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09/10/2014

Une molécule inattendue découverte dans l'espace interstellaire

Encore une preuve que nos composants cellulaires viennent de l'espace organique et insterstellaire, et que nos âmes sont immortelles et sont des entités extraterrestres issues du Grand Univers Lumineux : le grand créateur de toute VIE dans tout l'UNI-VERS ! La vie EST partout dans l'Univers !

"Une molécule carbonée étonnamment complexe a été découverte dans un nuage de gaz interstellaire (entre les étoiles ou les soleils) situé à 27 000 années-lumière de la Terre. Ce résultat suggère que les molécules complexes nécessaires à l'apparition de la vie peuvent se former dans l'espace interstellaire."

On l'a vu précédemment, l'eau est omniprésente dans le vide de l'espace, dans les galaxies, les systèmes solaires, à différents niveaux de densité et sous différentes formes (gaz / vapeur, liquide, gelée). L'eau est le substrat de la vie.

Imaginons pour un instant que Univers soit une gigantesque cellule vivante, au sein de laquelle se déplacent des fluides, tout comme dans nos cellules. Tout cela ne devient-il pas alors plus logique et plus simple?

Qu'en pensez-vous? L'Univers est-il organique?

Une molécule inattendue découverte dans l'espace interstellaire

 

alma telescope

Grâce au radiotélescope géant ALMA basé au Chili, des astronomes allemands et américains ont découvert l'existence d'une molécule carbonée étonnamment complexe dans un nuage de gaz interstellaire. Crédits : Y. Beletsky/ESO
 
Une molécule carbonée étonnamment complexe a été découverte dans un nuage de gaz interstellaire situé à 27 000 années-lumière de la Terre. Ce résultat suggère que les molécules complexes nécessaires à l'apparition de la vie peuvent se former dans l'espace interstellaire.

C'est une molécule à la configuration pour le moins inattendue qui vient d'être découverte à 27 000 années-lumière de la Terre, dans la région du nuage de gaz Sagittarius B2. Et pour cause, puisque cette molécule carbonée, connue sous le nom d'isopropyl cyanide (1-C3H7CN), est dotée d'une structure dotée d'un embranchement (une sorte de ramification formant une patte d'oie).

En quoi est-ce si étonnant ? C'est que jusqu'à présent, les molécules carbonées qui avaient été détectées dans l'espace interstellaire étaient moins complexes : elles se caractérisaient généralement par un alignement des atomes de carbone les uns à la suite des autres, un peu comme les maillons d'une chaîne, et non par une structure ramifiée comme c'est le cas de l'isopropyl cyanide.

Cette découverte, effectuée depuis l'observatoire ALMA (Atacama Large Millimeter/submillimeter Array) au Chili par des astronomes allemands et américains (Institut Max Plank de Bonn, université de Cologne et université Cornell aux États-Unis), a fait l'objet d'une publication le 26 septembre 2014 dans la revue Science, sous le titre "Detection of a branched alkyl molecule in the interstellar medium: iso-propyl cyanide"

Or, cette découverte est de la plus haute importance pour les exobiologistes, car elle suggère que les molécules complexes indispensables à la vie peuvent se former dans l'espace interstellaire. En effet, la structure de l'isopropyl cyanide correspond à celle des molécules nécessaires à l'émergence de la vie, comme les amino-acides, lesquelles sont en quelque sorte les "briques élémentaires" des protéines.

Ce résultat renforce donc l'hypothèse selon laquelle les molécules cruciales pour l'apparition de la vie, comme les amino-acides qui sont souvent retrouvés sur les météorites, sont fabriqués très précocement dans le processus de formation des étoiles, avant même que les planètes comme la Terre ne se forment.

Ces travaux ont été publiés le 26 septembre 2014 dans la revue Science, sous le titre "Detection of a branched alkyl molecule in the interstellar medium: iso-propyl cyanide" .

http://www.journaldelascience.fr/espace/articles/molecule-inattendue-decouverte-lespace-interstellaire-4147

 

07/10/2014

Echelle de distance dans l'univers

Ecoutez bien, on nous ressasse sans cesse les oreilles en ce qu'il n'y aurait pas d'eau dans l'Univers et pourtant partout dans le Grand Univers il y a de la glace ! Et sans eau comment la glace pourrait-elle se former ?

