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IRIB- Le régime sioniste envoie, par des véhicules et des camions, les armes et les munitions à destination des terroristes, actifs à Quneitra, dans le Golan occupé.
L’artillerie du régime sioniste garantit un soutien appuyé aux groupes terroristes qui entendent s’infiltrer dans les villages et les positions militaires de la Syrie. Le service du renseignement du régime sioniste fournit aux terroristes les renseignements desquels ils profitent pour lancer des opérations. L’armée israélienne et les groupes terroristes détiennent une cellule d’opération conjointe pas loin des zones frontalières et les forces d’occupation assurent la sécurité des chemins et des routes d’approvisionnements par lesquels passent les terroristes. Par ailleurs, l’armée syrienne a libéré la cité d’Al-Salehiya, située en banlieue-Est d’Alep. La libération de cette cité rend le terrain propice à ce que le blocus de l’aéroport militaire de Kavires soit brisé. Les frappes aériennes de l’aviation syrienne ont coûté la vie à un grand nombre de terroristes.
Encore une embrouille du faux-cul d'Erdogan qui bouffe à tous les râteliers sioniste et russe, et dont le pays, la Turquie est membre de l'Otan et que Sarkozy voulait faire entrer dans l'Europe !
Des négociations secrètes impliquant l’Iran (représentant la Syrie) et des « groupes armés » (c’est-à-dire les jihadistes y compris al-Qaida) se tiennent à Istanbul, sous les auspices de la Turquie.
La proposition turque serait de déplacer les populations et de partitionner le pays : les combattants anti-République du district de Damas se rendraient à Idleb tandis que la population chiite du Nord se réfugierait à Damas, puis le Nord du pays ferait sécession avant d’être rattaché à la Turquie.
Cela impliquerait un cessez-le-feu de 6 mois dans la région de Damas (Zabadani, Madaya, Bakin et Serghaya) et dans celle d’Idleb (Foua, Kefraya, Binnich, Taftanaz, Taoum, Maarret Masrin, la ville d’Idleb elle-même, Ram Hamdan, Zaradna et Chalakh), mais pas dans le Sud (Deraa) les Israéliens ne participant pas aux négociations.
Tout est bon pour nous empoissonner et pour nous éliminer !
En septembre 2014, Jacques Daidié est parti à la rencontre, en Italie de Rosario Marciano, militant connu contre la géo-ingénierie, créateur du site www.tankerenemy.com, et de sa famille. Le présent travail est né de cette rencontre. L'association Ciel voilé remercie Rosario Marciano pour son autorisation de sous-titrage du documentaire italien dont il est le producteur :"Chemtrails : la guerre secrète". Nous remercions aussi chaleureusement tous ceux qui ont contribué à la traduction : Jacques, Dominique d'Avignon, Marie de Monteux, Sébastien de St Firmin en Valgaudemard et Danielle de Gap.
Par ailleurs quelles meilleures preuves avons-nous que le False Flag avait été préparé par avance par l'état, si ce n'est de prêter une grande attention à l'interview donnée par la compagne de Charb, Jeannette Bougrab, à BMFM TV ?
Si elle avait voulu désigner l'état, comme étant responsable du décès de son compagnon, elle ne s'y serait pas prise autrement !
En mettant de côté son émotion naturelle due au décès de son compagnon, attachons-nous à ce qu'elle dit clairement, que son compagnon vivait dans la peur et qu'il était en permanence sous protection policière, mais qu'il voulait à tout prix continuer le "COMBAT", tout comme elle-même qui appelle à le poursuivre, en entendant même réclamer de nouvelles lois pour lutter contre le terrorisme ! Soit contre le Peuple français qui devrait en pâtir !
Quel combat au juste faut-il mener tout en étant en France, un pays réputé pour être en paix, pour et contre qui, faut-il combattre et surtout au profit de qui ? Et pour défendre quelle idéologie ?
Voyez aussi quels sont ses propres combats, avec qui elle pactise et quels sont les milieux et les personnalités qu'elle a l'habitude de côtoyer !
