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10/03/2014

UKRAINE/Maïdan : Complot, coup d’État, et escalade guerrière

Maïdan : Complot, coup d’État, et escalade guerrière

5 mars 2014

Maïdan : Complot, coup d’État, et escalade guerrière

 

Création : Latuff

C’est l’histoire d’un conte de fée relaté par la doxa médiatique.

Il était une fois, un grand et méchant dictateur appelé « Ianoukovitch ». L’homme avait déjà volé l’élection en 2004 qui déclencha la Révolution orange, portant au pouvoir le grand démocrate Viktor Iouchtchenko, lui qui avait pris le pouvoir en Ukraine (de manière démocratique) en 2010.

Il refusa la main gracieuse de l’Ouest, la belle idée d’Union Européenne, l’Europe des valeurs et de la démocratie, et préféra se tourner vers l’infâme Vladimir Poutine. Le peuple ukrainien, alors, manifesta pendant trois mois au prix de sa vie. Et le grand, l’illustre, l’inégalable philosophe français Bernard-Henri Lévy se rendit à Kiev pour les soutenir, place Maïdan.

Enfin, le 22 février 2014, le méchant Ianoukovitch fut renversé, fuyant vers son allié russe. Ovation, triomphe de la Liberté et de la Démocratie. Les États-Unis et l’Europe applaudirent des deux mains. Un gouvernement de transition fut nommé, des élections seront anticipées.

On aurait envie d’y croire, mais ayant déjà lu les contes de la guerre d’Irak de 2003 (avec les armes de destruction massive), de Libye de 2011 (avec l’intervention humanitaire) et de Syrie de 2013 (avec les armes chimiques qu’aurait utilisées le régime – voir le rapport du MIT), nous préférons avoir une autre clé de lecture plutôt que ce récit enfantin.

« La vérité est moins romanesque et plus sinistre », pour reprendre une pseudo journaliste.

L’Ukraine est le théâtre d’un enjeu géostratégique majeur entre les États-Unis et la Russie. Un territoire disputé depuis son indépendance en 1991, après la chute de l’URSS.

Déjà en 2004, où lors de la Révolution orange fomentée par les organisations américaines telles que l’Open Society Institute de George Soros, l’International Republican Institute (IRI), dirigée par John Mc Cain, ou bien la National Endowment for Democracy (NED), l’Ukraine avait été sous le feu des projecteurs.

Voir le documentaire Les États-Unis à la conquête de l’Est de Manon Loizeau, publié en 2005.

Documentaire Les États-Unis à La Conquête de L'Est

http://www.youtube.com/watch?v=VJBO_f2J-cQ

Cette tentative de basculement dans le camp occidental avec les pions de Washington Viktor Iouchtchenko (ancien gouverneur de la banque nationale d’Ukraine) et Ioulia Timochenko (la princesse du gaz) ne durera qu’un temps, jusqu’en 2010, avec l’élection du candidat pro-russe Viktor Ianoukovitch à la présidentielle.

Courtisé par l’Union Européenne, visant à intégrer l’Ukraine dans le partenariat oriental avec son accord de libre-échange, et en même temps par la Russie, avec son Union Eurasienne, visant à rassembler plusieurs républiques d’ex-URSS, Ianoukovitch finit par prendre fait et cause pour la Russie en échange d’une aide financière de 15 milliards de $, un abaissement du tarif sur le gaz, et l’arrêt des négociations avec l’UE.

Dès lors, les premières manifestations de l’opposition s’organisèrent à l’ouest de l’Ukraine pro-européenne, autour de l’entrée en action des groupes d’extrême droite comme Secteur Droit, UNA-UNSO, Comité noir et l’Armée Insurrectionnelle d’Ukraine. Cette branche la plus extrême de la contestation n’hésitera pas a employer la force brutale jusqu’à prendre les armes : fusils, pistolets, armes automatiques (voir vidéo Agence Info Libre). À ce niveau de confrontation entre forces de l’ordre et manifestants armés, la Mort frappa dans chaque camps.

Plusieurs bâtiments administratifs régionaux furent pris d’assaut à l’ouest de l’Ukraine, et à Kiev, la place de l’Indépendance (Maïdan) fut occupée durant 3 mois jusqu’à ce que Ianoukovitch soit poussé vers la sortie par la médiation de l’Union Européenne (France, Pologne, Allemagne) avec un accord sur de nouvelles élections en mai, et le parlement Ukrainien abrogea la Constitution pour y substituer celle de 2004. Ianoukovitch fuit vers la Russie tandis qu’une transition pro-européenne se mit en place.

Ce qui est apparu comme une libération ressemble davantage à un coup d’État orchestré par les Américains, avec l’aide des Européens, et comme pions, des groupes d’autodéfense néonazis, ces groupes taguant des croix gammées sur les murs et détruisant les symboles de l’ère soviétique (statue de Lénine, Étoile rouge, etc.). Poutine a certainement vu rouge quand il fut témoin de ces images.

Plusieurs faits montrent l’ingérence atlantiste :

° Les rencontres de l’opposition ukrainienne

Le sénateur John Mc Cain avait rencontré le 15 décembre 2013 les différents partis d’opposition ukrainiens, dont le parti néonazi Svoboda,de même que la représentante des Affaires étrangères de l’Union Européenne, Catherine Asthon, le 4 février 2014 (source : en.svoboda.org.ua), ou encore Victoria Nuland, la secrétaire d’État adjointe américaine pour l’Europe.

John McCain, Chris Murphy, Oleh Tyahnybok

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Source : http://www.themalaymailonline.com/images/sized/ez/victori...

Ci-dessus les différents leaders de « l’opposition ukrainienne » : Vitali Klitschko du parti UDAR, Arseni Iatseniouk du parti Batkivshchyna, et Oleh Tyahnybok du parti Svoboda.

Petite anecdote : Victoria Nuland est juive mais rencontrer le leader du parti néonazi Svoboda ne lui poserait aucun problème. Que fait-on du devoir de mémoire et du crime des lumières : la Shoooooah ?!

Que pense le lobby juif très puissant aux États-Unis, l’AIPAC ? (voir le reportage de France 2)

° Les déclarations de Victoria Nuland

La secrétaire d’État adjointe américaine déclarait en décembre 2013 à une tribune : 

« Depuis l’indépendance de l’Ukraine en 1991, les États-Unis ont soutenu les Ukrainiens alors qu’ils devenaient un État démocratique dans les institutions et qu’elle encourageait la participation pacifique dans une bonne gouvernance. Tout ceci comme précondition pour atteindre son aspiration européenne. Nous avons investi 5 milliards de dollars pour l’Ukraine afin qu’elle atteigne ses objectifs et qu’elle puisse s’assurer de devenir une nation sécurisée, prospère et démocratique. » (vidéo Agence Info Libre à 5min50

Décryptage de Croah.fr

« Nous avons tout fait pour que l’Ukraine, indépendante depuis 1991, passe dans notre camp afin d’isoler l’Ours russe. Nous avons sorti assez de pognon pour voir ce pays atteindre cet objectif. Nous exigeons un retour sur investissement ! »

Voici la bande-son d’une conversation téléphonique, mise en ligne sur YouTube le jeudi 6 février 2014, entre Victoria Nuland et l’ambassadeur américain en Ukraine, Geoffrey R. Pyatt, qui œuvraient pour changer le régime et placer un homme à eux au pouvoir. On remarquera la manière avec laquelle Victoria Nuland considère l’Union Européenne en affirmant qu’elle pouvait « aller se faire foutre ».