Comme nous retrouvons dans le grand Univers tous les constituants dont nos cellules ont besoin.

La vérité c'est que l'Univers est fractal ce qui veut dire que tout ce qui est en haut et comme ce qui est en bas, de l'infiniment grand à l'infiniment petit. Ce qui revient à dire que si l'on comprend le fonctionnement de l'une de nos cellules et ses besoins, ou comment fonctionne notre cerveau, nous comprenons les constituants,  le mode de fonctionnement et les besoins de l'Univers.

Ce qui veut dire encore que si sur terre nous faisons des enfants, dans l'Univers les étoiles  accouchent aussi d'enfants en fabriquant d'autres soleils ou systèmes solaires et les planètes accouchent d'autres planètes ou de lunes et autres éléments qui constituent les cellules de l'Univers. Ce qui remet en cause la théorie du Big Bang.

Au centre de notre galaxie, la voie lactée, se trouve le Grand Soleil Central ALCYONE qui est constitué de 7 étoiles ou 7 soleils qui aspectent chacun d'entre eux, un système solaire parallèle au nôtre. Un système solaire nait donc de l'accouchement d'un Grand Soleil central. De même, la mort n'existe pas dans l'Univers où tout n'est que transformation permanente. L'explosion d'une supernova donne naissance à des milliards d'étoiles ou de soleils.

L'explosion d'une Supernova

Comme l'Univers est électrique qui est l'un des vecteurs de l'information cosmique ou quantique, le second vecteur de l'information est l'eau, dont notre corps en contient 90 % tout comme la Terre qui est composée de 90 % d'eau, tout comme l'Univers doit être constituée de 90 % d'eau.

 

Echelle de distance dans l'univers

21/09/2014

Physique quantique : Première téléportation quantique sur une distance de 25 km

Magnifique !

Des expériences avec des photons, des particules électriques de lumière qui véhiculent les informations.

L'eau et l'électricité sont deux véhicules importants des informations y compris quantiques ou cosmiques qui arrivent jusqu'à nous et dans lesquelles nous baignons.

Nous vivons une époque formidable pour ceux qui se cherchent et qui comprennent la physique quantique !

Nous n'avons jamais été séparés de notre source primale énergétique quantique.

La séparation d'avec notre double ou corps Christique ou âme Divine ou corps de Lumière n'est qu'une illusion car nous communiquons toujours ensemble malgré les apparences trompeuses de division.

Certains savent déjà tout cela.

Sauf que l'homme étant un être électro-magnétique avec son corps énergétique, la science est en train de nous démontrer,  que nous sommes des êtres de Lumière et que dans la présente expérience, il existe la mémoire ou l'esprit de l'information électrique lumineuse qui est captée à distance par le photon jumeau.

Vous remarquerez que l'expérience a été faite pour le photon jumeau avec un cristal dont certains, tout comme notre hypophyse, contiennent de la silice qui est un minéral taillé comme un diamant et qui réfracte l'énergie lumineuse des 7 couleurs du prisme solaire ou de l'arc-en-ciel, pour la diriger vers nos centres énergétiques ou chakras (l'arche d'alliance entre nous et les Maîtres des rayons de lumière). Le cristal est un capteur et un amplificateur de l'énergie et de l'information en même temps qu'il présente des qualités de protection et spirituelles.  Voir : ICI et ICI

Une explication cohérente de la télépathie. La pensée n'étant autre qu'une énergie électrique qui voyage d'un point à un autre : émetteur/récepteur..


Première téléportation quantique sur une distance de 25 km

Publié le 21.09.2014, 21h38

Au CERN, le 19 juillet 2013 à Meyrin,près de Genève

Au CERN, le 19 juillet 2013 à Meyrin,près de Genève | Fabrice Coffrini

Pour la première fois au monde, des physiciens sont parvenus à téléporter l'état quantique d'un photon sur une longueur de 25 kilomètres, annonce une équipe genevoise de scientifiques dans la revue Nature Photonics dimanche.


"L'expérience, réalisée au sein du laboratoire du professeur Nicolas Gisin, constitue une première, et pulvérise simplement l'ancien record de six kilomètres établi il y a 10 ans par la même équipe de l'Université de Genève (Unige)", indique cette dernière dans un communiqué.

