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25/09/2011

USA Astéroïdes : "Les informations militaires sur les astéroïdes ou météorites sont classifiées depuis juin 2009

Que nous cachent-ils depuis juin 2009 ?

Nibiru qui approche avec son cortège d'astéroïdes ?

Ne vous attendez donc pas à être avertis par la NASA ou les "merdias aux ordres"sur les chutes possibles d'astéroïdes ou de météorites, qui du reste sont déjà censurées dans le monde, comme celle qui serait tombée en Mauritanie et dont la presse ne parle pas !



Ils risquent de nous faire croire que ce sont des satellites qui tombent et dont curieusement, ils ne retrouvent pas la trace,  et ICI,  au lieu de nous dire que ce sont des météorites qui risquent de "frôler" ou de "percuter" la Terre.

Bizarre que la NASA réussisse à prédire où les navettes spatiales atterrissent pour aller récupérer les astronautes et qu'ils ne sachent pas nous dire où pourraient tomber les satellites, NON ? 

N'ignorez pas non plus, les chutes de satellites qui devraient se multiplier à cause des fortes explosions solaires, en cours et à venir, et qui devraient nous priver de tous les divers systèmes de télé-communications et d'électricité dans le monde, tel qu'annoncé depuis 2008. 

Nous avons donc 3 dangers supplémentaires qui pourraient nous toucher, sans que nous ne soyons prévenus :

1 - la chute de météorites,
2 - la chute des  22 000 débris spatiaux, et
3 - la chute des satellites.

Vous voici prévenus.

 

Dimanche 14 Juin 2009

juin 13th, 2009 Posted in Juin 2009
 
astreroïde

Un article de Leonard David publié le 10 juin 2009 sur Space.com s'étonne que l'armée américaine ait décidé de ne plus partager ses données sur les risques de rentrées atmosphériques d'objets célestes. Aucune explication n'est donnée sur les raisons de ce revirement : "Les informations militaires sur les astéroïdes sont désormais classifiées."

"La communauté scientifique bénéficiait depuis 15 ans des données recueillies par les satellites militaires américains, sur les objets naturels et météoritiques rentrant dans l'atmosphère terrestre, mais c'est maintenant terminé.

Une décision récente empêche désormais que ces informations soient divulguées. La principale mission de ces satellites consiste à détecter les tests nucléaires au sol, et à déterminer la nature des météorides ou bolides qui rentrent dans l'atmosphère. Il est toujours préférable de pouvoir faire la différence entre la rentrée d'un objet naturel et une déflagration atomique.

David Morrison, un scientifique du NEO (Near Earth Object) au AMES Research Center de la NASA, s'exprimant en son nom, regrette cette décision :

"C'est très regrettable, parce qu'il y avait là une véritable synergie... une excellente coopération. Ca nous permettait de contre-vérifier nos observations, et c'était un moyen irremplaçable de faire progresser nos connaissances. Nous pouvions également mieux préciser les coordonnées d'impacts éventuels."

Il ajoute : "La recherche scientifique s'en trouvera ralentie, et cette mesure restreindra nos possibilités de rassurer le public, qui parfois s'interroge sur des phénomènes spatiaux."

Depuis quelques décennies, les satellites militaires secrets avaient identifié des centaines de ces objets. Ces précieuses informations étaient rapidement diffusées, et les chercheurs s'intéressaient de près à toutes ces données.

L'avantage des satellites-espions était de couvrir les vastes étendues océaniques. Mais à présent les scientifiques ne peuvent plus compter sur cette ressource. Ils espèrent que la décision des militaires sera révisée." - Source

 

 

David Morrison

K. Wilson, membre de la liste UFO UpDates, estime que cette attitude de l'armée américaine n'est pas très rassurante : "Est-ce que ça ne vous parait pas excessif, ou du moins très douteux comme procédé ? Je me demande si les scientifiques militaires s'attendent à quelque chose et ont pris cette mesure pour préserver le secret avant que ça se passe.