Ukraine, la manipulation américaine
(audio: Victoria Nuland/G. Pyatt -ambassadeur US en Ukraine-

http://www.youtube.com/watch?v=2-kbw00aqqc

 

°  L’International Police Association

Autre fait, la police ukrainienne avait arrêté, parmi les manifestants de Kiev, un homme de l’International Police Association, la plus grande organisation d’agents de police dans le monde, fondée en Angleterre, avec pour devise « Servo par Amikeco », « Service par l’amitié » en langue espéranto (une langue mondiale).

Ukraine : la police de Kiev a arrêté un agent de l'IPA qu'ils croyaient être un manifestant ! 20/02

°  Bernard-Henri Levy

À lui seul, il est une preuve vivante de l’ingérence ; partout où il passe, la guerre et le chaos s’installent. La guerre en Libye est là pour témoigner de ce semeur de troubles, cet agent de subversion dangereux, cette menace pour la paix qu’est Botul. On remarquera qu’après avoir soutenu les extrémistes djihadistes de Libye et de Syrie, Botul aura soutenu les néonazis ukrainiens.

Un juif soutenant des extrémistes anti-juifs. Il y aurait de quoi écrire un sketch et en rire, tellement cela parait surréaliste.

BHL-Kyiv

°  L’opposant ukrainien Vitali Klitschko, un pur produit euro-atlantiste.

Son parti, UDAR, a pour partenaire, tenez-vous bien, l’International Republican Institute. On retrouve l’IRI, dirigé par John Mc Cain. Comme par hasard ! Lorsque Klitschko a rencontré John Mc Cain, ce n’est peut-être pas seulement le politicien qu’il a rencontré, mais également son sponsor.

Nous retrouvons aussile National Democratic Institute (NDI), une organisation américaine financée par le gouvernement US via le biais de la National Endowment for Democracy (NED) elle même faisant partie du Département d’État américain. Tout se relie, le vaste puzzle prend forme !

Attends, attends, attends, attends, c’est pas fini ! On retrouve également comme partenaire le parti allemand CDU, celui d’Angela Merkel. Le fait que Klitschko ait vécu plusieurs années en Allemagne l’a beaucoup marqué, au point de déclarer : « L’Allemagne m’a adopté, j’aime vraiment l’Allemagne, mais je ne suis pas Allemand ». En effet : l’Allemagne l’a adopté au point que la CDU est maintenant l’associée de son parti !

Source : http://klichko.org/en/about/partners

Source : http://klichko.org/en/about/partners

° La US-Ukraine Foundation

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En octobre 2011, Vitali Klitschko a été approché par la U.S.-Ukraine Foundation, (voir leur site : http://www.usukraine.org/). Une fondation ukraino-américaine chargée, sous couvert de démocratie et de droits de l’Homme, d’intégrer l’Ukraine dans le giron atlantiste ; « organisme d’ingérence et de subversion » serait un terme plus approprié.

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Source (page 8 du rapport) : http://www.usukraine.org/pdf/2012-Annual-Report-rev-1.pdf

La présidente de cette fondation se nomme Nadia K. McConnell. Elle reçu le 8 février 2011 une distinction : le National Grantee of Merit Award de l’Open World Leadership Center, dont le président du conseil d’administration n’est autre que James Hadley Billington, membre du think tank américain Council on Foreign Relations (CFR). Ce centre ayant également accueilli la fondatrice du mouvement FEMEN en 2007, Anna Hutsol.

<< Voir l’article Les Femen : leurs liens avec l’extrême droite ukrainienne et les think tanks américains >>

OPEN

Source : http://www.usukraine.org/openworld.shtml

Source : http://www.usukraine.org/openworld.shtml

Source : http://www.usukraine.org/openworld.shtml

Lors du vingtième anniversaire de l’indépendance de l’Ukraine, un gala était organisé à lOmni Shoream Hotel, à Washington DC, pour célébrer celles et ceux qui ont contribué à l’intégration de l’Ukraine du côté atlantiste. Parmi les membres « honorables », on retrouve George H.W. Bush, l’ancien président des USA ; Olexander Motsyk, ambassadeur d’Ukraine aux Etats-Unis ; des membres du Congrès américains ; Morgan Williams, président de l’U.S.-Ukraine Business Council (USUBC) ; sans oublier Nadia McConnell, présidente de l’U.S.-Ukraine Foundation (USUF).

Parmi les organisations présentes, pour en citer quelques-unes : Center for U.S. Ukrainian Relations (CUSUR) ; Ukrainian American Coordinating Council (UACC) ; U.S.-Ukraine Foundation (USUF) ; The Washington Group (TWG) ; International Republican Institute (IRI) et le National Democratic Institute (NDI). C’est à croire qu’on retrouve les mêmes, comme par hasard ! 

Source (page 11 du rapport) : http://www.usukraine.org/pdf/2012-Annual-Report-rev-1.pdf

Source (page 11 du rapport) : http://www.usukraine.org/pdf/2012-Annual-Report-rev-1.pdf

 

Parmi les sponsors du gala, nous relevons : Coca-Cola, ExxonMobil (Rockefeller), LouisDreyfus Commodities, le groupe pharmaceutique Eli Lilly (10e au niveau mondial), le cabinet d’avocat international Baker & McKenzie (là où a travaillé Christine Lagarde, la patronne du FMI), la société américaine de production d’électricité AES Corporation, ou encore la marque de cosmétique Mary Kay.

Bref, que du gratin sur un plateau d’argent !

Source (page 13 du rapport) : http://www.usukraine.org/pdf/2012-Annual-Report-rev-1.pdf

Source (page 13 du rapport) : http://www.usukraine.org/pdf/2012-Annual-Report-rev-1.pdf

° LA COMMISSION TRILATÉRALE

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Enfin, la dernière pierre de l’édifice, le nouveau Premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk est un membre de la Commission Trilatérale. Une organisation privée regroupant entre 300 à 400 des personnalités les plus influentes (politiques, intellectuels, financiers, etc.) des 3 pôles économiques : Amérique du Nord, Europe et Asie Pacifique.

Arseni Iatseniouk, a participé le 27 octobre2013 au Cracovie Hôtel Sheraton en Pologne, dans la région de Cracovie, lors à la 37e réunion du groupe européen dont le président de la conférence était nul autre que Jean-Claude Trichet, ancien président de la Banque Centrale Européenne (BCE) etmembre du Groupe Bilderberg.

Lorsque Iatseniouk était en fonction, à la fois comme ministre de l’Économie et ministre des Affaires étrangères, il a tout fait pour rapprocher son pays de l’Union Européenne et de Washington. Un pro-européen convaincu, le parfait homme de main.

Autres figures de la conférence : Peter Sutherland, président de Goldman Sachs International ; Mario Monti, ancien président du conseil des ministres italien ; Kurt Lauk, président du conseil économique de la CDU, Elisabeth Guigou, membre du Parti Socialiste et présidente de la commission des Affaires étrangères (France) ; Michael Fuchs, membre du Bundestag allemand et vice-président du groupe parlementaire CDU/CSU ; Vladimir Dlouhy, conseiller international de Goldman Sachs, ancien ministre tchécoslovaque de l’Économie, ancien ministre tchèque de l’Industrie et du Commerce ; Leon Brittan, membre de la Chambre des Lords, vice-président de l’UBS Investment Bank (Royaume-Uni), etc.

Que du haut de gamme !

Source Journal du  Siècle : http://lejournaldusiecle.com/2014/02/27/ukraine-arseni-iatseniouk-membre-de-la-commission-trilaterale-est-nomme-premier-ministre/

Source : site Commission Trilatérale : http://www.trilateral.org/go.cfm?do=File.View&fid=176
Capture d’écran Journal du Siècle : http://lejournaldusiecle.com/2014/02/27/ukraine-arseni-ia...

