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24/03/2013

François : «Le pape de Washington» ? Le cardinal Jorge Mario Bergoglio et «la guerre sale» d'Argentine

Il est intéressant de relever la note de l’auteur que l'on retrouve en bas de son article.

Ainsi nous avons confirmation que la maladie et le décès d'Hugo Chavez ont bien été programmés par les USA et les Sionistes avec l'appui du Vatican qui luttent contre le communisme pour le remplacer par le capitalisme forcené, quitte à organiser des génocides soutenus par le Vatican et leurs armées secrètes, Les Jésuites Lucifériens qui sont les Chefs Suprêmes des Illuminati, l'Opus Dei, l'Ordre Militaire Souverain de Malte et tant d'autres.

Il faut savoir que la lutte contre l'anticommunisme est la profession des sionistes et si les Papes sont anticommunistes c'est qu'ils travaillent pour les sionistes !
Livre à télécharger ici :

L'article : L’anticommunisme, profession des sionistes (Livre introuvable d’URSS 1972)

Voici un second article qui le confirme et qui date du 14 mars 2013 soit 9 jours après le décès de Hugo Chavez et comme par hasard qui a été écrit, 1 jour après la supposée élection du Pape-PDG-Jésuite  du Vatican.

 

Chavez’s Death Marks The Beginning of The West’s Investment In Latin America
http://www.moneynewsnow.com/2013/03/chavezs-death-marks-the-beginning-of-the-wests-investment-in-latin-america/

Il fallait débarrasser Hugo Chavez du milieu avec l'aide du Vatican pour que les charognards se jettent sur le Venezuela et sur l'Amérique Latine.

Il va falloir qu'ils assassinent aussi tous les présidents de tous les pays d'Amérique Latine, ce qu'ils ont déjà commencé à faire en leur inoculant le cancer.

Hugo Chavez avait réussi à fédérer les autres présidents d'Amérique Latine pour lutter contre l'invasion des USA/Sionistes sur leurs territoires, cette unité qu'il faudra qu'ils se chargent de détruire avec la complicité du sioniste de service Henrique Capriles qui était l'adversaire de Hugo Chavez et qui postule à nouveau pour les prochaines élections présidentielles.

Et un autre article sur le Pape Jésuite/PDG du Vatican à consulter ici :

 


François : «Le pape de Washington» ? Le cardinal Jorge Mario Bergoglio et «la guerre sale» d’Argentine

De Prof Michel Chossudovsky

Global Research, mars 17, 2013

Url de l'article:
http://www.mondialisation.ca/francois-le-pape-de-washington-le-cardinal-jorge-mario-bergoglio-et-la-sale-guerre-dargentine/5326969

Le conclave du Vatican a élu le pape François, le cardinal Jorge Mario Bergoglio.

Qui est Jorge Mario Bergoglio? 

En 1973, il a été nommé « Provincial » de l’Argentine pour la Société de Jésus (Ordre des Jésuites).

À ce titre, Bergoglio était le plus haut représentant des Jésuites en Argentine durant la dictature militaire menée par le général Jorge Videla (1976-1983).

Il est devenu plus tard évêque puis archevêque de Buenos Aires. Le pape Jean Paul II l’a élevé au rang de cardinal en 2001.

Lorsque la junte militaire a renoncé au pouvoir en 1983, le nouveau président élu, Raul Alfonsin, a organisé une commission de la vérité au sujet des crimes de la « sale guerre » (la guerra sucia) argentine.

La junte militaire argentine a été soutenue clandestinement par Washington.

Le secrétaire d’État étasunien de l’époque, Henry Kissinger, a joué un rôle en coulisses dans le coup d’État militaire de 1976.

L’adjoint en chef de Kissinger en Amérique latine, William Rogers, lui avait dit deux jours après le coup d’État: « Nous devons nous attendre à une bonne dose de répression, probablement pas mal de sang va couler rapidement en Argentine »(National Security Archive, 23 mars 2006.)

“Opération Condor”

Photo : Henry Kissinger et le général Jorge Videla (1970)

Ironiquement un procès majeur s’est ouvert à Buenos Aires le 5 mars 2013, une semaine avant que le cardinal Bergoglio ne devienne pape. Le procès en court a pour but « d’examiner la totalité des crimes commis dans le cadre de l’opération Condor, une campagne de grande envergure coordonnée par des dictatures latino-américaines soutenues par les États-Unis dans les années 1970 et 1980, et visant à traquer, torturer et assassiner des dizaines de milliers d’opposants de ces régimes ».

Pour plus de détails, consulter: Operation Condor: Trial On Latin American Rendition And Assassination Program, Carlos Osorio et Peter Kornbluh, 10 mars 2013


La junte militaire menée par le général Jorge Videla, a été responsable d’un nombre incalculable d’assassinats, incluant des prêtres et des religieuses qui s’opposaient au régime militaire qui a suivi le coup d’État du 24 mars 1976, appuyé par la CIA, et renversé le gouvernement d’Isabel Peron :

Videla était l’un des généraux condamnés pour crimes contre l’humanité, dont des “disparitions”, de la torture, des meurtres et des enlèvements. En 1985, Videla a été condamné à une peine d’emprisonnement à perpétuité à la prison militaire de Magdalena.”

Wall Street et le programme économique néolibéral

Une des nominations clef de la junte militaire, (ordonnée par Wall Street) a été le ministre de l’économie, Jose Alfredo Martinez de Hoz, un membre du monde des affaires argentin et un ami proche de David Rockefeller. (Voir la photo plus bas)

photo: de gauche à droite: Jose Alfredo Martinez de Hoz, David Rockefeller et le général Jorge Videla.)

L’ensemble des politiques macro-économiques néolibérales adopté sous Martinez de Hoz était la copie conforme de celui imposé en octobre 1973 au Chili par la dictature de Pinochet et conseillé par les “Chicago Boys”, après le coup d’État du 11 Septembre 1973 et l’assassinat du président Salvador Allende.

Les salaires ont immédiatement été gelés par décret. Le véritable pouvoir d’achat a chuté de plus de 30 % en moins de trois mois en Argentine, suivant le coup d’état du 24 mars 1976 (estimation de l’auteur à Cordoba, Argentine en Juillet 1976). La population argentine a été appauvrie.

Sous la direction du ministre de l’Économie Jose Alfredo Martinez de Hoz, la politique monétaire de la banque centrale a été en grande partie déterminée par Wall Street et le FMI. Le marché des devises a  été manipulé. Le peso argentin a été délibérément surévalué, menant à une dette extérieure insurmontable. L’économie nationale en entier a été précipitée à la faillite.

Wall Street et la hiérarchie de l’église catholique

Wall Street appuyait fermement la junte militaire qui menait la « sale guerre » pour son compte. La hiérarchie de l’église catholique a quant à elle joué un rôle central en soutenant la légitimité de la junte militaire.

La Compagnie de Jésus qui représentait la faction conservatrice, aussi la plus influente de l’église catholique et étroitement associée aux élites économiques argentines, appuyait fermement la junte militaire contre les soi-disant « gauchistes » du mouvement péroniste.

« La sale guerre »: Allégations contre le cardinal Jorge Marion Bergoglio

La condamnation de la dictature militaire (y compris sa violation des droits humains) était tabou au sein de l’Église catholique. Alors que les hauts échelons de l’Église soutenaient la junte militaire, sa base était fortement opposée à l’imposition d’un régime militaire.

