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17/12/2014

L’Éducation "nationale", un égout à ciel ouvert

Excellent article !

Pendant que nous pleurnichons tous sur la SHOAH on détourne nos yeux des escroqueries organisées contre tous les peuples du monde !

 

L’Éducation "nationale", un égout à ciel ouvert

« Sommes-nous si mauvais pour ne pas être capables d’enseigner le respect de l’autre !? Il faut sans cesse travailler pour faire de la France un lieu d’intelligence, de partage, de respect, et combattre contre ceux qui ne veulent pas de cela. »

Le grand rabbin de France, Haïm Korsia

 

Nous nous sommes arrêtés, la semaine dernière, sur la stratégie pédagogique de Najat Vallaud-Belkacem quant à l’enseignement tous azimuts de la théorie du genre au sein même des établissements scolaires, primaires et secondaires. L’école maternelle (qui est une composante de l’école primaire) visée également par cette idéologie mortifère, les experts en lobotomies cognitives, les experts en trépanations virtuelles, étant bien écoutés de la Maghrébine élevée ministre et aux grandes oreilles de fennec bien ouvertes, béantes d’obéissance. Dans son éditorial du même numéro (27 novembre), Jérôme Bourbon mettait en exergue la caractéristique essentielle de la « Shoah » (terme extravagant s’il en est), et du phénomène abortif.

Ces deux phénomènes sont, en France en particulier, sacralisés, et possèdent leurs thuriféraires fanatiques, leurs intellectuels, leurs gardes et leurs tribunaux. Deux religions d’État, deux religions obligatoires. Aussi est-il évident qu’une institution comme l’Éducation nationale constitue une sorte de temple ou une espèce d’immense synagogue où ces deux religions créées ex nihilo pour conforter ici une soumission ou un indigénat, là le vrai génocide du peuple blanc, sont enseignées aux élèves de tout l’Hexagone.

Mais il ne s’agit pas d’un banal enseignement calibré, standard. Il est question ici d’un véritable bourrage de crâne dont les bourreaux en fonction se fichent de la réelle capacité d’absorption du cortex infantile. Ou plutôt ne s’inquiètent que de l’optimisation du message imposé (produit-il l’effet escompté ?) et non des conséquences morbides qu’elles produisent systématiquement sur l’esprit de nos chères têtes blondes.

Flashback : lorsque j’étais à la fin du CM1, mon instituteur au visage triste et flottant exhorta la classe à lire durant les grandes vacances un livre qu’il présenta alors comme un texte magnifique, Le Sac de billes de Joseph Joffo… L’année suivante, l’institutrice de CM2 évoqua en cours le fameux Journal d’Anne Frank ; et en 6e, notre professeur de français au nez saillant nous demanda de le lire. J’ai vu les ravages de cet « enseignement » sur les petites cervelles rabougries des fillettes de ma génération qui devenaient toujours plus bêtes, toujours plus « dindes » au fur et à mesure de l’instillation du poison dans leur tête.

Un devoir de mémoire éprouvant

À une époque où SOS Racisme (organisme piloté par des Juifs) était à son firmament médiatique, ces historiettes de Juifs apeurés provoquèrent un effet nerveux des plus détestables chez ces jeunes personnes. Quant à moi, loin de connaître alors la vérité sur ces thèses, je jouissais déjà, cependant, d’un caractère particulier me faisant abhorrer la pleurniche de salon. Je me demandais également à quoi pouvait bien servir cette entreprise consistant à vouloir nous faire pleurer à travers l’histoire de gamins un peu trop innocents à mes yeux. En outre, personne ne nous demandait d’accorder une pensée pour nos Poilus, de verser une larmiche pour nos soldats torturés par les immondes Rouges d’Indochine. Plus fort, les comédiens qui venaient parler de « l’Indicible » insistaient férocement sur l’idée qu’il fallait avoir de la compassion, plus de compassion pour les petits enfants à l’étoile jaune. Davantage de compassion qu’envers n’importe qui d’autre, à cause, évidemment, de l’insondable et de l’inexprimable vendu à leur sauce « pleurniche ».

