Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

25/11/2015

Le héros russe qui a été descendu par les criminels Turcs !

Le héros russe qui a été assassiné par les criminels Turcs !

Qu'il soit remercié et qu'il repose en Paix !

Le pilote russe assassiné.jpg

24/11/2015

Etat-major russe : des mesures pour renforcer la défense antiaérienne seront prises

Etat-major russe : des mesures pour renforcer la défense antiaérienne seront prises

24 nov. 2015, 19:52

Le croiseur lance-missile russe «Moskva»

Le croiseur lance-missile russe «Moskva»

Tout objectif constituant une menace potentielle pour la Russie sera détruit, a mis en garde le général-lieutenant Sergueï Roudski de l’état-major de l’armée russe, lors d’une intervention qui a eu lieu après que la Turquie ait abattu le SU-24 russe.

Trois mesures annoncées par l’état-major russe :


1. Chaque frappe de l’opération sera effectuée sous la protection des chasseurs.
2. La défense antiaérienne sera renforcée par le déploiement du croiseur lance-missile russe «Moskva» près de la côte de Lattaquié dans le but de détruire tout objectif qui pourrait constituer une menace potentielle.
3. Les contacts militaires avec la Turquie seront suspendus

Suite à l’attaque contre le bombardier russe SU-24, le général-lieutenant Sergueï Roudski de l’état-major de l’armée russe est intervenu devant les médias. Il a condamné l’attaque du chasseur turc contre le bombardier russe, la qualifiant de «violation sévère du droit international». Il a souligné que le SU-24 avait été abattu sur le territoire syrien. Le site du crash se trouvant à quatre kilomètres de la frontière turque.

D’après lui, l’appareil russe n’a pas violé l’espace aérien. De plus, d’après les informations fournies par le radar de l’aérodrome de Khmeimim, c’est le chasseur des forces aériennes turques qui a violé l’espace aérien syrien en attaquant le bombardier russe, a fait savoir le haut-gradé russe. Ce chasseur n’a fait aucun effort pour contacter les pilotes russes avant d’attaquer l’avion.

 

Pour l’instant, la Russie entend prendre de nouvelles mesures pour renforcer la sécurité de sa base aérienne en Syrie, et en particulier, à renforcer la défense antiaérienne. Le croiseur lance-missile russe «Moskva», équipé du système de défense antiaérienne Fort, sera déployé dans la province de Lattaquié.

«Nous prévenons que tout objectif constituant une menace potentielle pour la Russie sera détruit», a déclaré Sergueï Roudski lors d’un point de presse.

 

«Nous prévenons que tout objectif constituant une menace potentielle pour la Russie sera détruit», a déclaré Sergueï Roudski lors d’un point de presse. De plus, tous les contacts militaires avec la Turquie seront suspendus et désormais, toutes les sorties aériennes seront effectuées sous la protection de chasseurs, a ajouté l’intéressé.

En savoir plus : Poutine : le crash de l’avion russe est un coup dans le dos

 

 

23/11/2015

La France arme El Nosra et Daech

Écoutez bien cette vidéo, de quoi demander la démission de Hollande et son gouvernement pour haute trahison !

La France arme El Nosra et Daech


Vers une commission d'enquête sur la politique du gouvernement socialiste français en Syrie ?

Nous sommes en droit d'avoir des comptes sur la gestion occulte du gouvernement vis-à-vis de la Syrie, à cause de tous ces corrompus que nous avons au gouvernement qui font la politique des USA et d'Israël !

Ils ne font pas leur travail pour assurer la sécurité des français au profil de leur idéologie criminelle, mettant en danger les français, ensuite ils se permettent soi-disant pour nous protéger de nous instaurer la Loi Martiale !

C'est inacceptable pour le peuple français et notamment pour les familles des victimes !

Vers une commission d'enquête sur la politique du gouvernement socialiste français en Syrie ?

par SLT 22 Novembre 2015, 09:36

http://img.over-blog-kiwi.com/0/78/07/19/20151122/ob_c8ea98_assemblee-nationale.jpg

"L'union sacrée" a fait long feu, la droite républicaine demande déjà des comptes sur les failles des services de renseignement français quant à la lutte contre le terrorisme sur le territoire français, non sans avoir au préalable pointé les ambigüités de la politique étrangère française envers la Syrie. Certes il est peu probable que la commission d'enquête porte sur la politique étrangère de la France tant celle-ci relève du domaine réservé du "Monarque" de la République sous le régime de la Vème République.

En effet, il n'y a pas eu de commission d'enquête sur les responsabilités de Nicolas Sarkozy et de son gouvernement dans le chaos libyen et les crimes contre l'humanité commis par les forces françaises en Libye, ni sur le présupposé financement de l'UMP (qui depuis a changé de nom) par Kadhafi ni sur l'assassinat présumé du Guide libyen par les services français, il est donc fort peu probable qu'il y en ait une sur la politique de François Hollande en Syrie.