En 2005, l’avocat des droits de l’Homme Myriam Bregman a intenté des poursuites contre le cardinal Jorge Marion Bergoglio, l’accusant de conspiration avec la junte militaire dans l’enlèvement de deux prêtres jésuites en 1976.

Plusieurs années plus tard, les survivants de la « guerre sale » ont accusé publiquement le cardinal Jorge Bergoglio de complicité dans le rapt des prêtres Francisco Jalics et Orlando Yorio Several, et de six membres de leur paroisse. (El Mundo, 8 novembre 2010)

Bergoglio, qui était à cette époque « Provincial » pour la Compagnie de Jésus, avait ordonné à deux prêtres jésuites étiquetés « gauchistes » de « quitter leur travail pastoral » (ils ont été congédiés) à la suite de divisions au sein de la Compagnie de Jésus relativement au rôle de l’Église catholique et de ses relations avec la junte militaire.

Alors que les deux prêtres Francisco Jalics et Orlando Yorio, enlevés par les escadrons de la mort en mai 1976 ont été relâchés cinq mois plus tard après avoir été torturés, six autres personnes liées à leur paroisse enlevées dans le cadre de la même opération sont « disparus » (desaparecidos), dont quatre professeures de la paroisse et deux de leurs maris.

Lorsqu’il a été relâché le prêtre Orlando Yorio a « accusé Bergoglio de les avoir livrés aux escadrons de la mort [incluant six autres personnes] Jalics a refusé de discuter de la plainte après s’être retiré dans un monastère allemand ». (Associated Press, 13 mars 2013, c’est l’auteur qui souligne.)

Parmi ceux « disparus » aux mains des escadrons de mort figuraient Mónica Candelaria Mignone, fille du fondateur du CELS (Centro de Estudios Legales y Sociales) Emilio Mignone, et María Marta Vázquez Ocampo, fille de la présidente de Madres de Plaza de Mayo, Martha Ocampo de Vázquez. (El Periodista Online, mars 2013.)

María Marta Vásquez, son mari César Lugones (photo à droite) et Mónica Candelaria Mignone prétendument « livrés aux escadrons de la mort » par le Provincial jésuite Jorge Mario Bergoglio sont parmi les milliers de desaparecidos de la « guerre sale » en Argentine soutenue clandestinement par Washington sous l’opération Condor (Voir memorialmagro.com.ar).

Durant le procès initié en 2005,

« Bergoglio [le pape François] a invoqué à deux reprises son droit en vertu de la loi argentine de refuser d’apparaître devant la cour et lorsqu’il a finalement témoigné en 2010, ses réponses étaient évasives: “Bergoglio était directement impliqué dans au moins deux dossiers. L’un examinait la torture de deux de ses prêtres jésuites, Orlando Yorio et Francisco Jalics, enlevés en 1976 des bidonvilles où ils professaient la théologie de la libération. Yorio a accusé Bergoglio de les avoir livrés aux escadrons de la mort… en refusant de dire au régime qu’il cautionnait leur travail. Jalics a refusé de discuter de l’affaire après s’être retiré dans un monastère en Allemagne.” » (Los Angeles Times, 1er avril 2005.)

« La communion pour les dictateurs »

Photo : Prêtre (non-identifié) donnant la communion à Videla. Date inconnue. Source : AFP ?

Les accusations à l’endroit de Bergoglio relativement aux enlèvements des deux prêtres jésuites et de six paroissiens ne sont que la pointe de l’iceberg. Si Bergoglio était une figure importante de l’Église catholique, il n’était certainement pas le seul à appuyer la junte militaire.

D’après l’avocate Myriam Bregman: « Les propres déclarations de Bergoglio prouvent que les représentants officiels de l’Église savaient depuis le début que la junte torturait et tuait ses citoyens et approuvaient toute de même  publiquement les dictateurs. La dictature n’aurait pas pu opérer de cette façon sans ce soutien clé. » (Los Angeles Times, 1er avril 2005.)

Toute la hiérarchie catholique était derrière la dictature militaire appuyée par les États-Unis. Il convient de rappeler que le 23 mars 1976, à la veille du coup militaire :

« Videla et d’autres comploteurs ont reçu la bénédiction de l’archevêque de Paraná, Adolfo Tortolo, qui a aussi été vicaire des forces armées. Le jour même de la prise de pouvoir, les dirigeants militaires ont eu une longue réunion avec les dirigeants de la conférence épiscopale. En sortant de cette réunion l’archevêque Tortolo a déclaré que même si “l’Église a sa propre mission spécifique […] dans certaines circonstances elle ne peut pas s’abstenir de s’impliquer dans des questions même si elles concernent spécifiquement l’ordre de l’État”. Il a incité les Argentins à  “coopérer de manière positive” avec le nouveau gouvernement. » (The Humanist.org, janvier 2011, c’est l’auteur qui souligne.)

En entrevue avec El Sur, le général Jorge Videla, lequel purge actuellement une sentence à vie pour crimes contre l’humanité, a confirmé : 

« avoir informé la hiérarchie catholique des politiques de “disparition” des opposants politiques du régime et que les chefs catholiques donnaient des conseils sur la “gestion” de la politique.

Jorge Videla a dit qu’il avait eu de « nombreuses conversations » avec la primauté en Argentine, le cardinal Raúl Francisco, à propos de la guerre sale de son régime contre les activistes de gauche. Il a dit que des discussions avaient également eu lieu avec d’autres évêques de haut rang de la conférence épiscopale ainsi qu’avec le nonce national de l’époque Pio Laghi.

Ils nous ont conseillés sur la façon de gérer la situation”, a dit Videla » (Tom Henningan, Former Argentinian dictator says he told Catholic Church of disappeared,  Irish Times, 24 juillet 2012, c’est l’auteur qui souligne.)

Il est important de signaler que selon une déclaration de l’archevêque Adolfo Tortolo datant de 1976, l’armée consultait toujours un membre des autorités catholiques lorsqu’un membre de la base du clergé était « arrêté ». Cette déclaration a été faite spécifiquement à propos de l’enlèvement des deux prêtres jésuites dont les activités pastorales étaient sous la direction du Provincial de la Compagnie de Jésus, Jorge Mario Bergoglio. (El Periodista Online, mars 2013).

En soutenant la junte militaire, les autorités catholiques étaient complices de torture et  de massacres : on estime que 22 000 personne ont été tuées ou portées disparues entre 1976 et 1978. Des milliers d’autres victimes ont été tuées entre 1978 et 1983, lorsque l’armée a été chassée du pouvoir.” (National Security Archive, mars 23, 2006)

Le rôle du Vatican

Sous les règnes des papes Paul IV et Jean-Paul II, le Vatican apporté un appui clé à la junte militaire argentine.

Pio Laghi, le nonce apostolique du Vatican en Argentine, a admis « avoir fermé l’œil » sur la torture et les massacres.

Laghi avait des liens personnels avec des membres de la junte militaire au pouvoir, dont le général General Jorge Videla et l’amiral Emilio Eduardo Massera.

