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15/03/2011

Tokyo se prépare à la prochaine catastrophe

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Tokyo se prépare à la prochaine catastrophe

La menace d'une violente réplique plane sur Tokyo. © Feng Wuyong / Xinhua / Sipa

De notre envoyé spécial à Tokyo, Sébastien Falletti

Tokyo retient son souffle. Sur les avenues du quartier chic de Ginza, quelques couples endimanchés font du lèche-vitrine comme si de rien n'était. Deux jours après le violent séisme qui a fait tanguer les immeubles de la mégalopole japonaise, la vie tente de reprendre timidement son cours, mais le coeur n'y est pas.

Une nouvelle catastrophe

Dans les supermarchés, les étalages sont dévalisés : les biscuits, le lait, l'eau, les soupes instantanées ont été raflés par les habitants. Car les Tokyoïtes se préparent avec flegme à une nouvelle catastrophe. Ikumi, employée dans une grande entreprise européenne, fait ses courses et s'apprête à reprendre le travail comme chaque lundi. "Mais j'ai préparé une valise d'urgence en cas d'évacuation", ajoute la jeune femme.

Après le tremblement de terre de 8,9 sur l'échelle de Richter qui l'a frappée vendredi, la mégapole attend dans le calme une réplique de forte puissance pour les heures ou les jours à venir. L'agence météorologique nationale a jeté un froid en affirmant qu'il y avait 70 % de chances qu'un séisme de niveau 7 frappe la mégalopole dans les trois prochains jours. "Séisme de niveau 7, c'est Haïti", prévient Pierre Mouroux, expert à l'Association française du génie parasismique. De quoi convaincre la France d'appeler ses ressortissants à quitter la capitale.

Traumatisés par le nucléaire

"Bien sûr, il y a la peur du big one. Mais ce qui m'inquiète vraiment, c'est une catastrophe nucléaire", explique Shogo Hagiwara, traducteur de 37 ans. Le big one, c'est le cataclysme que les experts prédisent à la capitale depuis des décennies, une répétition du terrible tremblement de terre du Kanto en 1923 qui avait fauché plus de 150 000 personnes.

Mais c'est l'accident à la centrale nucléaire de Fukushima, à 200 kilomètres au nord de la capitale, qui plonge l'archipel dans l'inconnu. En cas d'explosion nucléaire, des vents défavorables pourraient répandre des particules radioactives sur la capitale en quelques heures.

Surtout, la population ne croit pas aux propos rassurants des autorités, soupçonnées de minimiser la gravité de la situation afin d'éviter un mouvement de panique. "Sur le nucléaire, le gouvernement ne dit pas la vérité", assène Makiko Wakai. Au lendemain du séisme, cette jeune trentenaire est rentrée en catastrophe dans l'archipel pour retrouver sa famille. "Si nous devons tomber, je préfère être avec les miens", conclut-elle en souriant.

http://www.lepoint.fr/monde/tokyo-se-prepare-a-la-prochaine-catastrophe-13-03-2011-1305799_24.php?xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20110314

 

Accident nucléaire au Japon : nouveau risque d'explosion

Dépêchez-vous d'acheter et de stocker des Algues et du Miso avant que le nuage radioactif n'arrive chez nous !
Comme vous l'avez compris, les cataclysmes vont aller en s'amplifiant et les risques d'accidents nucléaires risquent de se multiplier dans un futur proche.
Vous avez donc tout intérêt à faire des réserves pour quelques temps pour vous et vos enfants.

Dans le bon de commande ci-dessous vous pourrez commander des flacons de 200 gélules contrairement au conditionnement des gélules d'algues que vous trouverez à beaucoup plus cher dans les pharmacies pour seulement 40 gélules par flacon.

Bon de commande pour acheter vos algues ou vos produits naturels, en PDF :
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L'iode est un produit contingenté en France et n'est délivré que par les pharmacies sur Ordre de l'Etat.
N'attendez pas qu'il soit trop tard !
Lisez bien ce que nous disent les criminels de l'OMS. Pour le vaccin contre le virus imaginaire de la GrippeA/H1N1, ils nous ont mené une campagne médiatique terroriste durant des mois, et là, le risque de contamination radioctive est faible selon eux.

