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15/07/2010

L’ONU préconise l’abandon du dollar comme monnaie de référence et la création d’une devise internationale

Article placé le 30 juin 2010, par Mecanopolis

Un rapport présenté mardi à New York par l’ONU, lors d’une séance spéciale, appelle à établir un nouveau système de réserve monétaire mondial et préconise l’abandon du dollar, jugé trop instable, comme monnaie de référence.

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L’édition 2010 de « l’Etude de la situation économique et spéciale dans le monde » de l’ONU, intitulée « De nouveaux outils pour le développement » préconise l’abandon du dollar comme monnaie de référence. « Une réserve de valeurs stable est une condition nécessaire pour une monnaie de réserve », ce qui n’est effectivement plus le cas du dollar, aujourd’hui largement surévalué.

Le rapport propose la mise en place d’un nouveau système mondial de réserve qui « ne devrait plus être basé sur une ou plusieurs monnaies nationales, mais plutôt par la création d’une devise internationale – sur le modèle des DTS – afin de créer un environnement plus stable pour le système financier mondial ».

Le DTS, droits de tirages spéciaux (en anglais SDR, Special Drawing Rights) est une unité de compte propre au FMI, qui représente une créance sur les monnaies des pays membres, et dont la valeur représente la somme des 4 monnaies de référence, le dollar l’euro, la livre et le yen.

Selon une dépêche de Reuters, plusieurs responsables européens, présent lors de cette séance, ont indiqués que ce sont les marchés et non les politiques qui devront définir quelles monnaies nationales peuvent servir de référence pour la création de cette devise internationale.

Ce rapport de l’ONU va dans le sens de Dominique Strauss-Kahn, directeur général du FMI, qui, lors d’une conférence donnée à Zurich au début du mois de mai dernier, a appelé à la création d’une monnaie mondiale. M. Strauss-Kahn avait alors indiqué que « la crise est une opportunité pour pousser la création d’une monnaie mondiale et d’une banque centrale mondiale ».

En avril 2009, le Washington Post avait rapporté l’existence de plans pour transformer le FMI en « une véritable ONU de l’économie mondiale » en lui accordant « une vaste autorité élargie pour agir comme banquier mondial pour les gouvernements riches et pauvres ».

Comme nous l’indiquions dans notre article du 21 mai dernier, la chute incessante de la devise européenne, qui se retrouvera bientôt a parité avec le dollar, et la crise des États semblent être de nature à précipiter les plans mondialistes en vue de la création d’une monnaie mondiale.

Mecanopolis

Merci à Réda, administrateur du forum Mecanopolis, de nous avoir communiqué cette information.

L’Allemagne, Cheval de Troie du Nouvel ordre mondial

Article placé le 15 juil 2010, par Mecanopolis

Alors que se met en place, non pas un gouvernement économique, mais un organe de décision qui aura pour but de mettre au pas les pays de l’Union européenne, il devient difficile d’évoquer ces sujets sans effleurer l’idée même d’une conspiration – idée qui, lorsque fondée sur des faits indiscutables, peut néanmoins permettre de comprendre la marche réelle des affaires.

 

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Tous les indicateurs démontrent qu’une troisième phase de la crise économique nous atteindra d’ici octobre, novembre au plus tard, et que ses effets seront bien plus dévastateurs que tout ce que nous avons subi durant ces deux dernières années, car les finances publiques sont désormais asséchées et l’économie mondiale moribonde. Octobre sera aussi le mois où un groupe de travail présidé par le président du Conseil Herman Van Rompuy fera des propositions concrètes, non pas pour un projet de « gouvernance économique », comme il en était question, mais dans le but de la création d’un « organe », composé de la Commission européenne, de la Banque centrale européenne et de l’Eurogroupe.

La dénomination en tant « qu’organe » est importante, car une « gouvernance » aurait imposé une forme démocratique, impliquant le Parlement européen. Or il n’en sera rien.

