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15/11/2015

La France a fourni des armes aux islamistes syriens dès 2012, avoue François Hollande dans un livre

Quand Hollande reconnaissait avoir fourni des armes aux mercenaires de l'EI/DAECH !

Ensuite il fera mine d'être outré par les attentats commis en France !

La France a fourni des armes aux islamistes syriens dès 2012, avoue François Hollande dans un livre

14 nov 2015

Bravo, c’était important d’envoyer des armes à des islamistes pour combattre Assad, qui ne nous avait jamais rien fait…

J’espère que ce soir au Bataclan, devant les victimes, Hollande a médité sur sa décision et sa politique depuis lors…

La France a fourni des armes à la révolution syrienne dès 2012

Source : Robin Ferner, pour Slate.fr, le 6 mai 2015

François Hollande avec Khaled Khodja, président de la coalition nationale syrienne. REUTERS/ Philippe Wojazer

François Hollande avec Khaled Khodja, président de la coalition nationale syrienne.

OB : coalition nationale syrienne, gangrénée par les Frères musulmans…

Le président français s’est confié au journaliste Xavier Panon, qui révèle que François Hollande a décidé de livrer des armes lourdes aux rebelles syriens, malgré l’embargo européen.

La France a fourni des armes à des groupes rebelles syriens dès 2012 alors que l’Union européenne avait imposé un embargo sur de telles livraisons. Et c’est le président Hollande qui le dit lui-même dans un livre à paraître le 13 mai aux Editions de l’Archipel, intitulé Dans les coulisses de la diplomatie française, de Sarkozy à Hollande, écrit par le journaliste Xavier Panon.

«Nous avons commencé quand nous avons eu la certitude qu’elles iraient dans des mains sûres», explique le chef de l’Etat à l’auteur du livre, en mai 2014. Les livraisons ont débuté dès la fin de l’année 2012, alors que l’embargo européen, établi à l’été 2011, est toujours en vigueur. Il ne sera levé qu’à la fin du mois de mai 2013.

Ce cavalier seul contraint l’Elysée à la prudence. Officiellement, la France se contente d’envoyer de l’équipement non-létal: gilets pare-balles, outils de communication cryptée, masques contre les armes chimiques, lunettes nocturnes. Mais c’est un tout autre matériel qu’elle dépêche sur place: canons de 20 mm, mitrailleuses, lance-roquettes, missiles anti-chars. Seuls les missiles anti-aériens restent tabous. François Hollande n’en enverra pas car ils s’avéreraient trop dangereux si des djihadistes venaient à s’en emparer.

Mille et une précautions

Les armes sont envoyées grâce aux soins de la DGSE (la Direction générale de la sécurité extérieure). Les Français marchent sur des œufs car il s’agit de s’assurer que les armes parviendront à la bonne destination… et que ces transferts ne seront pas surpris en flagrant délit par la communauté internationale. Les dates de livraison sont donc très irrégulières et les précautions nombreuses.

Il faut, tout d’abord, trouver des fournisseurs discrets, effacer les marques de la provenance des armes avant leur départ. Et puis, comment être certain qu’elles seront bien réceptionnées à l’arrivée par des hommes de l’armée syrienne libre, alors dirigée par le général Sélim Idriss, interlocuteur privilégié de l’Elysée? Les services français utilisent leurs propres réseaux, les autres leur paraissant moins fiables.

Sur la scène publique, la France s’enferre dans une valse-hésitation sur la question des armes. Une fois, le 15 mars 2013, l’Elysée tente de lever l’embargo européen et d’entraîner ses partenaires à envoyer des armes mais le 28, François Hollande rétropédale:

«Nous ne fournirons pas d’armes tant que nous n’avons pas la certitude que ces armes seront utilisées par des opposants légitimes et coupés de toute emprise terroriste.»

