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19/11/2015

Yves de Kerdrel de Valeurs actuelles : « Nous avons affaire à des barbares ! » (Vidéo)

La quenelle contre Valls ! Démission !

Yves de Kerdrel : « Nous avons affaire à des barbares ! »

Cette semaine, Valeurs actuelles titre "Guerre aux barbares". Vous y lirez un dossier complet consacré au terrorisme avec entre autres, les révélations chocs de Bernard Squarcini, l'ancien chef du renseignement mais également l'interview exclusive de Bachar El-Assad.

Yves de Kerdrel vous en parle.



Yves de Kerdrel : « Nous avons affaire à des... par ValeursActuelles

 

Devons-nous, nous attendre à une attaque nucléaire en France ?

Dans la mesure où le gouvernement se prépare à des attaques chimiques, nous pensons utile de vous rappeler que nous risquerions de subir des attaques nucléaires contre lesquelles l’état d’urgence et son prolongement ne pourraient rien y changer et attaques nucléaires qui ont eu largement le temps d’être préparées depuis 2014 et pour lesquelles nous avions mis en ligne à cette époque quelques alertes qui s’inscrivaient déjà dans un contexte guerrier, ce et alors, qu’avec la mort de Christophe de Margerie, PDG de Total, en Russie, se sont 4 groupes énergétiques français qui avaient été décapités dans la même semaine et que Hollande nommait un partenaire de l’armement israélien à la tête d’EDF.

Rappelez-vous que nous avons passé une période où des drones se sont amusés à survoler les centrales nucléaires françaises, et que nous n’avons jamais connu le résultat des enquêtes qui était supposément lancées à l’époque.

Les centrales nucléaires ayant dû être largement cartographiées par lesdits drones, nous ne sommes pas assurés que celles-ci n’aient pas été piégées pour exploser au moment opportun.

Dans ce contexte de guerre, nous nous devions de vous le rappeler et de vous remémorer les articles d’alertes contenant des liens importants que vous trouverez ci-dessous :

http://1.bp.blogspot.com/-PtI3bPr-P7k/UqSMuHLfIhI/AAAAAAAAAUo/HhYc11fxpbE/s1600/972_israeli-mossad+cowards+and+assassins.....jpg

 

TERRORISME - Un RABBIN balance TOUT - (Daesh - Etat islamique - attentats du 13 novembre)

TERRORISME - Un RABBIN balance TOUT - (Daesh - Etat islamique - attentats du 13 novembre)


 

Syrie : Le gouvernement renverse ses alliances

Voici l'interprétation du rapprochement de la France de la Russie par le criminel Fabius, responsable mais jamais coupable !

Thierry Meyssan nous donne les raisons de ce véritablement renversement du gouvernement français dans son article :

À retenir
- Le gouvernement français s’est progressivement éloigné de la légalité internationale. Il perpètre des assassinats politiques et encadre des actions terroristes depuis au moins 2011.
- Le gouvernement français a noué des alliances contre nature avec les dictatures pétrolières du Golfe persique. Il travaille avec un groupe de personnalités états-uniennes et de compagnies multinationales pour saboter la politique d’apaisement des présidents Obama et Poutine.
- Le gouvernement français est entré en conflit avec ces alliés peu recommandables. L’un d’entre eux a sponsorisé les attaques de Paris.

Syrie : Le gouvernement renverse ses alliances

Dans quelles tractations le gouvernement français est-il allé se fourvoyer en Syrie, pour justifier la fureur des dirigeants de Daech, au point d’organiser les attentats de Paris ? Car ces faits dramatiques conduisent mécaniquement la France à un renversement d’alliances, pour rejoindre la politique russe, et à abandonner l’exigence du départ de Bachar El-Assad,… ce qui est pourtant l’un des buts de Daech.

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Nous n’avons ni les cartes, ni le dessous des cartes, et je me garderai bien de toute recherche des causes. Nous verrons,… et il est d’ailleurs possible que nous n’ayons pas attendre trop longtemps, et que fuitent des révélations genre wikileaks.

Alors pourquoi la France ? Bien évidemment il est impossible d’adhérer benoîtement au discours du genre « parce que la France fait la guerre au terrorisme ». La France a un rôle militaire contre Daech, comme de nombreux pays, et elle peut donc être frappée à ce titre. Oui, mais ça ne colle pas, à cause de la politique française sur la Syrie.

Amorcée sous Sarko, et blindée sous Hollande, la France avait une position diplomatique qui lui donnait une place d’exception, car si elle combattait Daech, elle soutenait qu’il fallait dans le même temps obtenir le départ de Bachar El-Assad. Hollande s’est toujours montré intransigeant, et Fabius avait même été jusqu’à prôner son élimination physique du président syrien. Un atout pour Daech, qui veut renverser Bachar El-Assad.

Or, en frappant coup sur coup la Russie, le 31 octobre dans l’explosion de l’Airbus, le Hezbollah le 12 novembre et Paris le 13 novembre, les dirigeants de Daech ont bouleversé le jeu diplomatique. La Russie et l’Iran sont rappelés comme ennemis principaux de Daech, et en frappant Paris – de quelle manière ! – Daech amène la France à rejoindre la position de la Russie, pour renforcer sa sécurité. Ce renversement d’alliances s’est fait en quelques jours, apparaissant dès la nuit du 13 au 14 novembre. Maintenant, la diplomatie va mettre les formes pour habiller ce retournement, mais le résultat est clair : Poutine qui était infréquentable il y a une semaine est en train de devenir le grand allié de la France dans la guerre de Syrie.

