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10/01/2015

Pourquoi le gouvernement avait-il retiré une voiture de police stationnée devant Charlie Hebdo?

Excellent article de Panamza ! Qui nous rapporte une fois de plus que le False Flag avait été préparé par avance par l'état !

Mais où était et que faisait la Police ?


Par ailleurs quelles meilleures preuves avons-nous que le False Flag avait été préparé par avance par l'état, si ce n'est de prêter une grande attention à l'interview donnée par la compagne de Charb,
Jeannette Bougrab, à BMFM TV ?

Si elle avait voulu désigner l'état, comme étant responsable du décès de son compagnon, elle ne s'y serait pas prise autrement !

En mettant de côté son émotion naturelle due au décès de son compagnon, attachons-nous à ce qu'elle dit clairement, que son compagnon vivait dans la peur et qu'il était en permanence sous protection policière, mais qu'il voulait à tout prix continuer le "COMBAT", tout comme elle-même qui appelle à le poursuivre, en entendant même réclamer de nouvelles lois pour lutter contre le terrorisme ! Soit contre le Peuple français qui devrait en pâtir !

Quel combat au juste faut-il mener tout en étant en France, un pays réputé pour être en paix,  pour et contre qui, faut-il combattre et surtout au profit de qui ? Et pour défendre quelle idéologie ? 

Voyez aussi quels sont ses propres combats, avec qui elle pactise et quels sont les milieux et les personnalités qu'elle a l'habitude de côtoyer !

Toutes les réponses sont dans son interview !

Pourquoi le gouvernement avait-il retiré une voiture de police stationnée devant Charlie Hebdo?

INFO PANAMZA. Peu de temps avant l’attentat du 7 janvier, Valls et Cazeneuve avaient allégé la protection policière de Charlie Hebdo en dépit de nouvelles menaces imputées à Al-Qaïda.

Le 09.01.2015 à 22h11

Mai 2013 : Stéphane Charbonnier alias Charb – directeur de publication de Charlie Hebdo et citoyen sous protection policière depuis le mystérieux incendie de novembre 2011- avait fait l'objet de nouvelles menaces imputées à Al-Qaïda-au-Yémen et relayées par une pseudo-revue islamiste dénommée Inspire

Automne 2014 : le ministère de l'Intérieur -qui chapeaute le Service de la protection (en charge des personnalités)- a mis fin à la présence permanente de deux policiers devant l'entrée du siège de Charlie Hebdo, situé -depuis le 1er juillet- au numéro 10 de la rue Nicolas Appert. Une photographie de Google Maps, datant du mois d'août, a capturé incidemment une image de la voiture de police.

 

charlie2014

Dans la soirée du jeudi 8 janvier, au lendemain de l'attentat perpétré contre l'équipe de l'hebdomadaire, Jeannette Bougrab, ex-secrétaire d'État du gouvernement Fillon, proche d'une organisation ultra-sioniste américaine, figure de la mouvance islamophobe hexagonale et compagne de Charb, était l'invitée de BFM TV. 

Interviewée par Ruth Elkrief, elle a relaté ce qu'elle a vécu depuis l'annonce du drame. 


 

À 1'22, elle évoqua un détail troublant :

On avait supprimé une protection statique devant Charlie Hebdo qui aurait peut-être pu éviter le drame.

Vendredi 9 janvier, dans la matinale d'Europe 1, Laurent Léger, journaliste d'investigation de Charlie Hebdo et rescapé de l'attaque, a été interrogé à ce sujet par Thomas Sotto.


 

Question de Sotto (qui confond par ailleurs deux interventions de Bougrab, l'une sur BFM TV,  l'autre sur TF1): 

Jeannette Bougrab a déclaré hier soir, lors du 20h de TF1, que le dispositif de sécurité de Charlie Hebdo avait été allégé depuis quelques semaines. Vous l'aviez constaté, ça, ou pas? 

La réponse de Léger (audible à partir de 5'55) : 

Effectivement, y avait plus la voiture statique en faction devant le journal. 

Le journaliste ajouta aussitôt son sentiment personnel : d'après lui, une telle présence n'aurait pas empêché les assaillants d'accomplir leur dessein.

Pas si sûr : deux policiers armés et prêts à réagir en cas d'arrivée de deux hommes cagoulés auraient pu retarder leur opération, voire la saborder. A fortiori s'ils étaient en contact audio avec le policier Franck Brinsolaro, présent dans la salle de rédaction aux côtés de Charb et tué lors de la fusillade. 

Brinsolaro : un homme croisé sur le même trottoir, l'automne dernier, par l'auteur de ces lignes -de passage dans le quartier du journal pour un déjeuner parisien. En compagnie d'un collègue, il escortait le tandem Charb-Léger, deux mètres en arrière, dans la rue Amelot. En tant qu'ancien lecteur de longue date de Charlie et ex-collègue de Léger au sein du média en ligne Bakchich, j'avais immédiatement reconnu les deux journalistes.

Comme les policiers en faction devant le siège du journal, Brinsolaro faisait partie du Service de la protection (ex-SPHP), dirigé par Frédéric Auréal.

Ce dernier, nommé en juillet 2012 par Manuel Valls (alors ministre de l'Intérieur), a été récemment promu (par décret en date du 22 décembre) en devenant "inspecteur général des services actifs de la police nationale".

Double particularité de l'homme -réputé proche de Valls- à la tête du SDLP :

* L'hostilité exprimée à son endroit par ses subordonnés, agacés par des missions de protection jugées excessives ou inutiles (tel le cas emblématique du député franco-israélien Meyer Habib).

* Sa proximité avec Sammy Ghozlan, ex-policier, vice-président du Consistoire, membre du B'naï Brithmentor d'Hassen Chalghoumi et militant ultra-sioniste passé par les instances du Crif.

En décembre 2013, en compagnie de la magistrate Sylvie Moisson (alors en charge de l'affaire Bourarach), Auréal a participé à une soirée privée organisée par Ghozlan en hommage au nouveau préfet du département et au nom de la communauté juive de Seine-Saint-Denis.

Résumons : en dépit de nouvelles menaces imputées à Al-Qaïda et proférées en mai 2013, la protection policière de Charlie Hebdo -instaurée fin 2011- a été allégée, un an et demi plus tard, sur un point névralgique : l'entrée de l'immeuble dans lequel l'équipe était installée au 2ème étage, derrière une porte blindée et verrouillée par un code. Responsables de cette décision aux conséquences tragiques dans les semaines qui ont suivi  : Manuel Valls (Premier ministre), Bernard Cazeneuve (ministre de l'Intérieur) et Frédéric Auréal (patron du SDLP).

Reste à savoir si les médias traditionnels, désormais hypnotisés à l'unisson par la "grave crise que traverse la France depuis trois jours" (pour reprendre les termes de Laurence Ferrari d'I-Télé) interpelleront les trois hommes concernés pour leur demander des comptes ou continueront de réaliser le mauvais remake en cours de "l'union sacrée" des Américains au lendemain de la mystification du 11-Septembre.

HICHAM HAMZA  

 

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