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20/01/2014

Les Banquiers de chez Rothschild dirigent la France …

Voilà pourquoi, il ne suffirait pas de mettre Hollande dehors ! Il faut mettre dehors, toute la Grandee famille sioniste Rothschild et tous ses VRP dits politiques et toutes leurs officines sionistes !


Les Banquiers de chez Rothschild dirigent la France …

4 septembre 2013

Bienvenue ici le blog RS017, la Banque Rothschild dirige la france

TROP FORT …
QUI DIRIGE LA FRANCE LA BANQUE Rothschild SI  SI PREUVE …

 http://www.youtube.com/watch?v=Na3LlV5hoQA

 

Les deux secrétaires généraux adjoints de la présidence de la République nommés par François Hollande sont :

Emmanuel Macron qui s’occupe des questions économiques. Il a pour parrain Jacques Attali (il fut membre de sa commission sur la croissance) . Membre du PS il a milité dans le Pas-de-Calais dans les années 2000. Depuis des mois, M. Macron partageait son temps entre la Banque Rothschild, dont il a été nommé associé-gérant en 2011, et la préparation de l’alternance.

Dans le documentaire de Patrick Rotman, Le Pouvoir, il crève l’écran

Brillant, sympathique, charmeur, le secrétaire général adjoint de l’Elysée,  Emmanuel Macron, a les convictions de la gauche libérale. Mais les prudences de  François Hollande l’obligent à la patience.

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elysee-emmanue...

C’est un dîner comme Paris sait les mitonner. Des banquiers, des  communicants, des conseillers de ministre… de droite et de gauche. Nous sommes  à la fin de 2008, Nicolas Sarkozy dirige la France, tandis que François  Hollande a pris le sombre corridor qui mène aux oubliettes de  l’Histoire. Il n’est plus premier secrétaire du PS et les socialistes commencent  à regarder Dominique Strauss-Kahn avec les yeux de Chimène.

Autour de la table, deux hommes font connaissance en parlant politique. « En  2012, ce sera François Hollande, je mise sur lui », dit le premier au  second, qui le prend pour un fou. En Bourse, on appelle cela « acheter à la  baisse » et il n’est pas étonnant que ce hollandais précoce soit directeur à  Rothschild & Cie Banque. Il se nomme Emmanuel  Macron. Moins de quatre ans plus tard, le 15 mai 2012, il devient,  à 34 ans, secrétaire général adjoint de la présidence de la  République.

Très vite, Macron se fait remarquer. Par son âge, un objet de curiosité – il  fréquente l’école primaire à l’époque où Laurent Fabius habite Matignon. Par son parcours, une  hyperbole de l’excellence: en sixième, il connaît déjà les racines grecques et  latines de la langue française (1). Par ce supplément d’âme qu’il donne à son CV  d’énarque en tâtant de la philosophie – il est un temps l’assistant de Paul  Ricoeur – et de la politique – il milite dans le Pas-de-Calais dans les années  2000. 

Emmanuel Macron, 35 ans, grand-père…

Par sa vie personnelle, pas banale. Quand il dit qu’il va rejoindre ses  petits-enfants en week-end, le trentenaire ne parle pas de ses enfants en bas  âge, mais bien de ses petits-enfants. En réalité, ceux de sa femme, vingt ans de  plus que lui et mère de trois grands adultes. Cette professeure de français  enseigne dans une institution religieuse réputée de la capitale. « Elle est de  ces profs dont les élèves se souviennent longtemps, parce qu’elle leur a donné  le goût de la littérature », relate l’un de ses collègues.

Avant d'entrer à l'Elysée, il a demandé à avoir la main sur l'économie, le social et l'Europe.
Avant d’entrer à l’Elysée, il a demandé à avoir la main sur  l’économie, le social et l’Europe.REUTERS/Bertrand Langlois/Pool

Ces derniers temps, Emmanuel Macron est dans la peine: en avril, il a perdu  sa grand-mère. Une passion. A 5 ans, le petit Amiénois demande à vivre avec  cette directrice d’école. En pratique, elle l’élève autant que ses parents, tous  deux médecins. Cet enfant de la bourgeoisie et de la province, formaté par les  jésuites et les écoles de l’élite, n’a pas le cynisme de son profil. Il est  (encore?) protégé par son enthousiasme, voire sa naïveté, et par son humour. A  l’Elysée, pendant les réunions ennuyeuses – et il y en a -, il envoie des SMS  aux autres conseillers, ceux qu’il aime bien, pour croquer une situation ou  moquer un personnage. Il en expédie aussi à 2 heures du matin: le Mozart de  l’Elysée dort de quatre à cinq heures par nuit, par obligation, par  inclination.

