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Encore une embrouille du faux-cul d'Erdogan qui bouffe à tous les râteliers sioniste et russe, et dont le pays, la Turquie est membre de l'Otan et que Sarkozy voulait faire entrer dans l'Europe !
Des négociations secrètes impliquant l’Iran (représentant la Syrie) et des « groupes armés » (c’est-à-dire les jihadistes y compris al-Qaida) se tiennent à Istanbul, sous les auspices de la Turquie.
La proposition turque serait de déplacer les populations et de partitionner le pays : les combattants anti-République du district de Damas se rendraient à Idleb tandis que la population chiite du Nord se réfugierait à Damas, puis le Nord du pays ferait sécession avant d’être rattaché à la Turquie.
Cela impliquerait un cessez-le-feu de 6 mois dans la région de Damas (Zabadani, Madaya, Bakin et Serghaya) et dans celle d’Idleb (Foua, Kefraya, Binnich, Taftanaz, Taoum, Maarret Masrin, la ville d’Idleb elle-même, Ram Hamdan, Zaradna et Chalakh), mais pas dans le Sud (Deraa) les Israéliens ne participant pas aux négociations.
Tout est bon pour nous empoissonner et pour nous éliminer !
En septembre 2014, Jacques Daidié est parti à la rencontre, en Italie de Rosario Marciano, militant connu contre la géo-ingénierie, créateur du site www.tankerenemy.com, et de sa famille. Le présent travail est né de cette rencontre. L'association Ciel voilé remercie Rosario Marciano pour son autorisation de sous-titrage du documentaire italien dont il est le producteur :"Chemtrails : la guerre secrète". Nous remercions aussi chaleureusement tous ceux qui ont contribué à la traduction : Jacques, Dominique d'Avignon, Marie de Monteux, Sébastien de St Firmin en Valgaudemard et Danielle de Gap.
Par ailleurs quelles meilleures preuves avons-nous que le False Flag avait été préparé par avance par l'état, si ce n'est de prêter une grande attention à l'interview donnée par la compagne de Charb, Jeannette Bougrab, à BMFM TV ?
Si elle avait voulu désigner l'état, comme étant responsable du décès de son compagnon, elle ne s'y serait pas prise autrement !
En mettant de côté son émotion naturelle due au décès de son compagnon, attachons-nous à ce qu'elle dit clairement, que son compagnon vivait dans la peur et qu'il était en permanence sous protection policière, mais qu'il voulait à tout prix continuer le "COMBAT", tout comme elle-même qui appelle à le poursuivre, en entendant même réclamer de nouvelles lois pour lutter contre le terrorisme ! Soit contre le Peuple français qui devrait en pâtir !
Quel combat au juste faut-il mener tout en étant en France, un pays réputé pour être en paix, pour et contre qui, faut-il combattre et surtout au profit de qui ? Et pour défendre quelle idéologie ?
Voyez aussi quels sont ses propres combats, avec qui elle pactise et quels sont les milieux et les personnalités qu'elle a l'habitude de côtoyer !
INFO PANAMZA. Peu de temps avant l’attentat du 7 janvier, Valls et Cazeneuve avaient allégé la protection policière de Charlie Hebdo en dépit de nouvelles menaces imputées à Al-Qaïda.
Automne 2014 : le ministère de l'Intérieur -qui chapeaute le Service de la protection (en charge des personnalités)- a mis fin à la présence permanente de deux policiers devant l'entrée du siège de Charlie Hebdo, situé -depuis le 1er juillet- au numéro 10 de la rue Nicolas Appert. Une photographie de Google Maps, datant du mois d'août, a capturé incidemment une image de la voiture de police.
Interviewée par Ruth Elkrief, elle a relaté ce qu'elle a vécu depuis l'annonce du drame.
À 1'22, elle évoqua un détail troublant :
On avait supprimé une protection statique devant Charlie Hebdo qui aurait peut-être pu éviter le drame.
Vendredi 9 janvier, dans la matinale d'Europe 1, Laurent Léger, journaliste d'investigation de Charlie Hebdo et rescapé de l'attaque, a été interrogé à ce sujet par Thomas Sotto.
