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16/01/2014

2014: la Grèce quitte l'euro ! A quand le tour de la France ?

Enfin un pays qui se réveille et qui sort de la dictature des banskers Internationaux ! C'est la famille ROTHSCHILD qui doit faire la gueule, n'est-ce pas ?

Elle qui ruine le Peuple et qui gouverne la France en secret !

Dans le cas où vous ne l'auriez pas compris, nous avons un gouvernement sioniste qui est aux ordres de la famille Rothschild qui représente avec ses loges maçonniques et ses VRP aux ordres, le Gouvernement secret et occulte Français !

 

2014: la Grèce quitte l'euro

Opinions

Michel Santi  |  06/01/2014, 9:41

La Grèce équilibre ses comptes extérieurs, elle est en mesure de quitter l'euro. Cela lui apporterait une oxygène indispensable !

Après six années de dépression économique, la Grèce ne semble guère en meilleure forme à présent qu'elle aborde 2014. Les perspectives de croissance pour la nouvelle année sont effectivement toutes pessimistes et négatives alors que le P.I.B. pour 2013 est de 4% inférieur à 2012. De fait, l'économie grecque se retrouve aujourd'hui amputée de pas moins de 25% de ses richesses et de ses ressources et, ce, par rapport au démarrage de cette crise. A titre de comparaison, l'économie US avait fondu de l'ordre de 30% lors de la Grande Dépression. Cette nation subit donc une authentique dépression dont l'amplitude est proprement terrifiante puisqu'elle se traduit par un taux de chômage officiel de 27%, dont 55% chez les jeunes !

 Deux grecs au chômage pour un en emploi

La réalité est encore plus dramatique, puisque c'est deux grecs qui sont au chômage pour un grec qui bénéficie d'un emploi: ce ratio étant le plus élevé au monde. L'effort à fournir par les grecs devrait donc être surhumain - et inhumain - si leur ambition est d'égaler ce ratio en vigueur auprès des pays à croissance molle, comme la France.

Le rythme de créations d'emploi devrait en effet atteindre une cadence formidable pour atteindre un ratio de 1.5, alors que les salaires en Grèce sont toujours plus élevés que dans des pays comme la Pologne et la Hongrie. Autrement dit, la Grèce ne pourra toujours pas miser sur son secteur à l'exportation pour redresser sa croissance, en dépit d'efforts de productivité intenses qui ont été consentis et malgré des salaires réels en chute libre. L'année 2014 ressemblera donc aux années précédentes, malgré les prédictions du gouvernement grec, de l'Union européenne et du F.M.I. qui - il est vrai - se trompent systématiquement depuis plusieurs années en prévoyant l'imminence d'une reprise grecque.

 Un budget en excédent, hors intérêts

Pourtant, l'économie de ce pays a changé ces deux dernières années. En effet, la Grèce affiche désormais un excédent commercial, principalement grâce à son secteur du tourisme en progression de 12% en 2013, et du fait d'un chômage massif et d'une déprime économique qui se sont logiquement traduits par un recul sensible de ses importations. Toujours est-il que la Grèce n'a plus besoin aujourd'hui d'emprunter sur les marchés comme elle n'a plus besoin de l'assistance de l'Europe pour financer ses nouvelles dépenses. En outre, après avoir réalisé quelque 110 milliards d'euros d'économies en 2012 et en 2013, le budget grec sera excédentaire dès 2014! Ce pays ne disposera évidemment pas de revenus suffisants pour lui permettre de s'acquitter des intérêts de sa dette phénoménale, mais il peut désormais se targuer d'être en capacité de payer ses dépenses courantes.

 La donne a changé

En d'autres termes, ce n'est pas seulement les statistiques et les chiffres qui ont évolué. C'est l'ensemble de la donne grecque qui, aujourd'hui elle aussi, a changé. S'il est vrai que les innombrables prédictions selon lesquelles la Grèce serait chassée de l'euro en 2011 ou en 2012 ont toutes fait fausse route. S'il était littéralement impossible à ce pays de quitter la monnaie unique en 2012 ou en 2013 car il n'avait aucunement les moyens d'assurer sa subsistance. L'excédent commercial de 2013 et l'excédent budgétaire prévu cette année lui permettraient et lui donneraient tous les moyens de claquer la porte de l'euro, s'il le souhaitait. De fait, la Grèce serait aujourd'hui capable de quitter unilatéralement la monnaie unique sans être réduite à quémander pas plus l'assistance de l'Union européen que celle du F.M.I.