A l’Inspection des finances (2004-2008), il ne se signale pas uniquement par  un rapport sur la gestion de la trésorerie de l’Etat. Il fait rire ses  camarades. « Il était mon voisin de bureau et, quand je rentrais de mission,  j’allais le voir pour décompresser », raconte Sébastien Proto, le jumeau de  Macron. Elèves de la promotion Léopold Sédar Senghor de l’ENA (2004), ces deux-là alternent  cabinets et banque d’affaires. La gémellité s’arrête là où commence la  politique: « Je suis de droite, sarkozyste, il est de gauche », affirme Proto, qui  a travaillé avec Eric Woerth et Valérie Pécresse. Les deux hommes ont échangé  beaucoup de textos durant la campagne. Ils continuent à se voir et à « se faire  la bise ».

La Sarkozie l’a dragué en 2007, en vain

Macron aurait pu, lui aussi, embrasser la Sarkozie, qui l’a sollicité en  2007. « Mais il avait choisi la gauche, confirme un ancien conseiller de  l’ex-président, bien que, intellectuellement, je ne voie pas très bien ce qui  nous sépare. Du moins en matière économique. » Il n’est pas étonnant que deux  tenants d’une gauche pétrie de réalisme, Jean-Pierre Jouyet, ami de Hollande, et Jacques Attali, recruteur du jeune François en 1981, l’aient  repéré. Jouyet l’encourage à travailler pour Hollande. Attali aussi, qui l’a  présenté au futur président au cours d’un dîner, en 2007, et le choisit pour  être rapporteur général adjoint (puis membre) de sa Commission pour la  libération de la croissance française. Un concentré d’expertises et d’ego que  l’intelligence analytique de Macron réussit à harmoniser.

Au milieu des années 2000, le jeune technocrate produit quelques notes pour  l’équipe de DSK. Il est de nouveau sollicité à la fin de 2010. En vain. Il  appartient alors à la petite troupe qui se réunit tous les lundis matin du côté  du Trocadéro, dans l’appartement parisien d’André Martinez, camarade d’HEC de François Hollande. Puis, de  juillet à décembre 2011, il anime un cénacle d’experts et d’économistes, le  groupe de la Rotonde, qui rapporte tous les quinze jours au  candidat.

Je n’irai pas à l’Elysée pour faire des vieux trucs (Emmanuel  Macron)

Déjà, on parle de lui comme du futur secrétaire général adjoint de l’Elysée.  Sûr de sa valeur, il n’acceptera pas moins. Il veut avoir la main sur  l’économie, le social et l’Europe, triptyque indissociable selon lui. Au début  de mai 2012, il s’est déjà renseigné: le passage de Rothschild à l’Elysée n’est  pas contraire aux règles déontologiques. La feuille de route est dans sa tête:  redresser les comptes publics et retrouver de la compétitivité, y compris à  coups de réformes dites libérales, qui font hurler la moitié des socialistes.  

Marché du travail plus flexible, mise sous conditions de ressources des  allocations familiales et des remboursements maladie, lutte contre les « rentes  de gauche », celles de la fonction publique. Mais il croit aussi que l’on peut  augmenter les impôts et qu’ »une société respire mieux quand chacun réussit selon  ses mérites et quand l’Etat est présent dans les moments durs de la vie ». En mai  2012, il annonce à un proche: « Je n’irai pas à l’Elysée pour faire des vieux  trucs. »

La Macron-économie, c’est quoi?

