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15/09/2015

Le convoi américain «Dragoon Crossing» entame son tour d’Europe controversé (PHOTOS, VIDEOS)

Il paraît que les USA et l'OTAN militarisent l'Europe pour rassurer les Européens et qu'ils feront leur parade d'intimidation du "13 septembre au 21 octobre" ! 

Les Dragons-reptiliens sont en ballade chez nous !

Nous rassurer ? Sans blague ?

Nous, nous serions plutôt très inquiets de les voir se préparer à aller attaquer la Russie à partir de nos propres territoires et quant à dire qu'ils pourraient nous rassurer, ces criminels, la bonne blague. Ils seraient surtout prêts à nous attaquer chez nous si nous devions nous révolter contre la politique hégémonique des US/UE/Sionistes !

Il ne nous manque plus que la Loi martiale soit déclarée dans les pays européens pour que nous soyons définitivement muselés !

Le convoi américain «Dragoon Crossing» entame son tour d’Europe controversé (PHOTOS, VIDEOS)

14 sept. 2015, 13:44

Capture d'écran de @2dCavalryRegt

«Dragoon Crossing», un convoi américain dont le but est de «rassurer [la population] que les militaires sont prêts si nécessaire», a commencé son tour controversé. Au moins 110 véhicules blindés participeront à ce voyage long de 800 kilomètres.


 «Du 13 septembre au 21 octobre, environ 500 soldats américains et 110 véhicules blindés du 4ème escadron, du 2ème régiment de Cavalerie feront un voyage de 800 kilomètres depuis leur base de Vilseck en Allemagne à travers la République tchèque et de la Slovaquie à la Hongrie», a-t-on annoncé dans une déclaration sur le site de l’OTAN.

Le convoi a été intitulé «Dragoon Crossing» [Passage des dragons] et a pour but de rassurer les alliés de l’OTAN que les Etats-Unis sont prêts en cas de besoin», a fait savoir l’alliance en ajoutant que les soldats seront également capables «d’interagir régulièrement avec les habitants locaux» rencontrés sur le chemin.

Le secrétaire général de l’OTAN Jens Stoltenberg est déjà arrivé aux baraques militaires de Prague-Ruzyně en République tchèque mercredi.

 

Néanmoins, les exercices militaires en Europe de l’Est n’ont pas aidé à «interagir avec les habitants locaux» ou d’établir aucun contact avec eux. En mars, l’opération militaire des Etats-Unis et de l’OTAN «Dragoon Ride», effectuée à travers la Pologne et la République tchèque, a provoqué de nombreuses  manifestations.

Avant la parade, des militants pacifistes tchèques ont lancé la campagne «Des chars ? Non merci !» pour manifester contre la procession organisée dans le pays. Ils ont estimé que le convoi s’était transformé en «défilé de victoire provocant» près de la frontière russe.

 

On a même demandé aux habitants de ne pas lancer de tomates et d’œufs au convoi militaire, ont annoncé les médias locaux. Selon les lois du pays, ceux qui s’aventureraient à lancer ce type de projectiles risquent jusqu’à trois mois de prison s’ils sont reconnus coupables.

En savoir plus : l’opération «Dragoon Ride»: en parade dans la base militaire à Vilseck, Allemagne (VIDEO)

 

 

 

 

28/08/2015

L'OTAN bombe le torse déployant sa plus grande manoeuvre militaire en Europe depuis la Guerre Froide

Ils la cherchent et ils la veulent la guerre contre la Russie et la Chine !

Le problème c'est que ces nazis vont y aller à partir des territoires européens complices,  avec les peuples européens au milieu !

Parfois nous prions pour qu'une météorite tombe réellement sur NY pour nous débarrasser une bonne fois pour toutes, de tous ces criminels, malheureusement pour les américains innocents !

 

L'OTAN bombe le torse déployant sa plus grande manoeuvre militaire en Europe depuis la Guerre Froide

L'opération «réponse rapide» du 26 août à Hohenfels en Allemagne.

© Michael Dalder Source: Reuters

L'opération «réponse rapide» du 26 août à Hohenfels en Allemagne.

 

L'Alliance, Etats-Unis en tête, poursuit le déploiement massif de ses forces armées en Europe. Si les alliés disent oeuvrer pour la sécurité européenne, Moscou y voit une provocation.