(Voir l’image à gauche. Le nonce du Vatican Pio Laghi et le général Jorge Videla)

L’amiral Emilio Massera en liaison étroite avec ses responsables étasuniens était le cerveau de la « Guerra Sucia ». Sous les auspices du régime militaire il a établi :

« un centre d’interrogation et de torture à La Escuela de Mecánica de la Armada (école de mécanique de la Marine ou ESMA [près de Buenos Aires.] Il s’agissait d’un établissement sophistiqué à usage multiple et crucial dans le plan militaire d’assassinat d’environ 30 000 “ennemis de l’État” […].Des milliers de détenus d’ESMA, dont deux religieuses françaises, ont été impitoyablement et régulièrement torturés avant d’être tués et jetés du haut d’un avion dans la rivière Plata.

Massera, le membre le plus puissant du triumvirat a fait de son mieux pour maintenir ses liens avec Washington. Il a participé au développement du plan Condor, un projet de collaboration visant à coordonner le terrorisme pratiqué par les régimes militaires sud-américains. (Hugh O’Shaughnessy, Admiral Emilio Massera: Naval officer who took part in the 1976 coup in Argentina and was later jailed for his part in the junta’s crimes, The Independent, 10 novembre 2010, c’est l’auteur qui souligne.)

Des reportages confirment que le représentant du Vatican Pio Laghi et Emilio Massera étaient amis.

Photo à droite : L’amiral Emilio Massera, architecte de la “Guerre Sale” reçoit le Pape Paul VI au Vatican)

L’église catholique: En Argentine et au Chili

Il convient ici de noter que lors du coup d’État militaire au Chili le 11 septembre 1973, le cardinal de Santiago, Raul Silva Henriquez, a condamné ouvertement la junte militaire dirigée par le général Augusto Pinochet. Contrairement à l’Argentine, cette prise de position ferme des autorités catholiques au Chili a grandement contribué à restreindre la vague d’assassinats politiques et de violations des droits de l’Homme contre les sympathisants de Salvador Allende et les opposants du régime militaire.

L’homme derrière le comité oecuménique Pro-Paz était le cardinal Raúl Silva Henríquez. Peu après le coup, Silva […] est devenu un « upstander », un terme que l’activiste  Samantha Power a inventé pour distinguer des badauds ceux qui tiennent tête à l’injustice, souvent à leurs risques et périls.

[…] Peu après le coup, Silva et d’autres chefs de l’Église ont publié une déclaration condamnant les bains de sang et exprimant leur chagrin. Cela a été un point tournant pour de nombreux membres du clergé chilien […] Le cardinal a visité le Stade national et, choqué par l’ampleur de la répression gouvernementale, a ordonné à ses assistants de commencer à collecter des informations auprès des milliers de fidèles qui allaient chercher refuge à l’Église.

Les actions de Silva ont mené a un conflit ouvert avec Pinochet qui n’a pas hésité à menacer l’Église et le Comité  Pro-Paz. (Taking a Stand Against Pinochet: The Catholic Church and the Disappeared pdf)

Si Jorge Mario Bergoglio avait pris une position semblable à celle du cardinal Raul Silva Henriquez au Chili, des milliers de vies auraient été sauvées.

L’Opération Condor et l’église catholique

L’élection du cardinal Bergoglio par le conclave du Vatican pour servir l’Église en tant que pape François aura des répercussions immédiates sur le procès de l’opération Condor en cours à Buenos Aires.

L’Église était impliquée par son appui à la junte militaire. Cela émergera durant les audiences. Il ne fait aucun doute que l’on tentera d’occulter le rôle des autorités de l’Église catholique ainsi que le rôle du nouveau pape François, chef l’ordre des jésuites en Argentine pendant la dictature militaire.

Jorge Mario Bergoglio: « Le pape de Washington au Vatican »? 

L’élection du pape François a de vastes implications géopolitiques pour toute la région de l’Amérique latine.

Dans les années 1970, Jorge Mario Bergoglio soutenait une dictature militaire appuyée par les États-Unis.

Les autorités catholiques en Argentine soutenaient le gouvernement militaire. Le programme de torture, d’assassinats et de disparition de milliers d’opposants politiques était coordonné par Washington  dans le cadre de l’« opération Condor » de la CIA.

Les intérêts de Wall Street étaient maintenus par José Alfredo Martinez de Hoz au ministère de l’Économie.

L’Église catholique en Amérique latine a une grande influence politique. Elle a aussi un pouvoir sur l’opinion publique. Les architectes de la politique étrangère étasunienne le savent.

En Amérique latine, où de nombreux gouvernements défient maintenant l’hégémonie américaine, on pourrait s’attendre, au vu des antécédents de Bergoglio, à ce que le nouveau pontife François, en tant que chef de l’Église catholique, joue de facto un rôle politique clandestin pour Washington.

Avec Jorge Marion Bergoglio comme pape au Vatican, un homme qui a servi fidèlement les intérêts américains à l’apogée du général Jorge Videla, les autorités de l’Église catholique en Amérique latine peuvent à nouveau être manipulées efficacement afin de miner les gouvernements « progressistes » (de gauche), non seulement en Argentine (le gouvernement de Cristina Kirchner), mais dans la région entière, au Venezuela, en Equateur et en Bolivie.

L’installation d’un pape « pro-étasunien » s’est produite une semaine après la mort du président Hugo Chavez.

« Changement de régime » au Vatican

Le département d’État fait régulièrement pression sur les membres du Conseil de sécurité des Nations Unies dans le but d’influencer les votes des résolutions.

Des opérations clandestines et des campagnes de propagande sont appliquées régulièrement par les États-Unis afin d’influencer des élections nationales dans différents pays à travers le monde.

La CIA a des liens secrets de longue date avec la Vatican

Le gouvernement étasunien a t-il essayé d’influencer l’élection du nouveau pontife ? Fermement engagé à servir les intérêts de la politique étrangère des États-Unis en Amérique latine, Jorge Mario Bergaglio était le candidat favori de Washington.

Est-ce que Washington a secrètement exercé des pressions, directes ou indirectes, au sein de l’Église catholique, sur les 115 cardinaux membres du conclave du Vatican ?

Note de l’auteur:

Dès le début du régime militaire de 1976, j’étais un professeur invité au Social Policy Institute de l’Universidad Nacional de Cordoba en Argentine. Mon sujet de recherche principal était à ce moment là, l’étude des impacts des réformes macroéconomiques dévastatrices adoptées par la junte militaire.

J’enseignais à l’université de Cordoba pendant la vague initiale d’assassinats, qui ciblait aussi les membres progressistes du clergé catholique.

La ville industrielle de Cordoba était le centre du mouvement de résistance. J’ai été témoin de l’appui actif et régulier des autorités catholique à la junte militaire, créant ainsi une atmosphère d’intimidation et de peur à travers le pays. Le sentiment général à cette époque était que les Argentins avaient été trahis par les échelons supérieurs de l’église catholique.

Trois ans plus tôt, au moment du coup d’État militaire au Chili le 11 septembre 1973, ayant mené au renversement du gouvernement d’Unité populaire de Salvador Allende, j’étais professeur in vité à l’Institut Économique de l’Université catholique du Chili à Santiago.

Immédiatement après le coup au Chili, j’ai vu comment le cardinal de Santiago, Raul Silva Henriquez, agissant au nom de l’Église catholique, a confronté la dictature militaire.

