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15/03/2011

Accident nucléaire au Japon : nouveau risque d'explosion

Dépêchez-vous d'acheter et de stocker des Algues et du Miso avant que le nuage radioactif n'arrive chez nous !
Comme vous l'avez compris, les cataclysmes vont aller en s'amplifiant et les risques d'accidents nucléaires risquent de se multiplier dans un futur proche.
Vous avez donc tout intérêt à faire des réserves pour quelques temps pour vous et vos enfants.

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L'iode est un produit contingenté en France et n'est délivré que par les pharmacies sur Ordre de l'Etat.
N'attendez pas qu'il soit trop tard !
Lisez bien ce que nous disent les criminels de l'OMS. Pour le vaccin contre le virus imaginaire de la GrippeA/H1N1, ils nous ont mené une campagne médiatique terroriste durant des mois, et là, le risque de contamination radioctive est faible selon eux.

L'organisation mondiale de la santé  (OMS), la référence en matière de santé publique, avait emboîté le pas samedi aux autorités japonaises et européennes en estimant peu préoccupants les risques d'émanations radioactives de la centrale de Fukushima suite au premier incident. "A l'heure actuelle, il semble que les risques pour la santé publique soient assez faibles. Nous constatons que le niveau de radiations émises par une centrale nucléaire est très bas", a déclaré Gregory Hartl, porte-parole de l'OMS.
  
Sauf que l'atome ne connaît pas de frontières et que la radioactivité se déplace avec les vents.
La particule de Césium a une durée de vie trentenaire. Ce qui veut dire en clair, que si elle est véhiculée par les vents et rabattue sur les terres avec les pluies, nous la trouverons durant 30 ans, dans nos aliments et les nappes phréatiques.

Accident nucléaire au Japon : nouveau risque d'explosion

le 12 mars 2011 à 23h01, mis à jour le 12 mars 2011 à 23:25

 

Dossier : Le Japon après le séisme

L'opérateur d'une centrale nucléaire du nord-est du Japon a déclaré dimanche matin (heure locale) qu'un deuxième réacteur donnait des signes de problèmes, avec risque d'explosion, dans la même centrale où une explosion s'était produite la veille. Dimanche au petit matin (heure locale), la compagnie Tokyo Electric Power (Tepco), propriétaire de la centrale de Fukushima, tentait de trouver d'urgence  un moyen d'acheminer de l'eau vers le troisième réacteur de sa centrale de Fukushima, son système de refroidissement étant inopinément tombé en panne. C'est dans cette même centrale qu'une explosion avait fait, la veille, s'effondrer le toit du bâtiment sur un premier réacteur.  

L'organisation mondiale de la santé  (OMS), la référence en matière de santé publique, avait emboîté le pas samedi aux autorités japonaises et européennes en estimant peu préoccupants les risques d'émanations radioactives de la centrale de Fukushima suite au premier incident. "A l'heure actuelle, il semble que les risques pour la santé publique soient assez faibles. Nous constatons que le niveau de radiations émises par une centrale nucléaire est très bas", a déclaré Gregory Hartl, porte-parole de l'OMS.
 
Mais les craintes d'un accident nucléaire majeur étaient vives samedi soir, notamment chez la population japonaise vivant à proximité de cette centrale, Fukushima n°1, située à 150 km de Tokyo, où est survenue une explosion samedi à la suite du très fort séisme et du tsunami. Samedi, des milliers de Japonais évacués des zones proches des installations nucléaires de Fukushima ont été passés samedi au scanner, angoissés par la crainte d'avoir été irradiés. Dans les centres d'évacuation, des secouristes, portant des masques de protection et des vêtements spéciaux, passaient les habitants de la région au scanner pour vérifier l'exposition aux radiations. "Il y a des fuites de radiation, et depuis que l'on sait que la possibilité d'avoir été exposé est grande, on est assez effrayés", confiait Masanori Ono, jeune homme de 17 ans, dans une file d'attente à Koriyama

L'explosion, qui s'est produite à 15H36 heure locale (06H36 GMT), a fait plusieurs blessés parmi les employés. Cet accident nucléaire a été classé au niveau 4 sur l'échelle de gravité des événements nucléaires et radiologique allant de 0 à 7, selon l'Agence japonaise de sécurité nucléaire et industrielle, un niveau qui qualifie les accidents n'entraînant par de risque important hors du site, selon l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).

Entre 70 et 160 personnes auraient été exposées
  
Le chef du gouvernement a ordonné l'évacuation des habitants dans un rayon de 20 kilomètres autour de la centrale, tout en appelant la population locale à garder son calme. A propos de la situation à la centrale de Fukushima N°1, le porte-parole du gouvernement, Yukio Edano, s'est voulu rassurant : citant l'exploitant, Tokyo Electric Power (Tepco), il a souligné que le caisson du réacteur n'avait pas subi de dégâts et que les radiations avaient par la suite diminué. L'Agence japonaise de sécurité nucléaire et industrielle a jugé peu probable que le caisson eût été gravement endommagé, après avoir d'abord averti qu'une fusion pourrait être en cours dans le réacteur. Du césium radioactif a en effet été détecté aux alentours de la centrale, ce qui atteste généralement qu'un tel phénomène est en train de se produire, a noté un expert.
  
Selon l'agence Kyodo, la radioactivité reçue en une heure par une personne se trouvant sur le site correspond à la limite de radioactivité à ne pas dépasser annuellement. Les autorités japonaises ont informé l'Agence internationale pour l'énergie  atomique (AIEA) qu'"il y avait eu une explosion près du réacteur N°1 de la centrale de Fukushima-Daiichi et qu'elles étaient en train d'évaluer l'état du réacteur". A la centrale proche de Fukushima-Daini, le rayon d'évacuation des riverains est de 10 km, a précisé l'AIEA. "Les autorités ont également indiqué qu'elles se préparaient à distribuer des comprimés d'iode aux habitants des zones proches des deux centrales", a ajouté l'agence onusienne. Dimanche matin, le nombre de personnes exposées à des radiations du fait des problèmes de la centrale de Fukushima Daiichi pouvait s'élever au bout du compte entre 70 et 160, selon l'agence nucléaire nippone. Neuf personnes ont montré d'ores et déjà des signes possibles d'exposition aux radiations selon la même source.

 

Le vent emporte l'éventuelle radioactivité vers la mer

La direction des vents permet de chasser une éventuelle pollution radioactive vers le Pacifique, après l'explosion survenue dans une centrale sur la côte nord-est du Japon, a indiqué samedi le président de l'Autorité française de sûreté nucléaire (ASN). "Il semble que la direction des vents éloigne pour le moment une éventuelle pollution vers le Pacifique", a déclaré André-Claude Lacoste devant la presse. "A l'évidence, la situation est grave", a-t-il estimé, tout en soulignant que ses services disposent à ce stade "d'une information parcellaire, incomplète et donc de qualité médiocre, les interlocuteurs naturels de l'ASN se concentrant sur la gestion de la crise", a-t-il expliqué. Par ailleurs, l'Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) veillera à surveiller le territoire français en temps réel pour mesurer toute anomalie. Une réunion se tiendra en fin d'après-midi samedi autour de la ministre de l'Ecologie pour faire le point sur la situation après l'explosion dans une centrale nucléaire au Japon. Et la Commission européenne va convoquer "en  début de semaine prochaine" une réunion des autorités européennes chargées de  la sécurité nucléaire et l'industrie du secteur pour tirer les leçons de l'incident nucléaire au Japon.


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