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17/03/2013

Vatican : Jorge Bergoglio n'est pas le pape des pauvres. Le Cardinal Bergoglio accusé d'avoir volé des bébés pour la d ictature

Pendant que la propagande médiatique souhaiterait nous faire croire que le nouveau Pape Jésuite voudrait une église pauvre, pour les pauvres soi-disant pour endormir les naïfs. Voilà quelques accusations qui se dévoilent sur le net sur l'individu.

Et pour être l'église des pauvres ce qui n'est pas encore demain la veille parce qu'ils ont besoin d'argent pour payer leurs armées secrètes, de l'Opus Dei, des Jésuites/Lucifériens/Illuminati, de l'Ordre de Malte qui est l'Ordre souverain militaire hospitalier de Saint Jean de Jérusalem, qui est comme par hasard spécialisé dans le domaine de la santé, et les autres pour forcer à la christianisation des peuples envahis, pour cela ils n'ont qu'à vendre toutes leurs richesses pour les donner aux pauvres.

Et comme c'est toujours la même histoire, "faites ce que je dis, mais ne faites pas ce que je fais".

Il a besoin de prendre un hélicoptère pour aller voir son prédécesseur dans la résidence d'été des papes à Castel Gandolfo.

Vous en connaissez beaucoup des pauvres qui prennent un hélicoptère pour aller rencontrer leur copain-complice et qui ont une résidence d'été à Castel Gandolfo ?

Du coup avec le grand spectacle Hollywoodien qui est offert au monde par le biais du matraquage médiatique ininterrompu on ne parle plus des prêtres pédophiles et du réseau gay du Vatican, ni si la banque du Vatican se pliera aux normes internationales contre le blanchiment d'argent sale.


Vatican: le pape voudrait "une Eglise pauvre, pour les pauvres"

Extrait : Le pape François quittera le Vatican en hélicoptère à 11H00 GMT et devrait arriver vers 11H15 GMT à Castel Gandolfo, où un déjeuner est prévu avec son prédécesseur, a précisé le Vatican. Il a déjà rendu hommage à plusieurs reprises au pape émérite Benoît XVI, auquel il a téléphoné le soir même de son élection mercredi. Dès sa première apparition mercredi soir sur le balcon de la basilique Saint-Pierre, il avait salué son prédécesseur.
http://actu.orange.fr/monde/vatican-le-pape-voudrait-une-...


Quelques infos supplémentaires sur le nouveau Président Jésuite de la Cité privée du Vatican


Argentine Cardinal Named in Kidnap Lawsuit

http://articles.latimes.com/2005/apr/17/world/fg-cardinal...


Un criminel accusé devient le premier pape jésuite – Cardinal Jorge Mario Bergoglio, entachée d'allégations de guerre sale, nouveau pontife de Rome

http://itccs.org/2013/03/13/accused-criminal-becomes-firs...


Cardinal Bergoglio accusé d'avoir volé des bébés pour la dictature

http://www.eldia.com.ar/edis/20110502/acusan-cardenal-ber...

Et à présent voici ce que pense un journaliste de Pagina 12 du nouveau Président Jésuite de la Cité privée du Vatican qui se présente comme étant le berger qui va guider ses brebis.


Jeudi 14 mars 2013

Jorge Bergoglio n'est pas le pape des pauvres

Le nouveau pape a l'image d'un homme proche des pauvres et tiers-mondiste. C'est une illusion pour ce journaliste de Página 12, qui revient sur son rôle trouble dans l'affaire des enfants volés.

 

Parmi les centaines de courriels que j’ai reçus, j’en ai retenu un : "Je n’en crois pas mes yeux. Je suis si angoissée et furieuse que les bras m’en tombent. Il est arrivé à ses fins. C’est la personne idéale pour cacher la corruption morale, un expert ès cachotteries." Le message est signé de Graciela Yorio, la sœur du prêtre Orlando Yorio, qui a dénoncé Jorge Mario Bergoglio comme le responsable de son enlèvement et des actes de torture qu’il a subis pendant cinq mois en 1976. Orlando est décédé en 2000 en imaginant le cauchemar qui s’est réalisé le 13 mars.