Michel Chossudovsky

Article original: “Washington’s Pope”? Who is Pope Francis I? Cardinal Jorge Mario Bergoglio and Argentina’s “Dirty War”, publié le 14 mars 2013

Traduction: Julie Lévesque pour Mondialisation.ca

Michel Chossudovsky est directeur du Centre de recherche sur la mondialisation et professeur émérite de sciences économiques à l’Université d’Ottawa. Il est l’auteur de Guerre et mondialisation, La vérité derrière le 11 septembre et de la Mondialisation de la pauvreté et nouvel ordre mondial (best-seller international publié en plus de 20 langues).

 


Guerre et mondialisation


Mondialisation de la pauvreté.

22/03/2013

Mediator : l'Agence du médicament mise en examen pour "homicides involontaires"

Quel ménage en ce moment !!!
 
Il est vrai que nous sommes dans la période de la grande révélation !
 
Les juges seraient-ils en train de se réveiller en ce moment ?

Après Jérôme Cahuzac qui démissionne pour ses liens d'intérêts avec des laboratoires pharmaceutiques, Sarkozy mis en examen dans l'affaire Bettencourt ,  maintenant l'agence du Médicament mise en examen pour homicides involontaires. Que dire sur ce que contenait le vaccin contre le virus imaginaire de la Grippe A/H1N1 ? Et du vaccin contre l'hépatite B qui a fait nombre d'handicapés qui ont développé notamment des scléroses en plaques ?
 
Rappelons que le dirigeant des Laboratoires SERVIER est un grand ami et un client historique de Nicolas SARKOZY !

Mediator : l'Agence du médicament mise en examen pour "homicides involontaires"
 
Le Monde.fr avec AFP | 19.03.2013 à 16h32 • Mis à jour le 19.03.2013 à 18h13

 

L'ANSM, anciennement l'Afssaps, a été mise en examen pour "homicides involontaire et blessures involontaires" et placée sous contrôle judiciaire.

 

L'Agence du médicament (ANSM), en la personne de son directeur Dominique Maraninchi, a été mise en examen pour "homicides involontaire et blessures involontaires" par les juges en charge de l'instruction de l'affaire Mediator, a indiqué une source judiciaire citée par l'AFP. L'ANSM a été placée sous contrôle judiciaire, impliquant le versement d'un cautionnement de 100 000 euros, selon cette source.

M. Maraninchi avait été convoqué en début d'après-midi et une mise en examen était attendue. "Il serait reproché à l'Agence d'avoir contribué à créer la situation qui a engendré le dommage des victimes et de n'avoir pas pris les mesures permettant de l'éviter", a déclaré l'ANSM, qui à l'époque des faits s'appelait Afssaps (l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé).

Lire nos explications Affaire du Mediator : le point si vous avez raté un épisode

7 734 DEMANDES D'INDEMNISATIONS

A la mi-février, les juges d'instructions chargés de cette enquête pour tromperie et prise illégale d'intérêt avaient déjà mis en examen deux anciens responsables de l'Afssaps, Jean-Michel Alexandre et Eric Abadie pour "participation illégale d'un fonctionnaire dans une entreprise précédemment contrôlée" et prise illégale d'intérêt.

Le directeur général de l'Agence du médicament, Dominique Maraninchi, le 30 janvier 2013.

Le Mediator, qui contient une molécule coupe-faim, le benfluorex, a été prescrit pendant trente ans, d'abord contre l'excès de graisses dans le sang, puis comme traitement adjuvant chez les diabétiques en surpoids, avant d'être retiré du marché le 30 novembre 2009. Il a causé de 500 à 2 000 morts, selon plusieurs études.

L'organisme public Oniam en charge de l'indemnisation des accidents médicaux a reçu 7 734 demandes d'indemnisations de la part de personnes ayant pris ce produit fabriqué par les laboratoires Servier, selon un décompte datant de fin janvier.

Regarder la chronologie Comprendre l'affaire du Mediator en seize dates

http://www.lemonde.fr/sante/article/2013/03/19/mediator-l-agence-du-medicament-menacee-d-une-mise-en-examen_1850580_1651302.html


Venezuela : Les projets de Henrique Capriles pour détruire le Venezuela de CHAVEZ !

Voici les projets de Henrique Capriles Radonsky, l'agent des USAn de la CIA et des sionistes pour détruire le Venezuela !

Voir l'article précédent :

 

Venezuela. Qui est Henrique Capriles, l'adversaire du dauphin de Chavez ?
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2013/03/19/venezuela-qui-est-henrique-capriles-l-adversaire-du-dauphin.html

 
 
Qui est-il ? Qui est derrière lui ? Et quels sont ses projets de destruction du Venezuela

50 vérités sur Henrique Capriles Radonsky, candidat à la présidence du Venezuela

Le candidat de la droite vénézuélienne se présentera aux élections du 14 avril 2013 face au Président de la République par intérim Nicolás Maduro. Mais qui est-il vraiment ?

1. Né en 1972, Henrique Capriles Radonsky est issu de deux des plus puissantes familles vénézuéliennes, qui se trouvent à la tête de plusieurs conglomérats industriel, immobilier et médiatique (Capriles) et possèdent le Circuit national d'exhibitions (Cinex), seconde chaîne de cinéma du pays (Radonsky).

2. Sa famille possède le quotidien Últimas Noticias, le plus diffusé au niveau national, des radios et une chaîne de télévision.

3. Dans les années 1980, il a milité au sein du parti d'extrême droite Tradición, Familia y Propiedad.

4. Capriles a été élu député en 1999 pour l'Etat de Zulia en tant que membre du parti de droite COPEI. Contre toute attente et malgré son manque d'expérience en politique, il a immédiatement été désigné président de la Chambre des députés, devenant ainsi le plus jeune député à diriger la Chambre basse du Parlement.

5. En réalité, Capriles a réussi à s'imposer face aux autres aspirants au poste, ayant une trajectoire politique plus importante grâce au pouvoir économique et financier de sa famille qui a financé les campagnes de nombreux députés.

6. En 2000, il fonde le parti politique Primero Justicia avec le conservateur Leopoldo López, et s'allie immédiatement à l'International Republican Institute, branche internationale du Parti républicain des Etats-Unis. Le président de l'époque n'est autre que George W. Bush, lequel apporte un large soutien à la nouvelle formation politique qui s'oppose au gouvernement d'Hugo Chávez, notamment par le biais de la National Endowment for Democracy (NED).

7. Selon le New York Times « la NED a été créée il y a 15 ans pour réaliser publiquement ce que la Central Intelligence Agency (CIA) a fait subrepticement durant des décennies. Elle dépense 30 millions de dollars par an pour appuyer des partis politiques, des syndicats, des mouvements dissidents et des médias d'information dans des dizaines de pays ».

8. Selon Allen Weinstein, père de la législation qui a donné naissance à la NED, « Beaucoup de ce que nous faisons aujourd'hui a été fait par la CIA il y a 25 ans de manière clandestine ».

9. Carl Gershman, premier président de la NED, a expliqué la raison d'être de la Fondation en juin 1986 : « Il serait terrible pour les groupes démocratiques du monde entier d'être vus comme subventionnés par la CIA. Nous avons vu cela dans les années 1960, et c'est pour cela qu'on y a mis un terme. C'est parce que nous n'avons pas pu continuer à le faire que la fondation [la NED] a été créée ».

10. Durant son mandat de maire de la municipalité de Baruta, Capriles a signé plusieurs accords avec le FBI étasunien afin de former sa police municipale, et a reçu des fonds de l'ambassade des Etats-Unis pour cette mission.

