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14/10/2015

L'OTAN interdite d'accès à la Caspienne par Poutine !!!

L'OTAN interdite d'accès à la Caspienne par l'Iran, la Russie, l'Azerbaïdjan, le Kazakhstan et le Turkménistan, depuis le 3 octobre 2014.

Voir aussi : Poutine interdit l'accès des USA et de l'OTAN dans le Mer Caspienne !

L'OTAN interdite d'accès à la Caspienne!!!

vendredi, 03 octobre 2014 08:33

L'OTAN interdite d'accès à la Caspienne!!!

 

IRIB- «L'Iran et la Russie ont fait tomber à l'eau le projet de l'OTAN, pour une présence militaire, en Caspienne» a rapporté l'hebdomadaire «Diplomate», dans une allusion aux acquis du récent Sommet, quatrième du genre, de la Caspienne, qui a eu lieu, à Astrakhan, en Russie.

Dans un article intitulé «l'éloignement de l'OTAN de la Caspienne, et publié par l'hebdomadaire «Diplomate», nous lisons : «L'Iran et la Russie se sont entendus sur une communauté de vue, au cours de ce Sommet de la mer Caspienne, et accompagnés de l'Azerbaïdjan, du Kazakhstan et du Turkménistan, ils ont mis, définitivement, un terme à l'idée d'une éventuelle présence des troupes militaires de l'OTAN, en mer Caspienne».

Les dirigeants des 5 pays riverains de la mer Caspienne, se sont entendus sur une déclaration politique insistant sur la nécessité d'assurer la stabilité et la sécurité de la mer Caspienne, par les pays riverains de la mer caspienne, eux-mêmes. Cette action conjointe de l'Iran et de la Russie est intervenue, au moment des tensions diplomatiques avec les pays occidentaux et la menace croissante, en matière de présence militaire, en mer Caspienne.

Un expert des affaires juridiques et politiques dit, à ce propos : «L'Iran et la Russie entendent exercer le contrôle de la mer Caspienne, car, d'un côté, l'Iran a compris que l'Occident veut, peut-être, utiliser des pays installés en mer Caspienne, pour exercer des pressions, sur son programme nucléaire, et, de l'autre côté, la Russie s'est tournée, en raison de ses problèmes avec les ex-Républiques soviétiques, comme l'Ukraine et la Géorgie, vers une politique, qui rappelle celle de la guerre froide». Et cet hebdomadaire de poursuivre : «La crise de l'Ukraine a mis l'Occident devant de sérieux problèmes avec la Russie et a déclenché une vague de sanctions américaines et occidentales, suite au rattachement de la Crimée à la Russie.

L'Iran, aussi, est en cours de négociations sensibles avec les 5+1, et en dépit des pauses créées, les deux parties tentent de parvenir à un accord global, d'ici le 24 novembre.

Selon cet hebdomadaire japonais, la présence de l'OTAN en mer Caspienne semble, désormais, exclue, suite à cette décision des dirigeants des pays riverains de la mer Caspienne d'empêcher toute présence militaire étrangère, dans la mer Caspienne. Cela risquerait d'entraîner des conséquences, en matière de sécurité énergétique, car, selon des analystes, la Russie est, farouchement, opposée au projet du gazoduc, censé acheminer le gaz du Turkménistan vers la République d'Azerbaïdjan, et pourrait recourir à la force, pour empêcher l'exécution de ce projet.

Si les troupes de l'OTAN étaient présentes, dans la mer Caspienne, la Russie pourrait donner son accord à ce projet».

«Poutine a dit que les pays de la mer Caspienne seraient en mesure de définir le régime juridique de la mer Caspienne, d'ici le prochain Sommet de la Caspienne, prévu en 2016, au Kazakhstan».

Le moindre acquis de ce sommet, qui est évident, c'est que le drapeau de l'OTAN ne sera pas hissé, en mer Caspienne, et que les pays riverains de la Caspienne coopéreront, ensemble, pour trouver, finalement, une solution, en vue du partage des ressources que recèle la mer Caspienne.

 

Les Russes ont (aussi) de l'humour : « Face aux terroristes modérés, nous utilisons des bombes modérées »

Excellent !

Les Russes ont (aussi) de l’humour : « Face aux terroristes modérés, nous utilisons des bombes modérées »

Publié le par Olivier Demeulenaere

DAESH

Interview (quasi exclusive) du porte-parole militaire du Kremlin.

– Question : Comment différenciez-vous, lors des bombardements en Syrie, les terroristes normaux des terroristes modérés (ceux qui sont armés et financés par Washington) ?