 Un remboursement graduel des dettes

Son excédent commercial l'autoriserait en effet à retrouver une drachme solide, qu'elle pourrait en outre dévaluer afin de doper ses exportations. Son gouvernement comme son ordre public ne seraient pas menacés car le pays aurait à sa disposition des fonds en quantités suffisantes pour payer ses factures. La Grèce ne ferait pas forcément défaut, puisque ses dettes pourraient être graduellement remboursées dans une drachme qu'elle serait en mesure d'imprimer en cas d'extrême urgence. Bref, une sortie grecque de l'euro serait loin de représenter une catastrophe, en tout cas pour la Grèce. Le fait est que, en ce début d'année 2014, nul ne saurait balayer d'un revers de main l'éventualité d'un « Grexit ».

 Va-t-on mettre fin à la stratégie du pire?

Les grecs se rebelleront-ils contre la stratégie du pire systématiquement employée par les autorités européennes, elles-mêmes sous la botte allemande ? Qui consiste à analyser la crise sous le seul prisme des déficits et à n'y remédier - en toute logique - que par l'austérité budgétaire. Qui punit par la même occasion celles et ceux qui sont le moins responsables du déclenchement de la crise, c'est-à-dire les peuples ? La technocratie européenne s'est en réalité donnée à cœur joie dans l'imposition de cette rigueur au sein des pays européens périphériques comme en France, tant et si bien que les grecs - les espagnols, les italiens, les portugais - en sont aujourd'hui au stade du questionnement existentiel. Tous ces sacrifices en valent-ils la peine ? L'Europe - cette Europe là !- en vaut-elle la peine ? Quand les seules réponses et que les seuls signaux émanant d'Allemagne et de Bruxelles se déclinent en chômage et en économies supplémentaires, lesquels ne manqueront pas de se traduire à leur tour en une radicalisation supplémentaire ?

* Michel Santi, économiste franco-suisse, conseille des banques centrales de pays émergents. Il est membre du World Economic Forum, de l'IFRI et est membre de l'O.N.G. "Finance Watch". Vient de paraître : une édition étoffée et mise à jour des "Splendeurs et misères du libéralisme" avec une préface de Patrick Artus et, en anglais, "Capitalism without conscience". Vient de paraître :"L'Europe, chronique d'un fiasco politique et économique"

http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/20140106trib000...

La Grèce quitte l’euro !

 http://www.marianne.net/La-Grece-quitte-l-euro-_a23...

 

 

 

Livre : Loi Rothschild du 3 janvier 1973 ou comment les français sont ruinés par la famille Rothschild depuis 40 ans !!!

Est-ce que c’est aussi antisémite que de dénoncer les Rothschild et les escrocs sionistes qui ruinent la France depuis 40 ans ?

Quand les français et les européens  vont-ils se décider à virer ces familles et banksters de chez nous ?

Dette publique et "loi Rothschild" : le silence des médias
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/213182-dette-pub...

Loi Rothschild du 3 janvier 1973 ou comment les français sont ruinés par la famille Rothschild depuis 40  ans !!!

 

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" Comment une élite de banquiers et de hauts fonctionnaires a endetté la France auprès des banques privées avec un texte obscur " 

L'Enquête sur la Loi du 3 janvier est un livre choc. 

Il montre, point par point, comment la France a été mise en esclavage par la dette avec juste un simple texte anodin. 

Il montre comment, en l'espace de 40 ans, chaque Français s'est retrouvé avec une dette de 30.000 euros sur le dos au nom du pays. 

Il montre comment l'élite des hauts fonctionnaires a renoncé, pas à pas, à la Nation française, à son âme et à son indépendance. C'est l'histoire des manipulations successives, organisées et pilotées pour ne profiter qu'à une seule entité : les banques privées. 

Grâce à cette loi, la France a été conquise sans bruit, sans une balle tirée et sans aucune résistance : chaque semaine, ce sont 4 nouveaux milliards, empruntés par l'Etat pour payer retraites, salaires et aussi... intérêts de la dette, qui s'ajoutent aux 1700 milliards déjà dus, alors qu'au même moment 800 emplois industriels sont détruits chaque jour. 

Ce livre est le récit de la pire trahison de l'Histoire de France. 

Il doit être lu par tous les Français.

http://laloidu3janvier.com/#

 

11/01/2014

France : Le niveau de la dette jugé dangereux par la Cour des comptes

Et pendant que Valls et ses sbires du Conseil d'Etat notamment, nous inventent une nouvelle jurisprudence sur le dossier de Dieudonné ainsi que des lois sur la morale qui n'existent pas en Droit et nous imposent leur dictature en France et que Hollande, se roule les pouces, ne pense qu’à taxer le Peuple et qu'à s'occuper de sa Maîtresse Julie Gayet, ce qu'il juge moral sans doute, voilà où nous en sommes de la dette de la France :

50 millions d’euros par an !

Où passe l’argent des Français ?

Dans le financement des guerres de l’état le plus démocratique du Moyen-Orient ?

