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20/12/2010

Wikileaks / Anonymous - 100 millions de $ détournés le 11/9 + l'influence croissante du crime organisé isra élien

Voilà ce que l'on apprend par Wikileaks !


Wikileaks / Anonymous - 100 millions de $ détournés le 11/9

 http://www.dailymotion.com/video/xg3cea



Dans les heures précédant les attentats du 11/9 et même après que les avions aient percuté les tours du WTC, les ordinateurs installés dans les tours ont enregistré un flux de transactions anormalement élevé en taille et en volume. Plus de 100 millions de $ selon l'évaluation de l'expert Richard Wagner, de Convar.

Commencées dans la nuit du 10 au 11 septembre 2001, ces opérations se sont intensifiées le matin du 11 et se sont poursuivies alors même que les tours en flammes étaient sur le point de s'effondrer.

ANONYMOUS - OPERATION LEAKSPIN - Un Appel à l'Action
http://www.dailymotion.com/video/xg3ann


 L'Opération Payback change de nature et devient l'Opération Leakspin, "jeu de mot", qui appelle aux membres d'Anonymous de publier ces informations embarrassantes partout où ils le peuvent.

Comment réagiront les Sarkozy, Obama, Bush, Merkel, Cameron, Brown, Karzaï, Hu Jintao, Shimon Peres, Netanyahou, Medvedev, Poutine, Erdoğan, Benoît XVI, Chavez, Abbas, l'ONU, le Vatican, le FMI et bien d'autres encore, à la diffusion de ces révélations ?

Wikileaks révèle l'influence croissante du crime organisé israélien (Antiwar.com)
http://www.legrandsoir.info/Wikileaks-revele-l-influence-...

Un peu plus sur la genèse de Wikikeaks, qui sont-ils, qui sont leurs amis: vidéos en anglais
http://media.ccc.de/browse/congress/2008/25c3-2916-en-wikileaks.html

  

18/07/2010

Le plan d’aide de 750 milliards servira à recapitaliser les banques européennes

Article placé le 17 juil 2010, par Spencer Delane (Genève)

Le plan d’aide de 750 milliards d’euro mis en place en mai dernier avait pour but de venir en aide aux États de la zone euro en difficultés. L’Eurogroupe vient de décider qu’il servira a recapitaliser les banques qui ont échoué aux « stress-tests ».

stresstest

Décidé en mai dernier par l’Eurogroupe, en lien avec le Fonds monétaire international (FMI), sans aucune consultation du Parlement européen, le plan d’urgence de 750 milliards d’euros était la réponse aux attaques des marchés à l’encontre des pays de la zone euro, et avait pour but de couvrir les obligations d’États de ces pays en difficultés. La mise en place de ce mécanisme s’appuyait sur l’article 122-2 du Traité Lisbonne, qui permet de venir en aide à un État membre confronté à de « graves difficultés ».

Réuni jeudi soir, l’Eurogroupe a décidé qu’il en serait autrement, et que ces 750 milliards serviront a recapitaliser les banques dont le résultat des « stress-tests » aura démontré que leur ratio de solvabilité, appelé Tier one, est inférieur au minimum de 4% fixé par les régulateurs internationaux.

Le commissaire européen des Affaires économiques et monétaires, Olli Rehn, a également confirmé que, « si ces tests révélaient des difficultés pour une banque, elles pourraient avoir recours aux aides et aux mécanismes de protection nationaux, la Commission s’engageant à se saisir du dossier rapidement pour donner son indispensable feu vert, et faire appel au fonds d’aide d’urgence en cours de création, financé à hauteur de 60 milliards d’euros par le budget communautaire et capable de mobiliser, au total 750 milliards d’euros avec le soutien du FMI. » (1)

Les « stress-tests » ont pour but de déterminer le seuil de résistance des banques sans la perfusion permanente de la Banque centrale européenne (BCE). Les résultats seront publiés le 23 juillet, après une réunion extraordinaire des principaux intéressés (91 banques européennes) organisée deux jours plus tôt à Francfort par la BCE.