11. Henrique Capriles a activement participé au coup d'Etat contre Hugo Chávez, organisé par les Etats-Unis, en avril 2002. Maire de Baruta, il a fait arrêter de nombreux partisans de l'ordre constitutionnel dont Ramón Rodríguez Chacín, alors ministre de l'Intérieur et de la Justice, lequel a été violemment agressé par les partisans du putsch devant les caméras de télévision.

12. A ce sujet, les propos de Rodríguez Chacín sont sans équivoque : « Je leur ai fait part [à Henrique Capriles et Leopoldo López venus l'arrêter] du risque, du danger qu'il y avait pour mon intégrité physique [de sortir au milieu de la foule]. J'ai suggéré de passer par une autre sortie et la réponse que j'ai reçue de Capriles, précisément, a été négative, car, m'a-t-il dit, les caméras se trouvaient devant l'immeuble. Ils voulaient me faire sortir devant les caméras, pour m'exhiber, pour se vanter [d'avoir procédé à mon arrestation] ».

13. Quelques jours avant le coup d'Etat, Capriles est apparu devant les caméras de télévision en compagnie des dirigeants de son parti politique Primero Justicia pour réclamer la démission d'Hugo Chávez, des députés de l'Assemblée nationale, du Procureur de la République, du Défenseur du peuple et du Tribunal Suprême de Justice. Suite au coup d'Etat du 11 avril 2002, la première décision prise par la junte putschiste a été précisément de dissoudre tous ces organes de la République.

14. En avril 2002, Primero Justicia, a été le seul parti politique à accepter la dissolution forcée de l'Assemblée nationale ordonnée par la Junte putschiste de Pedro Carmona Estanga.

15. Durant le coup d'Etat d'avril 2002, Capriles a également participé au siège de l'ambassade cubaine de Caracas, organisée par l'opposition vénézuélienne et l'extrême droite cubano-américaine. Henry López Sisco, complice du terroriste cubain Luis Posada Carriles, qui est responsable de plus d'une centaine d'assassinats, dont l'attentat contre l'avion civil de Cubana de Aviación qui a coûté la vie à 73 personnes le 6 octobre 1976, était présent.

16. Après avoir coupé l'eau et l'électricité, Capriles, pensant que le vice-président de l'époque Diosdado Cabello, était réfugié au sein de l'entité diplomatique, est entré et a exigé de l'ambassadeur de fouiller les lieux, violant ainsi l'Article 22 de la Convention de Vienne, stipulant que les représentations diplomatiques sont inviolables.

17. Germán Sánchez Otero, à l'époque ambassadeur cubain au Venezuela, lui avait rétorqué : « Si vous connaissez le droit international, vous devez savoir le Venezuela tout comme Cuba ont le droit d'évaluer la possibilité d'octroyer l'asile politique à tout citoyen dans n'importe quelle représentation diplomatique. Un démocrate, un humaniste, ne peut pas permettre que des enfants soient privés d'eau, de nourriture et d'électricité ».

18. A sa sortie de l'ambassade, Capriles, loin de calmer la foule excitée, a déclaré à la presse qu'il n'avait pas été autorisé à fouiller la représentation diplomatique et qu'il était dans l'impossibilité de confirmer ou d'infirmer la présence de Cabello, attisant les tensions.

19. Pour sa participation au coup d'Etat, Capriles a été mis en examen et mis en détention préventive après s'être soustrait à la justice.

20. Le procureur de la République Danilo Anderson en charge du dossier Capriles a été assassiné en novembre 2004 lors d'un attentat à la voiture piégée.

21. En 2006, Capriles a été acquitté par les tribunaux.

22. En 2008, une nouvelle procédure pénale a été lancée et suit toujours son cours.

23. Suite à son élection en 2008 en tant que gouverneur de l'Etat du Miranda, Capriles a expulsé des installations de la région les fonctionnaires chargés des programmes sociaux mis en place par le gouvernement de Chávez.

24. Dans son programme électoral, Capriles promet de lutter contre la délinquance. Néanmoins, depuis son arrivée au pouvoir à Miranda, l'insécurité a explosé, faisant de l'Etat l'un des trois les plus dangereux du Venezuela. Entre 2011 et 2012, le taux d'homicides a augmenté de plus de 15%.

25. Malgré ce bilan, Capriles, réélu en 2012, refuse toujours l'implantation de la Police nationale bolivarienne sur le territoire dont il a la gestion.

26. Entre 2008 et 2012, Capriles a congédié plus de mille fonctionnaires dans l'Etat du Miranda - qui travaillaient dans le secteur culturel et étaient soupçonnés d'être proches de l'ancien gouverneur chaviste Diosdado Cabello. Capriles a ainsi procédé à la fermeture de dizaines de bibliothèques.

27. En 2012, Capriles s'est secrètement réuni en Colombie avec le général Martin Demsey, chef d'Etat Major des Etats-Unis. Rien n'a filtré de ces discussions.

28. Capriles ne cesse de se réclamer de l'ancien président brésilien Lula da Silva. Néanmoins, ce dernier a apporté à maintes reprises son soutien à Hugo Chávez, notamment lors des dernières élections d'octobre 2012. « Ton triomphe sera le nôtre », avait-il déclaré dans un message d'appui au Président Chávez.

29. Candidat à l'élection présidentielle de 2012, au nom de la Mesa Unidad Democrática qui a regroupé les partis d'opposition, Capriles a perdu le scrutin par plus de 10 points d'écart.

30. En cas de victoire aux élections présidentielles du 14 avril 2013, Capriles a promis l'amnistie à Pedro Carmona Estanga, ancien président du patronat vénézuélien qui avait pris la tête de la junte militaire lors du coup d'Etat d'avril 2002, actuellement en fuite en Colombie.

31. Le programme présidentiel de Capriles est d'essence néolibérale et préconise une accélération des privatisations dans une économie déjà contrôlée à plus de 70 % par le secteur privé, une autonomie et une décentralisation.

32. En cas de victoire de Capriles, l'entreprise pétrolière nationale Petróleos de Venezuela S.A. (PDVSA), ne sera plus contrôlée par le pouvoir politique.

33. Le programme de Capriles prévoit la suspension de l'aide financière qu'octroie PDVSA au Fonds de développement national, lequel finance les infrastructures et les programmes sociaux.

34. Capriles imposera également une augmentation du prix de l'essence consommée sur le marché national.

35. Les réformes agraires réalisées sous le gouvernement de Chávez seront annulées et les terres restituées aux latifundistes.

36. La loi sur la pêche, dont ont bénéficié des dizaines de milliers de travailleurs de la mer, sera également abrogée.

37. Capriles autorisera la culture au Venezuela d'organismes génétiquement modifiés.

38. Capriles se propose « d'incorporer dans le système éducatif primaire et secondaire des thèmes démonstratifs sur la connexion entre la propriété, le progrès économique, la liberté politique et le développement social »

39. Capriles prévoit d'accorder une indépendance totale à la Banque centrale du Venezuela, afin d'éviter tout contrôle démocratique sur les politiques financières et monétaires, et lui « interdira de financer les dépenses publiques ».

40. Capriles a annoncé qu'il mettrait fin à la relation spéciale avec Cuba, ce qui affectera les programmes sociaux dans les domaines de la santé, de l'éducation, du sport et de la culture.

