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23/05/2010

Revue de presse : La crise de l'euro et DSK

Quand tout le monde aura compris qu'il n'y a ni gauche ni centre et que tous les partis politiques sont financés par les banquiers Illuminati qui choisissent leurs agents pour faire prospérer leur projets et l'avancement vers l'établissement du Nouvel Ordre Mondial. Ce sera un grand jour pour l'humanité qui décidéra peut-être de se rassembler pour lutter contre ses prédateurs.

Comment DSK peut-il prétendre être de gauche quand il travaille pour les chantres de la finance internationale qui massacre l'humanité depuis des décennies ?

Les commentaires de la presse française, samedi 22 mai, sur la crise de l'euro et Dominique Strauss-Khan.

L'HUMANITE

Patrick Apel-Muller

"L'air bonasse, craignant les "projets ambitieux qui ne sont pas crédibles", Dominique Strauss-Kahn n'en est pas moins l'un des grands ordonnateurs de la saignée qui fait défaillir la Grèce et des plans d'austérité européens. Les hommes en noir du FMI ont débarqué à Athènes comme à Bucarest, à Vilnius comme hier à Buenos Aires pour tailler dans les services, les budgets sociaux, les salaires ou les retraites. Là où ils passent, les marchés financiers se surpassent et les économies trépassent. Combien de pays ces recettes ont-elles mis à genoux ? Les institutions financières internationales affichent toujours les meilleures intentions - de quels effets ont été suivies les proclamations régulatrices des grands de ce monde ? -, mais leurs critères sont à ce point libéraux qu'elles sèment à foison sur leur passage misère et chômage. Mais DSK reste serein: "La crise peut être un mal pour un bien." Sans doute pense-t-il au futur sort des fonctionnaires grecs, aux retraités espagnols et aux chômeurs portugais. N'était-ce pas hier la Journée mondiale contre l'obésité qui ne connaît sans doute pas de meilleur remède que se serrer la ceinture.

Alors que les pays émergents contestent le fonctionnement du FMI, que l'utilisation du crédit au service de la croissance et de l'épanouissement humain devient une revendication, le directeur du FMI se contente d'accompagner la mondialisation capitaliste et de prêcher la mise en cause d'acquis sociaux aussi considérables que la retraite à soixante ans. Hélas, il emprunte "la porte à droite".


LE FIGARO

Paul-Henri du Limbert

"Le doute n'est plus permis : s'il se lance dans la course présidentielle, Dominique Strauss-Kahn aura deux adversaires. La droite et une partie de la gauche. C'est beaucoup pour un seul homme, aussi brillant soit-il. C'est bien là le drame des socialistes. Ils disposent enfin d'un candidat susceptible de l'emporter, mais son engagement socialiste laisse à désirer. Or, à gauche, on ne plaisante pas avec ce genre de chose. On exige des coeurs purs et non pas des esprits flexibles. Michel Rocard, coupable de représenter en son temps la "gauche américaine" peut en témoigner. Lorsque le directeur du FMI réfute le "dogme" de la retraite à 60 ans, il prend à rebrousse-poil le "peuple de gauche", Martine Aubry en tête. Peu lui importe que la première secrétaire ait bruyamment prévenu qu'elle se battrait "de toutes ses forces" pour empêcher un relèvement de l'âge légal. Si la gauche française a des principes, DSK n'en a qu'un seul: le principe de réalité. Or, pour qui est vraiment socialiste, la réalité d'aujourd'hui est rébarbative, pour ne pas dire accablante. Tous les pays européens, de quelque couleur politique qu'ils soient, engagent de sévères politiques de rigueur et personne ne peut penser une seule seconde que la France, au nom de sa seule singularité, pourrait s'en abstraire. Le directeur du FMI le sait bien, puisqu'il est partie prenante dans cette brutale mais nécessaire politique de redressement des finances publiques européennes. Si, écoutant Strauss-Kahn, une partie des militants socialistes grimace, que dire de ceux qui se situent à gauche du PS".