C’était il y a un siècle. Depuis, l’apprenti du pouvoir a compris la  différence entre un rapport de la commission Attali et la politique version Hollande. « Certains  jours, il s’en accommode, d’autres, il s’impatiente », dit l’un de ses amis.  Pourtant, les grands choix vont dans son sens. La réduction de la dépense  publique est engagée, comme la bataille de la compétitivité, certains excès  fiscaux du début du quinquennat sont corrigés (mode de paiement de la taxe à 75%  sur les très riches, fiscalité des plus-values mobilières), la flexibilité du  marché du travail est lancée à travers la loi qui transpose un accord des  partenaires sociaux. Macron s’y implique, rencontrant Jean-Claude  Mailly, secrétaire général de Force ouvrière, à plusieurs reprises pour le  convaincre de grogner avec parcimonie contre ce texte qu’il a refusé de signer.  

Le secrétaire général adjoint joue aussi, avec succès, un rôle protecteur des  patrons d’entreprises publiques tour à tour menacés: Carlos Ghosn (Renault), Stéphane Richard (France Télécom), Henri  Proglio (EDF) et, tout dernièrement, Jean-Paul Bailly (La Poste). Il est enfin le metteur en scène  et le pédagogue de la stratégie de redressement des finances publiques, en  particulier auprès de Berlin: plaider que la France respectera l’objectif de  retour des déficits publics au-dessous de 3 % du PIB, mais plus lentement que  prévu.

Dans le film Le Pouvoir, il émerge quand les autres se signalent par leur silence ou leur déférence.
Dans le film Le Pouvoir, il émerge quand les autres  se signalent par leur silence ou leur déférence.J.-C. Coutausse/Divergence

La Macron-économie semble à l’oeuvre, mais il faut un  entomologiste très minutieux pour la déceler, tant les piétinements divergents  des Ayrault, Moscovici, Montebourg, Le Foll ou Duflot brouillent les  pistes. Peu de ministres portent le message de cette social-démocratie chère au  secrétaire général adjoint. Si le premier d’entre eux s’en revendique, son  expression est couverte par un président soucieux d’équilibres politiques.  

Macron semble d’autant plus isolé que le naufrage de Jérôme Cahuzac l’a privé d’un allié. Les deux hommes se  connaissent depuis 2008, Macron fait partie de ceux qui ont réconcilié le député  de Lot-et-Garonne avec le candidat Hollande. « Pourtant Cahuzac se sentait mal  aimé de l’Elysée, Macron y était sa seule attache », note un ministre. En  décembre, quelques jours après les révélations de Mediapart, le conseiller de  Hollande confie: « Je crois ce qu’il dit, c’est mon ami. ». Aujourd’hui, il  conjugue cette amitié à l’imparfait.

Ce que François Hollande pense de lui…

La Macron-économie existe, mais François Hollande n’est pas homme à s’en  remettre à un seul inspirateur. Il n’est pas Nicolas Sarkozy, pour qui Xavier  Musca, secrétaire général adjoint puis secrétaire général, était le grand  chambellan de l’économie. Et Emmanuel Macron n’a ni l’expérience administrative  et politique ni la stature internationale d’un Xavier Musca, qu’Angela  Merkel reconnaissait et appréciait. D’ailleurs, en Hollandie, les  conseillers n’ont pas de vie propre. 

C’est un bon élément, original et créatif (François  Hollande)

C’est donc à titre exceptionnel que le président a accepté de parler de  Macron à L’Express: « C’est un bon élément, original et créatif. » Les deux hommes  s’aiment bien, ils partagent le goût des bons mots et la détestation des  conflits. Mais, à l’Elysée, Macron n’est pas un enfant unique. S’il s’entend  bien avec Aquilino Morelle, conseiller politique, il doit cohabiter avec Philippe Léglise-Costa, spécialiste des questions  européennes, diplomate aussi discret que Macron est solaire. Et avec Pierre-René Lemas, le secrétaire général. Entre ce préfet,  soucieux de préserver la France telle qu’elle est, et l’inspecteur des finances,  qui la rêve telle qu’elle devrait être, le courant ne passe pas  vraiment.

