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26/11/2012

Gaza, tous coupables !

 Comme il a raison ! Nous sommes tous coupables de laisser ces crimes se perpétrer, sans lever le petit doigt  pour nous y opposer !

Star of David

Gaza, tous coupables

Yace
Investig'Action
jeu., 22 nov. 2012 00:00 CST

Évidemment, Israël est le grand coupable dans la tragédie qui s'abat sur Gaza. Mais est-il le seul responsable ?

La réponse en dessin avec Yace...

Poster for Gaza

© Yace

Poster for Gaza

© Yace

Poster for Gaza

© Yace

Poster for Gaza

© Yace

Poster for Gaza

© Yace

Pour suivre le travail de Yace, c'est ICI.

http://fr.sott.net/article/11612-Gaza-tous-coupables

Gaza : Owen Jones, un journaliste qui ne mâche pas ses mots sur la BBC

Enfin la vérité !

Une preuve de plus que la propagande sioniste ne fonctionne plus et que les esprits s'éveillent aux réalités ! Que les sionistes cessent de nous prendre tous pour des ignorants, incapables de connaître l'histoire et de réfléchir avec nos neurones !

 
 Gaza : Owen Jones, un journaliste qui ne mâche pas ses mots

Sur la BBC, Owen Jones, journaliste de The Independent, ne mâche pas ses mots en parlant de l'agression israélienne contre Gaza.

Gaza
Owen Jones, un journaliste qui ne mâche pas ses mots

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...

25/11/2012

Appel aux juifs pour qu’ils renoncent au sionisme !

C'est une excellente idée !

Que tous les juifs qui sont contre le sionisme se mobilisent pour reprendre leur honneur et le cours de leur vie et de leur histoire !

Appel aux juifs pour qu’ils renoncent au sionisme !


Allô ! allô! Allô!
C’est un appel radio
L’appel de l’ombre
Allô! Allô !
C’est un rappel à l’ordre
Des braves et des justes
Un appel que j’adresse à tous les juifs
Pour qu’ils renoncent au sionisme
À l’impérialisme politique et pathologique
De leurs faux maîtres à penser
Qui n’ont jamais entendu parler
Des tables de la Loi… véritables
Je m’adresse aux juifs du monde entier
Pour qu’ils dénoncent l’iniquité
L’injustice et la cupidité de leurs dirigeants
Et qu’ils exigent la création immédiate
D’un État Palestinien contigu à un état Israélien
Pour laver leur judéité de tout soupçon
Et affirmer leur amour pour la paix et la fraternité
Allô ! allô! Allô!
Juifs du monde, vous m’entendez ?
Qu’est-ce que vous attendez pour vous dresser
Contre les faux- frères qui souillent votre nom, votre action et votre religion
Qu’est-ce que vous attendez pour rendre à Lazare ce qui appartient à Lazare…
Et à Dieu ce qui appartient à Dieu…
Pas d’Israéliens … sans Palestiniens
Main dans la main configurez aujourd’hui même ou demain
la création de deux états libres et divins.
Les mécréants ce sont tous ceux qui n’y croient pas ou vous empêchent d’y croire.
Allô ! allô! Allô!
Merde c’est le noir complet
J’ai dû déranger quelqu’un de très haut placé
J’ai été Copé !

Appel aux juifs

https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=UB1UfahA7sw

 

http://www.lejournaldepersonne.com/2012/11/appel-aux-juifs/

23/11/2012

La Genèse selon Sumer et la Gouvernance reptilienne

Cela c'est la version que l'on raconte, mais la vérité serait sans doute celle que les Grands Dieux Annunakis d'origine reptilienne ont créé une race hybride, humano-reptilienne qui était censé travailler pour leurs grands Dieux Annunakis pour exploiter la Terre et toutes ses richesses, dont l'or, le pétrole et autres richesses. Cette race hybride humano-reptilienne est plus communément appelée les Illuminati-reptiliens-sionistes-satanistes qui se seraient révoltés auprès de leurs Grands Dieux Annunakis parce qu'ils travaillent trop et qui ont été autorisés à faire de nous leurs esclaves pour travailler pour eux.  

Avoir pratiqué à Sumer, l'ancienne Mésopotamie et l'Irak que nous connaissons aujourd'hui,  l'hybridation entre l'ADN reptilien et l'ADN Humain, c'est ce qu'ils ont appellé avoir commis le péché originel au Paradis d'Eden (l'homme avec tous ses attributs Divins dont l'âme est immortelle).

