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26/01/2012

Comment les médias poussent le monde à la guerre

Les technniques de manipulation des masses réservées aux médias qui sont devenus les spécialistes de la diffusion de tous les mensonges d'état et des élites. La propagande de guerre et terroriste des médias internationaux à la botte des élites Illuminati.

Cultiver la haine de l'autre et la peur pour faire avancer les moutons vers leur politique de guerres génocidaires.


Comment les médias poussent le monde à la guerre

samedi 21 janvier 2012

Alors que le ton monte dans le détroit d'Ormuz entre les gouvernements US et iranien, et que la Chine et la Russie dénoncent l'ingérence de Washington dans leur politique intérieure, la tension est à son comble dans le monde. Loin d'être des observateurs impartiaux de ces développements, les médias alimentent ces tensions et préparent le public à une confrontation militaire. Avec l'essor des médias en ligne qui supplantent les anciens supports dans la présentation des problèmes mondiaux, nous découvrons comment les médias poussent le public à la guerre.

Source: Sott

Comment les médias poussent le monde à la guerre

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...
 

http://www.corbettreport.com/faking-it-how-the-media-mani...
 

Faking It: How the Media Manipulates the World into War 

http://www.youtube.com/watch?v=y4P2O8UjQeU




Une loi adoptée en catimini : Les “affaires” au secret

La censure et dictature vont de plus en plus loin.
Seront pénalisés par cette loi : les ONG, les journalistes et les lanceurs d'alerte qui dévoileront les "secrets des entreprises", mais pas n'importe lesquelles :

Le texte prévoit en effet de punir de 3 ans d’emprisonnement et de 375 000 euros d’amende le fait de révéler à une personne non autorisée à en avoir connaissance une information protégée relevant du secret des affaires de l’entreprise (…) dont la divulgation non autorisée serait de nature à compromettre gravement les intérêts de cette entreprise en portant atteinte à son potentiel scientifique ou technique, à ses positions stratégiques, à ses intérêts commerciaux ou financiers ou à sa capacité concurrentielle.

Donc, nous ne pourrons plus révéler, si nous comprenons bien, les liens d'intérêts, les trafics d'influence, les contenus criminels des vaccins, les OGM, les nano-particules, les guerres génocidaires, etc..

Dormez tranquilles braves gens vous êtes dans le Pays de la dictature, de la censure et de la démocraseuse.


Les affaires au secret

Le 24 janvier 2012

La nuit dernière, sur l'initiative d'un député réputé proche des services de sécurité, l'UMP a fait adopter une proposition de loi qui augmente considérablement les secrets touchant la sphère commerciale et industrielle. Une manière élégante de dissuader ONG, journalistes et lanceurs d'alerte de révéler aux citoyens les dessous des grands groupes.

Un hémicycle clairsemé a adopté, ce lundi 23 janvier à 23h, la proposition de loi de Bernard Carayon visant à sanctionner la violation du “secret des affaires“. Créée pour lutter contre l’espionnage économique, elle pourrait se retourner contre les “lanceurs d’alerte“, et donc les sources des journalistes (voir notre article sur une loi anti-WikiLeaks).

Ceci n’est pas une loi anti WikiLeaks

Ceci n’est pas une loi anti WikiLeaks

Une proposition de loi, censée lutter contre l'espionnage industriel, pourrait bien se retourner contre ces "lanceurs ...

Le texte prévoit en effet de punir de 3 ans d’emprisonnement et de 375 000 euros d’amende le fait de révéler à une personne non autorisée à en avoir connaissance une information protégée relevant du secret des affaires de l’entreprise (…) dont la divulgation non autorisée serait de nature à compromettre gravement les intérêts de cette entreprise en portant atteinte à son potentiel scientifique ou technique, à ses positions stratégiques, à ses intérêts commerciaux ou financiers ou à sa capacité concurrentielle“.

Dans son rapport d’information sur sa proposition de loi visant à sanctionner la violation du “secret des affaires“, Bernard Carayon écrit que “selon le délégué interministériel à l’intelligence économique, le nombre d’attaques économiques, au sens large (débauchage d’un cadre, harcèlement juridique, atteinte à l’image, vol de secret industriel, etc.), visant des entreprises françaises, est en forte croissance” :

Selon son service, 1 000 atteintes économiques ont été recensées en 2010, un quart d’entre elles constituant des violations du secret des affaires.

