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01/06/2010

Réactions du parti anti sionniste après l'attaque de la flotille de la liberté par Israël

Les réactions à l'attaque de la flotille de la liberté par Israël ne font que commencer !

L'avis du Parti  Antisioniste Français.


Lettre d'information du Parti Antisioniste du 1/06/2010


Page facebook officielle du PAS :

http://www.facebook.com/partiantisioniste ( 5 200 fans depuis le 1er février ! ).


Section  " Communications du PAS "  :

Humanitaires assassinés par Israël : réactions en France

Humanitaires assassinés par Israël

Europe : nouvelle frontière !

Antisionisme… en bref !

Un socialiste français visite Haïfa

Deux criminels de guerre israéliens à Paris

Accord entre l’Iran, la Turquie et le Brésil

Inspection nucléaire en Israël

L’OCDE se sionise !

Le nucléaire israélien sur l’Agenda de l’AIEA

Banqueroute : à qui le tour ?

Les Français au côté de la Syrie

Discours de Mahmoud Ahmadinejad à l’ONU

L’antisémitisme : permission de tuer (suite)

Décès du Rabbin Moshé Hirsch


Section  " Actualités antisionistes "  :

Flottille Gaza : Communiqué de Yechouroun - Judaïsme contre Sionisme

Droit légitime au retour du peuple palestinien (Nakba - Diaporama photos)

Droit légitime au retour du peuple palestinien

Ciamak Morsadegh, député juif iranien


Lettre d'information du Parti Anti Sioniste  -  www.partiantisioniste.com

 

Et voici l'avis des prosionistes sur l'attaque de la flotille de la liberté.

Nous rappelons que l'attaque d'Israël s'est faite dans les eaux internationales et qu'une précédente expédition humanitaire avait été attaquée par Israël. Ce qui pourrait expliquer que les humanitaires avaient prévu ces attaques criminelles et pouvaient être "armés" pour assurer leur défense en cas d'attaque d'Israël. Peut-on pour autant imputer des mesures de légitime défense à une organisation terroriste de la flotille humanitaire ?

A vous de juger des moyens utilisés par Israël et les moyens de défense utilisés par les humanitaires.

Sans compter qu'Israël a imposé la censure à la presse internationale lors de l'attaque de Gaza en janvier 2009 pour la l'opération durci et que le blocus illégal imposé à Gaza  par Israël persiste toujours.

 

http://www.drzz.info/article-video-les-armes-decouvertes-...



http://www.drzz.info/article-flotille-de-la-paix-une-nouv...


http://www.drzz.info/article-des-pacifistes-armes-de-barr...


http://www.drzz.info/article-des-pacifistes-armes-de-barr...


http://www.youtube.com/watch?v=buzOWKxN2co&feature=pl...

Pourquoi Israël a t-il attaqué des civils en Méditerranée ?

Par Thierry Meyssan

Israël a pesé à l’avance les conséquences de l’attaque qu’il a lancé contre un convoi humanitaire maritime. Quels sont ses objectifs en déclenchant une crise diplomatique mondiale, pourquoi a t-il défié son allié turc et son protecteur états-unien ?

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L’attaque conduite par trois patrouilleurs lance-missiles israéliens de classe Saar, le 31 mai 20101, contre la flottille de la liberté, dans les eaux internationales de Méditerranée illustre la fuite en avant de Tel-Aviv.

La flottille de la liberté est une initiative de militants des droits de l’homme [1] [2], soutenue par le gouvernement turc. Son objectif est à la fois de véhiculer de l’aide humanitaire jusqu’à Gaza et, ce faisant, de briser le blocus mis en place illégalement par l’armée israélienne à l’encontre d’1,5 million de Gazaouites.

La décision d’aborder des navires civils dans les eaux internationales constitue un « acte de guerre » au regard du droit international. Juridiquement parlant, il y a eu vol des navires et de leurs cargaison, enlèvement et séquestration de leurs passagers, meurtres ; voire assassinats, si l’on admet les informations de la télévision turque selon laquelle les commandos avaient une liste des personnalités à liquider au cours de l’assaut.

Cet acte de guerre, à l’encontre des pavillons grecs et turcs de ces navires, a été perpétré afin de consolider le blocus, lequel constitue en lui-même une violation du droit international.

En choisissant l’argument de la « légitime défense », les autorités israéliennes ont explicitement revendiqué leur souveraineté sur les eaux internationales à 69 miles nautiques au large de la Palestine ; cette annexion —temporaire ou durable— étant nécessaire à la poursuite du blocus, lequel serait nécessaire à la sécurité de l’Etat d’Israël.