DERNIERES NOUVELLES D'ALSACE

Olivier Picart

"Un démenti trop insistant ressemble souvent au commencement d'un aveu." L'euro n'est pas en danger" : la formule a été tellement répétée tout au long de la semaine par les dirigeants européens et jusque dans la bouche du directeur du FMI, Dominique Strauss-Kahn, qu'elle traduit une réelle anxiété devant la capacité de la monnaie unique à résister à la tempête. Pour la première fois depuis 2002 elle échappe aux débats d'experts pour redevenir un sujet de conversation courante dans l'opinion. Paradoxalement, c'est au moment où elle semble affaiblie que les Européens se l'approprient vraiment. Comme si la menace qui pèse sur elle stimulait les sentiments à son égard. Bien sûr, le fantasme du retour aux monnaies nationales resurgit. Même s'il ne s'appuie sur aucune réalité, il entretient quelques nostalgies. Ne matérialise-t-il pas la revanche, peut-être provisoire, des sceptiques ? L'abandon de souveraineté que représentait l'avènement de l'euro fut un tel prix à payer pour l'avenir de l'Union qu'il cristallise aujourd'hui bien des rancoeurs et cimente les critiques contre un outil beaucoup plus fragile que ne l'avaient prétendu ses promoteurs. Il devait être un instrument de puissance pour le rêve européen et le voilà ballotté par les appétits des spéculateurs. Décevant destin.


LE COURRIER PICARD

Didier Louis

"Les ministres des finances de l'Union sont retournés au chevet de l'euro, selon la formule consacrée, hier à Bruxelles. Est-ce à dire qu'ils l'avaient déserté ? Assurément pas. La crise de la zone euro est loin d'être résolue, à telle enseigne qu'on assiste au retour d'une certaine psychose et que resurgit le spectre d'un éclatement. L'euro faible est l'objet de toutes les sollicitations. Il a plongé cette semaine, signe que les marchés, toujours aussi préoccupés par les dissensions des dirigeants européens et les dettes souveraines des pays les moins solvables, manifestent une extrême fébrilité. Il est vrai que la petite phrase d'Angela Merkel - " l'euro est en danger " - n'a pas été sans sans raviver les frictions entre la France et l'Allemagne. Nos ministres se sont relayés, hier encore, pour rassurer les places financières et démontrer la convergence - relative - entre les deux pays. C'est bel et bien la politique européenne de l'Allemagne qui perturbe le jeu. La chancelière conçoit l'avenir de l'euro sous la bannière dominatrice de l'Allemagne. C'est elle qui déclare unilatéralement la guerre aux spéculateurs. Elle qui énonce ses exigences en contrepartie de son aide à la Grèce : contrôle des budgets nationaux, mise en faillite des Etats trop endettés. La Dame de fer d'outre-Rhin impose sa règle d'or : nul ne doit plus vivre au-dessus de ses moyens ! En s'engageant à inscrire dans la constitution l'obligation de l'équilibre budgétaire, Nicolas Sarkozy lui a donné un gage. Il n'entend cependant pas que l'ascèse budgétaire au nom de l'Union et de l'euro tourne à l'alignement sur l'Allemagne".


(Nouvelobs.com)

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/economie/2010052...

 

22/05/2010

Manifestation surprise : ils s’invitent au siège de Goldman Sachs !

Cela bouge en France aussi contre les banques !

Hier, les jeunes identitaires parisiens et franciliens se sont invités au siège de Goldman Sachs (la fameuse banque qui spécule contre ses propres clients !) dans le 17ème arrondissement, pour rappeler que les peuples d’Europe ne sont pas des moutons et qu’ils ne se laisseront pas tondre sans réagir pour payer la facture des manipulations financières et de l’irresponsabilité des spéculateurs.

Les jeunes du Projet Apache ont également voulu rappeler aux banquiers sans scrupules que nos identités et nos libertés valent plus que leurs spéculations !

Aujourd’hui, c’est le peuple grec qui se voit imposé, de façon totalement antidémocratique et par des instances mondialistes comme le FMI, des mesures d’austérité sans précédent. C’est au peuple grec, à ses paysans, ses artisans, ses commerçants, ses petits fonctionnaires, ses retraités que l’on demande de payer la facture des spéculations qui ont rapporté des millions de bénéfices à une poignée de gangsters en col blanc !

Et demain à qui le tour ? Quel peuple va être désigné comme bouc émissaire de la folie de ce système de l’argent-roi ?


Les banques internationales, déjà scandaleusement renflouées par l’argent des contribuables sans la moindre contrepartie, bénéficient d’une impunité absolue alors qu’elles se comportent comme de véritables maffias, pratiquant la dissimulation, l’extorsion, le racket et l’intimidation.