Est-ce que ça pourrait être en rapport avec les ouragans solaires annoncés ? Ou bien l'arrivée d'un astéroïde géant ? A moins que ce soit pour cacher une flotte d'Ovnis..."

Compléments & Commentaires

Source : http://ovnis-usa.com/2009/06/14/dimanche-14-juin/

16/09/2011

La planète aux deux soleils de Luke Skywalker découverte dans notre galaxie

Nos appareils seraient-ils devenus soudainement plus performants, alors que les voyages spatiaux ont été lancés depuis 1969, officiellement ?  ?

Nous ne le pensons pas !

Nous sommes en train de découvrir notre nouvel environnement cosmique grâce à l'ascension que fait notre système solaire vers le centre de la Galaxie et à notre traversée de l'anneau de Lumière d'Alcyone, ou bande photonique ou encore la ceinture de photons.

MAGNIFIQUE !

Comme quoi, les films dits de science-fiction ont du vrai !

La planète aux deux soleils de Luke Skywalker découverte dans notre galaxie

LEMONDE.FR avec AFP | 15.09.11 | 20h59

 

Vue d'artiste de la planète Kepler-16b, située à environ 200 années-lumières de la Terre.
Vue d'artiste de la planète Kepler-16b, située à environ 200 années-lumières de la Terre. NASA/JPL-Caltech/R. Hurt (SSC)

Les astronomes américains ont découvert une planète à deux soleils comme celle de Luke Skywalker dans La Guerre des étoiles, selon des travaux publiés jeudi 15 septembre dans la revue américaine Science. Cette exoplanète (planète hors du système solaire), qui tourne autour de deux soleils et qui connaît donc deux couchers et deux levers de soleil, a été baptisée Kepler-16b. Elle se situe à environ 200 années-lumières de la Terre.

Jusqu'alors, une telle planète, dite circumbinaire, n'existait que dans l'univers de l'épopée cinématographique de science-fiction La Guerre des étoiles avec la planète Tatooine, recouverte de déserts arides et peuplée de quelques espèces indigènes comme les Hommes des sables. Mais contrairement à cette dernière, Kepler-16b est froide et gazeuse, et les astronomes excluent la possibilité que la vie y existe.---ça, on n'en sait rien !

Star Wars - Binary Sunset
(Episode IV. - A New Hope)

http://www.youtube.com/watch?v=wEUGF3NGbPg&feature=pl...

"Kepler-16b est le premier exemple de planète circumbinaire dont l'existence est confirmée", affirme Josh Carter, un astronome du Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics (CFA), un des auteurs de cette découverte. "Une fois de plus, nous découvrons que notre système solaire n'est qu'un exemple parmi la diversité des systèmes planétaires que la nature peut créer", ajoute-t-il dans un communiqué.

Cette découverte a été faite avec le télescope américain Kepler qui détecte la présence d'une planète quand celle-ci passe devant son étoile et en réduit momentanément la luminosité. Mais dans le cas de Kepler-16b, cette observation a été rendue compliquée par le fait que les deux étoiles s'éclipsent mutuellement, provoquant périodiquement une réduction totale de la luminosité. Les astronomes ont aussi observé que la luminosité diminuait également à des intervalles réguliers même quand les deux étoiles ne formaient pas d'éclipse, indiquant la présence d'un troisième objet tournant autour d'elles.

La planète aux deux soleils de Luke Skywalker découverte dans notre galaxie - LeMonde.fr

13/09/2011

Cinquante nouvelles exoplanètes recensées

Des fois on se demande s'ils ne nous prennent pas pour des idiots. Quand vous savez qu'il existe des milliards de galaxies dans l'Univers, cela ne vous viendrait-il pas à l'idée de penser qu'il puisse aussi exister quelques milliards de planètes  et quelques milliards d'autres civilisations ?

Et bien non, les scientifiques doutaient de leur existence et ils avaient besoin de nous le prouver en nous faisant cette soi-disant révélation.

On ne voit pas où est le scoop ?