Sanctions pour tous les membres de l’Union

L’Allemagne a su imposer au tout début du mois de juillet, par l’intermédiaire de son agent Olli Rehn, commissaire aux Affaires économiques, que les sanctions envers les pays jugés trop laxistes en matière de finances publiques soient imposées, non pas aux seuls pays de la zone euro mais à l’ensemble des 27 pays membres de l’Union européenne.(1)

Ces sanctions prendront effet sous forme de suppression de fonds structurels, principalement les aides à l’agriculture et à la pêche, lorsque le pays contrevenant ne rentrera pas dans les clous après une première phase d’avertissement.

La France ne s’est nullement opposée à cette décision. Pire encore, le même jour, Nicolas Sarkozy, en visite en Aveyron sur le thème de l’agriculture de montagne, promettait qu’une somme de 350 millions d’euros allait être « sanctuarisée » dans le budget 2011 pour aider les jeunes agriculteurs à s’installer.(2) « Vous voyez, je m’investis beaucoup sur le dossier de l’agriculture », avait-il encore indiqué à la presse ce jour-là, alors qu’au même moment, à Bruxelles, on décidait de faire payer l’endettement des États aux agriculteurs.

Un « Pôle carolingien »

Malgré les désaccords de façade, Nicolas Sarkozy est, avec Angela Merkel, à l’avant-garde de ce que l’on pourrait appeler le « Pôle Carolingien » d’une union fédérale de la France et de l’Allemagne devant constituer, ensemble, l’armature intérieure d’une Europe inféodée à l’ordre mondial. Si le ralliement de la France à la doctrine mondialiste est récent, du moins dans sa phase décisive, l’ancrage de l’Allemagne, principal pays allié des États-Unis en Europe depuis 1945, est plus profond, et c’est le ministre des Affaires étrangères Joshka Fischer qui avait, en quelque sorte, ouvert le bal, lors de son discours à l’Université de Humboldt, le 12 mai 2000, relayé quelques jours après par son prédécesseur, Hans Dietrich Gensher, ministre des Affaires étrangère allemand, dans Le Figaro du 20 mai suivant : « L’intention de Joshka Fischer est maintenant de renforcer l’Union européenne dans la perspective de son élargissement. Il s’agit d’en faire un acteur efficace du Nouvel ordre mondial… » Puis encore, comme pour enfoncer le clou, Wolfghang Schäuble, ex patron de la CDU, dans Le Monde du 22 mai de la même année : « Au monde bipolaire de la guerre froide s’est substitué un monde multipolaire. Les États-Unis, la Russie, la Chine et, à quelques distances, le Japon, y ont déjà pris place. L’Inde va entrer dans le club. Il ne faut pas que l’Europe soit en reste. À ses débuts, le nouveau gouvernement allemand avait laissé un peu en friche le terrain de la politique étrangère. Ce plan Fisher lui restitue un visage européen sur l’arrière plan de la mondialisation. »

Concept mondialiste

La doctrine stratégique « globale » des États-Unis avait été élaborée une vingtaine d’années auparavant. Il est clairement énoncé dans le nouveau concept étasunien de « stratégie nationale de sécurité » dont le contenu fut révélé dans un article du New York Times du 8 mars 1992, qui mentionnait pour la première fois le Defense Planning Guidance du Pentagone, élaboré en liaison avec le Conseil national de la sécurité (NSA), plus haute instance américaine de sécurité et de politique internationale. On y apprend que les États-Unis doivent « tout faire pour dissuader d’éventuels rivaux, parmi les pays avancés et industrialisés, de défier notre domination, ne serait-ce que d’aspirer à un rôle plus grand à l’échelle mondiale ou régionale (…) La mission des États-unis sera de s’assurer qu’il ne soit permis a aucune puissance rivale d’émerger en Europe occidentale, en Asie ou sur le territoire russe. »(3) Il s’agit ni plus ni moins d’empêcher par n’importe quel moyen l’Europe et le Japon,“alliés” relativement dociles, ainsi que la Russie affaiblie mais encore redoutable, de relever la tête et de porter, un jour, ombrage au nouvel ordre mondial politique et économique imposé par Washington.