Les fondateurs de la Commission Trilatérale ne sont ni plus ni moins que des hautes pointures du mondialisme (partisans de la gouvernance mondiale au détriment des nations) : 

– Henry Kinssinger, ancien secrétaire d’état sous la présidence Richard Nixon et Gérald Ford ; ancien conseiller à la Sécurité Nationale U.S ;

– Zbigniew Brzezinski, ancien conseiller à la Sécurité Nationale U.S sous la présidence de Jimmy Carter et artisan majeur de la politique étrangère de Washington ;

– David Rockefellerancien banquier de la Chase Manhattan Bank, malthusien milliardaire, fondateur du groupe Bilderberg, et membre du Council on Foreign Relations (CFR).

L’Ukraine, un enjeu majeur : 

Zbigniew Brzezinski a écrit en 1997 The Grand Chessboard (ISBN 0-465-02726-1) ou Le grand Échiquier,  un livre consacré à la suprématie des États-Unis sur le monde. En page 74-75 du livre (disponible en PDF) voici ce qu’il écrit sur l’Ukraine.

le grand echiquier 1

le grand echiquier 2

Pour Brzezinski, sans l’Ukraine, la Russie perd sa notion d’empire, et donc de force concurrente à l’Empire américain (qui ne dit pas son nom). L’Ukraine est donc un enjeu géopolitique majeur. Un pays à intégrer à tout prix à l’Union Européenne (sous influence américaine) et à l’OTAN. On comprend mieux pourquoi Vladimir Poutine n’a pas l’intention de lâcher l’Ukraine. Les Russes sont connus pour leur passion des Échecs. 

Si la pièce ukrainienne tombe, la Russie sera « mise en échec » sur l’échiquier géopolitique mondial. Mais la partie est loin d’être terminée car après le coup d’État atlantiste à Kiev, c’est au tour de Poutine de jouer son coup : son intervention en Crimée.

Propagande de guerre

La Crimée, à majorité russophone, est la première à se soulever contre les nouvelles autorités de Kiev avec la création d’une assemblée citoyenne proclamant l’autonomie de la Crimée et à terme leur rattachement à la Fédération de Russie au travers d’un référendum. Des soldats russes se déploient dans toute la presqu’île pour s’assurer le contrôle de ce carrefour stratégique, avec ses bases navales russes, sans qu’il n’y ait eu de bain de sang.

Les nouvelles autorités ukrainiennes condamnent cette invasion. Même son de cloche en Europe et aux États-Unis. Haro sur la Russie ! Le mot d’ordre est lancé par la doxa médiatique.

Qui est le plus responsable dans cette histoire ? Le coup d’État orchestré par les Occidentaux ayant renversé un président élu, ou bien l’occupation militaire pacifique d’une partie du territoire, qui n’est que la conséquence du coup d’État ?

Ce culot inouï de la part de ces sempiternels donneurs de leçons et de morale est insurmontable (au-dessus, c’est le soleil). Doit-on citer les escalades guerrières des États-Unis depuis une décennie (avec la participation de l’Europe) en Afghanistan, Irak, Libye, etc ? Souvenez-vous de la fiole de Colin Powell et de l’intervention « humanitaire » en Libye. Ces guerres ont déstabilisé des régions entières et provoqué la mort de plusieurs centaines de milliers de personnes. Quid du million et demi d’enfants irakiens morts dû à l’embargo US suite à la première guerre du Golfe, et dont Madeleine Albright (ambassadrice américaine à l’ONU) dira dans une interview que « ça en valait le prix » (voir la vidéo) ?

Quid des coups d’États de la CIA, validés par l’administration US et reconnus officiellement par les autorités (non, non, ce n’est pas du conspirationnisme, eux-mêmes le disent) : le Guatemala, le Congo, la République dominicaine, le Vietnam, le Brésil, le Chili, sans oublier l’Iran. Et encore, ils n’ont sorti qu’une partie infime de la liste.

En 1954, la CIA a renversé le gouvernement démocratique de Mossadegh car il avait nationalisé le pétrole, pour lui substituer la dictature du Shah d’Iran.

Les grands démocrates devraient fermer leurs gueules une bonne fois pour toute !

On reprochait au président déchu la corruption, le manque de démocratie et ses dérives autoritaires. Quid de la corruption dans les instances européennes, Bruxelles étant le deuxième pôle de lobbying mondial après Washington ? Cette corruption n’est-elle pas pire que celle qui a cours en Ukraine ?

<< Voir le documentaire réalisé par Mathieu Liétaert et Friedrich Moser : The Brussels Business  >>

Quant à la dérive autoritaire, l’Amérique et l’Europe n’ont aucune leçon à donner lorsque le président des États-Unis, Barack Obama, signe le National Defense Authorization Act (NDAA), ou Loi d’autorisation de la défense nationale, permettant à l’armée US de procéder à « la détention militaire illimitée contre qui que ce soit, où que ce soit dans le monde, et pour quelque raison que ce soit » (section 1021).

<< Lire Agoravox – NDAA : Obama élargit la loi d’exception au territoire US au lieu de fermer Guantanamo) >>

Ou encore lorsque des peuples d’Europe refusent l’Union Européenne par référendum (Français, Hollandais et Irlandais) et que les politocards « représentants du peuple » repassent par la voix parlementaire pour faire voter les textes similaires qui avaient été refusés.

La démocratie oui, mais à géométrie variable, comme toujours !

<< Voir la conférence de François Asselineau (UPR) : La construction européenne est-elle encore démocratique ? >>

En sommes, nous vivons en plein dans les 5 principes de la propagande de guerre décrits par le journaliste belge Michel Collon :

1 – Cacher les intérêts (politiques, énergétiques, géostratégiques)

2 – Cacher l’histoire (ingérence américaine et européenne)

3 – Diaboliser l’adversaire (la Russie)

4 – Toujours se présenter comme défendant les victimes (agir au nom de l’humanitaire, la démocratie et les droits de l’Homme)

5 – Monopoliser le débat et empêcher les opinions adverses

Michel Collon - Les 5 principes de propagande de guerre

http://www.youtube.com/watch?v=wR_8ld6BMC4

 

La Crimée, première étape d’une dislocation ?

L’Ukraine est en voie de dislocation. Déjà, les constations dans le sud-est de l’Ukraine se multiplient – manifestations à Odessa, Donetsk, Kharkiv et dans d’autres villes de la partie russophone du pays. Là-bas, on ne reconnaît pas les nouvelles autorités de Kiev et on n’hésite pas à hisser le drapeau russe sur les bâtiments administratifs. La partition du pays n’est pas loin. Progressivement, deux Ukraines se forment : une Ukraine tournée vers l’Ouest et une autre vers l’Est.

Après le coup d’État de Kiev, l’unité du pays ne repose plus que sur une brindille en feu.

Source :

Source : http://www.economicpolicyjournal.com/2014/03/thousands-ra...

L’Ukraine souveraine, unie et indépendante n’est plus qu’un mythe. Soit elle tombe du côté atlantiste, soit elle tombe du côté russe, quitte à ce qu’au final, le pays finisse divisé entre les deux belligérants (USA/Russie). 

Vers une escalade guerrière

Entre temps, les États-Unis menacent de geler les avoirs russes et d’isoler la Russie à l’international si elle ne retire pas ses troupes en Crimée. Les nouvelles autorités ukrainiennes mettent l’armée en état d’alerte face à « l’invasion russe ». La Russie, de son coté, menace de provoquer un krash économique aux États-Unis en cas de sanctions et dénonce le coup d’État anticonstitutionnel de Kiev (voir la vidéo).

Les vieux démons de la guerre froide resurgissent.

Une escalade militaire sur le continent européen serait une pure folie. Elle plongerait le monde dans des heures plus ténébreuses que celles du passé.

