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06/11/2014

Les mondes parallèles existent, affirment des chercheurs australiens et américains

Publication: 05/11/2014 07h51

PARALLEL UNIVERSES
 

SCIENCE - Les mondes parallèles n'existent pas seulement dans la science-fiction. Selon une étude menée par des chercheurs australiens et américains publiée le 23 octobre dernier dans le Physical Review X, d'autres mondes parallèles au nôtre existent. Cette théorie permettrait d'expliquer bon nombre de phénomènes mystérieux.

Les scientifiques assurent que ces autres mondes exercent en fait une force sur notre propre univers qui provoquerait des phénomènes a priori inexplicables, comme certains mouvements de particules au niveau microscopique. Selon cette théorie, notre univers ne serait donc qu'une gigantesque série de mondes, certains semblables au nôtre, d'autres très différents. Tous ces mondes existeraient simultanément et s'influenceraient les uns les autres par une force de répulsion.

Pourquoi une telle théorie? La mécanique quantique est une branche de la physique qui tente d'expliquer et de décrire les phénomènes fondamentaux comme le mouvement des particules par exemple. Elle a entre autres permis d'expliquer la structure de l'atome et forme le socle de la physique moderne. Elle est particulièrement difficile à comprendre et peu instinctive, car elle défie les lois physiques que l'on connaît depuis Newton (de cause à effet).

Comme le rappelle le blog spécialisé, "Chroniques de l'espace temps", imaginer qu'il existe des mondes parallèles n'est pas une théorie nouvelle. Dès 1957, " Hugh Everett expliquait que l'univers comportait tous les états définis par la mécanique quantique, et que c'était l'observateur qui n'en percevait qu'une possibilité. Pour simplifier, le fait d'interagir avec la réalité lui faisait "choisir" une voie, sans que les autres ne cessent d'exister simultanément." Ou encore, notre univers n'est qu'une infime possibilité parmi d'autres, infinies.

L'équipe australienne et américaine qui a publié ses travaux en octobre dernier est en fait allée plus loin en affirmant que ces mondes parallèles interagissaient et ne se contentaient pas d'exister indépendamment les uns des autres.

Dix minutes pour comprendre la Mécanique Quantique

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Vivons-nous dans un Univers ou un multivers ?

Comme nos Zélites/reptiliennes cherchent à nous ramener perpétuellement vers le plancher des vaches pour entraver notre expansion de conscience vers notre être supérieur, notre évolution neurologique et spirituelle, voyons ce qui passe dans les Univers dont celui de l'Homme qui est un Univers dans un grand Univers, comme pour tout ce qui nait et vit dans l'UNI-VERS où tout est lié, revenons à nos sources cosmiques avec Aurélien Barrau qui nous fait un brillant exposé sur les Multivers.

 

Aurélien BARRAU

Enseignant-chercheur
Professeur à l'UJF, membre de l'IUF

Laboratoire de Physique Subatomique et de Cosmologie (CNRS-IN2P3)

53, avenue des Martyrs
F-38026 Grenoble cedex

Vivons-nous dans un Univers ou un multivers ?


 

 

Vers la bascule des pôles magnétiques

Ce serait la meilleure des solutions pour purifier la Terre de l'atome et de tous les produits chimiques qui l'infeste, pour faire cesser toutes les guerres et laisser une terre propre  pour les générations futures. Le souci ici, et si les mers et les océans ne débordent pas, c'est que nous retournerions au Moyen-âge, car l'électricité serait interrompue sur tout le globe pour un long moment, les polarités électriques étant inversées, la terre en cas d'inversion de ses pôles magnétiques, reprenant sa rotation à l'envers.

Vers la bascule magnétique

Par

 valeursactuelles.com

Mercredi 05 Novembre 2014 à 09:39 (mis à jour le 05/11/2014 à 11:47

 

Photo © Glow images

Technologie. Notre civilisation technologique va-t-elle au-devant de sérieux problèmes en cas d’inversion des pôles magnétiques ?

Ce phénomène, qui s’est produit à plusieurs reprises dans l’histoire de la Terre, évolue, en théorie, trop lentement pour que l’être humain y soit véritablement sensible. Mais une étude publiée dans le Geophysical Journal International vient de montrer que la durée nécessaire à cette inversion pourrait en réalité être plus courte que prévu — en fait, inférieure à une vie humaine.