Ce document rend inutile tout commentaire, éclairant de lui-même les intentions étasuniennes, dont la nature même est d’ordre conspirative. Mais nous aurions néanmoins tort de désespérer, car aucune situation, aussi perdue qu’elle puisse paraître, n’est jamais complètement fermée. C’est la faille salvatrice qu’il nous faut désormais trouver pour opposer un Nouveau monde à ce Nouvel ordre mondial.

Clovis CASADUE, pour la revue FLASH

Publié  sur Mecanopolis, avec l’aimable autorisation de Jean-Emile Néaumet, directeur de la rédaction.

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Reproduction libre avec indication des sources

Notes :


(1) Le Figaro du 1er juillet 2010

(2) AFP, le 1er juillet 2010

(3) Cité par Alexandre Del Valle, dans Guerre contre l’Europe, Syrtres, 2000

44 UNE FLASH

 

http://www.mecanopolis.org/?p=18688

17/06/2010

La statue du démon Pazuzu érigée à Londres

Correction du précédent article publié le 17 juin 2010.

Après contrôle effectué sur l'achat de cette statue par les Rothschild, il semblerait qu'il s'agisse d'une erreur. La banque Rothschild n'a jamais acheté cette statue.

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La statue du démon Pazuzu érigée à Londres !

Pour les adeptes du Bohemians club, est-ce que cela vous étonne ?

Les informations sur le démon Pazuzu
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pazuzu

 

 

La statue du démon Pazuzu érigée à Londres




13/06/2010

Espagne : La chute

On dérive notre attention vers d'autres pays européens, mais qu'en est-il de la ruine de la France ?

Espagne : La chute

Les mesures volontaristes d’assainissement budgétaire que voudra bien adopter l’Espagne n’y changeront rien. Ce pays, qui prend l’eau de toutes parts, connaîtra très prochainement le même sort que la Grèce en l’absence du mot magique : la croissance ! Qu’on le veuille ou pas, il ne sert à rien de nier la réalité : en l’absence d’une immense et inconditionnelle solidarité Européenne (qui ne se matérialisera évidemment pas), l’Espagne – pour espérer se sauver – devra opérer une dévaluation interne de l’ordre de 20% ou quitter la Zone Euro ! Et ce n’est pas les Allemands (de moins en moins enclins à payer encore et toujours plus pour le Club-Med) qui nient cette réalité car ils se préparent à retourner – au moins provisoirement – au deutschemark si l’Espagne n’adopte pas très rapidement une de ces deux voies !

Effectivement, les faits sont limpides et d’une simplicité mathématique : l’Euro pliera puis rompra comme une branche d’arbre sèche si l’Espagne ne se met pas de suite sur cette « via dolorosa » et peu importe après tout si la démission de M. Zapatero – qui ne sera pas en mesure de passer son budget 2011 – en sera une des conséquences prévisibles. En réalité et en l’absence de toute possibilité de dévaluation de sa devise qui lui aurait permis de gagner en compétitivité, l’Espagne n’a pas tant besoin d’un changement de Gouvernement que d’un consensus large et de toutes les parties et des classes sociales en faveur d’une dévaluation intérieure substantielle. Pour autant, le Gouvernement actuel sera très certainement la victime expiatoire d’une austérité radicale qui consistera principalement en réajustements à la baisse des salaires et en une rigueur budgétaire se traduisant en économies généralisées des dépenses de l’Etat… autant de décisions qui marqueront une baisse sensible du niveau de vie des citoyens Espagnols mais qui restent un passage obligé si ce pays souhaite s’éviter les foudres du marché « à la grecque »…