Il n’a jamais eu connaissance de la déclaration de Jorge Mario Bergoglio devant le tribunal oral fédéral n°5, où il a affirmé n’avoir appris que récemment l’existence de jeunes enfants kidnappés, après la fin de la dictature. [Un plan systématique de vols de bébés d'opposants politiques avait été mis en place entre 1976 et 1983. Les mères étaient assassinées et les enfants adoptés sous une fausse identité.] Pourtant, le tribunal oral fédéral n°6 a reçu des documents qui révèlent que dès 1979, Jorge Mario Bergoglio était au courant et qu’il est intervenu dans au moins un cas.

Lors du procès de l’ESMA [le plus grand centre de torture de la dictature], Jorge Bergoglio [alors président de la conférence épiscopale de Buenos Aires] a déclaré par écrit, concernant l’enlèvement d’Orlando Yorio et de Francisco Jalics, que ses archives ne renfermaient aucun document sur les enlèvements et disparitions. Cependant, son successeur a envoyé à la juge une copie d’un texte attestant de la réunion entre le dictateur Jorge Videla et les évêques Raúl Primatesta, Juan Aramburu et Vicente Zazpe, lors de laquelle ils se sont demandé s’il fallait ou non avouer l’assassinat des disparus. Dans son ouvrage Iglesia y dictadura [Eglise et dictature], Emilio Mignone l'a cité comme le parangon des "bergers qui ont livré leurs brebis à l’ennemi sans les défendre ni les sauver".

Un jésuite qui se fera appeler François

Je ne suis pas certain que Jorge Mario Bergoglio ait été élu pour cacher la corruption morale qui a rendu Joseph Ratzinger impuissant. Ce qui est certain, toutefois, c’est que le nouvel évêque de Rome sera un ersatz : un succédané de mauvaise qualité, comme l’eau mêlée de farine que les mères nécessiteuses donnent à leurs enfants pour tromper la faim. Le théologien brésilien de la libération Leonardo Boff avait l’espoir que serait élu Sean O’Malley, franciscain aux origines irlandaises à la tête du diocèse de Boston. "Il s’agit d’une personne très proche des pauvres car il a longtemps travaillé en Amérique latine et dans les Caraïbes, toujours avec les pauvres. Cela montre qu’il peut être un pape différent, annonciateur d’une nouvelle tradition", avait écrit l’ancien prêtre.

Finalement, le souverain pontife ne sera pas un véritable franciscain, mais un jésuite qui se fera appeler François, comme le pauvre d’Assise. Effrayée, une amie argentine m’écrit de Berlin que pour les Allemands qui ne connaissent pas son histoire, le nouveau pape est tiers-mondiste. Légère erreur.


Sa biographie est celle d’un populiste conservateur, comme l’ont été Pie XII et Jean-Paul II : inflexibles sur les questions doctrinaires, mais ouverts sur le monde et en particulier les populations défavorisées. Lorsqu’il célébrera sa première messe dans une rue du quartier Trastevere ou dans la gare Termini à Rome et qu’il évoquera les personnes exploitées et prostituées par les puissants de ce monde qui ferment leur cœur au Christ ; lorsque les journalistes qui sont ses amis raconteront qu’il a pris le métro ou le bus ; lorsque les fidèles écouteront ses homélies récitées avec des gestes dignes d’un acteur et dans lesquelles il mêlera paraboles bibliques et parler simple du peuple, alors certains exalteront le renouveau tant espéré de l’Eglise.

Apostropher les profiteurs et prêcher la docilité aux opprimés


Au cours des 15 années passées à la tête de l’archevêché de Buenos Aires, il a fait tout cela et bien plus. Pourtant, dans le même temps, il a aussi tenté d’unir l’opposition contre le premier gouvernement qui a - depuis longtemps - adopté une politique favorable aux couches populaires, un gouvernement qu’il a accusé d’être crispé et belliqueux car pour y parvenir, il a fallu lutter avec lesdits puissants mentionnés dans son discours.

Maintenant, il va pouvoir continuer sa mission, mais à une toute autre échelle, ce qui ne signifie pas qu’il oubliera l’Argentine.

 

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