Si la diplomatie française est aussi embarrassée, c’est qu’elle se heurte aux atermoiements de ses alliés européens, mais aussi des Etats-Unis peu désireux de prendre part à un nouveau conflit au Moyen-Orient. D’autant que celui-ci devient de moins en moins lisible au fil des mois, au fur et à mesure de la montée en puissance des groupes djihadistes. L’affirmation sur le front anti-Bachar el-Assad d’islamistes radicaux comme les soldats de Jabhat Al-Nosra par exemple fragilise la position française: il est désormais quasi impossible d’assumer la livraison d’armes en Syrie alors que ce sont les djihadistes qui tendent à incarner la révolution syrienne.

Dans son livre, Xavier Panon transcrit les propos d’un responsable du Quai d’Orsay:

«François Hollande et son ministre ont été bien imprudents sur la Syrie et l’embargo. Faute d’avoir la capacité d’influer réellement sur le rapport de forces, la posture reste morale. Or, la morale est rarement bonne inspiratrice en politique étrangère. Livrer des armes sans garantie de destination, c’est être cobelligérant. Il y a davantage de raisons de ne pas le faire que de le faire.»

L’action de la France semble, de toute façon, avoir eu peu de portée sur le terrain. En 2015, la Syrie est toujours enlisée dans une guerre meurtrière. Un conseiller de l’Elysée admet auprès de Xavier Panon:

«Oui, nous fournissons ce dont ils ont besoin, mais dans la limite de nos moyens et en fonction de notre évaluation de la situation. Dans la clandestinité, vous ne pouvez agir qu’à petite échelle. À moyens limités, objectifs limités. Au final, est-ce que notre aide permettra à la révolution de gagner? Non.»

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Comment et pourquoi la France a livré des armes aux rebelles en Syrie

Source : Le Monde.fr | 21.08.2014 Par Benjamin Barthe, Cyril Bensimon et Yves-Michel Riols

Le voile se lève doucement sur l’un des secrets les mieux gardés de la présidence Hollande : l’armement des rebelles syriens par la France. Après que le président de la république a reconnu, mardi 19 août, pour la première fois, dans une interview au Monde, l’existence de ces livraisons, de hauts responsables français ont confié au Monde quelques détails supplémentaires.

Selon une source officielle, plusieurs livraisons ont été effectuées l’an dernier par des voies clandestines. Le matériel comprenait notamment des mitrailleuses de calibre 12.7 mm, des lance-roquettes, des gilets pare-balles, des jumelles de visée nocturne et des moyens de communication, mais aucun « équipement qui aurait pu se retourner contre nous », tels que des explosifs. D’après cet interlocuteur, qui souhaite conserver l’anonymat, ces livraisons sont assez identiques à celles qui sont faites actuellement aux combattants kurdes des peshmergas. « Il s’agit d’armements immédiatement utilisables, qui ne nécessitent ni formation ni maintenance », dit-il.

L’ARMÉE SYRIENNE LIBRE, SEULE BÉNÉFICIAIRE

Seules les brigades affiliées à l’Armée syrienne libre (ASL), la branche modérée de l’insurrection anti-Assad, ont bénéficié de cette aide. Selon une source diplomatique, le Front islamique, une coalition de groupes armés d’inspiration islamiste, voire salafiste pour certains, n’a reçu aucune arme française.

Il est difficile de dater avec précision les premières livraisons, qui remonteraient, selon toute vraisemblance, à l’hiver ou au printemps 2013. Préalablement, les autorités françaises avaient élaboré une cartographie des groupes rebelles, en partenariat avec le général Salim Idriss, alors chef de l’ASL. Une mesure destinée à éviter que des armes françaises ne tombent dans de « mauvaises mains », à savoir des groupes djihadistes ou salafistes, en plein essor à l’époque. La traçabilité des armes a été testée à blanc lors de l’acheminement d’équipement non létal, comme des kits médicaux et des rations halal, jusqu’à des brigades de l’ASL.