En abordant un navire turc et en en tuant des passagers, Tel-Aviv a d’abord choisi de répondre militairement à la crise diplomatique qui l’oppose depuis janvier 2009 à Ankara. Cette initiative est censée provoquer une crise au sein de l’état-major turc et entre celui-ci et le gouvernement turc. Cependant, elle pourrait aboutir à une rupture complète des relations militaires entre les deux pays, alors même que la Turquie aura été pendant un demi-siècle le meilleur allié d’Israël dans la région. D’ores et déjà, les manœuvres conjointes turco-israéliennes ont été annulées sine die. En outre, cette crise pourrait aussi avoir des conséquences sur les relations commerciales entre les deux pays, alors même que la Turquie est un partenaire vital pour l’économie israélienne.

Cependant, Tel-Aviv se devait de casser la crédibilité de la Turquie au moment où elle se rapproche de la Syrie et de l’Iran, et ambitionne d’exercer avec ses nouveaux partenaires une autorité régionale [3]. Dans l’immédiat, Israël devait sanctionner le rôle d’Ankara dans la négociation du Protocole de Téhéran sur l’industrie nucléaire iranienne.

Côté turc, où l’on s’attendait à une intervention israélienne musclée mais pas létale, le moment est venu de se poser en protecteur des populations palestiniennes, selon la doctrine néo-ottomane théorisée par le ministre des Affaires étrangères, le professeur Ahmet Davutoğlu. Sans attendre le retour du Premier ministre Recep Erdoğan, en voyage en Amérique latine, l’ambassadeur Turc à Tel-Aviv a été rappelé à Ankara et une cellule de crise a été mise en place autour du vice-Premier ministre, Bülent Arınç. Elle est immédiatement entrée en contact avec les 32 gouvernements des Etats dont les passagers du convoi sont ressortissants. Tout le personnel diplomatique turc a été mobilisé pour saisir du problème le maximum d’Etats et d’organisations internationales. Dans une conférence de presse, M. Arınç a exigé la restitution immédiate des trois bateaux turcs volés et de leur cargaison, ainsi et surtout que la libération des centaines de citoyens turcs enlevés et séquestrés. Il a choisi de qualifier l’attaque d’acte de « piraterie » (et non de guerre), de manière à offrir au gouvernement Netanyahu la possibilité de présenter l’affaire comme une « bavure » et non comme une politique. Dans cette logique, le président Abdullah Gül, quant à lui, a exigé que les tribunaux israéliens jugent les responsables de cette tuerie.

Depuis le Chili, M. Erdoğan a déclaré : « Cette action est totalement contraire aux principes du droit international, c’est le terrorisme d’un Etat inhumain. Je m’adresse à ceux qui ont appuyé cette opération, vous appuyez le sang, nous soutenons le droit humanitaire et la paix ».

Dans l’après-midi, Ankara a saisi la Conseil atlantique. La Turquie est membre de l’OTAN. Si elle ne trouve pas la réponse qu’elle attend du gouvernement israélien, elle pourrait qualifier l’attaque d’acte de guerre et requérir l’aide militaire des Etats membres de l’Alliance en vertu de l’article 5 du Traité de l’Atlantique Nord.

Le gouvernement Netanyahu a invité ses ressortissants à quitter la Turquie, tandis que des manifestations spontanées se multiplient devant les consulats israéliens où la foule réclame vengeance.

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Le 26 mai 2010, le Premier ministre Benjamin Netanyahu, reçoit à Tel-Aviv le secrétaire général de la Maison-Blanche, Rahm Emanuel. Celui-ci lui remet une invitation de Barack Obama, que la partie israélienne annulera cinq jours plus tard.

Côté états-unien, cette affaire rappelle celle de l’USS Liberty (8 juin 1967). Durant la guerre des Six jours, les Israéliens attaquèrent un bâtiment de surveillance électronique de l’US Navy, faisant 34 morts et 171 blessés. Tel-Aviv présenta ses excuses pour cette méprise sur le champ de bataille tandis que, tout en les acceptant officiellement, Washington y vu un outrage délibéré. Les Israéliens auraient voulu à l’époque sanctionner les critiques états-uniennes.

Cette fois, l’attaque de la flottille de la liberté pourrait être une sanction après le vote par Washington d’une résolution des Etats signataires du Traité de non-prolifération enjoignant Israël à déclarer ses armes nucléaires et à accepter les contrôles de l’Agence internationale de l’énergie atomique.

La décision israélienne d’attaquer des navires civils dans les eaux internationales intervient après l’assassinat aux Emirats d’un dirigeant palestinien par une unité du Mossad ; la découverte d’un vaste système de copie falsifiées de passeports au détriment d’Etats occidentaux ; et le refus d’assister à la conférence internationale de suivi du Traité de non-prolifération. Cet ensemble de faits peut être interprété comme une succession de coups perpétrés par un Etat sûr de son impunité —et dans ce cas, il pourrait s’agir cette fois d’un coup de plus ou de trop—, ou comme une escalade après une courte friction publique avec l’administration US —il s’agirait alors de revendiquer le leadership du mouvement sioniste en montrant que Tel-Aviv décide et Washington entérine—.