Le hasard de l’histoire voulu que la Crimée soit exactement l’endroit où était signé les accords de Yalta où les 3 grandes puissances (USA,Angleterre, et URSS) se repartissaient le monde. Le destin est revanchard.

À qui profiterait une telle escalade ?

Il se trouve que les États-Unis traversent la crise la plus importante de leur histoire :

Une dette colossale et irremboursable avec plus de 60 000 milliards de $ de dettes (voir la dette US en temps réel : http://www.usdebtclock.org/).

En 2013, 47,6 millions d’Américains (chiffre officiel, soit 15 % de la population) vivent avec des tickets de rationnement du Supplemental Nutrition Assistance Program (Programme d’Aide à la Nutrition Supplémentaire). Non, on n’est pas dans un pays du tiers-monde mais aux États-Unis, première puissance économique mondiale).

Le dollar ne repose que sur une planche à billets n’ayant plus aucun rapport avec la richesse réelle, « grâce » au Quantitative Easing 4 (QE4) de la Réserve Fédérale.

Le traficotage des chiffres du chômage américain nous font croire qu’il est de 6,6%, alors qu’en réalité il est au moins de 20 %, selon Olivier Delamarche (voir la vidéo BFMTV).

Quand les banquiers des différentes firmes américaines commencent à se suicider, la reprise économique peut se faire attendre (voir vidéo sur Egalité et Réconciliation)

En bref, le système est au bord de l’effondrement !

Oncle Sam serait-il prêt à relancer l’économie par la guerre ?

La solution a déjà été employée durant la Seconde Guerre mondiale, suite à la crise de 1929. Une relance économique qui aura coûté 50 millions de morts

http://croah.fr/a-la-une/maidan-complot-coup-detat-et-esc...

 

20/01/2014

MESSAGE AUX FORCES DE L'ORDRE DE LA PART DES MANIFESTANTS POUR LE 26 JANVIER 2014

POUR QUE JOUR DE COLERE LE 26/01/2014 SOIT PLUS EFFICACE !!

REJOIGNEZ NOUS SUR FACEBOOK : JOUR DE COLERE !

MESSAGE AUX FORCES DE L'ORDRE

https://www.youtube.com/watch?v=MJrDviPzTcY

 

Les Banquiers de chez Rothschild dirigent la France …

Voilà pourquoi, il ne suffirait pas de mettre Hollande dehors ! Il faut mettre dehors, toute la Grandee famille sioniste Rothschild et tous ses VRP dits politiques et toutes leurs officines sionistes !


Les Banquiers de chez Rothschild dirigent la France …

4 septembre 2013

Bienvenue ici le blog RS017, la Banque Rothschild dirige la france

TROP FORT …
QUI DIRIGE LA FRANCE LA BANQUE Rothschild SI  SI PREUVE …

 http://www.youtube.com/watch?v=Na3LlV5hoQA

 

Les deux secrétaires généraux adjoints de la présidence de la République nommés par François Hollande sont :

Emmanuel Macron qui s’occupe des questions économiques. Il a pour parrain Jacques Attali (il fut membre de sa commission sur la croissance) . Membre du PS il a milité dans le Pas-de-Calais dans les années 2000. Depuis des mois, M. Macron partageait son temps entre la Banque Rothschild, dont il a été nommé associé-gérant en 2011, et la préparation de l’alternance.

Dans le documentaire de Patrick Rotman, Le Pouvoir, il crève l’écran

Brillant, sympathique, charmeur, le secrétaire général adjoint de l’Elysée,  Emmanuel Macron, a les convictions de la gauche libérale. Mais les prudences de  François Hollande l’obligent à la patience.

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elysee-emmanue...

C’est un dîner comme Paris sait les mitonner. Des banquiers, des  communicants, des conseillers de ministre… de droite et de gauche. Nous sommes  à la fin de 2008, Nicolas Sarkozy dirige la France, tandis que François  Hollande a pris le sombre corridor qui mène aux oubliettes de  l’Histoire. Il n’est plus premier secrétaire du PS et les socialistes commencent  à regarder Dominique Strauss-Kahn avec les yeux de Chimène.

Autour de la table, deux hommes font connaissance en parlant politique. « En  2012, ce sera François Hollande, je mise sur lui », dit le premier au  second, qui le prend pour un fou. En Bourse, on appelle cela « acheter à la  baisse » et il n’est pas étonnant que ce hollandais précoce soit directeur à  Rothschild & Cie Banque. Il se nomme Emmanuel  Macron. Moins de quatre ans plus tard, le 15 mai 2012, il devient,  à 34 ans, secrétaire général adjoint de la présidence de la  République.

Très vite, Macron se fait remarquer. Par son âge, un objet de curiosité – il  fréquente l’école primaire à l’époque où Laurent Fabius habite Matignon. Par son parcours, une  hyperbole de l’excellence: en sixième, il connaît déjà les racines grecques et  latines de la langue française (1). Par ce supplément d’âme qu’il donne à son CV  d’énarque en tâtant de la philosophie – il est un temps l’assistant de Paul  Ricoeur – et de la politique – il milite dans le Pas-de-Calais dans les années  2000. 

Emmanuel Macron, 35 ans, grand-père…

Par sa vie personnelle, pas banale. Quand il dit qu’il va rejoindre ses  petits-enfants en week-end, le trentenaire ne parle pas de ses enfants en bas  âge, mais bien de ses petits-enfants. En réalité, ceux de sa femme, vingt ans de  plus que lui et mère de trois grands adultes. Cette professeure de français  enseigne dans une institution religieuse réputée de la capitale. « Elle est de  ces profs dont les élèves se souviennent longtemps, parce qu’elle leur a donné  le goût de la littérature », relate l’un de ses collègues.

Avant d'entrer à l'Elysée, il a demandé à avoir la main sur l'économie, le social et l'Europe.
Avant d’entrer à l’Elysée, il a demandé à avoir la main sur  l’économie, le social et l’Europe.REUTERS/Bertrand Langlois/Pool

Ces derniers temps, Emmanuel Macron est dans la peine: en avril, il a perdu  sa grand-mère. Une passion. A 5 ans, le petit Amiénois demande à vivre avec  cette directrice d’école. En pratique, elle l’élève autant que ses parents, tous  deux médecins. Cet enfant de la bourgeoisie et de la province, formaté par les  jésuites et les écoles de l’élite, n’a pas le cynisme de son profil. Il est  (encore?) protégé par son enthousiasme, voire sa naïveté, et par son humour. A  l’Elysée, pendant les réunions ennuyeuses – et il y en a -, il envoie des SMS  aux autres conseillers, ceux qu’il aime bien, pour croquer une situation ou  moquer un personnage. Il en expédie aussi à 2 heures du matin: le Mozart de  l’Elysée dort de quatre à cinq heures par nuit, par obligation, par  inclination.

A l’Inspection des finances (2004-2008), il ne se signale pas uniquement par  un rapport sur la gestion de la trésorerie de l’Etat. Il fait rire ses  camarades. « Il était mon voisin de bureau et, quand je rentrais de mission,  j’allais le voir pour décompresser », raconte Sébastien Proto, le jumeau de  Macron. Elèves de la promotion Léopold Sédar Senghor de l’ENA (2004), ces deux-là alternent  cabinets et banque d’affaires. La gémellité s’arrête là où commence la  politique: « Je suis de droite, sarkozyste, il est de gauche », affirme Proto, qui  a travaillé avec Eric Woerth et Valérie Pécresse. Les deux hommes ont échangé  beaucoup de textos durant la campagne. Ils continuent à se voir et à « se faire  la bise ».