L'organisation mondiale de la santé  (OMS), la référence en matière de santé publique, avait emboîté le pas samedi aux autorités japonaises et européennes en estimant peu préoccupants les risques d'émanations radioactives de la centrale de Fukushima suite au premier incident. "A l'heure actuelle, il semble que les risques pour la santé publique soient assez faibles. Nous constatons que le niveau de radiations émises par une centrale nucléaire est très bas", a déclaré Gregory Hartl, porte-parole de l'OMS.
  
Sauf que l'atome ne connaît pas de frontières et que la radioactivité se déplace avec les vents.
La particule de Césium a une durée de vie trentenaire. Ce qui veut dire en clair, que si elle est véhiculée par les vents et rabattue sur les terres avec les pluies, nous la trouverons durant 30 ans, dans nos aliments et les nappes phréatiques.

Accident nucléaire au Japon : nouveau risque d'explosion

le 12 mars 2011 à 23h01, mis à jour le 12 mars 2011 à 23:25

 

Dossier : Le Japon après le séisme

L'opérateur d'une centrale nucléaire du nord-est du Japon a déclaré dimanche matin (heure locale) qu'un deuxième réacteur donnait des signes de problèmes, avec risque d'explosion, dans la même centrale où une explosion s'était produite la veille. Dimanche au petit matin (heure locale), la compagnie Tokyo Electric Power (Tepco), propriétaire de la centrale de Fukushima, tentait de trouver d'urgence  un moyen d'acheminer de l'eau vers le troisième réacteur de sa centrale de Fukushima, son système de refroidissement étant inopinément tombé en panne. C'est dans cette même centrale qu'une explosion avait fait, la veille, s'effondrer le toit du bâtiment sur un premier réacteur.  

L'organisation mondiale de la santé  (OMS), la référence en matière de santé publique, avait emboîté le pas samedi aux autorités japonaises et européennes en estimant peu préoccupants les risques d'émanations radioactives de la centrale de Fukushima suite au premier incident. "A l'heure actuelle, il semble que les risques pour la santé publique soient assez faibles. Nous constatons que le niveau de radiations émises par une centrale nucléaire est très bas", a déclaré Gregory Hartl, porte-parole de l'OMS.
 
Mais les craintes d'un accident nucléaire majeur étaient vives samedi soir, notamment chez la population japonaise vivant à proximité de cette centrale, Fukushima n°1, située à 150 km de Tokyo, où est survenue une explosion samedi à la suite du très fort séisme et du tsunami. Samedi, des milliers de Japonais évacués des zones proches des installations nucléaires de Fukushima ont été passés samedi au scanner, angoissés par la crainte d'avoir été irradiés. Dans les centres d'évacuation, des secouristes, portant des masques de protection et des vêtements spéciaux, passaient les habitants de la région au scanner pour vérifier l'exposition aux radiations. "Il y a des fuites de radiation, et depuis que l'on sait que la possibilité d'avoir été exposé est grande, on est assez effrayés", confiait Masanori Ono, jeune homme de 17 ans, dans une file d'attente à Koriyama

L'explosion, qui s'est produite à 15H36 heure locale (06H36 GMT), a fait plusieurs blessés parmi les employés. Cet accident nucléaire a été classé au niveau 4 sur l'échelle de gravité des événements nucléaires et radiologique allant de 0 à 7, selon l'Agence japonaise de sécurité nucléaire et industrielle, un niveau qui qualifie les accidents n'entraînant par de risque important hors du site, selon l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).

Entre 70 et 160 personnes auraient été exposées
  
Le chef du gouvernement a ordonné l'évacuation des habitants dans un rayon de 20 kilomètres autour de la centrale, tout en appelant la population locale à garder son calme. A propos de la situation à la centrale de Fukushima N°1, le porte-parole du gouvernement, Yukio Edano, s'est voulu rassurant : citant l'exploitant, Tokyo Electric Power (Tepco), il a souligné que le caisson du réacteur n'avait pas subi de dégâts et que les radiations avaient par la suite diminué. L'Agence japonaise de sécurité nucléaire et industrielle a jugé peu probable que le caisson eût été gravement endommagé, après avoir d'abord averti qu'une fusion pourrait être en cours dans le réacteur. Du césium radioactif a en effet été détecté aux alentours de la centrale, ce qui atteste généralement qu'un tel phénomène est en train de se produire, a noté un expert.
  