INFO PANAMZA. Peu de temps avant l’attentat du 7 janvier, Valls et Cazeneuve avaient allégé la protection policière de Charlie Hebdo en dépit de nouvelles menaces imputées à Al-Qaïda.
Automne 2014 : le ministère de l'Intérieur -qui chapeaute le Service de la protection (en charge des personnalités)- a mis fin à la présence permanente de deux policiers devant l'entrée du siège de Charlie Hebdo, situé -depuis le 1er juillet- au numéro 10 de la rue Nicolas Appert. Une photographie de Google Maps, datant du mois d'août, a capturé incidemment une image de la voiture de police.
Interviewée par Ruth Elkrief, elle a relaté ce qu'elle a vécu depuis l'annonce du drame.
À 1'22, elle évoqua un détail troublant :
On avait supprimé une protection statique devant Charlie Hebdo qui aurait peut-être pu éviter le drame.
Vendredi 9 janvier, dans la matinale d'Europe 1, Laurent Léger, journaliste d'investigation de Charlie Hebdo et rescapé de l'attaque, a été interrogé à ce sujet par Thomas Sotto.
Question de Sotto (qui confond par ailleurs deux interventions de Bougrab, l'une sur BFM TV, l'autre sur TF1):
Jeannette Bougrab a déclaré hier soir, lors du 20h de TF1, que le dispositif de sécurité de Charlie Hebdo avait été allégé depuis quelques semaines. Vous l'aviez constaté, ça, ou pas?
La réponse de Léger (audible à partir de 5'55) :
Effectivement, y avait plus la voiture statique en faction devant le journal.
Le journaliste ajouta aussitôt son sentiment personnel : d'après lui, une telle présence n'aurait pas empêché les assaillants d'accomplir leur dessein.
Pas si sûr : deux policiers armés et prêts à réagir en cas d'arrivée de deux hommes cagoulés auraient pu retarder leur opération, voire la saborder. A fortiori s'ils étaient en contact audio avec le policier Franck Brinsolaro, présent dans la salle de rédaction aux côtés de Charb et tué lors de la fusillade.
Brinsolaro : un homme croisé sur le même trottoir, l'automne dernier, par l'auteur de ces lignes -de passage dans le quartier du journal pour un déjeuner parisien. En compagnie d'un collègue, il escortait le tandem Charb-Léger, deux mètres en arrière, dans la rue Amelot. En tant qu'ancien lecteur de longue date de Charlie et ex-collègue de Léger au sein du média en ligne Bakchich, j'avais immédiatement reconnu les deux journalistes.
Comme les policiers en faction devant le siège du journal, Brinsolaro faisait partie du Service de la protection (ex-SPHP), dirigé par Frédéric Auréal.
Ce dernier, nommé en juillet 2012 par Manuel Valls (alors ministre de l'Intérieur), a été récemment promu (par décret en date du 22 décembre) en devenant "inspecteur général des services actifs de la police nationale".
Double particularité de l'homme -réputé proche de Valls- à la tête du SDLP :
* L'hostilité exprimée à son endroit par ses subordonnés, agacés par des missions de protection jugées excessives ou inutiles (tel le cas emblématique du député franco-israélien Meyer Habib).
Résumons : en dépit de nouvelles menaces imputées à Al-Qaïda et proférées en mai 2013, la protection policière de Charlie Hebdo -instaurée fin 2011- a été allégée, un an et demi plus tard, sur un point névralgique : l'entrée de l'immeuble dans lequel l'équipe était installée au 2ème étage, derrière une porte blindée et verrouillée par un code. Responsables de cette décision aux conséquences tragiques dans les semaines qui ont suivi : Manuel Valls (Premier ministre), Bernard Cazeneuve (ministre de l'Intérieur) et Frédéric Auréal (patron du SDLP).
Reste à savoir si les médias traditionnels, désormais hypnotisés à l'unisson par la "grave crise que traverse la France depuis trois jours" (pour reprendre les termes de Laurence Ferrari d'I-Télé) interpelleront les trois hommes concernés pour leur demander des comptes ou continueront de réaliser le mauvais remake en cours de "l'union sacrée" des Américains au lendemain de la mystification du 11-Septembre.