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18/01/2011

Wall Street et l'argent dans le monde : L'indispensable Commission Pecora,

Intéressant à écouter et à voir pour voir qui mène le monde à sa ruine et où passe notre argent !

L'indispensable Commission Pecora

http://www.dailymotion.com/video/x8vhac_l-indispensable-c...

 



20/12/2010

Vous voulez comprendre pourquoi il y a eu le 11 septembre ?

 

Et le pourquoi de toutes les guerres qui défigurent notre planète, engendrent souffrances et famines, et coûtent des milliards alors que l'austérité va s'abattre sur nous ?

Mais vraiment cette fois ? La vraie raison ?

15 minutes pour sortir vos têtes du sable...

Michael Ruppert - Le grand échiquier de Zbigniew Brzezinski




"Michael Ruppert est éditeur et rédacteur en chef de "From the Wilderness" ["En direct de la Jungle"], un journal américain paraissant sur Internet qui est lu par plus de 16 000 abonnés dans une quarantaine de pays. Ancien inspecteur des "stups" du "Los Angeles Police Department" (LAPD), il est aujourd’hui largement connu aux Etats-Unis et ailleurs pour ses articles fracassants sur l’implication des E-U dans le commerce de la drogue, le pic pétrolier, et le 11 Septembre."

Dans cette conférence, Michael Ruppert propose un décryptage du livre de Zbigniew Brzezinski, intitulé "Le grand échiquier", paru en 1997. En effet, Brzezinksi y affirmait qu'un nouveau "Pearl Harbour" serait nécessaire aux USA pour justifier aurpès de l'opinion publique les projets militaires et impérialistes américains.

Pour en savoir plus :
http://www.reopen911.info/livres/franchir-le-rubicon-tome...

Wikileaks / Anonymous - 100 millions de $ détournés le 11/9 + l'influence croissante du crime organisé isra élien

Voilà ce que l'on apprend par Wikileaks !


Wikileaks / Anonymous - 100 millions de $ détournés le 11/9

 http://www.dailymotion.com/video/xg3cea



Dans les heures précédant les attentats du 11/9 et même après que les avions aient percuté les tours du WTC, les ordinateurs installés dans les tours ont enregistré un flux de transactions anormalement élevé en taille et en volume. Plus de 100 millions de $ selon l'évaluation de l'expert Richard Wagner, de Convar.

Commencées dans la nuit du 10 au 11 septembre 2001, ces opérations se sont intensifiées le matin du 11 et se sont poursuivies alors même que les tours en flammes étaient sur le point de s'effondrer.

ANONYMOUS - OPERATION LEAKSPIN - Un Appel à l'Action
http://www.dailymotion.com/video/xg3ann


 L'Opération Payback change de nature et devient l'Opération Leakspin, "jeu de mot", qui appelle aux membres d'Anonymous de publier ces informations embarrassantes partout où ils le peuvent.

Comment réagiront les Sarkozy, Obama, Bush, Merkel, Cameron, Brown, Karzaï, Hu Jintao, Shimon Peres, Netanyahou, Medvedev, Poutine, Erdoğan, Benoît XVI, Chavez, Abbas, l'ONU, le Vatican, le FMI et bien d'autres encore, à la diffusion de ces révélations ?

Wikileaks révèle l'influence croissante du crime organisé israélien (Antiwar.com)
http://www.legrandsoir.info/Wikileaks-revele-l-influence-...