La Sarkozie l’a dragué en 2007, en vain

Macron aurait pu, lui aussi, embrasser la Sarkozie, qui l’a sollicité en  2007. « Mais il avait choisi la gauche, confirme un ancien conseiller de  l’ex-président, bien que, intellectuellement, je ne voie pas très bien ce qui  nous sépare. Du moins en matière économique. » Il n’est pas étonnant que deux  tenants d’une gauche pétrie de réalisme, Jean-Pierre Jouyet, ami de Hollande, et Jacques Attali, recruteur du jeune François en 1981, l’aient  repéré. Jouyet l’encourage à travailler pour Hollande. Attali aussi, qui l’a  présenté au futur président au cours d’un dîner, en 2007, et le choisit pour  être rapporteur général adjoint (puis membre) de sa Commission pour la  libération de la croissance française. Un concentré d’expertises et d’ego que  l’intelligence analytique de Macron réussit à harmoniser.

Au milieu des années 2000, le jeune technocrate produit quelques notes pour  l’équipe de DSK. Il est de nouveau sollicité à la fin de 2010. En vain. Il  appartient alors à la petite troupe qui se réunit tous les lundis matin du côté  du Trocadéro, dans l’appartement parisien d’André Martinez, camarade d’HEC de François Hollande. Puis, de  juillet à décembre 2011, il anime un cénacle d’experts et d’économistes, le  groupe de la Rotonde, qui rapporte tous les quinze jours au  candidat.

Je n’irai pas à l’Elysée pour faire des vieux trucs (Emmanuel  Macron)

Déjà, on parle de lui comme du futur secrétaire général adjoint de l’Elysée.  Sûr de sa valeur, il n’acceptera pas moins. Il veut avoir la main sur  l’économie, le social et l’Europe, triptyque indissociable selon lui. Au début  de mai 2012, il s’est déjà renseigné: le passage de Rothschild à l’Elysée n’est  pas contraire aux règles déontologiques. La feuille de route est dans sa tête:  redresser les comptes publics et retrouver de la compétitivité, y compris à  coups de réformes dites libérales, qui font hurler la moitié des socialistes.  

Marché du travail plus flexible, mise sous conditions de ressources des  allocations familiales et des remboursements maladie, lutte contre les « rentes  de gauche », celles de la fonction publique. Mais il croit aussi que l’on peut  augmenter les impôts et qu’ »une société respire mieux quand chacun réussit selon  ses mérites et quand l’Etat est présent dans les moments durs de la vie ». En mai  2012, il annonce à un proche: « Je n’irai pas à l’Elysée pour faire des vieux  trucs. »

La Macron-économie, c’est quoi?

C’était il y a un siècle. Depuis, l’apprenti du pouvoir a compris la  différence entre un rapport de la commission Attali et la politique version Hollande. « Certains  jours, il s’en accommode, d’autres, il s’impatiente », dit l’un de ses amis.  Pourtant, les grands choix vont dans son sens. La réduction de la dépense  publique est engagée, comme la bataille de la compétitivité, certains excès  fiscaux du début du quinquennat sont corrigés (mode de paiement de la taxe à 75%  sur les très riches, fiscalité des plus-values mobilières), la flexibilité du  marché du travail est lancée à travers la loi qui transpose un accord des  partenaires sociaux. Macron s’y implique, rencontrant Jean-Claude  Mailly, secrétaire général de Force ouvrière, à plusieurs reprises pour le  convaincre de grogner avec parcimonie contre ce texte qu’il a refusé de signer.  

Le secrétaire général adjoint joue aussi, avec succès, un rôle protecteur des  patrons d’entreprises publiques tour à tour menacés: Carlos Ghosn (Renault), Stéphane Richard (France Télécom), Henri  Proglio (EDF) et, tout dernièrement, Jean-Paul Bailly (La Poste). Il est enfin le metteur en scène  et le pédagogue de la stratégie de redressement des finances publiques, en  particulier auprès de Berlin: plaider que la France respectera l’objectif de  retour des déficits publics au-dessous de 3 % du PIB, mais plus lentement que  prévu.

Dans le film Le Pouvoir, il émerge quand les autres se signalent par leur silence ou leur déférence.
Dans le film Le Pouvoir, il émerge quand les autres  se signalent par leur silence ou leur déférence.J.-C. Coutausse/Divergence

La Macron-économie semble à l’oeuvre, mais il faut un  entomologiste très minutieux pour la déceler, tant les piétinements divergents  des Ayrault, Moscovici, Montebourg, Le Foll ou Duflot brouillent les  pistes. Peu de ministres portent le message de cette social-démocratie chère au  secrétaire général adjoint. Si le premier d’entre eux s’en revendique, son  expression est couverte par un président soucieux d’équilibres politiques.  

Macron semble d’autant plus isolé que le naufrage de Jérôme Cahuzac l’a privé d’un allié. Les deux hommes se  connaissent depuis 2008, Macron fait partie de ceux qui ont réconcilié le député  de Lot-et-Garonne avec le candidat Hollande. « Pourtant Cahuzac se sentait mal  aimé de l’Elysée, Macron y était sa seule attache », note un ministre. En  décembre, quelques jours après les révélations de Mediapart, le conseiller de  Hollande confie: « Je crois ce qu’il dit, c’est mon ami. ». Aujourd’hui, il  conjugue cette amitié à l’imparfait.

Ce que François Hollande pense de lui…

La Macron-économie existe, mais François Hollande n’est pas homme à s’en  remettre à un seul inspirateur. Il n’est pas Nicolas Sarkozy, pour qui Xavier  Musca, secrétaire général adjoint puis secrétaire général, était le grand  chambellan de l’économie. Et Emmanuel Macron n’a ni l’expérience administrative  et politique ni la stature internationale d’un Xavier Musca, qu’Angela  Merkel reconnaissait et appréciait. D’ailleurs, en Hollandie, les  conseillers n’ont pas de vie propre. 

C’est un bon élément, original et créatif (François  Hollande)

C’est donc à titre exceptionnel que le président a accepté de parler de  Macron à L’Express: « C’est un bon élément, original et créatif. » Les deux hommes  s’aiment bien, ils partagent le goût des bons mots et la détestation des  conflits. Mais, à l’Elysée, Macron n’est pas un enfant unique. S’il s’entend  bien avec Aquilino Morelle, conseiller politique, il doit cohabiter avec Philippe Léglise-Costa, spécialiste des questions  européennes, diplomate aussi discret que Macron est solaire. Et avec Pierre-René Lemas, le secrétaire général. Entre ce préfet,  soucieux de préserver la France telle qu’elle est, et l’inspecteur des finances,  qui la rêve telle qu’elle devrait être, le courant ne passe pas  vraiment.

Dans le film de Patrick Rotman Le Pouvoir, sorti en salles le 15  mai, un seul collaborateur émerge quand les autres se signalent par leur silence  ou leur déférence: Emmanuel Macron intervient avec naturel, insiste pour que le  président donne de la profondeur à son action et se projette en 2020. Il parle  avec familiarité d’Angela Merkel: « Elle veut danser le tango avec toi et elle  pense que c’est elle qui doit mettre la jambe droite. Nous, on pense  pareil. »

>> Lire aussi notre critique du documentaire de Patrick Rotman sur la  première année de François Hollande à l’Elysée, Le Pouvoir

Macron écrit aussi de longues notes pour le chef de l’Etat, afin de préciser  sa pensée, notamment sur la social-démocratie. Dans les réunions avec ministres,  il lui arrive de presser son patron de réduire les dépenses. « Ah oui, mais il  faut dire lesquelles! » rétorque le président.