C'est à partir de cette hybridation entre l'ADN reptilien et l'ADN humain pour créer deux races sur Terre, l'une étant une race prédatrice de l'humanité, que les religions en ont profité pour nous faire supporter indûment le poids du péché originel, c'est-à-dire pour cette race hybride d'avoir transformé l'ADN originel Divin, en un ADN hybride : Humano-reptilien. Nous n'avons rien à voir avec tout cela et dans l'article ci-dessous, remplacez l'homme qu'ils auraient créé par la race hybride reptilienne.

L'humanité abrite donc au moins deux races sur Terre la reptilienne-hybride qui est la race prédatrice de l'Humanité et les hommes purs dont leur ADN n'a pas été hybridé et ce que les reptiliens essaient de faire muter à tout prix. Voir aussi, Le Plus Grand Secret de David Icke et Les 5 clés pour résister à la gouvernance des reptiliens de Fanck Hatem - Biographie de Franck HATEM et de son père

C'est cette race hybride qui mène le monde et qui poursuit son idéologie religieuse d'instaurer l'unique religion mondiale qui existe déjà puisque nous avons tous été condamnés à croire en leurs prophètes dits hébreux, Moïse et Abraham, nés tous deux à Ur à Sumer et qui en sont partis pour envahir la planète. Leur objectif est donc celui d'instaurer leur Nouvel Ordre Mondial sur la base de l'Unique Religion Mondiale. Ce qui revient à dire que s'ils avaient pu instaurer leur Nouvel Ordre Mondial, en s'accaparant tous les pays et les richesses de la Terre, ils auraient atteint leur but, en s'accaparant définitivement la Terre au titre de la promesse faite à leurs Grands Dieux Annunakis. Ce que nous pouvons comprendre sur le logo des Illuminati, sur lequel apparaissent les deux mentions en latin qui sont très significatives.

 

"ANNUIT CŒPTIS" signifie: "notre projet sera couronné de succès".

"NOVUS ORDO SECLORUM" signifie "nouvel ordre pour les siècles".
En d'autres termes: nouvel ordre mondial pour les siècles


La Genèse selon Sumer

Dernière modification le 20/09/2012 à 11h30

Enki en taureau et Isis-Ninhoursag. Arrière-plan : Reconstitution   de la cité d'Ur ou Our, une des premières villes de cette planète. 

L'encyclopédie assyrienne nous donne la version originale de la Genèse. Près de cent tablettes d'argile racontent la création du monde et de l'homme selon Sumer. Si les dieux volants ont fait l’homme, c'est pour qu'il travaille à leur place.

 

Ruines en Mésopotamie.

Pour Sumer, le monde commence par une rencontre, celle de l'eau douce et de l'eau salée. Abzu, l'océan primordial d'eau douce, est de sexe masculin. Il s'unit à une sorte de dragon femelle, Tiamat, l'eau salée. De leur union naîtront tous les astres et toutes les planètes. Un troisième personnage, présent dès l'origine, est Moummou, ou Mercure. Cette genèse étrange a toujours été comprise comme une figuration animiste. Un songe creux. Un mythe. or il y a mythe et mythe...

Les mythes antiques, les vieilles légendes sont à l'opposé du sens actuel. Contrairement aux affabulations des mythomanes, les mythes antiques sont le testament des Dieux un témoignage concordant à travers le monde, aux accents troublants, inédits. Selon moi, comme pour tous les mythologues, ces récits méritent d'être pris au sérieux car ils nous décrivent l'histoire d'avant l'histoire.

 

Dragon de la Mer Salée, par Boris Valejo

Revenons à Moummou, Tiamat et Abzu. L'intéressant mélange de l'eau douce et de l'eau salée révèle la portée du message. On notera que l'eau salée représente l'élément feu, à traversl'image du dragon. On notera enfin la présence du Mercure. S'agirait-il de notions scientifiques déguisées ? On ne peut s'empêcher de le penser, en effet.

Selon nos astrophysiciens, la soupe primitive dont tout est issu provient de ce mélange eau douce/salée, ou eau/feu

Sur cette stèle sumérienne, 

on peut voir l'écriture cunéïforme accompagné des hiéroglyphes et d'images.

Et que dire du Mercure, inactif mais indispensable à la fusion des deux éléments ? Illustrant la notion physique de catalyseur, il est l'élément sans lequel les transferts de particules ne pourraient s'effectuer. L'argile jouera le même rôle dans la création de l'homme. On a donc affaire à un condensé de connaissances antérieures, physiques et chimiques, sous une forme accessible aux demeurés que nos ancêtres étaient devenus. Les Sumériens auraient-ils pu comprendre la version sans image ? On en doutera. Une chose est sûre : les peuples qui ont suivi étaient encore plus bêtes.

