Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

08/04/2013

Fabius dément une rumeur lui attribuant un compte en Suisse

Ne nous étonnons pas, si 60 % des députés détiennent des comptes en Suisse ou dans les paradis fiscaux, ils s'acharneront à venir le démentir en public !

Fabius dément une rumeur lui attribuant un compte en Suisse

Publié le 07.04.2013, 23h52 | Mise à jour : 08.04.2013, 01h00

 Le ministre des affaires étrangères Laurent Fabius, envisage de poursuivre Libération, qui relaye une rumeur évoquant qu'il posséderait un compte dans un paradis fiscal.

Le ministre des affaires étrangères Laurent Fabius, envisage de poursuivre Libération, qui relaye une rumeur évoquant qu'il posséderait un compte dans un paradis fiscal. | LP/Philippe Lavieille

Le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius dément «formellement» une «rumeur, relayée par Libération» dans son édition datée de lundi lui «attribuant un compte en Suisse». Dans un communiqué publié dimanche soir, le ministre ajoute qu'il va engager des poursuites judiciaires.

«Affaire Cahuzac, le cauchemar continue», titre en Une 
«Libération» dans son édition datée de lundi.

Le quotidien évoque en effet une «possible affaire Fabius, qui tétanise l'Elysée». Le principal intéressé n'a pas attendu la publication du journal, démentant dès dimanche soir détenir le moindre compte hors de l'Hexagone. «Je démens formellement la rumeur, relayée par Libération dans son édition du lundi 8 avril, m'attribuant un compte en Suisse. Elle ne repose sur aucun élément matériel et est dénuée de tout fondement», écrit M. Fabius dans un communiqué, en annonçant avoir mandaté son avocat «pour qu'il engage les procédures juridiques permettant de le démontrer et de faire cesser la diffusion de ces informations fausses et calomnieuses».

 


Le journal ajoute que c'est Mediapart (qui a révélé l'affaire Cahuzac) qui «explore la piste» d'un compte de Fabius dans «un paradis fiscal». Une information... démentie par Mediapart. Dimanche soir, son fondateur Edwy Plenel a estimé sur Twitter que «Libération perd(ait) la tête».

Libération perd la tête: demain, il transforme en information une rumeur sur Fabius en prétendant démentir une non-information de Mediapart.

LeParisien.fr

http://www.leparisien.fr/politique/fabius-dement-une-rumeur-lui-attribuant-un-compte-en-suisse-07-04-2013-2705049.php

Bernard Chalumeau: "on est passé du droit des gens au droit des banquiers, ce qui mène à la guerre"

Pour sortir de l'Europe il suffit de pousser la porte, mais nos dirigeants ne veulent pas. Pourquoi?

Bernard Chalumeau est spécialiste en droit constitutionnel et international. Il est l'initiateur de la création, en 1997, de l'Alliance pour la Souveraineté de la France dont il est le Secrétaire Général.


Que nous ont apporté les traités de Westphalie ? Comment ont-ils été contournés ? La Constitution européenne est-elle valide ? Comment sortir de l'Union Européenne ? L'article 50 du Traité de Lisbonne permet-il réellement de sortir de l'UE ? Comment l'Union Européenne contraint-elle les États ? Comment les différents traités européens nous ont asservis aux banques ?

http://www.youtube.com/watch?v=zTYYgcHU0dY

 

 

Médiapart : Des annonces pourraient être faites mercredi - Hollande est sommé d’agir

Et ils vont tous nous faire croire que personne n'était au courant quand tous les partis politiques sont financés par les banksters, le complexe militaro-industriel, les pétroliers et l'industrie  pharmaceutique dont ils sont les VRP ?

Hollande sommé d’agir

Ce sont des moments rares en politique. Une stupeur qui saisit brutalement le pouvoir, paralyse les cabinets, provoque les rumeurs les plus folles. Depuis les aveux de Jérôme Cahuzac mardi 2 avril, l’exécutif est « en apesanteur », selon l’expression d’un proche de François Hollande. Le président de la République, qui était au Maroc en milieu de semaine, a eu le week-end pour réfléchir : sommé d’agir, il pourrait annoncer de nouvelles mesures pour provoquer un « choc de moralisation ».

Tout ce week-end, une « task force » Matignon-Élysée a travaillé sur les annonces qui pourraient être faites au conseil des ministres de mercredi. Depuis la Bavière où il a passé deux jours, le premier ministre Jean-Marc Ayrault a promis des mesures « d’une très grande fermeté » et « les décisions les plus courageuses », tant les premières annonces faites mercredi par François Hollande n’ont guère suffi. Elles reprenaient, pour l’essentiel, des décisions déjà prises ou des promesses de campagne. Plusieurs ministres, dont l’écologiste Pascal Canfin, plaident aussi pour un plan de lutte contre les paradis fiscaux.