Rien n’échappe à ce faux débonnaire qu’est François Hollande. « Tiens, on t’a  beaucoup vu », remarque-t-il, lorsque son conseiller apparaît dans des articles.  Et quand il apprend – très vite – que Macron vient de partager un petit déjeuner  avec un grand patron étiqueté sarkozyste, il interroge: « Que faisais-tu chez  lui? » Ces incartades et escapades sont constatées, mais tolérées, car utiles:  « Macron est le lien avec une certaine économie que l’on n’aime pas, mais avec  laquelle il faut composer », dit un PDG.

Macron est le lien avec une certaine économie que l’on n’aime pas (un  PDG)

A quoi sert la Macron-économie ?

A calmer les patrons. Ils entrent, vibrants  d’espoir, dans le bureau du secrétaire général adjoint, ils en sortent des  étoiles plein la tête. « Vous êtes d’accord avec lui à 100%, cela en est même  troublant », soupire l’un de ces visiteurs. Et après? Rien ou pas grand-chose à  leurs yeux. Ils ne voient pas les dépenses publiques se réduire, malgré les  promesses, ils redoutent de nouvelles hausses d’impôts. Laurence Parisot est  l’une des rares à plaider en sa faveur. « Les patrons sont trop gourmands,  Emmanuel est un précieux relais de la voix des entreprises. Il a été le premier,  dès juin, à comprendre les exigences de la compétitivité », dit la présidente du  Medef.

Trop politique pour les patrons, trop libéral pour les politiques…

La Macron-économie est donc condamnée à la suspicion: trop politique pour les  patrons, trop libérale pour les politiques. Le secrétaire général adjoint, c’est  son rôle, navigue entre ces mondes. Environ tous les deux mois, il continue de  réunir le groupe de la Rotonde à l’Elysée. Il consulte ses aînés de l’Inspection  des finances. Avant de choisir la banque d’affaires – il entre chez Rothschild  en septembre 2008 -, il avait sondé Alain Minc, l’un des parrains de cette  institution. Qui lui indique le chemin de la finance privée, avec ce  commentaire: tu gagneras de l’argent et la liberté de faire ensuite de la  politique. 

Il interroge aussi Xavier Musca, qui lui donne l’avis inverse, préférer le  service public. Marque de courtoisie, Macron téléphone à ce dernier après que Jean-Marc  Ayrault a annoncé, le 23 mai 2012, que Xavier Musca ne serait pas nommé à la  tête de la Caisse des dépôts. Les contacts n’ont pas cessé : de l’Elysée, Macron  téléphone encore à Musca pour lui demander son avis au moment de la crise  chypriote, en mars.

Passer de la banque à l’Elysée et vice versa, c’est très sarkozien…  (Emmanuel Maurel)

Les ministres qui le connaissent l’aiment bien. Pierre Moscovici,  sans surprise; plus curieusement, Arnaud Montebourg, alors que les deux hommes, c’est un  euphémisme, ne sont pas tout à fait sur la même ligne. Avec Marisol Touraine, il  prend un petit déjeuner environ tous les mois. Il a fait connaissance avec Cécile Duflot lors d’un déjeuner, en février, organisé par le  directeur du cabinet de la ministre du Logement, Manuel Flam. 

Pascal Canfin, lui, est encore surpris que Macron l’ait  soutenu dans un combat peu orthodoxe: affecter une partie du produit de la taxe  sur les transactions financières au développement des pays pauvres et non au  seul désendettement de la France. Tous ne tombent évidemment pas sous le charme: Emmanuel  Maurel, chef de file, au PS, du courant Maintenant la gauche, se dit gêné  par ce parcours typique d’une « oligarchie qui passe de la banque à l’Elysée et  vice versa; c’est très sarkozien ».

Président de la République dans vingt ans?

La banque, l’argent… Partageant un café avec Macron dans le bureau de  celui-ci, un conseiller de l’Elysée ressent un choc en découvrant le montant du  tiers provisionnel dû par son hôte – l’imprimé fiscal traîne sur la table : une  somme à six chiffres ! Macron n’est pas resté assez longtemps chez Rothschild  pour devenir riche à millions, mais il a très bien gagné sa vie en 2011 et pour  les cinq premiers mois de 2012: 900 000 euros (550 000 après charges et impôts),  à comparer à ses 156 000 euros annuels aujourd’hui, rémunération identique à  celle du président de la République. L’ex-banquier ne paie pas l’ISF (à partir  de 1,3 million d’euros).

A un ami il avait confié qu’il ne resterait pas plus d’un an ou un an et demi  à l’Elysée. Et après? La politique? Les uns le verraient bien ministre de  Hollande, mais la mode est aux poids lourds de la politique. D’autres suggèrent  un retour vers la banque, la direction d’une grande entreprise. Jacques Attali  fait plus simple: président de la République dans vingt ans. La rumeur dit que  l’ancien conseiller de François Mitterrand cherche déjà le Macron de  Macron!

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elysee-emmanue...

Nicolas Revel, fils de la journaliste Claude Sarraute, était jusqu’ici directeur de cabinet de Bertrand Delanoë. Il est plus particulièrement chargé des questions régaliennes.
Arnaud Montebourg a fait le choix, pour diriger son cabinet, de la plume de Laurent Fabius, ancien de la banque Rothschild, Stéphane Israël.

Le « conseiller spécial » de M. Montebourg sera Christophe Bejach, membre du directoire de la compagnie financière Saint Honoré, holding de tête du groupe Edmond de Rothschild.

Emmanuel Macron

Les dernières élections viennent de démontrer encore une fois que les Français ne savent plus à quel saint se vouer tant le manque de choix est manifeste.

Les partis actuels ne semblent-ils pas tous représenter les lobbies financiers ?  François Hollande qui aimait pourtant clamer « que son adversaire était le monde de la finance » :

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...!

Les Banquiers de chez  Rothschild  dirige la France ... dans Bienvenue ici le blog RS017 C. Ferguson dans la Banque Rothschild dirige la france

Nomme néanmoins comme secrétaires généraux adjoints de la présidence de la République : Emmanuel Macron pour s’occuper des questions économiques. Il a pour parrain Jacques Attali (il fut membre de sa commission sur la croissance) . Membre du PS il a milité dans le Pas-de-Calais dans les années 2000. Mais depuis des mois, M. Macron partageait son temps entre la Banque Rothschild, dont il a été nommé associé-gérant en 2011, et la préparation de l’alternance ! Et Nicolas Revel, fils de la journaliste Claude Sarraute, qui était jusqu’ici directeur de cabinet de Bertrand Delanoë. Il est plus particulièrement chargé des questions régaliennes. Arnaud Montebourg, ministre du redressement,  a fait le choix, pour diriger son cabinet, de la plume de Laurent Fabius, un ancien de la banque Rothschild, Stéphane Israël. Et son « conseiller spécial » est Christophe Bejach, membre du directoire de la compagnie financière Saint Honoré.

Ces étroits liens avec les financiers expliquent en partie les 44 % d’abstention lors du second tour d’élections législatives :

 Christophe Bejach

Et puis, n’est-il pas démotivant et injuste de voir par exemple qu’un député FN (Le Pen) représente 421 342 Français alors qu’un député Front de gauche (Mélenchon) seulement 24 952 ? Cela dit, un député aujourd’hui ne fait qu’entériner les décisions européennes. Des décisions qui ne sont plus prises indirectement par les peuples. Même la toute puissance présidentielle relève en grande partie de l’illusion. Lui non plus ne peut pas faire grand-chose car l’essentiel des compétences ont été transférées à Bruxelles. Il faut lire Verbatim de Jacques Attali, un précieux témoignage sur la vie politique française de 1981 à 1991. Les grands débats de  politique monétaire, sur la question de la dévaluation du franc, sortir ou rester dans le SME, étaient toujours, in fine arbitrés par le chef de l’Etat. Avec l’euro, la politique monétaire échappe désormais entièrement au niveau national donc au Président.  Il n’est plus question non plus d’appliquer une politique interventionniste pour aider l’industrie,  Bruxelles l’interdirait. Compte tenu des règles européennes et du poids des dépenses publiques, les marges de manœuvre budgétaires du gouvernement sont désormais infimes.  Les autorités nationales gardent, en gros,  la possibilité d’augmenter et de baisser les impôts, mais cela ne suffit pas pour piloter une nation dans la tempête…

Comment en est-on arrivé là ?