Réponse : « Depuis le début des opérations militaires en Syrie, nous avons pris cela en considération. Contre les terroristes normaux, nous utilisons des bombes normales, et contre les terroristes modérés, nous avons recours seulement à des bombes modérées. Nous nous sommes orientés dans ce sens, autrement dit, dans le sens de la Justice. »

– Question : excusez-moi, mais pouvez-vous me dire en quoi les bombes modérées sont différentes des bombes normales ?

Réponse : « Nos bombes normales se différencient des bombes modérées, exactement comme les terroristes normaux se différencient des terroristes modérés. Les secondes sont en fait peintes avec d’autres couleurs, aux tons décidément plus doux et plaisants. »

Extrait de : Giulietto Chiesa : Les bombes modérées, entre tragédie et ironie

Il Fatto Quotidiano, le 6 octobre 2015

Lire aussi :

La Russie se moque ouvertement de Riyad, Doha et Washington : l’ambassade de Russie trolle l’Arabie saoudite sur twitter

L’opposition modérée en Syrie, un fantôme selon Moscou

 

Lavrov : l'Occident doit se transcender et dévoiler son véritable objectif en Syrie

Quand Lavrov enfonce encore un peu plus le clou et pousse les USA et ses alliés à dévoiler leurs réelles intentions et sur leur présence en Syrie.

Ils se pourraient bien que les forces russes se battent contre les armées US, Britanniques et les autres, au lieu de lutter contre des mercenaires ! 

Poutine doit savoir depuis longtemps qui se bat en Syrie, contre qui et quoi, et il doit vouloir pousser les USA et ses alliés à se dévoiler publiquement.

N'oublions pas que Poutine avait menacé les USA de dévoiler leurs données satellitaires concernant les attentats US en 2001.

SCOOP ! Bush et le Mossad avaient planifié les attentats du 11/9/2001 !

 

Lavrov: les USA évitent les contacts avec la Russie

14:50 13.10.2015

Lavrov: les USA évitent les contacts avec la Russie

Moscou regrette que les USA tardent à établir une coordination réelle des efforts de tous ceux qui font face à la menace terroriste en Syrie, a déclaré Sergueï Lavrov.

 

Sergueï Lavrov

21:57 13.10.2015

Les cinq thèmes principaux de l'entretien de Sergueï Lavrov

Dans son entrevue pour l'une des principales chaînes russes NTV, à l'émission de Kirill Pozdnyakov, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov exprime son opinion sur la désinformation, la crise syrienne et la mauvaise volonté de la coalition menée par les Etats-Unis de coopérer avec la Russie.

Groupe d'aviation militaire russe à l'aéroport Hmeymim en Syrie

 20:16 13.10.2015

Lutte contre le terrorisme et le respect de la souveraineté des Etats

La campagne anti-terroriste russe en Syrie bat son plein et les résultats sont plus qu’encourageants, surtout en tenant compte du début tout récent de cette campagne.


Lavrov : l’Occident doit se transcender et dévoiler son véritable objectif en Syrie

13 oct. 2015

 

Sergueï Lavrov

 L’Occident est peut-être mal à l’aise devant le succès de l’opération militaire en Syrie, a confié le ministre russe des Affaires étrangères à la chaîne NTV. Mais il doit surmonter son faux sentiment de dignité pour éradiquer la menace terroriste.

Question : Sergueï Lavrov, qu’est-ce qui empêche nos partenaires occidentaux de répondre favorablement à la proposition russe de créer une large coalition antiterroriste comme contre Hitler ? La colère, le découragement parce qu’un nouveau centre de forces est apparu ou la remise en question de leur exclusivité ?

Sergueï Lavrov (S.L.) : C’est sans doute un ensemble de facteurs et de raisons. Il n’est probablement pas très agréable de voir quelle est l’effectivité du travail de nos militaires en comparaison de celui que poursuit la coalition créée par les Etats-Unis depuis plus d’un an et qui a effectué, à mon avis, environ 60 000 vols, dont la moitié devaient être des vols de combat, mais dont on ne voit pas de résultats positifs «au sol». Au contraire, l’Etat islamique et d’autres groupes terroristes tels que Jabhat al-Nosra, une branche d’Al-Qaïda, n’ont fait qu’étendre leur influence et leurs territoires, dans lesquels ils créent leur califat en organisant la vie des gens conformément à leurs droits. En général, c’est un nouveau genre de terrorisme. Nos collègues essaient de nous dire que Daesh a pu se former seulement parce que la crise en Syrie a duré, et maintenant la Syrie attire comme un aimant tous les sunnites, parce que les alaouites recourent à la force contre les sunnites pour ne pas leur céder le pouvoir. C’est un pari très dangereux. J’ai parlé à nos collègues, avec le secrétaire d’Etat américain John Kerry, avec nos partenaires européens sur le fait qu’il est inadmissible d’essayer de réduire ce conflit à une opposition à l’intérieur de l’islam. Nous luttons tous contre le terrorisme. C’est ce qu’a déclaré le président russe Vladimir poutine.

