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27/09/2008

Nucléaire iranien : discussions à l'ONU mais pas de nouvelles sanctions

NEW YORK (Nations unies) (AFP) — Le Conseil de sécurité de l'ONU, réuni samedi matin sur le dossier nucléaire iranien, est parvenu à un accord sur un projet de résolution rappelant la validité des sanctions en vigueur à l'encontre de Téhéran, mais n'en ajoutant pas de nouvelles.

Le Conseil devait se réunir de nouveau à 16H00 (20H00 GMT) pour adopter ce projet, ont indiqué plusieurs diplomates.

Ce texte, très court, se contente de rappeler les précédentes résolutions du Conseil et de réitérer l'exigence que l'Iran remplisse "pleinement et sans retard" les obligations qui en découlent.

A la suite de demandes d'amendement, émanant notamment de l'Indonésie, deux paragraphes ont été ajoutés. Le premier rappelle l'engagement pris en mars par les "Six" de poursuivre une "double stratégie" (sanctions et mesures incitatives) face au problème nucléaire iranien. Le second "réaffirme l'attachement du Conseil à une prompte résolution négociée du problème dans ce contexte et salue la poursuite des efforts à cet égard".

Le projet initial avait été déposé conjointement par les six grandes puissances qui se sont chargées du dossier --les cinq membres permanents du Conseil (Chine, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie) et l'Allemagne.

Le Conseil de sécurité a déjà adopté quatre résolutions, dont trois assorties de sanctions, exigeant de l'Iran qu'il suspende son programme d'enrichissement d'uranium. Les Occidentaux soupçonnent ce programme d'être destiné à produire la bombe atomique, ce que Téhéran dément.

La dernière résolution, adoptée en mars, donnait 60 jours à l'Iran pour se plier aux injonctions de l'ONU.

Or dans un nouveau rapport publié la semaine dernière, l'Agence Internationale de l'Energie Atomique (AIEA) a dénoncé son refus de cesser ses activités d'enrichissement d'uranium et l'absence de progrès dans les discussions avec Téhéran sur la véritable nature de son programme nucléaire.

Les "Six" s'étaient efforcées vendredi à New York d'afficher leur unité face à l'Iran, en proposant, à l'issue de consultations, ce projet de résolution commun qui ne prévoit pas de nouvelles sanctions à l'encontre de Téhéran.

Après la réunion, l'ambassadeur de Russie Vitaly Tchourkine avait réitéré la position de Moscou contre l'adoption de nouvelles sanctions contre Téhéran.

"Nous estimons que ce n'est pas le moment, que davantage de discussions sont nécessaires avec les Iraniens, qu'il y a encore de la place pour la diplomatie", avait-il dit à la presse.

Le projet est le fruit d'une réunion surprise vendredi des ministres des Affaires étrangères des "Six" qui entendaient rassurer le reste du monde sur la poursuite de l'option diplomatique, et non militaire, face à l'Iran, après l'annulation, à la demande de Moscou, d'une réunion similaire prévue jeudi.

Les ministres devaient, selon Washington, "explorer" de nouvelles sanctions contre Téhéran qui refuse de suspendre son programme nucléaire, mais la Russie, montrée du doigt par les Occidentaux sur la Géorgie, avait refusé d'y participer.

Des diplomates européens s'étaient aussitôt inquiétés du risque qu'un blocage des négociations jusqu'à la fin du mandat du président américain George W. Bush fin janvier n'incite Israël à intervenir militairement en Iran.

Le chef de la diplomatie britannique David Milliband, s'exprimant à l'issue d'une réunion ministérielle sur la Birmanie, a déclaré que la résolution sera le signe clair que la détermination des Six "n'a pas faibli".

L'Iran a d'ores et déjà rejeté le nouveau projet de résolution, le qualifiant de "non constructif" et assurant qu'il ne résoudrait "aucun des problèmes" concernant le programme nucléaire de Téhéran.

19/08/2008

USA et uranium appauvri et enrichi : Une question d'intégrité

Par Doug Rokke, Ph.D., Etats-Unis

Retard dans les soins médicaux prodigués aux blessés

Extrait : "Aujourd'hui, 17 ans après la fin de l'opération «Tempête du désert», des combats menés en 1994 et 1999 dans les Balkans et après une seconde guerre du Golfe qui n’en finit pas (opérations Liberté pour l'Irak et Liberté immuable), je déplore que le traitement médical de «toutes» les victimes, civiles et militaires, et la réparation de tous les dommages causés à l’environnement soient différés, refusés ou, dans de nombreux cas, inefficaces. Jusqu'en mai 2007, plus de 408 000 citoyens des Etats-Unis ont demandé des soins et une pension en raison de blessures et de maladies contractées au combat (www.va.gov «May 2007 GWVIS Report»)."


http://www.alterinfo.net/Une-question-d-integrite_a22922.html

11/07/2008

Géopolitique : Israël détient 300 bombes atomiques et les armes chimiques

Est-ce qu'Israël détient la bombe atomique et les armes chimiques ? OUI !

La bombe atomique : Le joker israélien : 300 bombes atomiques
http://bechir-ben-yahmed.blog.jeuneafrique.com/index.php/2008/07/07/668-le-joker-israelien
Analyses Israël : Une menace nucléaire globale
http://1libertaire.free.fr/IsraelNuke.html

Les bombes nucléaires d'Israel : La plus grande menace pour la paix dans le monde

 


16/06/2008

Nucléaire : Que sont devenues les centrales nucléaires en Chine et en Slovénie ?

Désastre au Sichuan. Importantes pertes humaines. Possibles dégâts écologiques
http://www.questionchine.net/article.php3?id_article=2469

 
Séisme de Wenchuan – point de situation au 20 mai 2008 à 17h00

 
Au moins 18 000 personnes ensevelies dans une ville chinoise
Incident à la centrale nucléaire de Krsko (Slovénie) : l'ASN en contact avec son homologue slovène
http://www.asn.fr/sections/rubriquesprincipales/actualites/communiques-presse/2008/incident-centrale-nucleaire-krsko

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