Question de Sotto (qui confond par ailleurs deux interventions de Bougrab, l'une sur BFM TV, l'autre sur TF1):
Jeannette Bougrab a déclaré hier soir, lors du 20h de TF1, que le dispositif de sécurité de Charlie Hebdo avait été allégé depuis quelques semaines. Vous l'aviez constaté, ça, ou pas?
La réponse de Léger (audible à partir de 5'55) :
Effectivement, y avait plus la voiture statique en faction devant le journal.
Le journaliste ajouta aussitôt son sentiment personnel : d'après lui, une telle présence n'aurait pas empêché les assaillants d'accomplir leur dessein.
Pas si sûr : deux policiers armés et prêts à réagir en cas d'arrivée de deux hommes cagoulés auraient pu retarder leur opération, voire la saborder. A fortiori s'ils étaient en contact audio avec le policier Franck Brinsolaro, présent dans la salle de rédaction aux côtés de Charb et tué lors de la fusillade.
Brinsolaro : un homme croisé sur le même trottoir, l'automne dernier, par l'auteur de ces lignes -de passage dans le quartier du journal pour un déjeuner parisien. En compagnie d'un collègue, il escortait le tandem Charb-Léger, deux mètres en arrière, dans la rue Amelot. En tant qu'ancien lecteur de longue date de Charlie et ex-collègue de Léger au sein du média en ligne Bakchich, j'avais immédiatement reconnu les deux journalistes.
Comme les policiers en faction devant le siège du journal, Brinsolaro faisait partie du Service de la protection (ex-SPHP), dirigé par Frédéric Auréal.
Ce dernier, nommé en juillet 2012 par Manuel Valls (alors ministre de l'Intérieur), a été récemment promu (par décret en date du 22 décembre) en devenant "inspecteur général des services actifs de la police nationale".
Double particularité de l'homme -réputé proche de Valls- à la tête du SDLP :
* L'hostilité exprimée à son endroit par ses subordonnés, agacés par des missions de protection jugées excessives ou inutiles (tel le cas emblématique du député franco-israélien Meyer Habib).
Résumons : en dépit de nouvelles menaces imputées à Al-Qaïda et proférées en mai 2013, la protection policière de Charlie Hebdo -instaurée fin 2011- a été allégée, un an et demi plus tard, sur un point névralgique : l'entrée de l'immeuble dans lequel l'équipe était installée au 2ème étage, derrière une porte blindée et verrouillée par un code. Responsables de cette décision aux conséquences tragiques dans les semaines qui ont suivi : Manuel Valls (Premier ministre), Bernard Cazeneuve (ministre de l'Intérieur) et Frédéric Auréal (patron du SDLP).
Reste à savoir si les médias traditionnels, désormais hypnotisés à l'unisson par la "grave crise que traverse la France depuis trois jours" (pour reprendre les termes de Laurence Ferrari d'I-Télé) interpelleront les trois hommes concernés pour leur demander des comptes ou continueront de réaliser le mauvais remake en cours de "l'union sacrée" des Américains au lendemain de la mystification du 11-Septembre.
Encore un mystère et une intrigue qui mêlent le Vatican et les francs-maçons-Illuminati appelés dans le film le "Prieuré de Sion"qui se servent del'abbé Béranger Saunière pour retrouver un trésor caché, laissé par les Cathares.
Les Illuminati : Depuis Sumer et Babylone, la Fraternité du Serpent s'est perpétuée en prenant des formes et des noms multiples à travers les époques, exerçant son influence sur les religions et les pouvoirs politiques successifs, dans une longue filiation qui inclut les "écoles de mystère" babyloniennes, égyptiennes puis grecques, l'église chrétienne de Rome (utilisée comme "véhicule" par la "Fraternité" pour s'implanter en Europe), les Mérovingiens (d'où le personnage "Mérovingien" dans le film "Matrix"), les Templiers (et leurs nombreuses ramifications - Franc-Maçons, Rose-Croix, Prieuré de Sion, Ordre Militaire et Hospitalier de St Jean de Jerusalem, Ordre de Malte...), et enfin les "Illuminati" et les organisations qui y sont rattachées.