Popularisée par la science-fiction et faisant penser à Star Trek, la téléportation quantique ne permet pas, du moins en l'état actuel de la connaissance scientifique, d'envisager un transfert d'objets usuels et encore moins d'être humains.


Cette technique devrait dans le futur néanmoins trouver des applications intéressantes, notamment dans le domaine des télécommunications et du cryptage informatique sur , selon les experts qui espèrent, qu'à terme, la téléportation quantique permette de garantir qu'une information envoyée d'un émetteur vers un récepteur parvienne à destination sans être interceptée.

Dans le cadre de l'expérience réalisée à l'Unige, les physiciens ont pris deux photons issus d'une même source.


L'un de ces deux photons a été propulsé le long d'une fibre optique, alors que l'autre a été envoyé dans un cristal, une sorte de dispositif de stockage de l'information du photon. Le premier photon se trouvant dans la fibre optique, à 25 kilomètres de son frère jumeau, a ensuite été percuté par un troisième photon.


Les scientifiques ont ensuite constaté que l'information contenue dans le troisième photon est parvenue à se frayer un chemin au sein du cristal, sans que les deux photons jumeaux ne se soient directement rencontrés.

 

20/09/2014

Champs morphogénétiques : La mémoire de l’univers

 par kali

mercredi 9 novembre 2011

Rupert Sheldrake et les champs morphogénétiques

Cette notion de champs morphogénétiques ou morphiques s'avère difficile à expliquer avec des mots simples quand on la fréquente depuis peu. Ci-après un des extraits les plus pédagogiques trouvé :

"Historique de la notion de champ morphogénétique

Hans Driesch (1867-1941), embryologiste et philosophe, fut l’un des premiers chercheurs à avoir tourné le dos à la vision strictement matérialiste et mécaniste qui prévalait au XIXème siècle. Ses expériences sur les blastomères d’oursin démontraient que l’ensemble de l’embryon est plus que la somme de ses parties.2 Driesch en prélevait des éléments et ceux-ci se régénéraient ; l’ensemble se reconstituait. Il en déduit qu’il était impossible d’analyser ou de comprendre l’embryon d’une manière purement matérialiste.

Mais, c’est en 1922 que l’idée de champs morphogénétiques (abrégés ultérieurement en “morphogéniques“ et même “morphiques “) a été introduite par Alexander Gurwitsch, en Russie, puis en 1925, de manière indépendante, par Paul Weiss, à Vienne. A. N. Whitehead (1861-1947) scientifique et philosophe, affirma qu’il existe une propriété définie de complétude qui permet aux organismes de se développer et qui ne peut être réduite à une analyse des parties. Von Bertallanfy (1901-1972) a procédé en 1933, dans son livre Modern Theories of Developement, à la synthèse de ces différentes approches avec son paradigme organismique3 qui décrit le développement des systèmes ouverts (biologiques) par différence avec les systèmes physiques soumis à la loi d’entropie.

Une génération plus tard, C.H. Waddington (1905-1975) a poussé l’idée des champs morphogéniques un pas plus loin avec son concept de chréode, ou “zone de développement canalisé“, ou “attracteur de développement dans le temps et dans l’espace“.

 

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C’est Rupert SHELDRAKE (né le 28.06.1942), biologiste spécialiste de biochimie et de chimie cellulaire, qui donnera toute son ampleur au concept de champ morphogénique en faisant le réservoir de la mémoire de l’univers et la source de ce qu’il appelle “la causalité formative“.

Comment s’est forgé le concept de champ morphogénétique ?

R. Sheldrake écrit que “la mémoire est inhérente à la nature“. Il considère que “les systèmes naturels, tels que des colonies de termites, des pigeons, des orchidées, des molécules d’insuline héritent d’une mémoire collective renfermant tous les phénomènes concernant leur espèce, aussi distants soient-ils dans l’espace et dans le temps“. Il donne de nombreux exemples de comportements animaux instinctifs (la façon de se gratter des mammifères et des oiseaux, la capacité des araignées de tisser, dès leur naissance, des toiles caractéristiques de leur espèce, la manière dont les guêpes de boue australiennes construisent leur nid, etc.) dont il dit qu’ils ne peuvent être inscrits dans les gènes. Ce sont les fameux caractères acquis lamarckiens. Il précise : “Le comportement héréditaire, comme la forme héréditaire, est influencé par les gènes, mais n’est ni “génétique“, ni “génétiquement programmé“.

