communauté arabe d'Israël
La formule définitive préfère parler d'amendes infligées aux autorités publiques qui financeraient l'organisation d'événements publics commémorant la Nakba en lieu et place du jour de l'Indépendance. Plus exactement, afin de contourner une probable censure de la Cour suprême pour « discrimination » à l'encontre d'une communauté particulière, le terme de « commémoration de la Nakba » a été habilement remplacé dans le texte final par celui d'« organisation d'une journée de deuil ».
Il n'en reste pas moins que la cible est claire, et que c'est bien la communauté arabe du pays, et sa mémoire particulière, que la loi vise. Il ne semble pas, en effet, que quiconque songe à mettre en place une loi semblable à l'encontre de certaines communautés juives ultra-orthodoxes, qui pourtant se détournent également des festivités du jour de l'Indépendance.
Il n'est pas rare, à Jérusalem, de voir des haredim (juifs ultra-orthodoxes) poursuivre ostensiblement, et parfois bruyamment, leurs activités quotidiennes lorsque le reste du pays se fige pour les minutes de silence du Jour de la Shoah et du Jour du souvenir (qui honore les soldats tombés pour le pays, et plus récemment les victimes d'attentats). Si elle n'est certes pas bien vue par la majorité, cette forme de contestation religieuse des commémorations nationales est toutefois tolérée.
Un certain aménagement des diverses mémoires "juive sioniste, juive religieuse et arabe" et de leur commémoration avait en effet jusqu'ici prévalu. Ainsi, par exemple, les Arabes ne s'émeuvaient pas outre mesure du caractère férié, dans tout le pays, d'un jour comme Tisha BeAv, en souvenir de la destruction du temple, bien que cette journée appartienne au récit national juif, et non au leur.
La tolérance en vigueur jusqu'à présent sur la question s'accommodait bien de manifestations pacifiques, sur lesquelles la majorité fermait les yeux avec le présupposé implicite que les ressorts de la mémoire collective sont trop complexes pour être traités avec la légèreté et l'opportunisme dont ont fait preuve les députés à l'origine de la nouvelle loi.
Le député arabe Talab El-Sana a d'ailleurs un trait d'esprit qui résume finement cette attitude :
« Ce que les Israéliens nous interdisent désormais, les Romains en leur temps ne l'interdisaient pas aux Juifs [en référence à Tisha Be-Av, ndlr], alors qu'ils n'étaient pas réputés être de grands démocrates. »
« La Knesset dresse la population contre les minorités »
La droite nationaliste semble ainsi avoir monté en épingle un problème largement secondaire, qui tient désormais le devant de la scène dans un contexte de grande apathie politique. Pour la députée Meretz (gauche sociale-démocrate) Zehava Gal-On, avec cette loi, « la Knesset dresse la population contre les minorités ».
Le contexte de son adoption d'ailleurs est révélateur de la façon dont une minorité active a pu imposer ses vues. Le vote, dans une Knesset fantôme, a été obtenu à une courte majorité de 37 voix contre 25. De nombreux députés se sont faits porter pâles lors des débats. Seulement trois députés de Kadima (premier parti en nombre de sièges) étaient présents, et les dirigeants des principaux partis avaient opportunément pris la tangente.
Ces éléments tendent à discréditer l'argument d'Alex Miller selon lequel le projet récoltait un large consensus. Mais aucune opposition parlementaire ferme et résolue ne s'est pour autant exprimée, ce qui a permis finalement au texte de passer. Il semble bien plutôt qu'instruction ait été donnée de ne pas contrarier un partenaire de la coalition gouvernementale.
Un risque de fragilisation de l'équilibre communautaire
Ce vote ne semble ainsi pas tant refléter une volonté politique forte exprimant l'état de l'opinion qu'un mélange de lâcheté, d'apathie et d'embarras quant aux relations inter-communautaires.
A terme, il risque cependant de remettre en cause les fragiles équilibres internes du pays, de porter gravement atteinte à sa stature internationale, et d'enfermer une partie des citoyens, la minorité arabe, dans un statut instable, qui n'est finalement défini que dans les marges de la majorité juive.