L'OTAN continue ses démonstrations de force avec plus de 1000 parachutistes qui sont descendus sur Novo Selo en Bulgarie et Hohenfels en Allemagne lors de l'opération baptisée «Swift response» (réponse rapide). La 82e division aéroportée des Etats-Unis, qui a participé aux bombardements de 1999 en Yougoslavie a pris part aux exercices aux côtés de soldats allemands, français, bulgares, grecs, italiens, néerlandais, polonais, portugais, espagnols et britanniques.



 

En plus de ces entraînements aériens impressionnants, l'OTAN prévoit par ailleurs d'effectuer une opération anti-sous-marin à grande échelle du 12 au 22 septembre prochains dans la mer Ionienne. Portant le nom de «Dynamic Manta», cette dernière a pour but de coordonner les forces aériennes, terrestres, maritimes et sous-marines.

Selon le commandant de l'OTAN, ces exercices doivent «montrer [sa] capacité de déploiement pour soutenir une Europe forte et protégée». Une véritable démonstration de puissance de l'Alliance qui souhaite bien faire comprendre au monde entier que ses troupes peuvent être prêtes au combat en seulement 96 heures partout sur la planète. 

Car par «forte et protégée», l'OTAN entend «... de la Russie» qui, selon la secrétaire de l'US Air Force, Deborah James, représente le danger le plus sérieux pour la sécurité nationale des Etats-Unis. L’Amérique doit donc augmenter sa présence militaire en Europe.

Ainsi, l'armée de l'air américaine a annoncé lundi dernier le déploiement «très prochainement» d'avions F-22 Raptor dans plusieurs endroits en Europe pour rassurer ses «partenaires européens» et renforcer les systèmes de défense face à l'Est.

En juin dernier, le secrétaire à la Défense américain Ashton Carter a annoncé que les Etats-Unis allaient déployer 250 blindés dans six Etats européens pour aider à «faire face aux terroristes et à la Russie».

Hier, un centre militaire conjoint de l’Alliance et de la Géorgie a été inauguré à proximité de Tbilissi non loin de la frontière russe. La diplomatie russe a qualifié cette mesure de facteur de déstabilisation de la région, affirmant que l'OTAN «continue sa politique de provocation, qui a pour but d’élargir son influence politique».

 

Guerre USA/OTAN : Changements climatiques versus dangers de la guerre nucléaire. « Trois minutes avant minuit »

Heureusement qu'OBAMA, le prix Noble du crime organisé dans le monde, devait faire du "réchauffement climatique" une priorité !

 

Quand les scientifiques se réunissent pour tirer la sonnette d'alarme sur les changements dits climatiques mais qui sont d'origine cosmique !

 

Il va falloir qu'ils disent la vérité à l'humanité et qu'ils arrêtent leurs âneries avec leur effet de serre, comme si la Terre avait un couvercle autour d'elle qui la séparait du reste du système solaire et du Cosmos, et avec le  CO2 qui est un gaz naturel que nous expirons par nos poumons, dans la fonction de respiration, et que l'on trouve dans tout l'Univers, et notamment dans les chevelures des queues des comètes.

 

 

Si le CO2 qui est un gaz toxique à haute dose, était responsable du réchauffement, comment se fait-il que nous soyons toujours en vie, alors que des animaux meurent en masse tout autour du monde et notamment les espèces marines ?

 

Changements climatiques versus dangers de la guerre nucléaire. « Trois minutes avant minuit »

Soixante‑cinq prix Nobel se sont réunis sur l’île de Mainau, au lac de Constance, dans le sud de l’Allemagne, à l’occasion de la rencontre annuelle des lauréats du prix Nobel parrainée par la fondation Lindau.

Parmi les donateurs de la réunion de la fondation Lindau figurent Lockheed Martin, la Deutsche Bank, UBS, Bayer, Merck, Novartis et Microsoft.

La question des changements climatiques était à l’ordre du jour. Il s’agissait essentiellement d’une rencontre scientifique qui n’a donné lieu à aucune déclaration ni à aucun débat scientifique sur des questions plus larges de guerre et de paix. (Pour voir le programme)

La « Déclaration de Mainau de 2015 sur les changements climatiques » compare la menace que posent les changements climatiques à celle que posait la guerre nucléaire à l’apogée de la guerre froide.

De l’avis des prix Nobel, la menace d’une guerre nucléaire appartient à une époque révolue. La guerre nucléaire n’est plus la menace principale. Aujourd’hui, ce sont les changements climatiques, « une menace d’une ampleur comparable ».