Dans un entretien accordé hier au journal autrichien Kurier (2), Jean-Claude Juncker, patron le l’Eurogroupe, a tenté de rassurer en indiquant que ces tests ne devraient pas mener à de « grosses catastrophes ». Néanmoins, après l’expiration d’un emprunt géant fait par le BCE il y a 10 jours, force est de constater que les banques de la zone euro continuent à se méfier les unes des autres, et que les flux des marchés interbancaires sont au point mort, obligeant hier la BCE à décidé à rouvrir ses guichets aux banques pour deux opérations dites de refinancement.

Comme nous l’avions indiqué en mai dernier (3), les 750 milliards du plan d’urgence seront donc affectés à la recapitalisation des fonds propres des banques, sur le compte des contribuables et de deux générations futures. Le FMI profitera de son engagement dans le processus pour augmenter encore la pression sur les États membres afin qu’ils accentuent les mesures d’austérité déjà misent en place ou en cours de réalisation.

Mais il sera impossible de sauver de la faillite les petites banques, comme les caisse d’épargne espagnoles, qui ont totalement perdu l’accès au marché interbancaire fin mai. Ces petites banques ne survivront pas à l’accentuation de la crise des États sur la dette espagnole. En plus de payer la crise, les contribuables des pays en difficultés pourraient voir leurs économies disparaitre. Mais qui s’en préoccupe ?

Spencer Delane, pour Mecanopolis

Notes :

1. Article des Echos

2. Article du Kurier

3. Lire Et maintenant, l’euro-dollar ?

15/07/2010

Alerte : Les banques centrales liées à la FED commencent à abandonner le dollar US

Avertissement Final Systémique !

Prenez vos dispositions dès maintenant pour retirer votre agent des banques !
Les autres abrutis de la FED et leurs cliques mafieuses ne manqueront pas de nous déclencher une nouvelle guerre atomique pour se maintenir au pouvoir mondial monétaire !
Le FMI n'a pas été créé pour rien et DSK n'en est pas le directeur pour rien !
Ouvrez les yeux et regardez ce qui se passe dans le Golfe Persique depuis le mois de juin 2010.

 


US

DANGER , RUPTURE : Voici venir l’avertissement final livré par des (whistle blowers) économistes depuis 2008.

Les banques centrales du monde « liées » à la FEDERAL RESERVE américaine commencent à abandonner le dollar US.

Le Trésor américain pourrait donc se voir "obligé" de démonétiser le dollar. Cela signifierait une perte draconienne (approx : 90%) de sa valeur marchande et un retrait éventuel programmé des dollars mis en circulation. Se réfugier dans l’Euro pourrait être une très grave erreur.


DANGER , BREAK : Here is to come the final warning delivered by (whistle blowers) economists since 2008.

The central banks of the world « connected » to the FEDERAL RESERVED start to abandon the US dollar.

The American Treasury could thus be "obliged" to demonetize the dollar. It would mean a drastic loss (approx: 90 %) of its market value and a possible programmed retreat of the dollars in circulation. To take refuge with the Euro could be a very serious mistake.



L'article en Anglais
Following the money in banking and economics
July 9, 2010, 9:23 am

Central banks start to abandon the U.S. dollar

There's mounting evidence that central bankers have little faith in the greenback these days. Can we blame them?

by Heidi N. Moore, contributor

There are those who would argue that the financial crisis was caused by over-enthusiastic worship of the Almighty Dollar. Call it brutal financial karma, but that church is looking pretty empty these days.

A new report from Morgan Stanley analyst Emma Lawson confirms what many had suspected: the dollar is firmly on its way to losing its status as the reserve currency of the world. We already knew that central banks have preferred gold to dollars, and that they're even selling their gold for cash; now, according to Lawson's data, it seems that those central banks prefer almost anything to dollars.

Lawson found that central banks have dropped their allocation to U.S. dollars by nearly a full percentage point to 57.3% from 58.1%, and calls this "unexpected given the global environment." She adds, "over time we anticipate that reserve managers may reduce their holdings further."

What is surprising is that the managers of those central banks aren't buying traditional fall-backs like the euro, the British pound or the Japanese yen. Instead, she suggests they're putting their faith in other dollars - the kind that come from Australia and Canada. The allocation to those currencies, which fall under "other" in the data, rose by a full percentage point to 8.5%, accounting almost exactly for the drop in the U.S. dollar allocation.