Oh, wait : nous parlons donc là de 250 affaires… à comparer aux milliers d’articles de presse écrits à partir de documents internes à des entreprises émanant d’autant de sources au sein de ces entreprises. Si la proposition de loi est adoptée en l’état, ce nombre pourraient chuter à mesure que les salariés se verront menacer de 3 ans de prison assortis de 375 000 € d’amende.

Un amendement a certes été adopté, à la demande du syndicat de la presse quotidienne nationale (SPQN), afin de permettre aux journalistes de produire des documents couverts par le “secret des affaires“, sans courir pour autant le risque d’être condamné pour recel de violation. Mais, comme l’a souligné Jean-Jacques Urvoas, cela ne peut qu’entraîner une “complexité accrue pour des journalistes économiques voulant simplement faire leur métier“, et pas seulement :

Je sais bien que vous répondez que le droit commun continuera de s’appliquer et que la loi prévoit de sanctionner celui qui divulgue l’information, et non celui qui la publie. Mais l’argument peut laisser sceptique, puisque, si l’on peut certes évacuer le principe de complicité, le journaliste pourra néanmoins être poursuivi pour divulgation.

Dans le même ordre d’idée, une ONG qui, comme Sortir du Nucléaire, publie des documents internes révélant la dangerosité des EPR, pourrait elle aussi être poursuivie pour avoir rendu public un “secret des affaires“.

La loi prévoit certes que ne pourront être accusés de “violation du secret des affaires” ceux qui auront informé ou signalé “aux autorités compétentes des faits susceptibles de constituer des infractions“, mais pas les documents internes révélant, non pas des “infractions“, mais des dysfonctionnements, anomalies, travers ou fiasco “dont la divulgation non autorisée serait de nature à compromettre gravement les intérêts de cette entreprise“…

Vers un droit à la vie privée des entreprises

S’agit-il de protéger M. Carlos Ghosn ?“, s’est interrogé pour sa part le député Jean-Pierre Brard, “qui en toute impunité jette aux chiens l’honneur de trois de ses salariés dans une rocambolesque affaire d’espionnage digne d’un mauvais feuilleton américain ?“. Par ailleurs secrétaire de la commission des finances, il s’est d’abord interrogé sur la pertinence d’une telle loi :

Faut-il créer une infraction spécifique aux contours aussi larges, au risque de porter atteinte au droit à l’information ? C’est là que réside notre principal point de désaccord avec vous.
De plus, de nombreuses dispositions pénales protègent un large spectre d’informations, qu’il s’agisse d’un secret de fabrication breveté, du secret professionnel, de l’intrusion dans un système informatique ou même de l’atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation.

Très en verve, le député estime que l’objectif réel de la proposition de loi serait de sanctuariser un “droit à la vie privée des entreprises“, et se déclare “légitimement inquiet” :

Là où vous voyez le verre à moitié vide et soulignez à l’excès les insuffisances de notre législation, nous le voyons pour notre part aux trois quarts plein.
Nous ne sommes pas certains qu’il soit nécessaire de faire usage d’une massue pour occire un moustique et nous ne pouvons nous défendre du sentiment que vous tirez aujourd’hui argument des quelques lacunes de notre droit pour tenter, en réalité, de sanctuariser le secret des affaires et lui donner la valeur d’un principe fondamental.

Après avoir martelé que “le droit de savoir et la manifestation de la vérité ne sont pas moins des principes fondamentaux que le respect du secret des affaires“, Jean-Pierre Brard s’étonne : “curieusement, c’est la logique inverse qui doit selon vous primer dans le droit des affaires“. Dès lors, les membres du comité d’entreprise ou représentants syndicaux pourraient eux aussi se retrouver museler sur l’autel du “secret des affaires“, souvent les plus à même de dénoncer les scandales du monde des affaires :

Priorité est accordée au droit des entreprises personnes morales sur le droit à l’information. Les quelques garanties auxquelles vous consentez ne sont guère que les exceptions à un principe de portée générale qui affirme le droit à la vie privée des entreprises.
Vos mesures ne risquent-elles pas de modifier le périmètre des informations que les membres du comité d’entreprise ou les représentants syndicaux seront autorisés à diffuser dans l’intérêt des salariés qu’ils représentent et auxquels ils doivent pouvoir rendre compte ?
Vous n’apportez sur ce point aucune réponse convaincante, monsieur le rapporteur. Le droit à l’information des salariés ne fait l’objet dans votre texte d’aucune mesure de protection spécifique alors qu’ils sont en première ligne pour révéler les scandales du monde des affaires.