Les peuples d’Europe ne veulent plus payer pour sauver ce système libéral capitaliste qui ne profite qu’à l’hyper-classe mondiale et à ses domestiques des institutions financières internationales.

Le Projet Apache en appelle au retour à une économie de la mesure et du bons sens, une économie localisée, centrée sur l’homme et non l’inverse, une économie contrôlée et encadrée par un protectionnisme bien pensé.

C’est ce qu’il a voulu rappeler hier en scandant : « De Paris à Athènes : stop aux Banksters ! »

Source : http://www.projet-apache.com/2010/05/le-projet-apache-sin...

Et maintenant, l’euro-dollar ?


Article placé le 21 mai 2010, par Julian Diesdorf (Zürich)

 

Pour se maintenir, le projet mondialiste pourrait précipiter son calendrier et utiliser la crise actuelle pour « fusionner » l’euro et le dollar en une monnaie unique, écrit en substance Clovis Casadue, collaborateur de la revue Flash, dans l’article que nous plaçons ci-après. Cette perspective est plus que plausible, et la chute incessante de la devise européenne, qui se retrouvera bientôt a parité avec le dollar, l’accrédite. Comme l’indiquait le banquier Alexandre Wohlwend il y a quelques jours, la seule issue pour les pays de la zone euro passe par « un retour à leur souveraineté monétaire et territoriale », ce qui est inenvisageable pour les tenants de l’ordre mondial, qui, n’en doutons pas, utiliseront tous les moyens pour interrompre les velléités secessionnistes. De nouvelles informations, pour le moins surprenantes, nous parviennent ce soir sur les manipulations en cours. Nous les publierons dès que nous aurons pu effectuer les vérifications d’usage.

Julian Diesdorf, Mecanopolis

euro-dollar

 

La ratification du Traité de Lisbonne par les 27 États a donné le pouvoir de rompre avec les méthodes de la démocratie et d’imposer une mise sous “bonne gouvernance” des pays de la zone euro, au mépris des droits fondamentaux du Parlement européen et de la volonté des peuples.


Dans son discours du 13 mai dernier, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso propose de placer l’ensemble des pays de la zone euro sous tutelle budgétaire. L’objectif : réduire le déficit public à 3 % du PIB en 2013, en les soumettant à des mesures d’austérité semblables à celles imposées à la Grèce. La mesure est en effet peu démocratique, puisque le Parlement européen n’entrera pas dans les décisions. Pas de problème pour la chancelière allemande, parlant d’un “pas important dans la bonne direction”. Même son de cloche du côté de la France, le secrétaire d’État aux Affaires européennes, Pierre Lellouche déclarant : “C’est la contrepartie du plan européen de sauvetage. La discipline de chacun devient l’affaire de tous. Bruxelles aura le droit de surveiller tous les comptes.” Résultat, cette aide de 750 milliards, votée lors du sommet européen des 8 et 9 mai. Son message : “Nous vous soutenons, mais vous devez abandonner votre souveraineté économique.”

Malgré ce qui a été annoncé, cette manœuvre n’a pas pour but de soutenir l’euro. C’est même le contraire qui devrait se passer, et la monnaie unique a déjà perdu plus de 7 % depuis sa mise en place. La nouvelle politique monétaire de la BCE devrait encore contribuer à son affaiblissement, puisqu’elle est maintenant autorisée à recourir à la “planche à billets”, de manière à émettre elle-même des Bons du Trésor sur les marchés financiers.

Plutôt que soutenir l’euro, sauver les banques…

En fait, ce dispositif permet surtout de soutenir en amont les banques européennes impliquées dans la dette grecque. Ce qui permet encore de

suggérer aux investisseurs ayant acquis des obligations qu’ils ne risquent rien. Ce sont donc les banques que l’on sauve, une fois de plus, et avec l’argent du contribuable. Ces 750 milliards n’existant pas dans les caisses européennes, il faudra donc les emprunter sur les marchés financiers pour les offrir aux États qui les offriront ensuite aux banques, tandis que les populations seront après mises à contribution…

Si l’on avait voulu aider la Grèce, et faire “la guerre aux spéculateurs”, comme l’a annoncé fièrement Nicolas Sarkozy, il aurait été préférable de restructurer sa dette. On aurait ainsi placé les

investisseurs devant leurs responsabilités et leur aurait fait assumer une partie des risques liés à leurs investissements. Mais pour cela, il aurait fallu sortir la Grèce de monnaie unique. En revanche, l’affaiblissement de l’euro bénéficie à l’Allemagne, et dans une moins large mesure à la France.

