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01/06/2010

Les banquiers islandais rattrapés par la justice

Arrestations, mandat d'arrêt international, annonce mercredi d'une plainte pour détournement de deux milliards de dollars: les banquiers islandais tenus pour responsables par l'opinion publique de l'effondrement de l'économie du pays en 2008 sont rattrapés par la justice.

Les banques Kaupthing, Landsbanki et Glitnir en faillite ont été nationalisées en octobre 2008 et, depuis, leurs dirigeants et propriétaires vivaient confortablement, souvent à l'étranger.

Mais les choses ont commencé à mal tourner pour eux avec la publication le 12 avril d'un rapport parlementaire accusant les principaux actionnaires d'avoir abusé de leur position en touchant des prêts "inappropriés". Mercredi, les administrateurs de Glitnir ont annoncé avoir porté plainte le 11 mai devant la cour suprême de l'Etat de New York pour réclamer 2 milliards de dollars, affirmant que la banque avait été "dévalisée de l'intérieur".


La plainte vise en premier lieu l'ancien actionnaire principal Jon Asgeir Johannesson, mais également ses "complices": l'ancien directeur exécutif Larus Welding, l'ancien président Thorsteinn Jonsson et "d'autres anciens directeurs, actionnaires et tierces parties liées à M. Johannesson, pour avoir frauduleusement et illégalement détourné 2 milliards de dollars de la banque".

Avec eux sont assignés le cabinet d'audit PricewaterhouseCoopers (PwC) pour avoir "permis et aidé la dissimulation de ces transactions frauduleuses (...) qui, au bout du compte, ont conduit à l'effondrement de la banque en octobre 2008". Dans sa plainte, Glitnir dit démontrer comment "une cabale d'hommes d'affaires menés par M. Johannesson a conspiré pour détourner systématiquement des fonds de la banque Glitnir afin de renflouer leurs entreprises en faillite".


La banque dit avoir fait geler par un tribunal de Londres les actifs internationaux de M. Johannesson, "y compris deux appartements dans le quartier huppé de Gramercy Park, à Manhattan, qui lui ont coûté environ 25 millions de dollars". Selon Glitnir, M. Johannesson est domicilié en Grande-Bretagne où il occupe plusieurs postes de direction, notamment chez "deux des détaillants les plus connus de Grande-Bretagne, Iceland Foods et House of Fraser".


Les premiers à être inquiétés ont été les dirigeants de la Kaupthing: quatre ont été arrêtés depuis jeudi à Reykjavik où ils étaient venus en provenance du Luxembourg répondre aux questions du procureur qui enquête sur la faillite des trois banques.


Il s'agit l'ancien PDG Hreidar Mar Sigurdsson, de l'ex-PDG de la branche luxembourgeoise Magnus Gudmundsson, de l'ancien PDG de la branche islandaise Ingolfur Helgason et de l'ancien directeur de la banque chargé des risques Steingrimur Karason.


Tous les quatre résident au Luxembourg où ils sont associés dans un cabinet de conseil qu'ils ont créé. Le président du conseil d'administration de la Kaupthing de 2003 à 2008, Sigurdur Einarsson, a refusé de répondre à l'invitation du procureur Olafur Hauksson et fait maintenant l'objet d'un mandat d'arrêt d'Interpol. "Je suis absolument sidéré par les dernières informations. Je suis surpris que des gens soient arrêtés à leur arrivée en Islande", déclare M. Einarsson à Frettabladid, seul média à avoir réussi à le contacter. "Je ne jouerai pas, de ma propre volonté, dans cette mise en scène dont le but semble n'être que d'apaiser le peuple islandais", affirme cet homme de 49 ans qui réside à Londres. "Je vais tester les droits de l'Homme dont je jouis ici en Grande-Bretagne et je ne viendrai pas (en Islande) dans ces conditions, sans y être forcé", conclut-il.

http://lequotidien.editpress.lu/index.php/l-economie/1146...

 

Roumanie : Plan d'austérité adopté

Alors, vous voyez toujours DSK à la tête de la France en 2012 ??