Le film se déroule après la révolution dite française dont nous savons qu'elle a été orchestrée par les Francs-maçons et la 1ère guerre mondiale de 14-18 dont nous savons qu'elle a été pour sa part orchestrée par les Banksters qui avaient créé la FED en décembre 1913.
Nous avons parmi les acteurs du film Arielle Dombasle et il ne nous manquerait plus que BHL pour couronner le tout !
Un fait marquant en fin du film et avant la mort de l'Abbé Béranger Saunière, celui-ci avoue avoir voulu croire en Dieu mais que lorsque qu'il a connu le dessous des cartes de la religion après la confession de l'abbé Boudet, il a perdu la foi en Dieu. Normal, Dieu c'est l'UNIVERS créateur et non pas le Dieu Unique que nous présentent les religions monothéistes.
Rennes le Château, "L'or du diable" "Les 6 épisodes en 1 film" (Aude 11, France)
Ce film, est un regroupement de 6 épisodes, tiré du téléfilm "L'or du diable" sorti en 1989. (Montage vidéo, et remasterisation sonore effectuée par: M.S (11 Aude).
L'histoire vraie, d'un jeune prêtre nommé dans une bourgade du Languedoc, en terre Cathare. L'abbé Saunière entreprend des travaux considérables, rebâtit l'église, achète des terrains, construit une villa et une tour médiévale. Il mène grand train, voyage, fréquente le monde politique et les artistes... Mais quelle était l'origine de la mystérieuse fortune de l'abbé ?
Un voyage au coeur des passions et des arcanes de l'Histoire. En 1885. Bérenger Saunière, brillant séminariste, est nommé curé d'un pauvre petit village de l'Aude, Rennes-le-Château. Dans cette église en ruines, au presbytère délabré, le nouveau curé exerce son sacerdoce avec foi et conviction. Lors de la restauration de l église, on trouve de mystérieux parchemins dans le maître-autel.
Une fois décryptés, les parchemins permettent de délimiter l'emplacement d'un fabuleux trésor.
En 1917, il meurt sans avoir livré le secret de sa fabuleuse fortune. La question reste posée: quel était le secret del'abbé Béranger Saunière?
Les épisodes: 1 - Une étrange paroisse 2 - Le secret du Maître autel 3 - La force du destin 4 - L'Or du Diable 5 - La confession de l'abbé Boudet 6 - L'habit rouge
Thème: Histoire Producteur: Image et Cie Réalisateur: Jean-Louis Fournier Acteurs: Michel Aumont, Jean-françois Balmer, Arielle Dombasle, Laura Faval Année :1988 Droits :International
Durée : 290 minutes
(Un arrangement de la bande son a été effectué, pour que vous puissiez mieux apprécier ce film.)
IRIB- L’espion américain, dont le gouvernement des Etats-Unis avait exigé la libération, Alan Gross, était chargé de prendre contact avec la communauté juive cubaine. Alan Gross, juif lui-même, avait tenté de faire passer du matériel informatique et de communication satellitaire, auprès des Juifs de Cuba, à des fins d’agitation révolutionnaire.
Alan Gross avait livré ce type de matériel, pour qu’il soit installé, dans les trois synagogues de la communauté, laquelle ne compte, pourtant, que 2.000 membres, sur l’île.
En 2004, il avait, également, pris contact avec Jose Manuel Collera, (photo à droite), un des principaux cadres de la franc-maçonnerie cubaine, pour lui livrer une caméra. Depuis, Collera a admis être un agent de renseignement cubain, infiltré dans la maçonnerie insulaire, chargé de surveiller les activités de cette société secrète, sur l’île. C’est, probablement, lui, qui a permis à La Havane de neutraliser Alan Gross, en le faisant arrêter, en 2009.
Alan Gross agissait, alors, sur les fonds du Fonds de Développement Pan Américain, une organisation, dite humanitaire, contrôlée par la CIA, dont le but consiste à recruter et financer des activités subversives contre des gouvernements latino-américains non-coopératifs. Le chef de ce Fonds était le Juif Marc Wachtenheim.
La libération d’Alan Gross, par Cuba, était une des conditions posées par Washington à toute normalisation des relations entre les USA et Cuba. Sa libération récente a été présentée comme le point de départ du réchauffement diplomatique entre les deux pays.