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu, en voyage en Amérique du Nord, a décidé de terminer sa visite canadienne et d’annuler son rendez-vous à la Maison-Blanche. Il a été joint par téléphone par le président Obama qui lui a demandé des explications.

La Haut commissaire des Nations Unies pour les droits de l’homme, Navi Pillay, a déclaré que l’opération israélienne ne pouvait avoir aucune justification juridique. Le Rapporteur spécial sur les Droits de l’homme dans les territoires occupés palestiniens, Richard Falk, a tenu à souligner qu’au delà de l’atteinte à la liberté de circulation sur les mers, le problème central reste le blocus. « À moins que des actions promptes et décisives soient prises pour mettre au défi l’approche israélienne sur Gaza, nous serons tous complices d’une politique criminelle qui menace la survie d’une communauté assiégée », a t-il affirmé. Le Conseil de sécurité a été convoqué en urgence, ce jour, à 18h TU. Le ministre turc des Affaires étrangères est parti à New York.

Thierry Meyssan, Réseau Voltaire

Le terrorisme, l’État et la mafia

Article placé le 31 mai 2010, par Frédéric Courvoisier (Genève)


Alors que, sur de nombreux sites et forums « spécialisés », les indices et rumeurs d’une « attaque terroriste » de grande ampleur s’intensifient depuis quelques semaines, il nous apparait utile, sinon même urgent, de replacer ce texte qui fut à l’origine de l’élaboration de notre site.

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« La société qui s’annonce démocratique semble être admise partout comme étant la réalisation d’une perfection fragile. De sorte qu’elle ne doit plus être exposée à des attaques, puisqu’elle est fragile ; et du reste n’est plus attaquable, puisque parfaite comme jamais société ne fut.
Cette démocratie si parfaite fabrique elle-même son inconcevable ennemi : le terrorisme. L’histoire du terrorisme est écrite par l’État, elle est donc éducative. Les populations ne peuvent certes pas savoir qui se cache derrière le terrorisme, mais elles peuvent toujours en savoir assez pour être persuadées que, par rapport à ce terrorisme, tout le reste devra leur sembler plutôt acceptable, en tout cas plus rationnel et plus démocratique. »
Guy Debord, Commentaires sur la société du spectacle, 1988


L’exaltation idéologique peut conduire à toutes sortes de crimes, et l’héroïsme individuel comme les assassinats en série appartiennent à toutes les sociétés humaines. Ces sortes de passions ont contribué depuis toujours à construire l’histoire de l’humanité à travers ses guerres, ses révolutions, ses contre-révolutions. On ne peut donc être surpris qu’un mitrailleur, un kamikaze ou un martyre commettent des actes dont les résultats politiques seront exactement opposés à ceux qu’ils prétendent rechercher, car ces individus ne sont pas ceux qui négocient sur le marché des armes, organisent des complots, effectuent minutieusement des opérations secrètes sans se faire connaître ni appréhendés avant l’heure du crime.

Quoiqu’elle veuille s’en donner l’allure, l’action terroriste ne choisit pas au hasard ses périodes d’activités, ni selon son bon plaisir ses victimes. On constate inévitablement une strate périphérique de petits terroristes islamistes, dont il est toujours aisé de manipuler la foi ou le désir de vengeance, et qui est, momentanément, tolérée comme un vivier dans lequel on peut toujours pécher à la commande quelques coupables à montrer sur un plateau : mais la « force de frappe » déterminante des interventions centrales ne peut-être composée que de professionnels ; ce que confirme chaque détails de leur style.

L’incompétence proclamée de la police et des services de renseignements, leurs mea-culpa récurrent, les raisons invoquées de leurs échecs, fondées sur l’insuffisance dramatique de crédits ou de coordination, ne devraient convaincre personne : la tâche la première et la plus évidente d’un service de renseignements est de faire savoir qu’il n’existe pas ou, du moins, qu’il est très incompétent, et qu’il n’y a pas lieu de tenir compte de son existence tout à fait secondaire. Pourtant, ces services sont mieux équipés techniquement aujourd’hui qu’ils ne l’ont jamais été.

Tout individu notoirement ennemi de l’organisation sociale ou politique de son pays, et, d’avantage encore, tout groupe d’individus contraint de se déclarer dans cette catégorie est connu de plusieurs services de renseignements. De tels groupes sont constamment sous surveillance. Leurs communications internes et externes sont connues. Ils sont rapidement infiltrés par un ou plusieurs agents, parfois au plus haut niveau de décision, et dans ce cas aisément manipulable. Cette sorte de surveillance implique que n’importe quel attentat terroriste ait été pour le moins permis par les services chargés de la surveillance du groupe qui le revendique, parfois encore facilité ou aidé techniquement lorsque son exécution exige des moyens hors d’atteinte des terroristes, ou même franchement décidé et organisé par ces services eux-mêmes. Une telle complaisance est ici tout à fait logique, eu égard aux effets politiques et aux réactions prévisibles de ces attentats criminels.