L’humanité demeure menacée, mais la menace a pris elle une nouvelle forme :

Il y a près de 60 ans, ici même sur l’île de Mainau, les participants à une réunion similaire de prix Nobel en sciences ont fait une déclaration sur les dangers inhérents à la technologie des armes nucléaires — une technologie de découverte récente dérivée des percées en science fondamentale. Jusqu’à ce jour, et malgré la menace persistante, nous sommes parvenus à éviter la guerre nucléaire. Nous croyons qu’une autre menace d’une ampleur comparable pèse aujourd’hui sur le monde1. (C’est nous qui soulignons)

Préoccupés par la question des changements climatiques, les lauréats de prix Nobel en sciences demeurent toutefois silencieux à propos des guerres USA‑OTAN en cours et des crimes de guerre commis par l’alliance militaire occidentale en Afrique, au Moyen‑Orient et en Asie centrale, sans parler des répercussions déstabilisatrices de la guerre économique.

Pendant ce temps, le Pentagone attise la guerre. Les menaces récentes de l’administration Obama de recourir à l’arme nucléaire pour effectuer une première frappe préventive non seulement contre la Russie, mais contre plusieurs États non nucléaires du Moyen‑Orient, sont tout simplement ignorées par ces mêmes prix Nobel en sciences.

Le programme militaire du Pentagone est un programme de conquête mondiale. Le déploiement militaire des forces US et de l’OTAN s’effectue simultanément dans plusieurs régions du monde.

Même si le scénario d’une 3e guerre mondiale impliquant l’usage préventif d’armes nucléaires est sur la planche à dessin du Pentagone depuis plus de dix ans, les stratèges militaires participent maintenant à la formulation de plans d’attaque concrets dirigés contre la Russie, plans qui incluent notamment le déploiement de systèmes de missile et de forces terrestres de l’OTAN sur le territoire de l’Ukraine.

L’horloge apocalyptique

Après avoir déjà formulé des mises en garde sur les dangers d’une guerre nucléaire,The Bulletin of Atomic Scientists (BAS) tient maintenant un discours différent. Selon le BAS, la guerre nucléaire constitue aujourd’hui une menace moindre par comparaison à l’époque de la guerre froide :

Aujourd’hui, la folle possibilité de l’annihilation nucléaire résultant d’une attaque délibérée des États‑Unis contre la Russie, ou de la Russie contre les États‑Unis, semble être une chose du passé,… (C’est nous qui soulignons)

Le fait est qu’il n’existe plus aucune mesure de protection issue de l’époque de la guerre froide. L’affirmation qui précède ne tient aucunement compte de la doctrine US de guerre nucléaire préventive impliquant des attaques nucléaires de première frappe comme instrument de paix et telle que formulée dans le rapport sur l’évaluation du dispositif nucléaire de 2001 (Nuclear Posture Review).

Les changements climatiques et la guerre nucléaire figurent maintenant côte à côte sur le cadran de l’horloge apocalyptique du BAS. La guerre nucléaire n’est plus la principale menace.

2015 : PLUS QUE 3 MINUTES AVANT MINUIT

« Les changements climatiques non maîtrisés, la modernisation des armes nucléaires à l’échelle mondiale et les arsenaux d’armes nucléaires surdimensionnées posent des menaces extraordinaires et indéniables à l’existence de l’humanité, et les dirigeants mondiaux ont failli à agir avec la rapidité ou avec l’ampleur nécessaires pour protéger leurs citoyens d’une catastrophe éventuelle. Ces échecs des dirigeants politiques mettent en danger la vie de chaque personne sur cette terre. » En dépit de résultats modestement positifs dans la lutte contre les changements climatiques, les efforts actuels sont tout à fait insuffisants pour prévenir le réchauffement catastrophique de la terre. Entre temps, les États‑Unis et la Russie ont entrepris de vastes programmes de modernisation de leur triade nucléaire respective — mettant ainsi en péril les traités en vigueur sur les armes nucléaires. « Il ne reste plus maintenant que trois minutes avant minuit, car les dirigeants internationaux négligent de s’acquitter de leur devoir le plus important — assurer et préserver la santé et la vitalité de la civilisation humaine. »

Des pommes et des oranges

Changements climatiques versus guerre nucléaire, « une menace d’ampleur comparable », selon les lauréats du prix Nobel en sciences.

L’évaluation scientifique des changements climatiques tient tout particulièrement compte « des répercussions de l’activité humaine » sur le climat et l’écologie de la terre. Nous sommes aux prises avec un phénomène à long terme complexe qui implique des évaluations et des mesures scientifiques.