Pour expliquer ce qui ne relève pas du “génétique“ dans l’explication de la transmission des comportements héréditaires les généticiens parlent d’”effet du milieu“. Mais la définition qu’ils donnent de ce “milieu“ est extrêmement vague puisqu’elle englobe “l’ensemble des informations qui ne sont pas contenues dans les gènes“.

Nous voici en pleine tautologie ! Il convient donc de parler à propos de l’ADN non de “programme génétique“ mais de “patrimoine génétique“. Et R. Sheldrake écrit que, puisque toutes nos cellules comprennent à peu près le même ADN et se développent malgré tout selon des schémas différents, c’est bien qu’il y a en dehors d’elles une source d’information qui oriente leur action. Cette source d’information c’est le champ morphogénique de l’espèce.

Qu’est-ce qu’un champ morphogénétique (ou morphique) ?

C’est, comme son étymologie l’indique, un champ générateur de forme (morphos en grec). peut-on le définir ? “Les champs morphiques, comme les champs connus de la physique, sont des régions d’influences non matérielles s’étendant dans l’espace et se prolongeant dans le temps. Quand un système particulier cesse d’exister - lorsqu’un atome est désintégré, qu’un flocon de neige fond, ou qu’un animal meurt - son champ organisateur disparaît du lieu spécifique où existait le système. Mais dans un autre sens, les champs morphiques ne disparaissent pas : ce sont des schèmes d’influence organisateurs potentiels, susceptibles de se manifester à nouveau, en d’autres temps, et d’autres lieux, partout où et à chaque fois que les conditions physiques sont appropriées. Quand c’est le cas, ils renferment une mémoire de leurs existences physiques antérieures“. Et, plus la population étudiée comporte d’individus plus le champ morphogénique s’enrichit du comportement de tous ses individus.

Mais, de même qu’on ne connaît les champs de gravitation, les champs électriques ou magnétiques que par leurs effets, les champs morphogéniques ne peuvent être décelés que par les actions qu’ils influencent.

Actions influencées par le champ morphique

On peut comparer le champ morphogénique d’une part à un gigantesque réservoir de la mémoire de l’espèce, c’est sa fonction passive, d’autre part à un inducteur d’organisation, c’est sa fonction active ou téléologique. Et cet inducteur d’organisation fonctionne de mieux en mieux grâce à l’apprentissage des membres de l’espèce.

Sheldrake donne l’exemple des mésanges bleues qui, en Angleterre, ont appris à percer les capsules qui ferment les bouteilles de lait déposées par le laitier le matin à domicile : “Une analyse minutieuse des données a montré que la propagation de l’habitude s’est accélérée avec le temps, et que le comportement a été découvert par des mésanges individuelles“. MC Dougall réalisa en Angleterre des expériences sur les rats pour leur apprendre à choisir entre deux sorties d’une cage, l’une éclairée mais assortie d’une forte décharge électrique et l’autre sombre mais sans choc électrique. La première génération de rats commit 165 erreurs, la trentième n’en commettait plus que 20. La même expérience réalisée à 20 000 km de là, en Australie, montra que les rats australiens avaient bénéficié de l’apprentissage de leurs confrères anglais... Et tout ceci est naturellement transposable à l’homme."

Extrait d'Effervesciences N°48,
provenant du site :
http://www.effervesciences.com/

Réflexions

 

Rupert Sheldrake est l'un des scientifiques les plus contestés de sa génération. Les scientifiques en général, n'aiment pas que l'un des leurs s'adonne à des recherches sur des sujets aussi farfelus que la télépathie et autres fariboles.

Si la physique quantique n'avait donné des résultats rapides en termes d'effets de ses théories, sans doute aurait-elle été contestée car elle flirte avec le surnaturel, quand on pense au chat à la fois mort et vivant et au principe de simultanéité. Encore aujourd'hui les physiciens "cosmologistes" ne sont gère aimés de leurs pairs.

