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Pendant une brève période, au cours de l’occupation Nazie de la France (1940-1944), la Franc-maçonnerie rencontra sa bête noire. Ce n’était pas un guerrier mais plutôt un intellectuel.
Bernard Faÿ, un historien diplômé d’Harvard, un membre du Collège de France et Directeur de la Bibliothèque Nationale, dirigea une commission d’enquête qui conduisit à l’expulsion des Francs-maçons.
Travaillant pour le Président de la France de Vichy, Philippe Pétain, ainsi que pour la Gestapo, Bernard Faÿ compila une liste de 170,000 francs-maçons, parmi lesquels 989 furent envoyés en camps de concentration où 549 furent fusillés. En outre, environ 3000 d’entre eux perdirent leur travail. Tous les francs-maçons furent obligés par la loi de se déclarer aux autorités.
Faÿ s’empara également des archives secrètes du Grand Orient à Paris ainsi qu’au sein des loges maçonniques à travers tout le pays. Il compila ses informations à la Bibliothèque Nationale et édita un mensuel : Les Documents Maçonniques.
Les articles principaux portaient des titres tels que La Franc-maçonnerie et la corruption des mœurs. La Franc-maçonnerie contre l’État, et Le Mensonge maçonnique.
En 1943, Faÿ produisit un film intitulé Forces Occultesqui dépeint la subversion maçonnique à l’œuvre dans le monde entier. Le film relate la vie d’un jeune député qui intègre le rang des francs-maçons pour relancer sa carrière. Il apprend ainsi comment la finance Juive Illuminati en Angleterre et aux États-Unis a utilisé la Franc-maçonnerie pour impliquer la France dans une guerre contre l’Allemagne. Le réalisateur Jean Mamy fut exécuté comme collaborateur en 1949. Le film est aujourd’hui disponible sur YouTube.
LA LIBÉRATION
Bien sûr, après que la France ait été « libérée » par les pouvoirs Maçonniques en 1944, les cartes changèrent de mains.
Faÿ fut arrêté et envoyé en camp de concentration. Lorsqu’il parut enfin pour son procès en 1946, il n’adopta pas la posture du repenti et se fendit même d’une attitude provocante.
« Ma plus grande imprudence fut de rester en France de 1940 à 1944, de rêver à sa régénération, d’y consacrer toutes mes forces, de risquer ma vie pour cela et d’y croire », déclara-t-il.
D’après Barbara Will, l’auteur de Unlikely Collaboration/Une collaboration improbable, « sans doute l’aspect le plus frappant de son procès, fut la réticence des procureurs à argumenter avec Faÿ au sujet des opinions politiques qu’il exprimait encore librement. »
Par exemple, il déclara à la cour que « pendant des années j’ai considéré la Franc-maçonnerie comme une institution dangereuse, et sur ce point depuis vingt ans je n’ai pas varié ni d’opinion ni de langage à son égard. La présence des allemands n’a eu strictement aucune influence sur mes idées. » (p. 181)
Pour mesurer à quel point la Franc-maçonnerie est vicieusement ancrée dans l’esprit des gauchistes, il faut voir comment Barbara Will, une enseignante d’anglais du Dartmouth College, persiste à décrire la vision de Faÿ comme de la « paranoïa » et de « l’agressivité ».
Faÿ a eu accès aux archives secrètes du Grand Orient. S’il a déclaré que leur but est la mise en place d’une tyrannie mondiale Luciférienne, il était tout sauf mal informé.
Après la guerre, le pouvoir franc-maçon français enquêta sur plus de 300,000 cas de collaboration. 6783 peines de mort furent rendues en France et 1600 furent exécutées. Par contraste, seul 200 à 300 Nazis furent pendu en Allemagne.
Faÿ n’attendait strictement rien de son procès. Le juge, fit-il remarquer, était un « Israélite et un franc-maçon. » Étonnamment, il ne fut pas exécuté. Le 6 décembre 1946 à l’âge de 54 ans, il fut condamné aux travaux forcés à perpétuité.
En 1951, lors d’une convalescence à l’hôpital de la prison, il s’échappa en Suisse grâce à l’aide de compagnons anti-maçons. Deux ans plus tard, il fut gracié par Charles de Gaulle. Néanmoins, il resta en Suisse où il continua à enseigner et à écrire des livres jusqu’à sa mort en 1978.