Un peu plus sur la genèse de Wikikeaks, qui sont-ils, qui sont leurs amis: vidéos en anglais
http://media.ccc.de/browse/congress/2008/25c3-2916-en-wikileaks.html

  

18/07/2010

Le plan d’aide de 750 milliards servira à recapitaliser les banques européennes

Article placé le 17 juil 2010, par Spencer Delane (Genève)

Le plan d’aide de 750 milliards d’euro mis en place en mai dernier avait pour but de venir en aide aux États de la zone euro en difficultés. L’Eurogroupe vient de décider qu’il servira a recapitaliser les banques qui ont échoué aux « stress-tests ».

stresstest

Décidé en mai dernier par l’Eurogroupe, en lien avec le Fonds monétaire international (FMI), sans aucune consultation du Parlement européen, le plan d’urgence de 750 milliards d’euros était la réponse aux attaques des marchés à l’encontre des pays de la zone euro, et avait pour but de couvrir les obligations d’États de ces pays en difficultés. La mise en place de ce mécanisme s’appuyait sur l’article 122-2 du Traité Lisbonne, qui permet de venir en aide à un État membre confronté à de « graves difficultés ».

Réuni jeudi soir, l’Eurogroupe a décidé qu’il en serait autrement, et que ces 750 milliards serviront a recapitaliser les banques dont le résultat des « stress-tests » aura démontré que leur ratio de solvabilité, appelé Tier one, est inférieur au minimum de 4% fixé par les régulateurs internationaux.

Le commissaire européen des Affaires économiques et monétaires, Olli Rehn, a également confirmé que, « si ces tests révélaient des difficultés pour une banque, elles pourraient avoir recours aux aides et aux mécanismes de protection nationaux, la Commission s’engageant à se saisir du dossier rapidement pour donner son indispensable feu vert, et faire appel au fonds d’aide d’urgence en cours de création, financé à hauteur de 60 milliards d’euros par le budget communautaire et capable de mobiliser, au total 750 milliards d’euros avec le soutien du FMI. » (1)

Les « stress-tests » ont pour but de déterminer le seuil de résistance des banques sans la perfusion permanente de la Banque centrale européenne (BCE). Les résultats seront publiés le 23 juillet, après une réunion extraordinaire des principaux intéressés (91 banques européennes) organisée deux jours plus tôt à Francfort par la BCE.

Dans un entretien accordé hier au journal autrichien Kurier (2), Jean-Claude Juncker, patron le l’Eurogroupe, a tenté de rassurer en indiquant que ces tests ne devraient pas mener à de « grosses catastrophes ». Néanmoins, après l’expiration d’un emprunt géant fait par le BCE il y a 10 jours, force est de constater que les banques de la zone euro continuent à se méfier les unes des autres, et que les flux des marchés interbancaires sont au point mort, obligeant hier la BCE à décidé à rouvrir ses guichets aux banques pour deux opérations dites de refinancement.

Comme nous l’avions indiqué en mai dernier (3), les 750 milliards du plan d’urgence seront donc affectés à la recapitalisation des fonds propres des banques, sur le compte des contribuables et de deux générations futures. Le FMI profitera de son engagement dans le processus pour augmenter encore la pression sur les États membres afin qu’ils accentuent les mesures d’austérité déjà misent en place ou en cours de réalisation.

Mais il sera impossible de sauver de la faillite les petites banques, comme les caisse d’épargne espagnoles, qui ont totalement perdu l’accès au marché interbancaire fin mai. Ces petites banques ne survivront pas à l’accentuation de la crise des États sur la dette espagnole. En plus de payer la crise, les contribuables des pays en difficultés pourraient voir leurs économies disparaitre. Mais qui s’en préoccupe ?

Spencer Delane, pour Mecanopolis

Notes :

1. Article des Echos

2. Article du Kurier

3. Lire Et maintenant, l’euro-dollar ?

15/07/2010

Alerte : Les banques centrales liées à la FED commencent à abandonner le dollar US

Avertissement Final Systémique !

Prenez vos dispositions dès maintenant pour retirer votre agent des banques !
Les autres abrutis de la FED et leurs cliques mafieuses ne manqueront pas de nous déclencher une nouvelle guerre atomique pour se maintenir au pouvoir mondial monétaire !
Le FMI n'a pas été créé pour rien et DSK n'en est pas le directeur pour rien !
Ouvrez les yeux et regardez ce qui se passe dans le Golfe Persique depuis le mois de juin 2010.