Aujourd’hui, j’analyse en entomologiste méticuleux les effets de cette propagande sur les adultes de ma génération, et j’observe ce joug lourd et énorme qui écrase leurs épaules et qui les maintient, et les maintiendra, dans le sillon du prêt-à-penser jusqu’à leur dernier soupir de conformisme. Je vois encore dans une désagréable réminiscence Céline Machin-Chose pleurer après son exposé sur Anne Frank devant le professeur attendri ; petite bourgeoise inconsolable qui découvrait le malheur par le truchement d’un livre de propagande… Une remembrance désagréable et finalement triste. Cette adolescente a été manipulée comme des millions d’entre elles pour le profit d’une religion, d’une communauté, et d’une idéologie particulière.

 

Le Petit Garçon étoile ou la Shoah pour la maternelle

Et puis, grâce à la pleurniche « holocaustique », que représentera plus tard le bébé qu’elle avortera à côté d’Anne Frank, cet abcès d’angoisse ? Elle se lamentera toujours pour Anne Frank, même après avoir fait mixer son enfant avant qu’il soit jeté dans un sac-poubelle. Anne Frank, elle ne l’oubliera pas, car c’est aussi son histoire, l’histoire de son enfance, de son adolescence. « Anne Franck, elle m’a construit… Un moment fort de ma vie, snif… » Nous comprenons bien, après, malheureusement, les manipulateurs d’esprits qui nous servent d’élites, que la jeunesse, la verdeur de la cible des mémorialistes shoahtiques, est un atout pour eux. Plus l’enfant est jeune, donc sensible, plus le venin de « l’Indicible » produit son effet en le traumatisant durablement. Et quel troupeau réuni grâce à l’industrie concentrationnaire gérée par l’Éducation nationale !

Plus puissante que la petite lucarne, l’école à ciel ouvert, là où les transmetteurs de l’inénarrable « Mémoire » postillonnent du haut de leur estrade sur nos enfants candides. Ces conteurs de l’Indicible ont carte blanche et entrent dans les établissements publics comme dans un moulin. L’administration ne peut rien leur refuser. La force de la Mémoire (avec une prononciation tremblotante obligatoire) est incoercible. Aussi nos « exterminationnistes » dégoulinants n’ont-ils qu’un seul souci : comment profiter de cette liberté totale, comment malaxer le plus efficacement possible les cervelles roses ? L’ivresse de toutes les possibilités est l’unique danger de leur entreprise diabolique ! Ils doivent savoir se réfréner, se calmer, contrôler leur gigantesque pouvoir propagandiste. Et en effet, force est de constater que leur travail traumatique va crescendo, sans à-coup, s’intensifiant progressivement en quantité comme en qualité. Les voyages à Auschwitz se multiplient, les photos du portrait d’Anne Frank s’agrandissent dans les manuels scolaires chaque année un peu plus. Ou l’extension du domaine de la Shoah par son étirement incessant.

Les témoignages se diversifient, les plus petits gamins sont « sensibilisés » à « leur » « holocauste » et les tout petits, les plus jeunes enfants, désormais, sont « invités » à réfléchir sur « la plus grande méchanceté de tous les temps et pour l’éternité » ! Nous devons ainsi à Rachel Hausfater et à Olivier Latyk un petit ouvrage qui vient de bouleverser les journaleux, Le Petit Garçon étoile. Étoilé, vous l’aurez compris, avec l’étoile jaune, celle de l’enfant juif stigmatisé durant les heures les plus sombres de notre histoire. Le magazine bien nommé Actualité juive a recensé le petit livre à sa manière.

« Comment expliquer la Shoah aux enfants ? Rachel Hausfater et Olivier Latyk nous proposent un album magnifique, usant d’un langage métaphorique et de superbes illustrations, pour faire comprendre ce que fut la Shoah aux plus petits. Les parents – mais aussi les enseignants – doivent l’acquérir au plus vite et mener des lectures commentées avec les enfants. »

Au plus vite ! Immédiatement ! C’est compris !