L’exécutif réfléchit également à un vaste remaniement gouvernemental. L’hypothèse a pour l’heure été publiquement exclue par François Hollande. Mais l’idée fait son chemin chez les hollandais canal historique. « Je milite pour un remaniement ministériel : on doit avoir un gouvernement ramassé dans les prochaines semaines », a plaidé vendredi sur Mediapart le député Gwendal Rouillard, proche du ministre de la défense Jean-Yves Le Drian. Un gouvernement « de combat », dit-il, focalisé sur l’industrie et l’emploi (revoir ci-dessous la vidéo du débat organisé vendredi 5 avril avec six jeunes élus de gauche). 

En direct de Mediapart : où va la France ? Après le séisme Cahuzac
http://www.dailymotion.com/video/xyrx4v_en-direct-de-mediapart-ou-va-la-france-apres-le-seisme-cahuzac-integrale_news#from=embediframe

En direct de Mediapart : où va la France... par Mediapart

À l’Élysée, plusieurs réunions, en présence du président de la République, ont évoqué ce scénario mais les avis des conseillers de François Hollande sont partagés. Certains jugent que le remaniement n’apporterait rien, hormis l’impression de céder à la panique, et qu’il viendrait sanctionner des ministres qui n’ont rien fait de mal et « ont même plutôt bien bossé jusque-là », selon un conseiller. D’autant, expliquent-ils, que la déflagration provoquée par l’affaire Cahuzac cristallise, tout à coup, tous les mécontentements, et les colères diffuses, dans l’opinion. La radicalisation des opposants au mariage pour tous en est, selon eux, une autre preuve.

D’autres, en revanche, estiment qu’une équipe resserrée, accompagnée de mesures d’ampleur pour moraliser la vie politique et lutter contre les paradis fiscaux, est la seule issue pour un pouvoir incroyablement affaibli. À ce jeu-là, certains poids lourds du PS, déjà favorables à un remaniement il y a de cela plusieurs semaines, jouent aussi leurs cartes personnelles.

Tous sont en revanche d’accord, semble-t-il, pour accabler leur collègue Pierre Moscovici, sur la sellette depuis une semaine, déjà très critiqué avant l’affaire Cahuzac, et que beaucoup jugent « carbonisé ». Le ministre de l’économie et des finances a une nouvelle fois dû se justifier durant le week-end du lancement en janvier d’une enquête administrative sur son ministre délégué, deux semaines après l’ouverture d’enquête préliminaire par le parquet de Paris, et sur les fuites organisées dans la presse pour “blanchir” Jérôme Cahuzac. « J’ai été utilisé », a-t-il affirmé à Mediapart.

Moscovici : "pas à moi de mener une enquête"


Moscovici : "pas à moi de mener une enquête" par Europe1fr

Le ministre n’a, pour l’instant, pas convaincu l’opposition, à l’image du président de la commission des finances de l’Assemblée nationale Gilles Carrez. Dans une lettre qu’il lui a adressée vendredi, le député UMP lui demande : « pourquoi la demande de renseignements du 24 janvier 2013 ne portait-elle que sur l’éventualité de l’existence d’un compte à la banque UBS », « pourquoi cette demande ne portait-elle que sur les établissements d’UBS en Suisse » (et non à Singapour), et pourquoi Bercy s’est contenté de la période allant de 2006 à 2012. Son homologue du Sénat, Philippe Marini, a fait de même. Pierre Moscovici leur a répondu et a martelé dans un communiqué qu’il « n’y a eu aucune forme de dissimulation ni de complaisance dans la gestion de ce dossier ».

Des militants « lynchés », « agressés »

Mais la majorité est consciente que le séisme politique vise avant tout le président de la République. « C’est comme s’il n’y avait plus d’autre fusible », constate un responsable socialiste. Seul, en première ligne, il doit affronter les révélations qui se multiplient sur et autour du cas Cahuzac. Dimanche, plusieurs médias suisses (ici et ) ont affirmé que l’ancien ministre du budget a tenté de déposer 15 millions d’euros dans une banque de Genève en 2009.

 

 

Le climat délétère contamine jusqu’à son propre parti. Dimanche, le directeur de cabinet de Harlem Désir a ainsi comparé l’attitude de Jérôme Cahuzac à Jean-Claude Romand, célèbre pour avoir assassiné sa femme et ses enfants après avoir caché sa vie réelle pendant 18 ans. Les députés rentrés en circonscription témoignent aussi de militants « lynchés », « agressés sur les marchés ». « Du coup, certains des nôtres sont tellement en colère qu’ils veulent monter à Paris avec des fourches ! » s’alarme un élu socialiste.