Comme vous l'aurez compris, l'urgence c'était de s'occuper de mettre à mort  Dieudonné !1503328_1427419834161199_1042108885_n.jpg

Les dangers ne viennent pas des Peuples qui se révoltent mais de ceux qui les dirigent et qui prennent leurs ordres auprès d'officines sionistes de France, d'Europe et d'ailleurs !

Et surtout, ils ne prendront pas la décision de nous faire sortir de l'Europe criminelle car le marché est trop juteux pour les Banksters  !

 

 


Le niveau de la dette jugé dangereux par la Cour des comptes

·         

    • Par Lefigaro.fr avec Reuters

    • Mis à jour le 09/01/2014 à 15:32

    • Publié le 09/01/2014 à 15:29

La France est dans une zone dangereuse en raison de la taille de sa dette publique et les efforts entrepris ces dernières années ne lui ont pas permis d'en sortir, a déclaré jeudi le premier président de la Cour des comptes, Didier Migaud.

Lors de l'audience solennelle de rentrée de la Cour, il a mis en garde les autorités françaises contre l'impact sur les comptes publics de "la remontée prévisible des taux d'intérêt qui accompagnera tôt ou tard le retour de la croissance". Une hausse d'un point de pourcentage des taux entraînerait un surcoût pour l'Etat de 2 milliards d'euros la première année et 15 milliards d'euros au bout de dix ans, a-t-il souligné. "Le niveau atteint par la dette place notre pays dans une zone dangereuse. Les efforts jusqu'ici engagés ne suffisent pas à nous en dégager", a déclaré Didier Migaud, rappelant que les documents budgétaires prévoient une dette publique équivalente à 93,4% du PIB fin 2013, soit 1.931 milliards d'euros.

Il a qualifié ce constat de "décevant et préoccupant". "Ce qui n'a pas été fait en 2011, 2012 et 2013, c'est autant de chemin supplémentaire à parcourir pour les années à venir. Et cette partie du chemin à parcourir ne sera pas la moins exigeante, tout au contraire", a-t-il poursuivi. Le déficit public de la France devrait être légèrement supérieur à 4% du PIB fin 2013, un niveau que les autorités se sont engagées à réduire sous 3% fin 2015. La dette exprimée en proportion du PIB devrait baisser à partir de 2015, après avoir culminé à 95,1% fin 2014.

La France prévoit cette année un effort de 18 milliards d'euros pour réduire le déficit, concentré sur la maîtrise des dépenses plutôt que sur la hausse des prélèvements. Quinze milliards d'économies sont ainsi prévus par rapport à la croissance tendancielle des dépenses, dont 9 milliards d'euros pour l'Etat et 6 milliards sur la sécurité sociale. "La Cour estime que l'effort doit porter en absolue priorité sur les régimes de sécurité sociale, car la persistance anormale de déficits structurels depuis plus de vingt ans singularise notre pays par rapport à tous ses voisins", a poursuivi Didier Migaud. "La dette sociale qui s'est accumulée est une profonde anomalie" et "les perspectives financières des régimes sociaux sont insoutenables et injustes pour les générations futures", a-t-il ajouté.

Quelques semaines après l'annonce par le Premier ministre d'une "remise à plat" de la fiscalité française, il a estimé que "la réduction de la dépense publique apparaît comme un préalable à une mise à plat réussie de la fiscalité". Malgré des taux d'intérêt historiquement bas ces dernières années, la charge de la dette publique représente quelque 50 milliards d'euros par an.

 

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/01/09/97002-2014010...

 

03/11/2013

Livre : Enquête sur le loi du 3 janvier 1973 de Pierre-Yves Rougeyron avec Pierre Jovanovic

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La loi qui ruine la France et les Français depuis 1973 avec un rappel ci-dessous : 

Loi du 3 janvier 1973 "Pompidou-Rothschild" sur la Banque de France, la polémique


Enquête sur la Loi du 3 janvier 1973 est un livre choc. Il montre, point par point, comment la France a été mise en esclavage par la dette avec juste un simple texte anodin. Il montre comment l'élite des hautes fonctionnaires a renoncé, pas à pas, à la Nation française, à son âme et à son indépendance. C'est l'histoire des manipulations successives, organisées et pilotées pour ne profiter qu'à une seule entité : les banques privées. Grâce à cette loi, la France a été conquise sans bruit, sans une balle tirée et sans aucune résistance : chaque semaine, ce sont 4 nouveaux milliards, empruntés par l'État pour payer retraites, salaires et aussi... intérêts de la dette, qui s'ajoutent aux 1700 milliards déjà dus, alors qu'au même moment 800 emplois industriels sont détruits chaque jour. Ce livre est le récit de la pire trahison de l'Histoire de France.