Les Arabes israéliens semblent ainsi condamnés à accepter le statut que l'on veut bien leur accorder au gré des majorités politiques en place, sans aucune perspective à long terme : ni autonomie communautaire, ni égalité républicaine, mais des arrangements approximatifs sur lesquels ils n'ont guère de prise, perdant jusqu'à la libre maîtrise de leur mémoire après avoir déjà perdue celle du territoire, très inégalement réparti entre les communautés.
Gaza: commémoration de la "Nakba"
15/05/2010 | Mise à jour : 13:08
Des milliers de Palestiniens ont manifesté aujourd'hui dans la bande de Gaza pour marquer le 62e anniversaire de la "Nakba", un terme arabe signifiant catastrophe et désignant le début de l'exode des Palestiniens lors de la création d'Israël en 1948.
Les Palestiniens ont manifestés unis samedi, tentant provisoirement de dépasser leurs divergences internes qui opposent les principales factions, le Hamas et le Fatah. Ils ont brandi des drapeaux palestiniens ainsi qu'une clé géante, symbole de leur espoir de retour.
Israël refuse le droit au retour aux Palestiniens, de crainte de voir l'Etat hébreu disparaître. Des centaines de milliers de Palestiniens avaient fui ou avaient été massacrés, chassés de leurs maisons à la suite de la guerre de 1948. On estime à environ 5 millions le nombre de réfugiés palestiniens et leurs descendants au Moyen-Orient.
03:25 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Escroquerie, International, Israël, Palestine, Colonisation, Rothschild, Mafia Kazhar, Sionisme, Oligarchie, LDJ, USA, Israël | Lien permanent | |
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Palestine : La nakba : la catastrophe de mai 1948
Pour que nous ne mourions pas idiots sur l'histoire de la colonisation de la Palestine par les sionistes. Que nous sachions ce que représente la Nakba pour les Palestiniens.
Histoire et colonisation de la Palestine >
La nakba : la catastrophe de mai 1948
le 7/5/2007 8:50:00 (5641 lectures)Tract et analyse du CAP de mai 2007.
Le 14 mai 1948 est le jour de la création de l'État israélien , mais cette date est commémorée par les Palestiniens comme la Nakba , la catastrophe.
L'idée initiale selon laquelle la Palestine était une « terre sans peuple pour un peuple sans terre » a constitué l'un des plus grands mensonges de l'histoire et a servi de justification à la politique sioniste de colonisation.
photo : Camp de réfugié palestinien
Cette catastrophe prend d'abord les formes de la légitimité internationale lorsque l'O.N.U. adopte, le 29 novembre 1947, la Résolution 181, instituant la partition de la Palestine, partition refusée par les Palestiniens parce qu'injuste : 56 % du territoire palestinien est attribué aux Juifs, qui constituaient moins du tiers de la population et possédaient jusque-là à peine 7 % des terres.
Cette catastrophe, c'est aussi la destruction, entre 1947 et 1949, de plus de 500 villages palestiniens, dont le plus connu est Deir Yassine, avec ses 250 habitants massacrés par les forces militaires juives.
Cette catastrophe, enfin, c'est 800 000 Palestiniens expulsés de leurs terres sans que leur droit au retour soit encore reconnu dans les faits. Chassés de leurs terres et niés de tous, les réfugiés (environ 5 millions) attendent toujours de retourner chez eux.
La Nakba, comme politique d'anéantissement du peuple palestinien n'a en fait jamais cessé : en témoignent les massacres de Qibia en 1953, l'annexion pure et simple de Jérusalem Est, de Gaza et de la Cisjordanie en 1967, les crimes contre l'humanité dans les camps palestiniens au Liban en 1982, à Jenine en 2002, à Rafah en 2004, à Beit Hanoun en 2006. Depuis septembre 2000, 4700 Palestiniens ont été tués, dont 956 enfants.
La catastrophe continue aujourd'hui . Le vol de la terre se poursuit, notamment en Cisjordanie et au Naqab. L'épuration ethnique est partout une réalité, principalement à Jérusalem, dans le Naqab et dans la Vallée du Jourdain. La répression est quotidienne. Chaque jour, plusieurs dizaines de Palestiniens sont kidnappés et torturés. Il y a déjà 10000 prisonniers palestiniens dans les geôles israéliennes. Outre l'apartheid qu'ils subissent quotidiennement, la pression s'accentue aussi sur les Palestiniens de 48 (ceux qui sont restés chez eux à la création de l'Etat sioniste en 1948). Plusieurs villages ont été détruits et des responsables politiques sont menacés d'expulsion. Et pour gagner du temps et mettre les Palestiniens devant le fait accompli, la politique sioniste se drape d'un discours pacifiste et d'une prétendue volonté de négociation.