 

Toutes les sensibilités politiques pressent désormais François Hollande de prendre des mesures inédites. Mercredi, c’est François Bayrou qui a dégainé le premier en lançant une pétition nationale en faveur d’une loi de moralisation de la vie publique passant par un référendum. L’écologiste Eva Joly plaide pour un « plan d'urgence contre les affaires et la corruption » dans un pays qu’elle croit « au bord de la crise de régime ». Une idée reprise dimanche par Laurent Wauquiez qui défend dans le JDD une « opération mains propres ». 

 

Vendredi, Jean-Luc Mélenchon a appelé à une manifestation le 5 mai pour une VIe République, afin, dit-il de « purifier l'atmosphère politique absolument insupportable » et de donner « un grand coup de balai ». Initiative relayée par le parti communiste. « L'inaction du gouvernement face à la crise politique nous confirme qu'on ne peut en rester là, estime dans Le Monde Pierre Laurent, secrétaire national du PCF. Il faut mobiliser pour exiger un changement de cap. »

Mélenchon veut un "coup de balai"


Mélenchon veut un "coup de balai" par FranceInfo

« On est dans une impasse totale, qui peut imaginer qu'on va pouvoir continuer pendant quatre ans avec un président discrédité à ce point du point de vue démocratique ?, estimait vendredi soir sur Mediapart Ian Brossat, élu Front de gauche à Paris. On ne sortira pas de la crise démocratique avec quelques annonces ou un ripolinage de nos institutions. Les gens ne croient pas du tout dans la parole politique, (...) la question d'une VIe République va devoir se poser. » Il faudrait alors en passer par une dissolution et une assemblée constituante.

Vendredi, le premier secrétaire du PS Harlem Désir était, lui, à Limoges, vieux bastion socialiste, pour son premier meeting d’après affaire Cahuzac. Face à des militants déboussolés, il a repris à son compte l’idée d’un référendum, défendue par plusieurs députés socialistes, dont le proche de Jean-Marc Ayrault, Olivier Faure, et le numéro 2 du PS, Guillaume Bachelay. Désir propose de soumettre au suffrage les mesures de moralisation déjà annoncées par François Hollande, mais aussi sur le non-cumul des mandats. Une mesure chère aux militants PS, mais que bien des parlementaires socialistes n’appliquent pas. « Quand on voit qu’on n’est même pas capables de traiter le cumul des mandats. Je suis sidérée, c'est juste impossible à défendre », plaidait vendredi la députée PS Barbara Romagnan, invitée de Mediapart.

Cette proche de Benoît Hamon prône, de son côté, une consultation « sur le cumul des mandats y compris dans le temps, les conflits d'intérêts, les affaires » ou encore l’utilisation de la “réserve parlementaire” et des indemnités de frais de mandat des députés, dont « l'usage peut être totalement discrétionnaire ». « On doit savoir comment c'est utilisé, dit la députée. Comme on ne sait pas, on entretient cette idée que les gens trichent et ça discrédite la classe politique. »

Problème : François Hollande, qui garde un souvenir amer du non au traité constitutionnel européen en 2005 lorsqu’il était premier secrétaire du PS, se méfie comme de la peste des référendums. « Le référendum ne me semble pas pertinent du tout dans la période, on a mieux à faire », tranche d’ailleurs le “hollandais” Gwendal Rouillard.

 

http://www.mediapart.fr/journal/france/070413/hollande-so...

GRAY STATE Official Concept Trailer. Film prophétique ?

Est-ce un avenir proche ou est-ce déjà le présent ?

Grey State.jpg

GRAY STATE Official Concept Trailer

 
Synopsis du film :
 
Le monde dans la tourmente, la guerre, une catastrophe géologique et l'effondrement économique, tandis que les Américains continuent à plonger dans l’illusion de la sécurité et de l'immunité. Alors que les droits sont bradés en échange de plus de sécurité, le Gouvernement Fédéral, gonflé de pouvoir, lance une prise de contrôle systématique de la liberté, afin de parvenir à un Nouvel Ordre Mondial. Les Américains, mis en quarantaine dans des districts militarisés, deviennent une population mûre pour un contrôle tyrannique.
 
Semer la peur, le terrorisme, état policier, la loi martiale, la guerre, l'arrestation, l'internement, la faim, l'oppression, la violence, la résistance. Ce sont ces états nouveaux qui définissent l’existence des Américains. Voisins contre voisins, le dollar s’écroule, les approvisionnements alimentaires sont épuisés, tout le monde est considéré comme un terroriste présumé. Arrestations. Disparitions. Attaques biologiques. Exécutions publiques de ceux soupçonnés de dissidence. Des rumeurs de camps de concentration sur le sol américain. C'est la toile de fond d'une histoire qui se déroule parmi  la résistance.
 