Enquête sur le loi du 3 janvier 1973 de Pierre-Yves Rougeyron avec Pierre Jovanovic

05/10/2013

L'institut français et la valorisation de la mémoire de la Shoah

Un petit retour en arrière volontaire en 2012,  pour que vous vous souveniez de ce que doit être la culture française, de l'image qu'elle doit véhiculer à l'étranger et par qui est en partie financé l'Institut Français à ne pas confondre avec l'Institut de France, et Institut Français qui est censé véhiculer la culture française dans le monde !

Retenons donc ces deux noms : Eric de Rothschild et Xavier DARCOS - Président de l'Institut Français désigné en 2010  sous le règne de  Nicolas SARKOZY.

 

Juste histoire de relever la fausse culture française qui doit être véhiculée dans le monde.

 

Valorisation de la mémoire de la Shoah

Devoir de mémoire : signature d’un accord de partenariat entre l’institut français et le Mémorial de la shoah

de gauche à droite : François Zimeray, Jacques Fredj, directeur du Mémorial de la shoah, Xavier Darcos et Eric de Rothschild

Xavier Darcos, Président de l’Institut Français, opérateur du ministère des Affaires étrangères pour le rayonnement  de l’action culturelle à l’étranger, et Eric de Rothschild, Président du Mémorial de la Shoah, l’institution centrale pour la transmission de la mémoire et l’enseignement de la shoah,  ont signé le 3 juillet au quai d’Orsay, une convention de  partenariat afin de mener ensemble des actions de valorisation de la mémoire de la Shoah

accord de partenariat

 François Zimeray, Ambassadeur pour les droits de l’Homme et de la dimension internationale de la shoah, dont la mission est d’assurer le suivi des diverses actions engagées en matière de réparation de la dette envers les juifs déportés de France,  y participait. Cet accord permettra de déterminer les projets concrets de coopération sur les 18 prochains mois  dans les domaines du numérique, des expositions, du débat d’idées et de la formation. Les deux institutions s’engagent également à coopérer dans l’organisation de conférences afin de sensibiliser les nouvelles générations, en France et à l’étranger, au devoir et au travail de mémoire..

Le rabbin Alain Goldman et Jacques Fredj

Plus de soixante dix ans après la shoah, alors que les derniers survivants  et témoins de cette douloureuse page de l’histoire  ont pour beaucoup disparu, la France  a la responsabilité de sensibiliser les jeunes générations  et a décidé d’aborder l’histoire de cette tragédie dès l’école élémentaire puis de manière plus approfondie dans l’enseignement secondaire. C’est pourquoi le premier chantier mis en place  du 6 au 16  juillet 2012 est l’application du programme « Allons en France »  où  120 jeunes de 90 pays participeront à une série de rencontres et de visites sur le thème des droits de l’Homme. Le Mémorial de la Shoah accueillera les participants pour une conférence suivie d’un échange sur cette sombre période de l’histoire afin de les sensibiliser aux enjeux mémoriels.

de gauche à droite : Eric de Rothschild, Xavier Darcos
debout : François Zimeray

Cet accord prévoit également la circulation des expositions organisées par le Mémorial dans l’ensemble du réseau de coopération scientifique et culturel français à l’étranger. L’exposition initiée par le Mémorial de la Shoah « le sport européen à l’épreuve du nazisme, des JO de Berlin aux JO de Londres (1936-1948) sera diffusé en Italie à Bologne du 5 novembre 2012 au 6 janvier 2013 et à Turin en mars 2013.  La création et la diffusion d’une exposition sur l’histoire des génocides du XXème siècle ainsi l’exposition autour du journal d’Hélène Berr sont à l’étude.

Des colloques et débats d’idées  suivront en 2013,  à New York avec l’Université Paris 8, Washington avec l’Institut  des Hautes Etudes de Défense Nationale, Buenos Aires avec le Centro Cultural de la Memoria  Haroldo Conti,  Berlin en lien avec le Goethe Institut sur le cinquantenaire du traité de l’Elysée.

de gauche à droite : Abe Radkin, directeur exécutif du projet Aladin,
Eric de Rothschild, Xavier Darcos, Alain Goldman

Dans le domaine du numérique, il a été prévu  la mise en ligne, éditorialisation et traduction vidéo de témoignages de rescapés de la shoah sur culturethèque,  de colloques organisés par le mémorial de la shoah sur la web-Tv de l’institut français, avec la diffusion du 6 au 8 novembre 2012 « de El-Alamein à l’opération Torch ». Un site internet interactif multilingue en français et anglais, les versions allemande, polonaise et espagnole sont en cours d’élaboration en direction des jeunes publics accompagnera cette coopération.

Cette collaboration permettra enfin de traduire et publier dans le monde entier des ouvrages sur le thème de la shoah

par : Sylvie Bensaid

crédit photos : Alain Azria

http://www.tribunejuive.info/israel/valorisation-de-la-me...