Cette crise est donc utilisée, comme le laissait récemment entendre le patron de l’Eurogroupe, Jean-Claude Juncker(1), afin de rendre l’Europe plus compétitive.

Les dégâts d’une construction européenne anarchique

Pour les élites européennes, le problème majeur de la zone euro tient à sa construction anarchique et à la disparité des règles économiques, politiques et sociales qui régissent les pays membres. La crise peut leur permettre de reconfigurer l’économie de l’ensemble du bloc européen et le rendre plus concurrentiel, tout en élargissant la monnaie unique aux autres pays de l’Union, ce qui a d’ailleurs été proposé à l’Estonie la semaine dernière. La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd) conseille d’avancer l’adhésion à la zone euro de la Lettonie, de la Pologne et de la Hongrie au 1er janvier 2011 au lieu de 2015. On joue donc à nous faire peur quand on nous indique que la monnaie unique est menacée. Elle en réalité en pleine expansion.

Bien sûr, cette unification se fera par le bas, et va nécessiter partout des mesures d’austérité qu’aucune résolution démocratique n’aurait permises, et qui finiront d’enterrer la souveraineté des nations et des peuples d’Europe au profit d’un régime central lié à une oligarchie financière. Toutes choses qui ont été rendues possibles par la ratification du traité de Lisbonne.

Les spéculations sur les dettes grecque, portugaise et espagnole vont donc se poursuivre et s’étendre à d’autres pays, sans que rien ne puisse enrayer le processus en cours. Dans le même temps, l’euro va continuer sa chute, pour arriver à parité avec le dollar, sans doute d’ici le mois de septembre – décembre au plus tard. La monnaie canadienne suit le même mouvement et aura sans doute atteint le niveau du dollar US au moment où vous lirez cette chronique. Car bien sûr, le projet de ce nouvel ordre économique est, in fine, de fusionner l’ensemble des monnaies, en commençant par celles de l’Europe et l’Amérique du Nord. En effet, l’Union européenne n’est qu’une composante d’un vaste plan conduisant à l’émergence de blocs économiques dotés chacun d’une monnaie, d’une citoyenneté, d’un parlement unique, etc ; l’ensemble de ces blocs étant éventuellement appelé à constituer une gouvernance mondiale.

Bien sûr, certains nous reprocherons d’avoir ici une vision “conspirationniste” des événements. Mais force est de constater qu’on ne conspirait autrefois que contre un ordre établi. Aujourd’hui, conspirer pour son maintien et son expansion est une activité en grand développement. Et à regarder la marche du monde, on doit reconnaître que cette conspiration fait partie de son fonctionnement même.

Clovis Casadue

Publié en exclusivité sur Mecanopolis avec l’aimable autorisation de Jean-Emile Néaumet, directeur de la rédaction du bimestriel Flash


21/05/2010

Et si DSK.....COM rachetait la France pour 100 Milliards d''euros ????

DSK, Sarko et le copinage sélectif

Et vous voulez voter pour DSK en 2012 ?

Texte libre de présentation sur le site :


Welcome on board,

"La propagande des médias aux ordres et la désinformation quotidienne de penseurs et pseudos philosophes, qui squattent les plateaux TV et ondes radiophoniques, ont triomphé de la lucidité des Français. Depuis hier, 16 mai 2007, le candidat du CAC 40, du MEDEF et des lobbies, est le président de la République. Sa victoire face à la candidate socialiste, Ségolène Royal, est nette ( sans bavures ???). La majorité des suffrages s'est portée sur son projet, celui d'une droite raciste et ultra-réactionnaire, ce n'est pas la présence de quelques Basanés à l'UMP ou dans le prochain gouvernement, voire les ralliements opportunistes de centristes et d'apparentés socialistes, qui démontrera le contraire. En criant aux loups et en sous-tendant qu'il existait des ennemis de l'intérieur, ceux là qui demandent la "repentance" de la France, comme l'ont suggéré le candidat de la peur et ses amis "intellectuels", les électeurs ont voté sans discernement pour un projet de société néoconservateur. On sait ce qu'il adviendra très bientôt. En clair, comme l'a rappelé le slogan choc de la campagne électorale, "Ensemble tout est possible". Oui, tout est possible, mais sans nous, c'est à dire une grande minorité ( 47%) qui croit en une société plus "juste" et plus "forte", fière de son identité "multiraciale", qui n'a pas honte de reconnaître toute son Histoire, celle qui est à la fois estimable et condamnable.