En juxtaposant à la légère les changements climatiques et la guerre nucléaire, les scientifiques du BAS et les prix Nobel en sciences ne font essentiellement que « comparer des pommes et des oranges ». Il y a méprise fondamentale quant à la nature des liens de causalité, méprise qui sert à distraire l’opinion publique des dangers imminents de guerre mondiale.

Alors que la décision de lancer une attaque nucléaire contre un ennemi connu peut être prise et exécutée en quelques minutes seulement – c.‑à‑d. par décision du président et commandant en chef des USA – les causes, les tendances temporelles sous‑jacentes ainsi que les politiques afférentes aux changements climatiques sont de tout autre nature.

Dans l’après‑guerre froide, la guerre nucléaire est devenue une affaire de milliards et de milliards de dollars qui contribue à enrichir les entrepreneurs de la défense US. L’enjeu ici, c’est purement et simplement la « privatisation de la guerre nucléaire ». La guerre et la guerre nucléaire sont le résultat de décisions militaires et politiques concrètes prises en fonction de puissants intérêts économiques.

Quant au réchauffement climatique, lui n’est pas déclenché parce qu’un représentant de la sphère politique « appuie sur un bouton ». (Exception faite de la géoingénierie utilisée comme arme de guerre).

La campagne contre la guerre et contre la guerre nucléaire est pratiquement morte depuis l’invasion de l’Iraq en 2003.

L’enjeu pour le mouvement pacifiste consiste en définitive à mettre en cause le processus décisionnel aux plus hauts niveaux de l’appareil gouvernemental US, ce qui inclut le Département d’État, le Pentagone et les services de renseignement. Y a‑t‑il urgence? Oui, tout à fait.

Aujourd’hui, les USA et l’OTAN mènent des guerres d’agression simultanées dans plusieurs régions du monde, guerres qui vont de pair avec un processus de déstabilisation et de restructuration politiques. Sous le poids de puissantes institutions financières, des économies nationales sont mises à mal et détruites, de vastes pans de la population mondiale sont appauvris.

Pareilles mesures touchant à la sphère économique se fondent sur un processus délibéré de manipulation financière. Le Pentagone, l’OTAN, le Fonds monétaire international (FMI) et Wall Street travaillent tous de concert. Il s’agit d’un processus décisionnel coordonné aux échelons économique, géopolitique et militaire. Cela a pour nom la guerre et la « guerre financière ».

Afin de distraire l’opinion publique des dangers très réels associés à un scénario de 3e guerre mondiale, les grands médias gardent les yeux rivés sur les seuls dangers imminents associés aux changements climatiques.

Et même si les changements climatiques sont véritablement un enjeu important à l’échelle mondiale, il est essentiel à ce moment‑ci de l’histoire de comprendre la logique des guerres hégémoniques menées par les USA sous le couvert des opérations de contre‑terrorisme. Une guerre humanitaire, ça n’existe pas. Qui plus est, ces guerres sont des guerres économiques. Ce sont des guerres de conquête économique.

La campagne de propagande consiste à présenter le réchauffement climatique comme le seul danger pesant sur l’humanité, et ce, afin de limiter autant que possible la compréhension que peut avoir le public des dangers de guerre et de guerre nucléaire qui accompagnent inévitablement le processus mondial de restructuration économique néolibérale et d’appauvrissement.

Dans son discours de West Point du 28 mai 2014, le président Obama a dit : « Je crois de tout mon être au caractère exceptionnel des États‑Unis d’Amérique ». Ce qui importe le plus selon lui, c’est que « l’Amérique doit toujours être au premier rang sur la scène mondiale » et que « ce leadership aura toujours pour pilier les militaires ». L’exceptionnalisme des USA fondé sur la puissance, et non sur la diplomatie, sur le pouvoir de contrainte, et non sur le pouvoir de convaincre, voilà précisément les manifestations d’orgueil et d’arrogance qui pourraient conduire à la fin de la vie humaine. La détermination de Washington d’empêcher la montée en puissance de la Russie et de la Chine, comme l’énoncent les doctrines de Brzezinski et de Wolfowitz, est une recette de guerre nucléaire.

Les présidents US, russe et chinois ont terriblement besoin d’affirmer dans le cadre d’un forum public très en vue que l’existence des armes nucléaires entraîne la possibilité de leur utilisation et que leur utilisation en contexte de guerre aura sans doute pour conséquence l’extinction de l’humanité. Comme personne ne peut sortir gagnant d’une guerre nucléaire, ces armes devraient être interdites et détruites avant qu’elles ne nous détruisent tous. (Steven Starr, Global Research, juin 2014; c’est nous qui soulignons.)