Dans le film de Patrick Rotman Le Pouvoir, sorti en salles le 15  mai, un seul collaborateur émerge quand les autres se signalent par leur silence  ou leur déférence: Emmanuel Macron intervient avec naturel, insiste pour que le  président donne de la profondeur à son action et se projette en 2020. Il parle  avec familiarité d’Angela Merkel: « Elle veut danser le tango avec toi et elle  pense que c’est elle qui doit mettre la jambe droite. Nous, on pense  pareil. »

>> Lire aussi notre critique du documentaire de Patrick Rotman sur la  première année de François Hollande à l’Elysée, Le Pouvoir

Macron écrit aussi de longues notes pour le chef de l’Etat, afin de préciser  sa pensée, notamment sur la social-démocratie. Dans les réunions avec ministres,  il lui arrive de presser son patron de réduire les dépenses. « Ah oui, mais il  faut dire lesquelles! » rétorque le président.

Rien n’échappe à ce faux débonnaire qu’est François Hollande. « Tiens, on t’a  beaucoup vu », remarque-t-il, lorsque son conseiller apparaît dans des articles.  Et quand il apprend – très vite – que Macron vient de partager un petit déjeuner  avec un grand patron étiqueté sarkozyste, il interroge: « Que faisais-tu chez  lui? » Ces incartades et escapades sont constatées, mais tolérées, car utiles:  « Macron est le lien avec une certaine économie que l’on n’aime pas, mais avec  laquelle il faut composer », dit un PDG.

Macron est le lien avec une certaine économie que l’on n’aime pas (un  PDG)

A quoi sert la Macron-économie ?

A calmer les patrons. Ils entrent, vibrants  d’espoir, dans le bureau du secrétaire général adjoint, ils en sortent des  étoiles plein la tête. « Vous êtes d’accord avec lui à 100%, cela en est même  troublant », soupire l’un de ces visiteurs. Et après? Rien ou pas grand-chose à  leurs yeux. Ils ne voient pas les dépenses publiques se réduire, malgré les  promesses, ils redoutent de nouvelles hausses d’impôts. Laurence Parisot est  l’une des rares à plaider en sa faveur. « Les patrons sont trop gourmands,  Emmanuel est un précieux relais de la voix des entreprises. Il a été le premier,  dès juin, à comprendre les exigences de la compétitivité », dit la présidente du  Medef.

Trop politique pour les patrons, trop libéral pour les politiques…

La Macron-économie est donc condamnée à la suspicion: trop politique pour les  patrons, trop libérale pour les politiques. Le secrétaire général adjoint, c’est  son rôle, navigue entre ces mondes. Environ tous les deux mois, il continue de  réunir le groupe de la Rotonde à l’Elysée. Il consulte ses aînés de l’Inspection  des finances. Avant de choisir la banque d’affaires – il entre chez Rothschild  en septembre 2008 -, il avait sondé Alain Minc, l’un des parrains de cette  institution. Qui lui indique le chemin de la finance privée, avec ce  commentaire: tu gagneras de l’argent et la liberté de faire ensuite de la  politique. 

Il interroge aussi Xavier Musca, qui lui donne l’avis inverse, préférer le  service public. Marque de courtoisie, Macron téléphone à ce dernier après que Jean-Marc  Ayrault a annoncé, le 23 mai 2012, que Xavier Musca ne serait pas nommé à la  tête de la Caisse des dépôts. Les contacts n’ont pas cessé : de l’Elysée, Macron  téléphone encore à Musca pour lui demander son avis au moment de la crise  chypriote, en mars.

Passer de la banque à l’Elysée et vice versa, c’est très sarkozien…  (Emmanuel Maurel)

Les ministres qui le connaissent l’aiment bien. Pierre Moscovici,  sans surprise; plus curieusement, Arnaud Montebourg, alors que les deux hommes, c’est un  euphémisme, ne sont pas tout à fait sur la même ligne. Avec Marisol Touraine, il  prend un petit déjeuner environ tous les mois. Il a fait connaissance avec Cécile Duflot lors d’un déjeuner, en février, organisé par le  directeur du cabinet de la ministre du Logement, Manuel Flam. 

Pascal Canfin, lui, est encore surpris que Macron l’ait  soutenu dans un combat peu orthodoxe: affecter une partie du produit de la taxe  sur les transactions financières au développement des pays pauvres et non au  seul désendettement de la France. Tous ne tombent évidemment pas sous le charme: Emmanuel  Maurel, chef de file, au PS, du courant Maintenant la gauche, se dit gêné  par ce parcours typique d’une « oligarchie qui passe de la banque à l’Elysée et  vice versa; c’est très sarkozien ».