 


US

DANGER , RUPTURE : Voici venir l’avertissement final livré par des (whistle blowers) économistes depuis 2008.

Les banques centrales du monde « liées » à la FEDERAL RESERVE américaine commencent à abandonner le dollar US.

Le Trésor américain pourrait donc se voir "obligé" de démonétiser le dollar. Cela signifierait une perte draconienne (approx : 90%) de sa valeur marchande et un retrait éventuel programmé des dollars mis en circulation. Se réfugier dans l’Euro pourrait être une très grave erreur.


DANGER , BREAK : Here is to come the final warning delivered by (whistle blowers) economists since 2008.

The central banks of the world « connected » to the FEDERAL RESERVED start to abandon the US dollar.

The American Treasury could thus be "obliged" to demonetize the dollar. It would mean a drastic loss (approx: 90 %) of its market value and a possible programmed retreat of the dollars in circulation. To take refuge with the Euro could be a very serious mistake.



L'article en Anglais
Following the money in banking and economics
July 9, 2010, 9:23 am

Central banks start to abandon the U.S. dollar

There's mounting evidence that central bankers have little faith in the greenback these days. Can we blame them?

by Heidi N. Moore, contributor

There are those who would argue that the financial crisis was caused by over-enthusiastic worship of the Almighty Dollar. Call it brutal financial karma, but that church is looking pretty empty these days.

A new report from Morgan Stanley analyst Emma Lawson confirms what many had suspected: the dollar is firmly on its way to losing its status as the reserve currency of the world. We already knew that central banks have preferred gold to dollars, and that they're even selling their gold for cash; now, according to Lawson's data, it seems that those central banks prefer almost anything to dollars.

Lawson found that central banks have dropped their allocation to U.S. dollars by nearly a full percentage point to 57.3% from 58.1%, and calls this "unexpected given the global environment." She adds, "over time we anticipate that reserve managers may reduce their holdings further."

What is surprising is that the managers of those central banks aren't buying traditional fall-backs like the euro, the British pound or the Japanese yen. Instead, she suggests they're putting their faith in other dollars - the kind that come from Australia and Canada. The allocation to those currencies, which fall under "other" in the data, rose by a full percentage point to 8.5%, accounting almost exactly for the drop in the U.S. dollar allocation.

Call it diversification, if you must, but the trendline indicates that central banks are finally putting their money where their anti-dollar mouths are. The dollar has been in free-fall since 2007.

Last year, both China and Russia have questioned why the dollar should be the world's reserve currency. (Naturally, they were advocating for the ruble and yuan).

And just last week, the United Nations released a report concluding that the dollar should no longer be the world's reserve currency because it is not stable enough. The dollar is down 5% over the past month, and even currency traders don't see it as a safe haven any more.

There is certainly an element of economic competitiveness in those statements from foreign bodies and governments, but at the same time, Americans shouldn't be surprised that, in these touchy times, central banks want more of a measure of security than the dollar can afford right now - particularly when we're running up an enormous deficit through the costs of stimulus programs and two simultaneous wars.

Just last week, America's debt lept $166 billion in a single day. That one-day run-up is greater than the entire U.S. annual deficit in 2007. And Americans, the world's consumers, continue much of the behavior that helped the U.S savings rate drop so low.

The other options that reserve managers seem to be taking are also not a surprise. Canada's rude financial health - and robust banks - were bound to draw more attention. The Australian dollar is near a nine-month high because employment numbers there are strong.

The steady fall of the U.S. dollar is, while understandable, certainly nothing to be celebrated at home. The U.S. just has to make a stronger case - both to buyers and to its citizens - that it is on the right path.

http://wallstreet.blogs.fortune.cnn.com/2010/07/09/central-banks-start-to-abandon-the-u-s-dollar/