Les livraisons s’accélèrent dans le courant de l’été 2013, après que l’Union européenne, le 29 mai, sous la pression de Paris et de Londres, eut décidé de lever son embargo sur les armes à destination de la Syrie. Deux mois plus tôt, François Hollande a laissé entendre que la France est de toute façon prête à armer les opposants au régime d’Assad, même en l’absence de consensus européen. « Si d’aventure, il devait y avoir un blocage d’un ou deux pays, alors la France prendrait ses responsabilité », déclare-t-il le 14 mars à l’issue d’un sommet à Bruxelles.

« RAMER DANS LE MÊME BATEAU »

La réunion du groupe des Amis de la Syrie, à Doha, au Qatar, le 22 juin, marque une étape importante. En réponse aux demandes pressantes de la Coalition nationale syrienne, la vitrine politique de l’opposition syrienne, ses parrains occidentaux et arabes se mettent d’accord sur un accroissement de l’aide militaire aux insurgés et sur une répartition des rôles dans cette perspective. « Il est urgent de fournir tout le matériel et l’équipement à l’opposition sur le terrain, chaque pays à sa façon », souligne le communiqué final. Le texte précise que tout « soutien militaire » doit transiter par l’Armée syrienne libre, dirigée par le général Idriss. « Une façon de dire aux Qataris et aux Saoudiens qu’ils doivent maintenant ramer dans le même bateau et ne plus soutenir des groupes rivaux de la rébellion », relève alors un proche du dossier.

A l’époque, un sentiment d’urgence anime les pays membres des Amis de la Syrie. Le 4 juin, à la suite de l’analyse d’un échantillon rapporté de la banlieue de Damas par un reporter du Monde, Paris a formellement accusé le régime syrien d’employer des armes chimiques contre ses adversaires. Il s’agit alors d’usages à faible dose, très différents de l’attaque au sarin du 21 août, qui allait faire des centaines de morts. Mais c’est déjà un franchissement de « la ligne rouge » fixée par les grandes capitales occidentales, et les autorités françaises estiment nécessaire de réagir. L’autre facteur déterminant dans la décision de Paris de contribuer à l’armement des rebelles tient à l’approche de la conférence de paix de Genève 2, réunissant représentants du régime et de la CNS. Paris et ses partenaires pensent qu’il est important de renforcer les capacités militaires de l’opposition, de façon à ce qu’elle n’arrive pas à la table des négociations dans une position de trop grande faiblesse.

LES LIVRAISONS D’ARMES N’ONT PAS CESSÉ

Des combattants de l’Armée syrienne libre, en avril 2013, à Alep.

Des combattants de l’Armée syrienne libre, en avril 2013, à Alep. Martin Forster/NurPhoto

Tous ses calculs ont fait long feu. « Genève 2 » a eu lieu en janvier-février 2014, sans le moindre résultat. Les efforts de structuration de l’ASL, engagée par le général Idriss, n’ont pas vraiment porté leurs fruits. En décembre 2013, des dépôts d’armes de l’ASL à la frontière syro-turque ont même été pillés par des combattants du Front islamique. Tandis que le régime se lançait dans une contre-offensive à Homs et autour de Damas, les rebelles islamistes prenaient l’ascendant sur leurs rivaux nationalistes dans le Nord. Autant d’événements qui ont dissuadé les autorités française d’amplifier leurs efforts. « C’est sûr que ces difficultés ne nous ont pas vraiment encouragés à aller plus loin », confie un diplomate.

Si l’on en croit les déclarations de François Hollande jeudi 21 août, les livraisons d’armes n’ont cependant pas cessé. L’ASL en a d’autant plus besoin qu’elle est désormais prise en tenaille dans le nord de la Syrie par les forces du régime d’un côté et par les combattants ultraradicaux de l’Etat islamique de l’autre.

« Nous ne devons pas relâcher le soutien que nous avions accordé à ces rebelles qui sont les seuls à participer à l’esprit démocratique », a déclaré le président français devant la presse, lors d’un déplacement dans le Sud. La France, a-t-il toutefois ajouté, ne peut « pas le faire seule » et « ça se fait en bonne intelligence avec l’Europe et les Américains ».