Quoi qu’il en soit, nul responsable politique ou économique ne sera en mesure de soulager (et de rectifier) un marché du travail dysfonctionnel, une compétitivité pour le moins entamée, un secteur privé surendetté vis-à-vis de l’étranger, une méga bulle immobilière, un déficit budgétaire effroyable et – last but not least – un secteur bancaire hyperfragilisé sans larges adhésion et soutien populaires… De fait, l’ascension vertigineuse du marché immobilier Espagnol fut un cadeau empoisonné à toute une série d’intervenants – ménages et entreprises – dont l’endettement (combiné à l’endettement public) atteint aujourd’hui 265% du P.I.B. Espagnol ! Toutefois, dans son malheur, l’Espagne se caractérise par un endettement public relativement faible (comparé à celui de la Grèce ou de l’Italie) contrebalancé il est vrai par un endettement record de son secteur privé qui se monte ainsi à 210% de son P.I.B.. Pour mémoire, un pays comme les Etats-Unis se retrouve également avec un secteur privé excessivement endetté puisque ce chiffre y atteint 300% de leur P.I.B…

Pour autant et à un moment clé dans l’histoire financière mondiale où les marchés scrutent les endettements souverains avec la plus grande attention, l’Etat Espagnol ne peut soulager son secteur privé sans être automatiquement condamné à payer des taux d’intérêts dissuasifs par des marchés au très faible niveau de tolérance. Effectivement, pour avoir construit partout où elle le pouvait grâce à des influx massifs de capitaux et à la faveur d’une immigration de 5 millions de personnes en 10 ans, l’Espagne dépend entièrement de l’extérieur puisque son ardoise globale envers l’étranger représente … 90% de son P.I.B. ! Hormis le fait que l’Espagne ne sera pas en mesure de se rétablir par une exportation qui nécessiterait une monnaie – mais aussi une économie – compétitives, le tour de force sera d’y ramener une croissance avec moins de crédit. En effet, bien que l’usage du crédit soit un instrument décisif de propagation de la croissance dans toute économie intégrée, l’inévitable « deleveraging » consistant à passer par Pertes & Profits une part importante des dettes que doit impérativement subir l’économie Espagnole se traduira à l’évidence par une contraction du secteur des crédits. Il y donc fort à craindre que cette spirale de l’endettement et des créances pourries qui ne seront vraisemblablement jamais remboursées combinée à un niveau de chômage particulièrement élevé et à des exportations à la traîne contribueront à une contraction supplémentaire de l’économie de ce pays.

En résumé, l’Espagne court au-devant d’une ruine annoncée et, à moins d’un miracle sur le front de la croissance globale, devrait revivre à très court terme un traumatisme comparable à l’Argentine…

http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/espagn...


 


On ne pourra pas sauver le « soldat euro »…

Il y a quinze jours, le banquier suisse Alexandre Wohlwend annonçait avec fracas la fin de l’euro dans les médias suisses, et accusait les États-Unis d’avoir “contaminé l’Europe avec leur concept de mondialisation et de profit maximum à court terme”. Pour la revue Flash, notre camarade Clovis Casadue a rencontré ce financier qui ne pratique pas la langue de bois.

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Dans un récent entretien accordé au quotidien suisse la “Tribune de Genève, vous avez annoncé la fin de l’euro, rompant ainsi avec le discours feutré auquel vos banquiers nous ont habitués.

Je dois préciser que je n’appartiens à aucun parti politique, que je n’ai pas de tendance politique et que je suis viscéralement Suisse, donc neutre en ce domaine. Je ne suis pas non plus un donneur de leçons. Mon analyse est donc fondée sur une profonde réflexion. Je pense que l’euro est réellement malade, il n’y a rien de subversif dans tout cela, mais cette monnaie, par son essence plurinationale, et en raison des déséquilibres des pays la partageant, est vouée à disparaitre.

Et la fin de la devise européenne, ce serait pour quand ?

Je ne veux pas me hasarder dans un pronostic chiffré, mais cela pourrait être assez rapide. J’estime qu’avant cinq ans, les pays européens auront largement commencé à se retirer de la zone euro pour revenir à leur monnaie nationale. La fin de l’euro s’effectuera par paliers.