Bien sûr, cette stratégie est mise en oeuvre avec la bénédiction et le soutien des Etats-Unis, de l'Europe, de la France et des régimes arabes. Elle s'accompagne d'un chantage à l'antisémitisme afin de bâillonner tout soutien au peuple palestinien.
Depuis la victoire du Hamas aux élections législatives de janvier 2006, cette politique se fait encore plus odieuse : il s'agit d'obtenir la reddition du peuple palestinien en le soumettant à un blocus économique qui le prive de ses ressources financières et des biens de première nécessité. Pourtant, les nouveaux dirigeants politiques et l'ensemble de la résistance ne se sont pas pliés à l'odieux chantage de la dictature coloniale israélienne et des puissances occidentales qui exigeaient la cessation de la résistance armée et la reconnaissance de l'Etat d' Israël, c'est-à-dire de la force occupante qui, elle, n'a jamais reconnu la Palestine.
Bien au contraire, et en dépit des conditions de vie de plus en plus difficiles, le peuple palestinien soutient toujours ses dirigeants qui, dans le cadre du gouvernement d'union nationale, comptent poursuivre la résistance jusqu'à la libération de leur pays. En lançant cette semaine, une centaine de roquettes, le Hamas a voulu signifier à l'occupant sa capacité à mettre l'oeuvre sa stratégie. Israël ne connaît que le langage de la force. Il n'a jamais respecté la trêve conclue en novembre 2006 et a effectué, depuis, près de 596 incursions meurtrières dans la bande de Gaza et en Cisjordanie, a tué 62 Palestiniens et en a kidnappé 1164. Face à cette politique, les Palestiniens n'ont d'autres choix que celui de la résistance.
Dans cette voie nous faisons confiance au peuple palestinien et à sa capacité de résistance. L'Histoire est de son côté comme elle est du côté de tous les peuples qui résistent.
La défaite américaine au Vietnam n'a pas été obtenue par une résolution de l'ONU mais grâce à la résistance héroïque du peuple vietnamien. Cuba résiste toujours malgré près de 40 ans d'embargo ; Le peuple vénézuélien et le peuple bolivien sont entrés en résistance face à la domination américaine. C'est toute l'Amérique latine, celle des classes populaires, qui peu à peu tient tête aux visées impérialistes des Etats-Unis.
Au Moyen Orient, Israël a été vaincu et éjecté hors du Liban Sud en 2000 par la résistance libanaise. En 2005, l'Etat colonial israélien a été forcé de retirer ses troupes de Gaza. Après avoir subi une seconde défaite cuisante en août 2006, il a été de nouveau contraint à faire machine arrière au Liban. En Irak comme en Afghanistan la résistance ne faiblit pas, bien au contraire, elle inflige des pertes toujours plus grandes à l'ennemi américain et à ses alliés. Une nouvelle déconvenue attend les armées sionistes et impérialistes : c'est la guerre qui se prépare contre le peuple iranien au nom de la lutte contre la prolifération nucléaire alors que l'Etat colonial d'Israël possède plus de 200 têtes nucléaires. Mais cette justification (utilisée pour envahir l'Irak) de la nouvelle guerre qui s'annonce ne doit tromper personne, car s'il devait y avoir désarmement nucléaire il devrait commencer d'abord par les Etats-Unis, Israël et leurs alliés occidentaux.
Aujourd'hui il y a deux voies possibles : il y a celle de la résignation et de la soumission à un ordre mondial injuste et meurtrier et il y a celle de la résistance et de la solidarité entre les peuples. En Palestine occupée, le peuple Palestinien est toujours debout, uni depuis près de soixante ans contre l'infernale machine de guerre coloniale israélienne. Il nous indique la voie à suivre.
Nous, membres du CAP, nous sommes à ses côtés sur ce chemin.
http://www.comiteactionpalestine.org/modules/news/article...
03:15 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Escroquerie, Génocide préparé, International, Israël, Palestine, Colonisation, Rothschild, Mafia Kazhar, Sionisme, Oligarchie, LDJ | Lien permanent | |
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