41. Capriles mettra un terme à l'Alliance Bolivarienne pour les peuples de notre Amérique (ALBA), organisme d'intégration régionale.

42. Capriles supprimera le programme Petrocaribe qui permet actuellement à 18 pays d'Amérique latine et de la Caraïbe, soit 90 millions de personnes, d'acquérir du pétrole subventionné et d'assurer leur approvisionnement énergétique.

43. Capriles prévoit de signer des traités de libre échange (TLC), notamment avec les Etats-Unis et l'Union européenne.

44. Capriles prévoit de redonner la concession hertzienne à la chaîne RCVT, qui émet désormais par câble et satellite, malgré sa participation ouverte au coup d'Etat d'avril 2002.

45. Capriles interdira tous les programmes politiques sur la chaîne nationale Venezolana de Televisión, laissant ainsi le monopole du débat citoyen aux chaînes privées.

46. Capriles prévoit de « superviser et contrôler la prolifération des radios [...] et de réguler la croissance des radios communautaires ».

47. Le programme de la MUD prévoit de réduire de façon substantielle le nombre de fonctionnaires.

48. Le FONDEN, fonds spécial destiné à financer les programmes sociaux, sera éliminé.

49. Capriles mettra un terme à la régulation des prix qui permet à toute la population d'acquérir les produits de première nécessité.

50. Capriles accuse le gouvernement vénézuélien et la famille d'Hugo Chávez d'avoir occulté la mort de ce dernier. Selon lui, son décès serait survenu avant le 5 mars 2013.


Commentaires des Lecteurs

 
LEAG

Capriles est d'origine hébraïque !

Comme chacun de ses coréligionaires apatrides, parasitaires et sans conscience, s'il est élu (fatalement en intriguant), il oeuvrera sans relâche à la destruction de la société vénézuélienne, de son économie et s'efforcera d'y faire involuer les moeurs !

C'est ainsi, une sorte de cycle, car finalement l'apocalypse de St Jean n'a pas été écrit en vain !


http://fr.sott.net/article/14082-50-verites-sur-Henrique-Capriles-Radonsky-candidat-a-la-presidence-du-Venezuela


19/03/2013

Vatican/USA/Sionisme/ Hugo Chavez : Nouvelle cible des USA et du Vatican : l'Amérique Latine !

Pourquoi fallait-il attendre qu'Hugo Chavez soit malade pour que Benoît XVI démissionne ?

La première lettre du pape François est pour les juifs !

Une info très intéressante qui nous donne une nouvelle piste pour savoir sur la base de quels évènements mondiaux importants qui se sont passés depuis 2011, en décembre 2012 et notamment ces dernières semaines pour que Benoît XVI ait pu avoir reçu le signal des USA et d'Israël pour démissionner et pour lui permettre d'être remplacé par un Jésuite qui plus est un Argentin parce qu'il était très important qu'il soit Argentin ou d'Amérique Latine, figurez-vous.

1er Indice : Nous savons que Jean-Paul II détestait les communistes et que Ratzinger a organisé l'inquisition en Amérique Latine.

 

1er Indice : Nous savons que Jean-Paul II détestait les communistes et que Ratzinger a organisé l'inquisition en Amérique Latine.


Vatican : Comment Ratzinger a anéanti l'église du peuple en Amérique latine. L'inquisition en Amérique latine !
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2013/02/21/vatica...

 

Comme vous le savez tout ce qui se passe en religion et en politique est parfaitement synchronisé et tout a toujours été programmé par avance.

Surtout que Benoît XVI a toujours indiqué que son pontificat serait provisoire et qu'il avait annoncé en
2011 qu'il lui était possible de démissionner à l'occasion de son 85ème anniversaire en avril 2012. On nous préparait déjà à cette échéance et il s'agissait soi-disant d'une rumeur que le père Jésuite (encore un) Federico Lombardi, porte-parole du Vatican, avait démentie, rajoutant qu'il faisait des voyages qui se passaient très bien. Il n'a pas démissionné en avril 2012 parce que l'évènement qu'il attendait tardait à se produire.
  Listes des voyages entrepris par Benoît XVI, dont en 2012 le 24e voyage : au Mexique et à Cuba (du 23 au 29 mars 2012). Le Pape arrive au Mexique le vendredi 23 mars 2012 dans la ville de León, situé dans l'État de Guanajuato, où il est reçut par une foule d'environ 4000 personnes. Le président Felipe Calderón prononce un discours de bienvenu au souverain pontife lors d'une cérémonie de réception, en présence de la première dame Margarita Zavala. Le pape reste au Mexique jusqu'au lundi 26 mars, et séjourne dans une maison d'hôtes attenante d'une école catholique, le Colegio Miraflores. À son départ du Mexique, le pape se rend dans les villes de Santiago de Cuba et La Havane sur l'île de Cuba. Il y reste jusqu'au jeudi 29 mars.  


Quel évènement important attendait-il depuis 2011 pour démissionner ?  


2ème indice : Qui dit Argentine dit Amérique Latine, n'est-ce pas ?


Une carte pour vous aider à identifier les pays de l'Amérique Latine

 

3ème indice : Qui dit Amérique Latine dit Argentine 


Qui organisait la dictature en Argentine au Nom de Dieu ? Le Jésuite Jorge Mario Bergoglio alias François 1er.

Quels étaient les liens entre François 1er et la dictature du général Videla?

http://www.express.be/joker/fr/platdujour/quels-etaient-les-liens-entre-franois-1er-et-la-dictature-du-genral-videla/187622.htm
 


Vatican : Jorge Bergoglio n'est pas le pape des pauvres. Le Cardinal Bergoglio accusé d'avoir volé des bébés pour la dictature

http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2013/03/17/jorge-... 


4ème indice : Qui dit Amérique Latine dit Venezuela !


Qui est tombé malade au Venezuela en 2011 l'année où la rumeur de démission de Benoît XVI circulait ?

 


Venezuela: Hugo Chavez gravement malade? Logiquement, oui
http://www.latinreporters.com/venezuelapol28062011dk.html...
 

Que disait Hugo CHAVEZ qui était l'ennemi juré des USA ?

Pour Chavez, les États-Unis peuvent «inoculer le cancer»
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2013/03/19/pour-chavez-les-etats-unis-peuvent-inoculer-le-cancer-ameriq.html

Chavez :"Les Etats-Unis pourraient inoculer le cancer grâce à leur technologie"
http://www.youtube.com/watch?v=YY2JWk3mv-0
  

Combien de présidents d'Amérique Latine ont-ils eu le cancer ?

 



5ème indice : Les élections arrivent au Venezuela en 2012


Qui est l'adversaire d'Hugo CHAVEZ aux élections de 2012 ?


Henrique Capriles un juif sioniste

Venezuela. Qui est Henrique Capriles, l'adversaire du dauphin de Chavez ?
 Cet avocat de 40 ans né dans une famille de riches entrepreneurs "est avant tout le représentant des classes moyennes", note le JDDPetit-fils de juifs polonais survivants de l'Holocauste, Henrique Capriles a été formé à l'université catholique. En 2004, il a passé quatre mois en détention, accusé par les autorités de n'avoir pas réagi lors d'une tentative de coup d'Etat contre Hugo Chavez. 

Que veut-il réformer ?

