Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

10/05/2010

Le moment est venu !

Une analyse sur la crise financière et des conclusions à en tirer pour l'humanité.
Le Nouvel Ordre Mondial à tout prix !

 

Livre à télécharger : Le-Moment-Est-Venu.pdf

 

Le Moment Est Venu.

29/04/2010

Goldman Sachs poursuivie pour fraude

Allez-vous accepter de payer pour la crise financière et les dettes qu'ils ont engendrés de toutes pièces ?

Les autorités boursières américaines vont poursuivre Goldman Sachs pour "déclarations trompeuses" sur des produits financiers liés aux "subprimes". Peu après l'annonce de la plainte, le titre de la banque d'affaires perdait 10 % à Wall Street.


http://www.dailymotion.com/video/xczh7n_goldman-sachs-poursuivie-pour-fraud_news


23/04/2010

Les disciples de satan !

Les Maîtres du Monde : Les Illuminati-Reptiliens !
Est-ce un hasard si les USA sont allés envahir l'Irak ex-Sumer ?


Les disciples de satan - Episode 1

http://www.dailymotion.com/video/xb7te8_les-disciples-de-...

 

Les disciples de satan - Episode 3

http://www.dailymotion.com/video/xba152_les-disciples-de-satan-episode-3_news


17/04/2010

Goldman Sachs accusée de fraude, Wall Street en chute

Les valeurs américaines ont fini en net repli après la plainte déposée par l'autorité boursière américaine contre la banque qui aurait trompé les investisseurs.

 (AFP)
(AFP)

Les valeurs américaines ont fini en net repli vendredi 16 avril, après l'accusation de fraude portée par l'autorité boursière américaine contre la banque Goldman Sachs ayant incité les investisseurs à prendre leurs bénéfices après six séances de hausse.

Sur le même sujet

L'indice Dow Jones a perdu 1,13% ou 125,91 points, à 11.018,66 points, le Standard & Poor's 500 1,61% ou 19,54 points, à 1.192,13 points et le Nasdaq Composite 1,37% ou 34,43 points à 2.481,26 points. Sur la semaine, le Dow reste en hausse de 0,2%, de même que le Nasdaq (+1,1%) mais le S&P perd 0,2%.

Goldman Sachs a été accusée de fraude vendredi par l'autorité des marchés financiers américains, qui lui reproche d'avoir trompé les investisseurs lors de la conception et la commercialisation d'un produit financier complexe lié à des prêts immobiliers "subprime".

L'action Goldman Sachs a dégringolé de près de 13%, à 160,70 dollars.

L'information a fait dévisser l'ensemble des financières. L'indice KBW des bancaires a fini en repli de 3,46%. Morgan Stanley a perdu 5,6% à 29,16 dollars. De même, Bank of America a chuté de 5,5% à 18,41 dollars malgré un résultat supérieur aux attentes.


Une opération qui aurait coûté plus d'un milliard de dollars

Selon la plainte du gendarme de la Bourse américaine, la Securities and Exchange Commission (SEC), le gestionnaire de "hedge funds" Paulson & Co (fonds spéculatifs) dirigé par le milliardaire John Paulson, a collaboré avec Goldman Sachs pour créer un CDO ("collateralized debt obligations"), dénommé Abacus tout en misant sur la baisse de la valeur de cet instrument. Cette opération aurait coûté plus d'un milliard de dollars (741 millions d'euros) aux investisseurs.

L'autorité des marchés financiers américains ajoute que Fabrice Tourre, vice-président de Goldman Sachs, est le principal responsable de la création d'Abacus. Elle l'accuse personnellement de fraude.

Paulson n'est en revanche pas accusé. "Goldman a fait des présentations aux investisseurs, pas Paulson", a déclaré lors d'une conférence téléphonique Robert Khuzami, responsable de l'application des règles de la SEC. La SEC a bénéficié de la coopération d'un ex-gérant de Paulson & Co, Paolo Pellegrini, a-t-on appris auprès d'une source proche du dossier.

Goldman Sachs, désireuse de défendre sa réputation, a en revanche fait savoir qu'elle contesterait avec vigueur les accusations de la SEC, qu'elle juge totalement infondées.

Cette plainte, déposée devant le tribunal fédéral de Manhattan, marque un développement spectaculaire des efforts des autorités de régulation visant à déterminer les responsabilités des personnes et des entreprises ayant joué un rôle dans la crise financière. Elle survient également au moment où les législateurs américains débattent de la réforme de la régulation financière au Congrès.