Le siècle dernier, l’histoire du terrorisme a démontré qu’il s’agit toujours, pour une faction politique, de manipuler des groupes terroristes en vue de provoquer un revirement avantageux de l’opinion publique dont le but peut être de renforcer des dispositifs policiers pour contrer une agitation sociale, présente ou prévisible, ou de déclancher une opération militaire offensive, et son cortège d’intérêts économiques, à laquelle s’oppose la majorité de la nation.

Etat et Mafia

On se trompe chaque fois que l’on veut expliquer quelque chose en opposant la Mafia à l’Etat : ils ne sont jamais en rivalité. La théorie vérifie avec efficacité ce que toutes les rumeurs de la vie pratique avaient trop facilement montré. La Mafia n’est pas étrangère dans ce monde ; elle y est parfaitement chez elle, elle règne en fait comme le parfait modèle de toutes les entreprises commerciales avancées.

La Mafia est apparue en Sicile au début du XIXe siècle, avec l’essor du capitalisme moderne. Pour imposer son pouvoir, elle a du convaincre brutalement les populations d’accepter sa protection et son gouvernement occulte en échange de leur soumission, c’est-à-dire un système d’imposition directe et indirecte (sur toutes les transactions commerciales) lui permettant de financer son fonctionnement et son expansion. Pour cela, elle a organisé et exécuté systématiquement des attentats terroristes contre les individus et les entreprises qui refusaient sa tutelle et sa justice. C’était donc la même officine qui organisait la protection contre les attentats et les attentats pour organiser sa protection. Le recours à une autre justice que la sienne était sévèrement réprimé, de même que toute révélation intempestive sur son fonctionnement et ses opérations.

Malgré ce que l’on pourrait croire, ce n’est pas la Mafia qui a subvertit l’Etat moderne, mais ce sont les Etats qui ont concocté et utilisé les méthodes de la Mafia. Tout Etat moderne contraint de défendre son existence contre des populations qui mettent en doute sa légitimité est amené à utiliser à leur encontre les méthodes les plus éprouvées de la Mafia, et à leur imposer ce choix : terrorisme ou protection de l’Etat.

Mais il n’y a rien de nouveau à tout cela. Thucydide écrivait déjà, 400 ans avant Jésus-Christ, dans « La guerre du Péloponnèse » : « Qui plus est, ceux qui y prenaient la parole étaient du complot et les discours qu’ils prononçaient avaient été soumis au préalable à l’examen de leurs amis. Aucune opposition ne se manifestait parmi le reste des citoyens, qu’effrayait le nombre des conjurés. Lorsque que quelqu’un essayait malgré tout des les contredire, on trouvait aussitôt un moyen commode des les faire mourir. Les meurtriers n’étaient pas recherchés et aucune poursuite n’était engagée contre ceux qu’on soupçonnait. Le peuple ne réagissait pas et les gens étaient tellement terrorisés qu’ils s’estimaient heureux, même en restant muet, d’échapper aux violences. Croyant les conjurés bien plus nombreux qu’ils n’étaient, ils avaient le sentiment d’une impuissance complète. La ville était trop grande et ils ne se connaissaient pas assez les uns les autres, pour qu’il leur fût possible de découvrir ce qu’il en était vraiment. Dans ces conditions, si indigné qu’on fût, on ne pouvait confier ses griefs à personne. On devait donc renoncer à engager une action contre les coupables, car il eût fallut pour cela s’adresser soit à un inconnu, soit à une personne de connaissance en qui on n’avait pas confiance. Dans le parti démocratique, les relations personnelles étaient partout empreintes de méfiance, et l’on se demandait toujours si celui auquel on avait à faire n’était pas de connivence avec les conjuré ».

Aujourd’hui, les manipulations générales en faveur de l’ordre établi sont devenues si denses qu’elles s’étalent presque au grand jour. Pourtant, les véritables influences restent cachée, et les intentions ultimes ne peuvent qu’être assez difficilement soupçonnée, presque jamais comprises.

Notre monde démocratique qui, jusqu’il y a peu, allait de succès en succès, et s’était persuadé qu’il était aimé, a du renoncer depuis lors à ces rêves ; il n’est aujourd’hui plus que l’arme idéologique du projet mondialiste.

Mecanopolis

Israël/Palestine : Quand Goliath massacre David !

Les réactions à l'attaque de la flotille de la liberté par Israël par Philippe Randa
QUAND GOLIATH MASSACRE DAVID
Chronique hebdomadaire de Philippe Randa

Plusieurs questions se posent après l'assaut sanglant mené par un commando de l'armée israélienne contre une flottille transportant de l'aide humanitaire pour les Palestiniens.