Cette monnaie restera un certain temps entre 1,20 et 1,26 dollar, puis viendra une période où elle s’échangera entre 1,12 et 1,14. Enfin, si la “ligne de flottaison” historique à 1,08 dollar est rompue… Ce sera alors le plongeon final…

Les pays de la zone euro pourraient-ils récupérer leur monnaie nationale ?

Je crois que cela est inexorable. C’est d’ailleurs le seul plan de sauvetage possible. L’euro tel qu’il a été conçu n’est qu’un leurre. Nous sommes entrés dans la seconde phase d’une crise mondiale. Une crise qui est structurelle et systémique.

On a voulu fabriquer une Europe sur le modèle des États-Unis et cela n’est absolument pas viable. Ce qui se passe aujourd’hui avec la Grèce est le premier symptôme du dysfonctionnement.

Quand un État connaît une évolution sociale, financière et salariale qui le met en porte-à-faux par rapport à ses pays partenaires en matière de commerce ou vis-à-vis d’une monnaie commune, on parle alors de “choc asymétrique”. Quand un pays est souverain, il peut régler ce problème par un réajustement, par une dépréciation ou une dévaluation de sa monnaie. Dans le cas présent c’est impossible.

Mais le pouvoir européen voudrait placer les pays de la zone euro – et les Allemands l’ensemble de l’Union européenne – sous tutelle, justement pour en ajuster les économies…

Cette harmonisation fiscale et salariale est impossible. C’est-à-dire placer tout le monde au même niveau pour liquider ce choc asymétrique. La Grande-Bretagne refuse catégoriquement. Les pays de l’Est ne sont pas entrés dans l’Union pour cela, et pour tous les autres, on risque de se retrouver avec une situation de révolte semblable à celle de Mai 68.

En ce moment, l’Europe est euphorique parce qu’elle est droguée à l’endettement. Or cette “solution” ne fait qu’augmenter la dose de drogue en créant encore plus de dettes !

On peut éventuellement créer une embellie temporaire sur les marchés boursiers mais on ne pourra pas sauver “le soldat euro” de cette façon. Tout cet argent sera finalement ponctionné auprès des contribuables. On va aller vers une paupérisation grandissante des peuples européens, ce qui risque d’entraîner une crise sociale importante. On le voit déjà aujourd’hui : les pays qui s’en sortent le mieux sont ceux qui, comme le nôtre (la Suisse, Ndlr), ont conservé leur monnaie.

Quel est votre intérêt à vous exprimer dans les médias ?

Depuis l’article de La Tribune de Genève, je n’ai pris que des coups. J’essaie simplement de faire passer, dans le débat démocratique, un autre avis que celui qui est formulé par le consensus financier.

Mon combat est celui de la vérité et de l’honneur. Beaucoup de gens partagent mon opinion.

Parfois, le progrès, c’est de savoir revenir en arrière.

Propos recueillis par Clovis Casadue pour la revue Flash

Publié en exclusivité sur Mecanopolis, avec l’aimable autorisation de Jean-Emile Néaumet, directeur de la rédaction

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Sommaire de FLASH n°41 :

• Contre la mondialisation : vive le vin français ! Entretien exclusif avec l’œnologue Alexandre Rougé, part en guerre contre le pinard Mc World !

• La basilique de Saint-Denis en ruine ? Karim Ouchikh vole au secours des tombeaux des rois de France. Flash relaie la pétition des Manants du Roi en page 7

• Bhoutan : le pays où l’immigration est interdite. L’Île de Sercq, du droit féodal aux prédateurs capitalistes… Les révélations de Christian Bouchet en pages 8 et 9

• Délinquances : Alain Soral fait le tri en page 11

• Les bois sculptés de Jean de Villiers, artisan français : Marie-Claire Roy les a vus pour vous en page 14

• Contre le fléau Lady Gaga, Nicolas Gauthier a trouvé l’antidote en page 15. C’est Corinne Bailey Rae !

• Clermont-Ferrand, champion de France de rugby ? Gabriel Fouquet salue l’exploit de cette équipe pas comme les autres en page 16…

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