Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

19/10/2015

Bombardements en Syrie: Londres va demander l'aide de Pékin

C’est sûr est certain que le président Chinois entrera en conflit avec Poutine pour aider la Grande Bretagne à poursuivre ses plans sataniques en Syrie.

M. Cameron envisage de demander à Xi Jinping d'utiliser son influence auprès de Moscou pour convaincre le Kremlin de ne pas mettre d'obstacles à la réalisation des plans britanniques en Syrie. "Le Royaume-Uni ne cible que l'Etat islamique", estime le Sunday Mirror.

Réponse de XI Ping : Le gouvernement chinois exerce une politique de non-ingérence dans les affaires extérieures d'autres pays et insiste sur le fait que les conflits tant internationaux que locaux doivent être résolus pacifiquement.

"Nous (le gouvernement chinois, ndlr) sommes toujours d'avis que les problèmes d'un pays doivent être traités par son propre peuple, et quant aux problèmes mondiaux, il faut les résoudre par voie de consultations entre les peuples de tous les pays", a mis en exergue le chef d'Etat chinois.

 

Il ferait mieux de s’occuper d’éradiquer les réseaux pédophilies qui grouillent en Grande Bretagne au lieu d’aller s’occuper de la Syrie !

Plus de 1400 suspects de pédophilie identifiés en Grande-Bretagne

Bombardements en Syrie: Londres va demander l'aide de Pékin

20:23 18.10.2015

British prime minister David Cameron speaks during a press conference, on the second and final day of an EU summit at the EU Headquarters in Brussels on June 26, 2015

Le Royaume-Uni envisage de demander l'aide de la Chine dans le cadre des bombardements des positions des terroristes en Syrie. Le premier ministre britannique David Cameron s'apprête à évoquer la question avec le président chinois Xi Jinping, selon les médias.

M. Cameron profitera de la visite du dirigeant chinois au Royaume-Uni, qui commence le 19 octobre, pour demander de l'aide dans la lutte contre l'Etat islamique, rapporte le quotidien britannique Sunday Mirror.

Selon le quotidien, le chef du gouvernement britannique cherche à éviter tout affrontement potentiel entre les chasseurs russes et l'armée de l'air du Royaume-Uni. M. Cameron envisage de demander à Xi Jinping d'utiliser son influence auprès de Moscou pour convaincre le Kremlin de ne pas mettre d'obstacles à la réalisation des plans britanniques en Syrie. "Le Royaume-Uni ne cible que l'Etat islamique", estime le Sunday Mirror.

 En septembre 2014, le parlement britannique a donné son approbation à des frappes aériennes contre les djihadistes en Irak. Ce document ne prévoit pas de bombardements en Syrie.

Plus de deux tiers des Britanniques soutiennent les actions de la Russie en Syrie, selon un sondage réalisé par le quotidien The Daily Express. Le quotidien annonce que 71% des sondés ont répondu par l'affirmative à la question: "Soutenez-vous les frappes russes en Syrie?" posée à plus de 27.000 Britanniques.

 

Renouveau de la puissance militaire russe: pourquoi les occidentaux se sont trompés

Les occidentaux ont sûrement cru que la Russie était encore au Moyen âge.

Renouveau de la puissance militaire russe: pourquoi les occidentaux se sont trompés

17:51 18.10.2015 (mis à jour 18:23 18.10.2015)

Défilé militaire sur la Place Rouge

Dans son analyse de la réforme militaire russe, le Conseil européen des affaires étrangères (ECFR) conclut que les analystes occidentaux travaillant dessus n'ont pas été capables de déceler ses progrès réalisés de manière optimisée ni sa capacité de combat croissante.

Le nouveau rapport de l'ECFR a mis en évidence que la réforme militaire à grande échelle avait été faussement interprétée, et son efficacité sous-estimée par les États-Unis et l'Europe, annonce The Diplomat, un magazine japonais.