Était-ce une provocation d'activistes pro-palestiniens ? Les passagers pro-palestiniens ont-ils déclenché les violences ? Les soldats israéliens ont-ils réellement été menacés comme ils l'affirment ou ont-ils commencé à tirer dès qu'ils ont abordés le pont du navire, tirant sur des groupes de civils endormis ? Si Israël avait laissé le convoi arriver à destination, aurait-ce été perçu comme une faiblesse de sa part et, donc, une victoire du Hamas au pouvoir dans la bande de Gaza ?

On laissera aux pro-Israéliens comme aux anti-sionistes leurs lapidaires certitudes à ses interrogations.

Quelles que soient les craintes justifiées ou non et les raisons, légitimes ou non, de l'arraisonnement de la flottille Free Gaza, les conséquences de cette opération sont désastreuses pour l'État hébreu.

En attaquant la flotille dans les eaux internationales, Israël s'est mis de fait hors-la-loi, ce qui rend plus difficile encore la justification de son intervention.

Son isolement se confirme : tous les pays condamnent à l'unanimité la violence dont il a usé, notamment la Turquie jusqu'alors soutien de l'État hébreu. Constatant le déclin de l'influence égyptienne à Gaza, elle veut combler ce vide ; elle soutient désormais les revendications sociales des habitants de Gaza afin de jouer un rôle influent au Proche-Orient.

Seuls les États-Unis font encore preuve, ce mardi matin, d'une difficile retenue qui en dit long sur la dégradation des relations entre les deux pays, traditionnellement alliés… Traditionnellement, certes, mais indéfectiblement ?

Pire, sans doute, l'hécatombe en vie humaine, après un affrontement entre des militants politiques armés de couteaux et de barre de fer et les Sayeret 13, force d'élite de l'armée israélienne (équivalent des commandos marines français ou des Navy Seals américains( qui ont fait usage d'armes automatiques.

"Les commandos de marine ont des moyens non létaux pour répondre à des attaques menées avec des haches et des couteaux : balles en caoutchouc, munitions Taser, moyens incapacitants. Jamais on ne tire à balles réelles, sauf quand l'un'de nos hommes est dans une situation critique", explique un expert, membre des forces spéciales françaises (Le Figaro, 31 mai 2010).

Tout aussi grave : "D'ordinaire, on n'envoie pas les hélicos en premier. On arrive, on tente un détournement du bateau. On approche nos embarcations le long du bâtiment et on somme l'équipage de nous laisser monter à bord. En cas d'échec de cette méthode "douce", les embarcations se rapprochent du navire de plusieurs côtés afin de "saturer la défense adverse'"et de permettre ensuite aux hommes de monter à bord. En cas d'échec seulement, on envoie les hélicos et la corde lisse" , poursuit cet expert.

Cette bavure confirme que si l'armée israélienne reste encore la plus forte dans cette partie du Moyen-Orient, elle n'est plus invincible, ce qui ne peut, une fois de plus, que renforcer d'autant la détermination de ses ennemis… et toucher le moral de ses soldats.

Ce qui devait être une opération rapide a donc tourné à la tuerie : Goliath a massacré David. Par surprise et sans pitié aucune. Si ce n'était pas son intention "et gageons que cela ne l'était sans doute pas" c'est donc de l'incompétence de la part de Tsahal. Donc, un échec. Un de plus, survenant après son désengagement du Sud-Liban en mai 2000, perçu comme une éclatante victoire des combattants chiites ; après son échec essuyé dans la campagne militaire au Liban en 2006… et plus récemment encore après l'échec de l'Opération "Plomb durci" en janvier 2009 contre le hezbollah qui lui a victorieusement tenu tête…

Une spirale de l'échec qui, historiquement, est toujours fatidique pour ceux qui s'y laissent entraîner


L’armée israélienne attaque le convoi humanitaire pour Gaza ! (v idéos)

Article placé le 31 mai 2010, par Mecanopolis

Mise à jour en continu

Plus de 10 passagers auraient été tués et 36 blessés lundi lorsque des commandos israéliens ont pris d’assaut la flottille internationale de militants pro-palestiniens qui se dirigeait vers la bande de Gaza, a indiqué l’armée israélienne.

israel

Plus de 10 passagers ont été tués et 36 autres blessés lors de l’assaut donné par des commandos israéliens contre une flottille humanitaire internationale qui se rendait à Gaza.

L’ONU s’est dite « choquée ». L’Union Européenne demande une « enquête complète » d’Israël sur les circonstances du raid. Pire, la Turquie, dont plusieurs ressortissants feraient partie des victimes, a prévenu Israël de « conséquences irréparables » sur les relations bilatérales.

Une ONG turque, qui participait à l’opération humanitaire, a fait état d’au moins 15 morts. La flottille acheminant des centaines de militants pro-palestiniens et de l’aide pour Gaza à bord de six bateaux avait appareillé dimanche après-midi depuis les eaux internationales au large de Chypre pour le territoire palestinien.

Des images tournées depuis le bateau turc montrent des commandos vêtus de noir descendre d’hélicoptère sur le navire, puis des affrontements avec les militants.