À l’époque de la guerre froide, la doctrine de la « destruction mutuelle assurée » (MAD) primait. Les États‑Unis et l’Union soviétique comprenaient que l’utilisation d’armes nucléaires risquait d’entraîner l’émission de rayonnement nucléaire à l’échelle de la planète et de conduire à l’apocalypse nucléaire.

À l’issue de la guerre froide, cette compréhension des dangers de la guerre nucléaire (MAD) ne l’emporte plus. Qui plus est, le Pentagone a récemment rendu publique sa politique de première frappe nucléaire contre la Fédération de Russie en réaction de l’agression présumée de la Russie à l’endroit de l’Ukraine.

Devrions‑nous nous sentir préoccupés? La guerre nucléaire est-elle plus dangereuse que le réchauffement climatique?

Si ces frappes nucléaires US devaient survenir, l’humanité serait précipitée dans une Troisième Guerre mondiale qui pourrait être la « toute dernière guerre » à être livrée sur la planète terre.

Michel Chossudovsky

 

Article original en anglais :

Doomsday-clock-over-The-Earth

Climate Change versus the Dangers of Nuclear War. “Three Minutes to Midnight”, publié le 4 juillet 2015

Traduction par Jacques pour Mondialisation.ca

Note

1. La Déclaration de Mainau sur les dangers associés aux changements climatiques a été signée par 36 des 65 lauréats du prix Nobel présents.

 

Un 11-septembre français? L'alarme des services de renseignement + Plan Vigipirate !

Il faut s'attendre à ce qu'un false flag soit en cours de préparation en France sous la houlette des CIA/Mossad pour leur permettre d'avancer clairement, vers un Patriot Act à la française et instaurer la Loi Martiale !

 

Ils y vont allègrement depuis les "attentats de Charlie Hebdo". Il leur en fallait un autre pour nous imposer le contrôle et la dictature, surtout que El-Khazzani mis en cause dans l'affaire Thalys semble avoir travaillé pour une entreprise dirigée par un "représentant" du CRIF., et que la nouvelle patronne de Thalys avait travaillé pour le Renseignement américain.

 

Il ne faut pas voir le complot partout, mais les moutons doivent rester des moutons !

 

On apprend dans cette vidéo que 30 000 policiers, gendarmes, militaires sont déjà mobilisés en France dans le cadre du plan Vigipirate.

Vigipirate: réunion de ministres samedi à Paris
Une réunion des ministres de l'Intérieur et des Transports de l'UE aura lieu samedi à Paris, huit jours après l'attaque du Thalys Amsterdam-Paris par Ayoub El Khazzani, a annoncé mercredi Bernard Cazeneuve sur France Inter.

Entre tout cela, et la France : L'armée de Terre recrute 10 000 hommes !, et URGENT ! US/UE/OTAN : Mouvements et Mega exercices militaires en Europe ! Préparez-vous !, et, La France augmente son budget militaire de 3,8 mds EUR + Les CRS français s'équipent de tireurs d'élite pour faire face aux manifestants armés, on voit très clairement où ils veulent nous mener !

Il ne manque plus que les camps de concentration de la FEMA en France et que Nibiru nous tombe sur la tête avec son cortège d'astéroides !

Ouf ! Merci Aspro, hein ? 

 


 

Un 11-septembre français? L'alarme des services de renseignement. Lesquels ?

La France risque-t-elle de connaître à son tour un 11 septembre?

© Christian Hartmann Source: Reuters

La France risque-t-elle de connaître à son tour un 11 septembre?

 

La France va-t-elle connaître une attaque comparable à celle qui a vu l'effondrement du World Trade Center? C'est l'inquiétude des services de renseignement français qui avertissent sur une possible recrudescence de la violence terroriste.

L'information a de quoi inquiéter. Selon une source des services français qui s'est confiée de façon anonyme au journal britannique The Telegraph , lequel reprend aussi en partie un article du Canard enchaîné, la France risque de connaître des troubles terroristes croissant.

 

Outre un attentat spectaculaire et meurtrier sur le mode du 11 septembre américain, plusieurs sources anonymes envisagent également la possibilité qu'un avion de ligne civil puisse être abattu par un missile. 

 

Après la tentative terroriste sur le train Thalys reliant Amsterdam à Paris et toute une série d'attaques terroristes et de tentatives d'assassinat qui ont eu lieu cette année en France, le président François Hollande avait solennellement mis en garde: «Nous devons nous préparer à d'autres assauts et nous sommes toujours exposés» avait-il ainsi martelé.