Une usine à gaz pour les PMI-PME

Lanceurs d’alerte, journalistes, ONG, représentants des salariés ne seront pas les seuls à pâtir de la loi. Jean-Jacques Urvoas a ainsi rappelé que la CGPME a souligné “la lourdeur d’un dispositif qui apparaît plus accessible pour les grandes entreprises que pour les PME et les PMI” :

Il est rare qu’une petite entreprise innovante, en pointe sur un marché, totalement engagée dans la compétition internationale, dispose de moyens juridiques, économiques ou tout simplement humains pour mobiliser et mettre en œuvre le dispositif de classification et donc de protection que vous suggérez.

Craignant que ce genre d’entreprise ne puisse y recourir, Jean-Jacques Urvoas estime que le dispositif pourrait paradoxalement devenir “une circonstance aggravante” :

En effet, dans une procédure judiciaire, la partie défenderesse aurait beau jeu de signaler au juge l’absence de classification et de mettre en doute la nature sensible de l’intérêt économique source de litige.
Ainsi, l’impossibilité de recourir à un système de classification, en raison non pas de son défaut de pertinence mais de sa lourdeur et son coût, se transformerait en handicap aggravant la fragilité de l’entreprise.

http://owni.fr/2012/01/24/les-affaires-au-secret/

 

Dupont-Aignan contre la loi Pompidou-Rothschild-Giscard

Faudrait-il aussi considérer que Nicolas Dupont-Aignan soit aussi un fasciste et un antisémite pour être contre la Loi du 3 janvier 1973 sur la banque de France ?

Voir l'article précédent : ICI

Dupont-Aignan contre la loi Pompidou-Rothschild-Giscard

Publié le : mercredi 6 octobre 2010

Au lendemain de la journée de mobilisation contre la réforme des retraites, réaction de Nicolas Dupont-Aignan.

Retraites et création monétaire

http://www.youtube.com/watch?v=DJiMABRw31Y&feature=pl...


 

Loi du 3 janvier 1973 "Pompidou-Rothschild" sur la Banque de France, la polémique

Voilà comment on veut nous faire prendre des vessies pour des lanternes, et l'on détourne l'attention des français de la loi criminelle du 3 janvier 1973 sur la Banque de France, la loi Pompidou/Rothschid/Giscard. Cette loi criminelle qui ruine la France et les Français depuis  39 ans.

Quand nous voulons défendre notre pays pour que cette loi criminelle soit abrogée, nous sommes antisémites et "fascistes" bien évidemment. Il ne s'agit que de rumeurs véhiculées par l'extrême droite,  et nous ne faisons courir que des rumeurs et agitons la propagnade antisémite.

C'est sûr que cette loi profite à la maison  Rotshchild, mais il ne faut pas le dire et surtout pas les dénoncer.

Qu'ils viennent nous expliquer surtout,  qui a organisé et financé le complot de "mai 68" contre DE GAULLE qui a été remplacé comme par hasard, par  son conseiller à l'Elysée, Georges Pompidou qui a travaillé pour la maison Rotshchild durant de longues années avant de rentrer à l'Elysée.


Guy de Rothschild et Georges Pompidou

Guy de Rothschild est le fils du baron Édouard de Rothschild (1868-1949) et de Germaine Halphen (1884-1975).

Il s'est marié en premières noces en 1937 avec une de ses parentes, Alix Schey de Koromla (1911-1982). Il en eut un fils en 1942, David de Rothschild. (Le grand ami de Sarkozy qu'il appelle le roi David).

Divorcé, il se remaria en 1957 avec Marie-Hélène van Zuylen de Nyevelt de Haar (1927-1996), une autre de ses parentes, dont il eut un fils la même année, Édouard de Rothschild.

Guy et Marie-Hélène organisèrent à l'Hôtel Lambert, dans l'île Saint-Louis, les fêtes les plus éblouissantes de Paris.

En 1940, déchu de sa nationalité française à cause de sa judaïté1, il avait été contraint de quitter la France à l'arrivée des troupes nazies pour se réfugier aux États-Unis, avant de rejoindre les Forces françaises libres (FFL) à Londres.