La Turquie a rappelé son ambassadeur en Israël. A Istanbul, plusieurs milliers de personnes manifestaient cet après-midi aux cris de « Mort à Israël! ». L’Etat hébreu a appelé ses ressortissants à ne plus se rendre en Turquie.

 

 

http://www.dailymotion.com/video/xdidub_l-assaut-de-la-fl...



L’assaut de la flotille par Tsahal
envoyé par Mecanopolis

En protestation à l’opération commando israélienne contre cette flottille d’aide pro-palestinienne, le Nouveau parti anticapitaliste, le PCF et les Verts ont lancé un appel à un rassemblement ce lundi soir à Lyon. La manifestation est prévue à 18h30 place de l’Opéra. Elle recevra aussi le renfort du collectif 69 au peuple palestinien et du Parti des Indigènes de la République.

17h19 > Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a accusé lundi Israël d’avoir commis un acte de « terrorisme d’Etat » en ordonnant un raid meurtrier contre une flottille pro-palestinienne au large de Gaza, évoquant une action « inhumaine ». Monsieur Erdogan a également déclaré aux journalistes à Santiago (Chili) que son pays allait demander à l’Otan de convoquer une réunion d’urgence après le raid meurtrier contre une flottille humanitaire à destination de Gaza.

18h00 > MANIFESTATIONS EN FRANCE

Paris : Rassemblement devant l’ambassade israélienne (Métro Franklin Roosevelt ) ce soir à 18h30

Montpellier
: Rassemblement ce soir, dès 18h, place de la Comédie

Lyon : Rassem blement ce lundi 31 mai, à 18h30.Place de l’Opéra Collectif 69 de soutien au peuple palestinien.

Grenoble : Rassemblement dès 18h30, place Félix Poulat

Annecy : Rassemblement ce lundi soir à 18h devant la Préfecture.

Bordeaux : Ce lundi 31 mai, 18h30 rassemblement Place de la Victoire

Lille : Rassemblement ce soir partir de 18 h 30 Grand’Place

Nantes : L’AFPS et la plate-forme nantaise des ONG pour la Palestine appellent à un rassemblement à Nantes place du commerce à 18 heures pour dénoncer l’attaque meurtrière de la flotille humanitaire pour Gaza et réclamer l’ouverture immédiate de la bande de Gaza.

Belfort : Rassemblement de soutien mercredi 02 juin à partir de 18h00 Place Corbis

Pau : rassemblement ce soir à 18h30 devant la préfecture de Pau

Saint-Nazaire : Le Comité Solidarité Palestine de Saint-Nazaire, manifestation lundi 31 mai 18h30, Place de l’Hôtel de Ville,à Saint-Nazaire.

Strasbourg : Rassemblement de protestation place Kléber à 18h ! Collectif Judéo Arabe et Citoyen pour la Paix

Orléans : Rassemblement ce jour 31 mai à 18h devant la préfecture d’Orléans avec Palestine 45

Elbeuf : L’AFPS d’Elbeuf appelle à un rassemblement ce lundi 31 Mai à la poste d’Elbeuf rue des Martyrs à 18 heures 30

Marseille : Rassemblement ce soir 18 h sur le Vieux Port

Tarbes : ce soir à 18h30 rassemblement Place de Verdun à l’appel d’un collectif d’associations.

Boulogne sur Mer : Place Dalton à 18h30, Boulogne sur mer

Caen : Rassemblement 18h30 ce jour devant la préfecture (Collectif 14 de solidarité avec la Palestine)

Grenoble : Rassemblement 18h30 Place Félix Poulat

GAP : lundi 31 mai à 18h30 Esplanade de la Paix (AFPS 05)

Tulle : meeting ce soir à 18h00, à l’ initiative de toutes les forces de gauche

Chambéry : rassemblement à 18h30, place des Elephants

18h30> Réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU

Le Conseil de sécurité de l’ONU tiendra une réunion d’urgence lundi à 13H00 locales (19H00, heure suisse) sur le Proche-Orient après l’assaut israélien meurtrier contre une flottille humanitaire à destination de Gaza, a indiqué un diplomate occidental. La réunion donnera lieu à un débat public, a souligné ce diplomate.

Selon une chaîne de télévision israélienne, 19 passagers ont été tués et 36 autres blessés lors de l’assaut donné par des commandos israéliens contre la flottille internationale de militants pro-palestiniens qui tentait de forcer le blocus israélien de la bande de Gaza.

L’armée israélienne, elle, a fait état de 10 blessés dans ses rangs, dont deux grièvement.

Un peu plus tôt lundi, le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon s’est dit «choqué» par l’assaut de l’armée israélienne. Depuis Kampala où il est actuellement en déplacement, M. Ban a également «condamné ces violences». «Il est vital qu’une enquête complète soit menée pour déterminer comment un tel bain de sang a pu avoir lieu», a souligné le chef de l’ONU.