Président de la République dans vingt ans?

La banque, l’argent… Partageant un café avec Macron dans le bureau de  celui-ci, un conseiller de l’Elysée ressent un choc en découvrant le montant du  tiers provisionnel dû par son hôte – l’imprimé fiscal traîne sur la table : une  somme à six chiffres ! Macron n’est pas resté assez longtemps chez Rothschild  pour devenir riche à millions, mais il a très bien gagné sa vie en 2011 et pour  les cinq premiers mois de 2012: 900 000 euros (550 000 après charges et impôts),  à comparer à ses 156 000 euros annuels aujourd’hui, rémunération identique à  celle du président de la République. L’ex-banquier ne paie pas l’ISF (à partir  de 1,3 million d’euros).

A un ami il avait confié qu’il ne resterait pas plus d’un an ou un an et demi  à l’Elysée. Et après? La politique? Les uns le verraient bien ministre de  Hollande, mais la mode est aux poids lourds de la politique. D’autres suggèrent  un retour vers la banque, la direction d’une grande entreprise. Jacques Attali  fait plus simple: président de la République dans vingt ans. La rumeur dit que  l’ancien conseiller de François Mitterrand cherche déjà le Macron de  Macron!

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Nicolas Revel, fils de la journaliste Claude Sarraute, était jusqu’ici directeur de cabinet de Bertrand Delanoë. Il est plus particulièrement chargé des questions régaliennes.
Arnaud Montebourg a fait le choix, pour diriger son cabinet, de la plume de Laurent Fabius, ancien de la banque Rothschild, Stéphane Israël.

Le « conseiller spécial » de M. Montebourg sera Christophe Bejach, membre du directoire de la compagnie financière Saint Honoré, holding de tête du groupe Edmond de Rothschild.

Emmanuel Macron

Les dernières élections viennent de démontrer encore une fois que les Français ne savent plus à quel saint se vouer tant le manque de choix est manifeste.

Les partis actuels ne semblent-ils pas tous représenter les lobbies financiers ?  François Hollande qui aimait pourtant clamer « que son adversaire était le monde de la finance » :

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...!

Les Banquiers de chez  Rothschild  dirige la France ... dans Bienvenue ici le blog RS017 C. Ferguson dans la Banque Rothschild dirige la france

Nomme néanmoins comme secrétaires généraux adjoints de la présidence de la République : Emmanuel Macron pour s’occuper des questions économiques. Il a pour parrain Jacques Attali (il fut membre de sa commission sur la croissance) . Membre du PS il a milité dans le Pas-de-Calais dans les années 2000. Mais depuis des mois, M. Macron partageait son temps entre la Banque Rothschild, dont il a été nommé associé-gérant en 2011, et la préparation de l’alternance ! Et Nicolas Revel, fils de la journaliste Claude Sarraute, qui était jusqu’ici directeur de cabinet de Bertrand Delanoë. Il est plus particulièrement chargé des questions régaliennes. Arnaud Montebourg, ministre du redressement,  a fait le choix, pour diriger son cabinet, de la plume de Laurent Fabius, un ancien de la banque Rothschild, Stéphane Israël. Et son « conseiller spécial » est Christophe Bejach, membre du directoire de la compagnie financière Saint Honoré.

Ces étroits liens avec les financiers expliquent en partie les 44 % d’abstention lors du second tour d’élections législatives :

 Christophe Bejach

Et puis, n’est-il pas démotivant et injuste de voir par exemple qu’un député FN (Le Pen) représente 421 342 Français alors qu’un député Front de gauche (Mélenchon) seulement 24 952 ? Cela dit, un député aujourd’hui ne fait qu’entériner les décisions européennes. Des décisions qui ne sont plus prises indirectement par les peuples. Même la toute puissance présidentielle relève en grande partie de l’illusion. Lui non plus ne peut pas faire grand-chose car l’essentiel des compétences ont été transférées à Bruxelles. Il faut lire Verbatim de Jacques Attali, un précieux témoignage sur la vie politique française de 1981 à 1991. Les grands débats de  politique monétaire, sur la question de la dévaluation du franc, sortir ou rester dans le SME, étaient toujours, in fine arbitrés par le chef de l’Etat. Avec l’euro, la politique monétaire échappe désormais entièrement au niveau national donc au Président.  Il n’est plus question non plus d’appliquer une politique interventionniste pour aider l’industrie,  Bruxelles l’interdirait. Compte tenu des règles européennes et du poids des dépenses publiques, les marges de manœuvre budgétaires du gouvernement sont désormais infimes.  Les autorités nationales gardent, en gros,  la possibilité d’augmenter et de baisser les impôts, mais cela ne suffit pas pour piloter une nation dans la tempête…

Comment en est-on arrivé là ?