Autre question : Vous remarquerez qu'ils notent qu'ils découvrent de nouvelles planètes à un rythme accéléré. Est-ce que cela vous étonne ?

Dans la logique en ce moment le temps s'accèlère consécutivement à l'ascension de l'ensemble de notre système solaire vers le centre de la Galaxie, et système solaire qui est en train de traverser la ceinture de photons ou la bande photonique ou l'anneau de Lumière d'Alcyone

Conclusions : Notre environnement cosmique change et ils ne découvrent rien du tout, sauf tout simplement qu'ils constatent que notre environnement cosmique change.

Vous remarquerez qu'ils utilisent HAARP, et puisqu'ils utilisent cette technologie criminelle, ils feraient mieux de nous dire que la Terre est creuse et que les pôles terrestres sont ouverts, comme il en est de même pour toutes les planètes de l'Univers.

Mais cela aussi, cela ne les arrange pas de ne pas nous le dire !

Là en revanche, il faut que nous demeurions ignorants ou du niveau de connaissances de la maternelle.

Sciences-Tech.

Cinquante nouvelles exoplanètes recensées

12 septembre 2011 18:11
Ici, une vue "artistique" de HIP 13044 b, une exoplanète en orbite autour d'une étoile. [Keystone]
Ici, une vue "artistique" de HIP 13044 b, une exoplanète en orbite autour d'une étoile. [Keystone]
Des astronomes de l'Observatoire européen austral (ESO) ont fait une moisson de plus de 50 nouvelles exoplanètes, incluant 16 super-Terres. Parmi celles-ci, une se trouve en orbite à la lisière de la zone habitable de son étoile.

A l'occasion d'une conférence dans l'Etat américain du Wyoming où sont réunis 350 experts, les astronomes de l'ESO ont annoncé lundi la découverte de 50 exoplanètes. Cette équipe, dirigée par le professeur de l'Université de Genève (UNIGE) Michel Mayor, a utilisé le spectographe HARPS du téléscope de 3,6 mètres installé sur le site de La Silla, au Chili, pour obtenir ces résultats.

Rythme des découvertes accéléré

"Une telle récolte dépasse les espérances les plus folles et permet d'établir un foisonnement de planètes de type super-Terre et du type Neptune, autour d'étoiles très semblables à notre Soleil. De tels résultats montrent que le rythme des découvertes s'accélère", explique le professeur Mayor, cité dans un communiqué de l'UNIGE.

Depuis huit ans que les astronomes recourent à HARPS pour observer des étoiles similaires au Soleil, ils ont mis au jour plus de 150 nouvelles planètes. Une de celles récemment annoncées, HD 85512b, est estimée à seulement 3,6 fois la masse de la Terre et est située en bordure de la zone habitable, soit la zone étroite autour de l'étoile où l'eau peut être présente sous forme liquide.

L'exoplanète réunit plusieurs conditions favorables à la vie. [Keystone]

L'exoplanète réunit plusieurs conditions favorables à la vie. [Keystone]

Autres planètes rocheuses?

Ces résultats confortent les astronomes dans l'idée qu'ils sont proches de découvrir d'autres petites planètes rocheuses habitables autour d'étoiles semblables à notre Soleil. La première exoplanète autour d'une étoile a été découverte en 1995 par le professeur Mayor.

ats/olhor

http://www.tsr.ch/info/sciences-tech/3392772-cinquante-no...

European Southern Observatory
http://www.eso.org/public/videos/eso1134a/

L'article en anglais sur Cosmiclog
http://cosmiclog.msnbc.msn.com/_news/2011/09/12/7728140-fifty-new-alien-worlds-revealed

La vidéo, ci-dessous, en Anglais.

Fifty New Alien Worlds Revealed
September 12, 2011

http://www.youtube.com/watch?v=nIWJXnGCLyE&feature=up...

03/09/2011

2012-Dmitriev-Soho

Un petit rappel du rapport Dmitriev sur les prévisions solaires pour 2012.