Condamnations unanimes

A l’instar d’Amnesty International qui a réclamé une «enquête crédible et indépendante», de nombreuses capitales ont demandé que toute la lumière soit faite sur l’assaut qui a fait au moins dix morts dans des circonstances encore imprécises dans des eaux internationales.

L’Autorité palestinienne et la Turquie ont réclamé une réunion d’urgence du Conseil de sécurité, comme le Liban qui le préside actuellement.

Les Etats-Unis et leur allié britannique ont déploré les «pertes en vie humaines». Washington cherche «à éclaircir les circonstances entourant cette tragédie», a indiqué la Maison Blanche à la veille d’une visite du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu qui, depuis le Canada, a apporté «son entier soutien» à Tsahal. M. Netanyahu a toutefois annulé le reste de sa visite en Amérique du nord.

La chef de la diplomatie de l’UE Catherine Ashton et le représentant du Quartette pour le Proche-Orient Tony Blair «choqué» ont réclamé une enquête.

18h41 > Le président américain Barack Obama a demandé lundi à connaître « le plus vite possible » les circonstances exactes de l’abordage sanglant d’une flottille pro-palestinienne par Israël, lors d’une conversation téléphonique avec le Premier ministre israélien Netanyahu.

18h47 > Chypre convoque l’ambassadeur d’Israël, parle d’un « acte criminel »

19h00 > La haut commissaire de l’ONU aux droits de l’Homme, Navi Pillay, a « condamné sans équivoque ce qui paraît un usage disproportionné de la force » de l’armée israélienne lors de l’assaut meurtrier de lundi contre la flottille d’aide humanitaire pour Gaza.

« Je condamne sans équivoque ce qui paraît un usage disproportionné de la force, qui a causé des morts et des blessés parmi tant de gens qui tentaient d’apporter de l’aide si nécessaire à la population de Gaza qui subit un blocus depuis plus de trois ans », a déclaré Mme Pillay dans un communiqué.

« Il faut établir avec exactitude ce qui est arrivé. Néanmoins, rien ne peut justifier le résultat horrible de cette opération, qui aurait été menée dans les eaux internationales », a ajouté la Haut commissaire.

« Lorsque des personnes sont tuées il faut que de sérieuses enquêtes soient menées et il faut rendre des comptes », a-t-elle insisté.

Mme Pillay a également demandé au gouvernement israélien de lever le blocus de la bande de Gaza « considéré au niveau international de manière presque unanime comme à la fois inhumain et illégal ».

19h30 > Selon la télévision turque TRT, les commandos de marine israéliens qui ont illégalement attaqué des navires civils dans les eaux internationales, le 31 mai 2010, faisant au moins 16 morts et une cinquantaine de blessés graves, avaient une liste de personnes à liquider au cours de leur opération.

19h30 > Selon le porte-parole du Premier ministre Benjamin Netanyahu et ceux de Tsahal, les commandos de marine qui ont ouvert le feu sur les militants de la « flottille de la paix », le 31 mai 2010, ont agit en légitime défense, même si les victimes ne disposaient pas d’armes à feu.

Cette présentation des faits ne tient pas : il est attesté que les commandos ont tiré à balles réelles sur le navire grec Sfentoni et le bateau turc Mavi Marmara avant de monter à leur bord. En outre, la députée arabe israélienne Hahine Zoghbi s’est adressée à eux en hébreu par haut parleurs pour leur demander de cesser le feu, les passagers n’étant pas armés.

Plus significatif : cet argument implique que l’Etat d’Israël s’estime souverain dans la zone où il a fait arraisonner la « flottille de la paix » par trois patrouilleurs lance-missiles, donc que cette démonstration de force vaut revendication de l’annexion des eaux territoriales méditerranéennes au large de la Palestine. (Réseau Voltaire)

19h43 > La propagande sioniste essaie de faire passer ses militaires pour des victimes. Voir ce petit montage minable sur dailymotion.

Dans le même genre, on pourra consulter le site de cette porcherie sioniste, où quelques analphabètes – un vocabulaire de 100 mots dont la moitié sont des néologismes de leur cru – vocifèrent à la gloire d’IsraHeil.

20h00 > Pour Kouchner, membre du gouvernement collabo-mondialiste Sarkozy, il s’agit d’un « incident ». Un incident ? On s’en souviendra !

20h05 > Chez les sionistes, on n’est jamais à court de mensonges. Voir cette autre étable de porcs, qui n’hésite pas à prétendre que « les militants ont ouvert le feu sur l’armée israHeilienne ».

20h15 > Pour le représentant du gouvernement d’IsraHeil, il y a quelques instants sur France2, il n’y a pas eu disproportion. Au contraire même, selon lui, « l’armée à fait preuve d’un sang froid remarquable » ! « Israël n’a-t-elle pas perdu son crédit » (ah bon, ces assassins en avaient ? Chez qui ?), demande Pujadas ? « Non, c’est une victoire pour la paix« , répond sans rire ce débile obèse. Faut se pincer en l’entendant pour le croire ! Et c’est sur cet entretien que France2 termine le sujet…

20h30 > Plusieurs articles intéressants chez nos camarades d’Euro-palestine.