Cependant si on considère que le cerveau humain (ou animal) n'est pas un organe de stockage de l'information mais de "lecture/écriture", comment tout cela fonctionne-t-il ?

Le cerveau serait-il comme un processeur d'ordinateur qui va se servir dans une espèce de disque dur virtuel collectif que serait ce champs morphique ? Cette opération permettrait donc au cerveau de résoudre des problèmes, avec des informations stockées par d'autres cerveaux ailleurs et à un autre moment, ce qui permettrait aux espèces d'évoluer en permanence en s'enrichissant des progrès des autres individus de la même espèce.

Les neurosciences n'ont pas encore localisé la mémoire dans le cerveau. Quand des expériences sont menées avec des stimulis mémoriels, il semble que plusieurs zones du cerveau soient sollicitées simultanément. Cela ne signifie pas que les informations y soient stockées.

Si le cerveau est un émetteur/récepteur qui va piocher dans un champs morphiques des informations, qui sont en résonance avec ce dont il a besoin, alors ces champs sont forcément quantiques car "non localisés". Par ailleurs, l'évolution de leur contenu reste imprévisible car il dépend des décisions prises à chaque instant.

Propos récents de Rupert shedrake

Du magazine Clés - Novembre 2011 – Propos recueillis par Patrice van Eersel

Q : Trois décennies après vos premiers écrits, votre théorie demeure controversée. Vous dites qu’elle s’appuie sur des faits vérifiables. Lesquels ?

RS : L’un des meilleurs exemples demeure celui des cristaux. Quand des chimistes inventent une nouvelle molécule, ils ont généralement du mal à la faire cristalliser. Mais une fois que l’un d’eux a réussi, les autres y parviennent plus aisément partout. Comme si un nouveau champ de forme avait été créé à travers l’espace-temps et qu’il suffisait en quelque sorte de le capter. Une molécule nouvelle peut aussi cristalliser sous différentes formes, mais dès que l’une d’elles s’impose, son champ devient dominant et les autres formes disparaissent. Ce fut récemment le cas du Ritonavir, un médicament contre le sida, qui s’est hélas mis à cristalliser sous une forme qui en supprimait l’effet thérapeutique. On a dû dépenser des fortunes pour trouver une autre façon d’administrer cette molécule.

L’autre exemple type est psychologique : celui des rats de laboratoire. Une fois qu’un rat a réussi à deviner l’issue d’un labyrinthe, tous les autres rats de la planète trouvent plus facilement la solution. Vous avez aussi les tests de QI : depuis qu’ils ont été inventés, le niveau moyen de l’« intelligence » humaine n’a cessé de s’élever – de 30% depuis 1920, comme l’a montré le politologue James R. Flynn. Il ne semble pourtant pas que nos congénères soient de plus en plus intelligents, mais en 90 ans, des foules ont répondu aux mêmes tests, qui sont automatiquement devenus plus faciles à résoudre.

Bibliographie de Rupert Shekdrake

Une nouvelle science de la vie, Le Rocher, 1983.
L’Âme de la nature, Albin Michel, 2001.
Les pouvoirs inexpliqués des animaux, J’ai Lu, 2005.
Ces chiens qui attendent leur maître et autres pouvoirs inexpliqués des animaux, Le Rocher, 2001.
Sept Expériences qui peuvent changer le monde, Le Rocher, 2005

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17/09/2014

Nassim Haramein : Notre modèle du système solaire tel qu'on nous l'enseigne depuis le début est faux!

 

S'il était encore nécessaire de le rappeler, tout ce que l'on nous apprend à l'école ou dans notre société, est faux, notamment sur les religions, le système solaire, le fonctionnement électrique de l'homme et de ses cellules qui sont en lien étroit avec les énergies cosmiques ou quantiques, électriques et lumineuses.

Si tous les hommes savaient comment ils fonctionnent réellement en tant qu'êtres de lumière en constante évolution, ils diraient adieu aux religions pour être enfin lui-même : un être de lumière utilisant tout son potentiel créateur dynamique.

A quand la prochaine civilisation sans religions et vers la reconnaissance du véritable statut de l'Homme/Lumière ?