 Economie Emmanuel Macron

Robert Schuman est considéré comme l’un des pères fondateurs de la construction européenne. Pourtant le 19 septembre 2000, le Daily Telegraph de Londres, par la voix d’Ambrose Evans-Pritchard, annonçait que les archives déclassifiées de l’administration américaine montraient que l’ancien premier ministre belge Paul Henri Spaak, Robert Schuman et bien d’autres étaient employés par les services américains. Les fonds étaient transités pour camoufler leur action, par le biais des fondations Rockefeller et Ford.

 Le complot européen ou la fin de la démocratie 1/3

http://www.dailymotion.com/video/xeggd5_le-complot-europe...


Le complot européen ou la fin de la démocratie... par Antipenseunique

 Le complot européen ou la fin de la démocratie 2/3

http://www.dailymotion.com/video/xeggk4_le-complot-europe...


Le complot européen ou la fin de la démocratie... par Antipenseunique

 Le complot européen ou la fin de la démocratie 3/3

http://www.dailymotion.com/video/xehv39_le-complot-europe...


Le complot européen ou la fin de la démocratie... par Antipenseunique

 

 Eurogendfor

Le passage en force du traité de Lisbonne alors que par référendum le peuple hollandais et français s’y opposait n’est pas surprenant. Car ce traité soulignait dorénavant la primauté du droit européen sur le droit national et donnait une personnalité juridique à l’Europe, au détriment des pays.  La seconde mouture de ce texte entraîna de la même façon  le « non » du peuple irlandais le 12 juin 2008. Il ne fut pas non plus respecté mais on lui demanda de revoter. Pour qu’il change d’avis, les stratèges de la propagande  dépensèrent 10 fois plus que ceux qui défendaient le non. Ils ne bénéficièrent pas non plus du même temps d’antenne. Pendant ce temps, les 499 parlementaires européens ignoraient complètement le non irlandais et continuèrent la ratification du traité de Lisbonne. Ils balayèrent ainsi trois référendums d’un revers de manche. Difficile aujourd’hui de nous faire croire que nous sommes en démocratie !  C’est plutôt un pas en arrière pour l’humanité mais un pas en avant pour la dictature.

C’est ce que symboliquement représente le rétablissement de la peine de mort dans le traité :

 europe

Mais d’une manière discrète, car les conditions sont floues : seulement quand il faut assurer la défense de toute personne contre la violence illégale ; quand il faut effectuer une arrestation régulière ou pour empêcher l’évasion d’une personne régulièrement détenue ; quand il faut réprimer, conformément à la loi, une émeute ou une insurrection. Et pour devenir le bras armé de cette dictature, on créa l’Eurogendfor (European Gendarmerie Force) qui a un droit d’occupation dans n’importe quel pays européen. C’est un conseil de guerre, composé des différents ministères de la Défense des pays européens, qui gère leurs interventions (accord de Velsen), réduisant ainsi le droit et la souveraineté nationale des pays.  Tous les bâtiments ou lieux de l’Eurogendfor jouissent de l’immunité les rendant inaccessibles aux autorités des pays concernés. Mais l’Eurogendfor ne dispose pas que de compétences policières mais aussi de celles des services secrets. Elle peut de même avoir pour mission de faire respecter l’ordre et le calme dans une zone en collaboration avec l’armée.

Le dernier ouvrage de C. Ferguson a été publié aux Etats-Unis le 21mai : « Predator Nation » (« Une nation de prédateurs », Crown Business Publishing).

 france

Il explique parfaitement l’invraisemblable impunité des coupables de cette récession qui ravage aujourd’hui l’Europe. Depuis les années 80, l’essentiel du secteur financier s’est criminalisé. Une culture industrielle qui tolère, voire encourage la fraude systématique s’y est développée. Ce comportement se trouve à l’origine de la bulle des crédits immobiliers “subprimes” et de la crise financière de 2008. Cette dernière en est même le résultat direct. Elle n’est pas une sorte d’accident économique. Les occidentaux ont encouragé la dérégulation des marchés, ce qui a rendu le système financier encore bien plus puissant. Moins d’obstacles, moins de comptes à rendre, moins de règles à respecter : on se rapproche du pouvoir absolu. Et il devient de plus en plus acceptable de se comporter de façon malhonnête. D’énormes dissimulations volontaires de transactions financières ont certainement favorisé le terrorisme sous opération false flag, le blanchiment, la prolifération nucléaire et l’évasion fiscale à l’échelle du globe. Sans cette motivation criminelle, la crise n’aurait pas eu ce retentissement mondial. En Europe, que penser par exemple des conseils prodigués par la banque Goldman Sachs à la Grèce, pour aider le pays à maquiller ses comptes ? Cette crise économique est particulièrement grave. Même le PIB de la Chine ne progresse pas. Sa consommation d’électricité n’a augmenté que de 0,7%. Ce qui donne une idée de sa réelle croissance. Tous les autres chiffres donnés sont faux et ne servent qu’à encenser ceux qui ont le pouvoir en Chine. Même ses ventes de logements ont baissé de 25% !

Cependant, si on voulait éviter la récession, il existe des solutions rapides :

 la Banque Rothschild dirige la France

Pourquoi donc ne les prend-on pas ? Bien entendu à cause, encore une fois, du poids des lobbies financiers sur le politique. Déjà Sarkozy n’était-il pas conseillé principalement par Michel Pébereau, le patron de BNP Paribas ?  Ce qui ne l’a pas empêché de faire des erreurs incompréhensibles :

http://cee.e-toile.fr/index.cfm/2011/12/13/Les-erreurs-in...

C’est ainsi que l’on a assisté sans pouvoir faire quoique ce soit, à ce scandale que fut de prêter 1 000 milliards d’euros aux banques privées au taux de 1% alors qu’à l’Espagne et à l’Italie on leur demandait de payer 10 fois plus cher d’intérêt ? Pourtant, sans changer les traités européens, la banque centrale européenne, si elle n’a pas le droit d’aider directement ces pays, peut par contre prêter à 1%, à la banque européenne d’investissement. Et celle-ci prêter ensuite à 1,1% à l’Espagne et à l’Italie. Ces pays se retrouveraient alors avec un petit excédent budgétaire. La récession serait évitée. N’est-ce pas  l’augmentation de ces frais financiers exorbitants qui leur sont nocifs ?

La Crise va vraiment commencer - Juin 2012

 

http://www.dailymotion.com/video/xrg5hb_la-crise-va-vraim...


La Crise va vraiment commencer - Juin 2012 par khalem2012

Il y a donc volonté manifeste d’endetter les pays.

 le « non » du peuple irlandais le 12 juin 2008

On retrouve ce piège avec la fameuse loi du 3 janvier 1973. Cette loi n’interdit pourtant pas à la Banque de France de faire ce que la loi appelle des « avances » à taux nuls à l’état, avances qui sont parfaitement encadrées. Cette loi interdit juste au Trésor d’être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France, ce qui peut être contourné par le fait que la Banque de France peut agir sur le marché secondaireLe fait de ne plus financer l’état français au travers de sa banque centrale n’est donc qu’une décision purement politique qu’on ne peut réduire à cette loi. En d’autre terme, cette loi est une bonne excuse pour exonérer les politiques depuis quarante ans de leurs responsabilités !