Gaulliste, Guy de Rothschild fut longtemps influent en politique, notamment dans les années 1960 et 1970.

Ayant pris sous son aile Georges Pompidou dès 1954, il en fit un associé extérieur. Il resta proche de lui quand ce dernier devint président de la République en 1969.

Il se lia également d'amitié, plus tard, avec Jacques Chirac, puis Édouard Balladur.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Guy_de_Rothschild

Loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France


Elle n'existe pas cette Loi, Ah bon ?
Et ça, qu'est-ce que c'est sur le site du Journal Officiel ?

Loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France
 
BANQUE DE FRANCE : MISSIONS, ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT (TEXTES NON CODIFIES)



Pierre Jovanovic le 18 janvier 2012

2012 sur l'article du Monde d'Alain Beitone (29 déc. 2011) sur la Loi 73 "Pompidou-Rothschild" et les analyses d'E. Chouard. D'après A. Beitone, Cette loi n'existe pas ; il y a simplement une rumeur d'extrême droite qui court de blog en blog pour attribuer la responsabilité de la crise aux banquiers et, plus sournoisement, aux Juifs". Etienne Chouard s'est fâché et a répondu (30 déc. 2011) sur son blog.
 
LIRE L'ARTICLE DU MONDE :

La "loi Pompidou, Giscard, Rothschild" votée en 1973 empêcherait l'Etat de battre monnaie

http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/12/29/la-loi-pom...
 
LIRE LA RÉPONSE D'ÉTIENNE CHOUARD :
Analyse des réflexions de Monsieur Beitone sur la prétendue rumeur d'extrême droite à propos de la loi de 1973

Par Étienne, vendredi 30 décembre 2011 à 04:54 - Approche économique de la souveraineté
 
 
Un professeur de Marseille, un certain Monsieur Beitone, vient d'écrire un article dans Le Monde qui dénonce "une rumeur d'extrême droite" incriminant la loi "Pompidou-Rothschild" de 1973 dans la crise de la dette publique.

Décidément, l'anathème "fasciste" et ses dérivés est une arme bien commode, et bien rodée, pour contrer la critique radicale de la création monétaire privée. Manifestement, cette calomnie va resservir dans les mois qui viennent. À se demander s'il n'y a pas un code secret entre les complices du racket, un code dans lequel "extrême droite" signifierait en réalité "ayant compris et dénonçant l'escroquerie monétaire des familles de banquiers privés". Ça expliquerait bien des malentendus.

L'article, intitulé : La "loi Pompidou, Giscard, Rothschild" votée en 1973 empêcherait l'Etat de battre monnaie, se trouve là :

http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/12/29/la-loi-pom...

Je trouve qu'il ne vaut pas grand chose, mais j'ai pris une dizaine d'heures pour le démontrer, point par point.

J'ai présenté la controverse dans un tableau à deux colonnes, pour bien mettre face à face chaque idée en présence.
http://etienne.chouard.free.fr/Europe/Analyse_des_reflexi...

Le document (l'article et ma réponse point par point) se trouve là :

Analyse des réflexions de Monsieur Beitone sur la prétendue rumeur d'extrême droite à propos de la loi de 1973.

http://etienne.chouard.free.fr/Europe/Analyse_des_reflexi...


Je regrette un peu mon ton encore agacé dans cette réponse (bien que j'aie beaucoup adouci cette réponse, et que j'en aie retiré toutes les réparties trop vives), mais c'est tellement vexant de se faire traiter de fasciste que ça énerve un peu, quand même. Le gars qui écrit un article pareil peut s'attendre à une certaine... mauvaise humeur.

On pourra ajouter dans les commentaires ci-dessous des arguments supplémentaires, d'un côté comme de l'autre.

Au plaisir de vous lire.

Étienne.

 
ALAIN BEITON : professeur de Sciences économiques et sociales Lycée Thiers Marseille. Source : Radio Ici & Maintenant. Merci à Khalem pour le doc :) !
 

09/12/2011

La Chine rejoint la Russie : la solution finale se rapproche-t-elle ? Faites des provisions sans tarder !!! Et retirez votre argent des banques !

Allez bon, nous y allons gaiment vers la 3ème guerre mondiale nucléaire !