N'oublions pas que :

1- l'Uni-vers est un grand corps ou un grand tissu cellulaire électrique constitué de milliards de cellules et d'ADN cosmiques dont nos cellules et notre ADN sont eux-mêmes constitués.

2 - l'Uni-vers est fractal et qu'il reproduit toutes ses cellules cosmiques à l'infini en dupliquant les différents ADN cosmiques dont ceux des humains et de tout ce qui vit sur Terre et dans le cosmos. L'Univers fractal cela veut dire que tout ce qui est Haut est comme ce qui est Bas, soit que nos cellules sont constituées à l'identique de celles de l'Univers.

3 - l'Univers est électrique, tels que les planètes ainsi que les humains et tout ce qui vit sur Terre sous toutes les formes de vies.

4 - que les milliards de galaxies qui constituent l'Univers, ascensionnent toutes vers le centre de l'Univers, tout comme notre système solaire n'est pas figé mais qu'il ascensionne en permanence vers le centre de la Galaxie qui ascensionne elle-même en spirale ou forme hélicoïdale comme l'ADN, vers le centre de l'Univers. Ce qui représente les cycles de l'évolution tant des galaxies que de notre système solaire que des hommes et de tout ce qui vit et qui constitue l'Uni-vers. Nous sommes donc tous UNIS-VERS le centre de l'UNI-VERS.

5 - que l'énergie ou la lumière cosmique c'est la VIE en mouvement, et que le mouvement c'est la VIE faite de milliards de vortex d'énergies dont nos propres cellules.

6 - que la mort n'existe pas dans l'Univers ne s'agissant que de perpétuelles transformations qui signent l'immortalité des énergies et des âmes faites de pure lumière et d'énergie.

 Rien ne se perd dans l'UNI-VERS mais tout se transforme en nouvelles énergies cosmiques ou quantiques ou énergies lumineuses..

Voir notre précédent article ci-dessous :

 

 
Nassim Haramein : Notre modèle du système solaire tel qu'on nous l'enseigne depuis le début  est faux!

Quand vous entrez dans une salle de cours aujourd’hui, et probablement depuis que vous êtes enfant, on vous enseigne un certain modèle concernant la structure de notre système solaire.

C’est le modèle qui ressemble à ceci:

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C’est le modèle traditionnel en orbite du système solaire, ou le modèle héliocentrique, où nos planètes tournent autour du soleil.

Même si ce n’est pas totalement faux, on omet un fait très important. Le soleil n’est pas stationnaire. En réalité le soleil se déplace à une vitesse extrêmement rapide, jusqu’à 828000 km/h.

Notre système solaire entier est en orbite autour de la Voie Lactée. En fait, il faut 220 millions d’années au Soleil pour tourner autour de notre Galaxie.

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En sachant que cela est vrai, notre modèle visuel du système solaire doit changer, il a été imprécis pendant tout ce temps.

En fait, nos planètes traversent l’espace à une vitesse extrêmement rapide avec le soleil, et créent littéralement une hélice géante d’ADN d’origine cosmique, et un vortex semblable à notre galaxie, la Voie Lactée.

Comme ceci mais dans l’espace, en créant une onde sinusoïdale sans fin.

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Cela suppose que notre Soleil et les planètes de notre système solaire ne sont jamais à la même place.

Lorsque nous faisons une rotation autour du soleil, nous avons déjà parcouru des millions de kilomètres à travers l’espace, ce qui signifie que ces cycles cosmiques sont bien plus grands que ce que nous aurions pu imaginer auparavant.

Voici deux exemples de vidéos du modèle hélicoïdal de notre système solaire.

Le physicien Nassim Haramein précise la différence dans cette vidéo :

Voici une belle représentation numérique de la façon dont notre système solaire est en réalité un vortex.

 The solar system's motion thru space
by The Resonance Project / Nassim Haramein

 The helical model - our solar system is a vortex

Merci & passez le mot ! Faisons changer cela dans les classes à travers le monde !

http://www.espritsciencemetaphysiques.com/

http://www.espritsciencemetaphysiques.com/

http://www.arcturius.org/chroniques/notre-modele-du-systeme-solaire-faux-depuis-debut/

http://lesbrindherbes.org/2014/09/16/etonnant-representation-notre-systeme-solaire-faux/