"Ros uri sal", dit la vieille devise alchimique. "La rosée brûle le sel", voilà la première étape du grand-oeuvre alchimique. La rosée, c'est à dire l'eau douce. "Béni soit celui qui comprend pourquoi il travaille le sel." Et le mercure, lui aussi, joue un rôle central dans le processus alchimique. Cette prime genèse serait-elle la description d'une opération de "chymie céleste" ? C'est fort probable. On sait que la science des anciens accordait autant d'importance à l'alchimie qu'à la chimie, à l 'astrologie qu'à l'astronomie, à la numérologie qu'à l'arithmétique.

Friedrich Nietzsche vu par 

Maëster

La distinction entre science et magie est récente ; elle repose sur un malentendu. Au fil des âges, l'homme a perdu l'usage de son cerveau droit, le "côté gauche" des naguals. L'aspect magique de la réalité s'est occulté à mesure que se renforçait le diktat du "côté droit", qui devient avec Descartes un excès rationaliste. Seul Nietzsche a dénoncé  l'impasse où s 'engageait l'occident. Sa vision de la Grèce antique écartelée entre Nemesis et Hubris, Règle et Ivresse, Apollinien et Dyonisiaque, ouvre les têtes et les coeurs.


Statuettes sumériennes

La mythologie grecque se prête aussi bien à une lecture alchimique : Cronos dévore tous les enfants que lui donne sa femme Rhéa. Mais, lorsque Zeus est sur le point de naître, Rhéa veut lui éviter le sort de ses frères et, prenant une pierre, elle l´offre à Cronos qui croit avaler son fils et Zeus est sauvé. Plus tard, Zeus, par ruse, fait absorber une drogue à son père Cronos et celui-ci vomit les enfants qu´il a dévorés. Il suffit de transposer les noms : Cronos (Saturne = plomb) absorbe un métal de même apparence que son fils Zeus (Jupiter = étain) et ce métal est un vomitif très puissant, l'antimoine ou Agarhos appelé aussi pierre d´Abaddir.

Un autre chapitre n'est pas moins intéressant, où l'on apprend comment les dieux Anounnaki, fatigués de se taper tout le boulot, décident de créér un travailleur primitif. Ainsi naîtra l'Homo sapiens : vous et moi, chers amis.( LPM : La race hybride et non pas l'homme).

 

Mésopotamie, composition de SK d'après un projet de jeu 

vidéo

http://eden-saga.com/fr/sumer-creation-alchimique-la-genese-en-version-originale.html

04/11/2012

Quand le CRIF s'arroge le droit de réviser l'histoire de la Palestine et nie l'existence du génocide palestinien !

Il n'y a que la vérité qui blesse le CRIF !
Ensuite ils viendront nous dire qu'ils n'ont aucune influence sur les sphères médiatiques pour faire exercer leur censure !

Une insulte à notre intelligence et à notre mémoire sur la vraie histoire de la Palestine !
Il faut aussi nous manipuler pour nous faire renier le génocide Palestinien !
Nous rappelons que l'état sioniste d'Israël est un état privé qui appartient aux Rothschild et état sioniste qui n'existe que depuis mai 1948.

C
e qui prouve qu'avant cette date l'état sioniste d'Israël n'existait pas et que seule la Palestine existait.

Les sionistes ont donc colonisé ce pays et ont consenti dans leur grande magnanimité, à ne laisser aux Palestiniens que la bande de Gaza transformée en véritable prison de ce peuple colonisé et martyrisé depuis plusieurs décennies.

Une honte pour nous tous, de laisser faire cela !
Mais là, la communauté internationale criminelle ne bouge pas le petit doigt !

Histoire d'Israël : ICI


La Vérité sur La Création de l'État d'Israël !
http://www.youtube.com/watch?v=yqc3ouQnHgM

Voici, ce que pense le CRIF d'une chanson écrite en faveur de la libération du Peuple Palestinien.

Tout simplement scandaleux !

Nous vous laissons juger par vous-mêmes de cette arrogance et de l'insulte faite à notre intelligence.

Et encore une fois, nous ne confondons les juifs avec les sionistes.