Les États-Unis et l'Europe ont porté une attention particulière à la troisième phase de ses réformes, encore inachevée, et ont fermé les yeux sur les progrès impressionnants atteints lors des premières étapes, fait remarquer le Diplomat.

"Premièrement, (le progrès est dû, ndlr) au professionnalisme croissant grâce à la révision de la formation du personnel ainsi qu'à la réduction du nombre des appelés du contingent; et deuxièmement, à la capacité opérationnelle améliorée grâce à la structure de commandement rationalisée et à des exercices de formation supplémentaires; troisièmement, enfin, grâce au réarmement et à la modernisation de l'équipement", explique le magazine.

Les forces militaires russes ont introduit plus de sous-officiers supérieurs, ce qui a bousculé le système existant:

"Pour la première fois, l'armée russe s'est dotée d'une structure pyramidale avec peu de décideurs en haut et plus d'officiers au service des troupes", souligne l'étude.

Cela a permis aux troupes de mettre en application plus d'équipements de haute technologie (les appelés servant pour une période trop courte pour être formés à l'utilisation d'armes très complexes d'une manière efficace) et augmenté la combativité des forces d'élite (parachutistes, infanterie navale, forces spéciales)", explique le Conseil européen.

Les analystes occidentaux exagèrent les difficultés auxquelles l'armée russe s'est confrontée durant la 3ème phase de la reforme actuellement inachevée, celle du réarmement, pourtant ils ne sont pas intéressés au fond des réorganisations, précise le Diplomat.

Cela reflète l'incompréhension des objectifs de la réforme. Elle ne prévoit pas une modernisation capitale des équipements militaires durant les premières étapes. Elle vise cependant l'augmentation de l'efficacité du travail avec des équipements déjà existants, ce qui mène à l'augmentation de la productivité de toute la structure, fait remarquer le magazine. Les analystes oublient en outre l'approche russe unique consistant à marier parfaitement les méthodes conventionnelles et non conventionnelles pour mener une guerre.

 

Syrie: "la base militaire russe donnera un sentiment de sécurité"

La décision n'a pas encore été prise, mais c'est une excellente idée pour protéger les citoyens Syriens. 

Il faudrait plusieurs bases militaires russes dans tous les pays du Moyen Orient et d’Afrique pour assurer la paix et la sécurité à tous ces pays.

 

Syrie: "la base militaire russe donnera un sentiment de sécurité"
15:32 17.10.2015(mis à jour 15:33 17.10.2015)

Des Syriens disant merci à la Russie, Damas, Syrie

Les autorités de la province syrienne de Lattaquié saluent l'installation éventuelle d'une base militaire russe.

L'installation éventuelle d'une base militaire russe dans la province syrienne de Lattaquié (nord-ouest) permettrait à ses habitants de se sentir plus en sécurité, a déclaré le gouverneur de la province Ibrahim al-Salim dans une interview accordée aux journalistes russes.

M.al-Salim a expliqué que depuis l'arrivée de l'aviation russe, les gens se sentent protégés.

 "Cela leur a donné l'espoir d'une victoire sur les terroristes. Voilà pourquoi nous saluons la création d'une base militaire russe chez nous", a-t-il expliqué tout en remerciant l'aviation russe pour son aide dans la lutte contre les combattants (du groupe djihadiste Etat islamique, ndlr).

"Ces cinq dernières années, la Syrie lutte contre le groupe terroriste le plus grand dans le monde. Le peuple syrien et l'armée résistent avec courage aux terroristes armés. L'aide de la Russie dans cette lutte, l'assistance aux troupes d'infanterie syriennes effectuée depuis les airs est très importante pour nous", a annoncé Ibrahim al-Salim aux journalistes.

"Je suis sûr que le soutien fourni par l'Armée de l'air russe et les actions de l'infanterie et de la flotte syriennes aboutiront à la victoire définitive sur ce fléau et à la libération de la patrie. Cela donnera de nouvelles possibilités du développement à tous les pays du monde", a-t-il ajouté.