Selon l'agence Kyodo, la radioactivité reçue en une heure par une personne se trouvant sur le site correspond à la limite de radioactivité à ne pas dépasser annuellement. Les autorités japonaises ont informé l'Agence internationale pour l'énergie  atomique (AIEA) qu'"il y avait eu une explosion près du réacteur N°1 de la centrale de Fukushima-Daiichi et qu'elles étaient en train d'évaluer l'état du réacteur". A la centrale proche de Fukushima-Daini, le rayon d'évacuation des riverains est de 10 km, a précisé l'AIEA. "Les autorités ont également indiqué qu'elles se préparaient à distribuer des comprimés d'iode aux habitants des zones proches des deux centrales", a ajouté l'agence onusienne. Dimanche matin, le nombre de personnes exposées à des radiations du fait des problèmes de la centrale de Fukushima Daiichi pouvait s'élever au bout du compte entre 70 et 160, selon l'agence nucléaire nippone. Neuf personnes ont montré d'ores et déjà des signes possibles d'exposition aux radiations selon la même source.

 

Le vent emporte l'éventuelle radioactivité vers la mer

La direction des vents permet de chasser une éventuelle pollution radioactive vers le Pacifique, après l'explosion survenue dans une centrale sur la côte nord-est du Japon, a indiqué samedi le président de l'Autorité française de sûreté nucléaire (ASN). "Il semble que la direction des vents éloigne pour le moment une éventuelle pollution vers le Pacifique", a déclaré André-Claude Lacoste devant la presse. "A l'évidence, la situation est grave", a-t-il estimé, tout en soulignant que ses services disposent à ce stade "d'une information parcellaire, incomplète et donc de qualité médiocre, les interlocuteurs naturels de l'ASN se concentrant sur la gestion de la crise", a-t-il expliqué. Par ailleurs, l'Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) veillera à surveiller le territoire français en temps réel pour mesurer toute anomalie. Une réunion se tiendra en fin d'après-midi samedi autour de la ministre de l'Ecologie pour faire le point sur la situation après l'explosion dans une centrale nucléaire au Japon. Et la Commission européenne va convoquer "en  début de semaine prochaine" une réunion des autorités européennes chargées de  la sécurité nucléaire et l'industrie du secteur pour tirer les leçons de l'incident nucléaire au Japon.


Explosions de réacteurs au Japon : comment se protéger des risques nucléaires ?

A DIFFUSER LARGEMENT MERCI
 
    
Quelques éléments pour vous informer sur les risques nucléaires et quelques conseils pour vous protéger, en sachant qu'il n'existe aucun moyen pour vous protéger à 100 % contre les radiations nucléaires.
Ne retenez de ces éléments, que ce qui peut servir à protéger votre santé en éliminant la propagande inutile et les médias mensonges.
Il y a un grave problème à régler et il faut le régler en nous protégeant, dès maintenant, sans nous reposer sur les déclarations farfelues des politiques aux ordres des lobbies en tous genres.
Dès lors que l'on vous parle des soi-disant "autorités" de ceci et de cela, OMS et toute la clique, fuyez et surtout écoutez votre bon sens et vos ressentis.
Ce d'autant plus qu'après des accidents nucléaires, si la fusion complète des réacteurs a lieu, ce qui est tout à fait probable, et que le caisson protecteur cède, les rejets seront plus nombreux et le risque, même en France, en Europe et dans le monde ne pourra qu’augmenter..
D’autant que les émanations radioactives pourraient s’échapper des réacteurs atteints pendant plusieurs semaines voire des mois ou des années !
Par ailleurs ne confondez pas la prise d'iode (iodure de potassium) qui est un produit contingenté qui nécessite un encadrement et qui n'est dispensé par les pharmacies que sur ordre de l'Etat, avec les algues et tous les produits alimentaires ou compléments alimentaires qui contiennent de l'iode que vous avez intérêt à prendre et à consommer pour protéger votre thyroïde. Prenez vos précautions dès maintenant en stockant des algues et en achetant du Miso.