LE CRIF EN ACTION Publié le 15 Octobre 2012:

Une chanson qui risque de promouvoir la haine d’Israël chez les jeunes

Richard Prasquier a adressé une lettre à Rémy Pfimlin, président de France Télévisions, à propos de la nouvelle chanson du groupe Zelda « Une vie de moins ». Nous publierons cette lettre dans une prochaine newsletter.

Ci-après une tribune de Maître Bertrand Ramas-Mulhbach sur ce sujet, suivie du vidéo-clip édifiant de la chanson.

« Les jeunes Français (peu intéressés par la politique en général et encore moins par la situation au Moyen-Orient, mais amateur de Zebda) sont maintenant prêts pour haïr Israël, cet État injuste, meurtrier et illégal »

Le 7 octobre 2012, le groupe Zebda a diffusé en avant-première, le clip de sa nouvelle chanson intitulée « une vie de moins », écrit par Jean Pierre Filiu, spécialiste (s'il en est) du monde de l'Islam. Cette collaboration entre les chanteurs toulousains (qui n'ont jamais caché leur militantisme pro palestinien) et le Professeur de Sciences politiques arabisant a permis la réalisation d’un produit de propagande anti-israélienne tout à fait hallucinant. Dans le clip, présenté sous la forme d'un dessin animé, Israël est montré comme enfermant les Palestiniens qui ne demandent qu'à jouir d’une vie normale, libérée de l’angoisse permanente et des menaces militaires israéliennes. De leur côté, les Palestiniens apparaissent sous un côté attachant, émouvant, généreux, en grande souffrance, avec une jeunesse en manque de dignité, de sécurité et de paix.

Le premier symbole auquel s’attaque la chanson est la valeur supérieure de la vie dans le judaïsme avec le titre, « Une vie de moins », qui suggère le peu de cas que les Israéliens feraient de la vie des Palestiniens (comme si une vie de plus ou de moins ne changeait pas véritablement la donne). Ce titre désacralise ainsi l’un des principes fondamentaux du judaïsme en vertu duquel « Celui qui tue un homme tue toute l’humanité ».

La chanson et le clip dressent le parcours de vie d’un jeune palestinien depuis sa naissance, où il ne comprend pas les conditions de son existence, jusqu'à sa mort survenant dans des conditions tout à fait absurdes. « Je suis né dans un pays qui n’existe pas, je suis né sur une terre qui n’est plus à moi, une terre occupée, une terre piétinée, une terre autonome sur le papier ». Le clip débute alors avec l'image d'une colombe qui vole sur la mer (symbole de l’aspiration à la paix et à la liberté des Palestiniens) avec le premier couplet qui se termine sur les images des barbelés et du mur de séparation (symbole de l’emprisonnement des Palestiniens par Israël). Bien que Jean Pierre Filiu soit réputé pour ses connaissances du monde arabe, les paroles de la chanson n’en sont pas moins éminemment mensongères. S’agissant de la propriété sur la terre, il oublie que les Palestiniens de la bande de Gaza sont les descendants des philistins, ce peuple de la mer venu s’établir (pour ne pas dire occuper) la terre de Canaan, après leurs déconvenues avec les Égyptiens. De même, il parle d'occupation, alors que plus aucun juif ne réside sur la bande de Gaza. Enfin, au regard de l'autonomie, il est regrettable que Jean Pierre Filiu n’ait pas suggéré aux Palestiniens de créer « l’État palestinien de la bande de Gaza » dans la mesure où ils y exercent un contrôle exclusif, qu'ils disposent d’un gouvernement, d’institutions (« la charia »), d'une philosophie (la destruction de l'entité sioniste) d’une police, d’une justice (expéditive) et d’un budget alloué par la communauté internationale et abondé par les taxes reversées par Israël. Une partie du problème dénoncé dans ce couplet serait réglée.

Dans le couplet suivant, l’enfant palestinien explique être né sous les « youyous et les cris de joie, dans un camp beaucoup trop étroit avec la mer comme frontière, comme sanctuaire pour lui faire oublier les colons, le blocus et la misère ». Il est intéressant sur ce point de rappeler que les camps de réfugiés de la bande de Gaza sont maintenus pour des raisons uniquement « financières » puisque les Palestiniens sont indépendants sur ce territoire : ils sont donc réfugiés chez eux. Par ailleurs, en évoquant les « colons », Jean Pierre Filiu ne semble pas informé de l’opération menée au cours du mois d’août 2005, par Ariel Sharon qui a chassé tous les juifs qui s’y étaient établis (une documentation abondante traite toutefois de la question). Pour ce qu'il en est de la misère, c’est un problème de gestion. Si l’argent est employé à l’acquisition des armes, à la propagande télévisée anti israélienne, et plus généralement à la culture de la haine contre les juifs dans les camps d’entrainement ou les camps d’été pour les jeunes, il ne peut plus l'être pour faire fleurir la société. (LPM : Mais bien sûr !)