Un sinistre bulletin du Ministère de la Défense publié par le Premier ministre Poutine déclare aujourd’hui que le Président Medvedev ainsi que le président Hu ont « validé un accord de principe » sur le fait que la seule façon d’arrêter l’agression de l’Occident dirigée par les États-Unis se fera par «action militaire directe et immédiate» et que le dirigeant chinois a ordonné à ses forces navales de se «"préparer à la guerre.

L’appel à la guerre de Hu est rejoint par le contre-amiral et éminent commentateur militaire Zhang Zhaozhong qui, de même, a averti la semaine dernière que « la Chine n’hésitera pas à protéger l’Iran, même avec une troisième guerre mondiale ». Le général russe Nikolaï Makarov a sinistrement déclaré la semaine dernière, « Je n’exclus pas des conflits armés locaux et régionaux en développement vers une guerre à grande échelle, y compris en utilisant des armes nucléaires»

Les tensions mondiales entre l’Orient et l’Occident ont explosé ces quinze derniers jours quand l’ambassadeur de Russie, Vladimir Titorenko et 2 de ses adjoints en provenance de Syrie, ont été brutalement agressés par les forces de sécurité du Qatar soutenu par la CIA et des agents du MI6 britannique. Ces derniers ont tenté d’accéder à une valise diplomatique contenant des informations des services de renseignement syriens à propos de l’invasion de la Syrie et l’Iran par les États-Unis.

Une autre preuve dans cette valise diplomatique, d’après ce bulletin, révèle que les Etats-Unis se préparent à la «solution finale» de la « Middle East Crisis » par l’éclatement d’une guerre nucléaire par l’attaque de la Syrie et l’Iran avec des agents biologiques mortels dans le seul but de tuer des dizaines de millions d’innocents civils.

La découverte d’un agent biologique destiné à être utilisé par l’Occident a été révélé il y a 15 jours par le néerlandais virologue, Ron Fouchier du Centre médical Erasmus des Pays-Bas. Son équipe de scientifiques ont découvert que seulement 5 mutations du virus de grippe aviaire serait suffisant pour devenir le tueur le plus meurtrier de l’humanité jamais inventé par l’homme.

Si les États-Unis initient une attaque en utilisant ce virus mortel, ce bulletin démontre que la méthode la plus probable de « livraison » serait effectué par un drone de type « RQ-170 Sentinel Drone » qui est exploité par la CIA .

Ces informations effrayantes d’actions américaines à venir contre ses ennemis ont été révélées dans le présent bulletin basé sur des analystes menées sur le RQ-170 Sentinel Drone abattu au-dessus du territoire iranien.

Il parait important de noter que les puissances occidentales ont mené une première utilisation d’un virus mortel de la grippe pour détruire leurs ennemis et renverser l’ordre mondial un siècle auparavant, en 1918. Lorsque la variante de la grippe espagnole a été déclenchée à la fin de la Première Guerre Mondiale et tué quelque 500 millions de personnes. ce qui représente 3% la population mondiale.

D’après des archives du KGB, la pandémie de grippe espagnole aurait été un virus mortel de la « bio-ingénierie » de l’armée américaine.

Afin de bien comprendre les raisons sous-jacentes qui poussent les États-Unis et ses alliés occidentaux à mener une guerre totale ont récemment été détaillé par un célèbre journaliste d’investigation américain, Greg Hunter. Un rapport choquant présente pourquoi « Le monde est-il devenu hors de contrôle ?". Il révèle que la totalité de l’édifice des systèmes économiques occidentaux s’effrite sous le poids de plus de $ 100 mille milliards de dollars de dette et qu’ils ne sont pas en mesure de les rembourser : « Jamais dans l’histoire le monde n’a été aussi proche d’un chaos financier total et la guerre nucléaire dans le même temps. « 

Il convient de mentionner les paroles du « père fondateur américain », Thomas Jefferson, qui a averti ses concitoyens il y a 200 ans des événements actuels en disant:

« Je crois que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées permanentes. Si le peuple américain permet aux banques privées de contrôler l’émission de leur monnaie, d’abord par l’inflation, puis par la déflation, les banques et les sociétés priveront le peuple de toute propriété jusqu’à ce que leurs enfants se réveillent sans-abri sur le continent que leurs pères avaient conquis. »

http://leveil2011.syl20jonathan.net/?p=7638