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Nos conseils : ne vous reposez pas sur les politico-mensonges ou médias-mensonges pour commencer à vous prendre en charge dès maintenant. L'information politique et médiatique sont bonnes si elles tombent sous le bon sens, pas quand elles vont à l'encontre des intérêts et de la santé de chacun d'entre-nous.
Surtout lorsque l'on lit des déclarations de politiques qui nous assurent que "l'énergie atomique est une bonne énergie". Nous avons compris !
Idem pour l'OMS qui nous a fait à plusieurs reprises la démonstration que cet organisme était plus enclin à nous laisser nous empoisonner notamment par le biais des vaccins tueurs que de protéger notre santé. 

Conservez votre bon sens et votre esprit de discernement et écoutez vos ressentis. Une chose est sûre : les radiations nucléaires sont extrêmement nocives pour la santé. 

Pour rester informés sur l'évolution des risques qui existent déjà pour votre santé, nous vous invitons à suivre le blog du Réseau Sortir du Nucléaire par le lien suivant :
Les derniers communiqués de presse :

http://www.sortirdunucleaire.org/index.php?menu=actualites&sousmenu=communiques&page=index


1 - Explosions de réacteurs au Japon : comment se protéger des risques nucléaires ?
http://sante.planet.fr/actualites-explosions-de-reacteurs-au-japon-comment-se-proteger-des-risques-nucleaires.57106.2071.html
Un nuage dit "faiblement" radioactif s'est échappé de la centrale de Fukushima au Japon, samedi 12 mars. D'autres réacteurs nippons actuellement en difficulté pourraient eux aussi donner naissance à des émanations radioactives. Comme celui de Tchernobyl, ces nuages pourraient-ils parvenir jusqu'en France ? Peut-on s'en protéger ? Faut-il acheter de l'iode ? Faut-il comme Singapour, s'inquiéter d'une contamination radioactive des aliments asiatiques ?  
Télécharger tout l'article : ICI


Sources
- Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies relatives

- Greenpeace
- Autorité de sécurité nucléaire

http://sante.planet.fr/actualites-explosions-de-reacteurs...

13/03/2011

Japon : les victimes du tremblement de terre, du tsunami et de la catastrophe nucléaire auraient pu être évitées ! Un scandale et un crime de plus !

Les scientifiques nous ont toujours indiqué qu'il était difficile de prévoir à l'avance les tremblements de terre et les tsunamis. Nous voulons bien les croire, mais...car il y a un mais !

Ils ont à leur disposition des moyens de prévoir à l'avance la survenue des tremblements de terre et des tsunamis, s'ils sont capables d'interpréter à temps les données qui leur sont communiquées.

Et ils ont le devoir d'être interpellés quand des phénomènes rares se produisent et qu'ils sont de surcroît concentrés dans la même région !
 
La preuve ? Les relevés des désastres enregistrés dans le monde, journellement.
 
En regardant cette carte des désastres dans le monde, nous avons remarqué qu'au Japon au cours des mois de février et mars 2011, 3 volcans s'étaient réveillés et non des moindres alors qu'ils étaient endormis, tenez-vous bien, pour le premier depuis 80 000 ans, pour le second depuis 22 000 ans et pour le dernier depuis 6300 ans. Ces phénomènes inhabituels n'ont donc pas été relevés par les scientifiques qui avaient les moyens de prévenir à l'avance, le tremblement de terre et le tsunami qui ont frappé le Japon le 11 mars 2011, ainsi que d'éviter les catastrophes nucléaires.
 
Vous avez donc compris que si le Yellowstone se réveillait demain, personne de ces criminels ne viendra vous prévenir !

Ce d'autant plus que les données le concernant sont censurées depuis l'année dernière ou modifiées volontairement par l'USGS, un organisme US.
 