20h35 > Autre organe de propagande de l’Etat fasciste, terroriste, assassin, etc, mais encore plus caricatural que les autres (si si c’est possible), dans un article à vomir, sous le tire : Des pacifistes armés de barres de fer. Sur que chez les fachos, se défendre avec les moyens du bord, ça mérite la mort.

21h00 > Elie Barnavi : « C’est si difficile d’être israélien » (On s'en doute !) >Et il leur trouve encore des excuses !

http://www.dailymotion.com/video/xdiaif_la-reputation-dyisrael-est-quot-te_news


La réputation d’Israël est "ternie"
envoyé par Europe1fr. - L'info internationale vidéo.

21h10 > Pour le bulletin de propagande de la Banque Rothschild, plus connu sous le nom du quotidien Libération, cette opération criminelle se légitime parce que, je cite, « Isarël veut montrer qu’il reste maître chez lui « . Sauf que là, ça se passait dans les eaux internationales, ce qui n’a pas effleuré les salariés de la banque sioniste, qui cachent leur statut de collabos derrière leur carte de presse officielle.

21h20 : Incroyable mais vrai !

Pour Malcolm Hoenlein, président de la Conférence des présidents aux Etats-Unis (l’équivalent américain du CRIF en France), cette opération humanitaire a été montée par… Al-Qaïda ! Je le cite « Lorsque les Américains connaîtront les faits réels, tout le monde aura compris qu’il s’agissait d’une provocation délibérée menée par Al-Qaida, le Hamas et consorts pour venir en aide à une entité terroriste : Gaza ». Je vous promet que je n’invente pas, c’est écrit noir sur blanc dans cet article du Monde - qui a osé publier cette daube – posté il y a quelques minutes. Mais Hoenlein ne s’arrête pas là. Pour lui les soldats israéliens descendus à bord ont été accueillis « par des bordées d’injures et des barres de fer » (oh non c’est trop affreux ça !). S’ils avaient mené leur opération le jour, « il y aurait eu beaucoup plus de victimes ». Quant aux eaux territoriales, « personne ne sait où elles se situent » et la question est de peu d’importance lorsqu’un peuple « défend son existence ». Ce qui inquiète en revanche M. Hoenlmein, ce sont « les médias européens, et un peu aussi les américains, qui vont sauter sur l’occasion pour salir Israël ».

Les sionistes du genre Hoenlein n’ont besoin de personne pour salir IsraHeil (ce pseudo Etat pue la charogne depuis le jour de sa création), ni pour se ridiculiser.

21h45 > Excellent article de Thierry Meyssan

Israël a pesé à l’avance les conséquences de l’attaque qu’il a lancé contre un convoi humanitaire maritime. Quels sont ses objectifs en déclenchant une crise diplomatique mondiale, pourquoi a t-il défié son allié turc et son protecteur états-unien ?

Lire la suite (et partager avec le plus grand nombre) > Pourquoi Israël a t-il attaqué des civils en Méditerranée ?

 

 

22h10 > A lire, sur le site de notre ami Mounadil al-Jazaïri

22h30 > Athènes : Des heurts ont éclaté dans la soirée entre forces de l’ordre et manifestants venus protester contre l’assaut israélien, devant l’ambassade d’Israël. Environ 3 500 personnes s’étaient rassemblées devant la mission israélienne et quelques centaines d’entre eux ont bombardé les policiers de pierres et de bouteilles. Ils ont été dispersés à l’aide de gaz lacrymogène.

22h40 > Strasbourg : Des échauffourées ont éclaté dans la soirée entre des manifestants et les forces de l’ordre qui ont tiré des grenades lacrymogènes sur les quelques 1 300 personnes qui s’étaient rassemblées, pour les empêcher de se diriger vers la synagogue de la ville.

vidéo de la manif de Strasbourg :

 

23h00 > Michel Collon à propos de l’attaque israélienne :

 

23h20 > Un appel à la grève générale parmi les 1,3 million d’Arabes israéliens a été lancé lundi pour protester contre le raid meurtrier lancé par la marine israélienne contre une flottille humanitaire internationale qui se rendait à la bande de Gaza.

Le Haut comité de suivi des Arabes, la plus importante organisation de cette communauté, a appelé à une journée de grève générale mardi et à des manifestations en Israël.

Plusieurs centaines d’Arabes israéliens n’ont pas attendu cet appel pour manifester, et sont descendus dès lundi matin dans les rues de Nazareth (nord du pays), la première ville arabe d’Israël, pour dénoncer l’assaut sanglant mené contre la flottille, ont indiqué des témoins.

23h25 > A propos de la manif de Strasbourg


 

 

 

 


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