« Il est évidemment très difficile de réaliser un album sur la Shoah qui puisse s’adresser aux enfants. Il faut à la fois donner à voir l’indicible par le texte et l’image sans que cela traumatise les petits lecteurs ; pourtant, il est également impératif de ne pas être approximatif et de ne pas contourner la vérité. Le Petit Garçon étoile réunit toutes ces qualités d’une façon magistrale. […] Le récit est court, alimenté par des images qui entrent en parfaite résonance avec les mots. À l’aide de phrases ciselées, la Shoah est abordée par la métaphore : les Juifs sont des étoiles ; les nazis sont des “chasseurs d’étoiles”. »

Et nos Juifs de conclure :

« L’objectif des auteurs est en effet moins de raconter que de faire “sentir ou ressentir” les faits. Le pari est tenu d’une façon incroyable. Un album émouvant et pédagogique qui doit néanmoins être lu par tous. »

Un livre bénéficiant d’une si bonne critique a, évidemment, un juste prix, soit 14 euros pour 32 petites pages. Pas grave, c’est l’État (ses bibliothèques et ses écoles maternelles) qui paie.

Les plus petits littéralement hypnotisés

L’avenir proche est parfaitement lisible. Ce livre sera bientôt présent dans toutes les écoles maternelles et peut-être sous forme d’extraits divers dans les classes de CP pour l’apprentissage de la lecture, comme ceux à caractère « antiraciste » (en fait violemment antiblanc) qui abrutissent nos enfants pour la plus grande gloriole des allogènes. Bref, dans un premier temps, nos enfants baigneront dans une nouvelle fange culpabilisatrice à des fins d’imprégnation idéologique subconsciente. Dans un second temps, l’initiation officielle à la Mémoire de l’Indicible sera instituée d’une manière relativement discrète au sein des plus petites classes : l’enseignement sera bien sûr métaphorique et donc sans prise pour les parents frustes, frustes mais qui seraient susceptibles de critiquer une telle entreprise si elle était pratiquée d’une manière non métaphorique.

Rappelons, comme le précise d’une manière magistrale le Mémorial de la Shoah, que « les programmes officiels prévoient que la Shoah soit abordée en classe dès l’école élémentaire, puis approfondie à différents stades du parcours secondaire général, technologique et professionnel ». Dès le CE2, l’enfant doit recevoir sa petite dose de poison. L’intérêt du petit livre qui compare les Juifs à des étoiles est de préparer un apprentissage shoahtique plus précoce et donc plus efficace encore. Et pour les exterminationnistes, tout devient prétexte à l’alourdissement continu de cette propagande, de ce modelage ou remodelage psychologique. L’actualité est lue à travers ce prisme monomaniaque et, par exemple, toute agression commise à l’encontre d’un Israélite (le couple braqué il y a une semaine à Créteil est ainsi devenu martyr de la haine antisémite ambiante selon les médias unanimes) devient obligatoirement l’expression d’un préjugé antisémite. Au nom du fameux « vivre ensemble » et de la lutte contre la violence, les historiettes shoahtiques sont donc légitimées par nos pédagogues verruqueux.

Les « mémorialistes » font leur cinéma

Le film Les Héritiers, sorti le 3 décembre dernier, résume en définitive toute la niaiserie de cette idéologie de la pleurniche qui paralyse, par la sidération ou par la crainte de paraître irrespectueux envers la chose sacralisée, l’ensemble des commentateurs et des acteurs de la Kulture. Ce film est un symbole d’une idéologie qui rend bête, et renvoie aux réminiscences de ma Céline d’antan qui pleurait irrationnellement durant son exposé sur la « déportation-extermination » vécue par Anne Frank.

Cette idéologie de la Mémoire, loin de rendre gentillets les grands noirs et petites beurettes qui hantent les lycées républicains, abrutit nos enfants blancs, les affaiblit, altère leur caractère. Nous voyons dans cet exercice « mémoriel » un acte de barbarie commis à l’encontre d’enfants innocents qui n’ont pas les moyens de relativiser les métaphores sanglantes, funestes et gores balancées par des éducateurs conformistes payés par une république de vauriens.