Cette nouvelle évaluation est le fruit de la cartographie fouillée du massif italien des Apennins consécutive au tremblement de terre de L’Aquila, en 2009. L’analyse des sédiments déposés lors d’éruptions volcaniques passées a en effet montré que ceux-ci portaient en eux — un pur hasard — la marque de la dernière inversion des pôles magnétiques, voilà un peu moins de 800 000 ans. L’analyse fine de cette mémoire sédimentaire a rendu alors un verdict étonnant : cette dernière inversion s’était produite en moins d’un siècle. Or, nous savons que le champ magnétique terrestre est en phase de décroissance, un marqueur habituel d’une inversion imminente.

Problème : durant cette bascule, qui procède d’un jeu encore incompris entre les parties liquide et solide du noyau métallique de notre planète, la magnétosphère, qui nous protège du vent solaire, a tendance à faiblir. Si cet affaiblissement venait à être concentré sur une période courte, les tempêtes solaires, génératrices d’aurores boréales (photo), pourraient mettre dramatiquement à l’épreuve la trame électrique et connectique de nos sociétés.

 

05/11/2014

Les supernovae

Une preuve de plus que rien ne meurt dans l'Univers et que nous sommes tous nourris par le cosmos et ses rayonnements, ce qui nous permet aussi d'évoluer psychiquement et spirituellement, en activant notre ADN.


Si en explosant une Supernova donne naissance à des éléments nutritifs, des étoiles, des planètes et la vie dans l'Univers, c'est un accouchement et non pas une explosion ou une quelconque mort de la Supernova, mais aussi la preuve de l'éternité de l'Univers qui se transforme.


28/10/2014

La Voie lactée se situe dans un «continent céleste» bien plus vaste que prévu !

Ben voyons, Tarzan qui découvre pour la première fois, le phonographe !

Tout à coup, ils découvrent que La Voie lactée se situe dans un «continent céleste» bien plus vaste que prévu ! Comme si notre voie lactée était séparée du Grand Univers = Univers Global = UNI-TE qui contient des milliards de Galaxies qui le constitue et qui évoluent en spirales (comme l'ADN) vers le centre des Galaxies et du Grand Univers créateur de toute vie dans le Grand Univers.

On se marre et vous ?

L'UNIVERS  est un "grand élément ou un ADN primal créateur de toute vie dans l'UNI-VERS = DIEU CREATEUR" constitué de "multiples éléments" dont des galaxies, des systèmes solaires, des comètes, des planètes, des fluides circulants, des énergies lumineuses hiérarchisées en fonction des diverses dimensions lumineuses, des êtres vivants dont les hommes qui constituent des cellules vivantes de ce grand UNI-VERS, et qui sont reliées entre elles par l'eau, l'électricité, tous les nutriments quantiques et toutes les énergies quantiques qui les animent dans l'UNI-VERS connecté et Unifié. Voir la théorie en physique quantique de l'Univers Unifié de Nassim Haramein.




Des chercheurs ont identifié les frontières du superamas contenant notre galaxie. Baptisé «Laniakea», il est cent fois plus volumineux qu'on ne le pensait

L'Univers est un jeu de poupées russes cosmiques. Les planètes tournent autour d'étoiles, les étoiles sont rassemblées en galaxies, les galaxies en groupes ou en amas, les groupes et les amas en superamas. Seul petit problème: il n'existait jusqu'à aujourd'hui aucune définition précise de ces dernières structures, les plus grandes de l'Univers. Cela fait plus de cinquante ans que la communauté scientifique bute sur ce problème.

Dans une publication faisant ce jeudi la une de la revue Nature, une équipe franco-israélo-américaine pense avoir identifié la nature profonde de ces «continents célestes». À partir d'un catalogue recensant la vitesse de 8 000 galaxies proches, ils en donnent la première description physique et définissent ainsi les contours du superamas contenant notre galaxie, la Voie lactée. Ils l'ont baptisé «Laniakea», un terme hawaïen signifiant «incommensurable paradis».