Call it diversification, if you must, but the trendline indicates that central banks are finally putting their money where their anti-dollar mouths are. The dollar has been in free-fall since 2007.

Last year, both China and Russia have questioned why the dollar should be the world's reserve currency. (Naturally, they were advocating for the ruble and yuan).

And just last week, the United Nations released a report concluding that the dollar should no longer be the world's reserve currency because it is not stable enough. The dollar is down 5% over the past month, and even currency traders don't see it as a safe haven any more.

There is certainly an element of economic competitiveness in those statements from foreign bodies and governments, but at the same time, Americans shouldn't be surprised that, in these touchy times, central banks want more of a measure of security than the dollar can afford right now - particularly when we're running up an enormous deficit through the costs of stimulus programs and two simultaneous wars.

Just last week, America's debt lept $166 billion in a single day. That one-day run-up is greater than the entire U.S. annual deficit in 2007. And Americans, the world's consumers, continue much of the behavior that helped the U.S savings rate drop so low.

The other options that reserve managers seem to be taking are also not a surprise. Canada's rude financial health - and robust banks - were bound to draw more attention. The Australian dollar is near a nine-month high because employment numbers there are strong.

The steady fall of the U.S. dollar is, while understandable, certainly nothing to be celebrated at home. The U.S. just has to make a stronger case - both to buyers and to its citizens - that it is on the right path.

http://wallstreet.blogs.fortune.cnn.com/2010/07/09/central-banks-start-to-abandon-the-u-s-dollar/

 

Des guerres civiles en préparation en France et en Europe pour des intérêts qui ne sont pas les nôtres !

Le conflit Israélo-Paslestinien transporté bientôt en Europe ?

Grandes manoeuvres Juives de séduction à l'égard de l'extrême droite Européenne

 

TERRE ET PEUPLE MAGAZINE - Terre et Peuple Magazine n°44- Eté 2010


Lundi, 05 Juillet 2010 20:21

Au sein de la communauté juive, beaucoup s’inquiètent des sombres perspectives qui s’offrent à elle. En Israël, où l’évolution démographique, compte-tenu des différences de taux de natalité chez les Juifs et chez les Arabes, va donner arithmétiquement à ces derniers, à Qu’adviendra-t-il le jour où cette masse se révoltera violemment ? La situation est tout aussi inquiétante en ce qui concerne la diaspora : en France et dans bien d’autres pays où l’immigration arabo-musulmane progresse sans cesse, les Juifs ressentent un sentiment d’insécurité. A juste titre car ils peuvent s’attendre à courir de graves dangers si l’impact du conflit du Proche-Orient met le feu aux  poudres à l’échelle de la planète, la communauté juive devenant alors la cible de règlements de compte sanglants. Face à ces menaces, qui ne relèvent en rien de la science fiction, certains milieux juifs ont le souci, pour renforcer leur potentiel “militaire” d’autodéfense, de faire flèche de tout bois, y compris en essayant de trouver des alliés – ou plutôt des troupes  supplétives, de style “harkis” – au sein de l’extrême droite européenne. En utilisant un argument simple mais efficace auprès des naïfs : tous ceux qui ont à faire face à la menace arabo-musulmane doivent s’unir à travers le monde, en oubliant d’éventuels griefs qui sont désormais d’importance secondaire.