 
 
 

Découverte d'une étoile qui "ne devrait pas exister"

Nous sommes toujours interrogatifs face aux certitudes des scientifiques qui nous assènent allègrement leurs chiffres et leurs vérités, notamment sur la manière dont se serait formé notre système solaire et de leur datation par rapport au BIG-BANG qui serait survenu il y a 15 milliards d'années. Ce  qui n'est qu'une théorie scientifique de plus.

Sur quelles bases peuvent-ils nous sortir toutes ces datations ?


Y étaient-ils ? Ou ont-ils des archives secrètes d'anciennes civilisations dans lesquelles ils vont puiser leurs renseignements ?

C'est comme cette étoile dont ils décident qu'elle ne devrait pas être là !

Si elle y est c'est qu'elle doit y être, point !
 

Découverte d'une étoile qui "ne devrait pas exister"

LEMONDE.FR Avec AFP | 31.08.11 | 18h27   -  Mis à jour le 01.09.11 | 12h10

Une image de l'étoile fournie par l'European Southern Observatory

Une image de l'étoile fournie par l'European Southern ObservatoryESO/Digitized Sky Survey 2

 

Des astronomes ont découvert une étoile très primitive, qui n'aurait pas dû exister selon une théorie jusque là largement admise, parce que sa composition la situe dans une "zone interdite", selon une étude publiée mercredi 31 août dans la revue scientifique Nature.

Située dans la constellation du Lion, l'étoile, moins massive que le Soleil, est constituée presque entièrement d'hydrogène et d'hélium, avec la plus faible quantité connue d'éléments chimiques plus lourds que les astronomes appellent des "métaux".

"Une théorie largement admise prédit que des étoiles comme celle-ci, avec une faible masse et des quantités extrêmement faibles de métaux, ne devraient pas exister", explique Elisabetta Caffau (université de Heidelberg, Allemagne, et Observatoire de Paris), principale auteure de l'étude.

"Cela a été une surprise de découvrir, pour la première fois, une étoile dans cette 'zone interdite'", ajoute dans un communiqué Mme Caffau, évoquant la nécessité de "revoir certains modèles de formation des étoiles".

VIEILLE DE TREIZE MILLIARDS D'ANNÉES

Selon les cosmologistes, seuls les éléments chimiques les plus légers "l'hydrogène et l'hélium" ont été créés peu après le Big Bang, ainsi que quelques traces de lithium.

Les autres éléments " y compris l'oxygène, le carbone et le fer " ont été formés plus tard au coeur des étoiles et disséminés lors de leur explosion, chaque génération d'étoiles s'enrichissant des éléments fabriqués par la précédente. La proportion de métaux dans une étoile révèle ainsi son âge. L'étoile qui défie la théorie pourrait avoir plus de treize milliards d'années.

Elle est "très primitive. Il pourrait s'agir d'une des plus vieilles étoiles jamais découvertes", selon Lorenzo Monaco, de l'Observatoire austral européen (ESO) au Chili, où des observations ont été réalisées grâce au VLT (Very Large Telescope).

MULTIPLES INTERROGATIONS

Découverte dans le halo entourant notre galaxie, cette petite étoile ayant seulement 80 % de la masse du Soleil et 20 000 fois moins de métaux n'aurait pas dû pouvoir se former en l'absence de carbone et d'oxygène servant à refroidir le nuage de gaz initial qui s'échauffe à mesure qu'il se comprime. "Plus le gaz est chaud, plus la pression augmente", ce qui peut arrêter l'effondrement du nuage, explique Piercarlo Bonifacio (Observatoire de Paris). Pour qu'il poursuive sa compression, "il faut un mécanisme qui puisse refroidir les gaz", tel celui fourni par l'oxygène et le carbone capables d'évacuer la chaleur sous forme de rayonnement.

Autre surprise : comment cette étoile primitive peut-elle contenir un taux de lithium cinquante fois plus faible que celui de l'Univers à l'époque de sa formation ? Selon les astronomes, pour qu'il disparaisse, la matière de l'étoile a dû être chauffée à 2 millions de degrés.

http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/08/31/decouver...