Selon lui, près de 1.500.000 personnes déplacées des autres régions de la Syrie, notamment des provinces de Raqqa, d'Idleb, d'Alep et de Deir ez-Zor, résident actuellement dans la province de Lattaquié.

"Nous avons essayé de les loger, de leur donner la possibilité de travailler ou d'étudier pour leurs enfants", a fait savoir Ibrahim al-Salim.

 Vendredi le vice-chef de l'état-major de l'armée russe, Andreï Kartapolov, a déclaré que l'état-major de l'armée russe n'excluait pas la possibilité d'installer une base militaire en Syrie comprenant un corps d'infanterie et des forces navale et aérienne à Lattaquié.

Le 30 septembre, l'Armée de l'air russe a entamé une opération militaire contre l'EI en Syrie sur décision du président russe Vladimir Poutine et à la demande du président syrien Bachar el-Assad. Les frappes aériennes russes ciblent les sites militaires, les centres de communication, les transports, ainsi que les stocks d'armes, de munitions et de combustible appartenant à l'EI.

Le 7 octobre, des missiles russes ont également été tirés sur les sites de l'EI depuis des navires en mer Caspienne.

Au total, l'aviation russe a réalisé près de 700 vols en Syrie en effectuant plus de 500 frappes contre les positions de l'EI en Syrie depuis le début de l'opération aérienne le 30 septembre dernier. Les navires de la Flottille russe de la Caspienne ont en outre tiré 26 missiles de croisière Kalibr.

 

 

Des armes américaines "perdues" retrouvées chez Daech

Pas perdues pour tout le monde, puisqu'ils continuent à armer leurs mercenaires de l'EI, CIA/Mossad !

Des armes américaines "perdues" retrouvées chez Daech

19:43 16.10.2015 (mis à jour 20:14 16.10.2015)

 

Les forces de sécurité irakiennes affichent un drapeau d`État islamique et des munitions confisquées

 

Des armes et des munitions "perdues" par les Américains ont été retrouvées par des soldats irakiens dans les régions débarrassées des terroristes de l'Etat islamique.

Lors d'une opération visant à libérer les territoires occupés par l'Etat islamique (Daech), des militaires irakiens ont découvert un hangar rempli d'armes américaines, rapporte le magazine en ligne Alles Schall und Rauch (ASuR).

Et bien que le Pentagone affirme que ces armes "ont disparu l'année dernière", personne, semble-t-il, n'accorde foi à cette allégation, souligne le magazine.

"Le Pentagone a confirmé lundi que l'armée irakienne avait découvert un vaste entrepôt appartenant à Daech et contenant un grand nombre de munitions américaines, ainsi que des roquettes antichars sophistiqués TOW-2. Cette cache d'armes a été découverte au moment où les militaires irakiennes ont repris des régions auparavant contrôlées par l'Etat islamique", indique l'ASuR.

"Interrogé par les journalistes, le porte-parole du Pentagone a reconnu qu'il s'agissait d'armes «disparues» l'année dernière, mais a nié que les Etats-Unis les avaient délibérément livrées à Daech", constate le magazine.

Les médias irakiens rapportent toutefois que les munitions et les roquettes avaient été parachutées par les Américains. Les porte-paroles de l'US Army nient cette information et la qualifient de "propagande", affirme l'ASuR.

"Oui, oui, niez tout et faites comme si vous étiez innocents. Personne ne vous croira", écrit le magazine, ajoutant que le stock découvert atteste que les Etats-Unis fournissaient à Daech non seulement des armes et des munitions, mais aussi des médicaments et même des denrées alimentaires.

En réalité, Washington combat aux côtés de l'Etat islamique. Quant aux Russes, on les traite de "méchants", car ils mènent une lutte efficace contre les terroristes. Le magazine considère la politique médiatique américaine comme une "déformation complète des faits".