Les milices américaines se préparent pour la guérilla. Il y a des désertions massives dans l'armée, de véritables patriotes tentent de se rallier à la Constitution et à défendre la liberté, la préparation d'une insurrection nationale contre les forces fédérales, sachant très bien que ce sera la dernière fois dans l'histoire que des opprimés seront capable de résistance organisée.
 
Il s'agit d'une période de transition, d'alliance, de déplacements, de l'éveil de masse et des exécutions de masse. Il s'agit d'une tempête imminente, un matin gris qui met en exergue les effets de décennies de sur-confort et de complaisance, les Américains se réveillent dans un pays occupé. Il s'agit d’une période de listes, liste noire, liste blanche, ceux qui sont écartelés au milieu, ceux qui risquent la mort pour leur libre arbitre et ceux qui vendent leurs âmes pour maintenir leurs vaines pensées et leur confort facile. C'est dans cet Etat Gris que la perpétuation de la liberté humaine sera contestée, écrasée. Est-ce un avenir proche ou le présent ? L'État Gris est à venir, par consentement ou par conquête. C'est le champ de bataille des Etats-Unis.

Il s'agit d’une production indépendante. Nous avons atteint nos premiers objectifs financiers pour ce projet, les résultats sont affichés sur http://www.indiegogo.com/graystatemovie. Pour plus de détails sur le projet, visitez http://www.graystatemovie.com
 
 

Médiapart : Affaire Cahuzac et les laboratoires pharmaceutiques. La suite des révélations d'Edwy Plenel aujourd'hui à 12 h 02 sur France Ô !

Nouvelle image (5).jpg

Comme promis l'émission complète a été mise en ligne sur le site de la Télévision France Ô à 12 h 02 mn. Durée 27 mn. Une émission qui sera disponible sur le site de France Ô durant encore 6 jours.

Le lien pour écouter sa rediffusion :

http://www.franceo.fr/emission/le-monde-vu-par/79861119

En résumé, Cahuzac détient des comptes dans les paradis fiscaux depuis 20 ans, comme nous l'avons vu précédemment en Suisse et à Singapour.

Ces comptes auraient été alimentés principalement par les laboratoires pharmaceutiques en contre-partie d'agréments qu'ils obtenaient pour le remboursement des médicaments. Cahuzac était chargé du médicament au cabinet du Ministre et à peine en était-il sorti qu'il s'est occupé par le biais d'un cabinet de conseils de la relation avec les laboratoires pharmaceutiques.

En clair c'est un monde de mafieux et il s'agit d'un délit de conflit d'intérêt flagrant selon les dires d'Edwy Plenel qui affirme que l'histoire ne fait que commencer. Ce que nous pouvons constater par les liens ci-dessous.

Cahuzac aurait tenté de placer 15 millions d'euros en Suisse !


Les liens de Cahuzac avec les laboratoires pharmaceutiques à la loupe des enquêteurs


Jérôme Cahuzac et l’'argent trop facile de l'industrie pharmaceutique

 

Nous aurons compris pour quelles raisons il fallait organiser le terrorisme médiatique pour faire vacciner les français 3 fois, lors de la campagne criminelle de vaccination contre le virus imaginaire de la GrippeA/H1N1 entre les années 2009/2010. Et ce que nous avait été dénoncé à l'époque.

Selon nous, cela risque de nous ramener toujours à Nicolas SARKOZY et à ses frères, ainsi qu'à l'affaire de Madame BETTENCOURT.

Rappelez-vous de cet article de l'époque et de ceux qui suivent :

Bettencourt, l'Oréal, les Laboratoires pharmaceutiques : Sanofi-aventis et les pétroliers !

Sarkozy & Laboratoires pharmaceutiques de biotechnologie !



Les Big Pharma en rêvaient, Sarkozy le fait

Mafia: Les frères Sarközy et le lobby pharmaceutique

Les liens entre Nicolas Sarkozy et les laboratoires Servier, Mediator la nouvelle affaire d'Etat

Ces 3 frères Sarkozy qui nous gouvernent...Notre santé les intéresse!

Conseil stratégique des industries de santé du 26 octobre 2009 : un fonds d'investissement de 140 M EUR dans la bio technologie

CSIS : Sarkozy relance la pharma
Le président de la République entend favoriser le développement des industries du médicament comme des technologies médicales et renforcer l'attractivité de leurs branches d'activité. Le Conseil stratégique des industries de santé (CSIS) qu'il a présidé hier à l'Elysée a dégagé les grandes pistes d'un vrai plan de consolidation et de relance.

Cela nous ramène toujours au livre du Dr RATH : Les racines nazies de L'union européenne de Bruxelles. Et à SARKOZY qui a été mis en place par les lobbies de l'industrie pharmaceutique, du pétrole et financiers.