Cette idéologie sent la mort, en effet, mais pas celle de millions de Juifs, elle pue le trépas de notre nation et de notre peuple d’ores et déjà moribond. L’accroche emblématique que l’on peut lire sur l’affiche du film Les Héritiers qui révulsera tout Français sain est une ultime provocation :

« En comprenant l’Histoire (avec un H majuscule), ils vont forger la leur. »

Immanquablement, notre Céline aux yeux mouillés réapparaît dans un épouvantable flashback et ses mots d’adolescente souillée résonnent une nouvelle fois dans ce cauchemar : « Cette histoire m’a construite ; elle m’a fait grandir… » « Pauvre laideron ! » crie-t-on pour répondre à ce spectre : cette histoire t’a rendue encore plus stupide que tu ne l’étais auparavant ! Mais elle n’a pas seulement pour effet de rendre les fillettes et les jeunes pubères idiotes, elle influe sur le comportement des jeunes garçons en formation en leur brisant les ailes ; elle bride le cerveau du patriote en gestation, elle introduit en lui d’une manière insidieuse le virus tenace de la culpabilité et de l’ethnomasochisme. Les Héritiers montrent à ce propos, d’une manière caricaturale, le processus cognitif de soumission envers la « grosse pleurniche ». Il constitue en cela, pour les pédagogues à plat ventre, une sortie scolaire idéale, c’est-à-dire répugnante à souhait.

 

Par François-Xavier Rochette

Radiations prononcées pour Maître Danglehant et Maître Ndemazou

Voilà comment jugent les Francs-maçons !

17 décembre 2014

Ce mardi 16 décembre se sont tenus exceptionnellement au Tribunal de Grande Instance de Paris, les conseils de discipline de Maître Danglehant et de Maître Ndemazou. Exceptionnellement puisque ce type de procédure disciplinaire se déroule de coutume rue de Londres, au Conseil National des Barreaux de Paris. C’est d’ailleurs à cet endroit que s’était tenu le premier conseil de discipline à l’encontre de Maître Ndemazou où le président du conseil de disciplinaire Maître Destombes avait fait appel aux CRS pour faire évacuer le public au motif d’un trouble à l’ordre public. Officiellement, c’est pour ce même motif  que le lieu aurait changé. Pour Maître Danglehant, c’est la preuve que le bâtonnier de Paris refuse de donner une salle à un pseudo conseil en discipline.

Deux conseils de disciple pour une même décision : les radiations de la profession d’avocat de Maître Danglehant et de Maître Ndemazou. Une demande en appel sera prononcée par Maître Zehe, avocat de ces deux derniers.

François Danglehant rétorquera le 28 Janvier à la XVIIème Chambre du Tribunal de Grande Instance : « Des citations directes sont en cours de délivrance contre cette bande de faussaires pour tentative d’escroquerie en jugement en bande organisée par utilisation frauduleuse de qualité de service public ».

 


Un reportage Agence Info Libre :

 

14/12/2014

ALERTE ! L'avocat de Dieudonné, François Danglehant, interpellé, détenu et interdit d'exercer

 DIFFUSEZ LARGEMENT

&
MOBILISEZ-VOUS SUR PARIS !
 
 
Quand la République maçonnique ne supporte pas d'être dénoncée, qu'elle disjoncte, impose sa loi et sa dictature, et viole les droits des citoyens et des avocats !
 
 
L'avocat de Dieudonné, François Danglehant, interpellé, détenu et interdit d'exercer

Les forces de l'ordre sont venues interpeller François Danglehant, l'avocat de Dieudonné, à 6h du matin sur les ordres de deux juges d'instruction. François Danglehant explique dans une vidéo, ce qu'il en est. 