Un partisan de nouvelles alliances internationales

Le gouverneur Capriles s'est démarqué nettement de son adversaire de 2012 en matière de politique internationale, annonçant qu'il réorienterait les relations avec les alliés actuels du pays : "Qu'avons-nous de commun avec l'Iran, mis à part la production de pétrole ? Ou avec la Biélorussie?", s'est-il demandé. "Nous avons honoré à deux reprises Kadhafi. Est-ce que ce sont les relations dont veulent les Vénézuéliens ? Non !"  Il a également annoncé vouloir mettre un bémol aux relations avec Cuba, le soutien indéfectible, et avec la Russie, à qui le Venezuela achète chaque année pour plusieurs milliards de dollars d'armes.

Hugo Chavez gagne les élections mais le 9 décembre 2012 il annonce une récidive de son cancer

Venezuela : Hugo Chavez annonce une rechute de son cancer. Il disparaît pour se faire opérer à La Havane.
http://lci.tf1.fr/monde/amerique/venezuela-hugo-chavez-an...


6ème indice : Encore un juif sioniste entre en jeu
Caracas (Venezuela) | 1er janvier 2013


Nicolas Sarkozy avait commandité l’'assassinat d’'Hugo Chavez
http://www.voltairenet.org/article177035.html

Du 9 décembre 2012 au 11 février 2013, cela faisait déjà 2 mois qu'HUGO CHAVEZ n’était plus apparu en public. Comme il doit bien y avoir à l'’hôpital de La HAVANE quelques bons informateurs jésuites pour prévenir le Vatican qu'’Hugo CHAVEZ ne se relèverait pas de sa maladie. Le moment est donc opportun pour que Benoît XVI annonce sa démission, maintenant que le champ était libre au Venezuela.

7ème indice : Le 11 février 2013 Benoît XVI annonce sa démission et la fin de son règne pour le 28 février 2013. Il faut bien attendre encore quelques jours d’être assuré qu’Hugo CHAVEZ ne se relèvera plus.

Le pape Benoît XVI annonce sa démission prochaine
http://www.rfi.fr/europe/20130211-le-pape-benoit-xvi-anno...


8ème indice : Le 5 mars 2013 Hugo CHAVEZ décède


Hugo Chavez est mort ! Les USA et ses acolytes, complices de sa mort ?

Devant les caméras de la télévision officielle le vice-président s'en était alors pris aux «ennemis» historiques du Venezuela: les États-Unis. «Nous n'avons aucun doute, arrivera un moment dans l'Histoire où nous pourrons créer une commission scientifique (qui révélera) que le commandant Chavez a été attaqué avec cette maladie (...) Les ennemis historiques de cette patrie ont cherché un point faible pour atteindre la santé de notre commandant», a-t-il déclaré. Dans la foulée, Maduro a annoncé l'expulsion, sous 24 heures, de deux membres de l'ambassade américaine, accusés de chercher à déstabiliser le pays. Le vice-président a ajouté que les autorités préparaient des «mesures spéciales» pour déjouer tout complot.

 http://www.lefigaro.fr/international/2013/03/06/01003-20130306ARTFIG00019-hugo-chavez-est-mort.php


9ème indice : Le 13 mars 2013 est élu à la vitesse grand V, Le Cardinal Jésuite Bergoglio et d’où est-il originaire ? D'’Argentine, encore un pays d’'Amérique Latine où il a participé à instaurer la dictature religieuse et politique auprès du Peuple.

Il était donc nécessaire pour continuer à instaurer la dictature religieuse et politique en Amérique Latine en faveur des USA et des Sionistes que le nouveau Pape soit originaire d'’Argentine et qu’il connaisse les lieux, les responsables politiques et le contexte général pour continuer à massacrer à distance les peuples d’Argentine et de l’Amérique Latine.

C’'est maintenant que le pire est à venir pour les peuples d’'Amérique Latine. Ils seront envahis, ruinées, détruits tout comme ont été détruits les indiens du Canada, les amérindiens et les Rwandais, etc. et que d'’autres génocides seront organisés par le Vatican et ses armées secrètes surtout avec un Jésuite luciférien à sa tête.

Le jésuite Jorge Mario Bergoglio était le chef d’'une Eglise argentine contestée

L'’Eglise d'Argentine, dont Bergoglio était le primat avant de devenir le nouveau pape, est l'une des plus contestées d’'Amérique latine pour sa passivité, voire sa complicité, à l’'égard de la dernière dictature militaire (1976-1983). Le national-catholicisme était l’'idéologie dominante des forces armées, qui comptaient avec la bénédiction de la hiérarchie de l’'Eglise.

http://america-latina.blog.lemonde.fr/2013/03/13/le-jesuite-jorge-mario-bergoglio-etait-le-chef-dune-eglise-argentine-contestee/

10° indice : Curieusement Obama doit se rendre en Israël sûrement pour discuter de la prochaine attaque de l’'Iran puisque le sioniste Henrique Capriles qui se présente aux élections au Venezuela veut rompre les relations internationales avec  l'Iran, la Biélorussie, la Lybie, Cuba et la Russie.

Et comme par hasard les Etats-Unis seront sans président et vice-président pour quelque temps sous prétexte d’une erreur de planning. Ils se précipitent surtout pour aller donner et prendre des ordres d’Israël et du Vatican 

Le président américain de la chambre des représentants, John Boehner pourrait être pendant quelques temps le dirigeant le plus haut placé des Etats-Unis à cause du voyage du président Barack Obama dans le Proche-Orient et la visite du vice-président Joseph Biden au Vatican. Le président et le vice-président quittent très rarement le pays ensemble. Cette fois-ci, les responsables du planning aurait commis une erreur, estime Ben Rhodes, le conseiller adjoint de la sécurité nationale. /L


11° indice : Maintenant nous allons voir que ce sont les USA et l’'état sioniste qui ont influencé le choix du nouveau Pape ou du président de la Cité Privée du Vatican et que le nouveau criminel qui occupe le poste de Pape au Vatican à quelques raisons légitimes d’avoir écrit en premier aux Juifs.


A présent nous pouvons dire qu'’Hugo CHAVEZ avait raison d’'accuser les USA de vouloir l'’assassiner parce qu’'il fallait qu’i'l meurt ou en voie de mourir pour que Benoît XVI démissionne et que le nouveau dictateur prenne sa place pour faire avancer leurs plans machiavéliques de destruction des peuples d’'Amérique Latine pour instaurer l’unique religion mondiale et leur Nouvel Ordre Mondial et pourquoi pas la 3ème guerre mondiale pour couronner le tout en rompant les relations internationales.

 

Un mois avant le conclave, un insider du Vatican révélait l'identité du pape
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2013/03/19/un-mois-avant-le-conclave-un-insider-du-vatican-revelait-l-i.html

 

12ème indice : François : «Le pape de Washington» ? Le cardinal Jorge Mario Bergoglio et «la guerre sale» d’Argentine

http://www.mondialisation.ca/francois-le-pape-de-washington-le-cardinal-jorge-mario-bergoglio-et-la-sale-guerre-dargentine/5326969?print=1

 

 

13ème Indice : Chavez’s Death Marks The Beginning of The West’s Investment In Latin America


Voilà ce qui confirme tout ce qui est cité précédemment dans cet article.