 

 

Attentats à Paris : Marc Trevidic dit ses 4 vérités

Attentats à Paris : Marc Trevidic dit ses 4 vérités

Ancien Juge antiterroriste.


14/11/2015

EN CONTINU: série de fusillades à Paris, jusqu'à 112 morts, une prise d'otages a eu lieu au Bataclan

Comme par hasard un vendredi 13, le 13, le nombre des Illuminati !

 La France chercherait-elle à justifier de nouvelles attaques illégales en Syrie ?

Les assaillants auraient crié "Vous faîtes ça ?! On fait ça !", (à propos de la Syrie), selon des témoins.

EN CONTINU: série de fusillades à Paris, jusqu'à 112 morts, une prise d'otages a eu lieu au Bataclan

Plusieurs fusillades ont eu lieu en plein Paris. Trois explosions ont retenti près du Stade de France et plusieurs dizaines de personnes sont prises en otage au Bataclan. Il y aurait jusqu'à 60 morts. Des fusillades ont actuellement lieu aux Halles.

  • Selon BFM TV, 5 à 6 terroristes auraient été abattus au Bataclan et aux abords du Stade de France.

  • François Hollande, Christiane Taubira et Bernard Cazeneuve sont arrivés au Bataclan.

  • Elan de solidarité à la suite des attentats de Paris : derrière le hashtag #PorteOuverte les victimes des attentats peuvent aller se réfugier chez des Parisiens prêts à les accueillir.

3 terroristes ont agit au Bataclan, 2 au Stade de France, selon les dernières informations officielles.

  • Francois Hollande est arrivé boulevard Beaumarchais au poste de commandement avancé.

  • Les terroristes sont entrés dans le Bataclan et se sont mis à tirer sur la foule.

  • Le bilan provisoire des attentats de Paris est de 118 morts.

  • Quatre terroristes ont été tués.

 

  • 1 500 soldats sont actuellement mobilisés à Paris.

  • Le bilan des attentats de Paris serait actuellement de 112 morts.

  • Daesh aurait revendiqué les attentats de Paris, selon les médias.

 

Plusieurs ambulances quittent actuellement le Bataclan. Les otages sont évacués.

  • La gauche et la droite auraient décidé de suspendre la campagne des élections régionales.

  • L'assaut au Bataclan aurait fait des dizaines de morts. 

  • Les personnes qui sortent du Bataclan sont prises en charge par les secours dans un café situé à proximité.

  • L'aéroport d'Orly a été fermé.


  • François Hollande a annulé sa participation au G20 qui se déroulera en Turquie ce week end.

  • Assaut au Bataclan : 2 terroristes tués.

    L'armée est déployée dans les rues de Paris.

  • Près de 10 000 militaires ont été déployés dans Paris.

  • Les autorités ont demandé aux journalistes de ne plus retransmettre d'images aux abords du Bataclan, un assaut ayant lieu dans la salle de concert.

  • Près de 10 000 militaires ont été déployés dans Paris.

  • Les autorités ont demandé aux journalistes de ne plus retransmettre d'images des abords du Bataclan, en raison de l'assaut que la BRI opère dans la salle de concert.


  • Les assaillants auraient crié "Vous faîtes ça ?! On fait ça !", (à propos de la Syrie), selon des témoins.

  • L'assaut est donné au Bataclan

  • Des tirs entendus au Bataclan, l'assaut serait en cours.

  • Sept attaques ont eu lieu dans différents endroits de Paris.

  • Une personne a été interpelée aux alentours du Bataclan. Six à huit terroristes seraient à l'intérieur de la salle de concert.


  • Trois terroristes seraient toujours à l'intérieur du Bataclan. Un terroriste aurait été abattu.

  • Des témoins rapportent que les assaillants auraient crié «Vous faîtes ça ?! On fait ça !», à propos de la Syrie.

  • L'assaut est donné au Bataclan

  • Des tirs entendus au Bataclan, l'assaut serait en cours.

  • Sept attaques ont eu lieu dans différents endroits de Paris.

  • Une personne a été interpelée aux alentours du Bataclan. Six à huit terroristes seraient à l'intérieur de la salle de concert.