Roumanie : le plan d'austérité adopté

AFP
26/05/2010 | Mise à jour : 21:50

Le gouvernement de centre-droit roumain a adopté officiellement un plan d'austérité convenu avec le FMI prévoyant une réduction draconienne des salaires et retraites du secteur public, en principe temporaire, afin de limiter le déficit.

Les syndicats ont d'ores et déjà annoncé une grève générale illimitée dans les administrations et l'éducation à partir de lundi pour protester contre ces mesures inscrites dans une lettre d'intention adressée au Fonds monétaire international (FMI).

Le Premier ministre Emil Boc a indiqué dans la journée que son gouvernement engagerait sa responsabilité devant le Parlement afin de tenter de faire adopter plus rapidement les projets de loi découlant de cette lettre d'intention. L'opposition, vent debout contre ces mesures, a toutefois prévu de déposer une motion de censure.

"Aujourd'hui, le gouvernement a maintenu sa position selon laquelle le déficit budgétaire sera ramené à 6,8% en réduisant les dépenses budgétaires et n'augmentant pas les impôts", a déclaré M. Boc.

Le plan d'austérité convenu avec le FMI prévoit des coupes de 25% des salaires du secteur public et de 15% des retraites et allocations chômage. Ni les salaires minimum (600 lei mensuels, soit environ 150 euros), ni les pensions minimum (350 lei, 85 euros) ne seront affectés, a précisé M. Boc. Les allocations versées dans le cadre des congés maternité -85% du salaire pendant deux ans- baisseront de 15% et non de 25% comme annoncé auparavant.

 


« Les enfants du tiers monde meurent à cause des gangsters de la Bourse»

Ils ont échoué dans leurs plans de nous tuer avec la vaccination criminelle, faut bien nous tuer en nous  faisant crever de faim !

JEAN ZIEGLER interviewé par Michel Collon (crise, Bourse, faim, Obama, Israël...)


Jean Ziegler interviewé par Michel Collon :

« Les enfants du tiers monde meurent à cause des gangsters de la Bourse»

Dans ses livres qui ont marqué l'opinion, Jean Ziegler n'a cessé de dénoncer le caractère absurde et criminel des politiques du capitalisme envers les peuples du tiers monde. Il a été le rapporteur spécial pour le droit à l'alimentation du Conseil des droits de l'homme aux Nations unies de 2000 à 2008. Michel Collon l'a interrogé à Genève sur la crise, la Bourse, la faim, Obama, Israël...


LIRE L'INTERVIEW : <<« Les enfants du tiers monde meurent à cause des gangsters de la Bourse»>>


DSK appelle à la création d'une monnaie mondiale, d'une banque centrale mondiale. Bref d'une dictature mondial e

Et vous voterez encore pour qui en 2012 ?
Pour les agents des Illuminati et promoteurs du Nouvel Ordre Mondial ?

DSK Appelle A La Création D'Une Monnaie Mondiale, D'une Banque Centrale Mondiale… Bref D'une Dictature Mondiale

Considérant que la « crise est une opportunité » DSK veut que les élites l'exploitent pour créer une gouvernance économique mondiale.

Récemment lors d'un discours prononcé à une conférence devant des élites à Zurich en Suisse, DSK, actuellement à la tête du FMI, a appelé à la création d'une monnaie mondiale soutenue par une Banque Centrale Mondiale qui agirait comme « prêteur de dernier recours » en cas de crise économique grave, un pas de plus vers la destruction des états nations et la création d'un gouvernance économique mondiale dirigée par un petit groupe d'élites visant à satisfaire leurs intérêts personnels et ceux de leurs cercles rapprochés.


DSK a déclaré que « la crise est une opportunité », que les mondialistes devraient exploiter le chaos financier actuel pour pousser à la création d'une « nouvelle monnaie mondiale et d'une banque centrale mondiale ». Atlantiste pur et dur chez DSK cela signifie dissolution de l'Euro dans le Dollar.Ce n'est pas par hasard si l'Euro baisse suite aux vagues d'attaques spéculatives sans précédent sur les marchés boursiers au point que sa valeur est entrain de se rapprocher de celle du Dollar.