La stratégie est ancienne. Ceux qui ont vécu l’époque de la guerre d’Algérie peuvent se souvenir de certains faits révélateurs : le soutien apporté par Jean-Marie Le Pen à l’expédition de Suez, à laquelle il participa et qui fut montée pour aider Israël contre l’Egypte ; le rôle, dans le camp “Algérie française”, de Jacques Soustelle, par ailleurs président de l’Alliance France-Israël ; la participation active (et efficace) à l’OAS de Juifs pieds-noirs. Aujourd’hui, avec la présence massive d’immigrés d’Afrique du Nord et d’Afrique Noire, l’argument de “l’union sacrée” entre Juifs et Européens a pris un poids nouveau (d’autant plus nécessaire qu’après la “grosse bavure” contre les navires cherchant à gagner Gaza Israël bat le rappel de ses fidèles). Cet argument est mis en avant par des gens dont certains sont déjà bien connus au sein de l’extrême droite européenne et dont d’autres méritent de l’être. Car leurs éventuelles dupes doivent être mises en garde. Passons rapidement sur les plumitifs. Après les ouvrages (par ailleurs bien documentés) d’Alexandre del Valle (pseudonyme), qui lui permirent d’être bien accueilli dans divers cercles d’extrême droite (jusqu’au jour où l’on apprit qu’il était invité à prendre la parole aux réunions du B’naï B’rith…), après La nouvelle question juive de Guillaume Faye (2007), qui sema la consternation chez ses plus vieux amis, après le soutien constant apporté à Israël par une presse dite “de droite” – dont le fleuron est sans doute Valeurs actuelles, sous la houlette d’un François d’Orcival qui cherche depuis si longtemps à faire oublier ses engagements de jeunesse une offensive d’une tout autre ampleur est désormais engagée. Il s’agit de l’opération Zemmour. Ce journaliste, qui a participé le 13 février 2002, avec Michel Gurfinkiel (de Valeurs actuelles), à une réunion de la loge “France” du B’naï B’rith, est une plume vedette du Figaro et un chroniqueur quotidien très écouté de RTL. Il a le grand mérite d’énoncer sans complexe quelques vérités simples concernant l’immigrationinvasion.Par exemple, dans Petit frère (un roman axé sur l’assassinat d’un jeune juif par un jeune arabe, ami d’enfance), il décrit ainsi la France : “Un pays d’Arabes et de Noirs. Des millions et des millions. Ils tirent la France vers le bas. Avec eux, on devient un pays du tiers-monde. Les Français ont peur d’eux. Ils n’osent plus rien leur dire”. Ce qu’il résume par une formule-choc : “Nous vivons la fin de l’empire romain” (Actualité juive, 9 novembre 2006). Tout cela est évidemment bien vu et il est utile de le dire. Mais…


La bonne question est : pour qui, pour quoi roule Zemmour ?


Il rappelle volontiers ses origines : “Mes ancêtres étaient des Juifs berbères” (RMC, 7 janvier 2008). Sa famille séfarade installée en France lors de la guerre d’Algérie, il a vécu son enfance et sa jeunesse à Drancy au coeur de la communauté juive locale, en faisant toutes ses études dans des établissements confessionnels donnant une éducation juive traditionnelle.


Il a appliqué le principe d’endogamie, vital pour toute communauté, en épousant une séfarade, Mylène Chichportich. Il ne cache pas ses liens sentimentaux forts avec sa communauté d’origine (ce qui est bien normal). Lorsque a couru le bruit que ses déclarations fracassantes allaient provoquer sa déchéance professionnelle, on a vu se mobiliser beaucoup de gens, en particulier sur le net, pour signer des pétitions de soutien en sa faveur. Est-ce pour cette raison que Zemmour n’a subi finalement aucun ennui ? Nous n’aurons pas la naïveté de le croire. Nous pensons qu’il y a une “opération Zemmour destinée à susciter au sein de la droite de la droite une sympathie pour le message qu’incarne Zemmour : face à l’immigration-invasion, union sacrée des Européens, des Américains et des Juifs (Israël étant “le bastion de l’Occident” face à l’islam, qu’il faut donc soutenir inconditionnellement).


Ficelle assez grosse, qu’a raison de pointer du doigt Henry de Lesquen : “Zemmour est la sucrette qui fait passer le poison de l’idéologie dominante. (…) Il est devenu une « icône » pour la droite de la droite, pour une foule de braves gens qui s’imaginent sans doute que le salut vient encore aujourd’hui des juifs, comme il y a 2 000 ans”. Qui en profite ? “Le système dans son ensemble, qui a missionné le berger Zemmour pour conduire les brebis de la droite dans les filets du politiquement correct” (La voix des Français, mai 2010).