Plus d'informations : 

*-François Danglehant Avocat 

*-Syndicat des avocats citoyens


SYNDICAT DE PROTECTION DES AVOCATS

François DETTON fait expulser des Avocats du CNB


 

Pierre BECQUE : Faux conseil régional de discipline




vendredi 12 décembre 2014

Sabine KHERIS et Cyril PAQUAUX interdisent illégalement à Me François DANGLEHANT d’exercer la profession d’Avocat, sur les réquisitions de François MOLINS

 

 
Cyril PAQUAUX et Sabine KHERIS
juge d’instruction
ont illégalement interdit 
à Me François DANGLEHANT
d’exercer la profession d’Avocat
 
L’article 138 du Code de procédure pénale
interdit à un juge d’instruction
d’interdire à un Avocat d’exercer sa profession
 
Les juges d’instruction 
Cyril PAQUAUX et Sabine KHERIS
reprochent à Me François DANGLEHANT
d’avoir volé un dossier lui appartenant
au Conseil de discipline du 07 mai 2014
 
Pour information
un vol = la soustraction de la chose d’autrui
 
Prendre une chose qui vous appartient
ne peut donc jamais 
constituer un vol
 
 

Maison des Avocats à BOBIGNY
 
 
Yves BILLET
 

Avocate qui se cache

 
 
 

Avocat qui se cache
 

Jean-Claude BENHAMOU

François Dangléhant
Avocat au Barreau de la Seine-Saint-Denis
En interdiction d’exercer sur décision illégale
des juges Sabine KHERIS et Cyril PAQUAUX
DEA Théorie Philosophie du Droit Paris X
DESS Contentieux de Droit Public Paris I
1, rue des victimes du franquisme
93200  SAINT-DENIS
Tel – Fax 01 58 34 58 80
 
Saint-Denis le, 12 décembre 2014
 
Tribunal de grande instance de PARIS
Madame Sabine KHERIS,
Monsieur Cyril PAQUAUX
Juges d’instruction
 
Fax N° 01 44 32 51 53 (17 pages)
 
Réf : 45-8
 
N° du Parquet : 1412900696
N° Instruction : 2369/14/13
           
 
Madame le Juge d’instruction,
Monsieur le Juge d’instruction,
 
 
J’ai l’honneur de vous adresser, la présente, pour faire suite à mon audition du 09 décembre 2014.
 
Lors de cette audition, vous m’avez notifié une mise en examen entre autre pour : vol, en l’espèce un dossier de procédure disciplinaire, au préjudice du Conseil régional de discipline des barreaux du ressort de la cor d’appel de PARIS.
 
Je pense inutile de vous rappeler les dispositions de l’article 311-1 du Code pénal, qui prescrit :
 
« Le vol est la soustraction frauduleuse  de la chose d'autrui »
 
+         +         +
 
Il convient dès lors de rappeler la nature du dossier que j’ai pris et consulté (I), avant de rappeler que, le Conseil régional de discipline ne dispose pas d’un patrimoine (II).
 
I Nature du dossier litigieux
 
Le  dossier de la procédure est,  le dossier apporté par Robert FEYLER es bâtonnier. Dossier qui comprend : l’acte de saisine du conseil régional de discipline, le rapport disciplinaire, la citation d’avoir à comparaitre, les pièces cotées annexées à la citation.  Il s’agit d’un dossier unique.
 
Le dossier que j’ai pris et consulté ne comprenait  aucune de ces pièces.
Ce dossier de la procédure est resté durant toute l’audience, posé devant Robert FEYLER es bâtonnier, je n’ai à aucun moment pris ce dossier, ne serait-ce que pour le consulter.
 
Ce dossier de couleur jaune apparaît posé devant Robert FEYLER es bâtonnier, sur la vidéo « Agence info-libre » à 12 -16.
 
Le juge d’instruction est chargé d’instruire in rem (sur des faits), précis, visés par le réquisitoire introductif : un vol du dossier de la procédure disciplinaire.
 
A aucun moment,  je n’ai mis la main sur ce dossier de procédure,  dès lors, aucun élément ne permet ma mise en cause, c’est pourquoi je suis mis en examen, au visa de ce chef d’infraction, par suite d’une erreur de fait.
 
Le dossier que j’ai pris et consulté, est le dossier que j’ai fourni à François DETTON, dossier qui comprenait : la récusation + les pièces visées, mes conclusions de nullité + les pièces visées, 2 copie d’écran.  Ce dossier m’appartient.
 