Il s'agit des 3 volcans suivants que vous trouverez ci-dessous :
 
1 - Kikai Caldera -  Asia - Japan - Osumi Islands, Kagoshima Prefecture - qui n'avait pas bougé depuis 6300 ans, (~6,300 years ago) et qui a bougé le 02.03.2011
2 - Aira Caldera - Asia - Japan - Island of Kyushu - qui n'avait pas bougé depuis 22 000 ans (~22,000 years ago) et qui a bougé le 06.02.2011
3 - Mount Aso - Asia - Japan - Island of Kyushu, Kumamoto Prefecture - qui n'avait pas bougé depuis 80 000 ans (~80,000 years ago) et qui a bougé le 28.02.2011.
  
  

Volcans Japon.JPG


  
En tant que simple profane, quand vous voyez 3 volcans qui se réveillent sur une période courte de quelques semaines, après des milliers d'années d'endormissement, cela ne vous aurait-il pas frappé ?

Nous supposons que oui, comme nous l'avons remarqué a postériori. Mais ce n'est pas notre travail de surveiller les volcans et on se demande ce que fichaient les spécialistes pour ne pas relever ces faits et alerter les autorités japonaises des risques qui étaient encourus par les populations en cas de tremblement de terre et de tsunami. Surtout que la région du Japon est exposée aux tremblements de terre et aux tsunamis.
  
Cette carence des scientifiques est impardonnable car ils auraient pu prévoir à l'avance, soit depuis le 6 février 2011, le tremblement de Terre et le tsunami, et prévenir les autorités japonaises afin qu'elles puissent prendre des mesures et des précautions pour leurs centrales nucléaires.
  
A moins que les élites qui considèrent que nous sommes trop nombreux sur la planète aient volontairement laissé faire pour en débarrasser quelques milliers d'un seul coup et avoir les moyens de faire du pognon, en reconstruisant tout ce qui a été détruit.
  
Voir la carte des désastres enregistrés journellement dans le monde.
 
La carte complète dont nous avons extrait la preuve que les 3 volcans s'étaient réveillés à quelques jours d'intervalle.
 

Volcans Japon2.JPG


 

12/03/2011

Japon: 3 personnes habitant près de la centrale ont été irradiées

TOKYO - Au moins trois Japonais habitant une ville proche de la centrale nucléaire touchée par une explosion ont été exposés à des radiations, ont rapporté samedi des médias, sur fond de crainte d'une fuite radioactive majeure due au séisme survenu dans le nord-est.

Ces trois personnes faisaient partie d'un groupe de quelque 90 patients internés dans un hôpital de la ville de Futaba-machi et ont été choisis au hasard par les médecins pour subir des tests consécutifs à un incident nucléaire, a rapporté la télévision publique NHK.

Les médecins ont découvert qu'ils avaient tous les trois été irradiés, ont indiqué NHK et l'agence Jiji citant le gouvernement local de Fukushima.

Les patients ont attendu les sauveteurs dans une école où ils avaient été transférés et ont ensuite été hélitreuillés par un hélicoptère, au moment où une explosion s'est produite dans la centrale nucléaire de Fukushima N°1.

Ces trois personnes, dont on ignore l'âge et le sexe, vont devoir subir un lavage spécial pour se débarrasser des radiations, mais leur état de santé ne présente rien d'anormal, a dit NHK.

Une explosion s'est produite samedi à la centrale de Fukushima N°1, faisant s'effondrer une partie du bâtiment abritant le réacteur numéro un.

Les autorités ont ordonné aux habitants d'évacuer la zone dans un rayon de 20 kilomètres autour de la centrale.

Le gouvernement a affirmé samedi soir que le caisson du réacteur n'avait pas subi de dégâts et a appelé la population locale au calme.

Le porte-parole du gouvernement, Yukio Edano, a ajouté que les radiations sur le site avaient "plutôt baissé" après l'explosion.

(©AFP / 12 mars 2011 16h03)

http://www.romandie.com/ats/news/110312150352.w3elwkvv.asp