CONCLUSION
Bernard Faÿ appartenait à la France de l’Ancien Régime, la vraie France de la Monarchie, de l’Église et de l’armée. Cette France fut déracinée et détruite par la finance Juive Illuminati et leurs sbires francs-maçons qui provoquèrent la Révolution Française.
L’histoire moderne est le récit de la manière dont le pouvoir et la fortune de l’église et l’aristocratie ont été transférés à la finance Illuminati, par l’utilisation du libéralisme et des idéaux démocratiques comme prétexte.
L’Allemagne Nazie se devait de montrer qu’elle était opposée à la Franc-maçonnerie car ses ennemis étaient contrôlés par la maçonnerie. Bernard Faÿ a saisi ce bref moment pour essayer de sauver son pays bien aimé. Bien sûr, cette opportunité s’est rapidement évanouie car les Nazis étaient aussi financés et contrôlés par les Illuminati.
Le dernier jeu à la mode dans notre pays – tout en sachant que ce jeu vient du monde anglo-saxon et que là-bas, tout le monde y joue depuis des années –, c’est de mettre la loi et le travail des parlementaires au service non plus du bien commun et de l’intérêt général mais au service des professions et du business organisés en lobbies pas toujours franchement honnêtes.
Voilà dans quel état mental se trouve celui qui a participé à organiser le coup d'état nazi en Ukraine contre la Russie avec l'Allemagne et la Pologne ! Entre lui, le BHL qui se drogue et tous les agités du bocal de la secte sioniste que nous avons en France et au Gouverne-MENT, nous sommes servis ! Surtout qu'ils sont chez eux partout y compris en France ! Lisez plutôt ce que Fabius a dit à Shimon Perres en visite en France :
Le président François Hollande cherche à remplacer au plus tôt son ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius.
M. Fabius souffre de la maladie de Parkinson, confirment au Réseau Voltaire deux sources distinctes à Paris. Pour éviter que ne surgissent des tremblements, il prend toutes les 2 heures de la 3,4-dihydroxyphénylalanine (lévodopa). Malheureusement, ce médicament est connu pour ses effets secondaires. Il provoque chez M. Fabius des crises très aigües de paranoïa.
En juillet, le président Hollande lui avait imposé un nouveau secrétaire général au Quai d’Orsay, Christian Masset (ancien conseiller d’Hubert Védrine), avec mission de lui venir en aide [1]. Cependant l’état de santé du ministre s’est considérablement aggravé.
Le Medef et la police se mobilisent pour contrer un gang de « faux PDG » qui ont déjà extorqué 300 millions d’euros aux entreprises, dont Michelin.
Michelin fait partie des très nombreuses sociétés ayant été escroquées. LIONEL BONAVENTURE/AFP
KPMG, l’un des meilleurs spécialistes de ces fraudes en entreprise met également des spécialistes à disposition de ses clients. Cela n’a pas empêché le cabinet d’audit et de conseil de tomber dans le panneau des fraudeurs de haut vol, qui lui ont extorqué plus de 7 millions d'euros. En se faisant passer pour l'ex-président du groupe en France, Jean-Luc Decornoy, ces derniers ont convaincu un comptable de réaliser plusieurs virements sur un compte au Royaume-Uni, pour financer des études confidentielles. Le comptable a été licencié, mais les fonds n'ont jamais été retrouvés…
Une déferlante. Depuis leur apparition, en 2011, ces escroqueries ont coûté plus de 300 millions d'euros aux entreprises, avec plus de 700 cas recensés. Michelin, Vallourec, Baker & McKenzie, Naf Naf ou Porsche ont été abusés. Avec des montants colossaux, parfois supérieurs à 20 millions d'euros, et un impact énorme pour de nombreuses PME, dont certaines ont frôlé la faillite.« Le phénomène a pris autant d'ampleur, car nous avons affaire à des grands professionnels de l'escroquerie. C'est leur métier, ils font ça toute la journée, avance Jean-Marc Souvira, patron de l'Office central pour la répression de la grande délinquance financière (OCRGDF).Et ils utilisent des techniques très sophistiquées. » Ce policier lance un cri d'alerte aux entreprises pour une vigilance maximale lors des fêtes de fin d'année, période de vulnérabilité lorsque les effectifs sont dégarnis.