 Economie Emmanuel Macron

Robert Schuman est considéré comme l’un des pères fondateurs de la construction européenne. Pourtant le 19 septembre 2000, le Daily Telegraph de Londres, par la voix d’Ambrose Evans-Pritchard, annonçait que les archives déclassifiées de l’administration américaine montraient que l’ancien premier ministre belge Paul Henri Spaak, Robert Schuman et bien d’autres étaient employés par les services américains. Les fonds étaient transités pour camoufler leur action, par le biais des fondations Rockefeller et Ford.

 Le complot européen ou la fin de la démocratie 1/3

http://www.dailymotion.com/video/xeggd5_le-complot-europe...


Le complot européen ou la fin de la démocratie... par Antipenseunique

 Le complot européen ou la fin de la démocratie 2/3

http://www.dailymotion.com/video/xeggk4_le-complot-europe...


Le complot européen ou la fin de la démocratie... par Antipenseunique

 Le complot européen ou la fin de la démocratie 3/3

http://www.dailymotion.com/video/xehv39_le-complot-europe...


Le complot européen ou la fin de la démocratie... par Antipenseunique

 

 Eurogendfor

Le passage en force du traité de Lisbonne alors que par référendum le peuple hollandais et français s’y opposait n’est pas surprenant. Car ce traité soulignait dorénavant la primauté du droit européen sur le droit national et donnait une personnalité juridique à l’Europe, au détriment des pays.  La seconde mouture de ce texte entraîna de la même façon  le « non » du peuple irlandais le 12 juin 2008. Il ne fut pas non plus respecté mais on lui demanda de revoter. Pour qu’il change d’avis, les stratèges de la propagande  dépensèrent 10 fois plus que ceux qui défendaient le non. Ils ne bénéficièrent pas non plus du même temps d’antenne. Pendant ce temps, les 499 parlementaires européens ignoraient complètement le non irlandais et continuèrent la ratification du traité de Lisbonne. Ils balayèrent ainsi trois référendums d’un revers de manche. Difficile aujourd’hui de nous faire croire que nous sommes en démocratie !  C’est plutôt un pas en arrière pour l’humanité mais un pas en avant pour la dictature.

C’est ce que symboliquement représente le rétablissement de la peine de mort dans le traité :

 europe

Mais d’une manière discrète, car les conditions sont floues : seulement quand il faut assurer la défense de toute personne contre la violence illégale ; quand il faut effectuer une arrestation régulière ou pour empêcher l’évasion d’une personne régulièrement détenue ; quand il faut réprimer, conformément à la loi, une émeute ou une insurrection. Et pour devenir le bras armé de cette dictature, on créa l’Eurogendfor (European Gendarmerie Force) qui a un droit d’occupation dans n’importe quel pays européen. C’est un conseil de guerre, composé des différents ministères de la Défense des pays européens, qui gère leurs interventions (accord de Velsen), réduisant ainsi le droit et la souveraineté nationale des pays.  Tous les bâtiments ou lieux de l’Eurogendfor jouissent de l’immunité les rendant inaccessibles aux autorités des pays concernés. Mais l’Eurogendfor ne dispose pas que de compétences policières mais aussi de celles des services secrets. Elle peut de même avoir pour mission de faire respecter l’ordre et le calme dans une zone en collaboration avec l’armée.