Je répète que si nos partenaires sont mal à l’aise parce qu’ils n’ont pas atteint de résultats notables, il faut quand même se transcender et décider de ce qui est plus important : un faux sentiment de dignité ou priver le monde de la menace la plus effrayante de ces dernières décennies.

Nous n’avons aucun doute qu’une partie considérable des armes américaines tombe dans les mains des terroristes.

Il y a encore une raison, et il faut l’examiner, je le demande régulièrement mes interlocuteurs des ministères des Affaires étrangères. Peut-être que le but déclaré [de la coalition] n’est pas tout fait vrai ? Peut-être que le but est un changement de régime ? Ils ne renoncent pas à leur position d’arriver à un règlement final en Syrie que quand Bachar el-Assad sera tombé.

Question : Des experts disent que si le régime de Bachar el-Assad tombe, il y aura un grand chaos au Moyen-Orient.

S.L. : Des experts le disent, nous le disons aussi. Nous ne voulons pas la répétition d’événements où, je le répète, ils n’ont pas seulement été dégoûtés de coopérer avec les terroristes, mais où ils ont misé sur eux, ont armé des extrémistes. Nos collègues français qui parlent tant et à voix haute sur la nécessité de respecter le droit international, ont livré des armes aux adversaires de Mouammar Kadhafi dans le cadre de la crise libyenne malgré la résolution prise par consensus qui interdisait de livrer des armes à n’importe qui en Libye, et en plus, ils en parlaient publiquement, bravant même le fait qu’ils le faisaient en violant une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU. Avec ces mêmes armes, les terroristes ont ensuite tiré contre les contingents français en Afrique, notamment au Mali. Au Mali, ils ont lutté contre ceux qu’ils ont créés et armés.

Ces doubles standards sont évidents et nous devons nous positionner, faut-il, comme un groupe de pays l’estime, détruire un autre régime, mettre en ruines un autre Etat…Au cours de dix-quinze dernières années, nous avons vécu l’Irak et la Libye, maintenant la crise en Syrie, c’est la même chose.

En savoir plus : L’armée syrienne, aidée de l’aviation russe, a libéré la ville de Al-Bahsa, au nord de Hama

Question : Une agence occidentale respectée, citant des sources anonymes, a publié qu’au cours d’une visite en Russie, un représentant de l’Arabie saoudite aurait proposé à la Russie de rejoindre la coalition dirigée par les Etats-Unis. Est-ce que c’est vrai ?

S. L. : Non, ce n’est pas vrai. J’ai entendu parler de plusieurs déclarations de certaines sources citées par Reuters selon lesquelles nous aurions été prévenus qu’il y aurait des conséquences désastreuses. Ce n’est pas vrai. Les discussions ont porté sur la même chose qu’avec vous : la nécessité de coordonner les efforts. Il a été clairement confirmé que nous luttions contre le terrorisme, et non pas contre l’opposition syrienne patriotique. Au contraire, nous voulons coordonner nos efforts avec cette opposition patriotique syrienne et l’aider à récupérer les territoires conquis par les terroristes, comme nous aidons l’armée du gouvernement syrien à reconquérir les localités après nos frappes contre les positions de Daesh, de Jabhat al-Nosra et d’autres groupes terroristes…Il me semble important de dire que nous avons eu une conversation honnête et franche avec le prince héritier d’Arabie saoudite. Toutes les inquiétudes de nos collègues saoudiens, sur le fait que nous ayons d’autres objectifs et qu’en aidant l’armée syrienne nous ne luttons pas contre le terrorisme mais sauvons le régime, ont été levées. Nous avons expliqué nos vrais buts, nous ne les cachons pas, il me semble que la compréhension de notre position s’est considérablement renforcée.

 

Syrie: 86 positions de l'EI bombardées par la Russie en 24 heures

De quoi faire enrager l'Union Européenne qui a eu le culot de demander à Moscou de cesser ses frappes en Syrie ! De quoi ont-ils peur ?