En savoir plus: Hollande réaffirme la nécessité de renforcer les mesures de sécurité après l’attentat du Thalys

Loup solitaire ou terrorisme de l'intérieur?

Selon la source citée par The Telegraph, les autorités françaises craignent également des troubles internes dans certains quartiers périphériques français. L'armée française aurait même élaboré des plans d'urgence pour la «réappropriation du territoire national». Ce terme désigne la possibilité pour l'armée de prendre contrôle de ces quartiers dans le cas où la population deviendrait hostile aux forces de l'ordre.

En savoir plus: Combien d’attentats faudra-t-il encore ?

Ces zones sont décrites comme des endroits où les armes sont relativement faciles à se procurer. Là, terrorisme et banditisme se mêleraient, sur fond de trafic d'armes lourdes et de drogue.

Les tentations de radicalisation islamiste de certains Français sont également mises en relief: «L'idée que les attaques comme celle contre le train sont le fait de personnes agissant pour leur propre compte n'est pas crédible. Nous avons affaire à des réseaux très organisés de militants islamistes qui ont lancé une campagne violente et sont déterminés à l'intensifier» explique ainsi l'agent des services de renseignement français.

Les autorités françaises ont réagi à cette série d'attaques par des dispositifs variés. D'abord, le gouvernement a appelé à la prudence et la vigilance des citoyens pour contrer cette menace. Le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve a annoncé la mise en place d'un système coordonné qui permettra des contrôles plus systématiques dans les aéroports et dans les transports publics. Cette mesure de sécurité devrait être étendue à l'Europe, après la réunion des ministres européens des transports. 

En savoir plus: La sécurité aéroportuaire pourrait arriver dans les gares européennes après l'attaque du Thalys

 

Cependant, pas sûr que cela suffise, puisque l'agent, décidément très alarmiste, voire pessimiste, avertit: "La vérité est que nous avons déjà tout essayé. Mais nous avons atteint les limites de ce que nous sommes capables de faire, tant d'un point de vue législatif et organisationnel que d'un point de vue financier».

 

27/08/2015

Crise: les Américains en panique se préparent au "big one"

Lisez les commentaires sous l'article en ligne !

 

Selon un expert, les Américains se préparent à la crise pronostiquée par plusieurs économistes comme s'il s'agissait de la fin du monde.

 

Les Américains, influencés par les pronostics négatifs des économistes qui augurent au pays un krach jamais vu auparavant, se préparent activement en achetant et en stockant des produits, a rapporté Robert Bridge, correspondant de la chaîne de télévision russe RT.

D'après M. Bridge, cette hystérie généralisée rappelle celle provoquée par le bug de l'an 2000. Lors du passage au nouveau millénaire, de nombreux programmes et bases de données étaient dépourvus des deux chiffres correspondants au siècle. Bien qu'aucun problème critique ne se soit produit, des centaines de milliards de dollars ont été dépensés dans le monde entier afin de prévenir tout incident lors de la transition.

Cette fois-ci, la panique n'est pas liée à des problèmes informatiques, mais à la situation économique aux Etats-Unis, a souligné M.Bridge.Selon les résultats d'un sondage organisé par l'organisation Gallup, le taux de confiance des Américains envers l'économie nationale a atteint en juillet son plus bas niveau depuis octobre 2014. La panique fait suite aux pronostics de plusieurs économistes, qui assurent que les Etats-Unis traverseront prochainement des temps très durs, tout en soulignant que les statistiques officielles cherchent à masquer les problèmes économiques de fond, a fait remarquer le journaliste de RT .Ainsi, le fondateur du Trends Research Gerald Celente, qui avait prévu la crise de 2008, estime que le marché global des actions va bientôt s'effondrer.

L'analyste Larry Edelson est persuadé qu'une nouvelle crise, aussi grave que celle de 1929, se déclenchera cette année à partir du 7 octobre, "en mettant l'Europe, le Japon et les Etats-Unis à genoux".

Le chef de la compagnie d'investissement Casey Research, Doug Casey, considère que la crise économique est inévitable suite à la politique d'assouplissement quantitatif menée par la Réserve fédérale et à l'émission de plusieurs milliards de dollars. Même si tout cela n'est qu'une composante de la théorie du complot, les achats massivement effectués par les Américains dans un élan de panique sont néanmoins ce dont l'économie américaine a besoin, a conclu Robert Bridge.