Sur le plan purement politique, l’opération de séduction fonctionne bien. Assurée par des relais au sein de mouvements d’extrême droite. Ainsi Fernand Cortès, tête de liste dans l’Aude d’une Ligue cache sexe du Bloc Identitaire aux dernières élections régionales a signé la pétition “Raison garder” lancée par des sionistes “de droite”. Il explique ainsi la position du Bloc Identitaire : “Ses relations avec la communauté juive sont bonnes (je suis bien placé pour en parler car je suis à l’origine de leur développement) et elles deviennent excellentes car de très nombreux Juifs deviennent sympathisants du BI et le soutiennent résolument”. Interrogée par des militants au sujet de cette déclaration, la direction du Bloc est restée muette. Qui ne dit mot consent…


Au Front National, Marine Le Pen, elle, a annoncé la couleur : elle est membre du groupe Europe-Israël au Parlement européen, a souhaité (en vain jusqu’à présent) faire pèlerinage en Israël et, si l’on en croit Marc George, ex-secrétaire général d’Egalité et Réconciliation, le mouvement d’Alain Soral, celui-ci a mis en contact Marine avec Gilles-William Goldnadel, ultra-sioniste et “agent israélien notoire” (Rivarol, 14 mai 2010). Quant à Bernard Antony – brouillé avec le FN en raison de certaines prises de position de Marine – il n’a jamais caché qu’en tant que chrétien il était fondamentalement attaché aux sources juives du christianisme – ce qui est parfaitement logique.


Le plus important n’est sans doute pas là. Il est dans le travail d’influence mené par certains agents d’Israël dont le prototype est un certain Patrick Brinkmann. Celui-ci, officiellement citoyen germano-suédois, dispose de fonds très importants censés provenir de sa (grosse) fortune personnelle…


Il a commencé par bien cacher son jeu. Après avoir assisté à la Table Ronde de Terre&Peuple en 2006 et s’être déclaré très favorablement impressionné par cette réunion, Brinkmann avait manifesté la volonté de créer une structure de liaison et de coordination entre le plus grand nombre possible de mouvements identitaires européens, baptisée Kontinent Europa Stiftung (“Fondation Continent Europe”), qui devait prendre l’initiative d’activités internationales axées sur l’identité européenne (voir Terre&Peuple Magazine, n° 32, été 2007). Cette initiative parut tout à fait sympathique et fut donc approuvée par Terre et Peuple, en France, le Thule-Seminar en Allemagne, TierrayPueblo en Espagne. Mais lorsque les dirigeants de ces mouvements proposèrent d’organiser une première rencontre européenne destinée à faire connaître la KES, Brinkmann tergiversa longuement. Tout en manifestant progressivement, en contradiction avec ses premières déclarations, des prises de position tellement ambiguës qu’on pouvait se poser des questions sur ses véritables motivations.


Si bien que Pierre Vial (Terre et Peuple) et Pierre Krebs (Thule-Seminar) décidèrent de rompre leurs relations avec lui. Tout s’éclaira récemment lorsque Brinkmann annonça son intention de financer largement, en Allemagne, certaines campagnes électorales de mouvements “de droite” très hostiles à l’islam, à condition que les organisations profitant de ses largesses affichent leur soutien à Israël. Il a explicité son point de vue en déclarant à une agence de presse : “Notre culture européenne est judéo-chrétienne (…) C’est une chance que le destin des juifs et des chrétiens soit entrelacé (…) J’ai visité Israël, je suis allé à Yad Vashem non comme un touriste mais pour pleurer. (…) Le judaïsme va de pair avec la culture européenne”. Dans la foulée, il a annoncé qu’il organisait pour 2011 un “pèlerinage européen” à Jérusalem, car il faut “une entente entre l’Europe et Israël pour leur survie”. Brinkmann a noué des rapports suivis avec les animateurs de mouvements d’extrême droite dans divers pays (entre autres, en Autriche et en Espagne, comme cela vient d’être révélé dans ce pays par une revue à grand tirage qui est l’équivalent de Play-boy…), en annonçant vouloir financer leurs campagnes électorales (il a la réputation d’être riche, mais on peut se demander quelle est la véritable origine de ces fonds…). Quel sera, pour ces mouvements, le prix politique à payer ?