  • Trois terroristes seraient toujours à l'intérieur du Bataclan. Un terroriste aurait été abattu.

  • Tous les établissements scolaires seront fermés jusqu'à nouvel ordre.

  • 200 soldats Sentinelle envoyés en renfort sur les 10e et 11e arrondissements de Paris pour sécuriser la zone

    — nathalieguibert (@nathalieguibert) 13 Novembre 2015
  • Des voitures de police blindées en plein centre de Paris.

 

  • La police recommande aux Parisiens de ne sortir qu'en «cas de nécessité».

  • Le plan «rouge multi-attentats» décrété pour la première fois.

  • La prise d'otages est toujours en cours au Bataclan.

  • Des attaques auraient lieu dans le quartier des Halles, au Centre Pompidou et au musée du Louvre à Paris.

  • François Hollande a annoncé la «fermeture des frontières».

  • «Les terroristes sont sur le territoire de l'Ile de France. Nous ferons tout pour les neutraliser». (François Hollande)

  • «Des perquisitions sont possibles dans toute l'Ile de France». (François Hollande)

  • Toutes les forces possibles sont mobilisées pour neutraliser les terroristes. (François Hollande).

  • Sur les réseaux sociaux des images montrent la situation rue de Charonne.

    Des corps étendus au 10 rue Charonne. Des draps sont jetés par les fenêtres pr couvrir les corps #fusillade #Paris pic.twitter.com/0GeQ1SNfij

    — Sylvain BOHRER (@sylvainbohrer) 13 Novembre 2015

François Hollande annonce la fermeture des frontières suite aux attentats

François Hollande annonce la fermeture des frontières suite aux attentats

Le président français François Hollande
Le président français François Hollande
 

Plusieurs fusillades ont eu lieu en plein Paris. Trois explosions ont retenti à proximité du Stade de France et plusieurs dizaines de personnes seraient prises en otage au Bataclan où elles assistaient à un concert. Il y aurait jusqu'à 60 morts.

Le président français a décrété l’état d’urgence sur tout le territoire et la fermeture des frontières pour que des terroristes ne puissent pas s’échapper du pays. Toutes les forces de sécurité sont mobilisées pour être sûr qu’aucune attaque ne puisse se répéter, a déclaré le président français. «C'est une terrible épreuve, qui, une nouvelle fois, nous assaille», a notamment déclaré le président de la République française.

En savoir plus : EN CONTINU: série de fusillades à Paris, jusqu'à 60 morts, une prise d'otages a eu lieu au Bataclan

François Hollande a appelé toute la nation à se réunir dans cette heure difficile pour la France : «Nous devons, dans ces moments si difficiles, faire preuve de compassion et de solidarité, mais aussi d'unité et de sang-froid».

Allez plus ploin : Les cinq attentats les plus meurtriers à Paris

 

Attentats de Paris – La guerre débarque en France

 
Voir aussi :


Attentats de Paris – La guerre débarque en France

par Laurent Freeman -

 

Comme c’était prévu, la guerre débarque en France. Au moins trois fusillades et trois explosions et une prise d’otage.

Les plans du Nouvel Ordre Mondial pour provoquer le chaos en Europe suivent leur cour. L’État Islamique financé par la Cabale est maintenant passé à l’action en France, sans doute avec l’apport de renforts fraichement débarqués, infiltrés parmi les réfugiés.

Toutes nos pensées vont aux familles des victimes.

Plus que jamais il est temps d’ouvrir les yeux sur ce qui se passe réellement derrière le rideau. Soit les français goberont les versions officielles du gouvernement criminel français, soit ce sera l’occasion pour retrouver les véritables coupables qui financent ces organisations terroristes (Soros, l’Arabie Saoudite, la branche occulte des Etats Unis et d’Israel bien entendu…), et se débarrasser une bonne fois pour toute de la Cabale.

Voici les premières images des attentats de Paris qui ont fait au minimum 60 morts à l’heure actuelle.