"Washington et l'Occident en général montrent chaque jour qu'ils sont du côté des terroristes de l'Etat islamique. Un exemple? Les Etats-Unis et leurs laquais européens ont refusé de soutenir la déclaration du Conseil de sécurité de l'Onu dans laquelle le bombardement de l'ambassade de Russie à Damas était qualifié d'acte terroriste", rappelle l'ASuR.

Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a commenté ce comportement dans les termes suivants: "Il est dommage que nos collègues américains ne se mettent pas du côté de ceux qui se battent contre le terrorisme et qui condamnent les attaques terroristes. Deux poids deux mesures! Nous devons malheureusement le constater de nouveau".

 

 

Syrie: le Pentagone dément avoir livré des armes aux Kurdes

Eh oui, il ne faut pas frustrer la Turquie, par contre qu'ils entravent les missions militaires russes, en continuant à armer leurs mercenaires, c'est tout à fait normal !

Le président russe Vladimir Poutine avait auparavant prévenu que les armes livrées par les Etats-Unis à l'Armée syrienne libre (ASL) risquaient de tomber encore entre les mains des djihadistes de l'EI.

 

Syrie: le Pentagone dément avoir livré des armes aux Kurdes

18:55 16.10.2015

Rebelles syriens

Les forces de la coalition internationale conduite par les Etats-Unis ont largué dimanche dernier 50 tonnes de munitions à des rebelles anti-EI dans le nord de la Syrie, la Turquie craint que ces armes ne tombent entre les mains des Kurdes.

Les munitions parachutées dimanche étaient destinées uniquement aux "groupes arabes" soigneusement sélectionnés de l'opposition syrienne modérée combattant les djihadistes de l'Etat islamique (EI) et non aux Kurdes, a précisé le Pentagone, soucieux d'éviter les frictions avec son allié turc. 

"Les munitions larguées depuis des avions cargo C-17 ont été reçues par des groupes arabes, dont les chefs ont été soigneusement vérifiés. Ces groupes font partie de la +Coalition arabe syrienne+ qui mène des combats dans le nord-est de la Syrie où se trouve le bastion de l'EI", a annoncé à RIA Novosti un représentant du service de presse du Pentagone sans mentionner les peshmergas (combattants kurdes). 

Pourtant, le porte-parole du Pentagone Peter Cook avait auparavant supposé qu'une partie des munitions larguées dans la province syrienne d'Hassaké aurait pu tomber entre les mains des Kurdes combattant l'EI, ce qui a provoqué un tollé à Ankara. 

A l'heure actuelle, les Kurdes en Irak et en Syrie mènent une lutte armée contre l'EI. En Irak, ils bénéficient régulièrement d'une assistance militaire des Etats-Unis et de leurs alliés, ainsi que de la Russie qui le fait à la demande officielle de Bagdad. 

Bien que la Turquie où vivent plusieurs millions de Kurdes soit un allié des Etats-Unis dans la lutte contre l'EI dans la région, elle craint que les armes ne tombent entre les mains des combattants du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) qu'Ankara qualifie d'organisation terroriste.  

Le premier ministre turc Ahmet Davutoglu a prévenu Washington et Moscou de l'inadmissibilité d'une assistance militaire aux Kurdes syriens. La Russie a répondu ne pas accorder de telle assistance.

Le programme de formation et d'équipement, lancé début 2015 et doté de 500 millions de dollars, devait concerner environ 5.000 rebelles syriens. Au final, il n'a permis de former que quelques dizaines de combattants. Les militaires américains ont notamment été forcés de reconnaître que certains de ces combattants avaient remis une partie de leur équipement au Front al-Nosra, la branche syrienne d'Al-Qaïda.

Le président russe Vladimir Poutine avait auparavant prévenu que les armes livrées par les Etats-Unis à l'Armée syrienne libre (ASL) risquaient de tomber encore entre les mains des djihadistes de l'EI.