De faux PDG
L'escroquerie au président, la plus classique, est celle qui rapporte le plus. Après avoir étudié finement l'organisation de l'entreprise, l'aigre fin contacte, en général, le comptable d'une filiale en se faisant passer pour le PDG. Il lui confie qu'il a besoin de lui pour une opération « exceptionnelle, confidentielle et extrêmement urgente » et lui demande de réaliser un virement, en raison d'une OPA en préparation ou d'un contrôle fiscal. «Cette technique demande une autorité naturelle, un certain aplomb et un don pour la comédie », souligne le service régional de police judiciaire de Clermont-Ferrand, qui a traité de nombreuses affaires.
Certes, le taux d'échec est important :« La manufacture Michelin a été attaquée plus de 20 fois, tant à Clermont-Ferrand qu'à l'étranger, mais elle n'a jamais été dupée », écrivaient les policiers en novembre 2013. Depuis, le géant des pneumatiques a, lui aussi, été abusé par les escrocs, qui ont changé de technique. Se faisant passer pour un fournisseur, ils ont demandé que les factures soient réglées sur un autre compte. Ont ainsi été subtilisés 1,6 million d'euros. Autre technique efficace, celle des virements SEPA : « Profitant du changement de norme des virements bancaires, les escrocs se sont présentés comme des experts de la plateforme informatique des banques et ont demandé des virements pour tester la nouvelle norme SEPA », déplore Jean-Marc Souvira.
Filière franco-israélienne
Les groupes criminels spécialisés dans ces arnaques sont bien connus de la police : ce sont des Franco Israéliens, souvent poursuivis dans d'autres arnaques, à la TVA ou à la taxe carbone, qui opèrent d'Israël en toute impunité.Pas moins de 70 commissions rogatoires internationales ont été adressées par la justice française à l'Etat hébreu, qui n'y a pas donné suite, car aucune infraction n'a été commise sur le sol israélien.« Fera-t-on un jour pression sur Israël pour mettre fin à ces attaques? » se désole un magistrat. Ces escrocs francophones seraient en train de former des agents de langue anglaise pour attaquer le marché anglo-saxon.
On imagine aisément que lorsque Zemmour invoque des "bandes" d'étrangers qui selon lui "dévalisent, violentent ou dépouillent" la France, il parle des Rothschild & Cie qui dépouillent la France depuis près de 40 ans !
La chaîne met fin au programme dans lequel il intervenait. La Société des journalistes se réjouit de cette "prise de position forte" qu'elle "attendait".
La chaîne d'information en continu i-Télé a annoncé vendredi soir mettre fin à l'émission Ça se dispute, dans laquelle intervenait le journaliste Éric Zemmour, au coeur d'une vive polémique après des propos controversés sur l'islam. "i-Télé a décidé de mettre fin à l'émission Ça se dispute, qui ne reprendra pas en janvier 2015", écrit la chaîne dans un communiqué sans donner plus de détails.
Dans un autre communiqué, la Société des journalistes (SDJ) de la chaîne s'est "félicitée" de cette "prise de position forte" qu'elle "attendait". "Les déclarations d'Éric Zemmour dans le Corriere della Sera ont profondément choqué les membres" de la SDJ qui s'est "mobilisée" dès le début de la semaine à ce sujet, écrit-elle. "La SDJ après consultation estime dans sa très large majorité qu'Éric Zemmour, à cause des propos tenus n'a plus sa place d'éditorialiste sur l'antenne d'i-Télé".
"Faire cesser la diffusion de la haine d'Éric Zemmour"
Le polémiste, qui travaille aussi pour Le Figaro et RTL, a été très critiqué cette semaine après la diffusion d'un entretien au quotidien italien Corriere della Sera. Il y déclarait que les musulmans "vivent entre eux, dans les banlieues" et que "les Français ont été obligés de les quitter". Même s'il a réfuté avoir répondu à une question sur la "déportation de 5 millions de musulmans français", comme l'affirme le texte de l'entretien, datant du 30 octobre mais relayé récemment, ses propos ont suscité une vague d'indignation.
De nombreuses associations antiracistes ou de défense des musulmans ont porté plainte contre lui. Dans une lettre ouverte, plusieurs associations et personnalités politiques et culturelles ont appelé le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) à "faire cesser la diffusion de la haine d'Éric Zemmour".
Le polémiste a dénoncé "une manipulation fantastique". L'auteur du Suicide français avait déjà suscité la controverse en écrivant que Vichy avait sauvé des juifs, ou en évoquant des "bandes" d'étrangers qui selon lui "dévalisent, violentent ou dépouillent" la France.