Selon DSK, cette monnaie mondiale représenterait un « atout sans risque pour le système indépendant de toutes les monnaies nationales » et que « une banque centrale mondiale pourrait aussi servir de prêteur en dernier recours ».

DSF propose tout simplement pour tous les pays un modèle de système financier habituellement utilisé pour faire plonger et réduire en esclavage des pays endettés auprès du FMI.

Les mondialistes, inclus DSK, veulent donc exploiter la crise économique qu'ils ont savamment orchestrée avec leurs relais dans le monde de la finance et de la spéculation et qu'ils continuent d'exacerber, pour centraliser encore plus mondialement la puissance régulatrice financière entre les mains de quelques uns au détriment des peuples et nations souveraines. Leur objectif, dont celui de DSK, c'est d'obtenir le contrôle des économies nationales afin que les banques aient la main mise sur l'administration des états nations. C'est d'ailleurs ce que projette aussi certains responsables au niveau européen en demandant à ce que la Commission européenne examine les budgets des états avant même qu'ils ne soient votés par les parlements, pour les réguler et imposer de Bruxelles son dictat économique, une atteinte sans précédent à la souveraineté des états membres.

Le Washington Post a rapporté en Avril 2009 l'existence de plans pour transformer le FMI en « une Véritable ONU de l'économie mondiale » en lui accordant « une vaste autorité élargie pour agir comme banquier mondial pour les gouvernements riches et pauvres ».

De son côté, Jean Claude Trichet, actuellement à la tête de la Banque Centrale Européenne préférerait que ce soit la BIS (Bank for International Settlements) qui soit choisie pour jouer ce rôle. La BIS est un organisme corrompu crée pendant et après la deuxième guerre mondiale dirigée à l'époque par des hauts responsables nazis avec la complicité d'industriels des USA et de la Grande Bretagne. Parmi les dirigeants de la BIS on trouvait le directeur d'IG Farben, Herman Schmitz, une entreprise devenue célèbre pour avoir fabriqué le Zyklon B utilisé dans les chambres à gaz des camps d'extermination nazis.

La BIS est dirigée par un groupe de directeurs de banques centrales tels Ben Bernanke, à la tête de la Réserve Fédérale US, Mervyn King, à la tête de la Bank of England, et Jean Claude Trichet à la tête de la Banque Centrale Européenne.

C'est clair que tout ce « beau monde » est d'accord pour créer une monnaie mondiale et une banque mondiale mais pour le moment ils n'ont pas encore fait le choix entre le FMI prédateur ou la BIS corrompue créée par les nazis. De toute façon que ce soit l'un ou l'autre, cela représente un danger certain de voir les économies nationales placées sous tutelle « à la grec ».

D'ailleurs en suivant de près comment se déroule cette crise financière c'est on ne peut plus évident que ces élites l'ont créée dans le but d'atteindre leur objectif : cette gouvernance financière mondiale avec la mise sous tutelle des économies nationales et la destruction des démocraties.

DSK tout comme Sarkozy d'ailleurs sont embarqués dans cette destruction à terme des états-nations donc de la France.

En 2012 c'est NI l'un NI l'autre.

Planète non Violence, 19 mai 2010

par Mireille Delamarre

26/05/2010

Herman van Rompuy expose les plans du Triumvirat

En route pour la ruine des peuples et des pays européens, et pour leur mise sous tutelle au profit des banquiers Illuminati ! Le Nouvel Ordre Mondial arrive à grands pas !


Les sophistes grecs enseignaient que le maniement du langage peut faire de la parole un moyen d’action. La plasticité de celle du président du Conseil européen, Herman van Rompuy, même si elle ne laisse rien au hasard, démontre le contraire. Sa parole ne vaut que par l’oligarchie mondialiste qui l’a mis en place, et son discours, aussi falsifié que notre sinistre époque, ne peut séduire que les complices et ne tromper que les imbéciles.

rompuy

Vendredi, l’Eurogroupe, la Banque centrale et la Commission européenne – le Triumvirat que nous évoquions dans notre article du 14 mai dernier - étaient réunis à Bruxelles pour mettre au point le protocole de la mise sous tutelle des pays de la zone euro, sous le pilotage de l’agent du groupe Bilderberg Herman van Rompuy. Décryptage.