Car certains mouvements dits “populistes”, dont les succès électoraux révèlent – et c’est une très bonne chose en soi – une volonté populaire de résister à l’invasion immigrée, se révèlent par ailleurs très perméables à l’influence sioniste. Aux Pays-Bas, le Parti pour la Liberté est en constante progression aux élections. Son chef, Geert Wilders, est allé prêcher aux États-Unis en faveur d’une “alliance des patriotes face à la montée du péril islamiste”. Il a déclaré à New-York en novembre 2009 : “Je viens en Amérique avec une mission. (…) Je soutiens Israël (…) parce que c’est notre première ligne de défense? (…) J’ai vécu dans ce pays et je l’ai visité des douzaines de fois (…) Israël est un phare, une lumière dans l’obscurité de l’Orient, la seule démocratie. La guerre contre Israël est une guerre contre l’Occident”.


Bien entendu ce message a été abondamment relayé en France, sur internet, par les sites sionistes, qui font le forcing pour convaincre les identitaires européens de faire “l’union sacrée”.
Parfois en des termes inouïs, qui devraient normalement tomber sous le coup de la loi (mais…). Ainsi, un fou furieux utilisant le pseudo (transparent pour un séfarade) de Charles Dalger appelle au massacre de ceux qu’il appelle les “nazislamiste” (un terme, repris par d’autres agitateurs, dont le caractère obsessionnel est révélateur).


Par ailleurs il y aurait beaucoup à dire sur les relations de chefs de mouvements d’extrême droite, en Autriche, en Italie, au Danemark avec des agents d’influence sioniste.

Soyons bien clairs : est évidente, indiscutable, impérative la nécessité de lutter par tous les moyens contre l’invasion-immigration et nous mettons toute notre énergie dans ce combat pour l’identité et la survie des peuples européens. Mais en étant lucides. Et donc en refusant de nous laisser piéger et manipuler pour servir de troupes d’appoint pour la défense des intérêts juifs, c’est-à-dire une cause qui, légitimement, est celle des Juifs mais qui n’est donc pas la nôtre.


PIERRE VIAL

http://www.terreetpeuple.com/terre-et-peuple-magazine/terre-et-peuple-magazine-n44-ete-2010/grandes-manoeuvres-juives-de-seduction-a-l-egard-de-l-extreme-droite-europeenne.html

L’Allemagne, Cheval de Troie du Nouvel ordre mondial

Article placé le 15 juil 2010, par Mecanopolis

Alors que se met en place, non pas un gouvernement économique, mais un organe de décision qui aura pour but de mettre au pas les pays de l’Union européenne, il devient difficile d’évoquer ces sujets sans effleurer l’idée même d’une conspiration – idée qui, lorsque fondée sur des faits indiscutables, peut néanmoins permettre de comprendre la marche réelle des affaires.

 

usa nazi

Tous les indicateurs démontrent qu’une troisième phase de la crise économique nous atteindra d’ici octobre, novembre au plus tard, et que ses effets seront bien plus dévastateurs que tout ce que nous avons subi durant ces deux dernières années, car les finances publiques sont désormais asséchées et l’économie mondiale moribonde. Octobre sera aussi le mois où un groupe de travail présidé par le président du Conseil Herman Van Rompuy fera des propositions concrètes, non pas pour un projet de « gouvernance économique », comme il en était question, mais dans le but de la création d’un « organe », composé de la Commission européenne, de la Banque centrale européenne et de l’Eurogroupe.

La dénomination en tant « qu’organe » est importante, car une « gouvernance » aurait imposé une forme démocratique, impliquant le Parlement européen. Or il n’en sera rien.

Sanctions pour tous les membres de l’Union

L’Allemagne a su imposer au tout début du mois de juillet, par l’intermédiaire de son agent Olli Rehn, commissaire aux Affaires économiques, que les sanctions envers les pays jugés trop laxistes en matière de finances publiques soient imposées, non pas aux seuls pays de la zone euro mais à l’ensemble des 27 pays membres de l’Union européenne.(1)

Ces sanctions prendront effet sous forme de suppression de fonds structurels, principalement les aides à l’agriculture et à la pêche, lorsque le pays contrevenant ne rentrera pas dans les clous après une première phase d’avertissement.

La France ne s’est nullement opposée à cette décision. Pire encore, le même jour, Nicolas Sarkozy, en visite en Aveyron sur le thème de l’agriculture de montagne, promettait qu’une somme de 350 millions d’euros allait être « sanctuarisée » dans le budget 2011 pour aider les jeunes agriculteurs à s’installer.(2) « Vous voyez, je m’investis beaucoup sur le dossier de l’agriculture », avait-il encore indiqué à la presse ce jour-là, alors qu’au même moment, à Bruxelles, on décidait de faire payer l’endettement des États aux agriculteurs.