Il y a quelques jours encore, le préalable à toute solution en Syrie était le départ de Bachar El-Assad, et pour Paris, c’était indiscutable. Cette intransigeance a fondu avec les attentats du 13 novembre. Les experts linguistes du Quai d’Orsay vont chercher les formules qui éviteront le ridicule complet au gouvernement, mais la page est tournée. Dans son interview de la semaine dernière, le président Rohani rappelait qu’il ne peut pas y avoir de lutte contre le terrorisme sans un pouvoir fort,… ce que fait Hollande avec l’état d’urgence. Depuis le 13 novembre, la France va devoir se focaliser sur la lutte contre l’ensemble des groupes terroristes en Syrie, car l’opinion ne comprendrait pas de tergiversations sur cette priorité. La Russie et l’Iran vont demander des choix clairs, avec des positions françaises qui devront être aussi. Dès lors, l’hypothèse la plus crédible est que Bachar El-Assad sera encore au pouvoir en 2017 pour saluer la défaite de François Hollande.

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À ce stade, deux remarques s’imposent.

La première concerne les relations entre la France et Daech. Que s’est-il donc passé pour que Daech décide de braquer la France contre lui, et de perdre le seul grand Etat – membre permanent du Conseil de sécurité – qui faisait comme lui, du départ de Bachar El-Assad un préalable à toute solution ? Le régime de Bachar El-Assad ressort renforcé des attentats de Paris : c’est une évidence.

La seconde conduit à nous interroger sur les désagréments et les humiliations qui attendent la France après ce spectaculaire retournement.

La Russie et l’Iran ont une politique claire et marquent des points sur le terrain, en combinant l’action aérienne et le combat des troupes au sol. C’est leur priorité, et aussi ils sauront donner le change pour agir en lien avec la France, mais la France ne pourra garder deux fers au feu. Et quand ce sera l’heure des grands arbitrages, la France payera cher son attitude antérieure et son intransigeance illusoire, qui s’est écroulée en quelques heures.

La France va devoir aussi ajuster sa position vis-à-vis de ses alliés de ces dernières années – l’Arabie Saoudite, le Qatar et Israël – qui ne sont pas près d’accepter la place de l’Iran comme place forte de référence au Moyen-Orient. Alors, jusqu’où la France est-elle engagée, et quel sera le prix à payer pour ce renversement d’alliances, conclu sous la pression des faits ?

 

Hollande: une "large coalition" avec Moscou et Washington en formation

Tentative de récupération politique des actions menées par Poutine en Syrie par Hollande qui vient à présent nous jouer les entremetteuses entre Poutine et Obama !

Il a oublié les sanctions contre la Russie, la vente des Mistrals annulée, et toutes les calomnies qui ont été infligées non seulement à Poutine mais aussi à Bachar Al-Assad !

L'art et la manière de prendre les français pour des imbéciles pour se racheter un coeur de vierge et remonter dans les sondages quand la majorité des français scandait sans cesse qu'il devait démissionner ! Ce qu'il devrait faire du reste ainsi que toute sa clique de mafieux notoires !

Il oublie simplement que ses chers alliés doivent exercer du chantage contre lui et que pour sauver sa peau, à présent il en appelle à Poutine et à Obama.

De plus, il a bien compris les avertissements de Poutine au sommet du G20 qui a clairement dit que 40 pays finançaient Daesh à l'appui de ses preuves militaires satellitaires.

Et que dans le cadre de la recherche des criminels qui ont commis l'attentat contre l'avion russe en Égypte, personne ne serait épargné y compris les complices qui auraient aidé à commettre cet attentat.

Poutine a dit : «Nous trouverons les terroristes, où qu’ils soient sur la planète et les châtierons». Ça c’est pour les terroristes. Un peu plus loin dans la vidéo, il s’adresse cette fois à ceux qui aident les terroristes. Nous savons tous qui ils sont. En fait les non-dits sont tout aussi importants que ce qui a été dit. Dès le lendemain des menaces à peine voilées de Poutine, comme par hasard Hollande devient son allié.

Hollande: une "large coalition" avec Moscou et Washington en formation

 13:36 18.11.2015 (mis à jour 14:50 18.11.2015)

François Hollande

Se prononçant ce mercredi lors d'une réunion de l'Association des Maires de France à Paris, François Hollande a appelé à former une large coalition pour lutter contre l'EI.

"Nous devons former une large coalition pour lutter contre Daech" assure François Hollande, en rappelant qu'il se rendait la semaine prochaine à Washington et Moscou, à la rencontre de Barack Obama et Vladimir Poutine. 

Selon le président français, l'opération antiterroriste de Saint-Denis a témoigné que "nous sommes dans la guerre. Une guerre contre le terrorisme qui a décidé de nous mener à la guerre".

Le président de la République a également indiqué qu'il n'y avait "plus de clivages partisans qui tiennent" après les attentats meurtriers qui avaient frappé la France le 13 novembre.

"Face à la menace terroriste, il n'y a plus de différences de territoires, il n'y a plus de clivages partisans qui tiennent (…). Il n'y a plus que des femmes et des hommes de devoir, des élus du suffrage universel conscients de leurs responsabilités", a-t-il déclaré.

François Hollande a appelé les Français à "ne pas céder aux tentations de repli", "à la peur", "aux excès" ni "à la surenchère", après les attentats commandités par le groupe Etat islamique, "qui veut instiller le poison de la suspicion", "de la stigmatisation" et de la "division".

"Notre cohésion sociale est la meilleure réponse et notre union nationale en est l'expression. Nous devons être implacables contre toute forme de haine. Aucun acte xénophobe, antisémite, anti-musulman ne doit être toléré", a précisé le chef de l'Etat devant les maires réunis au Palais des congrès à Paris.