Ce n'est qu'à ce prix là que la France se réalisera et évitera de culpabiliser ceux des siens qui ne croient ni au mythe d'une grand ancêtre Gaulois commun, ni aux bienfaits de la colonisation, encore moins aux fables d'un historien de pacotille sorti de la botte d'un journaliste cumulard et chef de la propagande sur l'unicité de l'Histoire ( pas la sienne, bien entendu).


Enfin, le nouvel occupant du château de l'Elysée n'empêchera pas au monde de tourner, même si l'on s'attend à subir, plus que jamais, ses coups de pression et autres intimidations. Il faut l'accepter, c'est le peuple qui l'a souhaité majoritairement ( 53%), mais regrettera très bientôt son choix à courte vue. En attendant la CENSURE promise par le monarque en puissance, au nom de la protection des "petits intérêts" d'une oligarchie de la finance et de lobbies politico-mafieux, vous pouvez continuer à vous exprimer ou visiter cet espace de liberté sans concession. Putain 5 ans !"



Jeudi 20 mai 2010 4 20 /05 /2010 18:37


La France est décidément dans de très sales draps. La propagande médiatico-sondagière pourra toujours enfumer les cerveaux disponibles, c'est à dire les Français qui regardent le JT de TF1, cela n'empêchera pas de dire qu'un duel présidentiel en 2012 entre Dominique Strauss Kahn, le bourreau du peuple grec, et l'accident électoral du 06 mai 2007 constituerait un HOLD UP mortel et la liquidation de la République. Et le hasard du calendrier politique devrait, espérons le, réveiller tous ceux qui sont victimes de l'opération de lobotomisation massive entreprise par les communicants respectifs du " messie du FMI" et du gesticulateur de l'Elysée. Jugez plutôt.


Premièrement, après avoir triplé les déficits des comptes publics, augmenté son salaire de  110%, acheté un avion " Air Sarko one", dévalisé les contribuables au profit de la bande du Fouquet's, mis la France au bord de la banqueroute, Nicolas Sarkozy se fait le chantre de la bonne gouvernance, après avoir été celui de la lutte contre l'insécurité, la protection de la nature et la refonte du capitalisme.
Désormais, il envisage de modifier la Constitution pour obliger le gouvernement à s'engager sur "une trajectoire" pour réduire les déficits, pour cinq ans. "Le redressement des finances publiques ne doit pas être l'engagement d'un gouvernement mais de la Nation. [...] C'est pourquoi je souhaite la mise en oeuvre d'une réforme constitutionnelle". Et de proposer le "le gel" des fonds versés aux collectivités locales.

En clair,il s'imagine remporter la prochaine présidentielle en dissimulant ses turpitudes derrière une rigueur qui ne veut pas dire son nom. Pire, il se livre à une opération de politique de caniveau en faisant croire que les collectivités territoriales sont responsables du bilan catastrophique de la droite. Pitoyable !

Martin Malvy accuse Nicolas Sarkozy d'entretenir "depuis des mois l'ambiguïté en mettant les collectivités locales en cause pour leur gestion". Et d'ajouter que la conférence de jeudi est "un simulacre de dialogue sur un problème dont nous ne portons ni l'origine ni la solution". Car "les 36 000 communes, les 100 départements, et les 26 régions n'atteignent pas, toutes ensemble, le seuil de 10 % de la dette nationale", écrit-il. "Elles sont toutes à l'équilibre. Aucune n'est en déficit. Elles portent 75% de l'investissement public", conclu t-il.

Cet dire si le guide suprême de l'UMP prend réellement les Français pour des CONS.
Deuxièmement, alors que les grecs dénoncent unanimement la politique prédatrice du FMI, Dominique Strauss Kahn, lui, se félicite de son " plan de rigueur", et s'offre même un passage dans l'émission " A vous de juger", France 2,  en prime-time, après son dernier passage du 28 mars 2009, SVP ! ( vidéo n° 3)

A quel titre y est-il invité ? N'a t-il pas assez de travail pour s'offrir des heures supplémentaires de confession cathodique en France ? Qu'a t-il donc d'intéressant à dire au point que France 2 lui consacre une soirée ?