Fallait le débarrasser du milieu avec l'aide du Vatican pour que les charognards se jettent sur le Venezuela.

Chavez’s Death Marks The Beginning of The West’s Investment In Latin America
|
The evidence is all over Bloomberg TV.

Natural Resources Up For Grabs!

Previous to Chavez’s death they seemed to have a much less interest in Latin America’s growing economy. It appears that pandora has left the box and the talking heads are able to speak of Latin America in a good light.

Now that one of their stiffest economic leaders has fallen to “OIL CANCER” of course.Why else break the silence on Latin America’s gigantic growth in the past 10 years, and the pope being of Latin descent is just the cherry on top.

What does this mean in terms of geopolitics?

Well this marks a new era in which the west will begin to invest a great deal in Latin America now knowing that it controls all of its puppet democracy leaders.The money powers of the west had no intentions of moving in until Chavez was gone to ensure their profits are secure and not at risk of confiscation. Shrewd move.

Watch as the west begins to sell more of its overpriced Chinese manufactured/American company patented gadgets and automobiles to Latin America. We must also look for the west to continue its sale of consumerism and loan ideals that inevitably lead to a country in debt. This way the giant corporations can buy up the Latin American countries valuable natural resources at below market price.

Of course this is nothing new and has been going on for decades. This is just the marking of a new era of exploitation in which they enter in a more banker style throw-down as opposed to brute force that they so often used in the past.

http://www.moneynewsnow.com/2013/03/chavezs-death-marks-t...

 

 

Et à présent :


La première lettre du pape François est… pour les juifs

Dimanche 17 mars 2013

Non, ce n’'est pas une blague, ni l’'exagération d'’un « complotiste antisémite » croyant que les juifs tiennent même le Vatican. L'’information est officielle, rendue publique sur le site de la « communauté hébraïque de Rome » .Le jour-même de son électionFrançois a trouvé le temps d'’écrire une lettre à la dite communauté, dans laquelle il affirme :
"A Monsieur le Docteur RICCARDO DI SIGNI - RABIN EN CHEF DE ROME
Le jour même de mon élection à l'évêché de Rome et Pasteur Universel de l'église catholique, je vous adresse mon cordial salut, en vous annonçant que l'inauguration officielle de mon pontificat aura lieu le mardi 19 mars 2013.Confiant dans la protection du Très Haut, j’espère vivement pouvoir contribuer au progrès que les relations entre juifs et catholiques ont connu à partir du concile Vatican II, dans un esprit renouvelé de collaboration et au service d’'un monde qui puisse être toujours plus en harmonie avec la volonté du Créateur ».
Jean-Paul II avait déjà innové (et rompu avec la tradition catholique) dans ses rapports au judaïsme.Benoît XVI était ensuite allé encore plus loin, tâchant même de dédouaner le peuple juif du déicide.

Mais on peut s’'attendre à ce que François repousse encore les limites en la matière, comme le note avec satisfaction le site ultra-sioniste JSSNews, qui rappelle que Mgr Bergoglio a participé à des cultes talmudiques dans des synagogues, co-écrit un livre avec un rabbin, préfacé celui d’un autre (présenté comme son « professeur »)…
 

 

28/02/2013

Rwanda : Un Génocide au Nom de Dieu. Ce film révèle la justification morale que l'Église a donnée à la mort de 800.000 Tutsis communistes !

Et ce n'était pas Benoît XVI qui était le Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi durant le règne de Jean-Paul II ?

N'ont-ils pas fait la même chose avec l'Amérique latine ?

Comment Ratzinger a anéanti l’église du peuple en Amérique latine
http://www.michelcollon.info/Comment-Ratzinger-a-aneanti-...

N'ont-ils pas fait la même avec les Indiens du Canada ?

 

Hidden from History: The Canadian Holocaust
Le travail du Révérend  
Kevin D. Annett 
A gauche du site vous avez des rubriques avec les actions qui ont été menées par le révérend et les menaces qu'il a reçues.


Kevin D. Annett ~ Recours collectif contre l'Eglise, l'Etat et Big Pharma est donné le feu vert

Endorsements of ITCCS and Kevin Annett by native eyewitnesses

 

Une bonne justification de la plainte déposée devant la CPI pour Crimes contre l'Humanité contre le Pape et l'église catholique.

Avez-vous vu ce reportage en France et en Europe ?

Et ce n'est pas fini, nous avons trouvé une autre plainte qui a été déposée auprès de la CPI contre Benoît XVI pour des crimes de pédophilie commis par l'église aux USA et dans plusieurs pays du monde. Nous développerons cette plainte dans un autre article plus complet qui y sera dédié.

Décidemment il y a beaucoup de canulars qui circulent sur le net, de plaintes déposées auprès de la CPI et ailleurs, contre le Pape et le Vatican !

Mais l'important c'est qu'il conserve le nom de "sa sainteté Benoît XVI, pape émérite".

Emérite de quoi, SVP ?

Etes-vous toujours aussi fiers d'être chrétiens ?
Heureusement que les Papes, Chefs politiques du Vatican appellent à la Paix !

 


Rwanda : Un Génocide au Nom de Dieu.
Ce film révèle la justification morale que l'Église
a donnée à la mort de 800.000 Tutsis.
http://www.youtube.com/watch?v=2K0AHc7Y3So

Publiée le 28 mars 2012

Un documentaire à couper le souffle.

Une enquête centrée autour de l'implication de l'idéologie chrétienne au Rwanda avant, pendant et après le génocide au Rwanda.

Reportage réalisé par le Suédois Peter & Maria cinéastes Rinaldo en collaboration avec les évêques dissidents, archevêques reliés au Vatican, l'Opus Dei et le démocrate-chrétien international. Ce film révèle la justification morale que l'Église a donnée à la mort de 800.000 Tutsis.

Le reportage au Nom de Dieu est d'abord paru en 2004 et a été montré à la télévision nationale au Rwanda, la Suède, la Finlande, le Danemark, l'Estonie, la Jordanie et le Japon.

Aucun pays catholique n'a  encore montré ce film, mais il a été démontré, discuté et écrit dans les universités et les médias dans ces pays et à travers le monde.

Au Rwanda un évêque a déclaré il y a quelque temps qu'avant le reportage au "Nom de Dieu" le peuple rwandais a été manipulé pour faire confiance aux prêtres.

Maintenant, ils ne font confiance qu'à ce qu'ils ont lu dans la Bible eux-mêmes. Et c'est le meilleur résultat que le reportage pouvait obtenir!

Pensez par vous-même, question l'autorité. Vieille expression Tim Leary reste une exigence démocratique ...

GET YOUR BOX DVD AVEC AU NOM DE DIEU ET 3 AUTRES FILMS DOCUMENTAIRES DU GROUPE SUR LE GENOCIDE!

Voir comment la vie s'est déplacée pour Marianna et sa famille!
http://www.webbshop.documentarygroup.se


Directeur:
Peter & Maria Rinaldo

Scénaristes:
Peter & Maria Rinaldo

Etoiles:
Les survivants du génocide au Rwanda

Human Rights Film Festival 23-30 March 2006
http://www.ditshwanelo.org.bw/festival23.html

Religion og Folkedrab i Rwanda
http://www.folkedrab.dk/sw60353.asp

Rwanda's religious reflection
http://news.bbc.co.uk/2/hi/africa/3561365.stm

Pour en savoir plus :