Un « Pôle carolingien »

Malgré les désaccords de façade, Nicolas Sarkozy est, avec Angela Merkel, à l’avant-garde de ce que l’on pourrait appeler le « Pôle Carolingien » d’une union fédérale de la France et de l’Allemagne devant constituer, ensemble, l’armature intérieure d’une Europe inféodée à l’ordre mondial. Si le ralliement de la France à la doctrine mondialiste est récent, du moins dans sa phase décisive, l’ancrage de l’Allemagne, principal pays allié des États-Unis en Europe depuis 1945, est plus profond, et c’est le ministre des Affaires étrangères Joshka Fischer qui avait, en quelque sorte, ouvert le bal, lors de son discours à l’Université de Humboldt, le 12 mai 2000, relayé quelques jours après par son prédécesseur, Hans Dietrich Gensher, ministre des Affaires étrangère allemand, dans Le Figaro du 20 mai suivant : « L’intention de Joshka Fischer est maintenant de renforcer l’Union européenne dans la perspective de son élargissement. Il s’agit d’en faire un acteur efficace du Nouvel ordre mondial… » Puis encore, comme pour enfoncer le clou, Wolfghang Schäuble, ex patron de la CDU, dans Le Monde du 22 mai de la même année : « Au monde bipolaire de la guerre froide s’est substitué un monde multipolaire. Les États-Unis, la Russie, la Chine et, à quelques distances, le Japon, y ont déjà pris place. L’Inde va entrer dans le club. Il ne faut pas que l’Europe soit en reste. À ses débuts, le nouveau gouvernement allemand avait laissé un peu en friche le terrain de la politique étrangère. Ce plan Fisher lui restitue un visage européen sur l’arrière plan de la mondialisation. »

Concept mondialiste

La doctrine stratégique « globale » des États-Unis avait été élaborée une vingtaine d’années auparavant. Il est clairement énoncé dans le nouveau concept étasunien de « stratégie nationale de sécurité » dont le contenu fut révélé dans un article du New York Times du 8 mars 1992, qui mentionnait pour la première fois le Defense Planning Guidance du Pentagone, élaboré en liaison avec le Conseil national de la sécurité (NSA), plus haute instance américaine de sécurité et de politique internationale. On y apprend que les États-Unis doivent « tout faire pour dissuader d’éventuels rivaux, parmi les pays avancés et industrialisés, de défier notre domination, ne serait-ce que d’aspirer à un rôle plus grand à l’échelle mondiale ou régionale (…) La mission des États-unis sera de s’assurer qu’il ne soit permis a aucune puissance rivale d’émerger en Europe occidentale, en Asie ou sur le territoire russe. »(3) Il s’agit ni plus ni moins d’empêcher par n’importe quel moyen l’Europe et le Japon,“alliés” relativement dociles, ainsi que la Russie affaiblie mais encore redoutable, de relever la tête et de porter, un jour, ombrage au nouvel ordre mondial politique et économique imposé par Washington.

Ce document rend inutile tout commentaire, éclairant de lui-même les intentions étasuniennes, dont la nature même est d’ordre conspirative. Mais nous aurions néanmoins tort de désespérer, car aucune situation, aussi perdue qu’elle puisse paraître, n’est jamais complètement fermée. C’est la faille salvatrice qu’il nous faut désormais trouver pour opposer un Nouveau monde à ce Nouvel ordre mondial.

Clovis CASADUE, pour la revue FLASH

Publié  sur Mecanopolis, avec l’aimable autorisation de Jean-Emile Néaumet, directeur de la rédaction.

Télécharger l’article de la revue au format PDF

Reproduction libre avec indication des sources

Notes :


(1) Le Figaro du 1er juillet 2010

(2) AFP, le 1er juillet 2010

(3) Cité par Alexandre Del Valle, dans Guerre contre l’Europe, Syrtres, 2000

44 UNE FLASH

 

http://www.mecanopolis.org/?p=18688