Le dernier ouvrage de C. Ferguson a été publié aux Etats-Unis le 21mai : « Predator Nation » (« Une nation de prédateurs », Crown Business Publishing).

 france

Il explique parfaitement l’invraisemblable impunité des coupables de cette récession qui ravage aujourd’hui l’Europe. Depuis les années 80, l’essentiel du secteur financier s’est criminalisé. Une culture industrielle qui tolère, voire encourage la fraude systématique s’y est développée. Ce comportement se trouve à l’origine de la bulle des crédits immobiliers “subprimes” et de la crise financière de 2008. Cette dernière en est même le résultat direct. Elle n’est pas une sorte d’accident économique. Les occidentaux ont encouragé la dérégulation des marchés, ce qui a rendu le système financier encore bien plus puissant. Moins d’obstacles, moins de comptes à rendre, moins de règles à respecter : on se rapproche du pouvoir absolu. Et il devient de plus en plus acceptable de se comporter de façon malhonnête. D’énormes dissimulations volontaires de transactions financières ont certainement favorisé le terrorisme sous opération false flag, le blanchiment, la prolifération nucléaire et l’évasion fiscale à l’échelle du globe. Sans cette motivation criminelle, la crise n’aurait pas eu ce retentissement mondial. En Europe, que penser par exemple des conseils prodigués par la banque Goldman Sachs à la Grèce, pour aider le pays à maquiller ses comptes ? Cette crise économique est particulièrement grave. Même le PIB de la Chine ne progresse pas. Sa consommation d’électricité n’a augmenté que de 0,7%. Ce qui donne une idée de sa réelle croissance. Tous les autres chiffres donnés sont faux et ne servent qu’à encenser ceux qui ont le pouvoir en Chine. Même ses ventes de logements ont baissé de 25% !

Cependant, si on voulait éviter la récession, il existe des solutions rapides :

 la Banque Rothschild dirige la France

Pourquoi donc ne les prend-on pas ? Bien entendu à cause, encore une fois, du poids des lobbies financiers sur le politique. Déjà Sarkozy n’était-il pas conseillé principalement par Michel Pébereau, le patron de BNP Paribas ?  Ce qui ne l’a pas empêché de faire des erreurs incompréhensibles :

http://cee.e-toile.fr/index.cfm/2011/12/13/Les-erreurs-in...

C’est ainsi que l’on a assisté sans pouvoir faire quoique ce soit, à ce scandale que fut de prêter 1 000 milliards d’euros aux banques privées au taux de 1% alors qu’à l’Espagne et à l’Italie on leur demandait de payer 10 fois plus cher d’intérêt ? Pourtant, sans changer les traités européens, la banque centrale européenne, si elle n’a pas le droit d’aider directement ces pays, peut par contre prêter à 1%, à la banque européenne d’investissement. Et celle-ci prêter ensuite à 1,1% à l’Espagne et à l’Italie. Ces pays se retrouveraient alors avec un petit excédent budgétaire. La récession serait évitée. N’est-ce pas  l’augmentation de ces frais financiers exorbitants qui leur sont nocifs ?

La Crise va vraiment commencer - Juin 2012

 

http://www.dailymotion.com/video/xrg5hb_la-crise-va-vraim...


La Crise va vraiment commencer - Juin 2012 par khalem2012

Il y a donc volonté manifeste d’endetter les pays.

 le « non » du peuple irlandais le 12 juin 2008

On retrouve ce piège avec la fameuse loi du 3 janvier 1973. Cette loi n’interdit pourtant pas à la Banque de France de faire ce que la loi appelle des « avances » à taux nuls à l’état, avances qui sont parfaitement encadrées. Cette loi interdit juste au Trésor d’être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France, ce qui peut être contourné par le fait que la Banque de France peut agir sur le marché secondaireLe fait de ne plus financer l’état français au travers de sa banque centrale n’est donc qu’une décision purement politique qu’on ne peut réduire à cette loi. En d’autre terme, cette loi est une bonne excuse pour exonérer les politiques depuis quarante ans de leurs responsabilités !

Pourquoi donc cet endettement volontaire des pays, si ce n’est pour donner le pouvoir à la haute finance ? En 1789, les banques avaient supprimé le roi pour mettre en place en France ce système des intérêts si lucratif mais interdit par l’église catholique. Aujourd’hui, c’est à l’échelle mondiale qu’ils rêvent d’avoir le pouvoir.

Lire aussi : le coup d’état européen, un pouvoir exécutif qui ne se plie pas au suffrage universel.

http://rso17.unblog.fr/2013/09/04/les-banquier-de-chez-ro...

 

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