« Nous avons discuté des sanctions. L’une des conclusions est qu’il est apparu très clairement qu’il existe un large consensus sur des sanctions financières et non financières ».

« Nous avons », c’est à dire le Triumvirat. Le Parlement européen est donc écarté de toute consultation. De fait, la démocratie n’existe plus en Europe.

Les pays qui n’arriveront pas à ramener leur dette a moins de 60% du PIB seront amendés par Bruxelles (sanction financière), et leurs droits de vote seront suspendus (sanction non financière).

« Nous devons aller vers davantage de discipline budgétaire. En d’autres mots nous devons renforcer le pacte de croissance et de stabilité et aller vers plus de croissance et de stabilité et le rendre plus efficace ».

L’ensemble des mesures, telles que celles imposées à la Grèce ces dernières semaines (abandon des régimes sociaux, augmentations des taxes et impôts, réduction des salaires, allongement de la durée du travail, etc.) doivent être élargies à l’ensemble des pays de la zone euro.

« Nous devons trouver les moyens de réduire les divergences de compétitivité entre les États membres, du moins, quand ces divergences sont trop importantes. »

Il faut éliminer toute disparité entre pays membres. Par exemple, la sécurité sociale à la française n’est pas compatible avec le régime des assurances maladies privées de l’Allemagne. Bien sûr, cette intégration des économies va se faire par le bas, puisqu’il convient d’améliorer la « compétitivité » et non la justice sociale. La cure passe par « des procédures budgétaires croisées, des sanctions accrues et autres gages de coordination et de rigueur budgétaire », a indiqué Christine Lagarde, ministre française de l’Economie, lors de la réunion.

La date d’entrée dans la zone euro de la Lettonie, de la Pologne et de la Hongrie devrait être avancée au 1er janvier 2011 au lieu de 2015. Il convient donc d’accélérer le processus actuel. La crise et, si nécessaire, quelques autres catastrophes, vont pouvoir autoriser ce qu’aucune résolution démocratique n’aurait pu permettre.

« Nous devons avoir un mécanisme de crise efficace pour être capables de gérer les problèmes comme ceux que connait la zone euro aujourd’hui. »

Les attaques contre l’euro et les pays en difficultés ne vont pas s’arrêter, bien au contraire. Le plan de 750 milliards, décidé il y a trois semaines, va être augmenté, de sorte à soutenir davantage encore les banques européennes impliquées dans la dette des Etats. Une demande expresse des États-Unis qui se doivent de soutenir les banques européenne qui ont des intérêts croisés avec les banques américaines, et pour lesquelles la Fed a mis à disposition de la BCE 583 milliards de dollars, sous forme d’un accord swap de devises.

« Nous avons besoin de renforcer la gouvernance économique au niveau institutionnel pour agir vite de manière plus coordonnée et plus efficace. »

« Peut-être que nous aurons besoin de changer les traités, mais nous ne devons pas attendre trois ans pour prendre des décisions », a dit le ministre des finances allemand, Wolfgang Schäuble, lors de cette réunion. En réalité, leur modification est planifiée pour septembre, octobre au plus tard. D’ici là, il est nécessaire que les États membres modifient leurs propres constitutions afin d’abandonner leur souveraineté économique au Triumvirat.  Christine Lagarde a d’ailleurs immédiatement confirmé en indiquant qu’il fallait passer par « l’intégration du pacte de stabilité dans la législation nationale (…) Ce que l’on peut faire maintenant, il faut le faire » a-t-elle conclut, laissant ainsi entendre que la France allait vraisemblablement profiter de la période estivale pour capituler.

Frédéric Courvoisier, Mecanopolis

Les citations de Christine Lagarde et de Wolfgang Schäuble sont issues d’un article de La Tribune.fr

Article mis à jour à 04h00