Je pense inutile de vous rappeler que, la procédure disciplinaire est une procédure civile, voir en ce sens, l’article 277 du décret du 27 novembre 1991, qui prescrit :
 
« Il est procédé comme en matière civile pour tout ce qui n'est pas réglé par le présent décret »
 
+         +         +
 
En matière civile, les parties remettent au juge « un dossier de procédure »,  qui leur appartient et, qui leur est restitué après jugement.
 
Le dossier que j’ai pris et consulté, constitue donc ma propriété, ce dossier comprenait : la récusation + les pièces visées, mes conclusions de nullité + les pièces visées, 2 copies d’écran.
 
Vous m’avez donc mis en examen, placé sous contrôle judiciaire et encore, interdit illégalement d’exercer la profession d’Avocat, pour avoir pris et consulté, un dossier de procédure qui m’appartient ou encore volé, une « chose » qui m’appartient.
 
Je regrette de vous le dire mais, cette situation manque pour le moins de sérieux.
 
II Le conseil régional de discipline ne dispose pas d’un patrimoine
 
Le conseil régional de discipline ne dispose, ni de la personnalité civile, ni de la personnalité morale, car, le législateur ne lui a pas conféré une telle qualité.
 
Conséquence, le conseil régional de discipline, ne peut avoir de patrimoine et, ne peut donc être propriétaire d’une « chose ».
 
Or, le vol est, est la soustraction frauduleuse  de la chose d'autrui.
 
Le conseil régional de discipline  n’étant propriétaire d’aucune chose,  la qualification de vol est inapplicable en la cause, du fait que, les critères matériels de l’infraction, sont matériellement et juridiquement, impossible à caractériser.
 
Je pense inutile de rappeler que, le droit pénal est d’interprétation stricte.
 
Je regrette de vous le dire, mais, vous m’avez donc mis en examen sur ce chef de prévention (Vol), de manière arbitraire, discriminatoire et punitive, car, les critères de l’infraction ne peuvent en aucune manière être caractérisés.
 
Il n’est point nécessaire d’avoir un bac + 25, pour comprendre que, celui qui ne possède rien, ne peut jamais faire l’objet d’un vol, car, le vol c’est d’abord la soustraction d’une chose.
 
+         +         +
 
Chacun a le droit d’être entendu dans un délai raisonnable.
 
La cause est entendu, car, il s’agit d’une infraction impossible, dès lors, je vous demande de me délivrer un non lieu sur cette infraction imaginaire.
 
III Violence sans ITT sur Avocat
 
L’infraction aurait été commise contre François DETTON, présent en qualité d’Avocat.
 
Je regrette de vous le dire, mais, les seules personnes présentes en qualité d’Avocat sont Me Anne GRECO et moi-même.
 
Dès lors, l’infraction ne peut en aucune manière être caractérisée sur cette qualification.
 
L’infraction vise certes,  toute autre personne dépositaire de l'autorité publique,  mais, François DETTON n’est pas dépositaire de l’autorité publique car, il n’est pas le Président de la juridiction prévue par l’article 22 de la loi du 31 décembre 1971.
 
En effet, l’article 22-1 de la loi du 31 décembre 1971 pose le principe que, le conseil régional de discipline, doit comporter au moins 1 juge-disciplinaire par barreaux.
 
A l’Assemblée générale du 29 janvier 2014, aucun juge-disciplinaire n’est intervenu pour les barreaux (Pièce Z 1, page 5) :
 
- 1°) d’AUXERRE ;
 
- 2°) de l’ESSONNE ;
 
- 3°) de FONTAINEBLEAU ;
 
- 4°) de SENS.
 
 
Conséquence, François DETTON est le Président du conseil de discipline des barreaux de MEAUX, de MELUN, du VAL DE MARNE et de la SEINE SAINT-DENIS.
 
 
Il s’agit d’une juridiction « d’opérette », qui ne dispose d’aucune base légale.
 
C’est pourquoi, François DETTON n’est pas  dépositaire de l'autorité publique.
 
Quant aux autres pseudo « juges-disciplinaires », qui siégeaient le 07 mai 2014, aucun d’entre eux n’étaient dépositaire de l'autorité publique,  du fait que la juridiction prévue par l’article 22 de la loi du 22 décembre 1971, n’a pas été installée pour l’année 2014.
 