La couverture de Nature du 4 septembre 2014. <i>(Crédits: Nature, Illustration: Mark A. Garlick; Source: Daniel Pomarède)</i>

La couverture de Nature du 4 septembre 2014.
(Crédits: Nature, Illustration: Mark A. Garlick; Source: Daniel Pomarède)

«En fait, les superamas sont l'équivalent astronomique des bassins-versants sur Terre, à cette différence que ce n'est pas de l'eau qui s'écoule, mais des galaxies», explique Hélène Courtois, professeur à l'université de Lyon et deuxième auteur de ces travaux d'une importance fondamentale. La frontière entre deux superamas est la ligne de démarcation qui sépare deux bassins gravitationnels. Suivant qu'une galaxie se situe d'un côté ou de l'autre, elle s'écoulera dans un sens ou dans l'autre.

Sur la représentation graphique du superamas(voir ci-dessus), les grandes lignes représentent les trajectoires de galaxies obtenues à partir de leur vitesse propre, c'est-à-dire la manière dont elles se déplaceraient si l'Univers n'était pas en expansion continue. «Nous n'avons pas affiché les 8 000 trajectoires que nous avons calculées pour ne pas encombrer la représentation», explique Daniel Pomarède, informaticien au CEA à Saclay, qui a développé le logiciel de visualisation 3D.

La pelote de cheveux jaunes correspond ainsi à notre superamas. Tous les fils convergent vers une même «vallée gravitationnelle» en forme d'ange. Laniakea est 100 fois plus volumineux que le précédent «Superamas local» (aussi appelé «Superamas de la Vierge»). Il contient 100 000 grosses galaxies (100 milliards d'étoiles chacune) et un million de galaxies naines (de 1 à 10 milliards d'étoiles chacune). Et comme le Soleil dans notre galaxie, le groupe de la Voie lactée n'est qu'un élément périphérique de ce superamas.

« Les superamas sont l'équivalent astronomique des bassins-versants sur Terre, à cette différence que ce n'est pas de l'eau qui s'écoule, mais des galaxies. »

Hélène Courtois, astrophysicienne.

La découverte de Laniakea permet d'éclaircir un des grands mystères de l'astrophysique: pourquoi notre Voie lactée se dirige-t-elle à 630 kilomètres par seconde dans une direction donnée? Les astrophysiciens ont longtemps travaillé, en vain, sur un hypothétique objet au titre ronflant: «le Grand Attracteur». Celui-ci n'existe pas. Il s'avère en fait que notre galaxie se déplace comme les autres sous la seule influence gravitationnelle de ses voisines et de la matière noire environnante. Il fallait simplement avoir une vue d'ensemble plus large pour le constater.

Les quelques mille-pattes blancs qui entourent Laniakea sur l'image ci-dessous sont probablement des superamas voisins. «Nous manquons toutefois de données pour connaître leurs frontières précises, note Hélène Courtois. Peut-être que certains appartiennent à un même bassin plus vaste que nous ne parvenons pas encore à discerner.» Il y aurait la place pour six millions de superamas de la taille de Laniakea dans l'Univers. De quoi donner le vertige.

Un télescope spatial en 2020

La chercheuse travaille justement en ce moment à étoffer la base de données Cosmicflows-2 sur les vitesses des galaxies afin d'explorer un volume plus grand d'Univers. Le premier objectif pour sa troisième édition serait de doubler le nombre de galaxies dans les deux années à venir.

Seule la vitesse des galaxies spirales peut être connue avec une relative précision (10 à 20 % près), car elles contiennent encore les nuages d'hydrogène dont se servent les astrophysiciens pour effectuer cette mesure. «Les radiotélescopes suffisamment puissants pour effectuer ces mesures ne sont apparus que dans les années 2000, rappelle l'astrophysicienne lyonnaise. Cela explique en partie pourquoi la découverte de Laniakea est si tardive. Pour franchir un nouvel ordre de grandeur et étudier un volume d'Univers deux fois plus gros, il faudra probablement attendre la nouvelle génération d'instruments qui arrive.»

Le télescope spatial européen Euclid, dont le lancement est prévu en 2020, pourrait constituer une autre révolution dans l'étude des superamas et de la distribution de matière noire dans l'Univers.