Syrie: l'UE appelle Moscou à cesser ses frappes
Par Le Figaro.fr avec AFP
Mis à jour le 12/10/2015 à 15:02 Publié le 12/10/2015 à 14:54

L'UE a appelé aujourd'hui la Russie à «cesser immédiatement» les frappes qui visent l'opposition modérée en Syrie et estimé qu'il «ne peut y avoir de paix durable avec les dirigeants actuels» alors que Moscou défend le président Bachar al-Assad.

La réaction de la Syrie au communiqué de l’UE

Oct 13, 2015 17:34 UTC : IRIB- Le gouvernement syrien a condamné le communiqué de l’UE, sur l’arrêt des opérations anti-terroristes russes, en Syrie. L’UE européenne a demandé, hier, lundi, l’arrêt immédiat des opérations aériennes russes contre les positions des terroristes, qu’elle a appelé «les opposants "modérés" syriens».

 

Syrie: 86 positions de l'EI bombardées par la Russie en 24 heures

13:35 13.10.2015(mis à jour 15:10 13.10.2015)

avion russe,Syrie

Les forces aériennes russes ont frappé 86 positions de l'Etat islamique en Syrie ces dernières 24 heures, a annoncé mardi le porte-parole du ministère russe de la Défense Igor Konachenkov.

Au total, les avions russes ont réalisé 88 sorties depuis la base syrienne de Hmeimim et détruit des objets d'infrastructure de l'EI dans les provinces de Raqqa, de Hama, d'Idleb, de Lattaquié et d'Alep, a précisé le porte-parole.

Parmi les objets visés par des frappes russes figuraient des centres de commandement, des dépôts de munitions, des véhicules de combat, des usines de substances explosives et des bases arrières des terroristes.




 

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13/10/2015

Attentat : Plusieurs explosions ont retenti près de l’ambassade russe en Syrie

Et bien sûr c'est un hasard, au moment où depuis près de 15 jours la Russie demande à la coalition criminelle qui lutte contre Assad de leur communiquer les cordonnées de l'EI, et que la Russie découvre que la nouvelle alliance d'opposition en Syrie inclut des collaborateurs de Daesh.

Moscou : la nouvelle alliance d'opposition en Syrie inclut des collaborateurs de Daesh

Lavrov qualifie d'attentat l'attaque de l'ambassade russe à Damas

L'attaque de notre ambassade est un attentat visant à impressionner les partisans de la lutte contre le terrorisme et les empêcher de remporter la victoire dans la lutte contre les extrémistes", a déclaré le chef de la diplomatie russe

Qui a livré hier, 50 tonnes de munitions aux mercenaires de la soi-disant armée modérée et  dont le nombre se résume à 5 personnes ?

Les Etats-Unis auraient fourni 50 tonnes de munitions aux rebelles syriens «modérés»

Qui se trouvait en délégation aux frontières du Liban qui  s’est concentrée sur certaines régions frontalières dont les voies de passage clandestin et a examiné in situ la situation géographique et sécuritaire dans la région.

Une délégation américaine aux frontières du Liban

 

Plusieurs explosions ont retenti près de l’ambassade russe en Syrie

D'après des témoins, cités par l'agence de presse RIA Novosti, plusieurs obus ont explosé près de l'ambassade de Russie à Damas pendant un rassemblement soutenant les actions de la Russie en Syrie.

Aucune victime n’a été signalée parmi les employés de l’ambassade, a annoncé à l’agence l'un des diplomates.

«Deux tirs de mortiers ont visé près de 10h15 le territoire de l’ambassade russe à Damas», a raconté le Premier secrétaire Eldar Kourbanov, en ajoutant que personne n’a été blessé au sein de l’institution, mais que les explosions ont causé certains dégâts matériels.

Une source policière a fait savoir à RIA Novosti qu’aucun manifestant n’a été blessé.

«Il n’y a pas de victimes parmi les participants du rassemblement près de l'ambassade russe à Damas, où des mesures de sécurité renforcées ont été prises», a déclaré la source.

 

Une explosion retentit lors d'un rassemblement en soutien à la politique russe en Syrie


 

Les responsables de l'explosion toujours inconnus

«C'est un acte terroriste évident, qui a eu pour but d'effrayer tous ceux qui luttent contre le terrorisme international», a déclaré le chef de la diplomatie russe Serguei Lavrov, mardi à Moscou, faisant référence aux explosions qui ont lieu ce matin lors d'un rassemblement pro-russe près de l'ambassade de Russie à Damas.

Il a souligné que les autorités étaient en train de dresser la liste des coupables, sachant que les environs de Damas sont contrôlés par différents groupes extrémistes y compris Daesh, le Front al-Nosra et l'Armée de l'Islam.