+         +         +
 
Chacun a le droit d’être entendu dans un délai raisonnable.
 
La cause est entendue, car, aucun membres de la formation de jugement n’a siégé en qualité d’Avocat et pas davantage, en qualité de  dépositaire de l'autorité publique,  dès lors, je vous demande de me délivrer un non lieu sur cette infraction imaginaire.
 
IV Pressions et menaces sur Avocat dans l’exercice de leurs fonctions
 
Je regrette de vous le dire, mais, à l’audience du 07 mai 2014, aucun membre de la formation de jugement n’a siégé en qualité d’Avocat, mais,  en qualité de juge-disciplinaire.
 
Dès lors, la prévention n’est pas caractérisée, dans la mesure où, la juridiction prévue par la loi n’ayant pas été installée, c’est « une juridiction d’opérette » qui a siégée, juridiction dans laquelle personne n’était  dépositaire de l'autorité publique.
 
+         +         +
 
Le Parlement a fait de la juridiction prévue par les articles 22 et suivants de la loi du 31 décembre 1971, un organe dépositaire de l’autorité publique  et, uniquement cette juridiction.
 
Or, la juridiction qui a siégé le 07 mai 2014, n’est pas la juridiction prévue par les articles susvisés, dans la mesure où, les règles de constitution et d’installation (moyen d’ordre public), n’ont pas été appliquées.
 
Ci-joint, l’arrêt du 20 février 2014, qui n’a pas fait l’objet d’un pourvoi en cassation, décision qui annule purement et simplement une procédure disciplinaire (sans évoquer), pour irrégularité dans la composition de la formation de jugement du Conseil de discipline (Pièce Z 2).
 
La cour d’appel n’avait pas compétence pour évoquer, sur une décision prise par une « juridiction d’opérette », dans le style « Luis MARIANO ».
 
François DETTON a donc présidée une « juridiction d’opérette », qui n’est pas  dépositaire de l’autorité publique.
 
Conséquences logiques et inéluctables, les articles du Code pénal, qui protègent les organes dépositaires del’autorité publique,  ne sont pas applicables.
 
Le juge d’instruction a l’obligation d’instruire à charge et à décharge, dès lors, il a l’obligation de vérifier, si la juridiction qui a siégé le 07 mai 2014 :
 
- est bien celle prévue par les articles 22 et suivants de la loi du 31 décembre 1971 ;
 
- ou bien, une « juridiction d’opérette » dans le style « Luis MARIANO ».
Chacun a le droit d’être entendu dans un délai raisonnable.
 
La cause est entendue, car, aucun membres de la formation de jugement n’a siégé en qualité d’Avocat et pas davantage, en qualité de  dépositaire de l'autorité publique,  dès lors, je vous demande de me délivrer un non lieu sur cette infraction imaginaire.
 
Je regrette de vous le dire, mais, en qualité de juge d’instruction, vous avez l’obligation de vérifier si, les faits de la cause, correspondent aux critères définis par les infractions visées. En l’espèce, se pose une difficulté insurmontable en terme de champ d’application, car, les préventions visées, ne sont applicables  qu’aux juridictions prévues par la loi,  et en aucun cas aux juridictions d’opérette dans le style « Luis MARIANO » ou encore de style consorts DETTON / BITTON.
 
Sur le fondement de l’article 12 du Code de procédure civile, le juge a l’obligation de restituer aux faits et aux actes juridiques,  leur véritable qualification,  sans se limiter  à la dénomination proposée par l’une des parties :
 
« Il doit donner ou restituer leur exacte qualification aux faits et actes litigieux, sans s'arrêter  à la dénomination  que les parties en auraient proposée »
+         +         +
François MOLINS a faussement qualifié l’organe juridictionnel qui siégé le 07 mai 2014 de, Conseil régional de discipline des barreaux du ressort de la cour d’appel de PARIS.
Le juge d’instruction a l’obligation de vérifier cette qualification, sous le contrôle de la Cour d’appel, de la Cour de cassation et, de la Cour européenne.
 