Rien, si ce n'est que DSK et sa clique intoxiquent les Français à coups de manipulations diverses pour s'imposer comme " candidat naturel" de la gauche pour 2012. Comme l'a affirmé justement Malek Boutih: "Les enfants gâtés de Mitterrand veulent faire main basse sur le PS"

C'est  peu de dire que l'homme du FMI n'a rien à envier à celui qui l'a aidé à se refaire une santé à New York.( vidéo n°4) Comme quoi, qui s'assemble se ressemble, ce pour le plus grand malheur de la France. Pour enfoncer le clou, histoire de se moquer un peu plus des Français, et si Dominique Strauss...COM signait un chèque de 100 milliards d'euros pour racheter la France ? Au moins, ça éviterait que son jumeau saigne encore plus un peuple déboussolé et ruiné par 3 ans de gesticulations irresponsables et sudoripares.

Allez, Dominique sors ton carnet de chèque FMI, le peuple t'attend tel un messie !
A2N





Le calendrier Maya et l'argent

Carl Calleman nous parle ici de sa théorie intéressante sur la fin du système monétaire et financier tel qu'il est conçu actuellement, avec comme «indicateur de santé» le calendrier maya.


Tout d'abord, quelques indications sur le personnage lui même, histoire de connaître son parcours et de savoir si nous avons affaire à quelqu'un qui peut être crédible dans ses affirmations.

Carl Calleman est d'origine suédoise et a fait ses études à l'université de Stockholm ; il a été directeur de recherches à l'université de Washington aux Etats Unis et mandaté par l'OMS (Organisation mondiale de la Santé, ndlr) pour effectuer des travaux sur le cancer.

C'est un scientifique pur et dur (il a étudié la biologie physique), son itinéraire plaide en sa faveur et il semble jouir d'une bonne réputation dans la communauté scientifique.

Calleman expose ses idées de façon relativement cohérente et voit une relation certaine entre l'évolution du genre humain et la culture maya dans son ensemble.

Dans les milieux dits «mayanistes» (car il faut les appeler ainsi), il fait partie d'une tendance nommée « new age», qui prône les prédictions de l'avenir en effectuant un rapprochement étroit entre le calendrier maya et celui que nous connaissons actuellement, soit pour déterminer précisément la fin du monde, soit prédire un changement radical de la conscience mondiale.

Au sein de cette sphère d'influence, Calleman fait indéniablement partie «des modérés» et c'est certainement ce qui rend son discours beaucoup plus attractif et terre à terre. Par ailleurs, ses propos peuvent être guidés inconsciemment par un humanisme profondément enraciné.

Outre la fracture importante qui existe dans ce courant de pensée entre «alarmistes» et modérés, un autre débat agite la communauté scientifique sur la date de 2012, généralement retenue pour signifier la fin du calendrier maya, corollaire d'une fin du monde.

Les calculs savants effectués pour aboutir à cette date fatidique seraient entachés d'une erreur, c'est du moins le résultat de conclusions scientifiques récentes d'un melting pot d'archéologues, d'astronomes et de scientifiques, qui situent l'échéance deux siècles plus tard !

Quoi qu'il en soit, Carl Calleman ne manque pas de culot et tape sur l'endroit le plus fragile nos consciences, et la plupart d'entre nous donneraient certainement beaucoup pour que ses paroles débouchent sur des éléments concrets, à l'orée 2012.

En effet, qui, à l'heure actuelle, ne rêverait pas d'une société débarrassée de la notion d'argent qui va souvent de pair avec la réussite sociale, mis à part quelques privilégiés qui ont tout à perdre ?

Pour étayer cette prédiction fondamentale, Calleman s'appuie fortement sur les cycles du calendrier maya et leurs relations avec la situation économique mondiale, qui est censée se détériorer progressivement.

Ainsi au milieu des décombres d'une société ultra libérale vouée à sa propre perte, renaîtrait un nouvel ordre mondial, et cette prise de conscience collective des ravages du libéralisme se traduirait par deux conséquences : d'un côté, une société qui aurait le souci de l'égalité sociale, et de l'autre la fin des positions dominantes de l'Europe et des Etats Unis sur l'échiquier de la politique internationale.

Calleman est- il d'un doux rêveur ou de la réincarnation de Nostradamus ?

L'on souhaiterait beaucoup qu'il dise vrai, mais de toute manière, cela sera forcément vérifiable ...