"La fraude est une accusation énorme"

"La fraude est une accusation énorme. Cela pourrait véritablement paralyser Goldman", a déclaré Rob Stein, chez Astor Asset Management à Chicago. "Cela prouve que les financières ne sont pas le compartiment où il faut être pour la prochaine étape de la reprise."

La nouvelle concernant Goldman Sachs est venue s'ajouter à la déception suscitée par les résultats trimestriels, pourtant supérieurs aux attentes, de Google ainsi qu'à la baisse inattendue du moral des ménages.

Google a perdu 7,6% à 550,145 dollars. Le moteur de recherche sur internet a annoncé jeudi une hausse de 23%, supérieure aux attentes, de son chiffre d'affaires au premier trimestre, certains investisseurs habitués à des performances bien meilleures encore, apparaissant déçus.

Autre grande valeur, General Electric a abandonné 2,7% à 18,97 dollars. Le conglomérat a pourtant publié un bénéfice supérieur aux attentes pour le premier trimestre et a jugé possible de revoir à la hausse sa prévision d'un résultat annuel inchangé en 2010.

Autre sujet incitant aux prises de bénéfices, le moral des ménages américains a subi en avril une dégradation inattendue pouvant s'expliquer par les perspectives toujours sombres en matière de revenus et d'emploi.

Dans ce contexte, les investisseurs n'ont pas réagi aux hausses des mises en chantier et des permis de construire le mois dernier qui ont respectivement atteint leur plus haut niveau depuis novembre et octobre 2008.

http://tempsreel.nouvelobs.com//actualite/economie/201004...

15/04/2010

Van Rompuy annonce l’extension des mesures de restriction grecques à l’ensemble de l’Europe

« Les réformes nécessaires pour réduire les déficits budgétaires dans les pays de l’Union européenne imposeront des mesures impopulaires », a déclaré Herman Van Rompuy, président du Conseil européen, dans un entretien donné à quatre grand quotidien européens, Le Monde, El Pais, De Standaard et le Frankfurter Allgemeine Zeitung.

vanrompuy

« Quand je vois l’agenda, les réformes nécessaires, les défis budgétaires, on sera contraint de prendre des mesures impopulaires », a souligné M. Van Rompuy, sans préciser toutefois s’ils s’agissait de l’agenda des État européens ou celui du groupe Bilderberg, qui l’a fait nommer à son poste.

« On devra le faire, on n’aura pas le choix. Ce sera très dur, mais nous n’échapperons pas à certaines réformes impopulaires », a-t-il encore ajouté.

Le président du Conseil européen est ensuite longuement revenu sur la situation économique de la Grèce, et le « mécanisme » du plan d’aide auquel les 27 pays membres devraient participer si Athènes se retrouvait en situation de défaut de paiement – ce qui ne devrait plus tarder à être le cas.

Premier test mardi

Les ministres des Finances de la zone euro, la Banque centrale européenne et la Commission européenne tiendront ce dimanche une vidéo-conférence pour « concrétiser les mécanismes d’aide à la Grèce ».

Jean-Claude Juncker, patron de l’Eurogroupe, et le commissaire européen chargé de l’économie et des finances, Olli Rehn, devraient tenir une conférence de presse dans la foulée.

L’objectif de la manoeuvre est de tenter de rassurer les marchés. La Grèce doit en effet emprunter environ 11 milliards d’euros d’ici fin mai pour refinancer sa dette (et quelque 53 milliards d’euros sur l’ensemble de l’année). Un premier test aura lieu mardi, lorsqu’Athènes placera sur les marchés pour 1,2 milliard d’euros à six et douze mois. La tâche semblait impossible la semaine dernière, et on ne voit pas bien pourquoi elle s’améliorerait alors que l’agence de notation Fitch a abaissé sa note sur la dette souveraine grecque à BBB- avec perspective négative.

Faillite généralisée

Compte tenu de leur situation respective, on voit mal comment les pays de l’Union pourraient venir en aide à la Grèce.

La Banque des règlements internationaux vient juste de publier un rapport qui indique, pour chaque État, la situation de la dette publique dans les dix ans à venir. Ainsi, pour le Royaume-Uni, la dette publique représentera plus de 200 % du PIB. En Belgique, en France, en Irlande, en Grèce, en Italie et aux États-Unis, la dette publique sera de plus de 150 % du PIB, et représentera plus de 20% du budget.

Les dirigeants des pays européens peuvent continuer à faire des discours mais, au-delà des paroles, ils ne sont d’ors et déjà plus capables de faire quoi que ce soit, peut-être même pas d’éviter leur propre banqueroute.

La Grèce peut toujours attendre.

Mecanopolis

bulletin