 




François DETTON
le faux Président 
du Conseil régional de discipline
 
François DETTON a fabriqué des « faux papiers ». Dans un Etat de droit, il n’est pas question de me renvoyer en correctionnelle et, de me condamner, en s’appuyant sur ces « faux papiers », car, une situation de cette nature, caractérise une manœuvre frauduleuse, qui avère une tentative d’escroquerie au jugement.
 
Je vous remercie pour l’attention que vous porterez à la présente, dans cette attente, veuillez agréer, Madame, Monsieur le Juge d’instruction, l’expression de mes salutations respectueuses et distinguées.
 
François DANGLEHANT Avocat en interdiction illégale                                                        
 

 
 
 
 

 

13/12/2014

La Commission européenne a reçu la confirmation que la Russie a abandonné le projet South Stream

Et on ne rigole plus ! Les européens iront acheter leur gaz  auprès des Nazisionistes ou au point de livraison du gaz, dans la partie européenne de la Turquie ! Et à leurs frais de construction des gazoducs d'acheminement pour chaque pays demandeur !

Ils s'imaginaient s'amuser encore longtemps avec la Russie ?

Et qui en seront les victimes, les contribuables européens !

*- South Stream et le nouveau coup de maître de Poutine en Turquie

*- South Stream: la Russie ne participera pas à la rencontre de Bruxelles

*- Arrêt de South Stream : tous perdants

*- Comment l’Europe s'est privée de gaz russe bon marché

*- L’Union européenne essaie de trouver une alternative au projet South Stream

*- L'UE étudiera une alternative à South Stream

*- Le nouveau gazoduc russe pourrait être dirigé vers la partie européenne de la Turquie

*- Gazprom crée une entreprise pour construire le gazoduc vers la Turquie

11 décembre, 23:58

La Commission européenne a reçu la confirmation que la Russie a abandonné le projet South Stream

Par La Voix de la Russie | La Commission européenne a reçu la confirmation que la Russie a abandonné le projet South Stream. Le ministre russe de l'Energie Alexandre Novak l'a confirmé, lors d'une conversation téléphonique avec le vice-président de la Commission Maros Sefcovic, a annoncé le service de presse de la Commission.

02/12/2014

Vote de la France pour la Palestine ! Les remerciements de GAZA et de la Palestine aux Français !

Nous avons communiqué à Ziad Medoukh, à GAZA,  le résultat du vote de l'assemblée qui s'est prononcée symboliquement, aujourd'hui, pour la reconnaissance d'un Etat Palestinien. Voici les remerciements qu'il nous a adressés pour la France et les Français qui se sont mobilisés cet été, pour cette cause juste et louable, dans le but de libérer la Palestine et ses habitants qui se trouvent encore malheureusement, depuis plus de 3 mois, toujours dans la même situation critique que celle qu'ils connaissaient à la fin des combats.

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Merci la France

 

Tous les Palestiniens ont salué le vote historique de l’Assemblée nationale en France pour la reconnaissance de l'Etat de Palestine. C'est une victoire pour la Palestine certes, mais c'est une victoire de la paix et de la justice. Merci à tous les députés français de bonne volonté qui ont voté pour cette reconnaissance, mais surtout un grand merci à tous les solidaires de notre cause noble en France, à toutes les associations de solidarité, aux partis politique, à la société civile pour leur mobilisation, leurs manifestations et leurs actions pour rendre ce vote possible ce mardi 2 décembre 2014. Une joie énorme à Gaza et en Cisjordanie ce soir.

C'est vrai ce vote est symbolique, car sur le terrain en Palestine, rien ne semble différent avec la poursuite de l'occupation et de la colonisation, mais c'est un message de solidarité du peuple français au peuple palestinien.

Vive les relations franco-palestiniennes
Merci au peuple français et ses députés 
Merci les solidaires
Vive la solidarité francophone avec la Palestine 
Vive la paix
Vive la justice

Amitiés de Gaza la vie, Gaza l'espoir, et Gaza la partie intégrante du futur Etat palestinien libre et indépendant.

Ziad