Pourquoi donc cet endettement volontaire des pays, si ce n’est pour donner le pouvoir à la haute finance ? En 1789, les banques avaient supprimé le roi pour mettre en place en France ce système des intérêts si lucratif mais interdit par l’église catholique. Aujourd’hui, c’est à l’échelle mondiale qu’ils rêvent d’avoir le pouvoir.

Lire aussi : le coup d’état européen, un pouvoir exécutif qui ne se plie pas au suffrage universel.

http://rso17.unblog.fr/2013/09/04/les-banquier-de-chez-ro...

 

11-Septembre : Arte découvre enfin certaines zones d'ombre !

Si ce n'était pas si dramatique pour les victimes des attentats et les millions de victimes innocentes qui sont tombées dans les pays arabes attaqués sous couvert qu'ils étaient devenus du jour au lendemain, l'axe du mal et des nids à terroristes, on peut légitimement se demander qui avait grand intérêt à manigancer de l'intérieur avec leurs alliés, les attentats du 11 septembre 2001 ?

Qui sont les grands promoteurs de l'idéologie religieuse qui souhaitent nous instaurer l'Unique Religion Mondiale qui est la base même du Nouvel Ordre Mondial et sans laquelle le NOM ne pourrait pas exister, si ce ne sont pas les Illuminati/Sionistes/Reptiliens ?

Du reste n'attendent-ils pas leur Messie ou l'Antéchrist ?
Pour instaurer leur NOM, il faut bien qu'ils envahissent les pays arabes, africains et autres pour y placer leurs pions à la tête de tous ces pays pour déclarer ensuite  l'instauration du NOM ? Quels meilleurs moyens pour cela que d'aller implanter des banksters dans les pays conquis et des VRP politiques à leurs bottes ?

Peut-être serait-il temps qu'ils cessent de nous prendre pour des imbéciles, non ?

Les vrais terroristes ne se trouvent pas parmi les peuples innocents mais au sein même des gouvernements menteurs mis en place par les banksters eux-mêmes !

 

Interview de l'historien Daniele Ganser extraite du premier des trois documentaires "Sociétés secrètes" diffusés sur Arte le 4 janvier 2014.

Voir l'article associé pour plus d'informations :
http://www.reopen911.info/News/2014/01/07/11-septembre-ar...

11-Septembre : Arte découvre enfin certaines zones d'ombre !


11-Septembre : Arte découvre enfin certaines... par ReOpen911

Sociétés secrètes - 1/3 - HD Documentaire

http://www.youtube.com/watch?v=gJ91lNg4E2c

Sociétés secrètes - 2/3 - HD Documentaire

 http://www.youtube.com/watch?v=blKkMzE6dA8

Sociétés secrètes - 3/3 - HD Documentaire

http://www.youtube.com/watch?v=zoMpVHWPhHU

 

 

 

17/01/2014

Najat Vallaud-Belkacem prête à pénaliser fiscalement les mères au foyer

Et allez on continue avec la discrimination des femmes au foyer qui élèvent leurs enfants ! Ne vous y trompez pas ici, c'est la destruction de la cellule familiale et nos enfants qui sont visés par les élites Illuminati-Sionistes-Pédophiles-Satanistes, vous verrez pourquoi plus bas avec l'obligation qui nous est faite par l'OMS d'éduquer nos enfants à la sexualité et à la masturbation dès la naissance !!

Cela consistera à absoudre et à dépénaliser totalement la pédophilie des élites Illuminati-Sionistes-Pédophiles-Satanistes, avec notre aval !!!

Et pour qu'ils puissent abuser tranquillement de nos enfants dans les crèches, les écoles maternelles et ailleurs, surtout mettons nos mères au travail et confions nos enfants allègrement à l'éducation nationale et à la pédophilie institutionnalisée !!

Nouvelles recommandations européennes sur l’éducation sexuelle : selon les experts, l’éducation sexuelle devrait commencer dès la naissance

http://www.euro.who.int/fr/media-centre/sections/latest-p...

Colloque sur l'éducation sexuelle en milieu scolaire en Suisse romande
http://www.sarahoberson.org/colloque-sur-leducation-sexue...

OMS : la masturbation pour tous à la maternelle
http://24heuresactu.com/2014/01/15/oms-la-masturbation-pour-tous-a-la-maternelle/

Europe : les droits des parents et la protection des enfants en péril
http://news.catholique.org/49311-europe-les-droits-des-pa...

 

Najat Vallaud-Belkacem prête à pénaliser fiscalement les mères au foyer

Posté par imane sur jan 8, 2014 dans

Najat Vallaud-Belkacem prête à pénaliser fiscalement les mères aux foyer

Najat Vallaud-Belkacem prête à pénaliser fiscalement les mères aux foyer

Interrogée par le quotidien Les Echos du 11/12/2013 sur les mesures envisagées par le rapport Lemière sur l’emploi des femmes, le ministre des Droits des femmes condamne la conjugalisation et la familialisation de la fiscalité. Objectif en clair : pénaliser les ménages mono-actifs, autrement dit, imposer le parent 2 (suivez mon regard) au foyer…

Le ministre des Droits des femmes et de la Communication d’État du régime, Najat Vallaud-Belkacem, nature généreuse mais d’un ton sans réplique, veut organiser le bonheur des femmes selon un modèle rénové, qu’elles le veuillent ou non.

MODELE SOCIALISTE façon 2014, on procèdera à une puissante incitation fiscale au travail à l’extérieur du foyer familial. Dans les familles ringardes, où les mères resteront bêtement chez elles à s’occuper de leurs enfants, le montant de l’impôt d’État sur le revenu augmentera à revenu constant par rapport aux familles évoluées, où les femmes auront compris les vertus d’un second emploi parallèle à celui de leur compagnon. Pour le gouvernement en effet, le risque, c’est la famille, pas le travail…

Le régime aura procédé entre temps à « la révision de l’un des fondements de la fiscalisation des ménages, la conjugalisation de l’impôt », annonce notre ministre délégué à l’avenir du « genre » humain, Mme Vallaud-Belkacem. Cela au coude à coude avec Jean-Marc Ayrault, le Premier ministre déjà au volant du rouleau compresseur de la « remise à plat » du système fiscal.

L’individualisation de l’impôt

Résultat de cette normalisation, les pères de famille paieront désormais leurs impôts « plein pot » comme s’ils étaient restés célibataires, sans plus bénéficier désormais de la « demi-part fiscale » attribuée jusqu’à maintenant au titre de leur épouse. Ainsi, le régime va pénaliser fiscalement les familles nombreuses dont les mères élèvent les enfants à la maison sans les confier au système éducatif collectif d’État. En revanche, les couples sans enfants bénéficiant de deux salaires selon la nouvelle norme internationale DINK (Dual Income-No Kids) verront leur impôt baisser, avec la possibilité de fractionner le chiffre à déclarer…

Mme Vallaud-Belkacem a annoncé (Les Echos, 13 décembre), qu’à l’encontre de la fâcheuse « familialisation » d’hier, désormais « l’individualisation de l’impôt favorise l’emploi des femmes ». Cette « gouvernante » de la société de demain déclare froidement que ce nouvel « accès à l’emploi » des femmes est « une question de justice mais aussi un enjeu économique majeur » : elle prédit un gain de 0,5 point de croissance par an pendant 10 ans. Mais elle demande donc un effort collectif équivalent de deux plans quinquennaux. L’État « doit peser en tant que donneur d’ordre »…

Source: libertepolitique.com

http://librexpression.org/najat-vallaud-belkacem-prete-a-...

http://www.libertepolitique.com/Actualite/La-revue-de-pre...