Toutefois Manuel Valls semble accepter les principes d'une commission d'enquête concernant la gestion par les services français de la menace terroriste en France depuis le 7 janvier 2015. La contestation par l'opposition de la politique française a été relancée au lendemain des attentats du 13 novembre par les déclarations de l'ancien patron du renseignement intérieur, Bernard squarcini, au journal très à droite qu'est Valeurs Actuelles. Selon Squarcini, le gouvernement français aurait refusé en 2012 une liste de djihadistes français fournie par Bachar al-Assad.


Si l'on revient sur le soutien de la France aux forces rebelles en Syrie et nommément au groupe terroriste tel qu'Al-Nosra affilié à Al-Quaïda en Syrie, cela fait longtemps que l'opposition dénonce cette sombre politique.

Ainsi Alain Marsaud, député UMP, avait déclaré non sans argument en septembre 2014 sur BFM TV : "Ce sont nos alliés (proches d'Al-Quaïda,ndlr) qui ont enlevé nos journalistes en Syrie".


Plus récemment, Claude Goasguen, député de l'UMP, accusait explicitement l'Etat français de soutenir Al-Quaïda en Syrie sur l'antenne de la chaîne parlementaire (LCP)


Enfin Olivier Marleix, député des "Républicains" (ex-UMP) a déclaré à Paris Match en novembre 2015 :
Selon "Squarcini, le Premier ministre aurait refusé une liste de djihadistes français en Syrie proposée par les services de Bachar el-Assad. Ce refus est d’une extrême gravité. Quoi qu’on pense de Bachar el-Assad, puisque nous sommes en guerre, on ne refuse pas des informations aussi vitales ! Nos services se sont privés de contact indirect avec les services syriens. Ajoutons à cela que la Turquie et les Etats-Unis disent nous avoir avertis. Tout cela justifie une commission d’enquête."

Sur ce dernier point, de nombreuses sources attestent que les services de renseignement français avaient été prévenus début novembre de l'imminence d'un attentat dans la capitale par les services israéliens, les services irakiens et algériens. A tel point que selon Mondafrique, les services de renseignement algériens de la DRS auraient déclaré que quelque chose ne tournait pas rond à la DGSE :


Le DRS s’était procuré, "grâce à ces agents infiltrés des informations très précieuses sur les plans de l’organisation terroriste. « C’est ce qui explique, d’ailleurs, pourquoi nous n’avons pas subi d’attaques d’une aussi grande cruauté que celles de Paris », se targue un officier du DRS qui ne comprend pas le manque de réactivité de la DGSE face aux informations qui leur ont été transmises".

Il est clair que si une commission d'enquête devait avoir lieu, on s'intéressera au volet débattant de la politique étrangère française en Syrie même si celui-ci pourrait s'avérer très limité.

Affaire à suivre...

 

Les députés français appellent le gouvernement à collaborer avec les services de renseignement syriens

Est-ce que le dictateur répondra aux députés pour savoir pour quelles raisons légitimes il a décidé de refuser de collaborer avec les services secrets syriens ?

Par amour pour Israël ?

La France semble ne plus avoir non plus d'ambassade à Damas !

Les députés français appellent le gouvernement à collaborer avec les services de renseignement syriens

Nov 22, 2015 15:32 UTC - IRIB- Certains députés de l’Assemblée nationale française ont invité le gouvernement de Paris à collaborer avec la Syrie, en matière de lutte contre le terrorisme.

Selon l’agence de presse officielle syrienne, Sana, le journal français, «Le Figaro», a écrit, dans son édition de dimanche, que les trois députés français, Jean-Frédéric Poisson, Gilbert Collar et Olivier Marlier, ont adressé une lettre au Premier ministre français, Manuel Valls, lui demandant de donner des explications sur l’opposition de Paris à une collaboration avec les services de renseignement syriens, en matière de terrorisme.
 
Par opposition au régime de Bachar al-Assad, la France a-t-elle refusé une liste de Jihadistes Français, qui combattent, en Syrie?
 
C'est ce qu'assure Bernard Squarcini, l'ancien Directeur central du renseignement, entre 2008 et 2012.
 
«La France se trouve dans une situation très sensible et dangereuse et nous avons demandé au Premier ministre Manuel Valls de donner des explications, sur les raisons de l’opposition de Paris à la coopération avec Damas, pour combattre les terroristes», demande, ainsi, Jean-Frédéric Poisson, Président du Parti chrétien démocrate, militant d'un rapprochement de la France avec Bachar al-Assad.