Dans le couplet suivant, le jeune Palestinien explique avoir grandi « au son du récit de l’exil » (alors qu'il vit sur sa terre), « au creux des lits suspendus à un fil » (c'est un mode de vie culturel), « à l’espoir tenace dans l’impasse », mais qu’un jour, « la tête haute, les Palestiniens auront leur passé…» (Les Palestiniens sont nés en tant que peuple avec la Charte de l'OLP de 1968. Il est donc encore un peu tôt pour avoir du recul sur leur histoire). L’enfant palestinien développe ensuite avoir « grandi trop vite, entre le deuil et l’oubli » (puisque les Israéliens tuent et que la communauté internationale se contre fiche de leur problème), mais qu’il garde l’espoir de devenir quelqu’un : « le sable chaud sous mes pas me portait vers l’au-delà. Je serai si grand et si fort qu’on ne verra que moi ». (À ce stade de la chanson, on ne peut que lui souhaiter de réussir sa vie et de ne pas la finir en martyr, entouré d’une bombe confectionnée par le Hamas).

Dans le couplet suivant, le jeune Palestinien explique l’enfer de la prison « j’ai vécu sans jamais sortir » (il ne doit pas savoir naviguer, ni où se trouvent le passage vers l'Égypte, voire, l'emplacement des tunnels). Cette séquestration est encore appuyée avec la référence « de jour en jour, sans remords ni soupirs, malgré les barbelés, le couvre-feu, les blessés ». On ne sait pas bien de quel couvre-feu il s’agit, mais cette référence tend à montrer l’existence d’une présence militaire israélienne sur la bande de Gaza, ce qui est encore faux. Il précise alors «avoir chéri au fond de lui le rêve d’en partir » pendant que le clip montre une petite fille qui s’envole, accrochée à des ballons gonflés à l’hélium, qui seront crevés par une aiguille dans le ciel, avant que la fillette ne s'écrase sur le sol.

La ferveur des Palestiniens, pacifiques et inoffensifs, est alors illustrée par sa participation « aux vagues humaines de l’intifada » (rassemblement pacifique des Palestiniens) avec les « drapeaux portés à bout de bras » (ce ne sont pas des armes) à l’occasion desquels « nous chantions à plein poumon notre passion » (les Palestiniens s’expriment par des chants) tandis qu’« au-dessus de nous, paradaient leurs avions » (les mirages qui contrôlent les faits et gestes des Palestiniens).

Bien évidemment, ce jeune palestinien va être tué dans des conditions dramatiquement injustes : « je suis mort d’une balle perdue » (comble de l’absurdité). Puis, le jeune Palestinien insiste « je suis mort assassiné par un homme inconnu » (on ne saura jamais qui), « un homme qui croyait faire son devoir » (les Israéliens sont aussi méchants que stupides puisqu’ils tuent dans le cadre d’un devoir), « en tirant dans le brouillard » (sur n’importe qui, sans savoir), « sur des ombres ennemies aux armes dérisoires » (l’adversaire n’est pas armé). Le clip montre ensuite des Palestiniens qui tombent les uns après les autres, sous les balles israéliennes alors que la chanson se poursuit : « je suis comme d’autres, mille autres, et mille et mille avant », telle une hécatombe, un génocide…

La mort du jeune palestinien « un soir de Ramadan » laisse entendre que la Palestine est occupée (puisque terre d’Islam), avant que la chanson ne conclue sur les modestes, mais légitimes motivations du jeune palestinien : « je ne voulais que vivre libre »... Les jeunes Français (peu intéressés par la politique en général et encore moins par la situation au Moyen-Orient, mais amateur de Zebda) sont maintenant prêts pour haïr Israël, cet État injuste, meurtrier et illégal. Pour Jean Pierre Filiu, spécialiste du monde arabe, ce n’est pas très fort.

Source: http://lessakele.over-blog.fr/article-une-chanson-pour-pr...

La chanson de Zebda - Une vie de moins
http://www.youtube.com/watch?v=fDGR_1gYFtM&feature=pl...


http://www.crif.org/fr/lecrifenaction/une-chanson-qui-ris...